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delwere

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  1. Salut Psyence, J'attends toujours ta réponse après mon dernier post sur le "safe sex" et le "haut risque". Entre temps voici le simple calcul 1- Données: Donc on voit bien que la borne Minimale du risque anal réceptif PROTEGE (1/1000) est plus élevée que le borne Maximale du risque vaginal incertif NON PROTEGE (0,5/1000). Ceci étant le MEILLEUR des cas (pour une fibailité de 80%). Disons que le risque est le même! Je veux bien comprendre pourquoi l'anal réceptif protégé est considéré comme pratique saine "safe sex" alors que le vaginal insertif non protégé est considéré comme "haut risque". A mon avis ces concepts sont simplement relatifs de sorte que deux qualificatifs complètement opposées peuvent signifier exactement le même niveau de risque!
  2. Salut Wallypat, Ooops! tu as raison j'étais un peu rapide.J'ai piqué ce lien dans un forum anglais sans faire attention aux détails. Je m'en excuse!! Donc effectivement il n'irait pas en Australie mais il est quand même impliqué en tant que témoin. Ce qui est aussi très important! Le grand risque est que si cette affaire sera perdu par le PG (ce qui sera certainement le cas), elle risque de devnir une sorte de jurice-prudence où la réponse à toute affirmation venant du PG sera répondu par un simple lien internet pointant sur la conclusion du jugement. Je crois que cette affaire constitue un tournant très important pour le futur du groupe de perth. Wallypat, a ma connaissance tu es juriste, peut être avocat (je ne suis pas sûr) et en tant que grand supporter de la théorie du perth as tu envisagé de les aider dans cette affaire, c'est très important!
  3. Waww!!! R. Gallo s'envole pour l'Australie. Ca devient très sérieux. Enfin, il a fallu monter à la source du "VIH" pour pouvoir discuter avec le Perth Group. En tous cas: avoir Gallo et le Perth Group dans une même salle devant la justice témoigne d'un succès incontestable d'un groupe considéré comme l'un des plus radicaux des dissidents! Quelque soit le résultat de cette affaire, l'arrivé de Gallo montre a quel point le PG est pris au sérieux même s'il est presque insulté par la presse (exemple dans cet article ils disent que le PG ne crois pas que la maladie existe - le comble de la désinformation). lien
  4. Merci Wallypat! To explication est très claire. D'autant plus que le stress oxydatif chère au PG est bien mesurable donc ce n'est pas un concept abstrait qui regroupe toutes les théories incomplètes. Et même s'il n'existe pas un seuil bien défini de stress oxydatif qui permet de prédire la séropositivité ou le SIDA cela se comprend parfaitement car dépendant du terrain. A ton avis, quel devrait être la solution pour les cas de séropositivités causés par les rétrovirus? Car pour cela il semble difficile de se débarasser de ces rétrovirus et donc de prévenir le SIDA. Merci
  5. Salut Psyence, Mais biensur que 60 à 85% ne veut pas dire 15 à 40% de risque d'être infecté Supposant que le risque moyens d'infection sans protection est de l'ordre de 1/1000, avec protection celui là passe à 1/5000 (sur la base d'une fiablité de 80% du préservatif). Sincèrement 1/1000 ou 1/5000, pour une infection supposée mortelle, pour moi c'est la même risque. Ou encore on peut voir la chose comme celà: 5 rapports protégés présentent le même risque qu'un seul rapport non protégé eh bien oui en termes de probabilité c'est exacte!! Aussi (sans refaire les détails), avec une fiabilité de 80% le risque d'infection dans un rapport anal récéptif protogé et presque le même (voir plus élevé) que le risque d'un vaginal insertif non protégé (si l'on se base sur le probas de transmission officielles). Alors si on considère comme "à haut risque" le vaginal récéptif non protégé, pourquoi considèrent-on "safe sex" un anal récéptif protégé alors que le risque de transmission est presque le même !!!! (Je peux te refaire le calcul simple si tu veux). J'ai fais cette constation il y a longtemps sur ce forum et je suis toujours surpris de cette contradiction issue de l'orthodoxie. Je suis scandalisé par les spots télévisés qui encouragent les couples sérodiscodants à vivre ensemble tout en se protegeant, sachant que la recherche scientifique démontre que le risque d'infection n'est réduit que d'un facteur de 5 (voir 3 pour certaines recherches) quant à l'usage du préservatif!!! Merci
  6. Salut F. de Diamant, Je n'ai pas pu trouver dans le lien que tu as donné des discussions à propose de ce sujet. Sinon, je crois que cette hypothèse n'est pas bien adressée dans ce forum. Cette hypothèse qui préconise qu'une collection de virus peuvent mutuellment se "transactiver" et donc affaiblir le système immunitaire. Cela pourrait expliquer le fait que chez le sidéens on trouve généralement un bon nombre de virus qui sont à eux seuls immunosuppresseurs. D'autres chercheurs vont dans le sens de cette hypothèse. Par exemple ici: Auriez-vous des infos par exemple de la part du groupe de Perth qui adressent cette hypthèse? Merci
  7. Salut Cheminot, Je ne vois pas comment pourrait-on défendre de cette manière le fait que le VIH ne se propage pas dans la population générale. Si les prostituées sont infectées (en majorité ou en minorité celà ne changera rien ce n'est qu'une histoire de temps) elle infecteront leurs clients. Le fait que le comportement soit à risque ou pas (d'ailleur je ne sais pas ce que c'est exactement un comportement à risque et de combien il est le risque) ne changera pas grand chose car ce qu'on appelle "protected sex" c'est l'uage convenable du préservatif, et j'ai mentionné maintes fois sur ce site que les recherches sur la fiabilité du priservatif quant à la tansmission du VIH montrent une fiabilité de 60% à 85%. Donc la comparaison de l'Afrique à l'Europe en matière de comportement sexuel n'est pas rigoureuse a mon avis car ce qu'on appelle "protected sex" ou "comportement à haut risque" sont des construits très mal définis et très relatifs. Par exemple moi je trouve l'usage du préservatif comme étant un comportement à haut risque et comme étant un "unprotected sex", simplement parcequ'une fiablité de 60 à 85% me semble très basse quand il s'agit d'une infection mortelle. Et pour finir, cette phrase de Chin "unless the clients or partners of people in these groups also indulge in high-risk behaviour, the virus will not spread" veut dire pour moi simplement que le virus se propage normalement dans la population générale. Ciao
  8. Salut, Dans cet article du même organisme (INVS) qui a publié les statistiques des cas du SIDA (incluant ceux que ne se savent pas séropositif avant le SIDA) j'ai trouvé la définition suivante: Je suppose ici que le test positif précède le diagnostic de SIDA. Sinon l'information n'a aucun sens logique. Donc la question qui se pose est: pourquoi 3 mois avant le SIDA??? Pourquoi pas le jour même ou la semaine même et pourquoi le test AVANT le SIDA??? C'est à dire: une personne se présente à l'hôpital où chez son médecin avec des symptômes d'une des 29 maladies définissant le SIDA. Normalement c'est en ce moment que la maladie est diagnotiquée et que le test VIH est exigé pour confirmer que c'est bien le SIDA et non une ICL ou autre tuberculose (cela ne devrait pas prendre plus d'une semain een france). Donc le SIDA sans la connaissance de séropositivité pour moi c'est plutôt un diagnostic d'une maladie définissant le SIDA qui précède de peu une confirmation avec un test de VIH et non le contraire!!! Seulement que les statistiques que j'avais reporté dans les posts présendents ne se basent pas sur cette règle (évidente à mon sens). Au contraire elles comptent le nombre de personnes qui ont été dignostiquées sidéennes dans les 3 mois qui ont suivi un test positif et les considèrent comme cas de SIDA sans connaissance préalable de séropositivité!!! J'avoue que je ne comprends pas le pourquoi d'une telle règle de calcul. En 3 mois plein de choses peuvent se produire après un test positif au VIH (sans diganostic du SIDA):le choc de la nouvelle, peut être le commencement d'un traitement, l'effondrement psychologique de certains etc. Il se peut que ce délai de 3 mois aurait une explication tout a fait logique, en tous cas moi je ne l'ai pas trouvé. Pourriez vous m'aider à comprendre pourquoi on utilise cette fenêtre de 3 mois (D'ailleur pourquoi pas 6 mois ou un ans ou 10 ans). Les erreurs dues aux délais de déclarations relatifs aux infections et aux diagnostics du SIDA sont a écarter car elle n'ont de sens que pour la dernière année des statistiques. Psyence, ce n'est pas un méchanisme de plus inventé par les orthodoxes pour appuyer la corrélation VIH SIDA et gommer les incohérences, à ton avis? Dans tous les cas cette définition ne fait que dimunier le nombre de cas de SIDA qui ne se savant pas (vraiment) séropositif avant le diagnostic. Ce qui laisse la porte ouverte à toutes les questions concernant l'évolution de ceux qui ne savent pas séropositifs. Ciao
  9. Psyence, Aixur, Je crois que je commence à comprendre l'approche de Psyence dans son débat avec Wallypat. Effectivement des coïncidences entre deux variables font croire à une corrélation alors il se peut qu'il n'ya aucun lien entre les deux. Au début de l'affaire SIDA, le cytomégalovirus (CMV) était identifié comme un très sérieux candidat comme cause de SIDA mais cette piste à été rapidement abondonnée malgrès le fait qu'on a trouvé ce virus chez plus que 99% des sidéens (je n'ai pas la référence sous la main mais je suis sûr que j'ai lu cette information dans article de Duesberg). Le CMV n'est plus considéré comme coupable même s'il est omniprésent chez les sidéens car tout simplement en Afrique et dans 'autre spays en voie de développement presque 100% des gens le portent dansleur sang (avec les anticorps). Ce serait alors insensé de dire que le CMV est la caused du SIDA. Le CMV est un virus connu avant le SIDA, il n'était donc pas possible de le truquer afain de recalibrer le test des anticorps (comme pou rle VIH dilution de 400). Le test de VIH régit prositivement chez les sidéens (ne général), je crois sincèrement que le test a été calibré pour cela. Pour les autres, si le test régit positivement pour une raison ou une autre, eh bien, comme dit Psyence, il faut juste attendre qu'une des 26 maladies se développe catalisées par les antiviraux et une bonne dose de stress psychologique. Si la maladie ne se développe pas, eh bien la personne sera nommée "long term survivor". Comme je l'ai montré dans des posts précedents, parmis ceux qui ne connaissent rien sur leur séropositivité, seulement 500 (hétérosexuels) par an développent une des 29 maladies en France. Ce nombre semble être contant depuis 1990 (d'après les données disponibles). Je suis donc du coté de Psyence dans son approche, on ne peut pas dire qu'il y a corrélation entre VIH et SIDA, il y a plutot des méchanismes mis en place qui font croire à cette corrélation voulue dès le départ.
  10. Salut, Si j'ai bien compris cet article, il semblerait que les femmes la séropositives chez la femmes constitue un facteur de risque dans les décès suite à des accidents ou des blessures graves!!! Il y-t-il autre chose que le VIH n'est pas capable de provoquer? à part l'ICL (Idiopathic CD4+ T-lymphocytopenia) Enfin avec in tel raisonnement, je crois que j'ai trouvé l'infection responsable du SIDA. C'est tout simplement la vie!!! Une fois infectée, une personne passe en mode asymptômatique. Cela pourrait durer entre 1 jour et 114 ans avant de dévlopper les symptômes. La vie est aussi la cause de toutes les autres maladies et surtout de la mort. Une bonne alimenation et une parfaite hygiène de vie pourrait retarder l'apparition des symptômes ainsi que le décès qui s'en suit. Pour le moment la recherches n'ont par réussi à complètement stopper les effet de cette infection. Egalement toutes les tentatives de vaccins ont échoué. Le plus agé de survivants est une femme qui est actuellement au Japon et qui cumule 114 ans depuis son infection. Cette infection se transmet seulement en mode vertical. Des tentatives d'infection par clonage ont échouées. En france on compte autour de 900.000 nouvelles infections par ans et ce nombre est en constante augmentation. C'est vraiment inquiétant !!! Dans d'autres pays cette infection est même responsable de famine et selon certains "c'est la bite des noirs" qui constitue le pricipal cofacteur. Enfin, on a aussi constaté que certaines personnes peuvent évlouer brutalement vers la mort suite à des accidents motel. Il a été prouvé que ces personnes aussi on été infectées par la vie.
  11. delwere

    Guérir le Sida!

    Impressionnant! Il y a quelques chercheurs orthodoxes qui se penchent sur les effets de la Spiruline. ici. Biensur les études sont faites dans le sens du virus. J'ai bien aimé "soupçonné". C'est quand même un bilogiste qui le dit!! Selon Monatagnier (ici) la spiruline ainsi que d'autres substances naturelles à titre de complément alimentaire (enfin une bonne alimentation en général) renforce le système immunitaire afin de: 1- Mieux se protéger contre l'infection VIH 2- Retarder les stade du SIDA pour les positifs 3- Aide le patient a mieux supporter les effets des 3thérapies Enfin, ça se discute!
  12. Et son booquin vient de sortir: amazon
  13. Psyence, Très intéressante conclusion. J'ajouterai que le fait que la "sérpositivité" pourrait parfois témoigner d'une défense contre une cause qui soit sexuellement transmissible (Jeff-Lyon a donné un temoignage là-dessus) rend les choses encore beaucoup plus compliquées. Surtout en ce qui concerne les effets!! FYI: Il semble que le nouveau livre de Culshaw est déjà en vente! A+
  14. Salut, Je ne sais pas si cette hypothèse a été abordée dans ce forum. Si c'est le cas pourriez-vous me fournir les liens? sinon: Kary Mullis (Prix Nobel 93) a dit ici que : Traduction approximative: Je ne sais pas si c'est vraiment la cas, mais il me semble que Mullis pense que le SIDA est la résultante de plusieurs rétrovirus!!! Auriez-vous une idée sur ce sujet? Merci
  15. Salut a tous, Je crois que ce sujet est parti dans une autre direction (celle d'une importante discussion entre wallypat et Psyence - je propose de creer un topic la-dessus). En ce qui concerne le sujet principal de ce topic: L'historique en France des cas de SIDA parmis ceux qui ne se savent pas séropositifs avant le SIDA je le reprendrais quand j'aurais le temps. Les données que j'ai trouvé jusqu'a maintenant couvrent la période de 1994 à 2004 pour le hétéro sexuels. Ces données montrent clairement que le nombre des cas de SIDA par an chez ceux qui ne se savent pas séropositifs est vrituellment constant autour de 500/an en France. Alors que pour ceux qui se savent séropositifs et qui prennent des traitement le nombre varie énormément (très évlevé en 94 et bas en 2004). C'est d'ailleur ce nombre qui donne à l'historique global des cas de SIDA sa forme actuelle: Bas en 83, très haut en 94 et forte baisse entamée en 95 jusqu'a ces jours. Alors que l'historique des cas de SIDA chez ceux qui ne se savent pas VIH+ quand a lui est contant (depuis 94, avant 94 données encore introuvables). Alors de deux choses l'une: 1- Ceux qui savent leur séropositivité à l'avance et qui profitent des traitements ont de fortes chances de ne pas devélopper de SIDA après 94 (ultilsant les 3thérapies). Mais cela veut dire qu'en 94 Il y avait en France plus de personnes qui se savent S+ que ceux qui ne se savent pas. (Pour le moment je n'adhère pas à un tel constat car je ne vois pas comment il était possible avant 94 de découvrir la majorité des séropositifs en france sachant que l'infection VIH est dans la plupart des cas aysmptômatique et non-spécifique. Je ne vois pas comment on a pu faire de sorte à garder le nombre de ceux qui ne se connaissent pas S+ avant le SIDA virtuellement constant). 2- C'est les traitements d'avant 94 (ainsi que les autres facteurs auxquels sont soumis les S+ bien détaillés dans ce forum) qui ont contribué au développment de SIDA chez ceux qui sont sous traitement ce qui explique la baisse du nombre des cas de SIDA après 94. Et que 500/ans n'est que le nombre de personnes par ans qui développent chacun une des ~30 maladies rares caractéristiques du SIDA sans se savoir séropostif à l'avance. (Si je ne trouve pas une explication logique de ce nombre réduit et constant de ceux qui ne savent pas S+, cette option serait la plus réaliste). Je creuserais encore plus quand j'aurais le temps. Merci
  16. Psyence, La baisse des cas de SIDA pour ceux qui utilisent les traitements est BIENSUR causée par les traitements (c'est l'évidence même). Mais de quelle façon? est-ce que les 3thérapies sont plus efficaces que l'AZT ou moins toxiques que l'AZT? c'est une autre question. Mais, dans les deux cas ma question ne se pose pas la-dessus. Ma question se pose sur ceux qui ne se savent pas S+. Etant S+ sans le savoir veut dire naturellement pas de thérapie et orthodoxement une évolution automatique vers le SIDA dans une moyenne de 8 ans. Donc selon l'orthodoxie TOUS ceux qui ne savent pas qu'ils sont S+ vont faire un SIDA dans ce délai. Alors mes questions: - Pourquoi ce nombre est constant a travers les années? - Pourquoi est-il si petit? Sachant que l'infection VIH est asymptômatique dans la plupart des cas (sinon ayant des symptômes non spécifiques) le nombre de personnes infectées et non testée doit être très élevé par rapport à ceux qui sont infectés et qui ont fait un test. Le fait qu'une personne pourrait rester 8 ans sans connaitre sa sérologie ne ferait qu'augmenter le risque d'infection d'autres personnes ce qui augmentera naturellement le nombre de personnes ne se savant pas S+, donc augmentera orthodoxement le nombre de cas de SIDA de cette population (avec une latence de 8 ans). Il se trouve que je n'ai pas assez de temps pour effectuer des recherces sur ce sujet, mais j'ajouterais que dans plusieurs pays (hors Afrique subsaharienne) où les tests du VIH ne sont pas commodes, la majorité des cas de SIDA surviennent chez ceux qui ne se savent pas S+ et que le nombre de ces cas demeure réduit et virtuellement constant à travers les années. (je metterais ici les références quand je les aurais retrouvées). Voilà
  17. Statisiques Dans ce document, j'ai trouvé des statistiques (page 15, figure 7) qui montrent les cas de SIDA chez ceux qui ne se savent pas séropo. Cela sont groupés en Homo, Usagers de Drogues et Hétéros. On remarque une légère baisse de 1994 à 2004 pour les homos ne se savant pas séropositif, de même pour le usagers des drogues. Je dirait que cette baisse serait due au fait que les homos et les usagers des drogues se reconnaissent comme faisant partie des groupes a risque et ont tendance à fair le test beaucoup plus que les hétéero (ce n'est qu'une hypothèe). Cepenedant une telle baisse reste beaucoup moins accentuée comparée à celle des usagers des traitements. Pour le hétéros, il n'y a pas de doute, le nombre de cas de SIDA parmis ceux qui ne se savent pas séropositifs, reste virtuellement contant autour de 450 cas par an. Alors que pour ceux qui utilisent les traitements le nombre passe de ~550 en 1994 à ~50 en 2004!!! Je continue à chercher (dure à trouver!!) les chiffres d'avant 1994. Mais jusque là, les faits sont vraiment percutants. Enfin, si l'on crois à la théorie orthodoxe et étant 26 ans après l'apparition du SIDA: le nombre de nouveaux cas de HIV non découvert par an DOIT avoir une moyenne de 450-500, autrement la théorie ne tiendrait tout simplement pas. Alors seulement 450~500 nouvelles infections par an non dépistés (en France) est une chose à la quelle j'aurais vraiment du mal a croire même si le test VIH deviendrait une routine!!!
  18. Merci Wallypat pour cette confirmation. Le fait que le nombre des cas de SIDA parmis ceux qui ne se savent pas séropositifs est presque constant en France (à confirmer avec des chiffres avant 94 et après 2000) reste un fait assez troublant! Je suis en train de cherccher les chiffres qui couvrent la période 1983 - 2005 concernant les cas de SIDA parmis ceux qui ne se savent pas séropositifs. Je m'attends a voir leur nombre augmenter à chaque fois qu'une nouvelle maladie a été adoptée comme caratéritique du SIDA. Sinon ce nombre doit rester virtuellement constant a parir de 93 (Il y a plus de nouvelles maladies adoptées) comme le montre la courbe. Si cela se confirme je serais tout a fait prêt à défier toute personne disant que le VIH est un virus transmissble causant inévitablement le SIDA dans un délai de latence de moyenne 8 ans. Et toute personne qui dirait que l'idnvention de la 3thérapie a contribué à réduire les cas de SIDA par son efficacité. Je sais que je me répète, mais je trouve toujours plus que troublant le fait que le nombre des personnes qui ne se savent pas séropositifs soit inférieur à celui qui le savent (surtout avant le SIDA), pour un virus aussi scilencieux (asymptômatique). Et même s'il s'avère que c'est vraiment le cas (comme par hazard), je trouve très troublant que ce nombre n'évolue pas étant donné le caratère transmissible du virus surtout par des personnes qui ne savent pas qu'ils le portent dans leur sang. Enfin, mon avis actuel est le suivant: ceux qui développent le SIDA sans connaitre leur séropositivité sont simplement ceux qui ont dévloppé des maladies rares (leur nombre le confirme) et qui ont eu le malheur que ces maladies font partie du SIDA et font réagir le test du VIH positivement. Ceci expliquerait aussi leur nombre virtuellement constant. Les commentairs sont les bien venus!
  19. Ce graphique est extrait de Cette page web "SIDA & VIH, Bilan épidémiologique à l'occasion de la journée mondiale du sida du 1er décembre 2000" J'ai vraiment du mal a interprêter ces courbes en ayant en tête les théories orthodoxe. 1- Il semble que le nombre de cas de SIDA par an est quasi-constant pour ceux qui ne connaissent pas leur séropositivité. (Légère dimunition en 99) 2- Le nombre de cas de SIDA par an pour ceux qui connaissent leur séropositivité et qui ne prenent pas de traitement semble diminuer aussi mais légèrement 3- Pour ceux qui sont sous traitement on observe une baisse énorme autour de 96 des cas de SIDA. Donc on peut dire que la tri-thérapie a fait baissé le nombre de cas de SIDA de ceux qui sont sous traitement. Logique! Je ne sais pas pourquoi le nombre de cas de SIDA parmi ceux connaissant leur séropositivité et qui ne prennent pas de traitement a diminué!! Il y a peut être de moins en moins de VIH+ qui ne prennent pas de traitement. Logique! Et pour le reste de la population. Il est difficile de connaitre le nombre des séropositifs qui ignorent qu'ils le sont, mais pour un virus presque asymptomatique avant le SIDA (pendant une moyenne de 8 ans et sexuellement transmissible) je vois mal comment le nombre de cas de SIDA parmi eux soit assez faible (surout en 94) par rapport a ceux qui connaissent leur séropositivité. Par exemple en 94, 2500 personnes connaissant leur séropositivité ont dévloppé le SIDA. Seulement 500 personnens ne connaissant pas leur séropositivité ont dévloppé le SIDA en France. Donc le le nombre de ceux qui ne connaissent pas leur Séropositivité peut être estimé au 1/6 des VIH+ si l'on suppose que les mono-thérapie n'ont servi a rien. Dans tous les cas, les belles courbes qui montrent que les cas de SIDA ont largement diminué a partir de 94 suite aux 3thérapies s'appliquent surtout sur ceux qui prennent le traitement mais pas sur ceux qui ne connaissent pas leur séropositivité (donc ne prennent certainement pas de traitement). Il semblerait qu'en 94 on a plus de chance de dévlopper le SIDA si on connais sa séropositivité (et surtout si on est sous traitement) que si on ne la connais pas!! Je dit ça car je crois profondément qu'avant de dévlopper le SIDA il devrait y avoir beaucoup plus de personnes qui ne connaissent pas leur séropositivité que de personnes qui la connaissent. Enfin, je ne sais pas comment les diffrénent pays estiment le nombre de personnes vivant avec le VIH sans le savoir. Mais si l'on crois que la latence pour le SIDA est d'une moyenne de 8 ans. On devrait déjà atteindre le régime stationnaire, c'est a dire autour de 500 personnes par an (car 500 cas de SIDA par an). Or, pour un virus aussi silencieux je ne vois pas de quel manière la France a réussi a identifier 6000 nouveaux cas de VIH+ et n'a raté que 500 en 2005! Pourquoi le nombre de cas de SIDA parmi ceux qui ne connaissent pas leur séropositivité n'est pas en constante augmentation????? Donc pourquoi le nombre de ceux qui ne connaissent pas leur séropositivité n'est pas en constante augmentation (voire exponentielle). J'aurais du mal à comprendre comment un tel nombre pourrait rester constant ou diminuer pour une infection aussi silencieuse et à longue latence? C'est encore à creuser. mais je crois que la piste qui consiste a étudier les chiffres sur les personnes faisant le SIDA sans savaoir qu'ils étaient VIH+ (surtout dans des pays comme Israel ou le nombre de ceux qui savent qu'ils sont VIH+ est preseque équivalent au nombre de ceux qui ne connaissnet pas leur S+vité (estinamtion)) pourrait lever quelques ambigiutés. Merci
  20. Wallypat, Il est certain que des publications appuiées par des références internationales et reviewvées sérieusement sont plus crédibles qu'un texte nu. Parcontre, et même si je vois beaucoup d'ambiguïtés dans la proposition du docteur XXX je reste persudé qu'il pourrait exister des approches non prouvés scientifiquement mais qui marchent. Quand a leur preueves scientifiques elles pourraient être découvertes un jour.
  21. Tonio, Cette théorie semble en bonne adéquation avec le SIDA africain. Parcontre je ne vois pas comment une telle théorie expliquerait le fait que l'incidence du VIH/SIDA est plus importante chez les homos et les usagers des drogues en europe et aux usa. "Probablement ils utilisent beaucoup plus de benzène que les autres !!! "
  22. delwere

    incroyable mais vrai !

    Salut Docteur Vincent, 1- De quel genre de stress parles-tu? 2- Par quel moyen un pourrakit être fragilisé, par le stress? Merci
  23. delwere

    incroyable mais vrai !

    Les préseravatifs sont là pour REDUIRE les risques de transmissions des MST y compris le VIH. Les recherches proposent que les préservatifs réduisent les risques de transmissions du VIH de 60% à 85%!!! ici un exmple qui parle de 80% si le préservatif est utilisé convenablement. Je ne comprends pas pourquoi des personnes continuent à avoir des relations sexuelles protégées (préservatif) avec des partenaires séroinconnus (à moins qu'il ne connaissent pas ces taux de fiabilité). Si on me dit que l'avion que je prendrais crashera avec une proba de 1/1000, je ne le prendrais pas. Et si on me dit qu'un machin réduirait se risque de 80% (donc 1/5000), je ne le prendrais pas non plus!! Je ne vois pas pourquoi un facteur de fiabilité de seulement 80% (pour une maldie mortelle) rassurerait autant ceux qui ont des relations sexuelles avec des partenaires séroinconnus. En plus si l'on se base sur les derniers chiffres officiels des probas de transmission du VIH et sur les taux de fiabilité des préservatifs on constatera que la proba de transmission de VIH en anal réceptif protégé est preserque égale à celle d'un rapport hétéro non protégé!!!
  24. Salut psyence, Pour être plus concrêt, penses-tu que Montagnier procède comme tu le dit: Une telle position me semble très très importante et pourrait être interprêtée de plusieurs façons. Ma propre analyse est que Montagnier, sans mettre en cause le rôle du VIH, propose une stratégie thérapeutique basée sur la stimulation du système immunitaire et sur une alimentation équilibrée pour combattre le SIDA (qu'il soit causé par le VIH ou pas). Montagnier rejette l'idée du vaccin et propose une thérapie/prévention qui va dans le sens contraire des 3thérapies actuelles. Autrement, ce qui est proposé ne va pas dans le sens du virus mais plutot dans le sens d'améliorer les capcité du corps humain afin qu'il puisse combattre efficacement le SIDA. Ciao
  25. Bien sûr cette histoire de circoncision n'est qu'un paramètre ridicule parmi d'autres chez les orthodoxes qui pissent des publications bidons. En parlant de l'islam et de l'Afrique. Je prends l'exemple de la Tunisie que je connais un peu plus que les autres pays de la région. Et vous allez voir comment la situation est si étonnante. C'est un pays musulman modérée qui reçoit 5 millions de touristes (en majorité européenne) par an et qui compte 10 millions d'habitants. Dans ce pays: 1- l'usage de toute sorte de drogues est très lourdement puni par la loi (prison ferme pour plusieurs années pour la moindre consommation). 2- Pas de famine, pas de problèmes majeur dans les conditions d'hygiène 3- Le système de santé est calqué sur celui de la France au niveau du savoir faire et des compétences mais bien sûr avec moins de moyens 4- L'homosexualité est un tabou social, mais elle existe et elle est très active (Sites webs, forums, associations, etc.) 5- L'alcool n'est pas interdit par la loi et peut être achetée dans les magasins, consommée dans les bars, restos, hôtels etc... 6- Le jeunes s'éclatent: sex, alcool etc. mais surtout pas drogues 7- 5 millions de touristes par an, les fêtes+sex avec les locaux ce n'est pas ça qui manque et pourtant: article A- 1400 cas de VIH/SIDA pour 10 Millions d'habitants depuis 1985!!! B- 70 nouveaux cas par an C- Aujourd'hui il n'y a que 800 personnes entre S+ et malade de SIDA. Ouvrez les yeux! s'il n'y a pas famine c'est la drogue (et dérivées) qui rend les gens malades. Je rappelle que dans ce pays de 10 Millions d'habitants rien que la simple conso de n'importe quel sorte de drogue est très sévèrement réprimée. Alors je ne vois pas pour quand et comment une épidémie de SIDA va-t-elle se déclancher en Tunisie. Il y a d'autres pays bien sûr ou l'usage de la drogue et même de l'alcool est sévèrement puni par loi (comme l'Arabie Saoudite) mais pour ceux-là il est très difficile de trouver des statistiques.
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