Nowar Posté(e) 28 septembre 2005 Share Posté(e) 28 septembre 2005 Sait-on jamais ! ... Aprés plus ample analyse mais sans essai préalable, il convient de remarquer que les risques sont essentiellements traumatologiques. Bien qu'il ne faille pas oublier dans ce domaine, l'inévitable répercussion de ce genre de pratique sur le chiffre d'affaire des fabricant d'insecticide. C'est bien connu, à commencer par la mouche, on finit par avoir le bourdon, et j'en passe Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) 29 septembre 2005 Share Posté(e) 29 septembre 2005 Aprés plus ample analyse mais sans essai préalable, il convient de remarquer que les risques sont essentiellements traumatologiques ... Pour les mouches bien sûr ... ... J'ai vu des contrées où les chèvres (voire même les dromadaires) étaient préférées aux insectes ... il me semble évident, en ces conditions, que le traumatisme n'en est que moins redoutable pour cette espèce ... et que dire des dromadaires pour qui ça passe comme une lettre à la poste ... selon mon analyse ... théorique ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nowar Posté(e) 29 septembre 2005 Auteur Share Posté(e) 29 septembre 2005 ... J'ai vu des contrées où les chèvres (voire même les dromadaires) étaient préférées aux insectes ... il me semble évident, en ces conditions, que le traumatisme n'en est que moins redoutable pour cette espèce ... et que dire des dromadaires pour qui ça passe comme une lettre à la poste ... selon mon analyse ... théorique ... Certes, cela fait appel à d'autres efforts musculaires, mais.......... personnellement...... j'ai par idéologie une sainte horreur du bruit des bottes. Quant au facteur... de risque, naturellement, il est probable que nombre de cerveaux ont déja envisagé une réduction du risque. C'est peut être pour cela que mon boucher vendait des demi chèvres. Réduction d'(a)effectif? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) 29 septembre 2005 Share Posté(e) 29 septembre 2005 j'ai par idéologie une sainte horreur du bruit des bottes. Certes Nowar ... d'ailleurs moi-même, je n'ai que peu d'enthousiasme lorsqu'on évoque la soldatesque ... Néanmoins, tu admettras le caractère "pratique" de la botte dans ce cas de figure ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nowar Posté(e) 29 septembre 2005 Auteur Share Posté(e) 29 septembre 2005 j'ai par idéologie une sainte horreur du bruit des bottes. Certes Nowar ... d'ailleurs moi-même, je n'ai que peu d'enthousiasme lorsqu'on évoque la soldatesque ... Néanmoins, tu admettras le caractère "pratique" de la botte dans ce cas de figure ... Je l'admet et le conçois, trés cher, même si pour moi l'aversion et plus puissante que la pulsion. Cependant, l'inquiétude pointe lorsque l'on me fait tourner chevre Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) 29 septembre 2005 Share Posté(e) 29 septembre 2005 L'inquiètude (chevrière) peut laisser place à l'excitation de la chevrette lorsque la levrette montre sa barbichette ... un peu comme celle de ce bon Monsieur Seguin ... qui, toute inquiète et frétillante à la fois, attendit lascive les assauts du Loup au crépuscule ... Au matin, elle se donna à lui sans retenue avec ses sabots noirs et luisants tels les escarpins d'une catin de la vallée ... que Seguin, lui-même, avait coutume de fréquenter ... lorsqu'il abandonnait sa chèvre à son destin ... préférant les appas d'une ribaude de basse extraction ... au pubis noir et luisant tel les sabots de l'animal susvisé ... ... N'est-il pas mon cher Nowar ? ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nowar Posté(e) 29 septembre 2005 Auteur Share Posté(e) 29 septembre 2005 Pour autant qu'il m'en souvienne, à l'heure ou la chevrette taquine valsait avec le loup dans les boites branchées de haute provence, bercée par le chant des berger réclamant une indemnisation au prefet au ministre de l'écologie, il me semble que l'auteur ne parle pas de levrette. Mais également, il ne décrit pas les bruits de bottes annonciateurs de l'aube, accompagné du fracas des poubelles contre le camion de la mairie. Dans cette parabole, il ne décrit que les préliminaires d'un festin charnel dont il révait certainement avec une ribaude qui aurait pu lui faire oublier les mollesses hypnotique du prozac. Il faut convenir que s'il était sorti du thème de la parabole, cela aurait classé pervers pour l'époque Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) 30 septembre 2005 Share Posté(e) 30 septembre 2005 Pour autant qu'il m'en souvienne, à l'heure ou la chevrette taquine valsait avec le loup dans les boites branchées de haute provence, bercée par le chant des berger réclamant une indemnisation au prefet au ministre de l'écologie, il me semble que l'auteur ne parle pas de levrette. Daudet, dans sa grande sagesse (la censure sévissait déjà à cette époque), évita d'aborder les étreintes sous l'angle technique mais et lorsqu'on fait une savante analyse du texte, il est évident que "la levrette" est partout où se promène la chevrette ... et le loup ... L'analyse se révèle plus délicate s'agissant des rapports entretenus par Seguin dans les endroits de mauvaise vie de Tarascon (car, je te le confirme - de sources autorisées - Seguin hantait les bordels de cette charmante bourgade). Prenait-il les catins en levrette ou tout simplement en missionnaire ? Les deux à la fois peut-être ... voire même en compagnie de mules papales dont les coups (de pied) étaient, selon ces mêmes sources, de grande qualité ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.