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De quoi meurent ces femmes là ?


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Invité lesprecieuxridicules

mais non, c'est vrai que le sang rejete provoque des maladies..c'est tout..mais c'est naturel...

fionabarber, je te conseille vivement de lire ceci:La médicalisation de nos filles --Resize_Images_Alt_Text--

Cliquer sur lien puis en haut de la page sur Bouton "Thèmes" et ensuite sur santé et ensuite sur:Cycles menstruels : médicalisation à outrance... reflechi.gificon_smile.gif

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  • 2 months later...
(anarista @ Lundi 05 Décembre 2005, 06:56)
« Il y a une femme qui travaille dans ma maison, nous confie- t-elle. L’enseignant du village l’a mise enceinte. Chez nous, les enseignants sont des gens respectés. Quand il est mort du sida, on s’est aperçus que huit femmes en tout étaient enceintes de lui : elles tombent malades, comme les enfants qu’elles ont mis au monde. Seize personnes en tout vont mourir parce qu’il ne savait pas qu’il aurait dû se conduire autrement », conclut la reine en hochant la tête.

Si le SIDA n'existe pas de quoi sont malades ces femmes là (et les enfants) ?

SVP pas de pirouettes du style "c'est inventé" ou ces observations sont fausses soit dénigrer les faits.

Des tas d'explications réalistes ont été données, mais il n'y aura jamais d'explications définitives, tout simplement parce qu'on ne sait pas de quelles maladies souffrent ces 16 femmes et ces enfants, à supposer qu'elles souffrent réellement d'une maladie.

On pourrait donner des explications plus définitives si on savait de quelle(s) maladie(s) souffrent éventuellement ces femmes.

Mais à lire ce petit texte, j'ai pour ma part l'impression que la plupart de ces femmes et de ces enfants sont qualifiés comme ayant le sida simplement parce qu'elles (et leurs bébés) ont été déclarés positifs au test HIV, et compte tenu des croyances erronées et dogmatiques à ce sujet, séropositivité = sida. Bref, un abus de langage qui permet de terrifier les esprits non informés de l'existence de la dissidence du sida.

Et si, comme j'en ai la nette impression, ces 16 femmes et bébés sont tous séropositifs alors que ces femmes ont pour point commun d'avoir eu des relations sexuelles (à supposer non protégées) avec le même homme, il y a des centaines d'explications sans qu'il faille en venir au mythe du virus.

Et même des explications très simples.

Pour les bébés, c'est extrêmement simple. Si les mères étaient séropositives, les bébés qui sont nés ont eu toutes les chances d'hériter des (pseudo) anticorps de leur mère au (pseudo) virus HIV, et donc d'être déclarés séropositifs, et donc, dans la pensée orthodoxe du sida, d'être atteints du sida.

Quant aux mères, plusieurs explications ont déjà été données.

Mais il y en a une que l'on n'a pas donnée, et qui est très simple.

Cet enseignant qui aurait couché avec ces huit femmes (et en fait, on peut raisonnablement supposer qu'il y a eu des tas d'autres femmes aussi, car j'aurais dû mal à croire que chaque femme ayant eu des relations sexuelles avec cet enseignant doit forcément tomber systématiquement enceinte) était peut-être tout simplement porteur d'une ou plusieurs maladies vénériennes (genre syphilis, chlamidiae, etc...), très courantes en Afrique du Sud (ce n'est pas l'apanage du monde occidental !).

Comme on sait que les risques de transmission de certaines MST dépassent 50% et que les MST sont bien connues pour créer dans l'organisme un très fort stress oxydatif, il n'y a plus aucune raison de s'étonner que ces femmes aient été déclarées positives au test HIV (en raison justement du stress oxydatif causé par ces MST), et donc comme "atteintes du sida".

Comme on a pu le voir dans ce topic, des tas d'explications peuvent être fournies et il n'y a pas lieu de se laisser impressionner une seule seconde par cet article !

PS : Notons que si ces femmes étaient porteuses d'une MST quelconque, non traitée, alors qu'elles ne vivent pas dans de bonnes conditions d'hygiène et d'alimentation (ce qui est très souvent le cas en Afriques du Sud pour la population noire), il n'y a vraiment aucune raison de s'étonner qu'elles tombent rapidement malades, de même que leurs bébés (on sait très bien que les enfants qui naissent alors que leur mère est malade d'une MST, naissent eux-mêmes très malades, et souvent bien plus que leur mère même).

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(Isis Rider @ Mercredi 07 Décembre 2005, 06:22)
De quoi meurent ces femmes là ?

Une hypothèse : elles meurent de ce qu'elles sont convaincues de l'imminence et de l'inéluctabilité de leur mort.

Tout à fait. C'est ce qu'on appelle l'effet nocebo.

Si le stress oxydatif est assurément à l'origine la cause de la plupart des cas de sida, l'effet nocebo peut dans certains cas (mais ce n'est pas la cause principale bien sûr) causer lui-même un sida déclaré.

Voyez par exemple ici et ici.

Ceci étant, même si ce n'est que dans des cas assez rares que l'effet nocebo peut causer à lui tout seul le sida, en revanche, il contribue assurément dans presque tous les cas à favoriser l'accélération plus ou moins rapide (en fonction des gens et de leurs croyances) de la survenance du sida. Cet effet nocebo ne jouerait en revanche presque plus si la population pouvait être informée de ce qu'est réellement le sida. Ce n'est pas pour rien qu'il est affirmé à maintes reprises et à juste titre que connaître l'existence de la dissidence de la sida est déjà le premier pas vers la "guérison du sida" !

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Moi, je dirais que le problème, c'est l'effet conjoint de plusieurs éléments : l'effet nocébo (qui va causer une maladie relativement bénigne), la malchance (par exemple, une grippe) et beaucoup l'effet de panique. Les deux premiers phénomènes plus le deuxième conduisent à consulter un médecin qui va tuer le patient via l'effet iatrogène d'un médicament quelconque. Ceci pouvant se passer sur des années ou des mois bien sur (il peut ne pas tuer tout de suite. C'est comme pour les traitements du cancer, ça peut tuer tout de suite, mais souvent, c'est en deux ou trois fois). Alors que sans la consultation du médecin, l'effet nocébo conduirait la plupart du temps à de simples désagréments de santé.

Par exempe, on a un gars diagnostiqué séropositif qui subit l'effet nocébo et donc, qui devient par exemple épuisé. Il essaie deux trois traitement naturels. Ca ne marche pas. Alors, paniqué, il va voir le médecin. Celui-ci lui donne des médicaments qui causent des effets secondaires. Le gars est entré dans le système médical, le piège s'est refermé sur lui. Et au bout de quelques semaines, mois, années, il meurt à cause d'un médicament. Exemple, un antibiotique.

Autre cas, le même gars diagnostiqué séropositif ne subit pas l'effet nocébo, mais, comme c'est le lot de beaucoup de monde, il attrape une gastro en décembre ou en janvier. Puis, une ou deux semaines plus tard, il attrape une grippe. Là, avec les deux problèmes à la suite, d'un coup, il panique et va consulter un médecin, qui va lui donner des médicaments qui vont lui donner des effets secondaires. Effets secondaires qui vont être diagnostiqués comme symptomes du SIDA. Ce qui va le paniquer encore plus et le conduire à prendre d'autres médicaments, etc... Et quelques semaines, mois, années plus tard, il est mort.

Modifié par aixur
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Juste pour dire que je suis tout à fait d'accord avec toi, Aixur, pour autant que la personne en question n'ait pas un style de vie prédisposant au sida, telle que la consommation de drogues récréationnelles ou la toxicomanie, car dans ces cas-là, effet nocebo ou pas, il a vraiment toutes les chances de faire un sida, et ce ne sera pas par suite d'un stress psychologique quelconque (mais bien par suite d'un stress oxydatif très sévère).

Mais en dehors des cas manifestes où le style de vie est la cause du sida, comme avaient tous en commun les sidéens de 1981 à 1984, effectivement, ce qui tue, c'est la peur, le stress psyclologique et toute la connotation y attachée (+ les antiobiotiques et les drogues antivirales que l'on sera ensuite amené à prendre dans ce cadre-là). Raison pour laquelle dans d'autres posts, j'ai fortement suggéré aux personnes n'ayant pas ce style de vie vraiment à risque de ne pas passer de test HIV (et si cela a été fait, de l'oublier définitivement), de ne pas mesurer ses T4 et sa pseudo charge virale, sous peine de tomber dans les travers dénoncés par Aixur. Tous ces tests ne pourront servir qu'après avoir été complètement retravaillé de façon à servir de mesure de l'état de dégradation du système immunitaire, comme les tests de cholestérol sur le plan de la prévisibilité des maladies cardiovasculaires, et ce dans une future époque où il sera considéré comme une évidence que le sida n'est pas causé par un (pseudo) virus.

Modifié par wallypat
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Invité Tinuviel

mais non, c'est vrai que le sang rejete provoque des maladies..c'est tout..mais c'est naturel...

Etrange vision du cycle féminin icon_eek.gificon_rolleyes.gifhum.gif5-euh.gif5-tss.gif

Le sang "rejeté" provoque quelles maladies, et dans quelles conditions ?

Parce que ce n'est pas tout d'affirmer des choses, encore faut-il être un peu explicite, argumenté et documenté dans ses propos. Merci.

Avec ce genre d'affirmation péremptoire basée sur on ne sait quel tabou archaïque par rapport aux menstruations, l'obscurantisme a encore de beaux jours devant lui.

Cela dit, on est vachement HS .......................

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Invité Rodney McKay

pj'aimerai qu'on m'explique un truc... Comment vous expliquer les personne seropositive qui ont découvert leur maladie tardivement et qu'ils avaient deja un pied dans la tombe, et qui mènent une vie a peu près normale depuis 15 ans grace a une tritérapie ?

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Invité Rodney McKay
(wallypat @ Lundi 13 Février 2006, 18:02)
(Rodney McKay @ Lundi 13 Février 2006, 18:20)

pj'aimerai qu'on m'explique un truc... Comment vous expliquer les personne seropositive qui ont découvert leur maladie tardivement et qu'ils avaient deja un pied dans la tombe, et qui mènent une vie a peu près normale depuis 15 ans grace a une tritérapie ?

Cela a déjà été expliqué une bonne quinzaine de fois dans le topic "Le HIV ne causerait pas le sida".

En (très gros) résumé, les sidéens font un sida en raison en raison d'un stress oxydatif très puissant, qui cause une hyperstimulation trop longue ou trop forte des cellules immunitaires productrices de monoxyde d'azote. L'AZT que l'on refilait aux séropo en monothérapie jusqu'en 1996 (apparition des trithérapies") ne faisait qu'aggraver leur état et accélérait encore dava

oui je veux bien, mais quid des personne ayant été sauvé par l'AZT et les tritérapie ?

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(Rodney McKay @ Lundi 13 Février 2006, 18:20)

pj'aimerai qu'on m'explique un truc... Comment vous expliquer les personne seropositive qui ont découvert leur maladie tardivement et qu'ils avaient deja un pied dans la tombe, et qui mènent une vie a peu près normale depuis 15 ans grace a une tritérapie ?

Cela a déjà été expliqué une bonne quinzaine de fois (au moins) dans le topic "Le HIV ne causerait pas le sida".

En (très gros) résumé, les sidéens font un sida en raison d'un stress oxydatif très puissant, qui cause une hyperstimulation trop longue ou trop forte des cellules immunitaires productrices de monoxyde d'azote. L'AZT que l'on refilait aux séropo en monothérapie jusqu'en 1996 (apparition des trithérapies) ne faisait qu'aggraver leur état et accélérait encore davantage l'apparition du sida déclaré.

Il se fait qu'à partir de 1996, certaines drogues antivirales, dont notamment le 3TC (toujours à l'heure actuelle inclus dans la plupart des multithérapies), ont un effet antioxydant absolument remarquable qui a pour effet d'inverser, parfois très longtemps, ce stress oxydatif (auquel contribuait également l'AZT) et de ramener à la vie (en raison justement de la suppression ou très forte atténuation de ce fameux stress oxydatif, qui lui cause le sida [et pas un pseudo virus jamais isolé]) un sidéen en phase terminale de la maladie.

Par ailleurs, en y ajoutant l'effet tondeuse à gazon de la plupart de ces drogues antivirales, c'est-dire leur effet antibiotique à large spectre élimant la plupart des germes sources des maladies opportunistes, il n'y a absolument plus rien d'étonnant à ce qu'ils se rétablissent rapidement, et pour certains, longtemps.

Il convient toutefois de ne pas perdre de vue que compte tenu de leurs effets immunotoxiques et de manière générale simplement toxiques (voir par exemple ici et ici), ces traitements de la dernière chance ne doivent en principe être réservés qu'à ceux qui souffrent d'un stress oxydatif devenu irréversible (ce qui était assurément le cas d'un bon nombre de sidéens sous AZT en monothérapie), ou qui après être revenus à une vie "saine et équilibrée" (en commençant entre autres et premièrement par arrêter leurs pratiques de toxicomanie et leurs drogues récréationnelles), refont malgré tout des infections opportunistes à répétition (heureusement, ils ne sont pas nombreux). Il y a alors lieu de considérer qu'ils souffrent malheureusement d'un stress oxydatif devenu irréversible et les drogues dites "antivirales", malgré leurs effets particulièrement délétères, constitueront un moindre mal.

Pour le surplus, je t'invite à lire le topic général "Le HIV ne causerait pas le sida" et à lire l'article suivant de Cheminot.

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(Rodney McKay @ Lundi 13 Février 2006, 19:06)

mais quid des personne ayant été sauvé par l'AZT et les tritérapie ?

Pour les trithérapies, c'est expliqué dans mon post précédent.

Pour l'AZT en monothérapie, je te mets au défi de me donner une référence prouvant que l'AZT a sauvé la vie d'un seul séropo (ce sera déjà énorme, un seul séropo).

L'étude Concorde réalisé de 1990 à 1993 a montré sans le moindre doute possible que comparé à un groupe de séropo prenant un véritable placebo (car dans les quelques rares études faites pour les nouvelles drogues antivirales, le placebo est parfois rien d'autre que de l'AZT ! Pas étonnant que les nouvelles drogues antivirales paraissent avoir un effet positif sur la santé des sidéens !), ceux du groupe AZT avait 25% de plus de chance de mourir que ceux du groupe placebo.

Il en va de même à court terme d'ailleurs. En effet, l'étude très brève (4 mois environ) qui a servi à mettre l'AZT sur la marché en 1987, trafiquée au surplus, a certes montré qu'une seule personne sous AZT était morte durant ces quatre mois et 19 dans le groupe sans AZT. Mais quand on lit mieux cette étude, on constate qu'une trentaine de personnes dans le groupe AZT n'était artificiellement en vie que parce qu'on leur faisait des perfusions sanguines en permanence en raison de l'anémie (causée par l'AZT) dont ils souffraient. Sans cette tricherie, cette trentaine de personnes seraient mortes également, soit bien plus que dans le groupe sans AZT.

Au besoin, je reproduis ci-dessous quelques passages de cet article :

L'étude sur l'AZT réalisée en 1987 par le NIH en collaboration avec le laboratoire pharmaceutique Burroughs Wellcome aux Etats-Unis dans le cadre de la procédure d'autorisation de mise sur le marché, fut la première étude versus placebo menée en vue de tester l'aptitude de l'AZT à réduire la mortalité par SIDA (Fisch et al 1987; Richman et al 1987). Cette étude montra qu'après 4 mois de traitement par l'AZT, 1 patient sur 145 était décédé, contre 19 patients sur 139 dans le groupe sous placebo. L'étude considéra que ce résultat prouvait que l'AZT faisait chuter la mortalité. Cependant, cette interprétation faisait abstraction du fait que, parmi les survivants à 4 mois du groupe sous AZT, 30 n'étaient maintenus en vie qu'à force de multiples transfusions sanguines car leurs globules rouges avaient été ramenés par l'AZT à des niveaux incompatibles avec la survie (Fischl et al 1987; Duesberg 1992). Ceci signifie que si ces transfusions n'avaient pas été effectuées, 30 patients de plus du groupe sous AZT seraient morts d'anémie. De plus, nombre des patients sous AZT avaient développé des pathologies potentiellement mortelles de très mauvaise augure pour leur survie, telles que : destruction de la moelle osseuse, neutropénie, macrocytose, céphalées, insomnies et myalgies (Richman et al 1987). En réalité, la faible mortalité de 1/145 rapportée pour les 4 premiers mois sous AZT fut démentie dans une étude de suivi qui montra que "l'avantage d'accroissement d'espérance de survie" dû à l'AZT déclinait rapidement au-delà de ces 4 premiers mois. Après 21 mois, 42% des patients d'origine du groupe sous AZT étaient morts, contre 36% des patients du groupe de contrôle sous placebo, étant précisé que ces derniers avaient, "par compassion" étaient eux aussi mis sous AZT pendant les 12 derniers mois (Fischer et al 1989). Donc le fait est que l'étude versus placebo menée dans le cadre de la procédure d'autorisation de mise sur le marché n'a aucunement prouvé que l'AZT "réduise la mortalité par SIDA dans une proportion supérieure à 80%" par rapport au groupe de contrôle non traité.

L'aptitude de l'AZT à "ralentir la progression vers le SIDA" fit l'objet en 1994 d'une étude versus placebo d'une ampleur unique en son genre, l'étude franco-britannique Concorde (Seligmann et al 1994). Cette étude porta sur 1 749 patients séropositifs, homosexuels masculins pour la plupart, partagés en deux sous-groupes (les patients traités à l'AZT et ceux ne recevant pas ce traitement), et on regarda les effets sur l'installation du SIDA et la létalité. L'étude montra que l'AZT est incapable d'empêcher l'installation du SIDA et augmente de 25% le taux de mortalité des patients à qui cette drogue est administrée. Et voici la conclusion qu'en tirent ses auteurs : "Les résultats de l'étude Concorde n'encouragent pas la mise précoce sous traitement par la zidovudine (AZT) des adultes asymptomatiques contaminés par le VIH" (Seligman et al 1994). Par conséquent, l'assertion que les drogues anti-VIH "réduisent la mortalité par SIDA" ou ralentissent la progression vers le SIDA" ne repose sur aucune preuve obtenue par étude contrôlée.

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pj'aimerai qu'on m'explique un truc... Comment vous expliquer les personne seropositive qui ont découvert leur maladie tardivement et qu'ils avaient deja un pied dans la tombe, et qui mènent une vie a peu près normale depuis 15 ans grace a une tritérapie ?

Et voilà ! ... le discours qu'il est convenu de porter à la connaissance du grand public ...

" Ils ont découvert leur maladie tardivement " ...

En fait, ils n'ont rien découvert du tout : ils ont été "dépistés" à une occasion ou à une autre ...

La sémantique des officiels est évolutive ... jadis, on parlait de "porteurs sains" (donc pas malade) ... puis, il y eut un subtile glissement pour requalifier de "malade" tous les dépistés positifs ... tout est dans le verbe ...

Ce n'est pas passé comme cela ex abrupto mais c'est un lent travail de communication qui porte ses fruits.

Ensuite, et à ma connaissance, il n'y a pas de gens qui "vivent à peu près normalement depuis 15 ans avec les tri " ... et ce, pour deux raisons :

1. la tri existe depuis 9 ans ...

2. il faut ne jamais avoir pris ces merdes pour croire qu'on peut vivre avec "à peu près normalement" ...

Ne serait-il pas mieux de porter à la connaissance du grand public, le sentiment de la cohorte qui ne prend rien et qui vit, cette fois, tout-à-fait normalement ... mais ça ce n'est pas possible : ça froisse le dogme et les intérêts des uns et des autres !

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mais c'est quoi aujourd'hui vivre normalement?

j'ai jamais vu de gens vivre aussi peu normalement qu'aujourd'hui...

qui ne vit pas dans l'engoisse du lendemain?

la peur d'une maladie de plus pouvoir payer son loyer un moment ou à un autre... on vit aujourd'hui dns un état de stress permanent (il est la le sida!) et les médias font tous pour qu'on y reste.

le réchauffement de la planete, la grippe aviaire, la vache folle (tiens elle est ou?) le sida, les cancers, la précarité, les mauvaises religions, les dissidents, le voisin pédophile, le beur voleur, etc.

la maladie c'est le stress oxidatif provoqué par toutes ces choses qui rongent une partire de la population qui sert de cobaye..

les homos ont été les premiers cobayes "in vivo" consentants et le sont toujours.

les africains le sont malgré eux par culture (colonialisme).

les asiatiques le sont de force (dictature) comme ceux des pays de l'est.

en afrique un prfesseur contamine 16 femmes toutes enceintes( bel etalon) et donc forcément malades elles et leurs futurs bébés... pffff c'est quoi c'ette histoire ? on se croirait revenu au temps de l'inquisition ! Il est coupable! le mal est en lui! il doit payer! ou se confesser!

c'est vrai elles vivaient tellement bien dans un monde ou on trouve meme pas de quoi bouffer tous les jours elles ont trouvé leur coupable et les associations leur raison d'exister tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes!

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(axelwebb @ Jeudi 16 Février 2006, 01:46)

en afrique un prfesseur contamine 16 femmes toutes enceintes( bel etalon) et donc forcément malades elles et leurs futurs bébés... pffff c'est quoi c'ette histoire ?

En fait, ce serait 8 femmes et leurs 8 bébés.

Mais effectivement, indépendamment de toutes les explications que l'on a déjà émises, il me semble que publier un tel témoignage va à l'encontre même de la théorie orthodoxe du sida et je me demande même s'il était vraiment nécessaire de donner toutes les explications qui précèdent.

En effet, cet enseignant a défié toutes les statistiques de contamination. Quand on sait que le risque de transmission hétérosexuelle de séropositivité serait de 1 pour 2000, il aurait fallu que cet enseignant ait eu 16.000 (!) relations sexuelles avec ces 8 femmes pour être "sûr" qu'elles soient "contaminées". C'est en effet un fameux étalon, même si pour une raison ou l'autre, on devrait considérer que les risques de transmission hétérosexuelle seraient un peu plus élevées en Afrique.

Bref, publier cette "histoire", c'est l'air de rien contredire déjà en soi la théorie orthodoxe du sida. Et les différentes explications énumérées ci-dessus ne font qu'appuyer définitivement cette certitude.

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hihi oui 8, 16 de toute façon ça fait bien l'affaire on est plus a 8 africains dépravés pret! (désolé mais dans tous les reportages que j'ai vu même les reportages animaliers d'aujourd'hui j'ai pas l'impression que les blancs respectent les noirs pourtant propriétaires des lieux et ça m'a choqué a plusieurs reprises!)

mais on respecte le dictateur qu'on a mis en place faut pas tout mélanger!

heu a mon avis les associations font un peu pareil... les 8 femmes sont des "oie blanches" mais le méchant étalon noir (quand meme!) c'est pas bien paskil aurait du .. heu.. ca coute combien 16.000 capotes labas?

par ce que tout le monde le sait .. il suffit d'une fois!

remarque avec 6000 contaminations par an en France on a pas trop a se plaindre on a tous nos etalons 4-ptdrasrpt.gif

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