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wallypat

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Messages posté(e)s par wallypat

  1. Je reproduis ci-dessus une partie de ce post que j'ai écrit dans un autre sujet, et qui me semble plus appropriée dans ce topic-ci :

    Dans le topic consacré aux acides gras saturés,  il me semble avoir déjà donné beaucoup de références scientifiques (contrairement à ta théorie, sauf erreur de ma part) montrant que les acides gras polyinsaturés, dont entre autres les métabolites produits par ceux-ci (et en particulier l'acide arachidonique), décuplent (et je n'exagère pas) le phénomène d'oxidation. C'est d'ailleurs admis par tous les nutritionnistes sans exception, sauf que la majorité d'entre eux considère que les acides gras polyinsaturés trouvés dans l'alimentation (oméga 6 et 3) seraient essentiels à la santé et qu'on ne pourrait pas s'en passer. Certains anti-inflammatoires, comme l'ibuprofène, peuvent inhiber dans une certaine mesure la production (telle que la cyclooxygénase) de métabolites produits par les acides gras polyinsaturés en sorte que le phénomène d'oxidation sera fortement amoindri (sans compter les explications fournies par Cheminot dans son dernier post au sujet de ces propriétés réductrices). Comme je l'ai expliqué dans ce post, cet anti-inflammatoire n'a fait que renforcer l'action de l'huile de noix de coco, qui comprend plus de 98% d'acides gras saturés et qui a donc inhibé de son propre chef la production des dérivés produits par les acides gras polyinsaturés de l'organisme, diminuant ainsi le phénomène de stress oxydatif, et, par conséquent, la charge "virale" (celle-ci étant donc justement du matériel génétique atypique produit par ce stress oxydatif).

    En d'autres termes, je ne vois rien d'anormal à ce que l'action conjuguée de l'huile de noix de coco et de l'ibuprofène (mais concernant ce dernier, il vaut mieux s'en passer et recourir plutôt à un régime pauvre en acides gras polyinsaturés comme déjà expliqué dans le topic consacré aux acides gras saturés) soit de nature à faire remonter les T4 et diminuer la charge "virale". C'est la logique même du stress oxydatif.

  2. De façon générale et personnellement, je ne remets nullement en question la fiabilité de la PCR. Et d'ailleurs, peu de scientifiques dissidents ne me paraissent remettre en question sa fiabilité, pas même son propre créateur, dissident du sida, qui a d'ailleurs eu un prix Nobel pour cette invention. Je me réfère à cet égard aux dissidents eux-mêmes ainsi qu'aux nombreux posts de Nico111.

    Pour ne citer qu'une seul exemple, prenons le cas de la protéine P24 du "VIH". De nombreux dissidents font savoir - et à juste titre - que cette protéine n'a rien de spécifique au "VIH" à supposer même que celui-ci existe et que le fait de la détecter ne prouve pas nécessairement que la personne a été contaminée par le "VIH". Lors du procès Parenzee dans lequel le Perth Group est intervenu, l'orthodoxie du sida a réfuté - à juste titre, mon avis, et on peut trouver les références scientifiques dans les minutes du procès - cette affrimation en précisant qu'effectivement, la protéine P24 n'est pas spécifique mais que la "cartographie" génétique de la protéine P24 du "VIH" présente des différences très claires avec les autres protéines P24. Ces différences peuvent justement être détectées à l'aide de tests génétiques, dont la PCR, lesquels tests permettent de détecter la protéine P24 spécifique du "VIH" justement chez les séropositifs. Lors de ce procès, l'orthodoxie du sida a pu ainsi donner de nombreuses références prouvant avec grande certitude que cette protéine spécifique du "VIH" est retrouvé chez les séropositifs, pas chez les séronégatifs.

    La réfutation à cet argument ne consiste évidemment pas à dire que la PCR et les tests génétiques n'auraient aucune spécificité et ne seraient pas fiables mais bien à dire que la preuve n'a jamais été faite que cette protéine P24 spécifique du "VIH", que l'on retrouve justement spécifiquement chez les séropositifs, a bien pour origine un rétrovirus exogène ayant "infecté" les séropositifs. A défaut de cette preuve, l'une des explications possibles pourrait consister à dire que les séropositifs ont été exposés à des oxydants azotés, lesquels ont provoqué un phénomène de mutation de certaines protéines, telles la P24.

    Nonobstant ce qui précède, malgré tout le respect que je peux avoir pour toi, Aixur, il y a en outre des points sur lesquels je ne suis également pas d'accord, comme celui-ci :

    Seulement, jusqu'à nouvel ordre, les anti-inflammatoires ne sont pas supposés lutter contre le stress oxydatif.

    Dans le topic consacré aux acides gras saturés, il me semble avoir déjà donné beaucoup de références scientifiques (contrairement à ta théorie, sauf erreur de ma part) montrant que les acides gras polyinsaturés, dont entre autres les métabolites produits par ceux-ci (et en particulier l'acide arachidonique), décuplent (et je n'exagère pas) le phénomène d'oxidation. C'est d'ailleurs admis par tous les nutritionnistes sans exception, sauf que la majorité d'entre eux considère que les acides gras polyinsaturés trouvés dans l'alimentation (oméga 6 et 3) seraient essentiels à la santé et qu'on ne pourrait pas s'en passer. Certains anti-inflammatoires, comme l'ibuprofène, peuvent inhiber dans une certaine mesure la production (telle que la cyclooxygénase) de métabolites produits par les acides gras polyinsaturés en sorte que le phénomène d'oxidation sera fortement amoindri (sans compter les explications fournies par Cheminot dans son dernier post au sujet de ces propriétés réductrices). Comme je l'ai expliqué dans ce post, cet anti-inflammatoire n'a fait que renforcer l'action de l'huile de noix de coco, qui comprend plus de 98% d'acides gras saturés et qui a donc inhibé de son propre chef la production des dérivés produits par les acides gras polyinsaturés de l'organisme, diminuant ainsi le phénomène de stress oxydatif, et, par conséquent, la charge "virale" (celle-ci étant donc justement du matériel génétique atypique produit par ce stress oxydatif).

    En d'autres termes, je ne vois rien d'anormal à ce que l'action conjuguée de l'huile de noix de coco et de l'ibuprofène (mais concernant ce dernier, il vaut mieux s'en passer et recourir plutôt à un régime pauvre en acides gras polyinsaturés comme déjà expliqué dans le topic consacré aux acides gras saturés) soit de nature à faire remonter les T4 et diminuer la charge "virale". C'est la logique même du stress oxydatif.

    De façon générale, il me semble qu'en plusieurs années de ce forum, plusieurs dizaines (au moins) de références scientifiques ont déjà été données sur ce forum prouvant de façon hautement probable que le "sida" est le résultat de l'exposition aux agents oxydants, plus particulièrement azotés. Et en fait, toutes ces dizaines de références scientifiques émanent de l'orthodoxie du sida elle-même, mais celle-ci tâche de les interpréter en les reliant d'une façon ou d'une autre au "VIH".

    Par conséquent, avant de remettre en question le bien-fondé de la théorie des agents oxydants comme cause du "sida", pour lesquels une pléthore de références scientifiques peuvent être invoquées, il faudrait donc préalablement s'interroger sur le bien-fondé de la théorie d'Aixur.

    Sauf erreur de ma part, il me semble que tu n'as jamais donné la moindre référence scientifique permettant ne fût-ce que de commencer à étayer ta théorie (ce qui serait déjà un bon [petit]début, sans toutefois être suffisant), comme par exemple les affirmations suivantes :

    La méthode PCR ne mesure pas la quantité de tel bout d'adn, mais la quantité de petites particules.

    Pourrais-tu donner une référence scientifique qui prouve cela (à l'encontre des milliers d'articles publiés où l'on constate que la PCR mesure des bouts d'ADN) ?

    Et si la quantité diminue aussi bien dans le cas de la prise d'une trithérapie que celle d'une prise d'anti-inflammatoire light ou de type cortisone, c'est parce que la concentration plus élevée des particules dans le sang fait que les petites particules s'agrègent beaucoup plus entre elles.
    Donc, il y en a peut-être autant d'émises à la base, mais il y en a moins au final, parce qu'elles s'agrègent entre elle. Elles sont donc remplacées par des agrégats de petites cellules qui sont forcément en nombre moins élevé (s'il faut 10 petites particules pour faire un agrégat, la formation d'un agrégat aura divisé la quantité de ces particules par 10).

    Pourrrais-tu déjà donner une référence scientifique prouvant ce phénomène d'aggrégation à la suite de la prise d'une trithérapie ou d'un anti-inflammatoire léger ?

    Seulement, je prédis que la charge virale, lors de la prise de ces médicaments et lors d'un arrêt brutal, n'est pas la même dans le tronc et dans les bras et les jambes

    Référence scientifique de cette "prédiction" ?

    (puisque le sang serait plus dilué dans le tronc que dans les bras lors de la prise du médicament et inversement lors de l'arrêt).

    Référence scientifique ?

    Par ailleurs, en traduisant un texte sur la nocivité des herbes médicinales de Mike Benton, je crois avoir trouvé d'autres éléments qui peuvent influencer la répartition de l'eau dans le corps. Probablement qu'une trop grande consommation de sel conduit au même effet que la cortisone (parce que ça conduit le corps à émettre de la cortisone justement. Ceci parce que le corps a une réaction de survie face au dessèchement et concentre l'eau dans le centre du corps, là où se trouvent les organes vitaux). Il faudrait alors expliquer en quoi le sel à une action réductrice et pourrait lutter contre le stress oxydatif. Et pourquoi quelqu'un qui n'a aucun stress oxydatif par ailleurs verrait une variation dans sa charge virale et son taux de cd4 suite à une prise trop importante de sel (sur une période un peu prolongée peut-être. Quoique peut-être que ça marche sur un seul repas, à voir).

    Référence scientifique de l'action de sel sur la charge "virale" ?

    Etc... Etc...

    Même avec la meilleure volonté du monde, Aixur, à défaut de références scientifiques étayant ta théorie, je ne vois pas très bien pourquoi on devrait réévaluer, en outre de façon aussi radicale, l'hypothèse de l'exposition aux agents oxydants alors que ton hypothèse, contrairement à celle des agents oxydants, ne paraît pas supportée par la moindre référence scientifique, mais simplement par des "convictions". Personnellement, si je n'avais le choix qu'entre ton hypothèse et l'hypothèse rétrovirale, c'est l'hypothèse rétrovirale que je choisirais sans la moindre hésitation.

    A moins bien entendu que tu puisses déjà communiquer quelques premières références scientifiques à tes affirmations ...

  3. Un témoignage très intéressant (mais en anglais), puisqu'on constate qu'un séropositif a fait augmenter ses T4 (1.200) et diminuer sa charge dite "virale" (600-700) grâce à l'huile de noix de coco et l'ipubrofène. Notons toutefois que seul le glutathion constitue un marqueur vraiment fiable de l'éventuelle évolution vers le "sida" (et non les T4 ou la charge "virale").

    Les bienfaits de l'huile de noix de coco n'étonnent plus; ce qui est revanche plus intéressant est l'usage de l'ipubrofène. En effet, l'ipubrofène est un médicament anti-inflammatoire et on a toutes les raisons de penser que son usage a eu pour effet de diminuer la production dans son organisme des différents et dangereux métabolites produits à partir des acides gras polyinsaturés, et plus particulièrement de l'acide arachidonique.

    Ceci étant, au vu de ce qu'on a déjà lu, plutôt que d'utiliser de l'ibuprofène, il aurait mieux valu de tout "simplement" adopter un régime pauvre en acides gras polyinsaturés. Les résultats auraient vraisemblablement été bien plus sensationnels encore, et bien sûr sans devoir utiliser cet anti-inflammatoire (certainement pas bon pour la santé sur le long terme).

  4. Donc huile de coco ( tu peux me donner la boutique si à paris?) doit être prise à condition d éviter par exemple huile d olive ou autre

    (d'un régime le plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés (oméga 6 et oméga 3): c'est quoi les produits acides gras polyinsaturés? toutes les huiles et quoi d autre?

    Comme déjà précisé ci-dessus, je t'invite à lire ce topic pour avoir la réponse aux questions posées. Ceci étant, avec l'huile de noix de coco (et éventuellement l'huile de palme), l'huile d'olive extra vierge n'est certainement pas mauvais pour la santé vu qu'elle ne comporte pas beaucoup d'acides gras polyinsaturés (soit les oméga 6 et 3) et qu'elle est riche en antioxidants. Personnellement, je m'en sers pour les salades. Ceci étant, je privilégie l'huile de noix de coco vu sa richesse en acides gras saturés. En revanche, toutes les autres huiles végétale (colza, lin, maïs, etc...) devraient être évitées vu leur richesse en acides gras polyinsaturés.

    Encore une fois, je t'invite à prendre le temps nécessaire pour lire le topic cité ci-dessus, cela évitera de répéter certains points.

    6 cuillères à soupe /jour: ça fait pas grossir?

    Personnellement, en six mois, j'ai perdu deux kilos. Encore une fois, en lisant le topic cité ci-dessus, tu constateras que les acides gras saturés en tant que cause de maladies cardio-vasculaires ne constituent qu'un mythe. Les acides gras saturés à chaînes courtes et moyennes (tels que l'huile de noix de coco et le si diabolisé beurre) ne font pas grossir. Et cela, je l'avais déjà lu dans des témoignages en langue anglaise. Et maintenant, je ne peux que le confirmer personnellement. Plus particulièrement, l'huile de noix de coco provoque une augmentation du métabolisme (et, partant, une tendance à maigrir). Ce n'est certainement pas négatif mais l'organisme a généralement besoin de plus de vitamines et de nutriments. Personnellement, je mange un peu plus tout en ayant perdu deux kilos.

  5. OU peut on acheter de l'huile noix de coco..vierge et bio ( bref la meilleure) à Paris ou sur le net? icon_confus.gif

    Personnellement, j'en achète dans un magasin bio et je prends soin de m'assurer qu'il est bien écrit "extra vierge". Si ce n'est pas le cas, je ne te conseille pas de t'en procurer. J'en prends 4 à 6 cuillères à soupe tout au long de la journée.

    Pour ma part et comme expliqué dans ce topic, l'huile extra vierge de noix de coco ne se révélera vraiment efficace que si l'utilisation de cette huile est assortie d'un régime le plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés (oméga 6 et oméga 3). A défaut, je crains que l'efficacité de l'huile de noix de coco (l'aliment le plus riche en acides gras saturés [et sans cholestérol, puisqu'il s'agit d'un végétal]) ne soit pas aussi probante.

    Et l'usage concomitant d'antioxidants, tels que de fortes doses de vitamines C (personnellement, j'en prends entre 5 à 7 grammes par jour, sur un ventre vide, tout au long de la journée), me paraît indispensable car en suivant un régime extrêmement pauvre en acides gras polyinsaturés, l'organisme libérera l'acide arachidonique emmagasiné sa vie durant. Afin de s'en protéger, le temps que l'organisme n'en ait plus (ce qui peut durer plus de deux ans), les antioxydants devraient permettre de s'en protéger.

    Je rappelle à toutes fins utiles qu'un régime le plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés et très riche en acides gras saturés (plus particulièrement en chaînes courtes et moyennes, tels que l'huile de noix de coco et le beurre) va à l'encontre de toutes les règles nutritionnistes généralement acceptées. Donc, chacun devra se faire sa propre analyse de ce sujet avant de le suivre éventuellement. Mais sur base des éléments que j'ai énoncés dans le topic ci-dessus, cela me paraît être le meilleur régime à suivre, non seulement en général, mais plus particulièrement aussi pour les séropositifs.

  6. Sans qu'il soit peuve d'une relation directe HPV cancer, il faut quand même bien avoir à l'esprit que les protéines E6 et E7 des HPV

    sont de puissantes protéines oncogènes et leur étude a fait énormément progresser la compréhension de certains mécanismes de dérégulation cellulaire notamment avec la fameuse protéine p53.

    J'avoue ne vraiment pas connaître ce sujet mais je reproduis malgré tout ci-dessous la réponse que m'a fournie le dissident anglais du sida "Softrat" sur ce forum quant au caractère semble-t-il effectivement oncogène des protéines E6 et E7 :

    Oh! Another possible relation to the over production of HPV and cancer is that when these viruses interfere with the activity of p53 and pRb too much these proteins can not stop the cell cyle when it really needs to be stopped for activities like DNA repair. As the DNA damage starts to build up that too may play a roll in cancer development in the cell.
  7. Voici un petit article (anglais) intéressant : http://www.news-medical.net/?id=6645.

    Il y est en effet précisé que les rétrovirus endogènes causent des désordres et maladies génétique et sont fortement impliqués dans l'apparition de certaines maladies autoimmunes et de certains cancers. Tout cela me fait fortement penser par excellence au "sida", dans lequel on retrouve justement du matériel génétique anormal (comme la charge dite "virale"). On pourrait émettre l'hypothèse que le "VIH" pourrait en réalité n'être qu'un rétrovirus endogène (et non exogène [on rappellera que la seule preuve fournie par Gallo et Montagnier pour affirmer le caractère exogène du supposé rétrovirus "VIH" est la réaction d'antigènes avec les anticorps retrouvés chez les sidéens, ce qui pourtant ne prouve pas en soi que le "VIH" ait bien un caractère exogène, à supposer même qu'il avait été prouvé que le "VIH" soit bien un rétrovirus]) produit par l'exposition prolongée aux oxydants, tout particulièrement azotés, et causant par lui-même des dégâts d'ordre génétique à l'organisme, complémentairement à ceux déjà produits par l'exposition prolongée aux oxydants azotés.

    Ceci étant dit, ces considérations me paraissent purement théoriques puisque avant de s'interroger sur le point de savoir si le "VIH" est un rétrovirus exogène ou endogène, il faut déjà avoir préalablement prouvé que le "VIH" est un rétrovirus tout court ! Chose qui n'a jamais été prouvée, comme chacun le sait déjà sur ce forum.

    Dès lors qu'il n'a jamais été prouvé que les séropositifs sont porteurs d'un rétrovirus "VIH" (qu'il soit exogène ou endogène), que peut donc être le "VIH" ?

    L'une des hypothèses le plus souvent retenues par les scientifiques dissidents est que le "VIH" n'est rien d'autre que de multiples débris cellulaires, provenant tout particulièrement de l'apoptose des cellules exposées aux oxydants azotés. Hypothèse qui me paraît tout à fait plausible dès lors qu'il a été constaté que les protéines du "VIH" peuvent toutes et sans exception aucune avoir une origine cellulaire (nonobstant la circonstance que la composition génétique de ces protéines cellulaires ait été modifiée et mutée du fait de leur exposition aux oxydants azotés, soit le phénomène bien connu de génotoxicité).

    Nonobstant ce qui précède, sur ce forum anglais de la dissidence du sida, le dissident "Softrat" a émis l'hypothèse tout aussi intéressante que le "VIH" serait en fait un rétrotransposon, qui aurait entre autres pour tâche de tenter de réparer dans une certaine mesure les dégâts causés à l'ADN par l'exposition aux oxydants azotés. Ne sachant pas trop de quoi il s'agissait, j'ai consulté Wikipedia, où j'ai pu constater que certains rétrotransposons, en particulier ceux à LTR, sont en fait extrêmement semblables aux rétrovirus, comme l'explique d'ailleurs Softrat :

    We asked, ("More on Nicholas Bennett's "HIV" infectious molecular clone", 28 September 2004): "...would Nicholas Bennett please provide evidence for the existence of an "HIV-1 infectious molecular clone" as defined by Brian Foley (not us). "The clone must produce virus particles that are identical by serology, morphology, protein sequences, RFLP, Southern blotting, etc., to the parental virus, and the particles must also be infectious. If a cloned viral genome does not meet these criteria, it is not an INFECTIOUS molecular clone of the virus, be it HIV-1 or any other virus" (Foley’s emphasis).

    Nicholas Bennett has not given us even one reference with evidence which proves the existence of an "HIV-1 infectious molecular clone" even by Brian Foley's definition ("Re: "HIV", HHV-8 and KS", 21 August, 2004; "Re: Cell death and oxidation", 1 September, 2004; "Re: Nicholas Bennett and the "HIV-1 infectious molecular clone", 8 September, 2004; "Give us the "HIV" "structure" please", 11 October).

    Nicholas Bennett claimed that: "...the presumed HIV RNA actually encodes the presumed HIV proteins". ("Re: Retrovirologist, retroviruses and purification", 2 July, 2004). He made similar claims in subsequent rapid responses. ("Re: Where is the "HIV-1 infectious molecular clone?", 14 July, 2004).

    We asked Nicholas Bennett "where is the evidence that the "presumed HIV RNA" that is the poly-A RNA which in sucrose density gradients bands at the density of 1.16 g/ml (the "HIV" genome) "actually encodes" the "HIV" proteins which band at the same density". ("Where are the proper controls in "HIV" research", 19 July, 2004). Nicholas Bennett gave us a long yarn but not one single reference with evidence that the "HIV" RNA encodes the "HIV" proteins ("Re: Where are the proper controls in "HIV" research?", 20 July, 2004).

    Dès lors qu'il n'a jamais été prouvé que le "VIH" soit infectieux, je suis donc d'avis qu'outre l'explication des débris cellulaires, l'hypothèse du "VIH" en tant que rétrotransposon est certainement digne d'intérêt.

    D'ailleurs, l'hypothèse du rétrotransposon pourrait constituer une explication complémentaire à celles déjà nombreuses formulées pour expliquer la relative efficacité des traitements antirétroviraux (sur ces explications, lisez la synthèse collective : Chapitre VII : Traiter la séropositivite et le SIDA ---> 3) Les tri- et autres multithérapies ---> "Leur relative efficacité ne s'explique en aucune façon par leurs prétendues propriétés "antirétrovirales", quand bien même le "VIH" aurait effectivement existé en tant que rétrovirus exogène" (qui renvoit à plusieurs posts)).

    En effet, rappelons nous que le prétendu effet "antirétroviral" des traitements administrés aux séropositifs découle de la circonstance qu'ils peuvent faire baisser la prétendue charge "virale". Cette baisse de la charge "virale" est interprétée par l'orthodoxie du sida comme étant la preuve que ces traitements auraient un effet "antirétroviral". Mais comme on le sait déjà depuis longtemps, non seulement la baisse de la charge "virale" ne constitue pas un marqueur pertinent de l'amélioration de la santé du séropositif mais surtout, il n'a jamais été prouvé que la charge "virale" constitue de l'ARN d'un rétrovirus (exogène ou endogène) "VIH".

    Ceci étant dit, l'hypothèse du "VIH" en tant que rétrotransposon pourrait bien constituer une explication complémentaire à la baisse de la charge "virale" généralement constatée après la prise des traitements "antirétroviraux". En effet, tout comme le supposé rétrovirus "VIH", les rétrotransposons à LTR renferment les trois enzymes suivantes, nécessaires à sa réplication : la transcriptase inverse, la protéase et l'intégrase. Or les traitements "antirétroviraux" regroupent à l'heure actuelle trois classes de "médicaments" : les inhibiteurs de la transcriptase inverse, ceux qui inhibent la protéase et depuis peu, ceux qui inhibent l'intégrase. On comprend dès lors qu'en se fondant sur l'hypothèse que le "VIH" n'est en fait rien d'autre qu'un rétrotransposon, les traitements "antirétroviraux" inhibent ces trois enzymes des rétrotransposons et empêcheront ainsi leur multiplication, ce qui se traduira, non par une diminution de la charge "virale", mais bien de la charge "rétrotransposale". Mais étant donné que le rétrotransposon "VIH" ne constituerait qu'une tentative endogène de l'organisme du séropositif de réparer vaille que vaille les dégâts génétiques causés à son organisme mais ne remédie pas à la cause elle-même, cela (avec de nombreuses autres explications) pourrait expliquer pourquoi les séropositifs rechutent malgré tout et continuent à être malades. Par ailleurs, on peut raisonnablement penser (différentes études ont bien montré que de nombreux traitements "antirétroviraux" ont un effet antibiotique contre les champignons, bactéries et autres virus causant les maladies opportunistes du "sida") que ces mêmes traitements, en plus d'inhiber les enzymes des rétrotransposons "VIH", vont également inhiber ces trois enzymes que l'on retrouve également (pas forcément toutes les trois en même temps) et justement dans les germes causant ces maladies opportunistes, en sorte que le sidéen peut se sentir malgré tout mieux pendant un certain temps grâce à ces traitements. Mais au bout d'un certain temps, ces germes opportunistes (et non le chimérique rétrovirus"VIH") finissent par muter et résister à ces inhibiteurs de transcriptase inverse, protéase et intégrase, forçant ainsi le séropositif à modifier régulièrement la composition de ses traitements, jusqu'à épuisement des possibilités de ceux-ci (ce qui sera interprété comme étant la conséquence de la légendaire mutabilité du "VIH" ! LOL).

    Bref, tout cela pour dire que l'hypothèse du rétrotransposon devrait être creusée, à mon avis.

  8. Enfin, les noix pourraient réduire l'incidence des cancers et des maladies associés au vieillissement ( Parkinson, Alzheimer ).

    Sans doute, tout comme des régimes très riches en huile de lin (riche également en oméga 3, comme les noix) auraient guéri, semble-t-il, certains cas de cancer. Mais pour ma part, je préfère prévenir l'incendie que de tenter de l'éteindre. Or justement, les acides gras polyinsaturés, dont tout particulièrement les multiples métabolites produits par l'acide arachidonique (oméga 6), sont directement impliqués dans la survenance de nombreux cancers mais également de la maladie de Parkinson ou l'Alzheimer. Plutôt que de consommer des noix, riches en oméga 3, ce qui pourrait permettre dans une certaine mesure de contrebalancer les effets des oméga 6, je préfère pour ma part prévenir l'incendie et donc réduire au maximum ma consommation en acides gras polyinsaturés, et donc en oméga 6 (mais également en oméga 3, qui s'oxydent encore plus facilement que les oméga 6).

    Comme je l'ai déjà précisé, je ne m'appuie pas sur les études épidémiologiques sur lequel tout et son contraire peut être dit, ni sur les "vérités" des nutritionnistes, mais bien sur l'analyse moléculaire. Or sur ce plan, les études montrant les dangers des acides gras polyinsaturés (sur d'innombrables maladies) et tout particulièrement de leurs métabolites se comptent par dizaine de milliers, et je n'exagère pas. Ceux-ci montrent entre autres que les acides gras polyinsaturés décuplent le phénomène d'oxidation (contrairement aux acides gras saturés, qui, eux, le freinent). On en déduit logiquement que ces mêmes acides gras polyinsaturés favoriseront entre autres le passage à la séropositivité et plus tard vers le "sida". Il va de soi qu'à ce stade-ci, je ne veux pas jouer avec le feu et que je consommerai donc le moins possible d'acides gras polyinsaturés, d'autant plus que leur caractère essentiel n'a jamais été prouvé.

    Pour ma part, après six mois de ce régime, je ne vois que des avantages (hausse du glutathion, augmentation des T4 et charge "virale" s'approchant progressivement de l'indétectabilité) et je n'ai aucune raison de me plaindre.

    Je pense de plus en plus que par ce biais-là, j'arriverai dans quelques années à redevenir séronégatif. Si cela devait être le cas, je ne manquerai pas de la signaler.

  9. Un passage intéressant trouvé dans cet article-ci :

    Le SIDA n'est pas sans évoquer le cas du cancer du col de l'utérus, maladie aujourd'hui incorporée à la liste des maladies opportunistes du SIDA mais qui était connue bien avant l'ère du SIDA pour être liée à la très grande fréquence des rapports vaginaux.

    Pas étonnant dans ces conditions que l'on trouve une certaine corrélation entre le cancer du col de l'utérus et la "contamination" par les papillomavirus, entre autres sexuellement transmissibles. Cela ne signifie pas pour autant que ce cancer soit causé par des papillomavirus.

  10. Un petit rappel de bon aloi (mais sans rapport avec la question de la vaccination).

    Une femme qui a un cancer du col de l'utérus mais qui en plus est séropositive au "VIH" ne souffre pas d'un cancer du col de l'utérus ... mais bien du "sida" !

    On peut supposer que cette maladie fut ajoutée à la liste des maladies qualifiées de "sida" simplement pour tenter d'augmenter le nombre (de toute façon déjà peu élevé, du moins dans les pays occidentaux) de femmes souffrant de "sida" et créer ainsi l'illusion statistique que le "sida" serait une maladie infectieuse puisqu'il se répandrait également chez les femmes.

  11. Ce débat est effectivement intéressant mais j'en suis toutefois extrêmement déçu et je ne partage l'avis d'aucune des deux parties.

    Pourquoi ?

    Parce que les deux parties sont au moins d'accord sur le point de départ : certains papillomavirus causeraient le cancer du col de l'utérus. Raison pour laquelle a en définitive lieu ce débat (puisqu'à défaut de ce point d'accord, le débat serait tout simplement inutile).

    Winckler ne dit-il pas en effet :

    Le cancer du col est favorisé par :

    - l’âge (la fréquence est maximale autour de 60 ans).

    - la consommation de cigarettes (elle multiplie le risque par deux)

    - la multiplicité des partenaires sexuels

    - les premiers rapports sexuels à un âge précoce

    - l’infection par le HIV, qui diminue l’immunité (et peut-être aussi les infections sexuellement transmissibles (IST) par Chlamydiae)

    - les grossesses multiples

    - l’utilisation de la pilule combinée (estrogènes + progestatifs) pendant plus de 5 ans

    Or certains de ces facteurs peuvent déjà expliquer en soi pourquoi on pourrait éventuellement trouver une (relative) association épidémiologique.

    Par ailleurs, à ma connaissance, on n'est jamais arrivé à produire un cancer du col de l'utérus à partir de certains de ces papillomavirus (soit une des raisons pour lesquelles on parle d'"association" épidémiologique et non de causalité). Au surplus, à supposer même qu'un jour, un tel miracle soit réalisé, il faudrait vérifier cela avec des expériences de contrôle, à savoir utiliser les mêmes techniques mais sur des papillomavirus considérés comme n'étant pas pathogènes et voir si on n'arrive pas à obtenir de cette façon des cellules cancéreuses.

    Dès lors qu'il n'a jamais été prouvé que ces papillomavirus puissent causer le cancer du col de l'utérus, le débat intervenu entre les deux parties est en définitive purement théorique et à mon avis presque sans intérêt.

    Enfin, à supposer même que l'on constate dans dix ou vingt ans que les jeunes filles vaccinées souffrent moins de cancer du col de l'utérus (ce qui m'étonnerait beaucoup), avant de pouvoir affirmer que le vaccin y est pour quelque chose, il faudra vérifier si les jeunes filles ayant reçu un vaccin placebo n'aurait pas également une incidence moindre d'un tel cancer. A défaut de contrôle placebo, il sera tout simplement scientifiquement malhonnête d'affirmer que le vaccin y serait pour quelque chose (tout particulièrement en matière de cancer où il ne fait plus aucun doute à ce jour que les facteurs psychiques jouent un rôle fondamental).

    NB : Ce sujet présente finalement de nombreux points communs avec le mythe du "HHV8" supposé causer le sarcome de kaposi. Là également, à partir du "HHV8", on n'est jamais arrivé à produire un sarcome de kaposi. En revanche, on est arrivé à en produire chez des rats qui avaient été trop longtemps et trop fréquemment exposés au sperme d'autres rats. Lisez ce topic pour plus d'infos.

  12. Je réfléchis encore un peu à ce sujet.

    Plutôt que de nous attarder sur les (nombreux) arguments invoqués par les opposants à cette vaccinations, attardons nous plutôt sur les arguments invoqués par les ayatollahs de cette vaccination.

    Sauf erreur de ma part, en définitive, les arguments en question se résument à un seul : l'existence d'une association, au surplus faible (!) entre ce cancer et la présence de certains papillomavirus.

    C'est toutefois perdre complètement de vue qu'"association" n'a jamais signifié et ne signifie toujours pas "causalité", même si l'association est extrêmement forte (ce qui n'est cependant pas le cas ici).

    En d'autres termes, jusqu'à ce jour, il n'a jamais été prouvé que certains de ces papillomavirus puissent causer, que ce soit directement ou indirectement (peu importe, ce qui compte est la notion de "causalité"), cette forme de cancer.

    Etant donné que les vaccins sont tout ce qu'on veut sauf inoffensifs, il va de soi que pour ma part, je n'oserai jamais prendre une décision aussi gravissime que celle de me faire vacciner ... en ayant pour seul argument la notion "d'association" !

    Si la notion d'"association" devait être retenue pour justifier une telle vaccination, alors il écherrait également et par exemple :

    - de ne plus jamais utiliser (ou, à tout le moins, avec une fréquence éminemment moindre) la télévision et le téléphone puisque de nombreuses études scientifiques ont montré, de manière concordante, répétée et convaincante, l'existence d'une association extrêmement forte (bien plus que l'association existant entre le cancer du col de l'utérus et la présence de certains papillomavirus) entre la fréquence des cancers en général et le degré avec laquelle un pays est câblé,

    - ou encore de consommer chaque jour des suppléments d'huile de poisson puisque de nombreuses études scientifiques ont montré de façon plus ou moins constante l'existence d'une association plus ou moins forte entre l'espérance de vie, la diminution de la fréquence des maladies cardio-vasculaires voire même des cancers et la consommation d'oméga 3, alors que c'est perdre complètement de vue, par exemple :

    * que les oméga 3 contrebalancent les effets délétères de la consommation en oméga 6, en sorte que la solution consiste en réalité à consommer le moins possible d'oméga 6 et non à consommer des oméga 3 (lire aussi ce topic),

    * les personnes qui consomment de l'huile de poisson (après avoir été influencés par la publicité et leur nutritionniste) sont le plus souvent les mêmes qui font attention à leur poids, qui ne mangent pas trop de sucre, qui font régulièrement du sport, qui ne mange pas trop de ceci et de cela, en sorte que la relative association avec la consommation en oméga 3 constitue au mieux une conséquence ou un marqueur ... mais non une causalité !

    On l'aura compris, la notion d"association" ne signifie pas "causalité" et cela est bien entendu valable pour le cancer du col de l'utérus.

    Tout cela me fait fortement penser au sarcome de kaposi puisque l'orthodoxie médicale affirme que celui-ci serait causé en réalité par une forme particulière du virus de l'herpès (virus cousin des papillomavirus justement, sauf erreur de ma part) ... au motif qu'il existe une "association" extrêmement forte entre le sarcome de kaposi et cette forme du virus de l'herpès! Et cette "association" est bien plus forte que celle des papillomavirus et du cancer du col de l'utérus puisqu'elle dépasse les 90% !

    Et pourtant, comme résumé dans ce très long post, il n'a jamais été prouvé que le sarcome de kaposi soit causé par cette forme de virus de l'herpès, ce qui n'a rien d'étonnant vu qu'"association" ne signifie pas "causalité".

    Je conclurai donc en disant qu'il n'y aucune bonne raison d'utiliser ce prétendu vaccin contre le cancer du col de l'utérus vu qu'il n'a jamais été prouvé que certains de ces papillomavirus puissent effectivement le causer. En revanche, certains des "accidents" causés par ce vaccin commencent à être connus.

  13. Ci-dessous, quelques liens vers des articles sans doute bien plus sérieux, mais en anglais, sur l'absence de preuve d'efficacité de ce prétendu vaccin contre le cancer du col de l'utérus mais également sur ses réels méfaits déjà connus à ce jour (sans compter ceux qui seront connus ultérieurement), comme le fait que ce prétendu vaccin augmente le risque de survenance de lésions précancéreuses, ce qui est pour le moins un comble pour un vaccin ... supposé prévenir une forme de cancer !

    http://www.newstarget.com/Report_HPV_Vaccine_0.html

    http://www.newstarget.com/022404.html

    http://www.newstarget.com/022405.html

    http://rense.com/general78/hpv.htm

    Notons que je ne m'intéresse pas spécialement à ce sujet, il s'agit juste de liens que j'ai trouvés (très) rapidement sur le net.

    En revanche, je recommande vivement la lecture de l'ouvrage suivant, dont la troisième édition est sortie fin de l'année passée, et comportant plusieurs centaines de références scientifiques (!) (si pas un bon gros millier de références scientifiques) :

    Michel Georget, Vaccinations : Les vérités indésirables, Editions Dangles, 3ème édition revue et augmentée, septembre 2007, 464 pages.

    Après avoir lu cet ouvrage (qui n'aborde toutefois pas le prétendu vaccin contre le cancer du col de l'utérus, sans doute parce qu'il est trop récent [ce sera certainement pour la quatrième édition]), vous ne pourrez plus jamais considérer les vaccins en général comme constituant un bienfait quelconque pour l'humanité, pas même pour les pays du tiers-monde, sauf rarissimes exceptions. En tout cas, rien ne justifie que certains vaccins soient rendus obligatoires, entre autres lorsqu'on constate que la notion d'"immunité du troupeau" relève en définitive du mythe (même lorsque 95% de la population est vaccinée) et qu'on tient compte des risques quasiment indénombrables liés aux vaccinations (risques liés au sujet que l'on vaccine, à la partie vaccinante, aux additifs, engendrés par la réaction immunitaire et enfin les risques liés aux contaminations non seulement insoupçonnés mais également celles qui sont connues mais acceptées faute de pouvoir toujours les éliminer) et à l'extrême diversité des accidents observés !

  14. Pour rappel, à mon humble avis, l’une des meilleures méthodes “alternatives” pour prévenir non seulement l’apparition d’un cancer quelconque mais apparemment également pour le guérir, du moins lorsqu’il n’est pas encore trop avancé, consiste à adopter un régime riche en acides gras saturés et extrêmement pauvre et même complètement déficient en acides gras polyinsaturés, en pratique les oméga 6 et 3. Contrairement à ce qui est affirmé, il n’a jamais été prouvé que les acides gras polyinsaturés seraient “essentiels” pour une (bonne) santé.

    En revanche, depuis plus de 50 ans maintenant, il a été maintes fois prouvé que les acides gras polyinsaturés étaient essentiels … à l’apparition du cancer !

    Et visiblement, les acides gras polyinsaturés paraissent également essentiels à l’apparition du “sida”.

    Pour plus d’infos, lire ce topic.

  15. Ci-dessous, trois liens vers de très récents articles (anglais), avec de multiples références scientifiques, sur les dangers sans commune mesure des acides gras polyinsaturés. Plus que jamais, il écherrait de les éviter le plus possible et, partant, de ne pas consommer d'aliments qui comprennent ne fût-ce qu'un peu plus qu'un montant dérisoire d'acides gras polyinsaturés.

    Cela est bien sûr valable non seulement pour les oméga 6 mais également pour les oméga 3 (et tout particulièrement les poissons dits "gras" considérés par les nutritionnistes orthodoxes comme étant "(très) bons" pour la santé LOL) ainsi qu'il ressort (entre autres) du troisième lien.

    http://raypeat.com/articles/articles/unsaturatedfats.shtml

    http://raypeat.com/articles/articles/unsuitablefats.shtml

    http://raypeat.com/articles/articles/fishoil.shtml

    Notons que l'un de ces articles mentionne l'existence d'études scientifiques où des maladies autoimmunes ont pu être guéries grâce à un régime fortement déficient en acides gras dits "essentiels" (soit les oméga 6 et 3). Etant donné que le SIDA peut manifestement être considéré comme une maladie autoimmune, le lecteur en tirera lui-même ses propres conclusions !

  16. Au sujet du bicarbonate de soude, voici ce que j'ai trouvé ici :

    Le cancer est-il provoqué par le champignon Candida Albicans ?   

       

    Écrit par Emma Holister Collaboration spéciale   

    30-03-2007 

    Entrevue avec Dr Tullio Simoncini qui parvient à traiter le cancer à l’aide du bicarbonate de soude

    Emma Holister (E. H.) : Après avoir lu vos articles concernant votre thérapie révolutionnaire contre le cancer, je n’ose pas imaginer combien il vous a été difficile de continuer à exercer votre profession en tant qu’oncologiste dans le monde de la médecine officielle. Quel a été la réponse des autorités médicales à votre travail?

    Dr Tullio Simoncini photo(http://candida-international.blogspot.com)

    Dr Simoncini (Dr S.) : Quand un scientifique a une idée efficace et révolutionnaire, les autorités médicales essaient par tous les moyens de supprimer son travail parce qu'elles sentent que leurs intérêts sont menacés. Aussi efficace que puisse être la thérapie en question, leur but sera de la détruire. On le renverra des associations médicales, on le traitera de charlatan dans les journaux et à la télé, on l’attaquera en justice et même la police le harcèlera jusque chez lui. 

    E. H. : Qu’est ce qui empêche notre système médical d’accepter vos théories concernant le fait que le cancer serait provoqué par un champignon (Candida Albicans) et que vous traitiez des tumeurs en utilisant le bicarbonate de soude?

    Dr S. : De un, il y a un égoïsme et un manque de spiritualité flagrant dans l’élite médicale, ce qui les empêche de regarder au-delà de leur ignorance acquise. De deux, la théorie fondamentale derrière le cancer est basée sur l'hypothèse qu'elle est provoquée par un désordre génétique ayant pour résultat une surproduction des cellules cancéreuses. On peut qualifier cette théorie d’erronée, car elle n’a été jamais démontrée.

    E. H. : Croyez-vous que vous puissiez surmonter ces problèmes, et si oui, comment?

    Dr S. : Oui, je le pense, grâce à l'activisme des mouvements populaires. Si beaucoup de citoyens se mobilisent et travaillent ensemble, il sera possible d'exiger que les autorités tiennent compte des libertés dans le domaine de la recherche médicale. Cela se fera en manifestant et par des médias.

    E. H. : Combien de cas avez-vous pu traiter? Vos résultats ont sûrement dû, pour le moins, attirer l'attention de vos collègues dans le monde médical?

    Dr S. : J'ai traité des centaines de patients. La plupart d'entre eux avaient des cancers extrêmement avancés, surtout après avoir étés soumis aux thérapies conventionnelles. Bon nombre d'entre eux se sont complètement rétablis et vivent encore en bonne santé des années après le traitement.

    Lorsqu'il s'agit des cancers dépistés tôt, plus petit que 3 cm, avec l'incidence minimale des métastases, 90 % de patients se sont rétablis.

    Beaucoup de médecins sont d'accord avec mes méthodes et ont employé ce traitement à base de bicarbonate de soude.

    E. H. : Pourriez-vous mettre en évidence votre expérience pour faire pression afin que les autorités médicales prennent votre travail au sérieux?

    Dr S. Non, car pour démontrer le bien-fondé d’une théorie, il est nécessaire de faire une étude sur plusieurs centaines de cas très documentés. Cela ne peut se faire qu’en milieu hospitalier.

    E. H. : Beaucoup de femmes souffrent du Candida Albicans, ce qui provoque énormément de problèmes gynécologiques, tels que des champignons persistants et les cancers des organes reproducteurs. Quel conseil leur donneriez-vous?

    Dr S. : Pour déraciner les infections fongiques gynécologiques persistantes, faire un lavement (vaginal) chaque jour avec deux litres d’eau pure bouillie préalablement puis refroidie dans laquelle on mélange deux cuillères à soupe de bicarbonate de soude. Cela durant deux mois, s'arrêtant seulement pendant les menstruations. Le Candida Albicans est très résistant et cela prend un bon moment pour guérir définitivement.

    E. H. : Il est clair que vos vues sur le cancer, le Candida Albicans et son mode de fonctionnement soient révolutionnaires dans le contexte de la médecine officielle. Il est surprenant pourtant que vos idées diffèrent également de celles de la plupart des thérapeutes dans la médecine alternative qui considèrent le Candida Albicans comme un problème systémique affectant le corps entier et provenant des intestins. Si vous croyez que la levure du Candida n'est pas la cause des divers problèmes intestinaux habituellement liés à la candidose, à votre avis, quelle en est la cause?

    Dr S. : La cause principale est environnementale. Deuxièmement, et par conséquent, il y a un manque d'énergie provoqué par des changements dans la circulation de sang. Troisièmement, le régime alimentaire. La question qu’il faut poser c’est pourquoi une personne a-t-elle des intolérances au sucre, à la levure, aux oeufs, au lait, etc.? Avant que cela se développe, des dommages ont déjà été causés. L'épithélium de l’intestin est endommagé, ce qui cause ces intolérances. Il est important de traiter la cause, alors il est possible de voir si les problèmes continuent.

    Il n'est pas bon de supprimer à jamais un aliment particulier parce cela ne traite pas la maladie à sa base. Elle est en général provoquée par des problèmes dans l'environnement et l’alimentation ce qui appauvrirait nos forces.

    Par exemple, une personne qui a une maladie de coeur peut souffrir d’une dilatation chronique des intestins (et par conséquent le coeur travaille moins), et une intolérance en est le résultat. Un autre exemple, une intolérance alimentaire peut être provoquée par une maladie qui provoque une congestion, ainsi de suite.

    Par conséquent, pour traiter la maladie, il faut aller à sa cause et ne pas s’arrêter aux symptômes en évitant tel ou tel type de nourriture.

    E. H. : En conclusion, quel est votre avis sur la situation de beaucoup de praticiens de santé alternative face aux campagnes anti-médicine alternative imposées par les autorités médicales qui exercent une pression par des médias nationaux et par la presse médicale, exercées par exemple par le groupe Quackbusters? Que pensez-vous qu’il serait nécessaire de faire afin de protéger des thérapeutes alternatifs, tels que vous-même, et les patients qui viennent chez vous pour trouver de l'aide?

    Dr S. : Mon avis est que les thérapeutes alternatifs sont effrayés et n’ont pas les moyens de combattre les mensonges émis par la médecine officielle. Le monde médical doit être libéré afin de permettre aux patients d’avoir la liberté de choisir les soins qu’ils souhaitent recevoir pour leur santé. La plupart des maladies sont le résultat d'un style de vie malsain. Par conséquent, les médicaments sont inutiles et dommageables. En outre, les établissements archaïques, tels que les associations médicales, mettent fréquemment des médecins sous pression pour qu’ils prescrivent ces traitements inutiles, nocifs et toxiques.

    Site de Emma Holister : http://candida-international.blogspot.com

    Site du Dr Simoncini : http://www.curenaturalicancro.org

    Au moins le bicarbonate de soude n'a pas les effets secondaires dramatiques de la plupart des traitements conventionnels du cancer.

  17. Un article très intéressant dans le Nexus de janvier-février 2008 : selon un oncologue italien dissident, les cancers seraient en définitive causés par un champignon bien connu des séropositifs, à savoir le candida albicans ! C'est ce qu'il affirme depuis plus de trente ans mais l'orthodoxie du cancer refuse de lui prêter la moindre attention (contrairement aux malades).

    Le remède consisterait à prendre du bicarbonate de soude, que l'on trouve à un prix ridicule dans n'importe quelle pharmacie. En fonction des cancers, le bicarbonate de soude devrait être consommé (cancer de l'estomac), faire l'objet d'injection (cancer du cerveau) ou encore faire l'objet de lavement (cancer de l'anus), et ce des semaines (voire mois) durant.

    Il aurait obtenu plusieurs guérisons spectaculaires, et les patients sont toujours en vie et en pleine forme quinze ans plus tard.

    Je trouve cette hypothèse intéressante. Après tout, bon nombre de facteurs censés favoriser l'apparition du cancer favorisent également la prolifération du candida albicans (tabac, produits toxiques, acides gras polyinsaturés, ...). De même, certains traitements alternatifs (comme le sélénium) du cancer sont de nature à faire régresser le candida albicans.

    Je ne sais quoi en penser mais cela me semble très intéressant.

  18. Personnellement je n'ai pas lu ce livre mais je ne doute pas un seul instant qu'il soit extrêmement intéressant.

    J'ai commencé en lisant la plupart des articles de www.sidasante.com, ensuite ONCT bien sûr (en particulier le topic en trois parties "Le "VIH" ne cause pas le sida"), et finalement les sites anglais, tout particulièrement le site du Perth Group.

    Mais pour moi, l'un des meilleurs sites (anglais) reste celui-ci puisque ce fut l'occasion de lire un débat scientifique contradictoire qui a duré plus de deux ans entre orthodoxie du sida et dissidence du sida (le seul de cette ampleur et de cette qualité scientifique, à ma connaissance), avec bien sûr les réfutations du Perth Group aux différents arguments invoqués par les ayatollahs de l'hypothèse rétrovirale. C'est certainement grâce à cette partie du débat ayant opposé le Perth Group à l'orthodoxie du sida la plus autorisée que j'ai le plus appris et que j'ai surtout enfin compris l'absurdité incommensurable de l'hypothèse rétrovirale. Il faut regretter qu'après deux ans, l'orthodoxie du sida ait réussi à mettre fin à ce débat scientifique mais on peut les comprendre : le ridicule sans borne de l'hypothèse rétrovirale devenait de plus en plus visible au fil des mois !

  19. Ci-dessous, un lien vers un excellent site - français - permettant d'avoir une analyse nutritionnelle des aliments les plus courants.

    Dans le cadre de ce topic-ci, ce qui nous intéresse avant tout, c'est la composition en acides gras polyinsaturés (à éviter absolument) et en acides gras saturés (à privilégier, de préférence les acides gras saturés à chaînes courtes et moyennes, tels que l'huile de noix de coco extra vierge, le beurre, ..).

    Il convient bien entendu de lire toujours la liste des ingrédients des aliments que vous achetez pour éviter le plus possible les acides gras polyinsaturés.

    http://www.ligne-en-ligne.com/table-des-ca...ableau-calories

  20. Encore désolé de ne pouvoir t'aider davantage, n'étant malheureusement pas médecin.

    J'ai toutefois oublié de donner un conseil, tellement il me semble évident, à savoir de suivre le régime préconisé dans ce topic, à savoir éviter les aliments contenant plus qu'un minuscule montant d'acides gras polyinsaturés (= oméga 6 et oméga 3) au profit des aliments contenant des acides gras saturés, de préférence à chaînes courtes et moyenne (huile de noix de coco extra vierge, beurre, ...).

    Quelle que puisse être la cause de tes problèmes de santé, ceux-ci sont pour la plus grande partie la conséquence finale de diverses réactions biochimiques dans ton organisme, lesquelles réactions impliquent entre autres l'acide arachidonique et les acides gras polyinsaturés en général.

    Il faudra cependant attendre au moins quelques mois avant de constater une éventuelle amélioration des symptômes.

  21. Bonsoir Rafo,

    Je suis vraiment navré de ce qui t'arrive, et je le suis d'autant plus, que personnellement, je ne sais quoi te conseiller.

    Peut-être que lors de ce rapport sexuel, tu as été contaminé par un mycoplasme ? Je n'en sais strictement rien mais il me semble que cette hypothèse est souvent oubliée en médecine.

    Une chose est certaine : même si tu avais été séropositif, tes problèmes de santé n'auraient de toute façon pas été causés par je ne sais quel rétrovirus "VIH".

    Peut-être que tu pourrais faire un bilan nutritionnel ? Quoique cela soit coûteux, cela ne sera de toute façon pas inutile, à défaut pour tes médecins te pouvoir de guérir.

    Encore désolé de ne pouvoir t'aider davantage, n'étant malheureusement pas médecin.

  22. Personnellement, je n'ai pas suivi avec grande attention ce sujet.

    Ce que j'ai cru comprendre, c'est qu'il est supposé que certaines cancers du col de l'utérus seraient causés par certains papillomavirus.

    Certaines entreprises pharmaceutiques ont donc mis au point un vaccin qui empêche effectivement d'être contaminé par certains des papillomavirus supposés causer certains cancers du col de l'utérus.

    Mais à ma connaissance, cela ne prouve toujours pas qu'il y aura effectivement (avec une efficacité supérieure à 99%) moins de cancer du col de l'utérus chez les vaccinés car il semble bien qu'il n'a tout simplement jamais été prouvé que ces papillomavirus en seraient les responsables. La prétendue causalité découle, d'après ce que j'ai pu lire, d'une simple association, à savoir que l'on retrouve chez une relative majorité de femmes souffrant d'un cancer du col de l'utérus ces fameux papillomavirus. C'est pour pourtant perdre de vue :

    - qu'une écrasante majorité de femmes sont porteuses, leur vie durant, de ces papillomavirus et ne font pourtant pas de cancer du col de l'utérus,

    - et que bon nombre de femmes atteintes de cette forme de cancer ne sont tout simplement pas porteuses de ces papillomavirus.

    Par ailleurs, certains scientifiques disent simplement que c'est parce qu'elles sont malades et atteintes d'un cancer du col de l'utérus que cette état physiologique fait apparaître en fait ces papillomavirus et deviennent détectables par divers tests. En d'autres termes, ces papillomavirus pourraient bien être la conséquence et au mieux un symptôme du cancer du col de l'utérus ... mais non sa cause !

    Donc, je ne pense vraiment pas que ce vaccin va réellement améliorer la situation. En réalité, j'en attends le pire (vu toutes les saletés que l'on trouve dans ce vaccin) mais pour cela, il faudra attendre 15 ou 20 ans pour le savoir (on n'a tout simplement aucun recul). En tout cas, si j'étais une femme, je ne prendrais certainement pas le risque de me faire vacciner. A mon avis, ce risque ne peut être couru que si dans ses parents, certains sont morts de ces cancers et que le risque serait héréditaire. Je crois que dans ce cas, le risque vaut la peine d'être couru, quoique qu'il semble qu'il n'ait jamais été prouvé que ces papillomavirus en soient réellement la cause.

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