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Liane

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Tout ce qui a été posté par Liane

  1. Merci Cheminot, je comprends mieux pourquoi chimiquement, l'AZT, bactrim et autres semblent avoir un effet "bénéfique" sur l'apoptose à court terme.
  2. Pas grave, tu auras d'autres versions hallucinantes ici : http://www.onnouscachetout.com/forum/index...showtopic=14126 et ici : http://www.onnouscachetout.com/forum/index...showtopic=13985
  3. Liane

    Oxyde nitrique

    http://www.sante.gov.ma/leministre/Communi.../sidaresist.asp Gallo, le spécialiste vih, a appellé au calme face à ce "super-virus qui se transmet difficilement" et qui coincide avec la consommation de crystal.
  4. Résistances, Gallo s'en mêle (sur le cas d'un gars qui consomme des methamphetamines et qui aurait pondu un "super-virus vih") Voilà qui met un petit frein à l'escalade "non contrôlée" .
  5. Charlysa, si les déclarations mi-figue mi-raisin de Montagnier t'intéressent, il y en a aussi de belles ici : http://www.onnouscachetout.com/forum/index...opic=8760&st=80
  6. L'article en question Traduction : " Cet article est d'abord consacré au HHV-6 (human herpes virus), découvert en 19986 par Dr. Robert Gallo, qui était aussi le codécouvreur du VIH. " Mon avis strictement personnel : Je ne vais pas jetter l'eau du bain (Gallo) avec tous les bébés (virus) mais j'aimerai bien savoir ce qu'en dit Gallo lui-même car c'est fou comme tous les virus qu'il a "découverts" ont les mêmes effets : Traduction approximative : " Le HHV-6 est différent du VIH dans le sens qu'il est plus féroce à attaquer le système imunitaire et le cerveau que le VIH. Le HHV-6 est extrêmement "lytique" ce qui veut dire qu'il percute, hâche et détruit les cellules. " Si quelqu'un peut mieux traduire, merci. En résumé, Gallo a "découvert" : - le HL23V : officiellement et orthodoxement complètement foireux comme coup, - le HTLV-1 : période de latence de 40 ans (!), explose le système immunitaire, - le HHV-6 : longue période de latence, explose le système immunitaire, - le VIH (coup réussi) : longue période de latence (mais impossible à définir après 25 ans d'études sur le sujet), explose le système immunitaire. Tous se transmettent sexuellement et aucun d'eux ne réagit de manière satisfaisante aux antiviraux actuels. Où se situe le problème ? Dans les antiviraux ou dans les "virus" découverts par Gallo, ou dans les deux ? Pendant qu'on y est, Gallo en a "découverts" d'autres comme ça , de virus, grâce à l'invention de Duesberg ? Si on n'en a pas assez (des virus sexuellement transmissibles et qui explosent le système immunitaire après une longue période de latence), vu qu'il sait utiliser la "machine" (à sous), il suffira de lui demander !
  7. Liane

    Guérir le Sida!

    Stratégie du virus = logique éprouvée contre un virus --> protection avec un vaccin à base de virus atténué par exemple (comme pour les autres vaccins) et en conséquence une création d'anticorps contre le virus en question. Paradoxalement, le "vih" est un des rares virus dont les anticorps ne sont pas un signe de protection mais le contraire. La logique "création protectrice d'anticorps" tombe donc à l'eau, et Montagnier le reconnait. Que faire contre un virus inconnu/fantôme (non isolé) dont les "anticorps" sont cependant repertoriés mais dont c'est uniquement leur taux (seuil/limite des tests) qui va déclarer une séropositivité "vih" ? 1- Admettre que le virus n'existe pas (Montagnier ne l'a pas encore reconnu), que ce taux d'anticorps au dessus du seuil est dû à une autre cause; et s'investir dans d'autres solutions, ou 2- s'enfoncer en cherchant à stimuler les lymphocytes (T4/CD4) artificiellement. Mis à part ces vaccins à base de lentivirus, variole ou Dieu sait quoi encore, l'AZT donnait le même résultat : stimulation des lymphocytes dans un 1er temps puis chute brutale et spectaculaire irrémédiable des T4. Ne pas oublier quand-même que les personnes dont les anticorps sont en dessous du seuil des tests seront exemptés de cette "attention" car séronégatifs (avec les mêmes anticorps pourtant) Personnellement, je me demande qu'elles pourraient-être les conséquences à moyen/long terme d'une stimulation artificielle des T4, si parallèlement les taux de glutathion ne font que baisser.
  8. Liane

    Oxyde nitrique

    transfert.net Reste à savoir si ce produit protège aussi des autres IST. Le "vih" étant un "virus", ce produit devrait logiquement protéger contre les autres "virus" et germes sexuellement transmissibles (papillomavirus, gardnarella, etc...) J'estime la piste intéressante (préserver et soutenir la flore) bien que sûrement moins intéressante financièrement que des nouveaux vaccins lancés à coups de gros titres dans les journaux. J'imagine : " Le yaourt protège du Sida. Tous à vos yaourts !" en première page ? Ben voyons, un vaccin fait tellement plus sérieux. Mais qu'est-ce qui est sérieux ?
  9. Liane

    Guérir le Sida!

    actions-traitements.org Bref... Mais j'avoue que le "vih" contre le "vih" est la théorie qui défie toute concurrence ! De quoi sécher ceux qui auraient l'idée d'étudier le virus de la grippe aviaire ou d'ébola contre le "vih". Dans le cas du virus de la variole, l'argument avancé est la réponse immunitaire (multiplication des lymphocytes) qui persiste jusqu'à 6 mois après le dernière injection. Et après ? Re-vaccin ou trithérapies ?
  10. (L'influence de l'argent sur la Science Médicale) JAMA - 2006 Les patients en audit ? Ils pourraient le faire s'ils avaient la liberté de leurs opinions et de leurs choix thérapeutiques. Le monopole actuel ne le permet pas. Quant aux opinions, à moins de se ramasser un gros truc sur la gueule et en conséquence commencer à farfouiller partout (jusqu'à devoir faire des recherches en anglais ou en allemand, et à étudier des notions sur lesquelles on n'aurait jamais pensé un jour devoir se pencher), elles ne sont pas éclairées mais dictées. Pour se constituer en audit aujourd'hui, les patients devraient, en plus de leurs boulots à eux, intégrer les bases qui constituent le boulot de leurs médecins afin de pouvoir les confronter. Le monde à l'envers ! Tu te constituerais en audit de la compagnie aérienne que tu utilises (càd vérifier le niveau technique, mécanique, électronique, la sécurité, la conscience et la compétence professionnelles du personnel etc...) En général, on fait confiance sauf si les crashes se multiplient. Encore faudrait-il être informé du crash et de sa cause. "Les patients en audit" implique la libre concurrence des différentes méthodes thérapeutiques équitablement encouragées (suivant un guideline de sécurité pour éviter les abus des charlatans) par un état impartial qui ne «protège» pas ses responsables face à la justice (qu'on peut espérer elle aussi impartiale) Ca implique (comme pour les aliments) des "étiquettes avec indications sur l'origine, la composition et le procédé de fabrication" c'est-à-dire de la transparence de la part du fournisseur/prestateur de services, avec traçabilité et vérification possible de chaque étape (en partant de l'identification d'un pathogène jusqu'aux aux méthodes qui permettent de lutter contre) "Les patients en audit" implique la possibilité à ces derniers de "boycotter" un produit (ce sont eux les consommateurs) et de soutenir un autre. Mais pour ça, il faudrait qu'ils aient le libre accès des produits (remboursment de la sécu) Le citoyen arrêtera de s'en foutre quand il y comprendra quelque chose dans ce foutoir, c'est le cas de le dire, et qu'il ne sera plus infantilisé face à des connaissances réservées à une pseudo-élite («c'est moi le médecin !») fermée au dialogue. Je te dis pas alors à quelle vitesse les choses évolueront dans le sens que tu souhaites ! Tant au niveau financement, recherches et résultats, la liberté d'action n'étant plus entravée par un système monocellulaire. On est loin de là. En attendant, ben ma foi, les patients (ou ceux qui se sentent concernés) sont obligés de plancher (médecine, chimie, biologie, etc...), et c'est lamentable, pour ne pas se faire mener en carafe sur un claquement de doigts levés en sentence de vie ou de mort !
  11. Ouais, ben pas envie de me marrer. Je viens d'apprendre que le Professeur Sam Mhlongo est décédé tragiquement en octobre 2006. http://barnesworld.blogs.com/barnes_world/...orld_mourn.html Si je me souviens bien, il participait à la défense du gouvernement sud-africain dans le procès intenté par le TAC qui veut balancer de l'AZT sur tout ce qui bouge. Célia Farber lui a dédié un article : http://barnesworld.blogs.com/barnes_world/...g_aids_to_.html Une page lui est dédiée à sa mémoire ici : http://www.newaidsreview.org/posts/1160248996.shtml QUEL BORDEL !
  12. Nico, ton point de vue est intéressant et ta patience d'ange mais... Univ-Rennes Et mon petit doigt me dit que la panoplie très efficace, ce n'est pas pour demain. Les principaux antiviraux dont j'entends parler (VIH et H5N1) "provoquent des résistances" même si dans le cas du "vih", l'introduction du 3TC (antioxydant) a amélioré la situation, 3TC (coincidence ?) aussi préconisé contre l'hépatite C dont l'isolation du virus laisse à désirer. Mais comme les groupes pharmas ne cherchent que dans cette voie (c'est leur boulot comme tu le dis) et que les médecins appliquent les protocoles (il faut bien qu'ils se couvrent) découlant des recherches financées (par qui au fait ?), etc, etc... on tourne en rond, en vase clos. Qui se préoccupe réellement des co-facteurs ?
  13. Delwere, la coincidence est troublante. Ces exemples parlent de sida et d'héroine. Aurais-tu, si ce ne te dérange pas, quelque chose sous la main sur l'évolution du nombre des séropositifs ? Les stats et moi, ça fait deux et je te remercie si tu arrives à me trouver ça.
  14. Le même article sur SIDASANTE : "Le refuznik du VIH" - Collègue = travailler ensemble - Ami = ? C'est "Science et avenir" qui devrait le préciser à ce niveau-là car chacun a une conception personnelle de l'amitié et on pourrait épiloguer des heures sur ce terme. Ensuite, reste à savoir si Duesberg était vraiment ami de Gallo ou seulement collègue. Il n'y a qu'eux qui le savent.
  15. Pour en revenir sur Gallo et ses entourloupes (peut-être déjà mentionné) sunsimiao.org Selon cet article, il est clair que Duesberg était présent, avec tous les honneurs dûs à son savoir sur les retrovirus, à la conférence qui annonca le "vih comme cause probable du sida" Aujourd'hui, on n'entend plus Gallo (en tous les cas pas moi), Duesberg est entré en dissidence (le "vih" existe mais ne cause pas le sida) et Montagnier fait timidement son "méa culpa" avec ses célèbres co-facteurs et le système immunitaire à regonfler à coups d'antioxydants. Drôle de trio dans une affaire sordide.
  16. RETROVIRUS ; parlons-en ! 1- D'après ce que j'ai compris, un retrovirus est un virus à ARN qui utilise l'ADN de la cellule hôte pour se répliquer. Une sorte de cheval de Troie infernal. On ne peut le butter qu'en buttant l'ADN de l'hôte (càd l'hôte lui-même transformé en bombe ambulante à rétrovirus). Qu'on me corrige si ce n'est pas cela. 2- Les rétrovirus ont commencé à être découverts par je ne sais quelle technique fantastique dans les années 1980. C'est la technique qui a inventé les rétrovirus ou bien les rétrovirus ont toujours existé mais ont commencé à "se transmettre" chez les humains seulement à partir des années 1980 (moment subit de leur découverte après des épidémies mystérieuses) ? Autre question existentielle. 3- On connait actuellement ceux-ci : HIV-1, HIV-2, HTLV-1, HTLV-2, HTLV-3, HTLV-4, STLV-1, STLV-2, STLV-3. futura-sciences.com et cat.inist.fr. La plupart sont dits originaires des singes d'Afrique parce que les singes d'Amérique Latine ou d'Asie nous réservent d'autres rétrovirus quand on aura fini de chercher des poux aux singes d'Afrique. Pourquoi le singe ? Parce c'est cet animal qui ressemble le plus à l'homme ? Ou parce que les rétrovirus aiment la chaleur africaine ? Et pourtant, génétiquement, c'est le porc qui est le plus proche de l'homme (en tous les cas pour les questions de transplantations d'organes). Le porc devrait donc résussir à nous passer tous ses virus et autres bestioles, mais bon, les porcs que nous fréquentons sont "safe", issus d'élevages prétendus contrôlés et "clean". Reste le sanglier qui, ben ma foi, ne nous a encore rien transmis (que je sache) qu'il soit d'Europe, d'Afrique ou d'ailleurs. Quant aux autres animaux sauvages issus des touffeurs tropicales, pour l'instant rien. Mais attention, une hyiène enragée va un jour mordre un malheureux qui se retrouvera à l'origine du xème rétrovirus. Il en faut bien d'autres, on ne va pas s'arrêter en si bon chemin ! Ok, je délire un peu mais cette histoire de rétrovirus ressemble à une fable (le gros méchant loup) qu'on raconte aux enfants pour leur faire peur, avec pour morale : N'allez pas dans la forêt mais regardez le Roi Lion à la télé, c'est plus sûr. 4- HTLV-1 et HTLV-2 : - Se transmettent sexuellement, par voie sanguine et verticalement (mère-enfant surtout par l'allaitement). Tiens, tiens... - Provoquent en général une surproduction de CD4/T4 et en conséquence une leucémie. - Parmi les maladies opportuniste provoquée par une bizarre immunodépression : la pneumocytose. - Traitements : ARV classiques au "vih" + fortes doses de vitamine C, avec résultas décevants. - Prévalence de 15 à 20 millions infectés principalement ...suivez le projecteur... dans les pays du Sud. - Miracle : infectiosité peu importante du fait d'une charge virale faible. Aaah, la charge virale ! - HTLV-1 a été isolé pour la 1ère fois par Robert Gallo. Qui dit Gallo dit..hem, hem ! Ben oui, trop tard pour lui accorder une crédibilité totale 5- STLV-1/2/3/4/5/6/7... Apparemment, ces rétrovirus n'ont pas réussi à provoquer de gros dommages chez les humains. Symbiose ? Qui a réussi à isoler le STLV-1 pour la 1ère fois ? C'est bizarre mais selon le père du "rétrovirus", les conséquences de la découverte (et les modes de transmission) ne sont pas les mêmes. Comme le dit Delwere, Duesberg est rétrovirologue et à moins de changer de job, il ne va pas scier la branche sur laquelle il est assis. On ne se refait pas complètement à moins d'avoir un courage hors-norme. Et moi, je sens comme une odeur de brûlé dans cette histoire de rétrovirus. A vérifier bien sûr et à trouver où ça brûle. Conflits d'intérêt précis entre Duesberg et ses confrères partisans du "vih", ce qui l'a mené en dissidence ?
  17. Désolée mais je fais une petite parenthèse. Je ne me souviens plus des chiffres avancés par l'étude Padian sur le taux de transmission du "vih". Selon le Rapport 2006 (pdf), très orthodoxement : * sexuellement et en l'absence de lésions, ulcères, infections, etc... - 0,04 p. 100 : rapport oral - 0,82 p. 100 : rapport anal réceptif - 0,1 p. 100 : rapport vaginal (les femmes ayant un risque plus élévé que les hommes, sic) C'est nouveau car le rapport anal a toujours été présenté comme plus risqué que le rapport vaginal * par toxicomanie intraveineuse (partage de matériel d'injection) : 0,67 p. 100 Ne se rapproche-t-on pas gentillement de l'étude Padian ? Une question subite : A-t-on déjà rapporté des cas de séropositivité au "vih" pour des personnes n'ayant jamais eu de relations sexuelles, ni d'interventions médicales (même pas le dentiste), ni transfusions, ni toxicomanie intraveineuse ? Si oui (et ça devrait exister à cause de tous ces facteurs, en tous cas chez des enfants même si leurs parents sont séronégatifs), comment l'orthodoxie explique-t-elle le phénomène ? Ce sont de mystérieux "case report" ou bien ces cas sont définitivement déclarés "faux-positifs" ?
  18. Nico, ton message me pousse à me dire qu'il y a un bugg quelque part dans la lutte contre les virus. Je n'ai pas inventé l'eau tiède mais en gros, les virus se propagent et gagnent en virulence (mutation) quand : - il y a promiscuité et manque d'hygiène effarants (tant au niveau humain qu'animal), - au sein d'une population affaiblie alimentairement ou par abus de substances chimiques, - substances chimiques qui peuvent provoquer à la longue des multi-résistances. Les antiviraux ? Dans l'urgence, pourquoi pas. Mais s'ils s'attaquent à l'ADN (ou ARN) des virus, ne s'attaquent-ils pas aussi à celui de l'homme d'où leur toxicité à long terme ? Sans parler de leur supposée efficacité qui reste à prouver, efficacité ayant toujours un train de retard (le Tamiflu tiens !) et la guérison dépendant peut-être d'autres facteurs (ou co-facteurs) qui eux mériteraient la lumière bien crue des projecteurs. C'est là que les industries et cie auraient à se bouger les fesses mais le souhaitent-ils vraiment ? Quant au public, il faudrait déjà qu'il soit correctement informé. Il ne se sent concerné que quand il y a le feu. La panique entraine alors des mesures lourdes de conséquences tant au niveau économique (pour les petits éleveurs par exemple) que général (santé, social, écologique-résidus de médocs dans l'eau par exemple- etc...) Vu la situation actuelle sur les pathogènes (multi-résistances et escalade des mutations, le tout accompagné d'une sempiternelle menace de pandémie), focaliser uniquement sur les antiviraux et/ou vaccins, antibios, etc... me semble complètement réducteur. La limite de ce côté-là ne serait-elle pas atteinte ? S'obstiner à fond la caisse sur cette voie ne peut découler que d'une volonté consciemment choisie, et c'est de cette volonté que le public est pris en otage.
  19. Et le pire : Yahoo Actualités (30 oct. 2006) Alors là, BRAVO ! Non seulement la planète est un immense labo en "live" mais ces "savants" prétendent trouver un jour un vaccin contre le "vih" qui n'a jamais été isolé. Au fait, au point où on en est, ce H5N1 a été correctement isolé ou bien on a pris les mêmes "ingrédients" et on recommence à courir après un virus qui n'arrête pas de muter plus vite que son ombre ?
  20. Et voilà le beau résultat après une campagne de vaccination contre le H5N1 sur des volailles en Asie : Yahoo Actualités (31 oct. 2006) Bravo, on fait quoi maintenant ? Provoquer un résulat pareil, c'est "normal" ou irresponsable ?
  21. Ouais, ben on n'est pas sorti de l'auberge même si ça va aussi loin que l'affaire du sang "contaminé" (non chauffé) : Madagascar-Tribune (02 déc. 2003)
  22. Nico, merci pour ton intervention. Tu as des exemples de pathogène résistant qui devient non-résistant après arrêt du traitement (hormis le "vih") ? Dans le cas de la tuberculose, ce sont bien les résistances qui font que la maladie est de plus en plus difficile à soigner avec les traitements conventionnels. Après arrêt du traitement, le pathogène (sauvage ou pas) ne perd pas sa résistance, au contraire. C'est ce qui se dit "officiellement". Pour le paludisme, pareil. Comment fait-on pour éradiquer un pathogène qui résiste sous traitement, et comment sait-on qu'il n'est plus résistant après arrêt du traitement dès lors que sous traitement, il redevient résistant ? On ne le touche pas et on laisse faire la nature et son travail de protection ? Ca expliquerait pourquoi, pour certains virus, on ne recommande que du repos et une alimentation saine en attendant que ça passe. Pour aller à l'extrême, je me dis que si les pathogènes s'amusent à "muter" comme cela à tout va : - ils pourraient se transformer en "autre chose" que celui d'origine (le sauvage ou le vrai d'appellation contôlée), - les anticorps de la souche d'origine ne peuvent alors plus protéger contre le même pathogène "muté" (d'imitation), - un pathogène "muté" créerait pourtant la même maladie que celui d'origine mais sa mutation trompe le système immunitaire, - ça explique pourquoi la couverture des vaccins n'est pas assurée à 100% (y a qu'à voir le nouveau vaccin contre le papillomavirus vendu la peau des fesses), - depuis la nuit des temps que les virus se propagent d'individu à individu, et passent de mutations en mutations, il ne devrait plus exister un seul virus d'origine (le vrai, le premier de son histoire), - tous les virus répertoriés qui se balladent en ce moment sont donc complètement incontrôlables. Et ce qu'on croit savoir sur eux maintenant sera caduc demain, - à partir de là, c'est le bordel tant au niveau traitements qu'au niveau vaccins car il y a toujours un train de retard sur le "nouveau" virus muté. Lequel virus a d'ailleurs muté sous l'action des vaccins (cultures) et des traitements. Dès lors, ça vaudrait sûrement la peine d'étudier d'autres approches : - parce que certains virus (comme ceux de l'hépatite B et C) ne font pas de résistance aux antioxydants, - parce que le corps se protège bien contre d'autres pathogènes (comme pour la tuberculose) s'il n'y a pas de carence alimentaire spécifique, - pour ne pas intoxiquer inutilement (la plupart des traitements ayant des effets sur le foie) les patients avec des molécules chimiques qui ne combattent qu'une partie du pathogène (ou pas du tout), l'autre partie ayant déjà muté ou ayant créé un nouveau pathogène... et ainsi de suite, - pour stopper cette course infernale en roue libre justifiée par un mode de pensée dictatorial. Ce concept de virus "sauvage" et "d'élevage" me fait vraiment penser à de la pub pour l'alimentaire. Tout étant marketing, à quand un/e virus/bactérie "bio" (une sorte de prédateur naturel mais innofensif pour l'hôte) et qui assure 100% de couverture/guérison ? Ca se fait déjà avec les plantes et ça marche (des coccinnelles contre les pucerons, etc...) Utopie ? Je ne prétends pas apporter des solutions sur un plateau en argent, mais il me semble que le cheval a pris le mors aux dents avec cette histoire de virus. Vu la situation, les recherches sur les méthodes alternatives contre les maladies seraient à encourager vigoureusement, et cela d'autant plus que nos "savants fous" et leurs "sponsors" ne sont eux-mêmes pas à l'abri des embûches de la voie qu'ils ont choisie.
  23. Moi non plus. D'ailleurs j'aimerai bien qu'un biologiste ou autre me dise s'il existe aussi des virus "sauvages" pour les autres maladies à virus. J'imagine qu'un virus ou une bactérie "sauvage" vient d'une souche non résistante aux traitements, antibios, etc... A contrario, "le virus d'élevage" serait résistant. Logiquement, quand un virus/bactérie est devenu résistant/e, il/elle ne redevient plus "sauvage". D'où la difficulté à l'éradiquer et le problème des antibios. Apparement, selon l'article plus haut, le "vih" a la faculté de se reconvertir de résistant (d'élevage) en "sauvage". Une première chez les virus ? Pour revenir au saumon ou autre poisson, quand tu en achètes, choisis le sauvage (de la mer). Celui d'élevage est nourri de m... (sauf s'il est garanti bio). Laisse tomber cette histoire de saumon, rien à voir avec la choucroute !
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