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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 1/3


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Invité ozymandias

Merci pour vos réponses. Si je comprends bien, la question reste cependant ouverte: pourquoi à un moment donné des gens ont ils commencé à mourir du SIDA?

Personnellement, cela me fait penser au film "Révélations", quelqu'un (le Dr Wygand) s'est levé pour dénoncer des pratiques répréhensibles, pour dire la vérité dans un milieu ou les moyens de pression sont suffisamment forts pour étouffer dans l'oeuf toute dissidence. Et plus un sujet devient "énorme", plus il est difficile de redresser la barre. On peut se poser la question de se demander pourquoi un chercheur, une équipe de chercheurs, ne se poserait pas en dissidence sur un tel sujet, pour se faire remarquer, gagner en notoriété, ou tout simplement par gout de la vérité. Parcequ'ils subissent des pressions, parceque l'industrie pharmaceutique est trop puissante? Cela n'a jamais empêché quelques courageux de se lever...

Voilà un sujet bien intéressant en tout cas

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Si je comprends bien, la question reste cependant ouverte: pourquoi à un moment donné des gens ont ils commencé à mourir du SIDA?

Tout à fait ozymandias... telle est la question... icon_eek.gif

Question complètement ignorée de milliers de chercheurs qui ont choisis de suivre la voie officielle et qui ont dépensé des milliards de dollars dans cette voie du HIV...

Et tant que personne ne remettra en question cette voie, les milliards de dollars n'iront pas ailleurs et ne permettront pas une autre voie de recherche... une voie qui serait celle où le virus HIV n'existe pas et qui permettrait donc de chercher autre chose... d'autres facteurs et d'autres causes...

Et c'est cette voie dont les dissidents demandent l'étude... car pour faire des recherches il faut des moyens et des chercheurs... et pour l'instant, la dissidence est tellement ignorée que pas un dollar ne lui est attribué...

Mais c'est normal : imagine que demain il devienne officielle que le HIV n'existe pas... Donc que depuis 20 ans les chercheurs se trompent... que depuis 20 ans des milliards de dollars sont gaspillés pour rien... que depuis 20 ans des milliers de personnes sont mortes en raison de cette erreur...

L'explication d'aixur est claire à ce sujet : il est à peine croyable qu'on ai pu lancer une telle recherche sur un protocole non corcordant... La question alors est pourquoi ? Parce qu'a l'époque il y avait une course entre des chercheurs français et américain pour la découverte de l'origine de cette nouvelle maladie... et un certain nombre de protocoles ont été "baclés" car il fallait etre les premiers... etre les découvreurs... car cela permettait d'avoir les milliards de dollars qu'une telle maladie promettait de générer...

Vi vi ca se passe aussi ainsi dans la biologie et la médecine. puni.gif

Et si la voie du HIV continue à engranger les dollars, les malades continueront a mourir d'une maladie dont on ne connait réellement pas les causes... icon_cry.gif

Diamant

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Un bon résumé....

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Dés le début du SIDA, vers 1983, certains scientifiques dans le milieu de la rétrovirologie et de la biologie moléculaire ont commencé à exprimer des doutes graves quant à la rigueur scientifique des publications du Prof. Montagnier et du Dr Robert Gallo. Le premier article critique fut publié dans le journal "Cancer" en 1987 par le Prof Peter Duesberg. Celui-ci expliquait comment les rétrovirus ne pouvaient pas être la cause de maladies chez l'homme. Pour avoir publié cet article, Duesberg a été aussitôt mis à l'écart, privant ainsi la recherche bio-médicale d'un des plus brillant chercheurs de sa génération.

En 1992 fut créé le "Groupe pour la réévaluation scientifique de l'hypothèse VIH/SIDA". Ce groupe compte plusieurs lauréats du prix Nobel, des scientifiques de haut niveau, des professionnels de la santé et des personnes "diagnostiquées", mais bien portantes et n'ayant reçu aucun traitements officiels.

Tous les premiers cas du SIDA recensés aux Etats Unies étaient des grands consommateurs de drogues. Depuis 1981, certains psychologues, thérapeutes et médecins ont travaillé avec des malades dans les épicentres comme San Francisco et New York. Ils ont constaté qu'un changement vers un mode de vie plus sain était bénéfique pour beaucoup. En 1988, le livre "SIDA Espoir" fut publié en France. Ce document historique et visionnaire était la synthèse de tous les travaux en médecine préventive et holistique accomplis et documentés aux Etats Unies. Certains scientifiques y exprimaient leurs doutes par rapport à l'hypothése virale du SIDA.

J'ai été diagnostiqué "séropositif" en 1986 et j'ai eu la chance d'apprendre (par des infirmières !) que certains Américains porteurs du même " diagnostic " vivaient cependant bien, après avoir changé de mode de vie, amélioré leur alimentation, et pratiqué du sport et des techniques de relaxation. Cette information fut comme une graine que l'on semait en moi. J'ai progressivement arrêté ma prise de drogues dures, et avec l'aide d'un psychologue et des techniques de relaxation je me suis libéré complètement de ma toxicomanie. En 1989 à Genève, j'ai rencontré pour la première fois des "survivants à long terme" américains.

Après une année de découverte et de pratique de techniques holistiques, j'ai découvert un texte dans "Policy Review", grand journal conservateur aux Etats Unis : "Le virus du SIDA est-il une science fiction" du Prof Peter Duesberg et son étudiant Bryan Ellison. Depuis ce moment, je suis devenu chercheur, détective, documentaliste, journaliste et conférencier dans ce domaine extrêmement difficile qu'est la dissidence du Sida.

Aujourd'hui le mouvement dissident a pris une ampleur extraordinaire. Même certains chefs d'état ont commencé leur propre enquête sur la supercherie du SIDA, ce qui va influencer les dépenses pour la santé dans les pays pauvres vers l'amélioration des conditions sanitaires : eau potable, agriculture, soins pour les maladies traditionnelles. Et non pour amplifier les profits sans scrupule des cartels pharmaceutiques.

Quelques conclusions :

1) Un prix de $100 000 a été offert au premier scientifique qui réussirait l'isolement du VIH !

2) Sans isolement du "VIH", les tests ne peuvent pas être spécifiques. En fait beaucoup d'autres facteurs peuvent déclencher un test positif.

3) Prescrire des traitements "anti-rétroviraux" contre un virus qui n'a jamais été isolé est de la pure folie ! L'effet de ces molécules est de stopper la réplication de l'ADN. Leur toxicité et leurs redoutables effets secondaires sont bien connus. Ils provoquent d'ailleurs les mêmes symptômes que ce que les médecins appellent SIDA !

4) La mortalité due au SIDA est d'environ 0,8% de la mortalité annuelle en Occident. Les chiffres africains sont fait de 97% d'estimation et 3% de réalité. Depuis 1985 il n'est pas nécessaire d'avoir un test positif du SIDA en Afrique pour être déclaré "sidéen" ! Il n'est pas d'avantage possible ni techniquement ni statistiquement d'appeler le SIDA une "épidémie". La véritable épidémie c'est la vente de plus en plus de tests pour lesquels les mêmes industries ont le monopole. Et de plus en plus de corruption par les multinationales jusqu'au sommet de l'ONU, de l'OMS et de l'ONUSIDA (dont le directeur reçoit des bénéfices pour sa part d'un brevet de test SIDA !)

5) Il y a d'autres moyens d'aborder nos problèmes immunitaires, et beaucoup d'entre nous sont impliqués à fond dans leur diffusion.

6) Dans ce contexte, il n'y a pas de guérison du SIDA ! Mais il y a la guérison de la peur et de l'ignorance par rapport au SIDA. Information le plus souvent étouffée, muselée et occultée par la voracité d'une industrie pharmaceutique qui devient la plus grande cause de maladie sur notre terre aujourd‚hui.

Pour plus d'information consultez http://www.sidasante.com

Je recommande le téléchargement de "L'Apprentissage n° 9" comme introduction à cette immense controverse :

http://www.sidasante.com/pdf/apprenti.htm

Et pour découvrir les lacunes de l'hypothèse officielle, lire : "SIDA Première maladie virtuelle de l'histoire !" :

http://www.sidasante.com/critique/malvir.htm

Pour ceux qui aiment les références scientifiques, lire : "La réfutation de la Déclaration de Durban":

http://www.sidasante.com/science/refutation.htm

Meilleurs sentiments

Mark Griffiths

(Membre du groupe pour la réévaluation de l'hypothèse VIH/SIDA)

Hameau de Besse

11300 Festes et St André

Tél : 04 68 31 27 91

E-mail : info@sidasante.com

source : arsitra.org

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Lu sur le site Rethinking Worlwide Forum :

http://www.aimoo.com/forum/postview.cfm?id...hreadID=1104609

From Dave Rasnick:

(South Africa has the best "HIV/AIDS" statistics in Africa. The completely contradictory results discussed in the article below shows that claims about AIDS in Africa should be treated with considerable caution. Dave)

Business Day

21 October 2003

Academics cast doubt on new AIDS survey

Science and Health Correspondent

CAPE TOWN A study by former health department director-general Olive Shisana showing that the HIV/AIDS epidemic has already peaked has been met with scepticism by two of SA's leading HIV/AIDS academics.

The study, published in the African Journal of AIDS Research, says the epidemic peaked last year with about 4,69-million infected people, and has started to level off. It also says the HIV incidence rate (a measure of new infections) in the sexually active 15-49 age group decreased from 4,2% in 1997 to 1,7% in 2003.

"We were surprised by these findings, but when you look closely it coincides with the introduction of major interventions like condom distribution," said Shisana, executive director of an HIV/AIDS research programme at the Human Sciences Research Council (HSRC).

The study was based on data from the health department's HIV prevalence surveys of pregnant women from 1990 to 2001 and data from the Nelson Mandela-HSRC HIV/AIDS household survey, published last year.

The Mandela-HSRC study flew in the face of previous research, showing HIV prevalence rates were highest in Free State and Gauteng and not KwaZuluNatal and Mpumalanga.

University of Natal epidemiologist Prof Quarraisha Abdool Karim said: "The Mandela-HSRC study has not been through a peer-review process. There are a number of flaws in the study, and in the interpretation and data analysis that have not been addressed the use of these data to calibrate a new model questions the validity of the model."

The researchers have refused other academics access to their data or the questionnaires.

Prof Rob Dorrington, head of Cape Town University's centre for actuarial research, questioned whether the model showed anything more than the assumptions of the researchers about future prevalence rates. "The authors assumed the epidemic peaked in 2002 and then that prevalence levels declined. All their results' are thus contingent on these heroic assumptions."

En gros, le taux de progression de la séropositivité en Afrique du Sud se rapproche de zéro, ce qui voudrait dire que "l'épidémie" arrive à sa phase de rétrocession.

Cela n'arrange pas tout le monde, puisque les professeurs de médecine (blancs) du Cap n'acceptent pas ces résultats. Cela n'arrange certainement pas non plus les industriels du médicament et leurs hommes de main (TAC - Zachie Achmat)

Modifié par Cheminot
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Tentative de traduction du texte de Cheminot icon_smile.gif :

De Dave Rasnick: (L'Afrique du Sud a les meilleures statistiques sur le "VIH/SIDA" en Afrique. Les résultats complètement contradictoires, discutés dans l'article ci-dessous, prouvent que des déclarations au sujet du SIDA en Afrique doivent être traitées avec une grande prudence. Dave)

21 octobre 2003

Des universitaires expriment des doutes sur une nouvelle études sur SIDA

De notre correspondant Science et Santé

LE CAP : Une étude faite par l'ancien directeur général du Département de Santé Olive Shisana montrant que l'épidémie de VIH/SIDA a déjà atteint son apogée a été accueillit avec scepticisme par deux universitaires sud-africains spécialistes du VIH/SIDA.

L'étude, publiée par le journal "African Journal of AIDS Research" (Jounal africain de recherche sur le SIDA), indique que l'épidémie a atteint son apogée l'année dernière avec environ 4,69 millions de personnes infectées, et a commencé à se stabiliser. Elle indique également que le taux d'incidence du HIV (la mesure des nouvelles infections) dans la tranche d'âge de 15-49 ans sexuellement active, est passée de 4,2% en 1997 à 1,7% en 2003.

"Nous avons été étonnés par ces résultats, mais quand vous les examinez sérieusement, ils coïncident avec l'instauration d'interventions majeures comme la distribution de préservatifs," a dit Shisana, Directeur Exécutif d'un programme de recherche sur le VIH/SIDA au Conseil de Recherches en Sciences Humaines (HSRC).

L'étude s'est basée sur les données du Département de Santé recueillis lors d'enquêtes de prévalence du HIV chez les femmes enceintes de 1990 à 2001 et sur les données de l'enquête Nelson Mandela-HSRC VIH/SIDA sur les familles, publiés l'année dernière.

L'étude Mandela-HSRC a démonté la recherche précédente, montrant que les taux de prévalence du HIV étaient plus élevés dans les Etats Libres et le Gauteng que dans le KwaZuluNatal et le Mpumalanga.

Le Professeur de l'université du Natal, Quarraisha Abdool Karim, épidémiologiste, a indiqué: "L'étude Mandela-HSRC n'a pas été faite selon un processus de "peer-review" (?). Il y a un certain nombre de défauts dans l'étude, et dans l'interprétation et l'analyse des données qui n'ont pas été communiquées afin de servir à générer de nouvelles questions pour vérifier la validité du modèle original (contre-expertise)."

Les chercheurs ont refusé accès à leurs données et questionnaires aux autres universitaires.

Le Prof. Rob Dorrington, chef du Centre de Recherche "actuarial" (réel ?) de l'Université du Cap, doute que le modèle montre autre chose que les suppostions des chercheurs au sujet de l'évaluation des futurs taux de prévalence. "Les auteurs ont supposé que l'épidémie a atteint son apogée en 2002 et alors que les niveaux de prévalence ont diminué. Tous leurs résultats sont ainsi basés sur des prétentions erronées."

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Chez nos responsables, on commence vraiment à se poser des questions, en particulier sur le Sida en Afrique, ainsi que le montre ce colloque au Parlement Européen

COLLOQUE : LE SIDA EN AFRIQUE : QUELLES PRIORITES POUR L'AIDE SANITAIRE?

CONFERENCE : AIDS IN AFRICA : WHAT ARE THE PRIORITIES AS FOR MEDICAL ASSISTANCE

Lundi 08/12/2003 Monday

Bruxelles Brussels

Parlement européen European Parliament

Salle 1G2 Room 1G2

Président de séance Panel Chair

Paul LANNOYE, MEP, Belgique

09h10 Accueil des participants, Ouverture du colloque et Introduction

Welcome, Opening of the Conference and Introduction

Paul LANNOYE, MEP, Belgique

09h25 ""

Michel SIDIBE, Director, Country and Regional Support Department, ONUSIDA-UNAIDS

09h50 "Politique de l'UE en matière de SIDA"

"External EU Policy on AIDS"

Poul NIELSON, Commissaire responsable du développement et de l'aide humanitaire

10h15 "Position du PE en ce qui concerne la lutte contre le SIDA dans les PVD"

"EP position concerning the struggle against AIDS in Developing countries"

Didier Rod, MEP, France

10h40 Questions-réponses Questions-answers

11h10 "La médecine face aux problèmes de Santé Publique en Afrique du Sud"

"Public Health issues and the role of medicine in South Africa",

Prof. SWP MHLONGO, MD, Member of the experts committee set up by President Mbeki, South Africa

11h35 "Le cas de l'Ouganda : une analyse des prévisions et des hypothèses concernant l'ancien épicentre de l'épidémie de SIDA - conséquences pour les autres Etats africains"

"Update on Uganda, an analysis of the predictions and assumptions about the former epicentre of the Aids epidemic - implications for other African countries"

Christian FIALA, MD, Specialist in Obstetrics and Gynaecology, Member of the Presidential Aids Advisory Panel South Africa, Österreich

12h00 "Tanzanie, région de la Kagera, épicentre du SIDA en Afrique il y a 15 ans : qu'en est-il aujourd'hui? Deux mois d'observations sur le terrain"

"Tanzania, region of Kagera, the AIDS epicentre in Africa 15 years ago : what is the current situation? Two months of observation on the ground"

Marc DERU, Docteur en médecine et nutrition, membre du Group for the scientific reappraisal of AIDS, Belgique

12h25 Questions-réponses Questions-answers

13h00 Repas Lunch

NB : Sam Mhlongo, Christian Fiala et Marc Déru font partie de ces gens qu'on nomme les dissidents du Sida, mais que j'appellerais plutôt des gens qui savent ouvrir leurs yeux et leurs lèvres pour éviter que les africains de couleur ne soient décimés par les drogues des labo pharmaceutiques!

D'ailleurs, selon d'autres sources (The Monitor, Kampala), en Uganda, les femmes enceintes refusent à 80% d'être testées pour le "VIH", et celles qui "seraient" séropositives refusent également en très grand nombre la Névirapine, car elles ont pu vérifier expérimentalement que les femmes traitées ne pouvaient plus allaiter, et que leurs enfants dépérissaient et mouraient bien plus vite que ceux des femmes non traitées (il ne s'agit pas ici de vérifier la "charge virale", villipendée par Kary Mullis, Prix Nobel de chimie et inventeur de la PCR utilisée pour cela, mais simplement de la clinique)

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Très intéressant ça : un colloque qui se tient carrément au parlement européen.

A un moindre niveau, on constate que certains docteurs avouent ne pas savoir répondre à certaines contradictions logiques du VIH. Il y a un forum médical assez fréquenté

http://www.atoute.org/cgi-bin/dcforum/dcboard.cgi

Le docteur Dupagne, qui s'en occupe, ne trouve rien à répondre quand on lui demande comment il se fait qu'avec des probabilité très faibles de transmission, l'Afrique aurait pu connaitre un taux de prévalence aussi élevé en si peu de temps. Il avoue même être étonné. Bon, bien sur, c'est d'un autre niveau que le parlement européen, mais, vue la fréquentation du forum, c'est toujours intéressant.

Le topic est ici : http://www.atoute.org/dcforum/DCForumID5/541.html#

">Avec des probabilités si faibles de transmission du VIH, en particulier

>dans les rapports hétérosexuels, comment expliquez-vous les taux de prévalence

>du VIH très élevés dans certains pays africains (par exemple,

>au Bostwana, 35.8% des adultes sont aujourd'hui infectés par le

>VIH) ?

- Statistiques fausses ?

- Contagiosité différente chez les noirs ?

- Contamination non sexuelle ?

Je n'ai pas la réponse. Ce qui m'étonne le plus c'est que la maladie est partie d'Afrique, aurait contaminé l'occident, puis a flambé en Afrique dix ans après. L'histoire du HIV est plein de mystères, ce qui explique les thérories fumeuses qui circulent actuellement sur l'existence ou non du sisa. Docteur Dominique Dupagne"

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En tous cas, merci, Aixur, car le Dr Dupagne y donne l'adresse gouvernementale où sont donnés les taux officiels de transmission de la séropositivité entre sérodiscordants :

http://www.sante.gouv.fr/pdf/dossiers/sidahop/ch16.pdf

On y lit :

RAPPORT SEXUEL NON PROTÉGÉ AVEC UNE PERSONNE SÉROPOSITIVE :

1. Anal réceptif* : ppa** [5 -30 ]

2. Vaginal réceptif : ppa [0,3 -0,7 ]

3. Vaginal insertif* : ppa [0,2 -0,5]

4. Anal insertif : ppa [0,1 -1,85 ]

** ppa = probabilité de transmission par acte.

On retrouve bien les valeurs indiquées en Ouganda et aux Etats Unis, alors que la ppa utilisée par l'OMS en Afrique pour obtenir les 25 Millions de séropositifs à partir des tests chez les femmes enceintes est bien plus élevée : ppa = 50%.

D'autre part, les taux officiels correspondent à des "transmissions" qui peuvent être dûs à de nombreux autres facteurs, tellement ils sont anecdotiques (sauf pour le 1.). Remarquer la différence entre le 1. et le 4. : cela ne colle pas avec une transmission virale !

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Invité DaK'AZ

WhoOa icon_eek.gif

J'viens d'me faire les 11 pages et...

Bon, pour toO vous dire, j'me suis faites les dernières en "crabe", j'espère que vous n'm'en voudrez pas.

ToO mon respect à "Jym le rebelle" pour son témoignage.

Paix et Force sur ton chemin.

Il va falloire que je m'interresse sérieusement à cette histoire de discidence.

Je suis séropo depuis 18 ans, fin 85 pour être précis.

A l'époque on ne parlait pas encore du V-I-H, on était L-A-V positif, où négatif dans le meilleur des cas.

Et bien rare, fut le meilleur des cas pour toOte une génération d'homo et de toxico durant cette période.

Grâce au "Majestueux" I'm allway's there!!!

Voila 5 ans que je ne prends plus d'héroïne, drogue à laquelle j'ai offert 20 ans de ma vie.

Je prend actuellement un trithérapie depuis 2 ans (Kaletra/Combivir, contenant de l'AZT).

En faite, j'en suis à ma toisième combinaison de molécules sur les 18 existantes (sachant que mon "virus" n'est encore resitant à aucune) non pas que je ne les supportes pas...

Au contraire...

Je boufferais des smarties ce serait la même.

Pas la moindre diarré, pas le moindre effet secondaire immédiat.

Juste que quand c'est pas les T4, c'est la charge virale et quand c'est pas la charge virale, c'est les T4...

Bref, je bouffe des trucs pour nuts, que dalle, pas la moindre amélioration dans mes resultats d'analyses, juste quelques fluctuations (60/190 T4 ------ 5 000/ 1 500 000 copies C-V).

Pourtant, et à l'exception d'un "mico-virus" attrapé au vol, 3 T4 dans le sang il y a deux ans, (oui vous avez bien lu, 3 T4) raisons de ma mise sous traitement, je ne suis jamais malade.

Et pour vous dire la vérité, je ne l'ai jamais vraiment été les 15 années ou j'ai refusé d'être traité. Je précise 15 année car j'ai passé une année au "Patriarche" ou j'ai été traité AZT + 3TC, le must thérapeutique de l'époque...

Ne m'épargnant pas cela dit, d'un "Zona", anéanti à base de 2h de perf de "Zovirax" quotidien, one week long.

WoOuarffffff!!!

Depuis ma plus tendre enfance, je n'ai jamais supporté d'être malade et de devoir resté cloué à la maison.

J'imagine que vous comprenez mieux maintenant pourquoi j'ai devoré ce topic.

D'autant plus que depuis 5 jours j'ai arrété mon traitement.

Mais SVP n'allez pas pensez que c'est à cause de ce topic, non.

ToO simplement parce que j'en ai marre, ça me saoule ce sentiment de pisser dans un bignoO... tongue.gif

Comme je vous l'ai dit, j'ai été 15 ans refractaire à tous traitements.

Décidé à frapper dans le mur si nessécaire.

Juste pour voir...

Et croyez moi, je ne suis pas joueur au sens flambeur du terme.

J'ai pris ce risque sciament car je n'avait aucune confiance en des gens qui ne semblaient pas en savoir plus que ça, finalement, sur le bordel.

Je vous avouerai cela dit, que votre lecture n'a faire que confirmer ce que mon coeur m'a toujours souflé à l'oreil, mais je le repéte, elle n'est pas la raisons de la decisions de mon arret.

D'autre part et là je sais que je vais probablement m'attirer les foudres de certains...

Les premières années de ma séropositivité, étant trop lâche pour le dire à mes partenaires.

Je ne dirais pas trop jeune...

Trop lâche est le terme éxacte!

J'ai continué à avoir des relations sexuelles non protégés, sans les prevenirs.

Je vous avouerais que je ne couchait pas avec 3 nanas toutes les nuits, non!

J'ai en faite eu 3 relations serieuses.

Une de 3 ans, une autre de 3 ans et une qui dura un peu plus d'un ans...

Et devinez quoi ?

Bon, je fait le flambard mais vous ne savez pas à quelle point je rend "Grâce".

Aucunes de ces jeunes femmes, que j'ai aimé et j'en vois crier au scandale derrière leurs écrans, cepandant que j'ai aimé ne vous déplaise, ne fut contaminées.

S'en suivir 6 années d'abstinance et de refléxions et oui ça aussi c'est possible...

Depuis 7 mois j'ai rencontré mon "Anges" parmis les Anges, une scientifique, avec qui j'ai des relations protégés... Et je vous rassure, malgré ce que j'ai lu, et bien qu'elle soit dans votre résonnance sur nombre de point, nous continuerons à les envisager ainsi.

Peace icon_wink.gif

p

Psitt: Je ne regrette pas d'etre seropo.

Je n'en veux nullement à celui ou à celle qui m'a "contaminer".

That's life...

C'est paradoxalement la plus belle experience de ma vie.

Car effectivement, si la vie ne m'avait pas ammené à vivre cela...

Je ne serait jamais devenu l'être que je suis...

Une vapeur.

Juste une tite mOlaire against "Mr Pasqua" et ses sbires de l'époque, pour toO mes amis qui sont morts, de n'avoir pas eut ma force, ma chance, ni celle d'acheter des seringues en ventes libres...

Pas plus qu'ils n'ont eut la chance, de profiter de ce qui semblerait-être aujourd'hui le "placébo" (ultra nocif) qui leurs auraient cepandant, peut-etre evité le pire...

Leurs angoisses, leurs craintes...

Celle-là même qui produisent "le mauvais sang", qui conduit innevitablement vers la mort .

Modifié par DaK'AZ
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Invité JIMMY(le rebel)

Salut DaK'AZ

Je ne sais pas si j'ai trouvé la paix, car comment trouver la paix en découvrant une telle supercherie planétaire ?

Par contre cela m'a permis d'avoir une force sans limite, pour informer les gens dans l'ignorance.

Mon combat n'est plus celui du vih, mais de la vérité !

Pour les personnes qui suivent ce sujet, je vais toujours très bien, la forme, jamais malade, avec des projets à longues échéances ! La vie quoi !

JIMMY (le rebel) _h23.gif

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Bonsoir Dak'AZ

Je me permets simplement de dire que, si les traitements classiques donnés en vue d'éviter le Sida lorsqu'il y a séropositivité peuvent prêter à interrogation, vu leur cible, le fameux VIH, qui ne semble vraiment pas avoir été correctement isolé, la séropositivité correspond malgré tout à un état de mauvaise santé potentielle. En particulier, il semble maintenant évident que les véritables marqueurs du Sida sont le déficit en sélénium et le déficit en glutathion.

Il faut donc chercher à se soigner autrement, en évitant, comme tu le fais, toutes les drogues, mais aussi en cherchant d'autres thérapeutes. Je ne cherche pas à t'imposer qui que ce soit, mais on en trouve peu en France. Par contre, en Allemagne, tu peux te renseigner auprès de Wilfried Bales : http://www.heilpraxis-bales.de/

Malheureusement, c'est en allemand, et à Cologne

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Invité DaK'AZ

Bonsoir Dak'AZ

Je me permets simplement de dire que, si les traitements classiques donnés en vue d'éviter le Sida lorsqu'il y a séropositivité peuvent prêter à interrogation, vu leur cible, le fameux VIH, qui ne semble vraiment pas avoir été correctement isolé, la séropositivité correspond malgré tout à un état de mauvaise santé potentielle. En particulier, il semble maintenant évident que les véritables marqueurs du Sida sont le déficit en sélénium et le déficit en glutathion.

Il faut donc chercher à se soigner autrement, en évitant, comme tu le fais, toutes les drogues, mais aussi en cherchant d'autres thérapeutes. Je ne cherche pas à t'imposer qui que ce soit, mais on en trouve peu en France. Par contre, en Allemagne, tu peux te renseigner auprès de Wilfried Bales : http://www.heilpraxis-bales.de/

Malheureusement, c'est en allemand, et à Cologne

Salut "Cheminot".

Merci de m'offrir un peu de ton temps, Broz. icon_wink.gif

Qu'il te soit rendu au centuple!

Petit récapitulatif.

En 18 années de Séropositivité (ou de vie plus simplement)...

Un gros "Rhume" en 1992, Un "Zona" pris au "reveil" en 1995, un second "Zona" etouffé dans l'oeuf en 2000 et pour finir un "Mico Virus" en 2001 (qui me planta 3 mois in bed whitoOt "Madonna" mais avec un p'tit 41 de fièvre constant jusqu'a son isolement) est, me semble-t-il, un état de "Mauvaise Santé" bien relatif...qui à mon sens ne justifierait pas à lui seul, une "Chimio-Thérapie" aussi lourde et couteuse, si un fantôme nommé "SIDA" par une équipe de "GostBuster" Français, n'avait laissé entrevoir son "spectre" dans les couloirs de l'institut Pasteur.

Tu m'étonnes que l'industrie Pharmaceutique reste coté en bourse dans le positif.

Il y a bien longtemps que j'ai pris conscience qu'on nous enfile à sec "Cheminot"...

Si longtemps que jusqu'alors j'avais refusé leur thérapie, même à "forty One" de fièvre.

Je la refusais!!!

Considérant que j'envisagerais peut-être une thérapie quand ils m'auraient sorti de cette saloperie de "mico virus" (que j'ai peut-etre chopé à l'hosto entre nous soit dit)

Avec 3 T4 dans le sang, toOt'est envisageable.

Et puis, quand j'ai été rétabli.

Ben,

face au manque d'informations et à un vide interciderale d'alternatives proposées par nos institutions, j'ai accepté de prendre "Da" traitement.

Depuis 2 ans j'bouffe mes "TAZES" matin et soir aprés avoir testé pour vous trois combinaisons de molécules, sans amélioration probente de mes résultas d'analyses.

Je coûte une tune grâve au contribuable.

Et si je sais lire entre les lignes, j'me niKe la santé.

Je te remercie Cheminot, de ne pas chercher à m'imposer mais, de me proposer une alternative. icon_wink.gif

Seulement voila, I do not speak German.

Mais "C pas grâÂââââââve", qui cherche trouve.

Je remercie d'ailleurs toOs ceux qui sur ce topic sont allés dans ce sens.

Cela dit c'est noté, "Sélénium" et "Glutathon", plus deux trois trucs que mon "Ange" parmis les Anges a noté de son coté.

Je prie pour que le "Majestueux" donne la force et l'energie vital aux personnes comme "Jimmy".

Car sans elles, ou serait l'alternative ?

Peace icon_wink.gif

p _h23.gif

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Invité JIMMY(le rebel)

Salut D'aK AZ

Je te recommande le chlorure de magnésium, je l'ai connu grâce à un article sur onsnoucachetout.

L'extrait de pépin de pamplemousse est un truc très intéressant aussi.

J'ai bien compris que ce n'était pas la dissidence qui t'avait influencée sur tes choix, mais tes réflexions intérieures. Mais que pense tu de la dissidence ?

@+

JIMMY (le rebel)

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Invité DaK'AZ

La Dissidence?

Je n'en avais jamais entendu parlé avant de lire ce topic cher "Jimmy" mais il semblerait que je le suis un peu à ma manière, dissident.

Cela dit je veux bien me pancher sur la question.

Seulement le jour où il m'arrirevera un pète, c'est vers l'hopital le plus proche qu'on me conduira...

Dissident ou non.

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Modifié par DaK'AZ
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Invité JIMMY(le rebel)

Salut D'AK AZ,

Oui mais une fois arrivé à l'hosto, tu est encore libre d'ingurgiter ou pas, ce qu'on te propose...

Alors je te conseille de te pencher un peu sur la dissidence.

Quasiment le seul site en français : www.sidasante.com

@+

JIMMY (le rebel)

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Invité DaK'AZ

Jim icon_wink.gif pour le liens.

Enfin un peu "d'info" sur le bordel qui nous concerne, sachant que nous sommes toOs concernés.

Une fois de plus, je suis très surpris par la résonnance des mots, le ton du discours.

Il est une tonalité et des mots, qui parfois retantissent la 8e note...

Celle qui vibre dans le coeur,

Celle dont vous savez au plus profond de vous même, que vous vous feriez grand tort, en ne la laissant pas raisonner.

Merci 4-bisou.gif

Enfin les raisons de mon ressenti déposé noir sur blanc... 4-horreur.gif

Eighteen years à patauger dans la gadoO faisant comme si Da Nuts n'était...

A me dire, jusqu'ici toO va bien, jusqu'ici toO va bien...

Enfin un peu de réfléxions, un peu de concret sur lequel médité.

Bref, une vision plus humaine du bordel, putanasse!!!

Si vous avez des potes "survivor" dans votre entourage, je vous conseil sincérement de leurs offrires le droit à la réfléxions que nous propose ce topic et ses liens.

Vraiment. jap.gif

Peace icon_wink.gif

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  • 2 weeks later...
Invité JIMMY(le rebel)

Bonjour,

La dernière mise à jour sur www.sidasante.com (12.11.2003) indique :

Une réunion de dissidents et orthodoxes aura lieu au prochain Parlement Européen de Bruxelles (08.12.2003).

La fin de la censure ?

JIMMY (le rebel) _h23.gif

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Bonjour à toutes et à tous,

Ce débat est passionnant, même si parfois pas très facile à suivre.

J'aimerais poser une question qui me turlupine...

Je connais quelqu'un qui après avoir pratiqué une seule fellation, sans aucune prénétration (c'était son premier rapport, donc vierge) a appris que son partenaire était séropositif.

Il a donc fait un test et a appris, à 18 ans, qu'il était lui aussi séropositif. Je croyais que le risque était pratiquement inexistant dans ce cas, de plus il n'y a eu aucun contact entre la bouche et le sperme. J'ai appris par la suite que son partenaire aurait lui aussi été infecté par fellation...

Je ne comprends plus très bien.

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Invité JIMMY(le rebel)

Si ces personnes sont devenues vraiment séropositives, c'est certainement pas à cause d'une fellation. Faut chercher ailleurs...

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Par exemple, se droguaient-elles?

Ont-elles été infectées par une vraie MST, pour laquelle elles ont reçu des substances oxydantes, tels certains antibiotiques...en quantité industrielle?

Il y a aussi et surtout le fait, qu'en disant au centre de dépistage qu'il avait eu des realtions sexuelles quelles qu'elles soient avec un séropositif, il rentrait dans la catégorie des gens à risque, pour lesquels les estimations de la séropositivité ne sont pas du tout faites de la même manière que pour les personnes qui ne déclarent rien. (intervention de ce qu'on appelle en anglais la "PPV" ou Positive Predictive Value, qui par exemple très élevée si un africain originaire des zones subsahariennes fait le test.

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Invité
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