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wallypat

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Messages posté(e)s par wallypat

  1. Au sujet du mythe de la transmission sexuelle de la séropositivité.

    Lisez ce petit article anglais qui vient de paraître, où l'on constate que dans le comté de San Diego (USA), le nombre de MST autres que l'hypothétique "VIH" (syphilis, chlamydia, gonorrhée, ...) a augmenté de 800% (!), soit huit fois plus, de 1997 à 2006, 80% de ces cas se retrouvant chez les homosexuels.

    On s'attendrait logiquement à ce qu'en application de l'hypothèse rétrovirale du "sida"", le (supposé) taux de transmission de l'(hypothétique) "VIH" ait augmenté aussi de façon aussi exponentielle durant cette même période, dans ce même comté, chez ces mêmes homosexuels.

    Mais qu'en est-il réellement ?

    Et bien, allez à la page 11 de cette étude de 2006, examiner le graphique du milieu ... et vous constaterez que chez ces mêmes homosexuels, le taux de (supposé) infection par le "VIH" a diminué (!) sur la même période (du moins, jusqu'en 2005, date où s'arrête l'étude), dans ce même comté de San Diego (de 6% en 1997 à 4% en 2005 des tests "VIH" pratiqués sur des homosexuels sont positifs à l'hypothétique "VIH"), soit une diminution de 33% !

    Donc, augmentation de 800% des vraies MST et sur la même période, diminution de 33% du "VIH" chez les mêmes gay (soit une différence de comportement de 2.400% [800% x 3]) ! La protection conférée par les préservatifs contre les MST serait donc à géométrie (très) variable et même tout simplement opposée en fonction des (vraies et pseudo) MST !

  2. Un renvoi vers ce post très intéressant de Keiser puisqu'on y apprend que plusieurs années après nous (!), le coïnventeur du "VIH", soit Montagnier, conseille lui-même le recours à la médecine orthomoléculaire et au bilan de stress oxydatif !

    Dommage que cette consécration arrive aussi tard, en particulier pour les séropositifs malheureusement morts ou souffrant de leurs traitements bizarrement appelés "antirétroviraux" !

  3. Le fait interessant est que Montagnier conseille le bilan du stress oxydatif par analyse et consultation d'un medecin orthomoléculaire .

    Et bien, on croirait vraiment que Montagnier lit très attentivement notre forum depuis quelques années, y pioche les meilleures idées et puis se fait un gros bénéfice en faisant paraître un ouvrage ... avec les solutions proposées ... sur ce forum ! Qu'en est-il donc de nos droits d'auteur ? icon_smile.gif

    La prochaine étape sera sans doute de publier ultérieurement un ouvrage où il défendra l'idée que les acides gras saturés pourraient bien être une meilleure solution que les traitements "antirétroviraux".

    Bref, le lecteur aura compris que sur ce forum considéré comme "alternatif", il aura au moins une dizaine à une quinzaine d'années d'avance sur la science dite "officielle" ! icon_biggrin.gif

  4. Comme on dit, il n'y a pas de petit profit !

    Les industries produisant ce genre de supplément nutritionnel se rendent compte qu'il y a des problèmes avec les oméga 3, même en supposant que ceux-ci seraient indispensables à l'organisme (ce qui n'est pourtant pas le cas), mais pour vendre ceux-ci, ils invoqueront les études ayant démontré un apparent bienfait dans certaines circonstances.

    Et d'ailleurs, les suppléments d'oméga 3 sont certainement appelés à connaître une expansion de plus en plus grande à mesure que les nutritionnistes mettent l'accent sur les dangers des oméga 6 et en affirmant maintenant que le remède à ceux-ci serait de consommer des oméga 3 (ce qui quelque part me paraît exact : quitte à consommer des oméga 6, autant également consommer des oméga 3, ces derniers permettant dans une mesure relative de contrebalancer la dangerosité essentielle des oméga 6 [d'où les différents ratios oméga 6/oméga 3 que l'on peut trouver un peu partout et qui sont déclarés "idéaux" ! lol). Mais il ne viendrait jamais à l'esprit de ces mêmes nutritionnistes de dire que la meilleure solution, c'est tout simplement de consommer le moins possible d'oméga 6 car ils partent de l'idée - erronée - que les oméga 6 seraient "essentiels" à l'organisme. D'où maintenant toute cette propagande avec les oméga 3.

    Pour ceux qui veulent analyser de façon critique la question des oméga 3, ils peuvent par exemple lire ce résumé, malheureusement en anglais.

  5. Il existe au moins 3 bonnes raisons de prendre des oméga-3 :

    -Ce sont des molécules indispensables à la vie.

    Cela n'a jamais été prouvé.

    -Le nombre d'études sérieuses démontrant leur intérêt dans de nombreuses situations, en particulier dans le domaine cardiovasculaire et neuropsychique est croissant.

    J’ai déjà donné précédemment de nombreuses références montrant que les oméga 3 ne sont bénéfiques que parce qu’ils contrebalancent les effets négatifs des oméga 6, en particulier l’acide arachidonique et les métabolités de celui-ci. C’est pourquoi on pourra trouver çà et là des études faisant l’ – apparente – démonstration que les oméga 3 seraient bons contre telle ou telle maladie (entre autres, cardiovasculaires et neuropsychiques) … alors que la première chose qu’il faudrait faire, est de réduire le plus possible sa consommation en acides gras polyinsaturés, et donc entre autres les oméga 6, rendant ainsi parfaitement inutile la consommation d’oméga 3 (je préfère prévenir l’incendie que de tenter maladroitement, avec grande difficulté et surtout de façon très imparfaite de l’éteindre avec des oméga 3). Ce faisant, l’organisme produira alors ensuite naturellement son propre acide gras polyinsaturé, à savoir la « mead acid », beaucoup plus stable et beaucoup moins oxydable que les oméga 6 et les oméga 3 (ces derniers étant encore plus oxydables que les oméga 6), et n’étant pas susceptible de donner naissance à des métabolites aussi dangereux et nuisibles pour la santé que ceux produits par les oméga 6 (et oméga 3). Cette différence de composition en lipides (« mead acid » contre oméga 6 et 3) des cellules fera bien souvent toute la différence entre maladies et bonne santé).

    Et n’oublions pas que de nombreuses études scientifique ont également montré que les oméga 3 sont dangereux pour la santé ; ainsi (et entre nombreux autres exemples) ne fait-il maintenant plus de doute que ceux-ci ont un effet immunodépresseur à moyen et long terme sur l’organisme. Le problème, c’est que les nutritionnistes orthodoxes n’insistent pas sur ces études négatives et ne mettent en avant que les études positives, lesquelles ne sont le plus souvent dues qu’en raison du fait que les oméga 3 jouent un rôle antagoniste par rapport aux oméga 6.

    Enfin, rappelons encore une énième fois qu’il n’a jamais été prouvé que les oméga 3 et les oméga 6 seraient « essentiels » à l’organisme. Ou plutôt si : ils sont essentiels à l’apparition de la plupart des grands maux de notre temps : maladies cardio-vasculaires, cancers, maladies chroniques et dégénératives, neuropsychiques (maladie de Parkinson, par exemple) … ! Bref, toutes les raisons de s’en passer définitivement !

  6.      Je viens d'être diagnostiqué porteur du vih il y a un mois et demi.

    Nulle part dans la littérature scientifique on trouve la preuve que les séropositifs auraient été contaminés par un rétrovirus exogène "VIH". Tout ce que l'on trouve, ce sont des marqueurs prétendument attribués à ce fantomatique rétrovirus "VIH".

    Dans ces conditions, le medecin me recommande vivement de me faire vacciner au plus vite contre l'hepatite A et B...

    Vu les effets secondaires du vaccin contre l'hépatite B, je ne prendrais pas ce risque. Personnellement, j'ai subi il y a quelques années le vaccin contre l'hépatite B, et deux semaines après la troisième (et dernière piqûre), j'ai souffert pendant plusieurs semaines d'une encéphalite (avec perte de plus de 60% de mon audition); heureusement, j'ai guéri spontanément.

    Par ailleurs, il a déjà été signalé que l'homéopathie (contrairement à la médecine "traditionnelle") guérit assez facilement l'hépatite B (dans les rares cas où celle-ci se manifesterait par de graves symptômes).

    En tout cas, le rapport bénéfices/risques de ce vaccin n'est clairement pas à son avantage.

    Sur ONCT, il y a certainement des topics consacrés à ce vaccin, je t'invite à les lire.

  7. Une étude intéressante datant de 2003 où l'on est en droit de se demander si l'usage à moyen terme ou pire encore à long terme des traitements bizarrement appelés "antirétroviraux" est vraiment souhaitable ou même simplement bénéfique pour les séropositifs (contrairement à leur usage à court terme qui peut certainement se justifier dans les cas graves et urgents) :

    Grade 4 events are as important as AIDS events in the era of HAART.

    Reisler RB, Han C, Burman WJ, Tedaldi EM, Neaton JD.

    Institute of Human Virology, University of Maryland, Baltimore, MD 21201, USA. reisler@umbi.umd.edu

    OBJECTIVE: To estimate incidence and predictors of serious or life-threatening events that are not AIDS defining, AIDS events, and death among patients treated with highly active antiretroviral therapy (HAART) in the setting of 5 large multicenter randomized treatment trials conducted in the United States. METHODS: Data were analyzed from 2,947 patients enrolled from December 1996 through December 2001. All patients were to receive antiretrovirals throughout follow-up. Data collection was uniform for all main outcome measures: serious or life-threatening (grade 4) events, AIDS, and death. RESULTS: During follow-up, 675 patients experienced a grade 4 event (11.4 per 100 person-years); 332 developed an AIDS event (5.6 per 100 person-years); and 272 died (4.6 per 100 person-years). The most common grade 4 events were liver related (148 patients, 2.6 per 100 person-years). Cardiovascular events were associated with the greatest risk of death (hazard ratio = 8.64; 95% CI: 5.1 to 14.5). The first grade 4 event and the first AIDS event were associated with similar risks of death, 5.68 and 6.95, respectively.

    CONCLUSIONS: Grade 4 events are as important as AIDS events in the era of HAART.[/b] To adequately evaluate the impact of HAART on morbidity, comorbidities and other key factors must be carefully assessed.

    Où l'on constate que les traitements "antirétroviraux" causent deux fois plus (! 675 patients contre 332 patients sidéens, en moyenne !) de maladies (non "sida") mortelles pour les patients consommant des drogues "antirétrovirales" que de maladies (qualifiées de "sida") pour ces mêmes patients. Donc, les patients en question meurent moins du "sida" mais plus d'autres maladies non qualifiées de "sida" !

  8. Pour aller dans le sens d'Aixur, j'admets bien volontiers que les traitements dits "antirétroviraux" ont effectivement de fortes propriétés anti-inflammatoires et peuvent agir un peu comme de la cortisone.

    De nombreuses études scientifiques ont confirmé ce caractère anti-inflammatoire et vont donc dans le sens d'Aixur, comme celle-ci datant de 2003. Cette propriété pourrait expliquer certains de ces bénéfices et effets secondaires.

    Mais je pense pour ma part qu'il s'agit d'une explication ... avec de nombreux autres, également prouvés. La somme de ces différents facteurs pourra permettre d'expliquer, avec d'autres raisons sans rapport avec les traitements, la diversité des effets secondaires constatés.

  9. Oui, je sais qu'il existe plusieurs catégories de médicaments, anti prothéase, analogue nucleosidique ou non nucléosidique, inhibiteur de fusion, etc... Mais pour moi, ces différentes catégories sont flous. Je pense qu'il serait bien d'essayer de recencer ici, et d'expliquer le mode d'action supposé par l'orthodoxie de chacune de ses familles de "saloperies".

    Concernant ce point, il me paraît clair que les forums orthodoxes du sida seront les mieux à même d'y répondre.

    Personnellement, en tant que dissident, je ne vais pas chercher à comprendre comment ceux-ci sont supposés fonctionner de façon orthodoxe vu que leur prétendue efficacité "antirétrovirale" (et donc quel que soit leur supposé mode d'action "antirétrovirale) n'a jamais été prouvée, que ce soit in vitro ou in vivo. On l'a déjà expliqué à de multiples reprises.

    Je pense que le mieux à faire n'est pas de savoir comment ils sont supposés fonctionner de façon orthodoxe (car se poser ce genre de question, c'est déjà admettre l'existence du "VIH", ce qui est inadmissible) mais plutôt de retenir ceux qui ont le moins d'effet secondaire tout en étant relativement efficaces. A cet égard et si j'ai bonne mémoire, la lamivudine est celui qui paraît présenter le moins d'effet secondaire tout en étant très efficace. Sinon, je suis encore une fois certain que les forums orthdoxes du sida se feront un plaisir de communiquer une liste des traitements antirétroviraux en fonction des critères efficacité/effets secondaires (peu importe leurs supposés mécanismes d'action).

    Concernant les effets secondaires des traitements antirétroviraux, on trouvera un (effrayant et détaillé) compte-rendu actualisé mais en anglais sur ce site-ci.

  10. Je veux bien, Aixur, mais comment expliquer que les dizaines de millions de séronégatifs africains (car c'est surtout en Afrique que la spiruline est consommée) qui consomment des années durant, parfois leur vie durant et chaque jour de la spiruline, ne font pas de toxoplasmose et de sarcome de kaposi, sont en meilleure santé (ce point est bien constaté sur le terrain, tellement bien constaté que plusieurs organisations d'aide aux pays du tiers monde mettent la spiruline comme aliment de choix à faire consommer aux africains mourant de faim, car la spiruline est extrêmemement riche en vitamines et autres nutriments, et pas chère du tout) tandis qu'apparemment, seuls les quelques dizaines de milliers de séropositifs consommant de la spiruline font des toxoplasmoses et/ou des sarcomes de kaposi.

    Je sais qu'il y a encore des dissidents qui contestent ce point mais il s'agit ici encore (car ces cas ne font qu'augmenter de jour en jour) d'un cas flagrant où la séropositivité (et non la spiruline) est un indicateur d'une prédisposition à développer ultérieurement des maladies spécifiques, telles que justement les toxoplasmoses, les sarcomes de kaposi et bien sûr la pneumocystose.

    Je me rappelle de vieux messages de Vitosi (de plus de deux ou trois ans) où il ressort qu'il n'a eu que des problèmes de santé, de mois en mois, d'année en année. Et cela date de bien avant sa forte consommation en spiruline.

    Pour ma part, je suis malheureusement d'avis (et cela ne me fait absolument pas plaisir de dire cela, d'autant plus que je pourrais bien rentrer dans cette catégorie) que Vitosi est entré dans la catégorie de ceux où la séropositivité a causé des dégâts irréversibles, et d'ailleurs, rien n'indique qu'il soit devenu séronégatif. Je ne pense vraiment pas que sa toxoplasmose ou son sarcome de kaposi soit dû à la consommation de spiruline; je pense au contraire que la consommation de spiruline lui a surtout permis de retarder le plus possible ce qui était inéluctable dans son cas.

    Alors, certes, on peut rentrer dans des tas d'explications (du type antibiotique, cortisone, spiruline, ...) pour justifier que tel ou tel séropositif devient malade ou même meurt mais force est de constater :

    - que parmi tous les séropositifs qui ont fait de longs témoignages encourageants (et d'ailleurs repris dans la synthèse collective), il est extrêmement difficile d'en trouver à l'heure actuelle encore ne fût-ce qu'une petite minorité où l'on peut être assuré qu'ils sont toujours en vie ou en bonne santé, et sans devoir prendre des traitements "antirétroviraux" (il semble clair qu'après 8 ans de séropositivité, je suis personnellement devenu une exception en la matière); au contraire, les témoignages de séropositifs ayant dû avoir recours aux drogues "antirétrovirales" pour survivre se sont multipliés jusqu'il y a quelques mois ("Pierrot", "Dak'Az, etc...), et ironie du sort, Vitosi était sans doute le dernier représentant de ces témoignages à n'avoir encore jamais devoir recourir aux traitements "antirétroviraux";

    - que le taux de mortalité des dissidents militants refusant absolument et par principe les traitements "antirétroviraux" est de loin très largement supérieur (plusieurs centaines de pourcent en plus) aux séronégatifs des mêmes tranches d'âge; alors, on peut donner des tas de raisons pour justifier leurs décès, mais force est de constater qu'il n'est pas bon d'être un séropositif refusant obstinément tout traitement "conventionnel";

    - que diverses raisons sont données pour justifier l'apparition de cas de "sida" chez les séropositifs mais qu'on oublie de souligner que ces diverses raisons ne provoquent - en principe - pas des maladies spécifiques du "sida" chez les séronégatifs (hormis pour des causes qui étaient déjà connues avant l'apparition du "sida");

    - que même des séropositifs ayant pris des antioxydants des années durant mais restés malgré tout séropositifs finissent par faire une pneumocystose, une candidose extrêmement grave, une toxoplasmose, ...

    Je pense personnelement que certaines des raisons invoquées ont un fond de vérité mais il faut se rendre à l'évidence : sauf exceptions, une majorité de séropositifs finissent tôt ou tard par être rattrapée par la maladie, même si parfois, pour quelques "chanceux" (restés séropositifs) il faut attendre plus de dix ou même quinze ans. Et puis, il y en a quelques-uns, extrêmement rares, qui déclarent être séropositifs depuis plus de 18 ans et toujours sans traitement. Et puis, d'autres qui arrêtent leurs traitements, se portent bien pendant deux ou trois ans mais dont la majorité d'entre eux doivent ensuite reprendre leur traitement car ils allaient de plus en plus mal (pas mal de témoignages de ce genre sur le forum).

    Personnellement, après avoir analysé ce sujet des années durant, j'en suis personnellement arrivé à la conclusion qu'il faut coûte que coûte que le séropositif redevienne séronégatif, et le plus tôt possible, faute de quoi l'une des maladies spécifiques du "sida" rattrapera tôt ou tard le séropositif (sauf une minorité d'exceptions).

    Et d'ailleurs, d'un point de vue personnel, je m'en veux beaucoup. Un ami belge s'était découvert séropositif il y a un an et demi. J'avais réussi à le convaincre de la justesse des idées de la dissidence du sida, et plus particulièrement du Perth Group, à tel point qu'il avait cessé de s'exposer à ce qui avait très probablement causé sa séropositivité, à savoir le poppers et les relations anales non protégées. Mais il refusait également de se faire suivre, même épisodiquement, d'autant plus que sur mes conseils, il prenait également de la N-acétylcystéine et de grandes doses de vitamines C.

    Fin décembre dernier, il commence ce qu'il pensait être une assez grave bronchite (comme pas mal de monde au boulot d'ailleurs; je suis quasiment le seul à en avoir réchappé). Il y a quinze jours, j'ai appris qu'il avait dû être hospitalisé ... pour cause de pneumocystose ! Et pour le moment, il est toujours avec un tuyau dans la bouche pour pouvoir respirer. Je doute fort qu'il reste encore un dissident car je n'avais pas fort insisté dès le départ qu'il est possible qu'il ne puisse plus jamais redevenir séronégatif (un peu comme un fumeur qui s'arrête de fumer mais qui finit malgré tout à faire un cancer de poumon [aucune raison que cela ne soit - malheureusement - pas aussi valable pour un séropositif]).

    Bref encore un séropositif, qui avait malgré tout cessé de consommer du poppers, utilisait des préservatifs, consommait des antioxydants ... et finit par faire un "sida". Et ce qui me frappe dans l'affaire, c'est que cela n'est arrivé qu'un an et demi après l'annonce de sa séropositivité. C'est à ma connaissance le cas le plus rapide que je connais personnellement, du moins chez une personne qui avait repris une "vie saine et équilibrée". Alors, là aussi, on trouvera encore plein d'excuses mais encore une fois, c'est la séropositivité qui a fait la différence.

    Et personnellement, après plusieurs années de recherche, je suis d'avis que la meilleure façon de procéder pour (tenter de) redevenir séronégatif (du moins, quand cela est encore possible) est de non seulement s'arrêter de s'exposer aux agents oxydants et de prendre des antioxydants de façon judicieuse mais également d'adopter un riche en acides gras saturés et pauvre en acides gras polyinsaturés.

    Pourquoi ?

    Parce qu'il s'agit de deux angles d'attaque différents, dont les effets se conjuguent :

    1) Les antioxydants permettront de se protéger tant bien que mal contre les effets de l'oxydation mais sans toutefois empêcher cette oxydation.

    2) Le régime riche en acides gras saturés et pauvre en acides gras polyinsaturés va en revanche être de nature à assécher et supprimer - sur le moyen terme - le "carburant" même de l'oxydation. Je pense que chez un bon nombre de séropositifs, ce deuxième angle d'attaque est tout simplement indispensable. Pourquoi ? Parce que même en cessant de s'exposer aux agents oxydants et même en consommant des antioxydants, l'exposition antérieure aux agents oxydants paraît bien causer chez des séropositifs un effet d'emballement oxydatif que (presque) plus rien ne permettra d'enrayer (tout comme les fumeurs qui cessent de fumer et ont malgré tout des années plus tard un cancer du poumon), pas même l'usage d'antioxydants car ces derniers protégeront dans une certaine mesure contre les effets de cet emballement oxydatif mais sans pouvoir l'inhiber. Tôt ou tard, les dégâts causés à l'ADN seront à ce point élevés que le séropositif fera malgré l'une des maladies spécifiques du "sida", la consommation d'antioxydants (et pourquoi pas de spiruline) permettant de retarder cette échéance, mais sans l'en empêcher. Et je pense donc de plus en plus que pour stopper (quand cela est encore possible) cet emballement oxydatif, il n'y a pas 36 solutions : il s'agit de supprimer le plus possible son carburant, à commencer les acides gras "essentiels" (oméga 6 et 3), à l'origine de l'amplification des phénomènes inflammatoires. Et c'est une chose à (tenter de) faire aussi longtemps que l'on n'a pas encore fait de "sida" (car ensuite, cela paraît bien plus difficile encore).

  11. (lasimar @ Mercredi 13 Février 2008 21h39)

    Finalement, prendre un peu d'aspirine au quotidien, est-ce bon ou pas?

    Si tu relis les passages que j'ai reproduits en anglais dans mon dernier post, tu comprendras que tu peux arriver au même résultat, ou disons plutôt, à un bien bien meilleur résultat encore,en adoptant un régime riche en acides gras saturés et pauvre en acides gras polyinsaturés, et bien sûr sans les effets secondaires de l'aspirine.

    Pour plus d'infos sur ce régime, lire ce topic.

  12. je crois que personne n'a jamais abordé le sujet, mais si le vih n'existe pas, alors l'affaire du sang contaminé c'est du pipeau.

    Oui, effectivement, plutôt que de parler de "l'affaire du sang contaminé", il aurait surtout mieux fallu parler de "l'affaire de l'AZT".

    Sinon, voir aussi la synthèse collective au sujet de la transmission de la séropositivité via le sang, car le sujet a justement déjà été abordé.

  13. Je ne sais pas trop quoi te dire.

    Si je me souviens de tes posts, cela fait maintenant plusieurs années que tu as problème de santé sur problème de santé et c'est essentiellement grâce à l'urinothérapie, la phytothérapie et autres plantes que tu as surmonté tant bien que mal ces différents problèmes de santé.

    Pour ma part, j'aurais plutôt privilégié la voie des antioxidants (en particulier la N-acétylcystéine et la vitamine C) mais je me garderais certainement de te recommander d'arrêter les traitements "antirétroviraux", en particulier après une toxoplasmose (si je t'ai bien compris).

    Ceci étant, concernant le sarcome de kaposi, il y a des traitements naturels qui ont manifestement fait ses preuves, en particulier la N-acétylcystéine (justement !), comme expliqué dans ce post, dont je reproduis ci-dessous l'extrait relatif au traitement naturel, étant justement la voie des antioxidants :

     

    Purpose: Green tea consumption has been linked to a reduced occurrence of some tumor types. Current data indicate that the principal mediator of this chemopreventive effect is epigallocatechin-3-gallate (EGCG), the most abundant polyphenol found in dried tea leaves. Here, we examined the effects of this compound on the two key cell populations typically involved in tumor growth: tumor cells and endothelial cells.

    Experimental Design: The effects of green tea and EGCG were tested in a highly vascular Kaposi’s sarcoma (KS) tumor model and on endothelial cells in a panel of in vivo and in vitro assays.

    Results: EGCG inhibited KS-IMM cell growth and endothelial cell growth, chemotaxis, and invasion over a range of doses; high concentrations also induced tumor cell apoptosis. EGCG inhibited the metalloprotease-mediated gelatinolytic activity produced by endothelial cell supernatants and the formation of new capillary-like structures in vitro. Green tea or purified EGCG when administered to mice in the drinking water inhibited angiogenesis in vivo in the Matrigel sponge model and restrained KS tumor growth. Histological analysis of the tumors were consistent with an anti-angiogenic activity of EGCG and green tea.

    Conclusions: These data suggest that the green tea gallate or its derivatives may find use in the prevention and treatment of vascular tumors in a chemoprevention or adjuvant setting.

    Tout l'exposé qui précède prouve donc à suffisance et surabondamment que la cause du sarcome de kaposi doit être recherchée dans un déficit en glutathion causé par un surcroît d'oxydants d'azotés, et tout particulièrement des nitrites et peroxynitrites, et non à attribuer cette maladie à une forme particulière du virus de l'herpès, à savoir le "HHV8", et encore moins au "VIH".

  14. ils ont pris en tout environ 17000 femmes de 16 à 26 ans (8500 traitées, l'autre en placebo qui était simplement l'adjuvant du vaccin)dont 75% négatif pour les 4 HPV. Résultat au bout de 12 mois : 53 cas de lésions (dysplasies, néoplasie utérines etc...), 0 dans le groupe traité. Pas mal...

    En prenant le même nombre mais des femmes positives pour les HPV on obtient une diminution des 39 à 68.5% des cas à un an.  De plus, la peristance de l'effet de la vaccination à savoir la reproduction d'anticorps en contact avec un des HPV est présente à 5 ans après vaccination.

    Je trouve quand même cela parlant et correcte. A voir sur long terme.

    Il s'agit bien là du seul - supposé - argument pouvant être invoqué par les fabricants de ce vaccin. Comme précisé dans cet article, il y avait effectivement 20 fois plus de cas de lésions dites "précancéreuses" dans le groupe placebo que dans le groupe vacciné :

    Strictly speaking, Gardasil it also has not been shown to prevent cervical cancer: it has simply been shown to confer immunity against two strains of HPV that are associated

    with the development – in particular individuals – of this disease.

    As mentioned, cervical cancer is generally a slow-growing tumor, and the test period for Gardasil was not a lengthy one. Therefore, it is hardly surprising that not a single case of cervical cancer occurred in the test groups during the clinical trials. In the trials, the development of genital warts and CIN were used as “stand-ins” for cervical cancer – but that is not the same thing as truly demonstrating the prevention of cervical cancer. Even

    the FDA has been forced to admit that.

    According to the FDA:

    “The results [of the clinical trials] showed that in women [ages 16-23] who had not already been infected with the type of HPV contained in the vaccine, Gardasil was nearly 100 percent effective in preventing precancerous cervical lesions, precancerous vaginal and vulvar lesions and genital warts caused by infectionwith the HPV types against which the vaccine is directed” (FDA 2006).

    Approval was given based on an extrapolation from conditions known only to be associated with an increased risk of cervical cancer. The best the FDA can do now is to sidestep this issue by saying: “It is believed that prevention of cervical precancerous lesions is highly likely to result in the prevention of those cancers” (FDA 2006, emphasis added). So, are we now mandating vaccines for half the population based on an unproven premise that is ‘believed’ to be ‘highly likely’? Where is the science in that?

    Cervical cancer was not prevented in these trials. Cervical cancer can take decades to become clinically apparent, and does not always arise out of a pre-existing lesion. Claims for the vaccine’s effectiveness are therefore based only on surrogate markers(stand-ins that indirectly reflect a patient's clinical condition), and not on any demonstration of preventing cervical cancer itself.

    Neither genital warts nor CIN is the equivalent of full-blown cervical cancer: both conditions can be present, and can persist over many years without progressing to cervical cancer. Unlike cancer, these lesions often resolve spontaneously. They do not predictably and always progress to outright cancer. So the claim that the vaccine prevents cervical cancer is based on the decidedly shaky assumption that CIN is the equivalent, on a 1:1 basis, with cervical cancer.

    Eloquant, non ?!

    Comme on le constate, dans cette étude, aucune cas de cancer cervical ne fut découvert, non seulement dans le groupe vacciné mais également et surtout dans le groupe placebo. Toutefois, pour tenter de prouver que ce vaccin aurait une quelconque efficacité pour prévenir ce cancer, le fabricant s'est réfère à un marqueur, à savoir l'apparition de lésions dites précancéreuses. Il y a toutefois un problème de taille : il n'a jamais été prouvé que la prévention de ces lésions précancéreuses (ce que fait incontestablement ce vaccin) préviendrait le cancer du col de l'utérus !!!

    Encore une fois, comme en matière de "sida", l'efficacité d'un produit pharmaceutique n'est pas analysée au regard de la maladie elle-même mais bien au regard de marqueurs dont il n'a jamais été prouvé qu'ils sont le signe annonciateur de la maladie (exactement comme les T4 et la charge dite "virale" en matière de "sida"), ce qui suffit à dénier tout intérêt à ce vaccin.

    Comme je l'ai déjà signalé dans un précédent post, tout cela fait irrémédiablement penser au mythe du virus de l'herpès HHV8 comme soi-disant cause du sarcome de kaposi chez les sidéens uniquement parce qu'il existe une forte association entre ce virus de l'herpès et le sarcome de kaposi. Mais comme déjà expliqué dans ce post, il n'a jamais été prouvé que le HHV8 soit la cause du sarcome de kaposi, "association" ne signifiant pas "causalité".

    Il est piquant de constater que la notice accompagnant ce prétendu vaccin contre le cancer du col de l'utérus fasse mention de ce marqueur (lésions dites "précancéreuses") comme prétendu argument mais se garde bien de préciser :

    - qu'aucun cas de cancer du col de l'utérus ne fut découvert dans le groupe placebo,

    - et qu'il y avait trois fois plus(!) d'effets secondaires extrêmement graves (et pouvant très fortement handicaper le patient [qui n'en demandait pas tant : merci les vaccins !] jusqu'à la fin de sa vie) dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo : neuf cas dans le groupe vacciné et trois cas dans le groupe placebo (notons d'ailleurs que les trois cas dans le groupe placebo ne furent trouvés que chez les 90% du groupe placebo ayant reçu comme "placebo" de l'aluminium vaccinal et non chez les 10% du groupe placebo qui ont effectivement reçu un véritable placebo, à savoir une solution saline, ce qui tend encore une fois à montrer le caractère nocif pour la santé de l'aluminium vaccinal et des vaccins en général).

    Notons que ces effets secondaires extrêmement graves sont des faits clairement établis et prouvés, contrairement au supposé "marqueur" que constitueraient les lésions précancéreuses, et frapperont donc de petites jeunes filles dans la fleur de l'âge, qui en resteront marquées et en souffriront jusqu'à la fin de leur vie (autant dire que "grâce" à ce "bénéfique" vaccin, certaines filles verront leur vies complètement gâchées et ruinées, et tout cela, parce que leurs parents pensaient qu'ils allaient ainsi les "protéger").

    En conclusion, si j'étais parent d'une petite fille, personnellement, je réfléchirais à deux fois avant de la vacciner (disons plutôt : "empoisonner") avec ce prétendu vaccin contre le cancer du col de l'utérus. L'examen du site cité ci-avant, et entre autres de cet article susrappelé, permet s'en convaincre .... s'il en était encore besoin !

  15. Il y a quelques mois environ, j'avais lu une étude qui concluait que les séropositifs qui avaient un taux de cholestérol supérieur à 2,4 g/l avait six fois moins de chance de faire ultérieurement un "sida" qu'un séropositif qui avait un taux de cholestérol inférieur à 1,6 g/l.

    Voilà. J'ai trouvé les références de cette étude de 1997 (mais il faut payer pour la lire) : Low serum cholesterol and risk of death from AIDS. J'ai toutefois trouvé un petit commentaire dans cet article-ci :

    The formation of HCAs during cooking can be decreased by natural and synthetic antioxidants, by tryptophan or proline, or by removing the essential creatine through brief microwave cooking prior to frying or broiling. The amounts of HCAs in cooked foods are small, but other components in diet such as ω-6-polyunsaturated oils have powerful promoting effects in target organs of HCAs. On the other hand, the action of HCAs may be decreased by foods containing antioxidants, such as vegetables, soy, and tea.

    On sait depuis longtemps que la cuisson de la viande dégage des susbtances cancérigènes pour l'organisme. Ceci étant, l'homme cuit la viande depuis un temps immémorial et pourtant, le cancer ne constitue la première cause de mortalité que depuis quelques décennies seulement. Plusieurs études tendent à montrer que les gros mangeurs de viande ont un risque plus élevé de cancer du cancer du colon, de la prostate ou du sein. Mais il ne s'agit que d'association, et non de causalité (comme le disent un peu trop rapidement les nutritionnistes orthodoxes). Car comme le précise le passage reproduit ci-dessus, plusieurs facteurs (associés à la cuisson de la viande, raison pour laquelle beaucoup de nutritionnistes arrivent un peu trop rapidement à la conclusion que consommer un peu trop de viande = risque plus élevé de cancer) favorisent ou au contraire protègent contre les substances cancérigènes produites par la cuisson de la viande :

    - bien entendu, les acides gras polyinsaturés, et tout particulièrement les huiles végétales riches en oméga 6 (dont la consommation augmente toujours plus depuis ces dernières décennies, parallèlement à la prévalence des cancers), qui augmentent justement de façon exponentielle la production de ces substances cancérigènes;

    - d'un autre côté, les antioxidants, naturels et synthétiques, consommés en même temps que la viande cuite protège dans une certaine mesure contre ces substances cancérigènes (or, à l'heure actuelle, les aliments sont de plus en plus pauvre en antioxydants mais également en nutriments de toutes sortes).

    Et il y a bien sûr d'autres facteurs : toutes les sauces souvent consommées avec la viande et bien sûr très riches en acides gras polyinsaturés, la force de la cuisson, le fait que la viande soit riche ou non en acides gras polyinsaturés, ...

    Bref, dans ce post, j'ai cité quelques exemples supplémentaires sur les dangers des acides gras polyinsaturés, et il me paraît donc conseillé de les éviter le plus possible.

  16. J’ai pour ma part trouvé le site de la marque “Amanprana” : http://www.noble-house.tk/html/frans/index_fr.htm.

    Il s’avère qu’il s’agit d’un site belge, ce que j’ignorais.

    Toutefois, selon ce même site, il serait possible de se procurer la même huile extra vierge de noix de coco dans le magasin suivant :

    PUR ALIMENT

    4, rue A. Kastler

    BP 32 - F67541 OSTWALD Cedex

    T : 03 69 11 11 11

    F : 03 69 11 11 10

    E : info@puraliment.com

    Peut-être pourriez-vous téléphoner pour vous renseigner et si c’est possible, à quel prix ?

    A défaut, il me paraît impensable qu’il ne soit pas possible d’en commander dans de bons magasins bio.

    Sinon, les magasins spécialisés dans l'alimentation de type asiatique devraient certainement en vendre également. Encore faut-il que cela soit de l'huile extra vierge (si c'est le cas, vous devez sentir l'odeur de la noix de coco, un peu comme le chocolat "Bounty").

  17. j ai cherché dans des boutiques bio a paris l huile de noix de coco extra vierge mais en vain je suis revenu bredouille !!

    Et bien, ce ne sont pas des magasins bio dignes de ce nom !

    En Belgique, dans un rayon de 5 km autour de chez moi, il y a au moins trois magasins bio et tous les trois vendent de l'huile de noix de coco extra vierge !

    Dans le pire des cas, les magasins bio que tu as visités doivent être en mesure d'en commander.

    Alors, pour que tu aies une idée du prix, personnellement, je prends la marque "Aman Prana", un gros bocal de 1.600ml (cela revient moins cher que plusieurs petits bocaux), extra vierge bien sûr, et cela me coûte 39,95 EUR. Je me suis toutefois fait un stock car il y a deux mois, il était exceptionnellement en promotion, soit 29,95 EUR le grand bocal de 1.600 ml.

  18. Je lis à l'instant le passage de Wikipedia relatif à la supposée transmission sexuelle de la séropositivité et je mets à la place du pauvre lecteur lambda qui lit ceci :

    Le VIH est présent dans de nombreux fluides organiques. On en a retrouvé dans la salive, les larmes et l'urine, mais en des concentrations insuffisantes pour que des cas de transmission soient enregistrés. La transmissions par ces fluides est ainsi considérée comme négligeable. Par contre, des quantités assez importantes de VIH pour une infection ont été détectées dans le sang, le lait maternel, la cyprine, le sperme, ainsi que le liquide précédant l'éjaculation [19].

    Par voie de conséquence, les trois modes de contaminations sont :

    les rapports sexuels non protégés, qu'ils soient hétérosexuels ou homosexuels représentent la part la plus importante des contaminations

    ...

    En effet, le lecteur "normal" pensera déjà que l'on aurait trouvé du "VIH" dans les sécrétions et autres fluides organiques en question.

    Rien n'est plus faux, bien sûr !

    Rappelons pour la énième fois que l'on n'a jamais isolé de "VIH", dans quelque fluide organique que ce soit. Tout ce que l'orthodoxie du sida a trouvé, ce sont des marqueurs (protéine P24, matériel génétique, ...) prétendument attribués au "VIH" ... mais dont il n'a JAMAIS été prouvé qu'ils sont bien des constituants d'un rétrovirus exogène "VIH" !

    Dès lors qu'on a précisé ce "détail", il n'y a même plus lieu de se demander si un supposé rétrovirus "VIH" serait sexuellement transmissible.

    Le problème avec les études concernant la supposée transmission sexuelle de la séropositivité, c'est que dès le départ, cette transmission est supposée établie et considérée comme un fait établi par l'orthodoxie du sida en raison même de l'hypothèse rétrovirale, soit une hypothèse fondée sur la supposition que le "sida" serait la conséquence d'une infection par un rétrovirus sexuellement transmissible. C'est l'hypothèse même de départ. Celle-ci étant supposée vraie depuis le début (car consacrée par les prétendues isolations du "VIH" par Montagnier en 1983 et Gallo en 1984), n'importe quelle étude sera interprétée dans ce sens, et il ne viendra jamais à l'orthodoxie du sida (à quelques exceptions près) de remettre ce point en question, à moins de devoir se résoudre à remettre en question l'hypothèse même de départ, soit l'hypothèse rétrovirale, ce qui est naturellement inacceptable et impensable pour cette même orthodoxie du sida.

    Rappelons en outre et encore pour la énième fois, que l'une des conditions absolument nécessaires, mais non suffisante, pour prouver une supposée transmission sexuelle de la séropositivité est d'avoir préalablement prouvé la spécificité des tests "VIH". En d'autres termes, il DOIT y avoir au moins une étude et plusieurs études confirmatives dans lesquelles la réaction antigènes/antigènes (en supposant déjà que les antigènes sont ceux d'un rétrovirus "VIH", ce qui n'a pourtant jamais été prouvé) a été comparé avec la présence ou l'absence du "VIH", soit avec le "VIH" isolé/purifié. Ces études n'existent pas et n'existeront jamais, faute de n'avoir jamais isolé/purifié le moindre "VIH" chez quelque sidéen que ce soit. Et ces études, inexistantes, censées prouver la spécificité des tests "VIH" doivent naturellement comprendre un nombre statistiquement significatif de patients qui ont le "sida" mais également de patients qui n'ont pas le "sida" mais qui sont malades (idéalement de maladies qui auraient été qualifiées de "sida" s'il avait été supposé que ces patients avaient été "contaminés" par le "VIH"). Enfin, toujours pour prouver une éventuelle spécificité à ces tests "VIH", les études censées la prouver doivent naturellement être réalisées en aveugle.

    Or les études supposés prouver une mythique transmission sexuelle de la séropositivité supposent déjà et entre autres que la spécificité des tests "VIH" aurait été prouvée, quod non comme résumé ci-dessus.

    Ces diverses raisons (et bien d'autres d'ailleurs) expliquent pourquoi des études donnent ainsi l'apparence de prouver une transmission sexuelle de la séropositivité alors qu'il n'en est strictement rien lorsqu'on se donne la peine d'analyser la situation.

    Triste et révoltant à la fois !

  19. Voici ci-dessous une étude très intéressante :

    Clin Exp Pharmacol Physiol. 2008 Jan 21; : 18215184     

    LIPOPROTEINS INHIBIT PLATELET AGGREGATION AND ARACHIDONIC ACID METABOLISM IN EXPERIMENTAL HYPERCHOLESTEROLAEMIA.

       

    [My paper] Rukhsana Aslam , Sheikh A Saeed , Sagheer Ahmed , John D Connor 

       

    1. Human plasma contains unidentified components that inhibit arachidonic acid (AA) metabolism. In the present study, we investigated whether plasma from rabbits fed a normal or high-cholesterol diet for 16 weeks also inhibits AA metabolism. Specifically, we studied the effects of plasma on platelet aggregation and on the production of AA metabolites, tri-hydroxyeicosatrienoic acid, 12-hydroxyeicosatetraenoic acid and thromboxane B(2). 2. Haematological and lipid profiles were altered by a high-cholesterol diet. Platelets from hypercholesterolaemic rabbits showed enhanced aggregatory sensitivity to AA and platelet-activating factor. However, plasma from hypercholesterolaemic and control rabbits, when added to the incubation mixture, significantly inhibited platelet aggregation and eicosanoid production. 3. High- and low-density lipoprotein (HDL and LDL, respectively) concentrations increased several-fold in plasma with cholesterol feeding. When added directly to the incubation mixture, both HDL and LDL inhibited platelet aggregation, as well as AA metabolism. 4. Haptoglobin, albumin and Cohn's fraction IV, but not globulins, exhibited antiplatelet and anti-AA metabolism activities. Their concentrations in plasma were not affected by cholesterol feeding. 5. We conclude that LDL and HDL account for at least some of the inhibition of AA metabolism produced by plasma.

    Il y a quelques mois environ, j'avais lu une étude qui concluait que les séropositifs qui avaient un taux de cholestérol supérieur à 2,4 g/l avait six fois moins de chance de faire ultérieurement un "sida" qu'un séropositif qui avait un taux de cholestérol inférieur à 1,6 g/l. Jusqu'à ce jour, je ne suis pas encore arrivé à retrouver cette étude mais j'ai en revanche mis la main sur l'étude susdite (qui vient juste de sortir) où l'on constate que le cholestérol (LDL et HDL) inhibe, dans une certaine mesure, la production des nombreux et dangereux métabolites produits par l'acide arachidonique (lui-même acquis dans la nourriture et surtout produit par la consommation d'acides gras polyinsaturés). Dès lors que la production de ces dangereux métabolites est retardée (rappelons encore que le cholestérol est un puissant antioxydant et que selon de très nombreuses études concordantes, le seul cholestéol véritablement dangereux est le cholestérol oxydé), le phénomène d'oxydation est lui-même diminué, et, par voie de conséquence, le risque de "sida" (puisque maintenant chacun sait que le "sida" est la conséquence de l'exposition prolongée aux agents oxydants, en particulier azotés, et non d'un insaisissable rétrovirus "VIH").

    On peut également comprendre aussi pourquoi les personnes qui ont un taux de cholestérol peu élevé (selon les "normes" "habituelles") ont plus de chance de faire un cancer (entre autres exemples), vu qu'en présence de peu de cholestérol, l'acide arachidonique est plus disposé à produire de dangereux métabolites, directement impliqués dans la survenance d'une forte majorité de cancers.

  20. Alors, culture ou pas culture icon_confus.gif

    Oui, effectivement, l'analyse des écrits du Perth Group permet de constater qu'ils n'ont jamais demandé à ce que l'on tente de détecter du "VIH" directement à partir du plasma d'un sidéen et ont depuis toujours demandé à ce qu'on suive la méthode traditionnelle suivie par les plus grands rétrovirologues, soit celle fondée sur la culture.

    Ceci étant, au cours du débat qui a opposé récemment et pendant plus de deux ans orthodoxie et dissidence du sida, le Perth Group, et à ma connaissance pour la première fois, s'est interrogé sur le point de savoir pourquoi on ne trouvait pas de "VIH" directement à partir du plasma des patients, citant à cet égard les meilleurs rétrovirologues, dont entre autres Hans Gelderblom lui-même.

    Visiblement, l'argument a malgré tout ému l'orthodoxie du sida puisque Christopher Noble a contacté ensuite personnellement Hans Gelderblom à ce sujet, comme expliqué ici :

    Les souris atteintes de la leucémie de Friend ont un nombre considérable de particules rétrovirales dans leur sang circulant. Ce phénomène, que l’on appelait « Virémie » dans le passé (1), serait appelé « Charge Virale » dans le language d’aujourd’hui. A partir de quelques centimètres cube de plasma sanguin de ces souris, les particules virales étaient facilement isolées, par une simple méthode d’ultrafiltration et de centrifugation. Préparées ensuite pour la microscopie électronique, les résultats étaient illustrés comme suit :

    .......

    Ce qui est proprement stupéfiant, c’est que personne n’a réussi jusqu’ici , en appliquant cette méthode simple, à démontrer les particules de VIH dans le sang d’aucun malade dit atteint du SIDA, même si les échantillons sanguins sont prélevés chez des patients identifiés, par les méthodes de la PCR, comme ayant une « Charge Virale » élevée ! L’absence de toute donnée en microscopie électronique permettant d’élucider la nature de la dite « Charge Virale » chez les patients sidéens, si embrarassante qu’elle soit, a été soulignée pour une première fois lors d’une importante conférence sur le SIDA, à Prétoria, en mai 2000 (2). Aucun des experts présents à cette conférence n’a pu démontrer, ou faire référence à des publications dans lesquelles le VIH aurait été observé directement dans le sang de malades sidéens. Par surcroît, il y aura bientôt deux ans qu’une prime de 100.000 dollars a été officiellement offerte (3) à celui qui réussirait à démontrer les particules de VIH dans le sang de malades supposés avoir une charge virale élevée. A ce jour, cette prime n’a jamais été réclamée. Manifestement, l’isolement et la purification de particules rétrovirales que l’on pouvait si facilement effectuer chez les souris leucémiques n’ont jamais pu être réalisés chez les patients du SIDA.

    Mais contrairement à Etienne de Harven, le Perth Group se montre extrêmement conciliant à l'égard de l'orthodoxie du sida en ne recourant pas à la méthode d'Etienne de Harven, se satisfaisant (je ne pense vraiment pas que le Perth Group soit exigeant en la matière) de la méthode basée sur la culture, soit la méthode préconisée par l'Institut Pasteur en 1973, lors d'un symposium qui avait réuni plusieurs des meilleurs rétrovirologues de l'époque, et ne peut donc que s'étonner que l'on ai jamais pu voir de "VIH" selon cette méthode, préconisée par les rétrovirologues eux-mêmes. L'ensemble des innombrables autres failles de l'hypothèse rétrovirales soulignées par le Perth Group (et bien d'autres scientifiques dissidents, ainsi que par un nombre toujours plus croissant de chimistes [cf cette liste de dissidents ayant eu le courage de se faire connaître]), ne font que confirmer surabondamment ce "détail".

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