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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. wallypat

    La méthode PCR

    Intéressant ces considérations sur l'aspirine ! Cela rejoint dans une certaine mesure les propose de Ray Peat, le nutritionniste conseillant vivement, et entre autres, d'éviter de consommer les acides gras polyinsaturés, soit les soi-disant acides gras "essentiels". Quelques extraits ci-dessous en rapport avec l'aspirine.
  2. Parce que le monde entier vit encore à l'époque de la préhistoire du "sida", à savoir que ce syndrome serait dû à un rétrovirus qui serait aussi puissant qu' invisible chez les sidéens, soit le mythique "VIH".
  3. Je t'ai répondu dans le topic sur les acides gras saturés, soit dans le topic qui me semble le plus approprié car ma réponse ne concerne pas que l'huile de noix de coco.
  4. Je réponds dans ce topic-ci à la question principale posé par Hugo dans ce post. Je vais tâcher de répondre rapidement à ta question principale. (Concernant l'huile de noix de coco à froid, il est toujours possible d'en "couper" avec une cuillère, le morceau coupé fondra dans la bouche). Le principe de base est très simple : éviter les aliments qui comportent un peu plus qu'un petit montant d'acides gras polyinsaturés et privilégier les acides gras saturés, surtout à chaînes courtes et moyennes (tels que l'huile de noix de coco et le beurre). Il faut toujours lire les ingrédients des aliments qu'on achète. 1) Ma source principale de lipides sera donc l'huile de noix de coco et le beurre (surtout fait à base de lait cru : on en trouve dans les [bons] magasins bio). 2) Les seules huiles utilisées sont l'huile de noix de coco (utilisés également pour cuire la viande et frire les frites [il ne sert à rien de manger des frites en dehors de chez soi car elles sont toutes cuites dans de l'huile "spéciale" pour les frites, soit des huiles riches en acides gras polyinsaturés, donc à éviterl; toutefois, si un restaurateur devait cuire des frites dans de la graisse de boeuf [ce qui devient extrêmement rare, car riche en acides gras saturés, supposés extrêmement mauvais pour la santé], alors là, c'est tolérable de temps en temps]) et l'huile d'olive (à titre accessoire), par exemple pour les salades. 3) J'évite par conséquent tous les aliments qui comportent entre autres comme ingrédients d'autres huiles que l'huile de noix de coco (si l'aliment comporte toutefois de l'huile de palme, cela va quand même car elle est très riche en acides gras saturés, quoique moins que l'huile de noix de coco). Si dans les ingrédients il est précisé "huile végétale" sans autre précision, j'évite car il ne s'agit généralement pas d'huile de noix de coco. Tu constateras alors qu'un nombre incroyable d'aliments comporte de l'huile végétale comme ingrédient. Ainsi, il m'a fallu longtemps chercher pour trouver un pain complet qui ne comporte pas de l'huile végétale (je n'en achète en tout cas plus en boulangerie, faute de connaître ses ingrédients). De même, le chocolat à tartiner comporte presque toujours de l'huile végétale. Le chocolat noir ne comporte en revanche presque jamais de l'huile végétale. La plupart des aliments en conserve comporte de l'huile végétale et de façon générale, des aliments riches en acides gras polyinsaturés. Idem pour les pizzas, lasagnes, etc... Eviter toutes les sauces viandes et salades (mayonnaise, tartare, etc...), toutes comportant de l'huile végétale. En revanche, OK pour le ketch up qui ne comporte pas d'AGPI mais uniquement des glucides (et très riches en lycopènes, très bons pour la santé). J'évite d'aller dans les restaurants (en ce compris, les restaurants végétariens), où sauf exception tout est cuisiné dans des huiles végétales (autres que l'huile de noix de coco). Eviter bien sûr les fast food et leurs aliments extrêmement riches, non en acides gras saturés (contrairement à ce qui est affirmé), mais bien en acides gras polyinsaturés. Presque tous les fruits et légumes sont généralement bons et ne comportent qu'un montant très dérisoires d'acides gras polyinsaturés. Attention toutefois aux noix, noisettes, amandes, etc... qui comportent beaucoup d'acides gras polyinsaturés. Je les évite donc, ainsi que les aliments qui comportent entre autres ces ingrédients, comme le massepain. En revanche, les sorbets et bon nombre de crèmes glacées comportent fort peu d'acides gras polyinsaturés (lire toutefois la composition : éviter les glaces faites à base de noix, de noisettes, etc...) Eviter bien sûr les poissons gras, très riches en oméga 3, tels que le saumon, les sardines, etc... (en fait, je ne les ai jamais aimés, et je comprends pourquoi maintenant). En fait, question poisson, je mange essentiellement du thon, mais uniquement le thon pâle (mis en conserve dans l'eau, pas dans l'huile d'olive), extrêmement pauvre en acides gras polyinsaturés (mais très riche en protéines), et certainement pas le thon blanc et pire encore, le thon rouge, tous deux très riches en acides gras polyinsaturés. Au surplus, c'est dans le thon pâle que l'on trouve le moins de mercure (en dessous du maximum autorisé), il y en a en revanche 5 à 6 fois plus dans le thon blan ou rouge. Question viande, éviter absolumemt le porc, sous quelque forme que ce soit (très riche en AGPI). Ok pour le boeuf, agneau, mouton (très peu d'AGPI). Quand au poulet, je n'en mangerais pas beaucoup, et surtout pas la peau, assez riche en AGPI. Toujours à cuire à feu doux (pour éviter une trop grande oxydation du cholestérol, le cholestérol oxydé étant en réalité le seul choelestérol mauvais pour la santé) dans l'huile de noix de coco, éventuellement avec un peu d'huile d'olive. Je mange beaucoup de fromage, mais à lait cru, très riche en AGS (acides gras saturés) et aussi en protéines, et aussi du beurre à lait cru. Je bois également du lait, mais écrémé (le lait cru est extrêmement rare à trouver; et j'évite le lait entier ou demi-écrémé en raison des lipides qui s'y trouvent et visiblement de nature à créer des phénomènes inflammatoires chez bon nombre de personnes). Eviter absolument les laits végétaux (en ce compris et peut-être surtout le lait de soja), riche en AGPI. Je mange du chocolat noir et depuis peu, j'ai aussi trouvé un chocolat au lait (sans huile végétale, ce qui est assez exceptionnel), comportant beaucoup d'AGS. Après quelques mois de ce régime, je commence maintenant à avoir la nausée quand je suis en présence d'une nourriture comportant un peu beaucoup d'AGPI. Ainsi, j'étais dingue de sauce tartare (très riche en AGPI, comme toutes les sauces viande et salade, d'ailleurs). Il y a quelques semaines, j'ai été amené à sentir de près un pot, juste ouvert, et franchement, j'ai dû faire un effort pour ne pas vomir. Mon corps paraît se rendre maintenant instinctivement compte combien les AGPI sont mauvais pour la santé. Bref, éviter les aliments comportant des huiles végétales (autres l'huile de noix de coco et éventuellement l'huile de palme), en ce compris l'huile d'olive (dont je me sers uniquement pour les salades et un peu pour cuire la viande) et plus qu'un petit montant d'AGPI. Donc, bien lire la composition : voir surtout la composition en AGS, qui doit être idéalement l'acide gras le plus abondant (ce qui est surtout le cas de l'huile de noix de coco et du beurre). Les acides gras monoinsaturés (oméga 9) sont +/- neutres et acceptables pour autant que les AGS constitue l'acide gras le plus abondant). En revanche, si l'aliment comporte plus que 2 à 3% d'AGPI, je les évite. Au début, ce n'était pas toujours facile mais au bout de quelques semaines, on commence à s'habituer et on finit par flairer les aliments qui comportent trop d'AGPI. ET puis, si cela devient trop dur (ce qui n'est plus le cas maintenant), les crèmes glacées et les sorbets ne sont certainement pas interdits. Voilà. Attention, je me trompe peut-être de composition en AGS et AGPI pour certains aliments, et je ne demande pas mieux que l'on rectifie pour certains aliments, le cas échéant. Attention également : en suivant ce régime, le corps va libérer l'acide arachidonique contenu dans l'organisme, ce qui est un phénomène relativement dangereux et pourra se traduire- provisoirement (ce qui peut durer deux à trois ans) - par de mauvais "marqueurs" (élévation des enzymes hépatiques, par exemple) sans pour autant que l'organisme en souffre. Ce phénomène est toutefois transitoire car en suivant ce régime, au bout d'un certain temps, l'organisme ne pourra plus produire de l'AA (acide arachidonique), faute d'AGPI dans l'alimentation. Pour traverser ces périodes, il est très vivement conseillé de prendre des antioxydants pour se protéger contre l'AA. Pour un séropositif, la N-acétylcystéine et la vitamine C me paraissent indispensables, à tout le moins, ainsi qu'un bon complexe de vitamines et d'antioxidants. En effet, en suivant un tel régime, le métabolisme s'accroît (---> diminution de poids possible), en sorte que l'organisme a besoin de plus de nutriments. La vitamine B6 est par exemple importante et même indispensable car plusieurs études paraissent démontrer qu'elle est indispensable pour former la "mead acid", c'est-à-dire l'AGPI produit par le corps lui-même lorsque celui-ci est confronté à une carence en AGPI "essentiels", soit les oméga 6 et 3. Or la "mead acid" constitue un AGPI beaucoup plus stable que les oméga 6 et 3 et ne contribue pas au phénomème inflammatoire à moyen ou long terme (mais bien à court terme : en présence d'un pathogène quelconque, l'organisme répondre de façon forte mais rapide, évitant ainsi la plupart du temps le risque de maladies chroniques). J'ai encore lu récemment des études sur les dangers des AGPI trouvés dans l'alimentation, soit les oméga 6 et 3. Ainsi (et parmi de nombreux autres exemples), dans le diabète, le sucre est incriminé, ce qui est exact. Ceci étant, si le corps est dépourvu d'acides gras "essentiels", soit les AGPI, il est presque impossible de souffrir plus tard de diabète, même en mangeant trop de sucres. Ceux ne deviennent vraiment dangereux qu'en présence d'acides gras "essentiels". Mais comme les nutritionnistes pensent toujours que les oméga 6 et 3 seraient des acides gras "essentiels" et qu'on ne pourrait pas s'en passer, ils disent de diminuer la consommation de sucres, alors qu'en réalité, il faudrait déjà commencer à diminuer la consommation en acides gras "essentiels" ou AGPI ! Ultérieurement, quand j'aurai le temps, je citerai d'autres études ayant montré le danger des AGPI sur bon nombre de pathologies, telles que le cancer, les maladies cardio-vasculaires, le diabète, maladie de Parkinson, Alzheimer, thrombose, phlébites, etc... En tout cas, les AGPI paraissent impliqués de façon directe et/ou indirecte dans bon nombres de pathologies, et en particulier les maladies phares actuelles, telles que les cancer, les maladies cardio-vasculaires, diabète, obésité, cataracte, les maladies dégénératives et chroniques, ...
  5. Il ne s'agit pas de la méthode du Perth Group mais bien celle des meilleurs rétrovirologues de l'époque. C'est d'ailleurs tellement vrai qu'il s'agit de la méthode (à tort attribuée au Perth Group) qui a été utilisée par les deux "découvreurs" du "VIH", à savoir Montagnier en 1983 et Gallo en 1984, et c'est justement en vertu de cette méthode qu'ils ont prétendu avoir isolé un nouveau rétrovirus "VIH". Si cette méthode n'était pas efficiente et probante, pourquoi Montagnier et Gallo l'ont-ils utilisé (ou plutôt : "prétendu l'avoir utilisée") ? Et pourquoi se sont-ils fondés justement sur cette méthode-là pour prétendre avoir isolé un nouveau rétrovirus "VIH" ? Ceci étant, l'analyse de leurs publications permet de constater qu'ils n'ont en fait pas utilisé comme il fallait cette méthode avancée par les rétrovirologues eux-mêmes puisque (et entre autres multiples autres défauts), ils n'ont jamais publié la photographie au microscope électronique du matériel récolté dans le gradient de densité où sédimentent par définition les rétrovirus. En 1997, Montagnier fit lui-même l'aveu que même après un "effort de romain", il n'avait jamais pu voir la moindre particule d'apparence rétrovirale dans ce gradient de densité. Dès lors qu'il n'y pas de telles particules, il ne saurait y avoir par définition de rétrovirus. En d'autres termes, pas de "VIH", pas d'hypothèse rétrovirale. Et si on ne voit pas dans ce gradient de densité une particule d'apparence rétrovirale (je ne les appelle pas encore "rétrovirus" car il faut encore et au moins prouver qu'elles se répliquent), il n'y a évidemment pas d'antigènes de "VIH" et pas d'ARN de "VIH", et donc pas de tests "VIH" ou de charge "virale" possible. Et je rappelle encore ceci : "Les rétrovirus ne relèvent pas de notions cosmologiques, nucléaires ou ésotériques dont l'existence supposée ne pourrait être qu'inférée à partir d'observations indirectes. Ce sont des particules que l'on peut voir, même si ce n'est pas à l'œil nu." Donc, pas de particules d'apparence rétrovirale dans le gradient de densité où sédimentent par définition les rétrovirus, pas de "VIH". Et pas de théorie infectieuse du "sida". Bon, moi, je suis maintenant parti pour tout le week-end. Suis déjà fort en retard.
  6. wallypat

    les produits Beljanski

    Normalement, il pourrait obtenir le même résultat, moins rapidement certes, mais d'une façon beaucoup mais alors beaucoup moins chère (les produits Beljanski sont extrêmement chers, à supposer même qu'ils soient réellement efficaces) en suivant un régime riche en acides gras saturés et pauvre en acides gras polyinsaturés. Au surplus, ce régime présente de nombreux autres avantages qui ne sont certainement pas acquis par les produits "Beljanski". Pour plus d'infos, lire ce topic. Moi, huit ans (en mars prochain) et évidemment pas (et jamais été) sous drogues "antirétrovirales". Ma santé s'est fort améliorée dès lors que j'ai compris que l'hypothèse rétrovirale était réellement de la foutaise.
  7. Si tu as une consommation pauvre en oméga 6, la consommation en oméga 3 me paraît beaucoup moins justifiée puisque, à mon avis, les effets positifs des oméga 3 résultent en premier lieu du fait qu'ils contrebalancent les effets négatifs de la consommation d'oméga 6. Mais comme je l'ai déjà expliqué dans le topic sur les acides gras saturés, à mon avis, le mieux à faire est d'adopter une alimentation la plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés, ce qui implique non seulement les oméga 6 mais aussi les oméga 3. En pratique, avant de consommer un aliment, je vérifie la composition en acides gras saturés et polyinsaturés des aliments. S'il y a un peu plus qu'un tout petit montant d'acides gras polyinsaturés, je les évite. Et je m'aide également de ce site-ci. La spiruline ne peut certainement pas être utilisée dans le cadre de mon régime car elle est riche en acides gras polyinsaturés. Des études ont certes montré qu'elle produisait de bons effets à court et moyen terme (j'en ai moi-même consommé antérieurement) mais bon, c'est aussi le cas d'autres huiles. Et comme je pense l'avoir montré dans mon topic sur les acides gras saturés (que je t'invite à lire, aussi long soit-il), je ne pense pas que sur le long terme, ces solutions soient vraiment tenables ou mêmes simplement efficientes. Et certainement pas sur le plan biomoléculaire.
  8. Je te propose déjà de lire la synthèse collective et plus particulièrement : "Chapitre IV : Le SIDA est un syndrome toxique et nutritionnel, manifestement causé par le stress oxydatif" ---> "3) La séropositivité n'étant pas sexuellement transmissible, le SIDA ne peut en aucune façon être une MST". Tu constateras que le "sida" n'a rien d'une maladie infectieuse et ne se transmet sexuellement pas. Tu trouveras plus d'infos en lisant la synthèse collective.
  9. Ci-dessous, la réponse qu'a adressée le Perth Group à un tenant de l'hypothèse rétrovirale posant le même genre de question :
  10. Ci-dessous encore deux posts intéressants du Perth Group au sujet de deux problématiques évoqués ci-avant : http://www.rethinking.org/bmj/response_71496.html : le début étant relatif à nouveau à la problématique des contrôles, lesquels sont rarement effectués de façon adéquate en matière de "VIH", et la fin étant notamment relative à la constatation que l'on n'a jamais trouvé le génome du "VIH" dans les lymphocytes frais et non cultivés de sidéens; http://rethinking.org/bmj/response_70531.html : le début étant à nouveau dévolu à ces fameux problèmes de contrôle, mais l'essentiel du post étant consacré à la constatation (basée sur des publications peer review) que contrairement aux agents oxydants, le "VIH" n'est ni nécessaire ni suffisant pour provoquer la baisse des lymphocytes T4 (en d'autres termes, le "VIH" ne cause pas le "sida", quand bien même son existence aurait été prouvée chez les séropositifs et les sidéens, ce qui n'est pourtant pas le cas).
  11. Voici le lien : http://www.cdc.gov/ncidod/eid/vol9no3/02-0327.htm et ci-dessous le passage qui fut cité par le Perth Group lors du débat qui a opposé durant deux ans orthodoxie et dissidence du sida :
  12. Je pense, Aixur, que cette remarque est en effet des plus pertinentes ! Lis en effet certains des extraits reproduits ci-dessous. Ainsi, des éléments très intéressants retrouvés dans cette réponse du Perth Group : Au sujet de l’impossibilité de retrouver le génome du supposé “VIH” dans les lymphocytes des sidéens : Aixur, lis bien ces passages, je pense que cela t’intéressera beaucoup et confirme tes dires ! Je tiens enfin à profiter de ce post pour faire part d’une constatation qui m’apparaît au fil des jours de plus en plus choquante. En effet, l’orthodoxie du sida refuse depuis toujours et obstinément d’entrer dans un débat contradictoire et surtout public avec les plus grands ténors scientifiques de la dissidence du sida, et en particulier avec le Perth Group, qui passe la moindre seconde de leur temps libre à examiner le sujet, et qui demande à corps et à cris un tel débat. En revanche, cette même orthodoxie du sida est bien prompte à intervenir sur des forums de vulgarisation de la dissidence du sida animés de bon coeur et tant bien que mal et durant leur maigre temps libre par des dissidents bénévoles, dont la plupart n’est forcément pas aussi compétent que les membres du Perth Group, et à exiger de ceux-ci, ce qui est pour le moins fort de café, la même qualité scientifique et rapidité que celle fournirait sans problème les membres du Perth Group … avec lesquels l’orthodoxie du sida refuse pourtant de débattre ! Pourquoi donc ? Ces derniers seraient-ils trop fort pour l’orthodoxie du sida ? On peut effectivement comprendre pourquoi l’orthodoxie du sida refuse un tel débat public avec d’aussi éminentes et compétentes pointures scientifiques que les membres du Perth Group !
  13. Donc bien mis en culture dans les memes conditions Comme toujours dans les publis quand qun fait un controle Oui, mais les cellules utilisées dans le contrôle proviennent-elles d'un individu supposé en bonne santé ou, au contraire, d'une personne malade d'une maladie qui aurait été qualifiée de "sida" s'il avait été supposé qu'elle avait chez lui été causée par le "VIH" ! Je me permets de renvoyer à nouveau à ce post. Donc, toujours pas de preuve que la culture supposée contaminée par le "VIH" l'a bien été (même si des centaines d'expériences ont répété ces expériences de façon identique et avec les mêmes résultats au niveau des "marqueurs"), nonobstant la circonstance que l'on ne trouve pas les soi-disant marqueurs du "VIH" dans la culture de contrôle. Rien d'étonnant à cela. Isolez moi un "VIH" chez un sidéen et je commencerai alors à changer d'avis.
  14. Très vite, juste avant d'aller me coucher. Voir le site du Perth Group : ---> www.theperthgroup.com Bon, bonne nuit maintenant.
  15. Forcément. Si la culture de contrôle est faite à partir du prélèvement sur une personne en bonne santé et non sur une personne aussi malade qu'un sidéen (et si possible atteint de la même maladie que le sidéen, sauf que pour le contrôle, la maladie est supposée ne pas être causée par le "VIH"), il est évident que dans les cultures de contrôle, on trouve rien de particulier presque systématiquement. Il n'y a pas de quoi s'étonner. On s'attend bien à ce qu'une personne non malade ne soit en principe pas exposé à des agents oxydants (créant l'apparition justement des marqueurs interprétés par l'orthodoxie du sida comme étant la conséquence d'une infection par le "VIH") ou de façon générale, à des agents toxiques quelconques de nature à créer dans son organisme des désordres cellulaires quelconques. Une culture de contrôle qui n'est pas faite à partir d'une personne malade (si possible d'une maladie qualifiée de "sida" mais qui ne serait pas un "sida" dans son cas) est sans la moindre valeur probante. C'est de la pure logique. Par ailleurs et sans doute surtout, ces contrôles supposent qu'il ait été préalablement prouvé que ces marqueurs trouvés dans la culture supposée contaminée sont bien la conséquence d'une infection par un rétrovirus exogène "VIH". Etant donné que tu n'es pas en mesure de me donner les références d'une publication prouvant l'isolation du "VIH" et que l'apparition de ces marqueurs peut s'expliquer autrement (ils ne sont donc pas spécifiques), il s'ensuit que détecter ces marqueurs dans la culture supposée contaminée et ne pas les détecter dans la culture de contrôle ne prouvera en aucune façon que la culture où ces marqueurs ont été détectés a bien été contaminée par un rétrovirus exogène "VIH". Bon, je vais me coucher. Bonne nuit à tous.
  16. Je n'ai forcément pas eu le temps d'analyser ton post en entier, Dartagnan32, mais déjà quelques commentaires sur le passage que tu as eu l'amabilité de me destiner plus particulièrement. Quand j'aurai le temps, j'analyserai plus attentivement tes posts (étant entendu que d'autres personnes y répondront certainement) mais je rappellerai une nouvelle fois le point le plus fondamental : tu ne m'as toujours pas prouvé qu'un rétrovirus exogène "VIH" aurait été isolé chez ne fût-ce qu'un seul sidéen. Et bien sûr, ce ne sont pas les "clones" du "VIH" ou les marqueurs utilisés qui permettront de pallier cette omission fondamentale et rédhibitoire de l'hypothèse rétrovirale, d'autant plus lorsque l'apparition de ces marqueurs peut avoir d'autres causes possibles (au surplus expliquées dans des articles publiés par l'orthodoxie du sida elle-même dans des revues peer-review). Il s'agit en définitive du point le plus important puisque l'existence même de l'hypothèse rétrovirale du sida en dépend : pas de "VIH", pas d'hypothèse rétrovirale. Tout le reste (tel que des marqueurs non spécifiques) ne constitue que des tentatives de prouver désespérément l'improuvable.
  17. Personnellement, je ne suis en aucune façon satisfait de cette nouvelle. En effet, elle suppose déjà que la séropositivité soit sexuellement transmissible, chose qui n'a jamais été prouvée jusqu'à ce jour. Les autorités se basent entre autres sur : 1) Une charge "virale" qui est indétectable. Or la preuve n'a jamais été apportée que l'ARN de la charge "virale" a bien pour origine un rétrovirus exogène "VIH" qui aurait contaminé les séropositifs, encore moins au regard du seul étalon-or logique admissible, étant le "VIH" lui-même. 2) Les études épidémiologiques (ce qui suppose déjà que l'isolation du "VIH" aurait déjà été préalablement réalisée, quod non). Voilà un critère extrêmement pauvre. Comme je l'ai déjà précisé, pour prétendre prouver une éventuelle transmission sexuelle de la séropositivité, la moindre des choses est que les études épidémiologiques en question réunissent au moins les conditions suivantes (ce qui n'est certainement pas le cas des études en question), sans quoi n'importe quelle maladie pourra paraître sexuellement transmissible, fut-il à un taux aussi bas que le supposé "VIH" : - Les études doivent être prospectives; - Les tests utilisés pour prouver la séropositivité doivent avoir été prouvés spécifiques, ce qui n'est de toute façon pas le cas, la spécificité de ces tests n'ayant jamais été vérifiée au regard du seul étalon-or admissible, étant le "VIH" lui-même; - Ces études doivent porter sur un nombre statistiquement important de personnes ; - Les résultats doivent être statistiquement significatifs et doivent exclure toute autre possibilité de prétendue mode de contamination. Cette nouvelle est donc intéressante mais je ne la cautionne pas car la cautionner, c'est admettre que l'hypothèse rétrovirale du "sida" serait fondée.
  18. wallypat

    Le glutathion

    Je pense, Hugo, que le premier post de ce topic permettra de répondre à ta question.
  19. Cette question présuppose déjà qu'il aurait été prouvé que les séropositifs auraient été contaminés par un rétrovirus, endogène ou exogène. Personnellement, j'estime que cette preuve n'a jamais été apportée in vivo. Cela signifie donc qu'au mieux, on peut détecter les "mêmes" protéines (est-ce vraiment le cas ? Un test Western Blot positif ne fait pas nécessairement apparaître les dix mêmes protéines du "VIH") et les "mêmes" séquences (est-ce réellement le cas compte tenu de la légendaire mutabilité du "VIH" ?). A supposer même que les mêmes protéines et les mêmes séquences apparaissent, est-il réellement irréaliste de penser que ceux-ci sont le résultat plus ou moins systématique de l'exposition à des "événements extérieurs" provoquant un choc à l'organisme et obligeant ses cellules à muter et se restructurer (cela n'est pas l'apanage des seuls rétrovirus, me semble-t-il, cela peut arriver également à du matériel cellulaire), à savoir l'exposition aux agents oxydants azotés. Ceux-ci viennent effectivement de l'extérieur mais cela n'a strictement rien à voir avec un rétrovirus (exogène ou même endogène). Pour en avoir le coeur net, il suffirait d'isoler réellement du "VIH" chez les sidéens, et non présumer que les protéines et les séquences seraient la conséquences d'une infection par un rétrovirus exogène "VIH". Enfin, tel est mon avis.
  20. Merci pour ce très long post et pour les nombreuses explications y figurant. Il me faudra bien sur quelques jours pour digérer tout cela. Sans doute que dimanche soir j’aurai plus de temps, étant précisé que d’autres intervenants, largement bien plus compétents que moi, sur ce forum auront certainement des commentaires à faire. Toutefois, voilà déjà quelques remarques rapides. Concernant l’usage de préservatif, évidemment que la quasi totalité des intervenants sur ce forum (hormis une ou deux exceptions, dont je ne fais pas partie), encourage son usage. Mais encore une fois, cet encouragement ne signifie absolument pas une reconnaissance de l’existence du “VIH” mais se justifie pour d’autres raisons : prévention des vraies MST, éviter l’exposition rectale au sperme et à son caractère fortement oxydant (une des raisons pour lesquels on trouve portionnellement tellement plus de séropositifs chez les gay). On constatera en définitive que le noeud du problème consiste à me donner les références de l’article scientifique qui aurait isolé dans sa forme purifiée un rétrovirus exogène “VIH” à partir d’un prélèvement d’un sidéen. S’il s’agit de Montagnier et de Gallo, il en est alors encore fini de l’hypothèse rétrovirale du “sida”.
  21. Je ne vois malheureusement rien dans ces publications (à moins que tu puisses être plus précis) qui prouvent qu'un rétrovirus exogène "VIH" aurait été isolé chez des malades. Il me semble que jusqu'à nouvel ordre, un rétrovirus est une particule qui a une apparence rétrovirale et qui est capable de répliquer. Il s'ensuit que pour prétendre avoir isolé un nouveau rétrovirus "VIH", il faut nécessairement : 1) Isoler des particules virus-like. Autrement dit, il faut obtenir que ces particules se séparent de tout le reste (purification) 2) Déterminer leurs caractéristiques morphologiques. 3) Analyser leurs constituants (acide nucléique et protéines) en démontrant que de telles propriétés sont celles de retrovirus et sont uniques. 4) Montrer que ces particules sont infectieuses, c'est à dire que quand des particules pures sont introduites dans les cultures de cellules non infectées, des particules nouvelles mais identiques apparaissent. Ce n'est qu'alors que les particules virus-like peuvent être considérées comme étant des virus. En pratique, cela signifie (à moins que tu connaisses une meilleure méthode pour isoler un nouveau rétrovirus) : 1) Cultiver des cellules supposés infectées et démontrer que de telles cultures contiennent des particules retrovirus-like, c'est à dire, des particules pratiquement sphériques, avec un diamètre de 100-120 nm, avec des corps intérieurs condensés (noyaux), et des surfaces cloutées avec des projections (boutons). 2) Purifier un échantillon par ultracentrifugation grace à un gradient de densité de sucrose. Un tube à essai contenant une solution de sucrose, du sucre ordinaire de table, est préparée en étant légé au dessus mais devenant graduellement plus lourd vers le fond. Une partie du fluide (décanté) surnageant de la culture de cellules est doucement placée sur la colonne de sucrose et le tube à essai est centrifugé pendant plusieurs heures à des vitesses extrêmement élevées. Ceci produit des forces énormes poussant toutes les particules présentes à travers la solution de sucre jusqu'à ce qu'elles atteignent un point où leur flottabilité empêche davantage de pénétration. Pour les particules rétrovirales, ceci se produit là où la densité de la solution de sucrose atteint 1,16 mg/ml. À ce point, les particules se concentrent ; ou, pour employer la terminologie virologique, les particules sédimentent. La bande 1,16 alors est sélectivement extraite pour une analyse plus approfondie. 3) En utilisant le microscope électronique (ME), photographier la bande 1,16 pour prouver qu'il y a là des particules ayant la morphologie correcte et aucun autre matériel. 4) Casser et analyser les constituants des particules en question. 5) Présenter les particules pures dans une culture vierge et, en répétant les étapes ci-dessus, montrer que des particules identiques sont produites. J'ai beau chercher, dans les références données, je ne vois pas de telles procédures d'isolation. Cela ne m'étonne pas en fait. Il faut remonter à Montagnier en 1983 et à Gallo en 1984 pour retrouver de vraies isolations ou plutôt tentatives d'isolation. Depuis lors, de telles tentatives aussi complètes d'isolation avec purification n'ont plus jamais été tentées. En l'occurrence, ils n'ont jamais publié la bande 1,16 mg/ml et pire encore, en 1997, Montagnier fit l'aveu que même après un effort de romain, il n'a jamais pu trouver la moindre particule d'apparence rétrovirale dans ce fameux gradient de densité, et qu'il n'avait pas de preuve que Gallo en avait également trouvé. En d'autres termes, si tu veux me prouver qu'un rétrovirus "VIH" a été isolé chez un patient, il est déjà absolument nécessaire mais non suffisant de me fournir les publications d'un gradient de densité 1,16 mg/ml où l'on retrouve des particules d'apparence rétrovirale (il faudra encore prouver ensuite qu'elles sont infectieuses, ce qui est une autre paire de manche), avec bien sûr des contrôles adaptés. Le peux-tu ? Ah, c'est long ! Je n'ai vraiment pas le temps de lire tout cela pour le moment. Mais sauf erreur de ma part, la détection du "VIH" ne découle à nouveau pas d'une réelle procédure d'isolation avec purification mais bien à nouveau d'un soi-disant marqueur, à savoir la détection de la protéine P24. Encore une fois, comme précisé ci-dessus, il n'a jamais été prouvé que la protéine P24 serait l'une des protéines (au surplus l'une des protéines soit-disant la plus spécifique) d'un rétrovirus exogène "VIH" (cf les considérations ci-dessus de Montagnier). Dès lors que cette preuve n'a jamais été apportée, on ne peut se servir de cette protéine P24 pour prétendre avoir isolé du "VIH" dans la publication en question. De façon générale, il me semble évident qu'il faudrait déjà une publication de base ayant prouvé réellement l'isolation d'un nouveau rétrovirus "VIH" chez les séropositifs. Or toutes les publications citées se fient à des marqueurs supposés être la conséquence d'une infection par le "VIH". Et en outre, et sauf erreur de ma part, aucune de ces publications ne prouve que le "VIH" soit infectieux au sens même de l'orthodoxie du sida la plus autorisée et que j'ai déjà citée plus haut dans un post. Et il est incroyable que l'on soit incapable de produire une photo du gradient de densité où est censé sédimenter par définition le supposé "VIH".
  22. Ce serait sympa de me prouver par des études scientifiques que la séropositivité soit sexuellement transmissible. Evidemment, avant de commencer à prouver cela, il faudrait déjà avoir prouvé que les anticorps, protéines et le matériel génétique retrouvés chez les séropositifs ont bien pour origine un rétrovirus exogène "VIH". L’ensemble de tes considérations, aussi intéressantes soient-elles, ne prouvent toujours pas que les séropositifs sont bien infectés in vivo par un rétrovirus exogène « VIH ». Ils prouvent dans le meilleur des cas que tu travailles avec des rétrovirus mais je ne vois toujours pas la preuve qu’il s’agit de « VIH ». Pour le reste, je t'invite à lire cette synthèse collective, aussi incomplète et imprécise soit-elle. Cela permettra déjà d'éviter certaines redites.
  23. Oops ! Je me rends compte que je me suis trompé de références en reproduisant des passages de ce post du Perth Group. Concernant le phénomène de (rétro)transposition et de génotoxicité, pouvant expliquer que l’on ne retrouve pas le génome du “VIH” dans le génome humain (et qu’on ne retrouve également pas chez les séropositifs, pourtant supposés contaminés par le “VIH” !), il s’agit bien entendu du passage suivant :
  24. Je ne doute pas un seul instant que tu travailles sur des rétrovirus. Ce qui est en revanche pour le moins ahurissant, c’est de prétendre que ces rétrovirus (appelés “clones “infectieux” du “VIH”” par l’orthodoxie du sida la plus “autorisée”) seraient du “VIH”, à savoir un rétrovirus exogène qui aurait contaminé les séropositifs. Il y a de nombreux problèmes rédhibitoires avec cette assertion pour le moins éhontée. 1)L’origine rétrovirale du matériel génétique utilisé pour produire ces clones “infectieux” du “VIH” n’a jamais été prouvée, comme déjà résumé dans ce post dont je reproduis ci-dessous quelques extraits : Contrairement à ce que tu as écrit dans ce post, l’activité antibiotique, anti-inflammatoire et anti-oxydante des traitements dits « antirétroviraux » a été prouvée par de nombreuses publications scientifiques : http://pagesperso-orange.fr/thiacytidine/A...ine_et_sida.htm http://www.rethinking.org/aids/cite/topic_339.html http://www.rethinking.org/aids/cite/topic_341.html http://www.rethinking.org/aids/cite/topic_342.html http://www.rethinking.org/aids/cite/topic_344.html http://www.rethinking.org/aids/cite/topic_343.html CONCLUSION Je ne vois nulle part la preuve de ce que tu travaillerais sur un rétrovirus exogène « VIH ». Cordialement
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