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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 1/3


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On est sensés tenir des propos respectueux sur un tel forum.

Certes, certes, cher Pourquoi ...

Mais qu'est-ce que le respect ? ... est-ce lorsqu'un rigolo vient jouer les croquemitaines à l'endroit d'individus qui, ici, sont directement concernés par le sujet ? est-ce lorsqu'un gogo vient promettre (je cite) une "fin atroce" à l'auditoire qui s'interroge sur les ARV et sur tout le reste ?

C'est cela le respect pour toi médecin-chanteur ?

Il y a eu ici un jour une jeune femme qui a pris la décision de ne pas emboîter le pas de la pensée unique pour ses deux jeunes enfants ... Les rigolos et les gogos ont-ils le "courage" de plaider à l'identique en fixant dans les yeux cette femme ?

Imagine donc qu'ils emportent l'adhésion par le truchement de la culpabilité ... et qu'un peu plus tard, ces mêmes enfants se retrouvent tels des morts vivants ... Que diront-ils alors de "respectables" ? ... Un truc du genre : " mais si vous ne vous étiez pas soumises, ils ne seraient plus depuis longtemps ? " ... " circulez, y a plus rien à voir ! ... notre conscience est intacte ... nous avons fait de notre mieux "

Est-ce cela le respect pour toi ?

Il ne s'agit pas de proposer des miroirs aux alouettes et des sacs pour mettre les têtes ... il s'agit d'apporter un peu d'espoir à des gens qui en sont bien dépourvus du fait du fonctionnement de ton système millénaire ...

Voilà ...

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Peu après, en 1984, on lui dit de livrer des échantillons congelés du sang de ses patients à Berlin, au centre contre le SIDA récemment créé, pour qu'ils soient testés sur le "virus du SIDA." Avant de les laisser partir, il vérifia l'exactitude et la fiabilité du test d'anticorps VIH, et il se rendit compte que cet essai ne peut pas détecter le virus. Il ne peut pas dire oui ou non, vous êtes ou n'êtes pas infectés. Il peut seulement dire que vous avez un montant plus élevé ou moins élevé d'anticorps. C'est ainsi que le test d'anticorps VIH était et est conçu.

Si donc, un haut responsable de la santé publique allemande se pose ces questions, je ne vois pas pourquoi moi, vous ou d'autres n'auraient pas le droit de se les poser

Ce texte se trouve p 27 de ce document

Que dire du Pr Sam Mhlongo, chef du département de médecine familiale à la fac de médecine de Johannesburg?

Que dire du Pr Gordon Stewart, Professeur émérite de santé publique à l'université de Glasgow, ancien consultat de l'OMs pour les maldies épidémiques?

Votre assertion signifierait que ces mille médecins sont de très mauvais médecins, que ces professeurs sont des gens incompétants en clinique.

Cela ne se peut, vous en conviendrez, d'autant que leur job était justement la surveillance des maladies épidémiques et des drogués. Si on les a mis là, ce n'est qu'à cause de leurs compétences et de leur intelligence.

Justement, cette intelligence des faits, ce n'est pas de la clinique, cela nécessite de l'intuition certes, mais surtout un esprit d'analyse et de synthèse qui n'est pas propre au commun des médecins, je suis désolé de le dire.

Désolé donc de vous contredire, la clinique ne peut apporter de preuves, et seule la biologie et la chimie peuvent départager les deux sensibilités. Or, les voies de la recherche qui concerne l'iatrogénicité et la toxicologie ont été bouchées dès le départ, et il est malvenu de demander des fonds pour creuser cette idée.

J'aimerais par exemple savoir, maintenant qu'il est convenu que les labos pharmaceutique cachent une partie de leurs résultats, pourquoi l'imurel serait-il capable de diminuer l'immunité, donc les CD4 (quelle que soit la cause de cette basse d'immunité, les CD4 baissent), alors que le métronidazole, par exemple, ne le serait pas?

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Sur les structures précédentes, on retrouve aisément la structure nitroimidazole. La purine fixée par un pont sulfure au nitroimidazole permet certainement de favoriser l'attaque de la cible dans le cas de l'imurel.

Et pour faire intervenir un médecin très pointu, aucun problème!

Modifié par Cheminot
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Invité moimaime

L'origine virale du sida n'a jamais été démontrée scientifiquement

par le Dr Etienne de HARVEN

Le Dr Etienne de Harven, microscopiste électronicien, a consacré presque toute sa carrière de recherche à l'étude des rétrovirus associés aux leucémies de souris. Il a suivi avec grande attention l'impact hypothétique que de tels travaux auraient pu avoir dans l'étude des cancers chez l'homme. Il nous révèle pourquoi les recherches actuelles sur le sida sont dans une impasse. Enferrée dans ses querelles de personnes, ses compromissions et surtout sa dépendance aux puissants laboratoires pharmaceutiques, qui ne raisonnent qu'en termes de dividendes à verser aux actionnaires, la recherche officielle est incapable de répondre aux attentes des malades, des médecins et des responsables de la santé publique. Aujourd'hui, la maladie progresse de façon presque exponentielle et il devient urgent de procéder au réexamen complet des théories sur l'origine du sida.

L'importance de la microscopie électronique dans le développement de la biologie cellulaire moderne, entre 1945 et 1965, est unanimement reconnue. Les relations qui unissent structures et fonctions cellulaires n'auraient, sans aucun doute, jamais pu être bien comprises sans l'utilisation du très grand pouvoir séparateur du microscope électronique (ME). Cependant, ce qui n'est peut-être pas aussi généralement apprécié c'est le rôle que la virologie a exercé dans l'étude des ultrastructures cellulaires. Historiquement, lorsqu'en 1931 Rüdenberg (1) introduisit une demande de brevet pour son invention du microscope électronique, son espoir principal était d'arriver à visualiser le virus de la poliomyélite ! Et durant la Seconde Guerre mondiale, lorsque les microscopes électroniques commençaient à devenir accessibles aux biologistes, priorité était donnée aux efforts faits pour découvrir des particule svirales associées aux cellules cancéreuses de certains animaux de laboratoire. C'est ainsi qu'Albert Claude, travaillant à l'Institut Rockefeller de New York, réussit à démontrer le virus du sarcome de Rous dans des fibroblastes de poulet (2). Et quelques années plus tard, Keith Porter et se sassociés ont eu un succès similaire en obtenant des images du "facteur lacté" dans des cellules d'adénocarcinomes mammaires de la souris (3). L'observation directe des particules virales dans ces tumeurs expérimentales donnèrent un élan extraordinaire (aujourd'hui, nous dirions peut-être excessif !) à la recherche des virus en cancérologie.

Les méthodes de la recherche sur lecancer sont-elles applicables à celles pour le sid a?

L'origine virale de certains cancers chez les souris et les poules avait été clairement démontrée par des expériences d'ultrafiltration qui permettaient d'évaluer approximativement le diamètre des particules virales. Les microscopistes électroniciens connaissaient donc à l'avance la dimension des particules qu'ils devaient tenter d'identifier, cette dimension étant fréquemment d'à peu près 100 nm. Ceci facilitait l'identification initiale de virus dits "oncogènes" par la microscopie électronique bien qu'il apparut clairement, par la suite, que d'innombrables microvésicules ou éléments particulaires de cellules normales présentent approximativement le même diamètre.

La découverte par Charlotte Friend, travaillant au Sloan Kettering Institute de New York, d'une érythroleucémi de souris transmissible par filtrats acellulaires illustre bien les méthodes de recherche utilisées vers les années 1955. De surcroît, comme il se fait que j'ai commencé à travailler dans le laboratoire du Dr Charlotte Friend à ce moment-là, les principes que nous appliquions à nos recherches me sont particulièrement familiers. Pour la microscopie électronique, nous donnions priorité à deux sortes d'échantillons. D'une part, différents tissus provenant de souris "suisses" leucémiques (rate, ganglions lymphatiques, thymus et moelle osseuse) et, d'autre part, des culots obtenus par l'ultracentrifugation de filtrats acellulaires de tissus leucémiques, filtrats dont nous savions qu'ils transmettaient efficacement la maladie par injection à des souris "suisses" adultes, ou à des souris de la souche DBA/2. Nous savions, par des expériences de filtration, que l'activité (c'est-à-dire le pouvoir de transmettre la leucémie) disparaissait quand nous utilisions des filtres dont lediamètre des pores était inférieur à 200nm. Les théories classiques de l'ultrafiltration nous permettaient donc de prédire que les particules infectieuses devaient avoir un diamètre proche de 100 nm. L'étude au microscope électronique, par la technique des coupes ultrafines, de tissus leucémiques révéla fréquemment des particules de ce diamètre, étroitement associées à diverses cellules. Les particules apparaissaient comme entourées d'une simple membrane et avaient en leur centre un noyau, ou nucléoïde dense aux électrons. Leur ultrastructure était caractéristique et leur diamètre remarquablement constant. A notre connaissance, de telles particules ne ressemblaient à aucun composant connu des cellules normales. Mais cependant, elles ressemblaient à des particules identifiées par d'autres auteurs dans plusieurs tumeurs "filtrables" expérimentales et classifiées par W. Bernhard de particules de "type C" (4). En plus, nous avons observé des particules identiques dans des culots préparés par l'ultracentrifugation de filtrats acellulaires capables de transmettre la maladie à des souris susceptibles. C'est sur labase de ces données-là que nous avons émis l'hypothèse selon laquelle ces particules représentaient, en effet, le virus "oncogène" étiologiquement lié à l'érythroleucémie de Friend (5). Nous étions toutefois surpris d'observer le virus en étroite association avec des cellules qui n'étaient apparemment pas impliquées dans le processus leucémique, telles que les mégacaryocytes de la moelle osseuse, par exemple. Ces études au microscope électronique avaient également montré, dès le début, que toutes les particules denses aux électrons et d'un diamètre voisin de 100 nm n'étaient pas des virus, et qu'une analyse ultrastructurale rigoureuse était essentielle pour distinguer d'une manière appropriée les virus e tles "virus-like particles".

Fort heureusement, nos études au microscope électronique ont rapidement permis d'ajouter une donnée importante pour l'identification des virus oncogènes à ARN. Il est en effet apparu que ces virus se formaient au niveau de la surface cellulaire, la membrane cellulaire des cellulesinfectées contribuant directement à la formation de lafuture enveloppe virale par une série d'étapesauxquelles nous avons donné le nom de phénomènede bourgeonnement ("budding") (6). Les virus sontlibérés dans les espaces intercellulaires par ceprocessus de bourgeonnement.

L'identification au microscope électronique des virus de c egroupe est, de ce fait, devenue plus rigoureuse, l'observation de particules en voie de bourgeonnement étant désormais requise. Ceci a probablement permis d'éliminer des milliers d'images de "virus-like particles" observées dans des cancers chez l'homme et avec lesquelles des microscopistes électroniciens par trop enthousiastes tentèrent de contaminer... la littérature médicale ! En plus, l'observation de particules en voie de bourgeonnement au niveau des surfaces cellulaires nous permettait d'identifier les cellules infectées, une à une, et de conclure que celles-ci sont parfaitement viables, en l'absence de tout signe de lyse des cellules infectées, l'infection par des virus de ce type n'ayant donc aucun effet cytolytique. Par surcroît, les virus s'identifiaient clairement dans des cellules en voie de division mitotique (7).

Puisque, de toute évidence, l'expérimentation chez l'être humain est inacceptable, l'éventuelle observation dans des cellules cancéreuses humaines de particules ressemblant à celles décrites dans les tumeurs expérimentales aurait pu être d'un grand intérêt, encore qu'insuffisante pour tirer la moindre conclusion. Dans les années 1960, de nombreux laboratoires du monde entier, utilisant les derniers raffinements des techniques de microscopie électronique, tentèrent de faire cette démonstration. A cette époque, c'est-à-dire bienavant l'émergence de la biologie moléculaire, la microscopie électronique était, sans aucun doute, la méthode de choix pour tenter d'identifier des virus dans des échantillons cellulaires. Le rôle crucial de la microscopie électronique en virologie fut d'ailleurs particulièrement souligné lors d'une conférenceà Cold Spring Harbor, en 1962, lorsque Lwoff, Horne et Tournier proposèrent de baser toute la classification des virus sur les caractères morphologiques démontrés par la microscopie électronique(icon_cool.gif.

Continuant nos recherches sur le virus de la leucémie de Friend, et encouragés par le Dr J. Beard, de la Duke University (Durham, Caroline du Nord), qui avait une expérience considérable des leucoses aviaires, nous orientâmes nos efforts vers la démonstration, par microscopie électronique, d'une virémie (présence de virus dans le sang circulant) chez les souris leucémiques. L'étape initiale la plus efficace pou rpurifier le virus des leucoses aviaires était de commencer en utilisant non pas les tissus mais bien le plasma sanguin des poulets leucémiques. Cette donnée était pour nous de la plus grande importance car, en effet, nous n'obtenions pas de résultats très satisfaisants, en termes de purification du virus de Friend, lorsque nous utilisions des homogénats de tissus leucémiques tels que la rate ou les ganglions lymphatiques. Nous avons donc mis au point une méthode de purification fort simple à partir du plasma sanguin des souris, et basée sur une double ultrafiltration sur membranes "Millipore". Un échantillon dilué de plasma, 10 mlprovenant de la saignée d'environ 25 souris leucémiques, était d'abord clarifié par aspiration au travers d'un filtre de porosité 0.65 µm ; le premier filtrat était alors soumis à une seconde filtration, cette fois en utilisant un filtre de 0.22 µm. Le second filtrat était alors centrifugé, pendant 120 minutes, à 30 000 g. Il en résultait un culot de centrifugation extrêmement petit, à peine visible, mais qu'il y avait moyen de préparer pour la microscopie électronique. Les coupes ultrafines de ces culots révélaient au microscope électronique la présence d'une remarquable population de virus typiques e tbien préservés, tassés les uns contre les autres, et avec très peu de contamination par des débris cellulaires (9). Telle était notre approche de la démonstration de la virémie en 1965...

Et, pendant ce temps-là, de nombreux laboratoires de microscopie électronique centrés sur la cancérologie (celui du Dr W. Bernhard, à Villejuif ,France, du Dr A.J. Dalton, au National Cancer Institute, Bethesda, Maryland, du Dr L. Dmochowski, au MD Anderson, Houston, Texas, et le nôtre, au Sloan Kettering Institute de New York),investissaient une part énorme de leur temps de recherche en s'efforçant de démontrer des particules virales associées au cancer chez l'homme. Des "virus-like particles" ont été occasionnellement observées, mais n'ont convaincu personne !

Et ceci contrastait d'une façon flagrante avec la facilité avec laquelle on pouvait démontrer, par microscopie électronique, les virus dans plusieurs leucémies et cancers chez les souris et les poules. Très peu de publications ont étéconsacrées à ces résultats négatifs sur les cancers et les leucémies chez l'homme. Et cependant, Haguenau, en 1959 (10), soulignait la difficulté qu'il y avait à identifier la moindre particule virale dans une grande série de cancers du sein. Bernhard et Leplus, en 1964 (11), dans un livre consacré à l'étude d'un grand nombre de cas de maladies de Hodgkin, de lymphosarcomes, de leucémies lymphoïdes et de maladies métastatiques ,ne sont pas parvenus à identifier de particules virales associées à ces diverses conditions pathologiques. Au Sloan Kettering Institute, à New York, j'aidécidé, en 1965, d'arrêter toute étude aumicroscope électronique des cas de leucémies et de lymphomes pour la présence de particules virales, après plusieurs années de recherches entièrement négatives. J'ai fait un rapport sur cette décision lors d'une conférence sur "Methodological Approaches to the Study of Leukemias" qui s'est tenue à Philadelphie, au WistarInstitute, en 1965 (12).

La publication de tous ces résultats négatifs n'estpas parvenue à décourager les fanatiques chasseurs devirus ! Une explication de ces résultats négatifsdevait donc être trouvée ailleurs ! La technique descoupes ultrafines en microscopie électronique n'étaitpeut-être pas la meilleure ? (bien qu'elle réussisse sibien chez les souris !). La préparation des coupes ultrafinesprenait beaucoup de temps et exigeait beaucoup d'adresse ! Qui avaitencore le temps pour cela quand les crédits de recherchedevenaient difficiles à obtenir et quand les géants del'industrie pharmaceutique commençaient à offrir descontrats alléchants pour des réponses rapides ?Pourquoi ne pas essayer la technique des colorations négatives? C'est très facile, et cela va très vite ! Et, après tout, cette technique avait donné des résultats remarquables dans l'étude de virus dépourvus d'enveloppe tels que les adénovirus et le polyome.

Les résultats furent absolument désastreux en ce quiconcerne les virus à ARN associés aux tumeurs (pasencore appelés rétrovirus...), car ces virus sontfragiles et sont tout à fait déformés par leséchage à l'air qui fait immanquablement partie de latechnique de coloration négative ; vus par cette technique,les virus apparaissent comme des particules munies d'une longue queue! Malheureusement, de nombreux débris cellulaires et denombreuses microvésicules, après séchageà l'air pour coloration négative, forment, eux aussi,des profils de particules munis d'une queue. La tentationd'interpréter toutes les "particules avec queue" comme desvirus oncogènes à ARN était grande etapparaissait comme une aubaine extraordinaire pour les chasseurs devirus ! Et pourtant, nous avions clairement démontré que les "virus avec une queue" étaient des artefacts dus à la technique de coloration négative, artefacts qui pouvaient être facilement évités par un contrôle approprié du pouvoir osmotique et par la fixation à l'acide osmique précédant la coloration négative (13), ou encore par la technique du séchage au point critique (14).

Découverte de la "transcriptaseinverse"

L'énorme confusion créée par les publicationssur les "tailed particles" a fait un tort considérableà la crédibilité accordée à lamicroscopie électronique en matière de recherche devirus associés aux cancers. On recherchait des "tailedparticles" dans le lait de vache et le lait humain, et Sol Spiegelmanparlait avec éloquence des risques de l'allaitementmaternel...

Une découverte importante, qui n'avait strictement rien à voir avec la microscopie électronique, a complètement réorienté les idées concernant le mode d'action possible des virus oncogènes à ARN. C'est la découverte par Beljanski (ndlr), Teminet Baltimore, en 1970, de l'enzyme "transcriptase inverse" (reverse transcriptase, RT). On commençait apparemment à deviner comment il était possible pour des virus oncogènes à ARN de modifier le génome des cellules infectées. Par surcroît, ces virus demeuraient de bonscandidats comme possibles facteurs "oncogènes" car ilsétaient bien reconnus comme non cytolytiques(c'est-à-dire qu'ils ne tuent pas les cellules qu'ils infectent). En conséquence, les virus oncogènes à ARN furent rebaptisés. On décida de les appeler "rétrovirus" (rétro, pour RT). Les crédits fédéraux accordés àl'étude de leur rôle éventuel dans la cause du cancer chez l'homme, immédiatement après le passage au Congrès des Etats-Unis du "War Against Cancer Act" de R.Nixon, ont atteint des niveaux tout à fait surprenants, bien supérieurs à ce que l'on pouvait attendre pour l'étude d'une hypothèse qui, quoiqu'intéressante, restait totalement indémontrée...

L'orientation des efforts de recherche changeaconsidérablement après la découverte de la transcriptase inverse (RT), c'est-à-dire après 1970. En fait, toutes les méthodes qui avaient dominé l'étude de l'oncologie virale depuis 1950 jusqu'en 1970 furent progressivement remplacées par une mode très exclusive des méthodes de la biologie moléculaire. J'ai observé cette évolution plutôt del'extérieur, car, à mon avis, la microscopie électronique n'était plus la méthode principale qui permettrait d'avancer dans l'étude des relations hypothétiques qui existeraient entre les rétrovirus et les cancers chez l'homme.

Invention des "marqueurs"

Il devenait acceptable d'affirmer que, lorsque des virus ne pouvaient pas être identifiés par la microscopie électronique, d'autres méthodes de nature biochimique ou immunologique, supposées capables d'identifier des"marqueurs" viraux, étaient suffisantes pour démontrer l'infection virale des cellules étudiées. Ces "marqueurs" pouvaient être un enzyme (RT), un antigène,diverses protéines, ou certaines séquences d'ARN. Le fait de n'avoir jamais vu au microscope de particules virales était expliqué d'une façon fort commode par l'intégration du génome viral dans les chromosomes descellules prétendument infectées. Accepter une telle interprétation impliquait l'ignorance complète de tout ce que nous avions appris durant l'étude des cancers expérimentaux des animaux de laboratoire. Il faut toutefoi sreconnaître que, dans ces modèles expérimentaux,la microscopie électronique ne permettait d'observer qu el'étape finale de la multiplication virale, les étapes initiales consistant en une série d'événements moléculaires qui échappent complètement auximages ultrastructurales. Et pourtant, dans tous les systèmes expérimentaux classiques tels que les leucoses aviaires ou murines, les phases terminales de la réplication virale (lebourgeonnement, "budding") étaient toujours observées et considérées comme essentielles à la propagation de l'infection virale d'une cellule à l'autre.

Un autre court-circuit aux conséquences désastreuses fut cette notion fort naïve selon laquelle tout matériau biologique sédimentant sur gradient de sucrose à ladensité 1.16 g/ml était de nature rétrovirale ! Sans aucun doute, les rétrovirus bien caractérisés sédimentent au voisinage de cette densité. Mais ceci n'implique pas que tout ce qui sédimente à cette densité soit de nature rétrovirale ! Dans les années 1960, des collègues biochimistes me demandaient souvent de regarder (au microscope électronique) certaines "bandes" sédimentant à la densité 1.16 : "Regarde bien ceci, ça forme une bande nette à 1.16, ce doit être du pur rétrovirus !" Les culots d'ultracentrifugation obtenus à partir de ces fameuses "bandes 1.16", étudiés en coupes fines par microscopie électronique, permettaient de reconnaître une grande variété de microvésicules et de débris cellulaires, mais pas un seul rétrovirus ! Et cependant cette méthode de sédimentation à la densité 1.16 est toujours utilisée pour identifier de prétendus "marqueurs" viraux ! Comme il est désolant de penser qu'un contrôle adéquat au microscope électronique de ces fameuses "1.16 bands" (ce qui prend environ deux jours et coûte quelques centaines de dollars seulement) aurait pu éviter ces interprétations dangereuses de prétendus "marqueurs rétroviraux" sur lesquels d'énormes budgets de recherche ont été lamentablement gaspillés...

L'isolement de virus à partir du surnageant de cultures cellulaires infectées soulève d'autres questions. Nous nous souvenons tous de la découverte, par Epstein (15) en 1964, du virus EB dans des cultures cellulaires obtenues à partir de cas africains de lymphome de Burkitt. Cette découverte était basée sur la microscopie électronique et ce virus fut immédiatement et correctement classifié comme un membre du groupe herpès. Pour identifier ce virus dans les cellules en culture, il était préférable d'observer des cellules en voie de dégénérescence, car, de toute évidence, ce virus avait un effet cytolytique marqué. Tout au contraire, les cellules infectées par les rétrovirus conservent une excellente viabilité, ce qui permet d'isoler ces virus à partir du surnageant des cultures, avec un minimum de contamination par des débris cellulaires et sans aucune nécessité de traiter les cellules par des lymphokines ou d'autres facteurs de croissance.

En ce qui concerne la politique de recherche scientifique, il était manifeste que la recherche sur de prétendus virus oncogènes était dominée par l'hypothèse rétrovirale. Les crédits d'origine fédérale prenaient presque tous cette même direction, d'autant plus que prévalait l'idée très naïve selon laquelle le succès de la recherche scientifique était avant tout... une question de gros sous !

L'ampleur des crédits accordés a permis la création d'un appareil de recherche rétrovirale considérable, avec de nombreux nouveaux emplois. Malheureusement, la liberté intellectuelle de penser dans d'autres directions de la recherche cancérologique allait s'amenuisant, d'autant plus que les géants de l'industrie pharmaceutique commençaient à offrir des contrats presque irrésistibles, polarisés exclusivement sur la recherche rétrovirale... La plus haute priorité était de démontrer, à n'importe quel prix, que les rétrovirus avaient quelque chose à voir avec l'origine du cancer chez l'homme, hypothèse qui n'avait cependant pas reçu le moindre support expérimental pendant toutes les années 1960 et 1970. Un effort de recherche aussi mal dirigé n'aurait peut-être eu que peu dec onséquence aussi longtemps que la santé publique n'était pas directement en cause. Fort malheureusement, l'apparition du sida, le syndrome d'immunodéficience acquise, en 1981, a rapidement transformé ce qui aurait pu n'être qu'un regrettable faux-pas académique en une véritable tragédie.

Ce qui est advenu après 1981 est tellement bien connu deslecteurs de Reappraising Aids que j'hésite àl'élaborer dans le détail. Les événementsqui ont conduit à la crise actuelle ont étérécapitulés et analysés de la façon laplus convaincante par Peter Duesberg (16). Je dois reconnaître avoir lu le livre de Duesberg (1996) avec la plus grande attention quoiqu'essentiellement sans surprise, tellement la rechercherétrovirale avait, dans les années 1970, dangereusementpréparé la scène pour "Impure Science" (17).

Gallo découvre le sida pour justifier les budgets fédéraux considérables

Peu après que les premiers cas de ce qu'on a commencé par appeler le "Gay related immune deficiency" (GRID) furent décrits par Michael Gotlieb, il était clair pour tous les observateurs que Gallo et ses associés allaient se consacrer à corps perdu au nouveau syndrome qui leur apparaissait comme une occasion inespérée pour tenter de justifier les budgets fédéraux considérables qu'ils avaient consacrés à l'étude des rétrovirus pendant les dix dernières années. Car il faut se rappeler que, en 1980, la communauté scientifique s'impatientait de plus en plus devant le manque complet de résultats de la "guerre contre le cancer" basée sur lachasse aux virus. L'épisode mineur de HTLV-1 ne suffisait pas, loin s'en fallait, pour apaiser les craintes d'avoir grossièrement gaspillé les fonds de recherche fédéraux. Et le fait que le nouveau syndrome, rapidement renommé "sida", n'avait que fort peu de chose à voir avec le cancer n'embarrassait pas Gallo plus que cela. La fréquente association du syndrome avec le sarcome de Kaposi permettait d'ailleurs de masquer la différence aux yeux du grand public.

Dominée par les médias, par des groupes de pressionet par les intérêts de plusieurs compagniespharmaceutiques, la recherche officielle sur le sida cherchaità contrôler la maladie, ayant perdu tout contact avec lalibre pensée scientifique et avec la recherche médicaletraditionnelle ("peer reviewed"). L'hypothèse VIH = sida, quin'avait toujours pas été démontrée,drainait 100 % des crédits de recherche, alors que toutes lesautres hypothèses étaient ignorées. On estparvenu à faire croire, tant au grand public qu'à la communauté médicale, que la présence d'anticorps dans le sang circulant permettait de faire le diagnostic d'une maladie évolutive, que les postulats de Koch étaient passés de mode, que 90 % des cas d'une maladie infectieuse peuvent s'observer chez des patients du sexe masculin, que la virémie peut se mesurer par la technique du PCR en amplifiant des fragments d'ARN même quand les particules virales ne sont pas démontrables au microscope électronique, etc.

Et pour conforter encore plus l'hypothèse officielle, on atrouvé préférable d'oublier qu'il étaitconnu, depuis des dizaines d'années, que leshéroïnomanes s'exposaient à de gravesimmunodéficiences, que l'inhalation de nitrite a de nombreux effets toxiques, que l'extrême toxicité de l'AZT était connue depuis vingt ans, que de tous les rétrovirus connus aucun n'a d'effet cytolytique, etc.,etc.

De plus, pour permettre au "business sida" de se développer avec profit, la recherche sur toute hypothèse dissidente (c'est-à-dire non-VIH) fut soigneusement sapée par un contrôle très serré des fonds de recherche ains ique par l'extrême difficulté qui est rapidement apparue de publier, n'importe où, la moindre opinion dissidente.. .Vers les années 1985, j'envisageai d'ajouter à mes programmes de recherche l'étude au microscope électronique de patients atteints du sida. Malheureusement,les médias avaient déjà, à ce moment-là, orchestré la panique d'une épidémie pire que la peste, et mes assistants m'ont rapidement fait comprendre que si j'insistais dans cette direction ils quitteraient tous le labo ! Le test de la "séropositivité" était encore considéré à ce moment-là comme diagnostiquement fiable. Depuis lors, nous avons compris, par les travaux de Papadopulos et du groupe de Perth en Australie, que ce test est très loin d'être spécifique (18) !

Depuis que j'ai pris ma retraite en France, je saisis toutes les occasions qui se présentent à moi de parler aussi librement que possible des questions soulevées dans cetarticle. Je suis fier d'être un membre du "Groupe pour laréévaluation de l'hypothèse VIH = sida" basé en Californie. J'espère très sincèrement que les diverses activités de ce groupe vont provoquer la mise en route de nouvelles recherches sur les causes du sida, pour le plus grand intérêt des malades, et pour la renaissance de l'intégrité scientifique en recherche médicale !

Dr Etienne de HARVEN

Le Dr de Harven est membre du Group for the Scientific Reappraisalof the HIV/AIDS Hypothesis, La Jolla, Californie, USA, et professeur émérite (Anatomie Pathologique) de l'universitéde Toronto, Ontario, Canada. <pitou.deharven@wanadoo.fr>

Références :

1. Rüdenberg R. (1932). Elektronenmikroskop (Electronmicroscope). Naturwissenschaften, 20, 522.

2. Claude A. (1947-1948). Studies on cells : morphology, chemicalconstitution, and distribution of biochemical functions. The HarveyLectures, Series XLIII, pp. 121-164.

3. Porter K.R. & Thompson H.P. (1948). A particulate bodyassociated with epithelial cells cultured from mammary carcinoma ofmice of a milk factor strain. J. Exp. Med., 88:15-85.

4. Bernhard W. (1960). The detection and study of tumor viruses withthe electron microscope. Cancer Res., 20:712-727.

5. de Harven E. & Friend C. (1958). Electron microscope study ofa cell-free induced leukemia of the mouse : a preliminary report. J.Biophys. Biochem. Cytol., 4:151-156.

6. de Harven E. & Friend C. (1960). Further electron microscopestudies of a mouse leukemia induced by cell-free filtrates. J.Biophys. Biochem. Cytol., 7:747-752.

7. de Harven E. (1962). Ultrastructural studies on three differenttypes of mouse leukemia; a review. In Tumors Induced by Viruses, pp.183-206, Academic Press, Inc. New York.

8. Lwoff A., Horne R. & Tournier P. (1962). Cold Spring Harbor,Symposium on Quantitative Biology, 27:51.

9. Friend C. & de Harven E. (1965). A new method for purifying amurine leukemia virus. Fed. Proc., 24, n° 2.

And : de Harven E. (1965). Viremia in Friend murine leukemia : theelectron microscope approach to the problem. Pathologie-Biologie, 13(3-4):125-134.

10. Haguenau F. (1959). Le cancer du sein chez la femme. Etudecomparative au microscope électronique et au microscopeoptique. Bull. Assoc. Franç. Etude du Cancer, 46:177-211.

11. Bernhard W. & Leplus R. (1964). In "Fine structure of thenormal and malignant human lymph node". Pergamon Press, ed.,Oxford.

12. de Harven E. (1965). Remarks on Viruses, Leukemia and ElectronMicroscopy. In : "Methodological Approaches to the study ofleukemias". Defendi, V. edit. ; The Wistar Institute Press,Philadelphia, publ., pp. 147-156.

13. de Harven E. & Friend C. (1964). Structure of virus particlespartially purified from the blood of leukemic mice. Virology,23:119-124.

14. de Harven E., Beju D., Evenson D.P. et al. (1973). Structure ofcritical point dried oncornaviruses. Virology, 55:535-540.

15. Epstein M.A., Achong B.G. & Barr Y.M. (1964). Virus particlesin cultured lymphoblasts from Burkitt's Lymphoma. Lancet,1:702-703.

16. Duesberg P. (1966). Inventing the AIDS Virus, Regnery Publishing,Inc., Washington DC.

17. Epstein S. (1996). Impure Science ; AIDS, Activism, and thePolitics of Knowledge. University of California Press, publ.,Berkeley CA.

18. Papadopulos-Eleopulos E. Turner V.F. & Papadimitriou J.M.(1993). Is a positive Western blot proof of HIV infection ?Bio/Technology, 11:696-702.

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© Votre santé - Juin2000

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Invité moimaime

LES VACCINS AGGRAVENT L'EVOLUTION DU SIDA

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Il y a plus de 30 ans, dans "Tendance de la médecine contemporaine", le Pr. Deloge prévenait :

" Si nous continuons à généraliser et à multiplier l'emploi des vaccins, on peut concevoir que d'ici quelques décennies, une pathologie nouvelle, celle des sociétés vaccinées, verra le jour ".

Il n'est pas exclu que cette pathologie nouvelle puisse très bien être le Sida, inconnu lorsqu'il rédigea son ouvrage. Le Quotidien du médecin du 9 mai 1996 fait état d'une étude américaine qui

".. montre qu'une stimulation antigénique, en l'occurrence un rappel de vaccin antitétanique, augmente transitoirement l'expression du VIH chez les personnes infectées et rend plus susceptibles au virus les personnes non-infectées. Il a été montré que la réplication du VIH est augmentée après l'administration prophylactique du vaccin grippal ou du vaccin contre l'hépatite B à des patients infectés par le virus VIH.. ".

Une équipe dirigée par le Dr Stanley et comprenant le Dr Anthony Fauci, a démontré que la vaccination semble également augmenter la susceptibilité à l'infection in vitro des lymphocytes périphériques des personnes non infectées.

"Après vaccination, la virémie plasmatique a été multipliée par un facteur de 2 à 36 (chez les 13 patients), puis est retombée à ses valeurs initiales en 6 semaines, et la charge provirale (le nombre de cellules infectées) s'est modérément élevée dans le sang (11/13 des patients) ou les ganglions (2/2). De plus, le virus était plus facilement isolé des lymphocytes après vaccination que avant."

Ces publications éclairent sur le rôle aggravant des vaccinations dans l'évolution du sida et leur rôle déclenchant dans l'infection à VIH chez les personnes saines. Elles confirment les études qui avaient déjà été menées à Vienne et qui démontraient que le vaccin antitétanique engendrait une situation de pré-Sida, comme le signale le New England Journal of Medicine n°3 de 1981 (vol.3 10). L'équipe de recherche autrichienne a pu constater qu'entre le 3e et le 14e jour après la vaccination, il se produisait une baisse significative des proportions de lymphocytes OKT 4 et OKT 8, autrement dit un affaiblissement conséquent des défenses immunitaires des sujets vaccinés. L'acte vaccinal avait mis l'organisme en état de moindre résistance.

Or avant 1981, personne n'a jamais entendu parler du sida. Mais rappelons que pendant des années on a introduit dans l'organisme le virus vivant de la vaccine, comprenant l'intégralité du capital génétique de ce virus et les populations africaines furent justement les plus vaccinées contre la variole sans que l'on n'ait jamais séquencé le génome du virus de la vaccine. Cette observation mena le Dr Louis de Brouwer à avancer une hypothèse en rapport avec cette politique :

" ...et si, par le principe vaccinal, en introduisant le capital génétique du virus vaccinia (virus vivant non atténué) dans un organisme, on permettait au virus VIH-2, présent chez les Africains, de reconstituer tout ou partie de son capital génétique devenu déficient et, par conséquent, de le faire redevenir virulent ou de créer un nouveau virus inconnu à ce jour, tel le virus du SIDA ? [..] On nomme cela une recombinaison génétique et des expérimentations ont été réalisées qui prouvent que c'est possible." (cf. Sida: Le vertige, 1997).

Afin de vérifier son hypothèse, le Dr Louis de Brouwer demanda à l'OMS de lui communiquer la liste de toutes les vaccinations effectuées en Afrique depuis 20 ans. Il put alors constater qu'on pouvait très exactement superposer la carte des vaccinations antivarioliques à celle des cas de sida.

"La relation entre le programme de vaccination de l'OMS dans son effort pour éradiquer la variole des pays du Tiers-monde et l'épidémie du Sida est une intéressante hypothèse. Je ne dis pas que cela se soit réellement passé, mais durant des années, j'ai toujours dit que l'usage de vaccins issus de virus vivants, comme l'on pratique en Afrique, peut activer un virus endormi comme celui du Sida." Pr. Robert Gallo (Times, 11/5/87).

"Maintenant, je suis convaincu que la théorie mettant en cause la vaccination antivariolique est bien l'explication de l'explosion du sida. [..] La théorie reliant sida et vaccination antivariolique explique le cas de chacun des 7 pays dAfrique centrale qui ont le taux le plus élevé de sida. [..] Les plus forts taux de sida coïncident avec les plus intenses campagnes de vaccination ». (un conseiller auprès de l'OMS, Times, 11/5/87)

voir Sida: faut-il rester positif ?

voir Mafia Pharmaceutique (Dr L. de Brouwer)

voir Vaccinations-Intoxications

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FABULEUX MARCHE

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Toutes ces dérives et l'omerta qui règne sur les accidents vaccinaux sont dus au poids indéniable du marché des vaccins dans l'économie mondiale. Evalué à 18 milliards de FF en 1995, dont 6 milliards pour l'Europe, il devrait atteindre la barre des 50 milliards en 2005. (cf. L'Expansion n°555 - 28/8/97).

Troisième source de revenus du groupe Smithkline Beecham; après les antibiotiques et les médicaments du système nerveux, les vaccins représentent 16% du chiffre d'affaires du groupe et devaient parvenir en 2001 aux 20%. Comme l'a annoncé "Panorama du médecin" du 20/10/94, une filiale Pasteur-Mérieux- MSD, dotée d'un capital de 400 millions de FF, a été créée afin de développer en Europe la totalité des vaccins des maisons mères et d'élargir leur champ d'action.

Pour les gouvernements, il est difficile, de s'opposer aux laboratoires qui sont plus riches que les Etats eux-mêmes, autant au sujet des vaccins qu'au sujet des médicaments. Ils se font ainsi les complices des lobbies pharmaceutiques omnipotents.

Actuellement, sévit une véritable chasse aux sorcières à l'encontre de ceux qui ont la témérité de critiquer le dogme vaccinal et l'opacité qui le recouvre. Ces scientifiques, pourtant de haut niveau, sont immédiatement et unanimemement accusés d'appartenir à une secte par le Ministère de la Santé, les experts, l'Administration, puis le conseil de l'Ordre. Il faut ainsi beaucoup de rigueur, de courage, de conviction et d'abnégation aux chercheurs qui osent dénoncer les graves dérives et les dangers du système...

voir lobby-labos

voir Sida: un chercheur qui derange

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inspiré de Sylvie Simon dans UNIVERS SPIRALE n,°26 Hiver 2001 p 39 à 45

.. Revue de l'Association pour l'Etude des Therapies Energetiques et Radiantes, SPIRALE apporte sa contribution à cette quête de soi, au travers de ses rubriques traitant des thérapies mettant en oeuvre les énergies vibratoires ainsi que les dernières découvertes scientifiques au service d'une vision globale de l'Homme. En vous abonnant, et en abonnant vos amis, vous participerez, vous aussi, à cette recherche permettant d'accéder à tous les registres de l'être. télécharger le bulletin d'abonnement (format A5 paysage)

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Invité pourquoi

Désolé donc de vous contredire, la clinique ne peut apporter de preuves, et seule la biologie et la chimie peuvent départager les deux sensibilités. Or, les voies de la recherche qui concerne l'iatrogénicité et la toxicologie ont été bouchées dès le départ, et il est malvenu de demander des fonds pour creuser cette idée.

Pour ma part je crois à la hiatrogénicité de cette affection, j'ai déjà signalé que la carte des premiers cas recoupe trop bien celle des vaccinations anti-polio des années cinquante.

Je l'ai déjà écrit je ne sais combien de fois sur ce topic, mais ce qui est affirmé là est faux, en médecine, la clinique, et l'épidémiologie démontrent pratiquement à elles seules que c'est une étiologie virale, je vais me l'écrire en lettres d'or sur le front, si ça continue.

A mon tour d'être désolé, cher ami, aucun test biologique au monde n'est fiable à cent pour cent. Tous les tests de dépistage des affections virales cherchent à mettre en évidence les anticorps et si possible les antigénes (le virus lui même), mais dans tous les cas il y a des faux positifs et des faux négatifs, il faut souvent refaire les tests, et un médecin est souvent en proie au doute même en ce qui concerne le diagnostic. Même quand il posséde des résultats biologiques.

Pourquoi croyez-vous qu'il y ait tant de publications et de statistiques, parce que tous ces éléments rentrent en ligne de compte pour établir un diagnostic et évaluer le suiv d'un patient.

Maintenant n'oubliez jamais que ce sont les politiques et non les médecins qui ont décidé de rendre les vaccinations obligatopires (par exemple). je vous rappelle que les médecins se contentent d'aider les personnes qui viennet leur demander de le faire à se soigner du mieux qu'ils peuvent selon les connaissances médicales du moment.

Si vous critiquez les décisions politiques, trouvez des politiques à qui vous adresser, je n'ai donné que mon avis de médecin.

Vous exigez des preuves irréfutables, et vous n'acceptez pas qu'on vous réponde que biologiquement on n'en a jamais pour aucune maladie virale, renseignez vous... c'est vrai. Les médecins aimeraient bien les avoir ces preuves indiscutables eux aussi...

Je vais contacter mon ami qui sera plus compétent que moi pour vous éclairer, je n'ai jamais parlé du SIDA ni du VIH avec lui, et donc je ne sais pas ce qu'il va vous dire, mais je sais, car je le connais bien, que ce sera du meilleur de notre médecine, et que ce sera entièrement honête. Comme il n'habite pas tout près de chez moi, et qui'l est très occupé ça risque de prendre quelques jours.

Pour Viduité, merci beaucoup de ton intervention, je ne suis pas un artiste confirmé, il y a plus de dix ans j'ai écrit quelques chansons, et j'aimerai bien un jour les faire connaitre à d'autre, mais tu vois, je me méfie tellement du système que tu veux me coller sur le dos, que je ne sais pas encore comment je vais faire.

Tu peux payer un garagiste, mais moi, je n'ai ni compte en banque ni carte de crédit, ni salaire depuis vingt ans maintenant, tu as surement raison pour les autres médecins... Mais pas pour moi.

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Je l'ai déjà écrit je ne sais combien de fois sur ce topic, mais ce qui est affirmé là est faux, en médecine, la clinique, et l'épidémiologie démontrent pratiquement à elles seules que c'est une étiologie virale, je vais me l'écrire en lettres d'or sur le front, si ça continue.

Donc vous ne vous posez pas la question. Vous l'évitez même. Et je remarque cependant que vous êtes assez critique vis-à-vis d'autres pans de la médecine moderne, en particulier les vaccinations.

Par ailleurs, une affirmation ne suffit en rien à démontrer quelque chose. C'est ce qu'on appelle l'argument d'autorité. Qui n'a de valeur qu'auprès des esprits faibles.

Lorsque je veux montrer la nature d'un mécanisme réactionnel, je fais faire à mes étudiants la manip qui permet d'y parvenir. On ne peut parler sans preuves.

Je poses des questions sur les aberrations de l'épidémiologie en Afrique. Vous répondez que l'épidémiologie démontre l'étiologie virale.

Je rappelle que le Pr Montagnier indique qu'il n'y a pas de symptomes propres au sida, vous dites que la clinique montre que c'est une étiologie virale.

Vous répondez donc systématiquement à côté de nos interrogations, sans doute pour ne pas vous laisser déstabiliser. Cette déstabilisation, je l'ai déjà rappelé, a été vécue par toutes les personnes qui posent des questions à ce sujet de par le monde. Et puis leurs yeux se sont peu à peu dessillés.

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Invité moimaime

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SIDA : FAUT-IL

RESTER POSITIF ?

- NON ASSISTANCE A PERSONNES EN DANGER -

(IM)MOBILISATION GENERALE

LE MODELE ANIMAL EST DEPASSE NOUVELLE APPROCHE, SUBVERSIVE ? MAUVAISES FREQUENTATIONS

MAIS PREMIERS RESULTATS BREVET ET BLACK-OUT LE PIEGE

DE LA MORALITE A LA CULPABILITE

« La Morale Publique est le complément naturel de toutes les Lois » Napoleon 1er

+un livre atypique sur le sujet

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(IM)MOBILISATION GENERALE

Le Sida, à renfort de milliards, est sensé mobiliser la recherche et toutes les forces vives du pays et du monde entier, pour trouver au plus vite et ce, dans l'abnégation et le dévouement le plus total evidemment, des thérapies curatives ou mieux encore, un vaccin - fleuron de la science - comme chacun sait, sorte d'arme absolue type bombe A, contre le mal (ou le patient cela dépend).

Dans ce contexte de péril, on ressort de bons vieux médicaments toxiques interdits trop tôt et dont la rentabilité n'avait donc pas eu le temps de s'établir : l'AZT par exemple, interdit en 1962 car toxique et inefficace, relancé sur ordre du gouvernement des Etats-unis pour donner lillusion que lon trouve .. comment retarder léchéance fatale.

"..Il existe des remèdes efficaces à la plupart des infections opportunistes aggravantes. Par contre les médicaments , AZT, ddI, proposés contre le virus lui-même, ont davantage fait la preuve de leurs effets secondaires que de leur efficacité.." (Dr L. Jaisson s'appuyant sur R. Horton "Uncertain future for HIV therapy" Lancet 1993, 341-1587,8 & "Dose of Reality for HIV vaccines" Lancet 1993-341-1406

En effet, même pour ceux ayant la « chance » de pouvoir « se soigner » par l'association d'antiviraux (des dizaines de millions d'autres n'en ont pas les moyens financiers), le risque que le virus trouve une parade un jour ou l'autre, est une épée de Damoclès.

Dans ce contexte d'union sacrée pourtant indispensable, on oublie quand même les voies alternatives etudiées hors dogmes et sérail, donc condamnables quels que soient leurs résultats: voir encore une fois Beljanski, mais aussi tant dautres « déviants ». En effet, « reconnaître » pourrait mettre en danger les monopoles et les avantages du crédit illimité. Un tel cataclysme économico-scientifique saperait tant dédifices que lon en arrive à se demander, lorsque lon parle de préserver coûte que coûte les personnes qui sont concernées par le Sida, sil sagit exclusivement de celles qui en sont malades..

Ainsi dans cette logique de mort, même le sérail s'auto-mutile en bannissant les déviants. Pour preuve la mésaventure arrivée à un directeur de recherche au CNRS ayant travaillé sur une approche thérapeutique du sida trop neuve et dérangeante..

voir vaccins à l'ESB

voir Beljanski: ennemi public?

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MODELE ANIMAL DEPASSE

Jusqu'ici, on combat le VIH à l'aide d'antiviraux, y compris en associations, mais ce virus dispose de la faculté de modifier (muter) continuellement ses caractères génétiques.Cette arme diabolique lui permet d'inventer en permanence des parades, aussi bien pour se soustraire à l'action des antiviraux que pour échapper à la destruction par les globules blancs, qui normalement protègent des virus (ils sont d'ailleurs la cible du VIH).

Le VIH est bien aidé dans sa tâche par le fait que le modèle animal qui est la base de toutes les recherches actuelles apparait obsolète et mène sur de fausses pistes :

« Recourir pour l'étude du SIDA à un quelconque "modèle" animal est un piège, un cul de sac garanti dans lequel tout le monde s'est fourvoyé jusqu'ici, l'une des raisons qui font que le SIDA est toujours parmi nous »,

dit Claude Reiss, et il ajoute:

« Par exemple, on s'acharne depuis 20 ans à vouloir mettre au point un vaccin contre le VIH sur le primate non-humain: c'est aberrant, car on sait depuis le début des années 80 que même le singe le plus proche de nous a un système immunitaire qui le protège spontanément contre le VIH, ce que notre système immunitaire ne sait pas faire! »

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NOUVELLE APPROCHE, SUBVERSIVE ?

L'une des originalités de l'approche est d'éviter l'émergence de virus résistants, contrairement aux antiviraux utilisés dans les multithérapies actuelles, qui aboutissent souvent à un « échappement thérapeutique » fatal.

Cette nouvelle approche consiste à combattre le virus en retournant contre lui sa propre stratégie dattaque, autrement dit en prenant le contrôle de sa capacité à muter. Si lon augmentait le nombre de mutations, le virus cesserait d'être infectieux, et si on le diminuait, le virus serait plus stable, ce qui permettrait au système immunitaire de le reconnaître et l'éliminer.

Pour prendre le contrôle des mutations du virus, Claude Reiss décide en premier lieu d'en étudier le mécanisme et confie le travail expérimental à une étudiante qui prépare un doctorat sous sa direction. Bien que l'activité de Claude Reiss et de son laboratoire aient toujours été évaluées avec éloges par l'instance compétente de l'établissement qui l'emploie, ses supérieurs hiérarchiques refusent, contre toute attente et ce sans explication aucune, de financer le travail expérimental de la doctorante.

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MAUVAISES FREQUENTATIONS

On ose à peine penser que lengagement de Claude Reiss contre le modèle animal, notamment dans le cadre du Comité Scientifique Pro-Anima, soit à lorigine de ce refus, même sil est vrai que tous ses supérieurs ont précisement construit leur carrière sur ce modèle et se verraient dans lobligation de reconnaitre en cas de succes le tonneau des Danaïdes des « modèles" primates du SIDA !

MAIS PREMIERS RÉSULTATS

Fidèle à son engagement de « promouvoir la sécurité sanitaire et de faire progresser la biomédecine humaine, en mettant à profit les progrès des Sciences pouvant concourir à cette fin », Pro-Anima a pu réunir quelques dizaines de milliers de francs pour financer les recherches de Claude Reiss.

Les travaux, menés rondement, ont rapidement abouti. Le mécanisme responsable des mutations a été compris et dans la foulée on a trouvé les moyens d'en prendre le contrôle, à l'aide de substances extraites de plantes ou de micro-organismes, pas chers et pas toxiques en principe. On pouvait donc songer à les utiliser pour une approche thérapeutique nouvelle du SIDA, présentant un certain nombre d'avantages importants par rapport aux thérapies actuelles.

Avec sa collègue qui a brillamment soutenu sa thèse fin 1998, Claude Reiss souhaitait amener linvention rapidement au stade clinique, auquel la thérapie est évaluée sur des malades. Letude préalable des réactions de cellules humaines en culture aux substances sélectionnées devait aboutir fin 1999.

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BREVET ET BLACK-OUT

Conformément à ses obligations de fonctionnaire, Claude Reiss signale à son administration cette approche comme potentiellement brevetable. Le CNRS, bien que nayant rien financé, dépose alors le brevet.

(référence PCT du brevet SIDA : FR00/011260 / par FIST, lAgence de brevets du CNRS, 135 Bd St Michel 75005, à l'attention de M Ferré au 01 40 51 00 90),

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Dans la logique des choses, et afin de mener à bien les indispensables études préliminaires aux essais cliniques, Claude Reiss demande donc au responsable de son département, puis au responsable de l'établissement public qui a pris le brevet, une subvention d'un montant de l'ordre de ce que cet établissement a déboursé pour ce faire. Cette demande mainte fois réitérée est toujours restée sans réponse :

« Le silence qui est systématiquement opposé à mes demandes de subvention, le voile épais qui entoure ce qui est fait -ou pas fait- du brevet et surtout de l'approche thérapeutique nouvelle proposée, suggèrent que le tout a été mis sous le boisseau. C'était peut-être le but de toute l'opération. L'étude ayant été menée à bien en dépit du refus de la financer, la prise de brevet permet à l'établissement d'en contrôler le devenir et d'en disposer à sa guise, en l'occurrence et pour autant que j'en suis informé, de l'enterrer. En plus, je suis entravé par ce brevet qui m'empêche de solliciter un soutien privé. Qui voudrait financer un travail dont il sait d'avance qu'il ne lui bénéficiera pas?»

Impossible de savoir si linvention a été vendue, si un partenaire industriel a été trouvé, si un autre laboratoire a été chargé de le développer, s'il est dans un tiroir, ou à la poubelle...

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LE PIEGE

La direction du CNRS est muette sur les raisons de son attitude.

1) Veut-on éviter de faire concurrence, avec des substances bon marché, aux antiviraux fort chers actuellement commercialisés par des multinationales de la pharmacie ?

2) Veut-on empêcher l'ouverture d'une voie thérapeutique potentiellement définitive du sida ? on ne va pas refaire avec le sida la même erreur qu'avec la tuberculose, une affaire juteuse mise en faillite par les antibiotiques ... !

Plus prosaïquement, veut-on éviter le ridicule, quand il faudra admettre que les centaines de millions engloutis depuis une décennie dans la recherche contre le sida, avec force modèles singes, souris transgéniques et autres illusions, n'ont abouti à rien ou presque, alors qu'avec un peu d'argent et de réflexion, on a peut être (peut etre, insistons bien! ) trouvé quelque chose de cohérent.

Un résultat est certain : le brevet paralyse ce chercheur, puisqu'à chaque demande de subvention auprès d'industriels, la réponse est invariablement :

«.. nous ne voyons aucune raison de financer des recherches pour faire aboutir un brevet pris par le CNRS et dont ce dernier va bénéficier, alors qu'il a les moyens humains et matériels requis pour l'amener au stade industriel.. ».

Le Ministere de la recherche qui exerce la tutelle sur le CNRS reconnaît que les pouvoirs publics, CNRS en tête, se désintéressent de cette exploitation et l'abandonnent à l'initiative privée, bien que des crédits publics, très importants, votés par le Parlement pour lutter contre le sida, soient à disposition.

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CONCLUSION : DE LA MORALITE A LA CULPABILITE

Certes il n'est pas prouvé que l'approche thérapeutique proposée par Claude Reiss et sa collègue serait plus efficace que l'association d'antiviraux, mais la mise qu'il faudrait pour le vérifier est infinitésimale au regard de ce que la France a déjà investi sur le SIDA, et de l'ordre du coût de la prise du brevet.

Mais plutôt que de parler de ce scandale, lon préfère financer la repression sordide des « deviants » et dans le cas Beljanski, de leurs « victimes » trop bien portantes, tout en se donnant mediatiquement une image positive dans le soutien à fonds perdus dassociations de tout genre, menant des operations de « moralisation » sur une population entiere si indifferente à la Cause.. Quelle cause ? Le Sida ? Le proces Beljanski permet d'en douter.

Pendant ce temps, continuant de tout fonder sur le modèle animal, alors que cest à partir du singe que lon avait jugé hativement inoffensif le VIH, virus responsable du SIDA chez l'homme, 37 millions d'hommes, de femmes et d'enfants sont atteints par la maladie, 3 millions vont en mourir cette année, dont des milliers de français...

On est en droit de penser, alors que l'on reconnait détenir un moyen pouvant peut-être les sauver, quil sagit là tout simplement de non-assistance à des millions de personnes en danger de mort.. : une responsabilté qui pourrait alors difficilement être dissociée de la culpabilité...

Mais tout n'est pas si noir puisque AZT et autres leurres se vendent bien..

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Ce texte est pour la plupart librement inspiré des Numeros 16,17,19 et 20 de SCIENCES-ENJEUX-SANTE

Revue trimestrielle d'information éditée par

LE COMITE SCIENTIFIQUE PRO ANIMA

Sous la présidence d'honneur du Pr THÉODORE MONOD, et avec le soutien de nombreuses personnalités de tous horizons,

le COMITÉ SCIENTIFIQUE PRO ANIMA (Claude Reiss CNRS- Jacqueline Bousquet CNRS, etc..

assure Ia promotion des méthodes bio-substitutives à l'animal pour la prévention des risques toxiques.

PLUS SUR PRO-ANIMA

(quelques membres: Pr T. Monod, Pr G. Adomian, B. Bardot, Dr F. Beltrami, J-L Binet, A. Bombard, Pr J-P Escande, Pr Proteau, M. Schumann, A. Waechter ..)..

Merci à Mme C. LAUPIE, secrétaire gale du Comité Pro-Anima pour sa bienveillante collaboration.. et bien entendu à Claude Reiss

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

on lira aussi avec profit les livres des Beljanski

UN LIVRE ATYPIQUE SUR LE SIDA :

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Sida, supercherie scientifique et arnaque humanitaire

.. JC Roussez 114,79FF / 17,50€

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Invité moimaime

VIH-SIDA

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L'effondrement d'un mythe

Le mensonge statistique

Les statistiques sur l'expansion mondiale de ce qui est communément appelé VIH et SIDA doivent s'analyser en tenant compte des limites de leurs concepts fondateurs.

La science statistique est censée constituer le fondement de toute science moderne et être une discipline habituellement et exclusivement intéressée par les quantités, les mesures et les chiffres, édictés comme autant de preuves indiscutables.

Malheureusement, il est aisé de falsifier ou de biaiser intentionnellement des résultats statistiques en négligeant simplement certaines règles spécifiques et complexes présidant à l'échantillonnage et à l'évaluation des données. Mais l'aspect le plus fascinant des statistiques réside dans les possibilités qu'elles offrent à un statisticien intelligent de manipuler à dessein les chiffres et de créer ainsi l'illusion de démontrer ou d'infirmer à peu près tout et son contraire. Les statistiques du SIDA constituent une superbe vitrine de ce travail de prestidigitation. Elles sont clairement conçues dans un souci d'arrangement, employant plusieurs trucs d'illusionniste pour gonfler les chiffres à un point qui suscite suffisamment la terreur ou la panique au sein d'une partie assez large de la population. Elles permettent ainsi au pouvoir d'introduire des mesures exceptionnelles de contrôle par des moyens forts comme des mandats médicaux, intervenant de façon contraignante sur la liberté de mouvement et de comportement. C'est un moyen assez comparable au couvre-feu qui permet de contrôler une situation d'agitation politique ou de guerre.

Nous n'aborderons pas içi les raisons probables d'un tel jeu au sein du pouvoir et examinerons seulement de quelle manière les chiffres du SIDA sont de facto manipulés intentionnellement dans le but d'affecter la réalité d'une distorsion importante et de fonder des projections alarmistes pour le futur.

Quels sont donc ces trucs d'illusionniste auxquels je fais allusion ? Le premier utilise la technique du cumul des données, inusité pour les autres maladies, qui n'a d'autre intérêt logique que de grossir la réalité des chiffres et de donner l'impression de leur progression. Ainsi, plutôt que d'établir le nombre de nouveau cas apparu telle année, on préfère vous nourrir du nombre cumulé de cas rapportés depuis le début du phénomène. Cela a plus d'impact, et avec un peu de chance, le chiffre pourrait même être pris pour une donnée annuelle. Une seconde technique, généreusement utilisée par de nombreux rapports sur le SIDA, est de changer la base de référence des chiffres, spécialement lorsque ceux-ci contredisent les attentes. Cela a été fait de différentes façons, la plus courante étant celle consistant en l'élargissement des symptômes donnant lieu au diagnostic de SIDA. Par exemple, de nouvelles maladies ont été intégrées à la définition du syndrome d'immunodéficience. Plus de 29 différentes maladies, toutes connues préalablement à l'apparition du SIDA, sont ainsi considérées comme manifestation du syndrome lorsqu'elles s'accompagnent d'un test séropositif (test en fait non spécifique, qui réagit à plus de 60 divers facteurs qui n'ont rien à voir avec le SIDA ou le VIH).

Il est alors aisé de comprendre que plus nombreuses sont les maladies répertoriées comme symptomatiques du SIDA, plus les statistiques comptabilisant le nombre de personnes infectées sont importantes. C'est un des moyens permettant de désigner le SIDA comme un fléau en progrès alors que les faits démontrent le contraire. En effet, après un pic en 1992, le nombre de nouveaux cas déclarés aux USA décroît régulièrement. Ce n'est pas l'impression laissée par les messages véhiculés par les médias et les autorités sanitaires.

Il est également important de prendre conscience du fait qu'en Afrique, aucun test n'est requis pour le diagnostic de SIDA. Toute maladie déclarée pendant plus d'un mois et manifestant certains symptômes est automatiquement répertoriée comme tel. Ces maladies ont toujours existé ; elles étaient courantes bien avant l'apparition du SIDA. C'est l'une des raisons de l'inflation des chiffres concernant l'Afrique.

Mais même en adoptant cet élargissement des critères de la maladie, les chiffres restent inférieurs aux évaluations données par les journaux. La raison en est que les estimations dont ces derniers font état sont créées de toutes pièces et généreusement épicées par des projections dans le futur infondées et imaginaires. Évidemment, il est préférable d'utiliser les estimations plutôt que les décomptes réels, car elles peuvent être gonflées à volonté. Par ailleurs, lorsque l'on désire dénombrer le nombre de personnes infectées par le VIH, l'estimation est le seul outil disponible car aucun chiffrage précis n'est possible. Seul un très faible pourcentage des cas est soumis à un test d'anticorps, abusivement désigné comme test VIH, laissant toute latitude à l'estimation des quantités. Si seul le nombre de cas avérés et correctement diagnostiqués était rapporté, le fait ne causerait certainement pas le même émoi, et encore moins de panique, dans l'opinion publique.

Un rapport américain récent affirmait qu'au moins le quart des personnes séropositives n'en avait même pas connaissance. Comment, dans ces conditions, un journaliste peut-il donner de chiffres ? Les statistiques du SIDA sont pleines d'absurdités de ce genre, mais personne ne semble s'en émouvoir, ni même le remarquer

Les statistiques de l'Afrique

L'une des rares sources de statistiques africaines du SIDA est constituée les résultats de tests anticorps (dit VIH) effectués sur les femmes enceintes dans quelques maternités publiques. Ces chiffres montrent une forte proportion de mères séropositives. Pourquoi ? Parce qu'il existe plus de soixante conditions médicales différentes pouvant occasionner la défection du test, dont la grossesse elle-même ! Elles incluent les vaccinations ou de récentes infections provoquées par les hépatites, la malaria, la tuberculose ou la grippe.

Considérant que ce test est pratiqué sur des femmes enceintes et que la gestation est l'une des causes connues d'erreur du test, que la plupart des femmes accédant à ces maternités souffrent de malnutrition, de pauvreté et ont probablement été exposées à plusieurs des autres conditions d'invalidité du résultat, il est aisé de prédire qu'une forte proportion d'entre elles sera dépistée séropositives. Cependant, cela ne signifie aucunement qu'elles le sont, et encore moins qu'elles développeront le SIDA.

Pourtant, ces résultats inévitablement imprécis et non significatifs sont pris en compte et appliqués au continent entier, aux hommes comme aux femmes, aux jeunes comme aux vieux, aux riches comme aux pauvres, sans distinction, les incluant à la démonstration de l'incidence du SIDA. Ces personnes n'en sont pourtant aucunement représentatives, et quiconque est en possession des rudiments de connaissance au sujet des tests et des statistiques ne peut qu'en être conscient. C'est bien pourtant ainsi que les statistiques sur le SIDA en Afrique sont élaborées puis publiées.

Incidemment, en dehors de l'invalidation des résultats du test par plus de soixante causes, il a été prouvé que ceux-ci varient d'un jour à l'autre pour une même personne, même réalisés par le même laboratoire, encore plus si les laboratoires sont différents, et toujours plus si ces derniers sont dans des pays différents. La raison en est qu'il n'existe pas de règle d'or en la matière, et que la décision de retenir tel ou tel taux sur l'échelle de séropositivité est laissée au libre-arbitre de chacun. On utilise ce type de test pour convaincre les gens qu'ils vont mourir du SIDA, afin qu'ils achètent des médicaments hors de prix qui les rendront désespérément malades, et les tueront même plutôt que les guérir.

Voilà le passif, et les bonnes raisons qui expliquent la réticence du Président d'Afrique du Sud Mbeki à offrir ces médicaments non seulement inefficaces mais mortels aux femmes enceintes, aux nouveau-nés et finalement à n'importe lequel de ses concitoyens.

Une étude a déterminé qu'un groupe de jeunes hommes ayant effectué le test avait connu une mortalité plus importante qu'un autre groupe de sujets non testés, et quiconque en prenait connaissance supposait automatiquement que ces séropositifs étaient bien morts du SIDA. Cependant l'étude ne montrait pas la cause réelle de ces morts dans le groupe testé séropositif. Dans la partie de l'étude qui s'en préoccupait, on établissait une corrélation entre les personnes testées positivement et le taux de mortalité légèrement supérieur, mais aucune corrélation n'est faite avec le SIDA. La plupart de ces morts n'étaient pas en fait causées par le SIDA. Ceci constitue un cas typique de miroir aux alouettes !

En outre, en Afrique, les rapports épidémiologiques sont basés sur un éventail de critères très différents selon la région ou l'agence de recensement. Le fait que les cas de SIDA semblent mieux soutenus financièrement que les maladies traditionnelles, pousse les auteurs de rapports à assimiler toute maladie comme SIDA lorsqu'il s'agit de simples cas de tuberculose, de malaria ou d'autres maladies endémiques du continent africain.

De façon intéressante, la tuberculose et la malaria, toutes deux très courantes en Afrique, ont été inscrites sur la liste entrant à part entière dans la définition du SIDA, mais chacune d'entre elles peut rendre déficient le test VIH. Malin, non ? Vous apercevez l'écran de fumée ? Selon les estimations officielles de l'UNAIDS pour 2000, 36,1 millions de personnes dans le monde vivent infectées par le VIH/SIDA. Parmi ceux-là, 25,3 millions vivraient en Afrique subsaharienne. Mon interrogation à ce sujet est : comment peuvent-ils le savoir ? Dans le tiers-monde, un cas de SIDA peut être diagnostiqué sans l'usage du test dit VIH, sans qu'il s'agisse d'une véritable infection par le VIH. C'est un fait avéré que très peu sont testés et ceux qui ont obtenu un résultat positif représentent une part infinitésimale des 36,1 millions que l'UNAIDS déclare vivre avec le SIDA. Alors comment trouvent-ils donc les autres ?

Généralement, aucune distinction n'est faite entre les séropositifs porteurs sains et les sidas déclarés. Comme s'il s'agissait de la même chose ! Un autre écran de fumée. Ailleurs, la même source estimait le nombre de nouvelles infections à 5,3 millions en 2000, alors qu'elle donnait pour le nombre cumulé de morts du SIDA le chiffre de 21,8 millions.

Sachant qu'extrêmement peu de tests sont réalisés en Afrique à cause de son coût élevé, on ne peut s'empêcher de se demander sur quelle base sont faites ces estimations. C'est encore plus vrai considérant que le nombre officiel de morts du SIDA ne correspond qu'à une petite partie des chiffres délivrés par l'UNAIDS depuis le début de l'épidémie, il y a 20 ans. Ceci en dépit de toutes les bonnes raisons avancées pour qualifier d'alarmante la progression de la maladie en Afrique.

Un des arguments avancé par les statisticiens inflationnistes pour expliquer ce décalage est que la plupart des décès dus au SIDA sont attribués à d'autres maladies, soit parce que les proches ne souhaitent pas admettre qu'un membre de la famille ait été victime d'une maladie aussi honteuse, soit parce qu'ils ne savent pas qu'il s'agit du SIDA ! Mais par contre, ceux qui réalisent des estimations le savent, même sans l'aide du test. On se demande bien comment. Sans-doute par clairvoyance ?

Anatomie d'une pandémie

Que faire de plus pour conjurer l'insidieuse impression que le SIDA représente une pandémie à progression accélérée menaçant de balayer l'ensemble de la population mondiale à moins de l'anticiper et de la juguler en poussant les gens à se jeter sur une chimiothérapie chère et mortelle abusivement qualifiée d'antivirale?

Un autre truc employé est de sélectionner une tranche d'âge connaissant le taux de mortalité le plus bas, disons les jeunes entre 20 et 30 ans, et de montrer que le SIDA (ou plutôt les antivirauxprescrits) s'y avère être la cause première de décès. Prenez soin alors de ne pas révéler le taux réel, car s'il est trop faible, il émousserait l'effet recherché. Ainsi, dans la mesure où peu de membres de cette génération meurent de causes naturelles, il est aisé de voir dans le SIDA la principale cause de mortalité, ou au moins une cause majeure au côté des suicides et des accidents.

Publier ce type de résultats avec suffisamment de publicité entraîne facilement l'opinion publique à conclure que le SIDA est une cause majeure de décès, ou du moins qu'une très forte proportion de membres de cette tranche d'âge est victime du SIDA... alors que le taux réel, même parmi ces jeunes, pourrait ne pas excéder 1 %. Vous le voyez ? et hop ! Disparu. C'est un moyen utilisé par les illusionnistes pour une prestidigitation statistique qui leur évite de réellement mentir.

Au final, jouons la carte du nombre réel des orphelins du SIDA comparé aux estimations. Celles-ci omettent de préciser la définition d'un orphelin : enfant dont l'un ou les deux parents sont décédés. Il n'existe pas non plus de documentation fiable permettant de dénombrer le nombre de parents manquants effectivement morts du SIDA ou même simplement morts par quelque cause que ce soit. La cause d'absence des parents de loin la plus répandue en Afrique en est les conflits armés qui ravagent le continent depuis plusieurs décennies.

Un exemple récent provenant d'Inde illustre bien ce qui se passe. Les statistiques officielles présentées aux Nations Unies affirment l'existence de 560 000 orphelins du SIDA dans le pays, pour seulement 17 000 morts ! Lors d'une conférence de presse, un journaliste demanda à David Miller, représentant de l'UNAIDS en Inde, d'où il sortait ces données concernant les orphelins. Il n'avait aucune réponse. Le ministre indien de la santé en référa à la personne chargée de gérer la collecte des chiffres du SIDA pour le gouvernement. Cette dernière lui rétorqua qu'il n'existait aucune estimation du nombre d'orphelins du SIDA en Inde. Quand le Docteur Miller fut interrogé à ce sujet, il répondit : Je ne peux révéler la source de l'information. Je dois en discuter avec mes collègues de Genève.

Un autre fait n'a cessé de me fasciner : comment une institution publique, supposée professionnelle et responsable, comme celle de l'Organisation Mondiale de la Santé, peut-elle connaître l'incidence du virus VIH (souvent assimilée au SIDA) sur les adolescentes africaines, affirmant que leur taux de contamination augmente de 26 % d'une année sur l'autre ? Quelle est la source d'information lui permettant une telle assertion ? Quelques jeunes filles testées dans une école l'an dernier, et quelques autres cette année, peut-être juste après a voir été vaccinées, ou après le pic annuel de grippe ? Ou bien l'étude était-elle limitée aux adolescentes enceintes ? Combien d'entre elles ce test a-t-il concerné ? Comment y a-t-on procédé ? Pourrions-nous voir le détail de l'étude, s'il vous plaît ?

La plupart des personnes ne réalisent pas que souvent, lorsqu'un pourcentage est donné pour un pays ou un groupe social, seul un petit nombre d'entre ses membres ont été effectivement examinées. Le résultat obtenu dans ce petit échantillon est alors étendu à l'ensemble du groupe visé, malgré le risque important de sa non-représentativité. Un statisticien aguerri qui souhaite falsifier la réalité choisira en conséquence l'échantillon occasionnant le résultat escompté, sans avoir besoin de truquer les chiffres eux-mêmes. Pour compléter ce tour des illusions statistiques, je vais vous livrer un aperçu essentiel de ce que cache derrière la soi-disant fiabilité statistique du test VIH. On affirme un test VIH être fiable à 98 %. Acceptons l'assertion par amour de la rhétorique. Dans notre culture obsédée par les chiffres, les quantités et les pourcentages, cela devrait rassurer la plupart des personnes. Mais que peut donc signifie cette vérité statistique dans la vie d'un individu ?

Dans un échantillon représentatif de la population américaine, l'estimation de la fréquence de l'infection VIH est de 0,04 %, soit 4 cas pour 10 000 personnes. Si l'on teste donc 100 000 américains, on peut s'attendre à trouver parmi eux 40 cas réels de personnes infectées par le VIH. Cela signifie aussi que le reste, soit 99 960 personnes, serait diagnostiqué séronégatives. Cependant comme le test est fiable à 98 %, il se peut qu'il se trompe pour 2 % de ces 99 960 personnes en les identifiant comme séropositives, soit 1,999 d'entre elles ! Ainsi, pour cet exemple, parmi les 2 039 qui seraient révélées séropositives, seules 40 le seraient réellement. Cela signifie que 98 % de ceux qui ont été testés séropositifs ne le sont pas du tout. En d'autres mots, ce test déclaré fiable à 98 % et ainsi agréé pour être commercialisé est en fait imprécis à 98 %, du point de vue des personnes qu'il aura révélé séropositives.

Imaginez les sorts des 1 999 cas sains, informés faussement de leur contamination par le VIH et qui, à force d'intimidations, ou bien séduits par l'establishment médical, prennent de l'AZT ou d'autres médicaments toxiques pour retarder la manifestation de la maladie. Mis à part le coût exorbitant du traitement (et donc l'énorme bénéfice pour le secteur médical) combien, d'après vous, survivront à l'épreuve ? Peu, je vous l'assure.

Tel est le scénario diabolique mis en scène par les autorités américaines. L'ensemble de la population a peur de faire le test et ceux qui sont déclarés séropositifs sont poussés à acheter des médicaments nuisibles assurés de les mener à la mort. (Si vous croyez toujours, à l'instar de la propagande médiatique, que l'AZT est un remède servant la vie, aller donc chercher quelques informations facilement vérifiables sur le site web : www.rethinkingaids.com et faites une recherche sur Anthony Brink et le corollaire du procès en instance.)

Nous avons accepté plus haut l'idée de la fiabilité du test à 98 % ; Il semble que personne ne se soit demandé comment ce fait avait été établi, dans la mesure où il n'existe aucun contrôle sérieux. Comme pour le reste du dogme actuel du SIDA, et la plus grande part de la science VIH, il s'agit simplement d'une pure déclaration de foi.

En fait, sur la base de ce que révèle cet article, nous savons que la marge d'erreur peut être beaucoup plus importante. Mais nous savons également qu'être déclaré séropositif par un test anticorps non spécifique pour un VIH hypothétique est sans fondement, car en lui-même, il n'a pas de valeur prédictive d'un développement futur du SIDA.

S'agit-il ainsi d'un écran de fumée destiné à piéger les personnes à risque confiantes dans un bourbier de tests et de traitements hautement rentables qui, comme il est admis ouvertement, ne mènent nulle part sinon à l'anéantissement et à la mort ?

Un programme secret

Une interprétation encore plus sinistre suggère que l'état de panique et de terreur intentionnellement provoquée par le matraquage médiatique fut conçu pour préparer le terrain en vue d'instituer un état d'urgence général justifiant d'importantes restrictions des droits et des libertés civiques, voire même des interventions militaires.

En effet, sinistre fut la tonalité apportée par la présidence de Clinton en 2000 lorsque le SIDA fut déclaré question de sécurité nationale non seulement en Amérique, mais partout dans le monde, et spécialement en Afrique. Est-il possible de déceler un programme politique secret derrière ceci, voire un complot du pouvoir pour le contrôle de la planète ? Si c'est vraiment le cas, qui en est la tête pensante ? La Maison Blanche, quelle que soit la tendance politique au pouvoir ? Ou le Président en place ? Ou la CIA ? ou le Pentagone ? Ou l'industrie pharmaceutique ou pétrochimique ? Et peut-être même l'ensemble de ces pôles de pouvoir, en concertation ? Et l'objectif en est-il seulement de générer des profits astronomiques et de renforcer le pouvoir financier ou bien s'agit du contrôle effectif de la planète entière ?

Il se pourrait qu'il ne s'agisse pas du début froidement planifié d'un scénario politique cohérent, mais peut-être devrions-nous rappeler comment tout ceci a commencé. C'est l'administration Reagan qui, au cours d'une année de campagne présidentielle, déclara, sans aucun bilan d'expert, débat ou consensus scientifique, qu'un nouveau rétrovirus était la cause probable du SIDA et qui promit un vaccin dans les deux ans. C'était en 1984, titre du célèbre roman visionnaire d'Orwell au sujet du futur gouvernement Big Brother qui fut publié cinquante années auparavant.

Depuis cette déclaration d'avril 1984, le gouvernement fédéral américain prit un contrôle total et dictatorial sur l'épidémie. Les autorités médicales décidèrent quelle recherche financer, quel traitement approuver, quel matériel publier dans les revues professionnelles et quelle information donner au public par les médias. Le reste de la sphère institutionnelle, à l'exception de quelques-uns, se mit à danser penaudement sur cet air-là, entrant dans une transe de mort dédiée au SIDA de l'Oncle Sam.

Et puisque la seule menace du SIDA ne produisait pas aux USA l'effet escompté sur le long terme, elle devait être suppléée par la menace terroriste et la peur de l'anthrax. Maintenant cet effet est bien atteint. Rapidement, la population effrayée s'est laissé complaisamment dépouiller de ses droits civiques élémentaires, et des pouvoirs dictatoriaux incontrôlés ont été conférés à diverses agences politiques, le tout au nom de la sécurité et dans le but de protéger les gens. Ces mesures, ainsi que l'intervention militaire en Afghanistan, avaient été mises au point bien avant les attaques du 11 septembre.

Dans ce cadre, vous devriez comprendre plus facilement que la présence du nouveau rétrovirus, le mal nommé VIH, chez les personnes testées séropositives, soit déduite de l'utilisation de marqueurs non spécifiques. Quelques chercheurs extrêmement crédibles affirment que ceux-ci ne constituent aucunement une preuve d'infection par le VIH et que ce dernier pourrait même ne pas exister du tout ! À ce jour, le VIH n'a d'ailleurs jamais été isolé chez un patient ; Que vous le croyiez ou non, ce sont les faits, et chacun peut le vérifier.

Avez-vous d'ailleurs remarqué que les personnes officiellement désignées à risque étaient en premier lieu de race blanche socialement indésirables : les homosexuels, les toxicomanes par intraveineuse, les prostituées et les hémophiles, puis la classe pauvre des noirs américains et enfin les habitants de l'Afrique noire sub-saharienne ?

Et avez-vous remarqué que le premier et pendant longtemps le seul médicament autorisé pour traiter les malades du SIDA aux USA était l'AZT, vieux de 20 ans et mis au point pour lutter contre le cancer. Il n'avait jusque là pas reçu l'agrément de la Food and Drug Administration pour cause de trop grande toxicité pour la consommation humaine ! Mais pour les groupes sociaux à risque du SIDA, l'AZT fut adopté par une procédure expresse qui s'est révélé depuis être une fraude pure et simple.

Pour un nombre sans cesse croissant d'observateurs professionnels avertis, il est de plus en plus évident que le SIDA n'est causé par aucun virus, qu'il n'est pas transmissible par voie sexuelle, et qu'il n'est même pas contagieux du tout. Au lieu de cela, il s'agit plutôt d'un syndrome multifactoriel, dont les causes les plus importantes sont l'absorption de produits chimiques toxiques ou de médicaments. Parmi eux figurent les pesticides, insecticides, les lubrifiants à base de benzène employés par certains homosexuels, les drogues récréatives, les parasites multiples, les infections virales et bactériologiques, la malnutrition et une cause, non des moindres, la prescription de médicaments de toutes sortes et plus particulièrement les chimiothérapies très toxiques habituellement préconisées pour les cas de SIDA et d'infections par le VIH. Il n'est aucune carence de traitement non-toxique pour le SIDA qu'il est parfaitement possible de le soigner. Il suffit d'en reconnaître les causes réelles et d'arrêter d'empoisonner les gens. Comment faire face à cette situation ? En devenant plus vigilants et en remettant en question toute information émanant des médias et des agences gouvernementales, et de façon plus aiguë encore lorsqu'elle provient de secteurs liés au SIDA par des intérêts financiers ou de pouvoir. En refusant de se laisser manipuler, abuser et sacrifier sur l'autel d'une science corrompue, des jeux du pouvoir politique, de l'impitoyable monde des profits pharmaceutiques et surtout en utilisant notre bon sens et notre capacité à penser par nous-mêmes.

A propos de l'auteur :

Professeur Jens Jerndal, MD (MA), DSc hc, MSc, BA, FWAIM, suédois de naissance, a fait ses études en Suède et en Angleterre. Il réside maintenant en Espagne. Il se distingua professionnellement comme diplomate, linguiste, auteur, conférencier, gestionnaire et praticien en médecine holistique. Il a reçu plusieurs prix et récompenses, dont le Prix Albert Schweitzer de Médecine en 1990. Le Professeur Jerndal donne des conférences, des séminaires et des cours dans le monde entier sur la meilleure façon de s'adapter et de bénéficier du modèle émergeant de l'approche holistique. Il est un fervent défenseur de l'environnement et un activiste de la spiritualité.

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Invité moimaime

Le yin et yang du vih (partie 1)

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Une théorie est une bonne théorie si elle satisfait à deux exigences: elle doit décrire avec précision une vaste classe d'observations sur la base d'un modèle qui ne contient que peu d'éléments arbitraires, et elle doit faire des prédictions bien déterminées sur les résultats de futures observations. Dr Stephen Hawking

L'idée que le VIH/sida est infectieux et transmis sexuellement est fondée sur la relation entre, d'une part, des anticorps désignés comme spécifiquement induits par un rétrovirus, le VIH, et, d'autre part, des maladies particulières rencontrées dans certains groupes à risque. Cependant, la théorie du VIH est contestée depuis plus de dix ans par maintes publications scientifiques, principalement celles de Peter Duesberg (Etats-Unis), d'Eleni Papadopulos- Eleopulos et de ses confrères (Perth, Australie- Occidentale).

L'échec du VIH/sida à s'étendre au-delà des groupes à risque initiaux - et particulièrement aux hétérosexuels occidentaux, spécialement aux prostituées non consommatrices de drogues - signale que la théorie VIH du sida nécessite une révision urgente. Cela comporte de sérieuses implications à la fois dans la manière dont la science a été conduite et dans la politique de santé publique. La théorie VIH a coûté des milliards de dollars et mobilisé une somme d'énergie énorme dans des recherches menées dans le monde par des milliers de savants. Jusqu'ici, elle n'a pas encore sauvé une seule vie.

Il est urgent de désigner un comité international de personnalités véritablement indépendantes pour réviser les théories actuelles et celles qui les contestent. Il existe un besoin de réévaluation coopératif, mais urgent, du sida.

Un Prix Nobel met les pieds dans le plat

En 1988, le Dr Kary Mullis, prix Nobel de chimie 1993, était employé par les US National Institutes for Health (NIH) pour mettre au point un test VIH. Lorsqu'il établit son rapport, il demanda à un collègue virologue des références établissant que le VIH est la cause probable du sida. On lui répondit qu'il n'en avait pas besoin. Mullis fut surpris1.

Je n'étais pas d'accord. Il était tout à fait surprenant, pour moi, que l'individu qui avait découvert la cause d'une maladie mortelle et jusque-là incurable ne fût pas continuellement référencé dans les articles scientifiques jusqu'à ce que la maladie fût guérie et oubliée. Il devait y avoir un article publié, peut-être plusieurs, indiquant que le VIH était la cause probable du sida. Autrement, comme Mullis était forcé de conclure: Toute la campagne contre une maladie de plus en plus considérée comme la peste du XXe siècle était fondée sur une hypothèse dont personne ne pouvait se rappeler les origines. Cela défiait à la fois l'esprit scientifique et le sens commun.

Dix ans plus tard, Mullis devait écrire : J'ai finalement compris pourquoi j'avais tant de peine à trouver les références établissant le lien entre VIH et sida. Il n'y en avait pas2.

En fait, un observateur profane intéressé, armé de quelques contacts et d'une bonne bibliothèque, n'a pas à chercher bien loin pour réaliser que la théorie VIH du sida pause beaucoup plus de questions qu'elle n'en résout 1-63*.

Les débuts du sida

Les quelques années conduisant à l'ère du sida et à la découverte du VIH sont édifiantes. Ce fut une époque où une minorité de jeunes hommes homosexuels libérés, dans quelques grandes villes américaines, développait de plus en plus des maladies jusque-là peu communes comme des formes malignes et fatales du sarcome de Kaposi et une pneumonie fongique connue sous le nom de PCP.

A cette époque-là, alors qu'il était raisonnable d'impliquer un microbe infectieux transmis par des pratiques sexuelles effrénées et hasardeuses, entremêlées de partages d'aiguilles et de prises de drogues, on savait aussi (dès 1981) que la perte de l'immunité avait des causes multiples. Certains considéraient les maladies observées comme résultant des assauts répétés, contre les fonctions corporelles, des maladies nombreuses et variées, des toxines et des traitements qui accompagnaient le style de vie homosexuel et toxicomaniaque à la fin des années 70.

Le journaliste anglais Neville Hodgkinson documentant l'éventail d'infections d'un seul homosexuel, le défunt Michael Callen, dans son livre AIDS -The failure of contemporary science: How a virus that never was deceived the world 29 (Sida, l'échec de la science contemporaine :

comment un virus qui n'a jamais existé a trompé le monde) -montre bien l'extension de ces assauts répétés. Hodgkinson écrit : De 1973, quand il se révéla homosexuel, à 1975, il ne contracta qu'une mononucléose et une urétrite non spécifique (UNS). En 1975, il eut son premier accès de blennorragie... Mais ensuite, tout se précipita. Vint d'abord l'hépatite A, en 1976 (dit Callen). Puis une aggravation de l'UNS et de la blennorragie. En 1977, des amibes (parasites intestinaux) et une hépatite B... L'UNS et la blennorragie. En 1978, davantage d'amibes, ma première invasion de shigella, et davantage de maladies vénériennes. Puis, en 1979, hépatite pour la troisième fois, non-A, non-B... amibes, lambliase... une fissure (et) ma première atteinte de syphilis. Et naturellement, davantage de blennorragie (pénienne, anale et orale). En 1980 : la blennorragie habituelle, deux invasions de shigella et davantage d'amibes... Il fallait encore ajouter à cette liste herpès simplex types I et II, des condylomes acuminés, salmonella, chlamydia, le cytomégalovirus (CMV), le virus d'Epstein-Barr (VEB), la mononucléose et finalement la cryptosporidiose (une maladie du bétail !). En fait, une étude précoce des US Centers for Disease Control (CDC) confirma que les 100 premiers hommes atteints du sida avaient eu dans leur vie une moyenne de 1 120 partenaires sexuels30. Comme Callen le dit lui- même : A partir de 1981, j'attrapai une combinaison de maladies vénériennes chaque fois que j'avais une relation sexuelle.

Eu égard à la croyance largement répandue en une relation causale entre l'immunité et le maintien de la santé, il n'est pas étonnant que la nouvelle maladie, en 1981, se fît connaître sous le nom de déficience immunitaire liée à l'homosexualité (DILH). En fait, aucune de ces maladies n'était nouvelle. Certaines étaient connues pour survenir chez les toxicomanes et les hémophiles longtemps avant l'ère du sida64,65. Ce qui était nouveau, c'était leur fréquence exponentielle chez les hommes homosexuels.

Technologie et virologie

Il se trouve que, au début de l'ère du sida, on développa une technique pour classer et compter les différents types de globules blancs. On nota que certains sidéens enregistraient une diminution de la sous-catégorie des lymphocytes T4 et, en dépit d'une absence de preuve, on supposa que ces cellules mouraient par le fait d'un agent qui les ciblait sélectivement. Cela devint le poinçon de contrôle du sida, constituant une mesure de l'importance de l'immunodéficience. A son tour, cette immunodéficience (le ida de sida) provoquait les maladies (le s de sida) qui constituent le syndrome clinique. La perception que les cellules T4 mouraient et que le sida était infectieux conduisit à la théorie que le sida était causé par un organisme microbien.

Cinq ans avant l'ère du sida, quelques laboratoires dans le monde arrivaient à la fin d'une recherche infructueuse visant à prouver que les cancers humains avaient une cause virale. Au cours des années 70, le Dr Robert Gallo, personnage central de la codécouverte du virus du sida, et ses collègues affirmèrent avoir découvert trois rétrovirus humains. (Le nom de rétrovirus est apparu à cause du copiage à rebours de l'ARN qui constitue les gènes viraux (le génome) en ADN -une direction contraire à celle longtemps considérée comme universelle et qui va dans le sens ADN ARN.)

En 1975, le premier rétrovirus humain, le HL23V, fut proposé comme cause de la leucémie humaine ; mais, en 1980, il fut considéré comme une erreur embarrassante -on laccusa de n avoir jamais existé. Sur les deux qui restaient, l'un fut supposé être la cause d'une forme spécifique, bien que rare, de leucémie adulte, et le second reste orphelin de toute maladie. Ce qui est significatif, c'est que ces deux derniers rétrovirus sont dits manifester une prédilection pour les lymphocytes T4.

Cela conduisit Donald Francis, Gallo et d'autres à proposer qu'un rétrovirus existant ou proche parent fût l'agent responsable de la destruction des cellules T4 chez les sidéens. Quand les chercheurs découvrirent les mêmes maladies chez des individus qui n'étaient pas homosexuels, les rétrovirus et les rétrovirologues connurent un regain d'intérêt, et la DILH devint le sida.

Premières proclamations

En mai 1983, le Pr Luc Montagnier et ses collègues de l'Institut Pasteur de Paris publièrent dans Science un article intitulé Isolement d'un rétrovirus T- lymphotrophique chez un patient à risque face au syndrome immuno-déficitaire acquis (sida)66. Il est important de noter que le premier mot de cet article, isolement, signale que les chercheurs affirment la preuve de l'existence d'un nouveau virus.

Dans l'intérêt de la science, et en plusieurs occasions, Montagnier envoya des échantillons de cultures de tissus au laboratoire de Gallo, en Amérique, avec l'assentiment exprès que ceux- ci pourraient être utilisés pour des études biomédicales, biologiques et de biologie moléculaire67. Cependant, Montagnier n'a pas affirmé avoir prouvé que son virus était la cause du sida, et la découverte française resta dans un tiroir jusqu'à mai 1984, quand Gallo, Popovic et leurs collègues publièrent quatre articles, également dans Science68-71.

Le 23 avril 1984, lors d'une conférence de presse tenue à Washington deux semaines avant la publication des articles, Margaret Heckler, secrétaire d'Etat à la Santé (HHS), annonça que Gallo et ses collaborateurs avaient découvert la cause probable du sida et mis au point un test sanguin sensible pour détecter la présence du virus dans le corps. Un vaccin curatif était prédit dans les deux ans. De façon inexplicable, le rapport de causalité était proclamé uniquement par association et en dépit de l'isolement du VIH chez seulement 26 des 72 sidéens de Gallo (soit 36%). La fréquence de l'isolement n'est pas meilleure aujourd'hui72.

En 1985, l'Institut Pasteur prétendit que Gallo avait accaparé ses virus. Le conflit qui s'ensuivit, et qui se termina devant les tribunaux américains, fut enfin réglé par un accord négocié, signé en 1987 par Gallo et Montagnier, en tant que codécouvreurs, ainsi que par le président Reagan et le Premier ministre Chirac. Néanmoins, l'affaire attira l'attention de John Crewdson, un journaliste enquêteur, et du sénateur américain John Dingell. En novembre 1989, Crewdson publia un long article dans la Tribune de Chicago, qui provoqua une enquête interne des NIH sur les données suspectes provenant du laboratoire de Gallo.

Un projet de rapport sur l'enquête formelle émanant des NIH (bureau de l'Intégrité scientifique, OSI) fut publié en septembre 1991, dans lequel l'auteur principal du premier article de Science, Mikulas Popovic, était accusé de mauvaise conduite, compte rendu erroné et inexactitudes, suggérant que Gallo, en tant que chef de laboratoire, avait créé et favorisé des conditions qui engendrent des données falsifiées/fabriquées et des rapports falsifiés.

La version finale du rapport de l'OSI, achevée en janvier 1992, fit immédiatement l'objet d'une critique de la part de l'ORI (bureau de l'Intégrité des recherches), qui jugea Gallo coupable de mauvaise conduite scientifique.

Néanmoins, même après cette longue enquête et ses révélations, et quand Gallo eut fait appel, le gouvernement américain retira ses conclusions. Quoi qu'il en soit, en 1994, les fonctionnaires américains créditèrent Montagnier et ses collègues de la découverte du VIH et cédèrent aux Français une plus grande part des royalties provenant des tests des anticorps VIH. En prenant cette décision sans précédent, le Dr Harold Varmus, directeur des NIH, reconnaissait que les scientifiques des NIH utilisaient un virus qui leur était fourni par l'Institut Pasteur pour réaliser le kit du test américain. Cette initiative était à peine à la hauteur du rapport Dingell, qui avait conclu que le règlement de l'affaire réussissait tout juste à dissimuler les questions laissées grossièrement en suspens. C'était plutôt l'aboutissement d'une comédie où les impératifs politiques et les nécessités de la réputation internationale, au ministère de la Santé, prenaient le pas sur l'intégrité scientifique, alors que défendre les affirmations de Gallo revenait à défendre le gouvernement américain lui-même73.

Selon Eleopulos et ses collègues, quel que soit le matériel découvert par l'OSI, les données de Gallo, qui restent encore les meilleures du genre, ne prouvent pas l'existence du VIH et, même si c'était le cas, on ne trouve nulle part dans les articles la preuve que le VIH cause le sida16,21.

Apparition de Peter Duesberg

En décembre 1987, trois ans et demi après la conférence de presse de Washington, le Pr Peter Duesberg, virologue et spécialiste de biologie moléculaire de l'université de Californie (Berkeley), publia un article intitulé Rétrovirus comme pathogènes : attentes et réalité3. Duesberg était un savant reconnu, considéré comme le golden boy de la virologie et le plus grand rétrovirologue vivant. Il avait mis au point nombre des techniques de laboratoire permettant d'étudier les rétrovirus et leur structure génétique, avait découvert des gènes provoquant le cancer et avait reçu des NIH une récompense de 350 000 dollars au titre de la recherche extérieure.

Mais Duesberg fit une déclaration sensationnelle. Il affirma que, mis à part les rétrovirus provoquant le cancer, relativement peu nombreux, la majorité des rétrovirus sont virtuellement inoffensifs. Duesberg apportait l'argument que le VIH est neutralisé par des anticorps peu après l'infection, et qu'ainsi les anticorps signalent son refoulement. Il indiquait aussi des données prouvant que les malades et les mourants du sida, ainsi que les séropositifs, avaient des quantités de VIH insuffisantes pour que celui-ci pût nuire. Même si le VIH tuait toutes les cellules T4 qu'il infectait tous les 1 ou 2 jours, le nombre de T4 nécessitant un remplacement équivalait à la quantité de sang versée par un homme qui se coupe en se rasant.

Pour les protagonistes, la faible charge virale -c'est-à-dire la quantité d'ADN du VIH dans les cellules- était un fait que personne, même pas Gallo, ne pouvait concilier de façon satisfaisante avec une pathogénie destructrice de l'immunité qui tuait des hommes homosexuels un an ou deux après l'établissement du diagnostic. Cependant, plutôt que de présenter cela comme un problème scientifique justifiant un dialogue avec quelqu'un connu pour avoir des connaissances considérables sur le sujet, Duesberg, par ses questions, braqua Gallo au point que celui-ci refusa d'en discuter. Des rencontres prévues pour traiter des implications inconfortables de l'article de Duesberg furent brusquement annulées au plus haut niveau.

En 1989, Duesberg présenta un nouvel argument4. Le VIH ne satisfaisait pas les postulats que Robert Koch, bactériologue du XIXe siècle, avait formulés pour prouver qu'un microbe cause une maladie. Ces quatre postulats sont les suivants : a) l'organisme doit être présent dans tous les cas de maladie ; b) il doit être cultivé puis isolé dans une pure culture issue de cellules d'individus ayant la maladie ; c) il doit reproduire la maladie quand il est introduit chez un hôte réceptif ou des animaux d'expérience, d) chez lesquels on doit pouvoir le récupérer.

Selon Duesberg, à tous égards, le VIH ne satisfait pas le premier postulat de Koch. Le deuxième postulat est satisfait, mais seulement quand on soumet les cellules à une manipulation chimique draconienne fort éloignée des conditions in vivo. (Eleopulos a indiqué avec quelle constance la rétrovirologie a longtemps montré que l'oxydation qui prévaut chez les patients séropositifs/sidéens et leurs cultures cellulaires crée des rétrovirus (endogènes) internes dans des cellules dont l'ADN n'était pas préalablement infecté de l'extérieur12,14,15,74,75 ; 1% de l'ADN humain, soit une quantité 3 000 fois plus importante que l'ADN VIH, est fait d'ADN rétroviral endogène76.)

Le troisième postulat est en échec parce que, comme l'indique Duesberg, au cours de la décennie écoulée, plus de 400 000 sidéens ont été traités et examinés par un système de 5 millions de travailleurs médicaux et de chercheurs en matière de sida, dont aucun n'avait été vacciné contre le VIH... Mais dix ans plus tard, il n'y a pas un seul cas, dans la littérature scientifique, de travailleur médical dont on puisse supposer qu'il ait contracté un sida infectieux de la part d'un patient... Le sida n'est pas infectieux. Et, de même, 9 ans après que les NIH ont commencé à infecter des chimpanzés par le VIH - plus de 150 sujets jusqu'ici, à un coût de 40 000 à 50 000 dollars par sujet-, tous sont encore en bonne santé5**.

En 1992, Duesberg détourna l'attention que l'on portait au VIH en disant que le sida s'acquiert par la consommation de drogue et par d'autres facteurs de risque non contagieux5. A côté des drogues illicites et de confort, la liste de Duesberg incluait la première drogue anti- rétrovirale, la zidovudine (AZT). En d'autres termes, un traitement spécifique de l'infection par le VIH était supposé être la cause du sida.

Duesberg continua de surveiller le VIH, mais en le considérant comme un virus passager inerte et inoffensif, lié seulement au sida par les sortes d'activité associées à la prise de drogue (y compris les drogues prescrites). Duesberg, comme d'autres avant lui, souligna la donnée épidémiologique établissant une différence de 50 fois dans le taux d'attaque du sida entre les divers groupes d'individus séropositifs, ainsi que la prédilection de certaines maladies sidéennes pour des groupes à risque particuliers. C'est ainsi que 50 % des personnes transfusées par du sang séropositif développent le sida en un an (mais il en va de même pour 50 % des séronégatifs), comparés au 1 % des hémophiles. Le sarcome de Kaposi, de fait, se limita aux homosexuels5,13,77. Ainsi, même si le VIH était nécessaire pour provoquer le sida, il ne pouvait pas être le facteur unique.

Cependant, l'adjonction de cofacteurs à la théorie du VIH rendait problématique la signification de tout facteur particulier. Il était possible de dire que le VIH pouvait n'être qu'un facteur mineur ou bien, au moins dans l'esprit d'Eleopulos et de Duesberg, qu'il n'était pas un facteur.

Apparemment, le rôle du VIH était aussi un problème pour Montagnier. Bien qu'il eût écrit dans Nature, en décembre 1984, que toutes les données disponibles concourent à montrer que le virus est l'agent causal du sida78, il exprima en 1985 une opinion impossible à concilier avec la théorie du VIH : Ce syndrome se manifeste chez une minorité de personnes infectées ayant généralement en commun un passé de stimulation antigénique et d'immunodépression avant l'infection par le LAV (VIH)79, c'est-à-dire que la cause vient après l'effet (c'est nous qui soulignons). Il faut conjecturer que, en l'espace d'un an, le découvreur du VIH avait suffisamment évolué pour assurer ses arrières. Sa récente interview par le journaliste enquêteur Djamel Tahi61 (voir ci-dessous) alimente de telles spéculations.

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Retrouvez l'intégralité de notre dossier dans NEXUS N°6

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Invité pourquoi

Ecoutez, franchement on tourne en rond, devant un avis médical vous répondez toujours la même chose et c'est en train de devenir un dialogue de sourds.

De quelle autorité parlez-vous, je ne fais que donner mon avis de médecin, c'est tout, si vous pensez que d'autres ont un avis plus éclairé et meilleur, c'est votre droit, chacun est libre de se faire une idée par lui même.

Tous les gens qui ont mis en doute l'existence d'une cause virale au SIDA ne m'ont pas convaicu, et j'ai déjà entendu parler de ça en 1992 alors que j'étudiais l'Ayur Veda, ( vous voyez que ce n'est pas d'hier).

J'aurais bien aimé que l'Ayur Veda guérisse le SIDA, croyez-moi, j'ai essayé de le présenter devant une faculté de médecine, ce n'est pas une affaire facile.

J'ai eu l'occasion de conseiller un traitement Ayur Vedique indirectement à une personne qui souffrait d'un SIDA déclaré, ce patient a suivi ce traitement pendant trois mois, et un week-end il a été hospitalisé en urgence et il est décédé d'une maladie opportuniste. Cest la seule expérience que j'ai de cette maladie personnellement. Mais je n'ai pas oublié la médecine des facultés pour autant.

Il n'y a rien de décisif dans les arguments qui sont donnés par les médecins qui mettent en cause l'étiologie virale de cette affection.

Pour moi leurs dosages biologiques n'emportent pas la décision face à l'épidémiologie, que voulez-vous que je vous dise de plus, croyez-vous que je vais changer d'avis parce que d'autres médecins disent le contraire.

Quand j'argumente dans le sens de ma conviction, vous changez d'argumentation, allant même jusqu'à comparer ce syndrôme avec des déficits immunitaires qui n'ont rigoureusement rien à voir avec ce syndrôme, et si je vous dis que l'argumentation ne tient pas, et cela pour des raisone cliniques, mais aussi biologiques, vous changez encore de sujet, et vous reparlez de biologie des dosages d'anticorps.

Vous demandez toujours des preuves irréfutables, mais dans cette pathologie précise, on n'en a pas, ni pour ni contre. Il y a quand même la notion de séro positivité, qui bien que fluctuante, et assez imprécise existe quand même. L'enseignement de la médecine dit que ce virus détruit le système immunitaire. Est-ce si difficile de comprendre que dans ces conditions les anticorps soient difficiles à mettre en évidence. Quand je vous dis ça, vous sortez d'autres types d'arguments qui ne tiennent absolument pas la route. Et vous en concluez que je veux vous persuader, je dis juste ce qui me parait logique de penser à la lumière de mes connaissances médicales, on ne fait que discuter théoriquement, puisqu'on n'a personne à soigner, c'est une chance...

Je ne peux que dire que les arguments que j'ai lus ici ou là ne m'ont pas convaicu, moi personnellement. Un point c'est tout, si vous pensez que je me trompe, c'est votre droit, personne ne vous en veut, mais vous ne m'avez pas convaincu. Que puis-je vous dire de plus?

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Comme d'habitude, vous mélangez tout.

Jamais je n'ai dit qu'une personne atteinte de sida déclaré (maladies opportunistes) ne devait pas aller se faire soigner à l'hôpital.

En fait, si on prend en compte les traitements actuels, on se rend compte que l'on a assez bien négocié le cap de 1992.

Mais tant que vous voudrez, même avec l'ayur veda, éradiquer un virus, vous courrez à l'échec.

Pour le reste, il y a manifestement deux mondes. Il ne s'agit donc plus de science, mais de politique. Et l'endoctrinement a vraiment très bien fonctionné chez vous.

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Invité pourquoi

Bonne nouvelle pour vous, les dissidents, après avoir lu et relu patiemment les textes que vous avez gentiment mis sur ce topic, je vais dire maintenant que je n'ai plus d'avis, vous voyez, ça change. Jusque là le point de vue officiel prédominait en moi, maintenant, je crois qu'il faut que je me montre plus prudent. Je n'exclus pas qu'il puisse y avoir eu manipulation des populations.

Je vais donc contacter mon copain qui lui est plus en prise que moi avec la réalité du terrain médical, et je vous transmettrai ce qu'il m'aura dit.

Au vu de ce que je viens de lire, il se peut qu'il vous donne raison.

On en reparlera bientôt.

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Invité pourquoi

Non Cheminot, l'endoctrinement n'a pas fonctionné chez moi, c'est simplement que je ne m'étais pas trouvé dans une situation qui me faisait me poser ces questions.

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Cher Pourquoi,

Je ne suis ni médecin comme toi, ni chimiste comme cheminot ... ma logique est donc d'une autre nature ... mais je pense que LA logique de tous comporte des dénominateurs communs. Appelons cela le bon sens commun. Je regrette d'ailleurs que les formatages divers tendent à sapper souvent ce bon sens.

Si je dialogue avec toi (du moins on essaie), c'est que je pense que tu n'es pas malhonnête. Voilà qui est dit. ... et même pas un farceur comme un ou deux ici ... S'il m'arrive de déconner, je prends soin de ne jamais le faire dans une matière qui pourrait choquer ou inquiéter certains qui fréquentent l'endroit ... Si certains s'y amusent, j'estime alors que la ligne rouge est dépassée (je dis ceci à l'attention du modérateur).

Ceci étant, on peut être malade ou supposé comme tel et continuer à sourire : fort heureusement. Ce n'est sans doute pas ce sourire qui va régler les questions mais bon ... il ne peut pas nuire. Sourire ou conserver un certain recul ne va pas faire progresser les CD4 mais l'inverse ne risque pas non plus d'en obtenir davantage ... Sommes-nous d'accord ?

Or que se passe-t-il sur le terrain occidental ? ... que se passe-t-il dans la tête d'un "bénéficiaire" de test positif ? ... De ton point de vue de praticien, rien qu'à ce niveau, n'estimes-tu pas qu'il y a un gros problème chez tes confrères, beaucoup de tes confrères ... ? Il ne s'agit pas d'un test de grossesse me semble-t-il ... C'est question est délicate, j'en conviens ...

Seconde étape, presque simultanée, la mise sous ARV ... avec comme maigre et timide justification : " Ainsi, vous passerez - peut-être - d'une maladie incurable et mortelle à une maladie chronique ... " ... trouves-tu cela porteur ? ...

Troisième étape, le lendemain de la première prise et comme si l'aspect émotionnel ne suffisant pas, c'est la descente aux enfers physiques ... que dire alors ? ... Certes, tu peux toujours rapporter des contre-exemples avec des gens en super forme après 8 ans de prises ... en connais-tu toi ? Moi, je n'ai rencontré que des morts vivants ... As-tu eu l'occasion d'observer des résultats sanguins après des mois de prise ? ... est-il acceptable de se satisfaire d'un taux de CD4 "convenable" et d'un CV "indétectable" lorsque tout autour déconne du fait même des ARV ... glycémie, cholestérol, globules rouges, trigly ... et j'en passe ... Ca mène où tout cela ? ... sans parler des terrifiantes transformations physiques ...

Est-ce que ce dernier aspect doit être tu ? ... n'est-il pas légitime de donner un éclairage moins soft ... et plus pragamatique aux intéressés ? ... est-il outrancier que des intéressés, hors du cénacle des colloques, confrontent leurs propres expériences ? est-ce "criminel" que d'agir ainsi ? ... ou est-ce criminel d'agir inversement ?

Finally nous explique que le commun des mortels est trop con pour comprendre tout cela ... Penses-tu que le commun des mortels est trop con aussi pour se comprendre détruit devant son miroir ?

... et sur le terrain africain ... l'humaniste concept "d'accès au soin pour tous" ... as-tu serpenté sur ce terrain ? ... Il se trouve que là, j'ai sans doute un peu d'avance sur toi : car moi c'est mon quotidien ... L'afrique du sud, je connais ... l'afrique centrale, aussi ... l'afrique de l'est également ... et l'afrique sub saharienne, encore ...

Tu poses des réserves sur les campagnes massives de vaccination ... sais-tu ce qui se passe actuellement et à l'instant même où nous parlons ? ... on va dans les villages et on prend les gens de force ... on jette en prison les récalcitrants ... on les requalifie comme appartenant à des sectes même ... connais-tu également l'ampleur de la méfiance des indigènes vis-à-vis des doctors tubab ? ... sont-ils aussi tellement cons ces blacks comme le vulgum pecus occidental ?

Non, cher Pourquoi, je ne crois pas un seul instant à l'efficience de ce genre de dispositif ... en revanche, je crois à son caractère nuisible sous cette forme. Je constate au quotidien que les africains sont souvent en proie à des problèmes hépatiques et à des problèmes de vue par exemple ... je sors aussi dans la rue et dans les campagnes ... et il m'arrive de jeter un oeil au delà du pare brise de mon 4*4 ... l'observation vaut-elle la statistique ? ... peut-être pas ... mais peut-être que oui aussi ...

Sans rancune ...

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Cher Pouquoi,

Ton discours t'honore, car accepter de se poser des questions est une épreuve par laquelle je suis passé également, et j'ai mis deux ans avant d'en parler sur ce forum.

Maintenant, j'aimerait savoir quels sont les points critiques qui créent ces questions, dans tout ce que tu as pu lire? Ou est le noeud du problème?

Merci, parce que, si nous voulons la vérité, il nous fait dénouer tous les à peu près, et mettre les choses au grand jour.

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Pourquoi (suite)

... dissidents ... quel vilain mot ... nous ne sommes pas en guerre de religion ou en opposition idéologique frontale me semble-t-il ... et pas même observateurs d'un match de base ball !

... résistants ... peut-être ... à une occupation du terrain, de tout le terrain, par des individus auto-proclamés détenteurs de la science ultime ... "Ils disent le droit, le bien et le bon !"

... c'est "circulez, on a tout dit" ... c'est là que cela devient inacceptable.

La castration des études alternatives (financièrement déjà) est-elle acceptable ? ... après tout, ils fonctionnent bien (et se gavent parfois) sur l'argent de tous ... non ?

Que Benoit 16 fasse la loi dans sa paroisse, que le Dalai-lama répande la bonne parole au Tibet ou que le Kalif satisfasse ses Iznogouds est une chose ... mais delà à ce que tous ces hommes "saints" viennent nous les briser par toutes les lucarnes ...

D'ailleurs et à ce sujet (voir mon post précédent), le bel engouement dont jouit le Saint vivant Mandela, selon l'unanimité occidentale, tend à s'effriter du côté de Durban ... On lui garde l'estime réservé aux anciens (nous sommes en Afrique) ... mais peu de monde désormais caresse l'espoir de le voir revenir aux manettes in situ ... Il est bien mieux pour lui d'aller chercher les standing ovation ailleurs (là où elles sont orchestrées et payées générusement par le Communauté internationale) ...

Nul n'est prophète longtemps en son pays ... et comme dirait mon copain Idrissa : " Le crocodile n'a pas intérêt à se fâcher avec la rivière " ...

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Invité pourquoi

En fait, je pense que vous l'avez compris, c'est la lecture de l'article de Nexus qui m'a le plus convaincu.

Je n'ai jamais acheté ce magazine, mais un de mes amis proche m'en parle souvent, et je me souviens d'avoir découvert les WingMakers puis le voyage dans le temps, sans parler des innombrables articles sur l'ufologie ( à la quelle je m'intéresse depuis trente ans, entre nous soit dit) ou sur l'énergie libre. Et finalement je n'ai jamais trouvé incongrus leurs articles.

En le lisant j'ai senti qu'il n'y avait pas d'esprit polémique, et de plus les arguments étaient très bien sélectionnés et présentés.

Je te l'avais déjà dit Viduité, pour moi les médecins sont largement autant "victimes" du système basé sur des mensonges que les autres, ce n'est pas ça qui me faisait prendre la position que je défendais, c'est comme l'a dit je crois FF, qu'il y a là une remise en cause des conceptions médicales, très profondes. Mais c'est vrai que je ne croyais pas que les médecins pouvaient se tromper à ce point.

Pour moi, ce n'est pas trop difficile, puisque j'ai déjà jetté l'éponge il y a vingt ans. J'aurai sûrement plus loin l'occasion de vous dire dans quelles circonstances j'ai arrété l'exercice de cette profession, personnellement je n'ai rien à cacher.

Et d'ailleurs, d'une part ça me fait plaisir de me faire de nouveaux copains, parce que depuis environ vingt ans je suis plutôt isolé, et d'autre part j'aurais encore pas mal de topics passionnants (et j'espère pas trop passionnés) à proposer, et ça risque d'être drôle parce que si les rôles sont inversés... enfin comme tu dis Viduité, ne jouons pas trop aux prophètes.

Dis moi, tu habites en Afrique du sud?

Moi j'habite à Lyon.

En tout cas bravo pour votre patience avec moi, vous avez tué un gros Rakshasa comme disent les Indiens!

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Je ne compte plus les hors-sujets,

Rien n'est jamais vraiment hors sujet , car il y a toujours un chemin pour aller d'un point à un autre ...s'il n'en était pas ainsi cela concernerait des "univers isolés" dont par conséquence nous ne pourrions pas avoir conscience .

Par contre , monter des côtes avec un passager qui c'est invité sur le porte bagage , et qui n'a rien d'autre à faire que de trainer les pieds , c'est fatiguant.

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Invité
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