Aller au contenu
forum sidasante

**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 1/3


EcliptuX
 Share

Recommended Posts

A propos du désir de retrait de Lavienrose, personnellement je trouve cela très dommageable. En effet, j'aime débattre à partir de faits qui sont présentés dans les publications scientifiques, car, en particulier dans les sciences de la vie, il y a plusieurs interprétations possibles. L'interprétation habituellement proposée provient plutôt d'un consensus culturel que d'une réalité clairement perçue.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 1,9k
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

Lavieenrose ferait mieux d'enlever celles-ci car le monde est loin d'etre rose sauf, peut etre,dans l univers aseptisé des laborantins et autres sujets du genre.......

Avant de tenir des propos denués de tout sens vous devriez vous mettre dans la peau d un seropositif comme moi, qui grace aux informations citées sur www.virusmyth.com est bien content de s'etre sorti de therapies qui etait entrain de l'achever.....sans ces informations et sans celles trouvés sur la BIAM, ou sur PUBMED aujourd'hui je serais mort!.

Il est trés facile, aprés avoir subi le matraquage audio-visuel de dire que les tri therapies sauvent des vies !! oui surement, mais un tout petit nombre alors....pour preuve l'etude suivante publiée par les BEH : http://www.invs.sante.fr/beh/1999/9917/index.html

démontre clairement que les décés des personnes seropositifs a augmenté depuis les tri therapies, mais comme celles ci ne meurent pas toutes de maladies classifiées $IDA, elles entrent dans d 'autres stastitiques.....

Divers cancers, lymphomes, osteoporose,necrose, problemes cardiaques, lypodystrophie, diabete, calvitie, surdite, cecite, hepatite,.....enfin, la liste est longue mais en cherchant bien dans PUBMED, on s appercoit vite fait que toutes les mollecules utilisées dans le¨$IDA, ont toutes un point en commune entre elles : elles causes pratiquement toutes les maladies rapportées depuis la nuit des temps !!....surtout quand on fait jou-jou avec l'adn.

Effarant mais reel ! La medecine est en fait un chat qui se mord la queue !....On soigne d'un coté mais on casse de l 'autre....c'est bien connu et cela se voit surtout chez des personnes seropositives, mais pas que chez elles, et pas uniquement à cause des tri therapies.

Et si être seropositif voulait tout simplement dire que cela implique une sensibilité acrue aux effets secondaires de tous types de produit chimique ?......une carence genetique innée ou iatrogène...et que si avant d'etendre systematiquement le depistage de ce probleme genetique humain, on choisit de travailler dessus que chez des minorités ?!( homos, africains, toxicos.....).

de plus les techniques de vaccinations, d antibiotherapies arrivent à leurs fins d'efficacités...il faut trouver des nouvelles techniques de soigner les infections, il faut apprendre au corps à se defendre contres les bacteries et virus ( ses propes composants ?).....

Est ce que les tri-therapies ne joueraient pas un role pour les generations humaines futures.......oui....

Surement ce que doivent se dire quelques mecenes gays, qui pour cette ideologie ont acceptés de participer activement a la creation du $IDA...et de laisser sacrifiés certains de leurs semblabes..tout cela à quand meme permis de faire enlever l homosexualité comme maladie mentale auprés de l'Oms et d autoriser dans l europe les gays pride...qui malheureusement demontrent clairement aux yeux de certains politiciens qu'ils ont bien fait de se charger de notre cas...POINT BARRE.

Toujours est il que les tri therapies n'ont rien prouver à ce jour, si ce n'est qu'elles causent chez une majorite des utilisateurs le sida et autres maladies, qui de plus , pour certaines sont incurrables......

Moi je suis sur le terrain, des seropositifs sous traitement, j'en connais des dizaines, et jours aprés mois, je les vois se transformer .....ils deviennent comme j ai commencé a etre ...tout blanc, completement defiguré des pieds jusqu'a la tete.....un peu comme les rescapés des camps de concentration.....j'y vais fort mais cela est la realité !...moi a ce jour, 4 ans apres arret des traitements, je suis toujours entrain d en soigner ses effets secondaires ( dernieres nouvelles : j ai des kystes de graisses et des nodules plein la thyroide.....taper sur PUBMED : haart thyroid .)LOL!

IL FAUT BIEN FAIRE COMPRENDRE A TOUT LE MONDE QUE L IMAGE DU SEROPOSITIF AMAIGRI DANS NOS EST CAUSEE PAR LES MEDICAMENTS ANTI-RETROVIRAUX.

L AFRIQUE EST RAVAGEE PAR LA FAMINE MAIS CE N EST PAS LA SEULE CAUSE DE MALADIES....QUI A DIT QUE LES TOUS LES AFRICAINS N AVAIT PAS D ANTIBIOTIQUES ( perimées) OU D ANTIRETROVIRAUX( perimés surement ) A GRANDE ECHELLE ?

Enfin il est connu que tout les seropositifs ont un systeme immunitaire constament activé ( ca c est une realité )...et que cela cause de l apoptose..cause apparente à ce jour de la disparition des cd4......reste a chaqu'un de trouver la cause de cette activation....( infections, medocs, drogues ?).

Ajoutons qu il ne faut surtout pas croire aussi les pro-vitamines et anti-oxydants....( les africains ne sont pas ravages par le scorbut...ce qui met à mal la theorie de la vitamin C, enfin cela a rapporte quelques sous a un prix nobel specialisé en armes chimiques (!!).).

N oublions que c est MONTAGNIER lui meme qui a fait "don" a la science VIH des pouvoirs de la N-acetylcysteine comme traitement du sida dans la fin des années 80.....UN CHARLANTANT !!

L apoptose est un mecanisme qui chez certains a besoin de calcium , de cysteine (souffre)......le seul truc connu qui permet de diminuer un peu une apoptose est le magnesium qui empeche le calcium ou la cysteine d entrer en masse dans la cellule causant sa disparition( de maniere directe ou indirecte) par le biais des proteases....( enfin, on doit beaucoup à Pasteur pour les anti-proteases,

ainsi que ROCHE, qui ont travaillé conjoitement ( par appels d'offres !! LOL!).

Donc soutenir d une maniere generale, la these du glutathion pour les personnes vih est un peu comme soutenir celle de l'azt!.

voici l'étude en question.....une goutte d'eau bien sur !:

--------------------------------------------------------------------------------

Retour au sommaire des BEH de 1999

ÉVOLUTION DES CAUSES DE DÉCÈS DES PATIENTS INFECTES PAR LE VIH

DANS LA COHORTE AQUITAINE, 1985-1997

S. Vandentorren 1, P. Mercié 1, 1, C. Marimoutou 1, 1, F Dabis 1,3, 1

et le Groupe d'Epidémiologie Clinique en Aquitaine (GECSA)I, 3

INSERM U330, Université Victor Segalen Bordeaux 2, 146, rue Léo Saignat, 33076 Bordeaux Cedex.

Service de Médecine interne, Hôpital Haut-Lévèque, Centre Hospitalier Universitaire (CHU), Bordeaux.

Centre d'information et de Soins de l'Immunodéficience Humaine (CISIH), CHU de Bordeaux.

INTRODUCTION

Jusqu'à l'arrivée des Inhibiteurs de Protéase (IP) en 1996, les principales causes de décès des patients infectés par le VIH (VIH+) étaient les manifestations cliniques classant SIDA [1]. La prescription des trithérapies avec IP a spectaculairement amélioré la survie des personnes VIH+. On peut désormais se demander si leur mortalité peut redevenir comparable à celle de la population du même âge indemne de l'infection. Or depuis le début de l'épidémie, très peu d'études se sont intéressées à la description complète des causes de décès des patients VIH+, indépendamment de leur passage au stade SIDA [2].

MATÉRIEL ET MÉTHODES

Depuis 1987, le Groupe d'Épidémiologie Clinique du Sida en Aquitaine (GESCA) a établi un système de surveillance hospitalier de l'infection par le VIH-1 au Centre Hospitalier Universitaire de Bordeaux puis dans les centres hospitaliers de Bayonne, Dax, Libourne et Villeneuve-sur-Lot. Les critères de signalement sont une infection par le VIH-1 confirmée par un test Western-Blot, un âge supérieur ou égal à 13 ans, un recours au moins une fois à un des services hospitaliers participant au recueil des données et le consentement éclairé du patient. Cette étude descriptive a concerné les patients inclus dans ce système d'information et décédés entre 1985 et 1997. Les causes de décès des patients ont été notifiées de manière prospective, trois causes de décès pouvant être mentionnées sur le modèle des informations exigées pour le remplissage des certificats de décès. Les patients décédés ayant au moins une pathologie classante SIDA mentionnée en tant que cause de décès sont répertoriées dans le groupe " cause SIDA " et seuls les décès pour lesquels aucune pathologie classante n'était mentionnée constituent le groupe des " causes non SIDA ".

Les distributions des causes de décès ont été exprimées en pourcentages, calculés par rapport au total des causes de décès, globalement, puis elles sont analysées séparément pour les causes SIDA et non SIDA. Les comparaisons ont été réalisées sur les données annuelles depuis 1985 puis sur deux périodes équivalentes de 18 mois : de janvier 1995 à juin 1996 et de juillet 1996 à décembre 1997.

RÉSULTATS

Au total, 1 662 décès ont été notifiés parmi les 5 124 patients de la Cohorte Aquitaine. La mortalité cumulative est donc de 32,4 % pour la période de 13 ans, 1985-1997.

Les patients décédés étaient de sexe masculin à 80 %. La médiane d'âge au moment du décès était de 37 ans, s'étendant de 15 à 92 ans. Les patients décédés avaient le plus souvent acquis leur infection lors de rapports homo-bisexuels (40 %), toxicomanie (31 %) ou de rapports hétérosexuels (13 %).

La diminution du nombre annuel de décès est nette à partir de 1996 (Fig. 1). La létalité globale (nombre de décès/nombre de patients suivis dans l'année) diminue ainsi de 11,5 % en 1995 à 3,1 % en 1997. La proportion des causes de décès non SIDA passe de 15,2 % des décès en 1995 (n = 263) à 35,1 % en 1997 (n = 77).

Figure 1. Tendances séculaires du nombre de décès de causes SIDA et non SIDA

Cohorte Aquitaine, 1985-1997

L’évolution des causes de décès liées au SIDA (N = 1 249) a montré la persistance d'une part importante et relativement stable des décès par pathologies multiples (30 % du total des causes SIDA chaque année depuis 1990). La proportion des décès liés aux lymphomes a quant à elle augmenté depuis 1991 pour atteindre 24 % du total des causes SIDA en 1997 contre 5 à 10 % les années précédentes, alors que la proportion des décès secondaires à des infections opportunistes a diminué (27 % du total des causes SIDA en 1996 contre 45 % en 1993).

L’étude de l'évolution des causes de décès non liées au SIDA (N = 370) a mis en évidence une pari importante de causés de décès non informatives (33 % des causes non SIDA), sans modification sur la période d'étude. Cependant, parmi ces causes de décès non SIDA, la part des décès par cancers non classants au stade SIDA (tumeur maligne des bronches, tumeur maligne digestive...) a augmenté passant de 3 % en 1995 à 7 % en 1997. De la même manière, la part des pathologies hépatiques (cirrhose, hépatite chronique ... ) s'est accrue entre 1995 (8 %) et 1997 (11 %). Enfin, la part des décès par suicide et overdose est restée importante tout au long de la période d'étude (11 % par an en moyenne des décès non SIDA).

La comparaison des causes de décès durant les 18 mois avant (janvier 1995juin 1996) et après l'introduction des AP (juillet 1996-décembre 1997) met en évidence une tendance à l'augmentation des causes de décès par pathologies néoplasiques, classantes ou non SIDA, passant de 18 % (n = 66) à 23 % (n = 32) sans atteindre le seuil de significativité (p = 0,10). Ce phénomène est amplifié lorsqu'on compare l'ensemble de la période avant l'introduction des AP et les 18 mois suivants. Ainsi, il y avait 15 % de causes de décès par cancer de 1985 à juin 1996 (n = 216) et 23 % après, de juillet 1996 à décembre 1997 (n = 32), p = 0,03. En comparant les deux dernières périodes d'observation de 18 mois, on trouvait une augmentation significative des causes de décès par suicide ou overdose : 8 % (n = 12) de juillet 1996 à décembre 1997 au lieu de 3 % (n = 12) dans les 18 mois précédents (p = 0,01). Il n'y avait pas de différence significative dans la part des causes de décès par infections opportunistes, 55 % pour les deux périodes (n = 204 et n = 77, respectivement).

DISCUSSION

La part de décès non liés au SIDA est croissante parmi les causes de décès des patients VIH+, parallèlement à la chute de la mortalité dans cette population, depuis 1996. Nous remarquons enfin que les décès de cause néoplasique ont augmenté après l'introduction des tri-thérapies avec AP.

Dans notre système d'information, les décès sont notifiés spontanément et prospectivement par les cliniciens et une recherche active des patients perdus de vue est régulièrement effectuée. Le risque de sous-estimation du nombre de décès même les plus récents est faible.

La principale difficulté de cette étude a été d'obtenir des informations précises sur les causes de décès. On note toutefois parmi les patients décédés de causes non informatives que 28 % étaient déjà au stade SIDA au moment du décès. La part de causes non informatives reste stable au cours du temps (30 %). Un biais dans la répartition exacte des causes de décès ne devrait pas avoir modifié son évolution temporelle, comme cela a été montré pour d'autres causes de décès en dehors de l'infection à VIH [3].

Malgré l'existence toujours possible de ces biais de sélection et d'information, notre étude représente une description exhaustive des causes de décès non liées au SIDA, qui occupent une part de plus en plus importante parmi les causes de décès des patients VIH+. Il s'agit d'une source d'informations intéressante sur des pathologies émergentes, potentiellement létales [4]. Une mortalité normale pour la tranche d'âge, auparavant masquée par la surmortalité liée au SIDA peut ainsi réapparaître. De même, de nouvelles maladies favorisées par les traitements antirétroviraux peuvent se développer, comme les pathologies cardiovasculaires liées aux anomalies du métabolisme glucidique et lipidique récemment décrites [5].

Un dépistage plus précoce et ciblé, par exemple des pathologies néoplasiques, pourrait aussi améliorer, grâce à une prise en charge adaptée, la morbidité et l'espérance de vie des patients VIH+. Ceci pose la question de la surveillance épidémiologique systématique de l'infection à VIH au lieu de se limiter à celle des cas SIDA déclarés [6]. Nos données justifient dès aujourd'hui la mise en place ou l'intensification des moyens de surveillance des décès des patients VIH+.

RÉFÉRENCES

[1] Chang H., Morse D., Noonan C. et al - Survival and Mortality Patterns of an Acquired Immunodeficiency

Syndrome (AIDS) Cohort in New York State. Am. J. Epidemiol 1993 ; 138 : 341-9.

[2] Kravcik S., Hawley-Foss N., Victor G. et al. - Causes of death of HIV-infected persons in Ottawa, Ontario,

1984-1995. Arch. lntern. Med. 1997; 157: 2069-73,

[3] Salmi R., Dabis F, McKinley T et al. - Quality of death certificates: studying or burying? Am. J Public

Heaith. 1990; 80: 751.

[4] Bindels P.J.E., Reeijneveld S.A., Mulder-Folkerts D.K.F et al. - Impact of AIDS on premature mortality in

Amsterdam, 1982-1992. AIDS 1994; 8: 233-2

[5] Henry K., Melroe H., Huebsh J. et al. - Severe premature coranary artery disease with protease inhibitor.

Lancet 1998 ; 351 : 1958.

[6] Mocroft A., Vella S., Benfield TL. et al - Changing patterns of mortality across Europe in patients infected

CELLE CI ME PARAIT TRES INTERRESSANT CAR COMPLETE EN SACHANT BIEN LIRE ENTRE LES LIGNES....ELLE RESUME A ELLE SEULE UNE EXPLICATION CLAIRE ET PRECISE DU $IDA!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour répondre à Jai_arreté, voici la traduction approximative de l'éditorial que Matthew Black, Membre de l'Institut National de Surveillance du Sida au Kenya, a confié le 8 décembre 2003 au journal Daily Nation de Nairobi :

le SIDA/VIH a vraiment un impact sur les vies de chacun d'entre nous d'une manière ou d'une autre, et le combat doit être gagné.

Une mise à jour des faits et des modèles sont un prérequis pour une communication efficace dans la plupart des sujets, et le SIDA/VIH ne fait pas exception.

700 Kényans mourant chaque jour, 3 toutes les 5 minutes, taux de prévalence et taux d'incidence sont des termes familiers. De telles données sont répandues alentour avec une telle habilité et et une telle vigueur que parfois c'est comme si on combattait un algorithme mathématique plutôt qu'un virus.

Quoique le fait de décrire un phénomène en le chiffrant présente une valeur certaine, il est essentiel, lorsque nous les utilisons, de comprendre exactement ce qu'ils repésentent.

Un ancien premier ministre britannique, Disraeli, a été le premier à dire : Il y a trois types de mensonges : les mensonges, les damnés mensonges et les statistiques.

C'est on ne peut plus vrai pour quelques uns de ces soit-disant faits qui nous sont hurlés par des experts réputés et des agences internationales lors de l'organisation de la journée internationale du sida.

Dans le "Sunday Nation" du 30 novembre, Arthur Okwemba citait le directeur exécutif d'un groupe de soutien du sida en Ouganda qui indiquait qu'il y avait une chute de la prévalence du vih en Ouganda "de plus de 30% en 1995 à environ 5% aujourd'hui"

Ceci, traduit en termes réels, signifie que des 23 millions d'Ougandais, au moins 7 millions étaient séropositifs en 1995, contre 1 million aujourd'hui.

Cela signifie qu'il y a 6 millions d'ougandais séropositifs de moins qu'en 1995. Si en plus vous tenez compte des ougandais devenus séropositifs après 1995, cela vous laisse un nombre énorme de personnes qui ne sont plus séropositives. Qu'est-il arrivé à ces ougandais qui n'apparaissent plus dans les dernières données? Ont-ils quitté l'Ouganda, sont-ils morts, ou nt-ils été guéris du vih?

S'ils sont mort, cela veut-il dire que l'Ouganda a été incapable de prévenir 800000 morts par an?

etc...

Il est à noter qu'il s'agit-là d'un éditorial écrit pas un "ponte" du Sida en Afrique.

On peut d'ailleurs affiner son propos.

L'accroissement actuel de la population de l'Uganda (depuis 11 ans) étant de 3,7% (l'une des plus forte du monde), on peut estimer que sa population en 1995 était de 17 Mios. La diminution exacte de séropositifs devient plus faible, soit 4 Mios (ce qui est malgré tout énorme). Mais cela voudrait dire également que sans le sida, l'accroissement annuel de la population serait de 5,8% par an !!!! (c'est un pays alien !)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonsoir Terry,

Pourrais-tu préciser ce que tu entends par thèse du glutathion (je précise que le glutathion contient de la cystéine entre autres)

Merci.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité JIMMY(le rebel)

J'arrive ! 3 - tapis.gif

Bonsoir, pardonnez mon retard... 4-bisou.gif

Pour répondre à lavienrose,

Je suis une "hiv test victim", et sauvé grâce à Aixur, onnouscachetout, Mark G et sidasante.

Tu devrais aller lire mon témoignage, ainsi que les autres (témoignages) 3 - stretch.gif

Si je suis en vie, en bonne santé, et ne me sentant atteint de rien du tout, aujourd'hui, c'est bien grâce aux dissidents hiv. (et leur travail) icon_+biggrinlove.gif

Il est bien clair que je ne prendrais jamais plus ces traitements de m.... cul.gif

Le mois prochain, cela fera 2ans que j'ai arrêté tout traitement, et 1 an que je suis hiv dissidents.

J'ai la chance de ne pas avoir gardé d'effets secondaires irréversibles, ce qui n'est pas le cas de certains amis qui prennent des traitements. Cela me fait mal de les voir dans certains états insupportables : ventres énormes, fesses plates, jambes maigres, joues creuses, bosses de bisons, cholestérol, problèmes cardiaques, cancers, nausées, diarrhées, paralysies des extrémités des membres, fatigues chroniques, insomnies....et bien d'autres.

Malgré les informations que je leur donne, ils ont tellement peur, qu'ils continuent à s'accrocher à leurs médocs. Peut être certains comprendront ils plus tard, et peut être pour certains ça sera trop tard. 5-tss.gif

Quand à ADDTC, tes propos ici, me confirme que tu es un fouteur de merde marteau.gif

Tu agis de la même façon que sur le forum "vaccins".

Je te conseille un ptit traitement d'AZT, ca fait fondre...vite et bien. 4-ptdrasrpt.gif

JIMMY (le rebel)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le glutathion est composé de cystine....comme je l'ai expliqué la plus des part des seropos ( et pas que eux ) ont un systeme immunitaire activé....favorisant l'apoptose ( mort suicide des cellules t4 par exemple pour citer que cela)...or pour que cette reaction chimique ait lieu le corps se sert de calcium, de cysteine entre autres autres....

il suffit de taper APOPTOSE sur yahoo ou sur PUBMED pour bien comprendre de quoi il s'agit.

L oxydation est un phenomene naturel sans lequel le corps humain ne pourrait pas vivre....il y a apparement un equilibre fragile entre oxydant et anti-oxydant....un leger desequilibre dans un sens ou l autre peut etre catastrophique.

Prendre des megadoses de vitamines peut etre dangeureux, surtout si on ne pratique aucunes analyses avant ( en supposant de plus que celles ci soient valables!)...

Dans mon cas, j ai un systeme immunitaire activé, avec un taux d anti oxydants a fond, pas de carence en selenium et zinc.....un tel tableau me fait penser que si je prenais du selenium en plus, j amplifierai ce phenomene....il en va de meme pour la vitamine C...( la vitamine surement la plus vendue au monde.......et sans brevet...elle doit rapporter des millions de $ à Roche ( premier fabricant direct/indirect au monde de vitamines)....

mais cela est mon point de vue perso, je ne detiens aucunes verites mais je ne comprends pas l attitude de Montagnier conseillant la cysteine comme traitement du sida alors qu'il sait trés bien que chez des tas de personnes la cysteine elle meme est indirectement responsable de sida !.

Puis pour etre carence en cysteine dans nos pays, faut vraiment n avoir pas de chance......on trouve de la cysteine dans les oeufs,le lait etc....à ce jour, d'aprés mes lectures seul le magnesium peut eventuellement diminuer ce phenomene d'apoptose dans certains cas et chez certaines personnes...pour d autres cela pourrait etre le cuivre, le manganese ( dont on a appris recement qu'il bloquer le vih)....

il faut consulter un medecin specialisé dans le sport, ou un nutrionniste, car ce sont les seuls à prescrire des analyses precises en ce qui concerne les vitamines et etc ( bien sur non remboursées par la secu)...cela peut meme se faire par le net....consulter worldmedical clinic....

Cette facon de proceder est vraiment utile en matière de prevention, seropo ou pas ! puis cela evite de prendre n importe quoi comme on du le faire des milliers de seropos (americains surtout) dont beaucoup ont du mourrir du suite a un abus de vitamine c ou e et autres ( notons que celle ci peut favoriser le cancer de kaposi )....etc etc.....sans meme avoir pris d'azt!!!

Il faut chercher par soi-meme sur yahoo;pubmed par exemple et s'instruire......

On nous ne ment pas que sur le VIH/SIDA!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité ADDTC

Remlug :

Je ne suis pas d'accord avec ta comparaison. Si en effet la mort est entraîné par les maladies opportunes, celles-ci on tpu s'établir suite à une déficiance du système immunitaire causé par le virus du Sida.

Jimmy :

Si je suis un fouteur de merde parce que je défend des thèses qui n'ont pas l'heur de vous plaire, tant mieux. Après tout le débat n'en est que plus riche si il est contradictoire. Vous présentez vos arguments, je présente les miens et on en discute dans le respect mutual du contradicteur.

Quant à ton conseil du traitement à l'AZT... Ca ne te grandit vraiment pas de me souhaiter de passer par les souffrances que tu dénonces ailleurs. Je suis heureux que tu te sois sorti de cette maladie, peut-être as-tu eu de la chance, tant mieux pour toi.

Mark:

Ca veut dire que tout ceux qui apportent leur soutien aux traitements actuels se font étriper. On ne discute pas, tous sont des suppôts des laboratoires pharmaceutiques qui cherchent à se faire du fric sur le dos des pauvres dolents. Il suffit de lire les précédents posts.

Terry :

J'apprécie la qualité de tes argumentations, et de ton travail. Tu as m'a poussé à la réflexion.

Cepandant inciter des séropositifs à cesser leurs traitement contre l'avis du corps médical me semble être une position extrêmement dangeurse. Mais comme je n'ai pas d'information sur ce sujet, et que je ne me sens pas qualifié pour en discuter, je me garderais de polémiquer là dessus. Autant je suis convaincu que les vaccins sont efficaces, autant je dois avouer un doute sur le sujet du VIH.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité lavienrose

THABO MBEKI: revient à la raison

article du NouvelObs

Un Sud-Africain sur dix

est séropositif

Dix pour cent des jeunes âgés de 15 à 25 ans sont atteints par le virus du sida. L'Afrique du Sud compte 5,3 millions de séropositifs.

uelque 10% des jeunes Sud-Africains sont séropositifs, les jeunes femmes, souvent contraintes d'avoir des relations sexuelles non souhaitées, étant de loin les plus touchées, selon l'étude d'une université reputée de Johannesburg, rendue publique mercredi 7 avril.

Cette étude a été réalisée auprès de 12.000 jeunes âgés de 15 à 25 ans, selon la radio publique SAFM, qui cite les conclusions.

Helen Rees, directrice de l'unité de recherche sur la santé de l'université du Witswatersrand, auteur de l'enquête, a déclaré sur SAFM qu'alcool et drogue jouaient un rôle important dans la propagation du sida, leur consommation levant les inhibitions et encourageant les relations sexuelles.

"Environ 10% des jeunes (interrogés) ont indiqué qu'ils avaient utilisé toutes sortes de substances, y compris bien sûr l'alcool, la plus commune, mais aussi des drogues, 3% affirmant qu'ils avaient consommé de la drogue par intraveineuse", a déclaré Helen Rees.

Les femmes plus touchées que les hommes

L'utilisation de drogues dures par intraveineuse, en particulier avec des seringues usagées, est un facteur important de propagation du sida.

Sur les 10% de jeunes séropositifs, 77% sont des femmes, selon le sondage. Cela signifie "qu'une femme sur quatre âgée de 20 à 24 ans est séropositive, contre un homme sur 14 de la même tranche d'âge", a précisé à la radio une spécialiste du sida, Sue Valentine.

"Près d'un tiers des jeunes femmes ayant eu des relations sexuelles ont indiqué que leur premier rapport n'était pas voulu, qu'elles avaient été forcées par leur partenaire de l'avoir", a-t-elle ajouté.

L'Afrique du Sud compte 5,3 millions de VIH-positifs et, selon le collectif d'aide aux malades Treatment action campaign (TAC), environ 600 décès par jour sont dus à la pandémie.

Le gouvernement du président Thabo Mbeki, longtemps accusé d'être resté passif face à ce fléau, a mis en place en novembre 2003 un programme de distribution gratuite de médicaments antirétroviraux (ARV) dans les hôpitaux publics qui s'étend progressivement à tout le pays.

PLUS SUR LE SUJET :

Sur le site

Débat L'Afrique face au sida

Sur internet

Certains liens sont susceptibles de ne plus fonctionner correctement après un certain temps

Carte de l'Afrique du Sud

Le sida en Afrique du Sud sur le site de l'ONUSIDA (fichier pdf)

Le réseau Afrique 2000 de AIDES

Le site de l'ONUSIDA

Le site d'Act-up Paris

Ce que signifie le mot "sida"

Le sida en chiffres

Le site de Sida Info

Le site de Treatment Action Campaign

Dans l'Obs Hebdo

"Sida: la course au vaccin", par Fabien Gruhier (04/03/04)

"Sida : la politique des petits pas", par Gérard Petitjean (27/11/03)

"Une trêve dans la guerre du médicament", par Gérard Petitjean (22/11/01)

"John Le Carré : j'accuse ! ", par Didier Jacob (20/09/01)

"Sol en Si sans le sou", par Sylvain Courage (24/05/01)

"Thabo Mbeki, comploteur ou victime ?", par Chris Wauthier (10/05/01)

"SIDA Le mal court toujours", par Sylvie Véran (30/11/00)

"Sida : la vigilance se relâche", par Alain Dorra (21/09/00)

"Quel vaccin?" (18/05/00)

"Les cobayes du vaccin antisida", par Hubert Prolongeau (18/05/00)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité lavienrose

Tous les médicaments ont des effets secondaires plus ou moins désagéables,plus ou moins toxiques ,plus ou moins invalidants ...c'est un truisme et il est absolument ridicule d'argumenter en ce sens!

Plus la maladie est grave , plus le malade est faible (et les 2 vont de pair...évidence ,non?) plus le médicament utilisé sera bien souvent hélas ,très agressif!

La survie aux pathologies lourdes est à ce prix ; on ne traite pas un carcinôme thyroïdien avec de la salsepareille,on est bien souvent obligé de l'irradier ,de détruire la thyroïde et de causer quelques "dommages collatéraux" (parathyroïdes,etc...).

J'ai lu le témoignage de Jimmy cité plus haut et il m'a beaucoup ému ; mais je rejoins la remarque d'ACCd ,un cas n'est jamais une généralité, à Lourdes aussi il y a des miracles ,mais la plupart des malades entre 2 pélerinages ,s'assurent bien de suivre leur traitement médical à la lettre .

Modifié par lavienrose
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En réponse (et malheureusement uniquement pour les anglophones), voici un article du journaliste Sud-Africain Rian Malan dans l'hebdomadaire Noseweek, datant du 13 avril :

HIV infection in sub-Saharan Africa not explained by sexual or vertical transmission. D Gisselquist, R Rothenberg, J Potteras. Int J STD & AIDS 2002 ; 13 : 657-66. Mots-clés : VIH, SIDA, Afrique sub-saharienne, iatrogène, nosocomial.

De plus en plus détudes viennent contredire la conviction largement répandue que la transmission sexuelle est responsable de plus de 90% des contaminations chez les adultes en Afrique. En effet, les taux variables de séropositivité dans les pays africains ne sont pas corrélés à des comportements sexuels différents. Des études récentes menées conjointement dans diverses villes dAfrique ayant des prévalences différentes de VIH nont pas constaté de comportement sexuel plus risqué dans les villes où la prévalence du VIH était la plus élevée.

Lhypothèse selon laquelle la contamination sexuelle est le principal mode de transmission chez les adultes en Afrique nécessite un taux de transmission sexuelle beaucoup plus élevé dans la population africaine que ce qui a été constaté dans les pays occidentaux. Toutefois, une étude récente effectuée en Ouganda a constaté un taux de transmission hétérosexuelle dans des couples divergents qui était de 0,0011 en moyenne, ce qui est comparable aux taux retrouvés en Amérique du Nord et en Europe. Quatre autres études sur la transmission du VIH dans des couples hétérosexuels discordants qui avaient des rapports non protégés avaient des résultats similaires. De plus, une étude zambienne qui a séquencé le VIH chez les personnes contaminées a constaté que dans au moins 13% des cas, le virus nétait pas le même chez la personne récemment contaminée et chez son partenaire sexuel. Aux USA, le risque moyen dêtre contaminé pendant toute sa vie en ayant des rapports hétérosexuels ou bisexuels réguliers avec un partenaire contaminé était estimé à 0,19-0,40 pour la contamination de la femme par lhomme, et de 0,09-0,18 pour la contamination de lhomme par la femme. Pour expliquer lactuelle épidémie en Afrique, il serait nécessaire que toute personne hétérosexuelle contamine 4,7 personnes.

Les épidémiologistes qui effectuent les calculs en faveur du rôle de la contamination sexuelle du VIH choisissent les données et les paramètres afin de soutenir leur hypothèse. Les données utilisées sont souvent très différentes de ce qui est constaté par les études sur le terrain. Concevoir des modèles montrant quil est théoriquement possible que le VIH soit transmis par voie hétérosexuelle, ce qui explique lépidémie, est une chose, la réalité en est une autre. Par exemple, une étude de Anderson et al estimait que cela impliquait un nombre de 3,4 nouveaux partenaires sexuels tous les ans ; par contre, une étude menée dans 12 pays africains constatait que 74% des hommes et 91% des femmes âgés de 15 à 49 ans navaient quun seul partenaire sexuel pendant lannée précédente, et que seulement 3,7% des hommes et 0,7% des femmes avaient eu plus de 4 partenaires sexuels. En comparaison, une étude similaire menée à peu près en même temps au Danemark montrait que 19% des adultes de 18 à 59 ans avaient eu plusieurs partenaires sexuels lannée précédente. Dautres études menées en France et en Angleterre avaient des résultats similaires.

Des études ont rapporté des cas de contamination non sexuelle. Au Rwanda, 15 des 25 femmes séropositives dont le partenaire était séronégatif navaient jamais eu de relations sexuelles avec un autre homme que ce partenaire. Une étude menée en Tanzanie a retrouvé une prévalence du VIH de 5,6% chez des garçons et de 3,6% chez des filles qui navaient jamais eu de rapports sexuels (contre respectivement 4,8% et 12% chez les garçons et les filles qui avaient eu des rapports sexuels).

Une étude menée au Kinshasa en 1985 a constaté que 39% des enfants âgés de 1 à 24 mois et nés de mères séronégatives pour le VIH étaient séropositifs. Cétait aussi le cas de 20% des enfants dans une étude rwandaise portant sur des enfants de 1 à 48 mois, de 19% des enfants de moins de 15 ans hospitalisés pour sarcome de Kaposi dans un hôpital ougandais, de 23% des enfants dans une étude au Burkina Faso, de 21% dans une étude en Côte dIvoire. Il semble donc que jusquà 1/5ème, voire plus, des enfants séropositifs ne le soient pas devenus à cause de la transmission verticale du VIH.

De plus, un certain nombre détudes montrent une prévalence beaucoup plus élevée de séroconversion chez les femmes dans les 2 années qui entourent la naissance dun enfant. Ce " pic " de séroconversion rappelle le taux de fièvre puerpérale de 6 à 16% constaté par Semmelweis dans les années 1840, avant la mise en uvre dune meilleure hygiène. Ce type de contamination semble largement responsable dun taux élevé de VIH chez les femmes africaines par ailleurs à bas risque de contamination, tout au moins dans certaines régions, et permet de supposer que le suivi médical de la grossesse et de laccouchement augmente le risque de contamination. Une étude congolaise estimait, en 1987-88, à 5% le risque de contamination par le VIH lié à une interruption de grossesse. Une étude rwandaise en 1989-91 retrouvait un taux de contamination 2,7 fois plus élevé chez les femmes qui avaient accouché en milieu médical par rapport aux femmes ayant accouché seules ou avec une sage-femme traditionnelle locale ; dans cette étude, on pouvait estimer à 34% le risque de contamination lié au milieu médical.

Au moins 15 grandes études africaines ont évalué le risque de contamination lié au fait davoir subi au moins une injection, avec une augmentation moyenne du risque de 29%. Six études rapportaient une relation dose-dépendante entre le nombre des injections et le risque de séroconversion. La plupart des contaminations étaient liées à un nombre élevé dinjections. Une étude de 1985 sur des ouvriers rwandais qui avaient eu une maladie sexuellement transmissible (MST) a retrouvé un taux de contamination de 9,7% chez ceux non soignée par injections, et de 27% chez ceux qui avaient été soignés par injections. La même étude a enrôlé des professionnels de santé, et le taux de contamination par le VIH était de 47% chez ceux qui avaient été traités par injections pour une MST et de 24% chez ceux qui navaient pas été traités par injections.

De plus en plus détudes permettent de penser que la transmission iatrogène est en bonne partie responsable de lépidémie actuelle de VIH en Afrique, particulièrement chez les femmes en âge de procréer, de la même façon que les injections dans des conditions déplorables dhygiène ont été responsable de la dissémination de nombreuses maladies infectieuses. Il est donc déplorable que la plupart des études menées depuis une dizaine dannées ne sintéressent plus du tout à cet aspect de la question. Heureusement, il semble que, depuis peu, la possibilité dune transmission iatrogène soit à nouveau prise en compte. De nouvelles interventions sont nécessaires pour lutter contre ce mode de transmission.

Quant à l'épopée des Krynen, dont l'un d'entre nous cherchait la référence, elle se trouve aussi sur sidasanté :

http://www.sidasante.com/deru/krynen.htm

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

love.gif

Bonjour et merci à ADDTC de la réponse

"Courrier des Lecteurs".

Dans "Le Sceptique et ses détracteurs" (C.I., 19 février 2004, page 46) il ne faudrait pas faire penser aux lecteurs du C.I. que Rian Milan est un isolé. Il y a, de par le monde, des milliers de scientifiques "sceptiques" qui partagent entièrement son interprétation des chiffres tout-à-fait "gonflés" sur le sida en Afrique. Je faisais partie d'une visite très officielle à Soweto, en juillet 2000, au fameux Chriss Hanni Hospital. Nous y avons vu des centaines de malades se mourrant de malnutrition, de tuberculose, de malaria... mais pas un seul sidéen! J'ai effectué, la même année, une visite en Inde au cours de laquelle nous avons demandé à voir des patients du sida. On nous a présenté vingt tuberculeux pulmonaires... Les raisons socio économiques graves qui expliquent de tels drames ont beaucoup à voir avec les méthodes l'OMS et les pressions des hautes finances pharmaceutiques, et elles nécessiteraient sans doute une trop longue lettre. Vos lecteurs devraient pour le moins savoir qu'un large débat qui apportait des élements important soutenant les thèses de Rian Malan s'est tenu, à Bruxelles, dans l'enceinte du Parlement européen, le 8 décembre 2003, et que ceux qui veulent approfondir ce débat fondamental devraient consultrer largement le site www.altheal.org (en anglais) ou www.sidasante.com (en français).

Avec mes remerciements,

Dr.Etienne de Harven,

Prof. Emérite de l'Université de Toronto

06530 Saint Cézaire sur Siagne

Bonne lecture

icon_ange.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité lavienrose

Certains lecteurs du forum ne s'y retrouvent pas toujours avec les nombreux termes utilisés sur le forum et demandent assez souvent des explications (glutathion,cystéïne,stressoxydant.etc...), je leur propose un site hors polémique , écrit en belge franco et non plus en chinois,c'est toujours plus facile quand tout le monde peut comprendre DE QUOI ON PARLE :

http://www.probiox.com/html/body_stressoxydant.htm

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité DaK'AZ

Si en octobre ou en novembre 1985 (je ne me souviens plus de la date exacte)

On m'avait dit, monsieur on sait que des gens vivent L-A-V positif depuis 20 ans. Et pour certains, sans aucuns traitements.

Car elle est là l'information dissidente qui n'a rien d'irresponsable et qu'il faut retenir, à mon sens, puisque démontré par le parcours de certains d'entres nous, moi en l'occurence.

Je n'aurai probablement pas vu une muraille aux aires infranchissable se dresser devant moi!

Un grillage, une cloture tout au plus mais rien d'incontournable.

Il m'a fallu cependant, me contenter de 3 années.

..."Nous avons trois ans de recule et nous savons que des gens infectés vivent sans le moindre probléme"...

M'avait répondu le boss du centre de transufions sanguine du CHU du Kremlin Bicetres quand j'avais demandé aprés quelques questions stupides...

..."Combien de temps pouvais-je encore, espérer vivre ???"...

Avant de braquer une banque et d'embarquer avec moi 2, 3 politiques sur ma galère le jours de mon départ...De l'autre coté du voile. (J'avais de drôles de délires à 23 ans.)

20 plus tard,

La science patauge et n'offre toujours aucunes solutions!!!

Rien qui ne puissent faire échapper un être des tourmantes psychologiques qu'induit l'annonce de sa séropositivité et ce que cela impliquera dans sa vie a venir. Juste une pseudo cane de salut, les tri-thérapies et des allers retours en l'hosto de jour.

20 ans plus tard,

Les dissidents affirment puisque preuves à l'appuies, qu'on peut vivre 20 ans sans trop d'encombres et sans traitements.

Réclamants corps et âmes un cliché de la Bète et pronnant un retour à une vie saine des sidéens.

Excusez mon exigence mais voila en gros ce sur lequel j'aimerais que médite, ceux qui comme moi sont séropo, n'ont pas BAC plus 25 en biochimie et qui ont des lacunes en anglais, pour garder un discours responsable.

Peace _h23.gif

p 4-guerrier.gif

Psitt: écartez vous de vos craintes et vous vous écarterez du grand méchant DAS 1-calin.gif

Car le vaccin semble-t-il, c'est pas pour demain 5-nonnonnon.gif

Modifié par DaK'AZ
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai lu le témoignage de Jimmy cité plus haut et il m'a beaucoup ému ; mais je rejoins la remarque d'ACCd ,un cas n'est jamais une généralité, à Lourdes aussi il y a des miracles ,mais la plupart des malades entre 2 pélerinages ,s'assurent bien de suivre leur traitement médical à la lettre .

Alors je crois qu'il va falloir qu'on érige les forums d'Onnouscachetout.com comme lieu de pèlerinage...

On a 4 séro+ ici qui sont dissidents et qui, soit sont en bonne santé, soit soigne les effets secondaires des thérapies qu'ils ont suivis avant... mais ne généralisons, cà doit etre une coincidence... non un mirââââcle... icon_smile.gif

Puis je vais ajouter un de mes amis, et on arrive à 5.... j'ajoute, pour mon ami, que le dernier test qu'il a fait, il y a des années, le médecin lui a dit que sa charge virale était trop basse pour faire un diagnostic... alors que quelques années encore avant, il avait tellement maigri qu'il n'avait plus assez de muscle pour se mouvoir correctement... le jour où il m'a annoncé qu'il envoyait tout valser et partait refaire sa vie là où personne ne lui parlerait de ça, cela m'a fait un peu peur... c'est lui qui m'a convaincu, bien avant de venir ici...

Miraculeux aussi surement...

Dsl pour ce commentaire qui n'apporte rien, mais je crois que certains membres n'ont pas dû noter qu'il y avait des séro+ sur ce forum...

Diamant

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité lavienrose

et j'ajoute , que contrairement à certains ,je ne me permets pas de jugement de valeur à travers un pseudo , je réponds à des "écrits" , la personne derrière , je ne peux la connaitre , je la respecte car bien souvent , elle vaut mieux que les conneries qu'elle peut écrire , dépassée qu'elle est par ses émotions....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité DaK'AZ

en ce qui me concerne , j'essaye de m'adresser aux esprits ouverts  pas aux adhérants  intolérants d'une thèse qui ne supportent pas la moindre contradiction...

Il semblerait cependant, que la sombre thèse que de ton coté tu défends, ne supporte pas non plus la moindre contradiction, pas plus que ne semble le supporter ses adhérents intolérants dont, tu sembles faire partie.

Finalement, tout ceci ne serait me semble-t-il, qu'un jeu de faux semblants. 5-humhum.gif

Un jeu de miroire où les seropo seraient les allouètes.

Peace _h23.gif

p 4-guerrier.gif

Modifié par DaK'AZ
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité lavienrose

Il semblerait cependant, que la sombre thèse que de ton coté tu défends, ne supporte pas non plus la moindre contradiction, pas plus que ne semble le supporter ses adhérents intolérants dont, tu sembles faire partie.

je ne défend aucune "thèse" et ...libre à chacun de suivre les dogmes d'Alex Russell et autres Rasnick ...Ce qui m'a interpellé sur le forum , ce sont des phrases du genre ''le Sida n'existe pas ","l'ONU essaye de se débarrasser de l'Afrique en inventant le Sida" , etc/...etc...Et par dessus tout , je ne parviens pas à comprendre qu'une théorie complètement rejetée par 90% du monde scientifique , qui ne s'y intéresse pas d'ailleurs (il suffit de taper Russell, Rasnick ou négationnistes -sida sur Google pour comprendre ce que je veux signifier...) soit l'objet d'autant de violence verbale pour en conserver la minorité de "croyants".

Ëtre Séro+ est atroce , c'est l'une des pires injustices que ce monde a pu générer et c'est la pire claque à la face du Dieu des théologiens.

L'une des premières victimes du Sida que j'ai connue était l'un de mes amis et comme cela se passait en 1984 , j'ai suivi sa lente descente aux enfers dans la pire humiliation qui soit pour un homme: être rejeté , mis à l'écart , indexé alors que l'on est innocent de tout!

Les théories négationnistes me font peur , et c'est pour cette raison qu'il m'arrive de tenir des propos quelques fois arrogants ou sans doute un peu durs ; je sais ce qu'il en est d'être assujetti à la prise quotidienne de médicaments lourds et, sans connaître la souffrance physique et surtout psychique que ressentent les sero+ sous médocs, je peux très bien l'imaginer;les théories négationnistes me font peur parceque les médicaments actuels donnent de bons résultats, la plupart des Sites consacrés au Sida en sont les meilleurs témoins ; penser que'en faisant confiance à une minorité infime du monde scientifique , un adolescent (les adultes devraient connaîtrent les risques...) puisse ,après quelques années de rémission (pharmaceutique ,souvent hélas) , y laisser la vie m'empêche de ne pas me mêler au sujet de ce débat , sans doutes maladroitement mais en tout cas ,sans dire,écrire ou penser un seul instant que la vérité est "officielle".

Une dernière remarque, je n'ai rien à vendre , je n'ai pas de site et je ne fais partie d'aucun groupe de pression ,je déteste les sectes et leurs gourous ,mon médecin pratique l'acupuncture et l'astrologie est l'une de mes passions .

Si j'ai mentionné le fait que j'étais chimiste en industrie pharmaceutique, c'est juste pour éviter que l'on puisse me reprocher de ne pas l'avoir fait remarquer.

Je n'ai plus rien à dire sur le Sida , je fais confiance à toutes celles et tous ceux qui chaques jours donnent de leur temps au service des séro+ , travaillent jours et nuits ,auprés des enfants,des prostituées , homosexuels , hemophiles ,ici en Occident et surtout dans cette Afrique si cruellement et invariablement martyrisée; ce sont des gens formidables et je n'en fais pas partie.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité zen33

Quelle mauvaise foi!

Vous en avez pas marre de ce foutage de gueule?

Lavienrose j'ignore pour qui tu bosses mais je parierais gros que tu interviens sur ce site pour essayer de limiter la prise de conscience de la manipulation dont nous sommes tous victimes.

Tu dis que tu n'as plus rien à dire sur le Sida et tu n'as rien dit de constructif, tu as joué avec les outils habituels de la manipulation de pensée mais tes interventions sont restées creuses du point de vue des arguments face aux faits énoncés sur ce forum et qui démontrent à toute personne avec un minimum de bon sens que le Sida est une grosse arnaque.

Exemple de foutage de gueule: « je ne défends aucune thèse... libre à chacun de suivre les dogmes d'Alex Russell et autres Rasnick ...il suffit de taper Russell, Rasnick ou négationnistes -sida sur Google pour comprendre ce que je veux signifier...) soit l'objet d'autant de violence verbale pour en conserver la minorité de "croyants". »

Tout le monde peut constater ta mauvaise foi quand tu dis ne défendre aucune thèse et que tu assimiles «Â Russel et autres Rasnick » à des négationnistes. Tu défends férocement une thése qui est imposée mondialement comme un dogme et tu nous présentes les questionnement de bon sens comme des dogmes.

Cela fait partie des armes habituelles de la manimulation des foules.

Tu utilises le dogme et tu l'attribues à celui qui ose le contester, tu utliises la violence verbale et tu l'attribues à ceux que tes provocations agacent,...

L'argument de la minorité qui aurait tord parce que minoritaire est aussi petit que le reste de tes interventions. Si la majorité avait raison il y a longtemps qu'il y aurait moins de misère sur notre petite planète.

La vie appelle la vie.

Il n'y a pas de bons et de mauvais micobes, il y a simplement la vie qui correspond à un terrain donné.

Cela est d'une évidence enfantine, il suffit de prendre le temps d'observer la vie. Pas besoin de microscope électronique pour comprendre l'essentiel.

Lavienrose participe à la manipulation qui tend à maintenir l'homme dans la demande de ses chaines d'esclaves qu'il croit indispensables à son bonheur.

Marc et d'autres nous montrent que la santé repose davantage sur notre confiance dans la vie que sur la peur et la dépendance médicale.

A chacun son chemin. Notre santé, notre liberté, notre vie nous appartiennent et on ne peut donner à l'autre plus qu'il n'est prêt à recevoir.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Share


×
×
  • Créer...