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delwere

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  1. Une dernière pour Wallypat: Tu ne trouves pas que ce que tu reproches à Duesberg n'est pas loin de ce que tu penses toi même dans la relation (HHV8, KS)? Merci
  2. J'ajoute: Si tu va penser à l'argument CD4<200 = cas de SIDA Je te renvois encore vers ce lien où: - 50% des S+ décédés avait un CD4 > 200 durant les derniers 6 mois - 30% sont décédés suite à des maladies non caractéristiques du SIDA. Et là mon objectif est de te monterer que dans certains cas il y a que la présence du VIH qui se présente comme un critère de disgnostique de SIDA. C'est à dire: Un S- Avec CD4>200 et maladie liée au SIDA ne sera pas considéré comme sidéen. Un S+ Avec CD4>200 et maladie liée au SIDA sera considéré comme sidéen. La preuve: Supposant que les 30% ont CD4>200 (ce qui ne dit pas l'article, mais c'est l'hypothèse qui va dans le sens de l'orthodoxie), il reste quand même 20% avec CD4>200 mais ils sont comptés comme morts du SIDA parcequ'ils sont S+ et qu'ils ont développé une maladie caratérisqtiue du SIDA malgrès leur CD4 normal. Donc même CD4>200 => cas de SIDA rien que parceque la personnes est S+ et qu'elle a dévéloppé une maladie caractéristique de SIDA. Dans le cas contaire, pourquoi on ne considère pas une personne S- ayant CD4>200 et atteinte du TB comme malade du SIDA? la seule différence ici c'est le VIH. (D'ailleur je ne sais pas si les 30% décédés suite à des maladies non caractéristiques du SIDA sont comptabilisées comme mort du SIDA "mais indirectement"). Ciao
  3. Wallypat, Là tu te poses la question classique: pourquoi le test de VIH reagit positivement chez la majorité des Sidéens. Tu continues a insister (je crois que Psyence a déjà bien développé ce problème) sur ce fait en oubliant la formule connue: TB = TB TB + VIH = SIDA Si la définition du SIDA est circulaire alors c'est facile de dire que les cas de SIDA sans VIH sont très rares. Au fait ce qui est très rare c'est l'incidence des infections opporitunistes normalement rares a certain age (example le KS) chez des S-. Parcontre pour la TB ce problème ne se pose pas car les cas de TB sans VIH ne sont pas rares quelque soit l'age. Et bien evidemment un cas de TB sans VIH n'est pas considéré comme SIDA par l'orthodoxies ce qui crée la rareté apparante de SIDA sans VIH. Le grand problème ici, c'est que toute personne S+ sera considérée comme atteinte du SIDA une fois elle developpe une des maladies caratéristiques du SIDA. Donc grosso modo une personne S+ n'a pas le droit de développer une TB normale. Et c'est sur ça que se base ta constatation "les cas de SIDA sans VIH sont très rares". On peut voir la chose comme-ça: Années 80: Maladies très rares identifiées chez des jeunes homosexuels Années 84: La grande majorité de ces malades (du SIDA) sont S+ 10 ans après: Le SIDA englobe plus de 30 maladies (mais qu'ils ne sont pas tous rares)- Toute personne S+ developpant une de ces maladies est considérée comme malade du SIDA. Alors comment veux tu qu'avec une telle évolution de cette définition que les cas de SIDA sans VIH ne soit pas très rares. Pour bien comprendre ce sujet je t'invite à me fournir des informations sur comment l'orthodoxie identifie un cas de SIDA sand VIH. En d'autres termes quels sont les critères qu'il faut avoir pour être déclaré sidéen sans VIH. Et j'aimerais bien voir la différence entre KS et TB dans ces critères. Merci
  4. Et puis il faut lire tout le papier pour comprendre l'idée dans son enemble. Ciao.
  5. Virus "sauvage" !!! Le ridicule n'a pas de limites.
  6. Montagnier dans cette interview: Réagir à quoi? et quand? au VIH ou aux infections opportunistes? Si c'est au VIH, la réaction est toujours là si l'on crois aux anti-corps. Ou alors peut être on parle ici d'un stimulant qui tuera complètement la VIH au moment de l'infection et fera disparaitre et le virus et les anti-corps . Si c'est réagir aux autres infections cela veut, peut être, dire que Montagnier crois qu'un système immunitaire affaibli (par le VIH) pourrait être rétabli même en présence du VIH. Là c'est plutôt une très bonne nouvelle! Parcontre il y à la-dedeans comme une odeur de dissidance. non? Enfin, pourquoi les vaccins qui vont dans le sens du virus ne marcheront pas? A mon avis il y a trois options: 1- Le virus n'existe pas et donc il faut plutôt s'occuper de rétablir le système immunitaire que d'attaquer un virus inexistant (Point de vue du Perth Group) 2- Le virus existe mais incapable d'affaiblir le système immunitaire auquel cas il faut s'occuper de rétablir le système immunitaire (Point de vue de Duesberg). 3- Le virus est tellement malin qu'aucun vaccin ne pourrait l'anéantir, et donc il faut plutôt s'occuper de rétablir le système immunitaire. (Cette option suppose que le système immunitaire pourrait guérir même en présence du VIH, donc quelque part l'hypothèse virale monolithique n'est plus valide) Peut être il ya d'autres options, mais sur ces trois on est plutôt dans la dissidance. Ciao
  7. Psyence, Je crois que c'est moi qui étais K.O. quand j'avais écri le post Enfin j'avoue que ce n'était pas si clair, mais t'as bien compris ce que j'ai voulu dire. Le seul truc, je n'ai pas examiné le sens de la nomination VIH dans le mesure où elle contient déjà le fait que la "chose" est un virus et que la propriété est l'immuno-déficience. Mon point c'est plutôt le suivant: Quand on examine la question de l'existance du VIH, il faut déjà le caractériser (indépendamment de la signification de son nom). 1- Si la question est: "existe-t-il un virus qui a des propriétés d'immuno-défcience?", là je répondrais simplement cela n'a pas été prouvé (ni existance ni non-existance). 2- Si la question est: " est-ce que la chose trouvé par Gallo est un virus qui existe?", là je ne sais pas répondre (Duseberg répondrait oui, Perth répondrait non). Cependant (et là c'est le point important) je suis persuadé que si la réponse à la question 1 est "oui - il existe", le virus qui aurait des propriétés d'immuno-déficience ne peut pas être celui "isolé" par Gallo et pour lequel Gallo a développé un test et pour lequel l'orthodoxie a dévloppé des thérapies (donc ne peut pas être celui que l'orthodoxie appelle le VIH). En effet, si c'était le cas, il y aurait pas les tonnes de contradictions qu'on observe aujourd'hui au sujet de VIH. Si un tel truc existerait vraiment alors pourquoi il y a ce tas de questions sur: - Son isolation - La fiabilité de son test de dépistage - L'efficacité des thérapies qui lui sont associées - Les prédictions qui se basent sur sa nature et ses propriétés Est-ce que les biologistes et les (retro-)virologistes de notre planète, qui ont supposé depuis 25 ans qu'un tel truc (virus a propriétés d'immuno-déficience) pourrait exister, sont tellement mauvais qu'ils ne peuvent pas l'isoler correctement, ni développer un test fiable pour le dépister, ni touver des thérapies pour l'éradiquer, ni proposer un vaccin pour le prévenir et ni élaborer des prédictions correctes quand a son évolution? Cela m'étonne vraiment. Somme nous dans l'impasse parce que ce truc existe et qu'on n'arrive pas à le cerner correctement? ou sommes nous dans l'impasse parceque ce truc n'existe tout simplement pas (virus a propriété d'immuno-déficience)?
  8. Psyence, Wallypat, Je me permets là de m'introduire dans cette question d'existance est de non existance. Car je crois qu'il y a un grand problème de sémantique dans cette discussion. Appelons GX un germe dont l'existance est à prouver. GX satisfait les propriétés suivantes: 1- Exogène et transmissible par le sang et les secrétions sexuelles ET 2- Une fois GX infecte une personne, il provoque dans un délai de 10 ans de moyenne l'immuno-déficience de cette personne. Si on attribue le nom "VIH" à GX, on peut dire très facilement qu'il n'y pas de preuve que "VIH" n'existe pas puisqu'il y a aucune preuve que GX n'existe pas. (En effet, GX pourrait exister comme une cause parmis d'autres de l'immuno-deficience). Parconte si on attribue le nom "VIH" au prétendu rétrovirus découvert par Gallo et qui réagit positivement au test VIH, on peut facilement dire que "VIH" n'est pas inclu dans l'ensemble des solutions GX. Tout simplement car aucune des propriétés 1 et 2 ne sont prouvées pour le "VIH". Wallypat, je suis donc du coté de Psyence Parcontre pour Psyence je dit que même si on prouve l'existance d'un nouveau germe (qu'il soit ce que l'orthodoxie appelle VIH ou pas) chez les S+ ou chez les sidéens, cela ne prouvera rien quand au SIDA. Ce qu'il faut trouver c'est GX. C'est a dire un germe qui statisfait les propriétés 1 et 2 et bien évidemment les postualts de Koch. Prouver la non existance du VIH (de l'orthodoxie) ne sert pas non plus à grand chose (Biensur si cela est prouvé, l'orthodoxie admettera sa faute) car ça ne prouve pas la non existance de GX. De toute façons, je crois que si GX existerait il ne serait jamais le même que le VIH (de l'orthodoxie) car ce dernier n'arrête pas de nous gaver d'inconsistances surtout par ce qu'il prétend qu'il a les mêmes propriétés de GX. Prouver la non-existance de GX est quelque chose d'impossible dans l'absolu car GX pourrait exister sans jamais se manifester je veux dire que cela serait possible si pour chaque cas d'immuno-suppression on arrive à identifier un facteur causal qui ne satisfait pas les propriétés 1 et 2. Biensur si on n'arrive pas a trouver un facteur causal, ni l'existance ni l'inexistance de GX n'est prouvée. Je crois que la logique de Duesberg est correcte. En effet, isoler (ou "isoler") un nouveau germe dans le sang d'un sidéen ne veut rien dire tant que le lien de causalité n'est pas démontré sur la base des postulats de koch. Et donc dire que le VIH (de l'orthodoxie) est un virus passager semble très logique dans ce contexte. Il est tout a fait logique d'attribuer l'immuno-déficience à des agents dont l'effet immuno-suppresseur est connu que d'attribuer cette immuno-deficience à un "germe" dont on connait pas du tout l'effet immuno-suppresseur et donc de considérer ce "germe" comme passager tant qu'un tel effet n'est pas scientifiquement démontré. Enfn, je crois qu'avant d'entammer la question d'existance ou non, il convient au moins de caractériser ce qu'on cherche à en demontrer l'existance ou pas. Ciao
  9. Salut Psyence, Je crois que tu n'as pas ben compris ma question. Il est calir que si une personne developpe une maladie qui fait partie de la définition du SIDA et qu'elle soit S+, le décés sera déclaré comme dû SIDA (sinon il y aurait pas de décés dus au SIDA du tout ) Ma question était s'ils considèrent (dans les statistiques finales) que les décés suite à des maladies N'appartenant PAS à la définition du SIDA comme étant des décés dus au SIDA. Rappelle toi que l'article parle de décés pas DIRECTEMENT causés par le VIH (donc ils peuvent les considérer comme INDIRECTEMENT causés par le VIH et donc des décés dus au SIDA). Merci
  10. Pas exactement, ils diensent que la moitié des cas ont eu un T4>200 et 30% ont une CV indétectable. Parcontre ils ne disent pas si ces 30% font partie de la moitié qui ont T4>200. Cependant ils disent que le fait que 30% ont une CV indétectable concorde avec le fait que le tiers des cas ne soit pas causé par le VIH. Plus loin, quand-t-ils énumèrent les maladies, il mettent un ( * ) devant les maladies liées au SIDA. Donc les choses ne sont pas aussi clair dans la mesure où on ne peut même pas savoir si tous les cas ayant une maladie liée au SIDA ont en même temps un T4<200 et une CV détéctable. Pour moi la vrai question qui se pose ici c'est: - Est-ce que ces cas (non causés pas VIH) sont comptabilisés ou pas dans les décés dus au SIDA dans les statistiques officielles? Ciao
  11. La conclusion de cet article: Donc ils disent que: les causes principales de décés des Séropositifs adultes sont: - les diagnostques tardifs - des causes non liées au VIH (1/3) Biensur j'imagine que le reste des cas sont considérés comme causé par le VIH, tout simplement parce que les symptômes/maladies développées sont déjà classées par l'orthodoxie comme liées au VIH. Enfin une autre observation: sur les 397 décés, 4 sont dus à des overdoses de drogues injectées!!! Quelle incidence!! Intéressant!!!
  12. Voilà qui justifie, même en partiellement, les inquiétudes de la dissidance: Un article paru dans la presse le 18 Octobre: UK BHIVA: Un tier des décés de S+ ne sont pas directement liés au VIH Selon cet article il semble la cause de décés de 1/3 des britanniques séropositives n'est pas le VIH. D'autres causes comme: Cancers non liés au SIDA (7,8%) Effondrement du Foie (5,7%) Maladies cardiovasculaires (4,4%) Suicide (1,8%) Et bien d'autres. Ciao
  13. Cheminot, oui c'est vrai. Mais si dans un couple une partie est séroconvertie, l'orthodoxie considère que c'est une transmission par voie sexuelle. Je ne crois pas qu'ils font des diagnostiques différentiels! Cependant dans cette affaire, l'article de presse dit que l'inculpé (qui connait sa S+ité) a eu des rapports non protégés avec 3 femmes. Je ne sais pas si celle-ci ont était "contaminées" par suite de ses rapports! Peu être que oui, et si c'est le cas, il y a beaucoup de questions qui se posent. En plus, si l'otrthodoxie admet que le préservatif a une fiabilité de protection de 80%, je trouve complètement illogique d'inculper ce genre de personnes a cause de rapports non protégés. En effet, même les rapports protégés ne "protègent'' pas à 100%. J'avoue que je ne comprends pas l'approche suivie par la justice et le fondement de l'inculpation!
  14. Salut Amédeo, Le problème dans cette affaire n'est pas directement lié à la fiabilité des kits de test du VIH. Le problème principal c'est la transmissibilité ou non du VIH par voie sexuelle. Plus précisemment, est-ce que réagir positivement au test VIH se transmet sexuellement. Pusique dans cette affaire il s'agit de couples hétérosexuels, la meilleure étude en la matière qu'il convient d'utiliser c'est celle de padian. Parcontre le Perth Group voulait allez plus loin (montrer qu'il y a pas de peruve d'existance du VIH), je trouve que c'est trop risqué, mais si ça marche c'est un grand pas. Ciao
  15. Salut Psyence, Je partage quelque part ton avis sur ce point, néanmoins, je crois qu'il convient d'avouer que les "faits" sont 1- mesurés par des instruments crées en grande partie par l'orthodoxie (Test VIH, Definiton du SIDA, etc .) 2- influencés par des pratiques créees aussi par l'orthodoxie (AZT, Stress psychologique, etc .) Etant donné que la fiabilité ainsi que l'efficacité de tels instruments et pratiques est clairement douteuse, ceux qui remettent en cause la théorie virale ne disposent pas d'un terrain neutre où il peuvent valider leurs hypothèses. En d'autres termes les "faits" sont déjà déformés à la base et il devient très difficile à la dissidence de conduire des recheches quantitative basées sur des éléments statistiques neutres. (Rappelles-toi de tes recherches sur la tuberculose avec et sans SIDA). C'est pour celà que je crois que l'approche de Al-Bayati est la plus convenable car elle est qualitative dans la mesure où elle se base sur des cas bien identifiés et des techniques concrêtes (comme par example le diagnostique différentiel). Une telle approche est complètement protégée contre la pollution induite par les "faits" déformés par les instruments de l'orthodoxie. Le point faible de l'approche qualitative est qu'elle n'apporte pas rapidement des conclusions générales, mais son point fort c'est qu'elle montre pragmatiquement sur le terrain que la cause d'un cas de SIDA envisagé ou d'une mort suspecte n'est pas le VIH. En effet, a ce que je sais, dans tous les cas examinés par Al-Bayati jusque là, le VIH n'était pas du tout la cause, et une autre cause a été clairement diagnostiquée dans chaqu'un des cas. J'attends vraiment quand Al-Bayati tombera sur un cas où il n'arrive pas à identifier la cause, auquel cas il ne lui reste théoriquement que le VIH. Psyence, je me demande si notre accord sur le fait que "la cause de l'immuno-déficience est non-identifiée pour les premiers cas des années 80" ne soit lui aussi influencé par les travaux de l'orthodoxie. (Selon Al-Bayati, le CDC et l'estabilshment du SIDA n'ont pas conduit des diagnostiques différentiels examinant le rôle d'agents non-infectieux dans le SIDA avant de "trouver" le VIH). Enfin, je me pose la question, combien de personnes comme Elisa Jane (ou autres cas examinés par Al-Bayati) sont considérées comme mort (ou atteint du SIDA à cause) du VIH alors qu'il ne le sont pas a cause du VIH? Et combien de diagnostics différentiels ont étaient conduits pour le compte de personnes atteints du SIDA tout en étant S+? Ciao
  16. Oh là là ça commence a déraper là. Psycence, je crois que l'émotionnel est toujours présent dans nos raisonnements qu'en on soit concient ou pas. Seuelement dans des raisonnements soutenus par des lanaguages formels il est tout a fait impossible d'avoir une influence des émotions (ou des préferences, des interets etc.). Ce qui n'est pas le cas des recherches sur le SIDA. Donc les chercheurs d'aujourd'hui sont souvent soumis a leurs émotions et intêrets que ce soit du coté de l'othodoxie ou de la dissidence. C'est la vie, on doit faire avec. Sincèrement après avoir lu beaucoup sur ce sujet je crois que l'orthodoxie aussi bien que la dissidence sont incapables d'établir une théorie consistante avec les faits. Je comprends que la dissdence a ses excuses, mais le fait est là! Des cas d'immuno-déficience existaient bien avant les années 80 mais c'est surtout le phénomène déclanché chez les gays de SF, LA et NY qui a attiré l'attention des chercheurs, le motif était que la cause de l'immuno-déficeince n'était pas identifié chez ces jeunes qui developpaient bizarrement des KS et des pneumocystos. Alors il convient parfaitement de dire q'il y a certaiement un NOUVEL agent responsable de ce phénomène nommé SIDA. Mais la question principale est: quel est la nature de cet agent? L'orthodoxie a donné sa réponse pragmatique (VIH) et continue sans cesse a forunir des justifications pour les inconsistances de cette théories. Quand à la dissidence, a ma connaissance elle n'a pas donné une réponse concrète mais elle reste au niveau questionnement et elle avance des théories (telque le stress oxydant) qui peuvent peut être expliquer le phénomène apparu au début des années 80 mais qui ne propose pas une identification claire de l'agent (ou des agents) responsable. Enfin, je crois qu'il y a un chercheur qui essaye de répondre pargamatiquement a cette question: c'est Dr. Al-Bayati qui n'est malheureusement pas très référencé par la dissidence. Ici un de ses articles qui pointe clairement du doigt: - L'aprobation par le FDA en 1976 de l'uage des glucocorticoides aersol pour le traitement de maladie respiratoires - L'usage accentué des nitrites alkyl dans les années 70 - L'usage du corticostéroides pour le traitement des maladie gastrointestinales Bonne lecture, Ciao
  17. Chimanot, Ce que tu qualifies de véritable argument ne représente absolument rien à mon sens. Du fait que l'orthodoxie elle même reconnait que le traitements ne font que prolonger l'espérence de vie et que de toute façons les patients vont succomber au SIDA tôt ou tard (sauf pour ceux qui sont disparu pour d'autres raisons), cet argment ne tient pas debout. Je m'explique: la baisse continue du taux de mortalité annuelle, ne peut logiquement continuer car les traitements n'ont fait que retarder l'échéance. Donc la majorité des S+ selon la théorie de l'othodoxie doivent succomber au SIDA un jour. Alors qu'avec rythme soutenu de 200 par ans, il faut des siècles pour en venir ce qui n'est pas du tout logique. Et puis ce n'est pas clair dans l'article de quelle drogue et de quelle année on parle! Ciao
  18. Merci Wallypat et Chimanot pour vos clarifications. Parcontre en regardant le tableau 2 je vois que Duesberg met aussi le KS dans la catégorie des maladies non microbiennes. Est-ce cela veut dire que Duesberg aussi (du moins jusqu'à 2003) ne crois pas à la thèse HHV8 --> KS? Intéressant!!
  19. Petite question qui m'est juste venueà la tête: Pourquoi il y n'y avait pas de phénomène de SIDA chez les consommateurs de drogues par voie IV avant les années 80? - Peut être beaucoup d'entre eux tombaient malades ou mourraient prématurémment, mais on ne savait pas encore que c t le SIDA. Peut être, je ne sais pas! Vous avez une idée là dessus?
  20. Le VIH est débattu dans une affaire judiciaire en Australie! Lien Sujet: Le VIH n'est pas sexuellement transmissible !!
  21. Oui, il y a plus que 20 minutes dispo. Wallypat, je ne crois que ce film est entièrement basé sur la théorie de Duesberg. Ce film est beaucoup plus général, il met en question l'hypthèse orthodoxe sans être du côté d'une théorie ou d'une autre. Regarde par example les interventions remarquables de Kary Millus. Ciao
  22. delwere

    Le glutathion

    Après les co-infections et les co-facteurs c'est les co-thérapies et pourquoi pas une co-hypothèse pour le SIDA. "Il semble que le cidre est plus efficace pour l'ivresse quand il est consommé avec des bonnes doses de Wisky"!! Je crois fermement à ce qu'a dit Kary Mullis "Ils ne sont pas 30.000 chercheurs indépendants qui travaillent dans 30.000 contextes différents et qui suivent 30.000 directions différentes. Ils sont plutôt 30.000 chercheurs du même club payé par la même "entreprise" qui travaillent sur la même direction et c'est pour cette direction qu'ils sont payés". Alors cette démarche cumulative ne métonne pas: si mono-thérapie et tri-thérapie pourquoi pas une quadri-thérapie!!
  23. delwere

    Oxyde nitrique

    Terry, Taxer un groupe de recherche comme le Perth d'homophobe, a mon avis, est une approche peu constructive. La question des gay qui baisent sans protection et qui utilisent des tonnes poppers sans pour autant devenir VIH+ tu pourras aussi la poser à l'orthodoxie (sans la partie poppers). La question des clubs échangistes également. Par contre tu dois aussi chercher chez les deux (othodoxie et dissidence) pourquoi l'incidence du SIDA chez les homos est toujours si élevée. Et pourquoi ce phénomène a commencé principalement chez les homos. Et là si tu taxe le Perth Group d'homophobe, je veux bien savoir de quoi tu taxerais l'othodoxie qui t'expliquerait que le virus venant d'un singe a débarqué chez les homos de LA, SF et NY avant de commencer son voyage à travers la planète.
  24. Majc1, Témoignage très intéressant en tous cas qui concorde bien avec ce qui se dit sur ce forum. (A part le fait que tu confond SIDA et VIH+, mais j'ai bien compris). Je crois que les membres de ce forum partagent ton point de vue. J'ai bien aimé ton passage: "évidemment j'ai eu de nombreux rapports non protégés avec elle...." J'imagine que la cause de cette prise de risque c'est plutot l'amour " l'amour l'a emporté sur la peur"...sic ..; Donc je propose a l'orthodoxie d'examiner "l'amour" en tant que facteur de risque de transmission de HIV Ciao
  25. Vu la non spécifité du dit "test VIH" il est tout a fait normal de ne pas pouvoir facilement distinguer co-facteur et cross-reaction! Pour moi ces contructions (co-facteur, facteur de risque etc ..) ne sont que des arguments servant à maintenir l'hypothèse virale. Il est clair que si on veut pas remettre l'hypothèse de base en question, ces constructions se présentent comme permettant de mieux raffiner les résultats déjà obtenus en ajoutant des co-facteurs, des facteurs de risque etc... cela me rappelle un post où on présente le tabagisme comme un facteur de risque d'infection par VIH en prétendant que les fumeurs ont plus tendance a ne pas utliser les préservatifs!! Dans d'autres posts la pauvreté (mal nutrition) était aussi pointée du doigt. Je crois que si l'on essaye de collecter tous ce que l'orthodoxie identifie comme co-facteur ou comme facteur de risque on trouvera ceratinement un point commun entre eux qui est: - Source de stress oxydant - De nature a rendre le test VIH positif. Pourtant l'orthodoxie voit les choses de travers du genre "Fumeurs = mauvaise dicipline quant'a l'usage des préservatifs" ou encore "pauvreté = plus de rappaort sexuels a risque". Entre le "test de VIH" qu'on sait pas vraiment ce qu'il teste, et la relation entre VIH et SIDA on est vraimet dans l'irrationel et toutes les spéculations sont possibles. Je vous consielle vivement de lire ces trois articles (en anglais ici) sur le VIH. Je n'ai pas vu mieux en termes d'étude du VIH!!! Ces articles énumèrent les situations dans lesquelles le test VIH régit positivement. Après avoir lu cet article j'ai conclu que: - Dire que le VIH provoque les SIDA c'est exactement comme dire que "Les malades du SIDA ont certainement un état de santé qui peut être qualifié de "Mauvais" avant développer le SIDA. Cet état de santé a facilité l'évolution vers le SIDA". Ciao
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