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wallypat

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Messages posté(e)s par wallypat

  1. Je pense qu'il serait bien plus simple que ce "professeur" s'inscrive sur ce site-ci et tente de réfuter tout ce qui a déjà pu être dit sur ce forum-ci. Je ne me fais cependant pas d'illusion. Les pensées et autres dires des "experts" ès "VIH" les plus autorisés ont déjà été réfutés depuis belle lurette, déjà en grande partie sur ce forum même.

    Personnellement, la messe est dite depuis bien longtemps déjà (et il me semble que cela est également valable pour beaucoup de monde sur ce forum-ci).

    Le problème avec les "experts" ès "VIH" est qu'ils sont obnubilés par le rétrovirus sur lequel il travaille depuis bien des années et ne se donne pas la peine de constater qu'on retrouve (pour autant que l'on suive scrupuleusement les mêmes méthodes de préparation dans les deux cultures) également ce rétrovirus dans les cultures de cellule non supposées contaminées par le "VIH", que plusieurs études réalisées par Gallo et Montagnier eux-mêmes ont démontré que ce rétrovirus est strictement incapable de provoquer le moindre effondrement de lymphocytes T4 sans l'emploi concomitant d'agents oxydants, et, de façon générale, qu'il n'a jamais été prouvé dans la moindre publication scientifique que ce rétrovirus est infectieux dans le sens même de la définition proposée par l'orthodoxie du sida la plus autorisée.

    En d'autres termes, ils travaillent sur un rétrovirus dont ils n'ont jamais pu prouver que c'est du "VIH".

    Concernant les traitements bizarrement appelés "antirétroviraux", je n'y suis pas opposé par principe mais je les utiliserai qu'en dernier recours (étant précisé que si ceux-ci peuvent parfois et à court terme avoir un effet relativement positif, ce sont pour des raisons sans rapport aucun avec leurs prétendues propriétés antirétrovirales in vivo).

    Personnellement, avec de recourir à la toxique tri"thérapie" chimique dite "antirétrovirale", j'utiliserais la trithérapie naturelle suivante :

    - Probiotiques à doses agressives;

    - Régime le plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés (oméga 3 et 6) et le plus riche possible en acides gras saturés;

    - Et bien sûr, les antioxydants adaptés.

  2. Voilà le genre d'info qui me fait dégoûter encore plus (à supposer que cela encore possible) des "experts" ès "VIH" et de toute la clique à leurs pieds : médecins, industries pharmaceutiques, organisations internationales, ...

    Il est quand même cocasse de constater que l'on condamne à l'emprisonnement une personne qui n'a jamais pu transmettre à qui que ce soit quelque rétrovirus "VIH" que ce soit. En revanche, on ne pense pas à faire un procès à une personne porteuse du virus de la grippe et qui le transmet, éventuellement volontairement, à une personne âgée, qui en meurt quelques jours ou semaines plus tard !

    Quel monde de fou ! 5-tss.gif

  3. Un petit résumé intéressant (mais en anglais) puisqu'on apprend que des scientifiques "viennent de découvrir" (comme si cela était nouveau !) que les probiotiques réduisent les phénomènes inflammatoires à un niveau suffisamment élevé que pour l'envisager comme traitement contre les maladies inflammatoires et auto-immunes.

    Voilà une raison supplémentaire expliquant pourquoi les probiotiques sont si essentiels pour remédier à la séropositivité (comme résumé dans mon précédent post) et pourquoi pas le "sida" lui-même. Rappelons en effet que le "sida" est justement le résultat de multiples phénomènes inflammatoires et peut être considéré comme une maladies auto-immune, comme expliqué par exemple dans cet article-ci.

    Bref, pour ma part, je continues plus que jamais ma consommation quotidienne "agressive" de mes probiotiques !

  4. (aixur @ Mercredi 14 Mai 2008 20h26)

    Oui. Mais est-ce qu'il y avait une culture de controle montrant un résultat différent de la culture virale ?

    Oui, effectivement, s'il n'y a pas eu de culture de contrôle (ce qui paraît être le cas) dans ces deux « isolations », il me semble effectivement difficile de prétendre qu'à tout le moins, lors de ces deux isolations, un rétrovirus, du moins exogène, aurait été isolé.

  5. Oui, c’est effectivement intéressant, en ce sens que l’auteur réhabilite les acides gras saturés en soulignant certains de leurs avantages (mais pas tous, cependant, sauf erreur de ma part : l’auteur ne signale par exemple pas que les acides gras saturés protègent contre l’oxydation, contrairement aux acides gras polyinsaturés que sont les oméga 3 et 6, qui favorisent et multiplient le phénomène d’oxydation) et en précisant que le « coupable » est en fait les graisses transaturées.

    En revanche, ce qui est extrêmement critiquable, c’est d’affirmer que les oméga 3 et 6 seraient des acides gras essentiels au motif que l’organisme humain est incapable de synthétiser ceux-ci. Si l’on devait suivre ce raisonnement, on devrait alors admettre que les poisons en général sont également essentiels vu que l’organisme humain est incapable de les synthétiser et est obligé de les retrouver dans l’alimentation !

    Comme nous l’avons déjà vu, l’homme n’a nullement besoin de consommer d’oméga 3 et 6 et produit naturellement son propre acide gras polyinsaturé, à savoir la « mead acid » dès lors qu’il n’est justement pas empoisonné par les oméga 3 et 6. Et il se porte bien mieux ainsi. Et comme nous l’avons déjà vu, les oméga 3 et 6 sont effectivement essentiels, non pas pour la bonne santé de l’homme, mais bien … à l’apparition du cancer (entre autres maladies) ! Bref, moins l’homme consomme d’oméga 3 et 6, plus il consomme des acides gras saturés (surtout, ceux à chaînes courtes et moyennes [beurre, huile de noix de coco, fromages, …], qui ne risquent pas de faire grossir comme ceux à chaînes longues [viande en général]), bien mieux il se portera !

    PS : L’auteur paraît signaler que pour préparer certains plats, il chauffe de l’huile de noix de coco, ce qui est très bien car elle reste stable et résiste très bien à la chaleur et à l’oxydation, mais aussi du beurre, ce qui est très mauvais. En effet, contrairement à l’huile de noix de coco, le beurre ne comporte pas 92% d’acides gras saturés mais bien +/-55% d’acides gras saturés (le surplus étant surtout des acides gras monoinsaturés qui ne vont pas résister à la chaleur et à l’oxydation, quoique cette résistance sera plus forte que pour des acides gras polyinsaturés [que l’on retrouve dans presque toutes les huiles végétales, hormis justement l’huile de noix de coco]) et en outre, comporte du cholestérol (ce qui n’est pas le cas de l’huile de noix de coco).

    Or en chauffant du beurre, celui-ci va s’oxyder (en raison des +/-45% d’acides gras monosaturés le composant) et cela vaut bien sûr également pour le cholestérol du beurre. Et c’est justement le cholestérol oxydé (et uniquement celui-là) qui est dangereux pour la santé et peut être de nature à causer des maladies cardiovasculaires.

    En revanche, l’huile de noix de coco comporte tellement d’acides gras saturés que ceux-ci arrivent à protéger le peu d’acides gras insaturés qu’il comporte, ceux-ci, « coincés » par les acides gras saturés en surnombre, restant malgré tout stables à la cuisson (contrairement au beurre).

  6. Pour ma part, je me fierais au médecin traitant pour ce qui concerne les carences à éliminer suite aux résultats obtenus.

    Sinon, concernant le « traitement » à suivre en cas de séropositivité, je me fie à ma propre « trithérapie » naturelle dont question dans ce post. Mais une telle « trithérapie » est peut-être plus efficace lorsqu’on n’a encore jamais été sous traitements dits « antirétroviraux » (mais je n’exclus pas qu’elle puisse également être efficace même lorsqu’on a été auparavant sous traitements dits « antirétroviraux »).

  7. "Grâce" à l'Europe et à ses institutions qui n'ont pas grand chose de démocratique (sauf sur quelques matières très bien délimitées), il devient de plus en plus difficile (et cela ne va qu'en s'empirant) de pouvoir continuer à utiliser des traitements naturels ou même simplement des vitamines et des antioxydants.

    Par exemple, et de mémoire, il est maintenant devenu interdit de vendre dans l'espace européen un remède phytothérapeutique qui avait fait ses preuves depuis des dizaines d'années pour les problèmes de foie et hépatiques en général, à savoir le desmodium. Ceux qui souhaitent encore en acquérir doivent soit obtenir une ordonnance, soit acheter via internet aux USA ou plus près de nous, en Suisse (espérons que ce pays n'adhérera jamais à notre si "démocratique" Europe), ... soit bien sûr s'en référer aux traitements très coûteux des entreprises pharmaceutiques, lesquels sont souvent toxiques, pas toujours efficaces et accompagnés quasi systématiquement d'effets secondaires parfois très graves, voire même mortels !

    Certains Etats européens envisagent par exemple d'inscrire prochainement le gingko dans la liste "médicaments" en sorte que pour ce remède phytothérapeutique, il faudra également obtenir une ordonnance préalablement (et encore faut-il trouver un médecin large d'esprit qui ne jure pas que par Big Pharma).

    Et des exemples comme ceux-là se comptent déjà par dizaine (ainsi nos fonctionnaires européens surpayés envisagent-ils également de limiter les dosages des vitamines aux si mal nommés et très peu scientifiquement fondés "apports journaliers recommandés"; cela signifiera par exemple que l'on ne trouvera bientôt des gélules de vitamines C qu'à concurrence de 60mg; autant dire, rien du tout et sans utilité thérapeutique ou même préventif !).

    Pour tenter de stopper ce cauchemar, une pétition a été mise en ligne.

    Le lecteur pourra la trouver à l'adresse suivante : http://www.eu-referendum.org/francais/peti...edies_info.html

    J'invite tous ceux qui pensent que les médicaments ne sont pas la seule solution aux problèmes de santé (comme aimeraient nous le faire croire les entreprises pharmeuceutiques, extrêmement bien représentées et dont les intérêts sont très bien défendus par l'Europe, et ce au détriment de ses citoyens) et que le recours aux traitements naturels est un droit non seulement légitime mais également inaliénable et démocratique, à signer au plus vite cette pétition et à demander à ses connaissances de la signer et de la faire connaître également.

    Un grand merci à tous ! icon_bravo.gif

  8. Un excellent résumé qui prouve, s'il en était encore besoin, l'implication directe (le terme "carcinogène" est clairement utilisé) des multiples métabolites produits à partir de l'acide arachidonique (et donc des acides gras polyinsaturés) dans la survenance et la croissance des cellules cancéreuses ainsi que dans le développement des métastases d'une multitude de cancers : cancers du poumon, du colon, du pancréas, des seins, de la prostate, de la peau, des ovaires et du foie :

    The role of cyclooxygenase and lipoxygenase in cancer chemoprevention.

    ................

    The involvement of prostaglandins (PGs) and other eicosanoids in the development of human cancer has been known for over two decades. Importantly, an increase in PG synthesis may influence tumor growth in human beings and experimental animals, and numerous studies have illustrated the effect of PG synthesis on carcinogen metabolism, tumor cell proliferation and metastatic potential. PGs produced by cyclooxygenases (COXs) are represented by a large series of compounds that mainly enhance cancer development and progression, acting as carcinogens or tumor promoters, with profound effects on carcinogenesis. Further investigations suggest that arachidonic acid (AA) metabolites derived from lipoxygenase (LOX) pathways play an important role in growth-related signal transduction, implying that intervention through these pathways should be useful for arresting cancer progression. We discuss here the implications of COX and LOX in colon, pancreatic, breast, prostate, lung, skin, urinary bladder and liver cancers. Select inhibitors of COX and LOX are described, including nonsteroidal antiinflammatory drugs (NSAIDs), selective COX-2 inhibitors, curcumin, tea, silymarin and resveratrol, as well as a method useful for evaluating inhibitors of COX. Although a substantial amount of additional work is required to yield a better understanding of the role of COX and LOX in cancer chemoprevention, it is clear that beneficial therapeutic effects can be realized through drug-mediated modulation of these metabolic pathways.

    En d'autres termes, pour réduire de façon radicale le risque de survenance de cancer et de son développement ultérieur, adopter un régime riche en acides gras saturés (lesquels ne peuvent donner naissance aux dangereux métabolites mentionnés dans l'extrait reproduit ci-dessus, tels que les prostaglandines et les leucotriènes) et le plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés constitue à mon avis l'une des solutions (si pas "la" solution) royales (mais cela vaut également pour prévenir de façon tout aussi radicale le risque de maladies cardiovasculaires quelconques, la plupart des maladies chroniques, etc... et bien sûr et vraisemblablement le "sida" [du moins, tant que ce stade n'a jamais été atteint une première fois]!).

  9. Sur www.sidasante.com, dans divers articles, on trouve ci ou là quelques estimations.

    Comme dans cet article-ci :

    À partir de 1981, les épidémies de SIDA aux États-Unis et en Europe se sont étendues régulièrement pendant une dizaine d'années jusqu'à culminer au début des années 1990, puis ont régressé et se trouvent aujourd'hui à environ la moitié de leur plus haut niveau (voir figure 1a), (Organisation Mondiale de la Santé 2001b). En 2OO1, le total cumulé des cas de SIDA était de 816 149 pour les États-Unis et de 251 021 pour l'Europe (Centers for Disease Control and Prevention 2001; Organisation Mondiale de la Santé 2001b). Á ce jour, le SIDA se comporte aux États-Unis et en Europe comme une pathologie très fortement ciblée : 80% des victimes sont des hommes (Organisation Mondiale de la Santé 2001a). Environ 2/3 des cas de SIDA aux États-Unis sont des homosexuels masculins et le dernier tiers est constitué d'utilisateurs de drogues, hommes ou femmes. En Europe, environ la moitié des cas de SIDA sont des homosexuels masculins, l'autre moitié étant constituée d'utilisateurs de drogues par intraveineuse [à noter que plus de 75% de ces utilisateurs sont des hommes (Duesberg et Rasnick 1998)]. En outre, aussi bien aux États-Unis qu'en Europe, le SIDA touche de façon marginale les groupes d'hémophiles et autres receveurs de transfusions sanguines (1%) ainsi que des enfants nés de mères s'adonnant aux drogues (1%) (Organisation Mondiale de la Santé 2001a).

    Personnellement, je répugne à répondre à ce genre de question car ce serait déjà admettre qu'il y aurait une prétendue épidémie de "sida" (raison pour laquelle j'utilise généralement ce terme entre guillemets), soit admettre qu'il y aurait de plus de plus de gens prétendument infectés par un rétrovirus "VIH". En réalité, la seule épidémie qu'il y ait, c'est une épidémie de tests improprement appelés "VIH", lesquels n'ont aucune vocation à détecter une quelconque infection par le "VIH" (et donc aucune vocation à détecter quelque épidémie que ce soit) et ne peuvent au mieux, et dans un cadre restreint, que servir de test médical prédisant une propension à développer ultérieurement certaines maladies, qui n'ont rien d'unique au "sida".

  10. Deux passages intéressants tirés de ce récent article (anglais) qui rappellent que les sidéens ont des niveaux "anormalement" (mot placé entre "guillemets" car tout indique que ce qui est anormal, ce sont bien les acides gras polyinsaturés eux-mêmes que l'on consomme, même si ceux-ci seraient à un niveau "normal" selon l'orthodoxie nutritionniste) élevés d'acides gras polyinsaturés (oméga 3 et 6) et qui militent donc à nouveau en faveur d'un régime riche en acides gras saturés et le plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés :

    AIDS patients have high levels of both cortisol and free polyunsaturated fatty acids(Christeff, et al., 1988).
  11. On a déjà souligné à des centaines de reprises le lien de causalité direct entre l'oxyde nitrique et le "sida". Cheminot a déjà souligné des dizaines de fois le lien de causalité direct qui existe entre l'un des plus dangereux métabolites de l'oxyde nitrique, à savoir le peroxynitrite, et le "sida".

    Pourquoi en parler également dans ce topic-ci ?

    Car on a déjà souligné plusieurs fois dans ce topic-ci que les acides gras polyinsaturés, en particulier l'acide arachidonique et ses nombreux métabolites, sont directement impliqués dans d'innombrables (si pas presque tous les) processus inflammatoires, ce qui facilitera encore plus (pour ne pas dire "causera") l'évolution vers le stade "sida".

    A cet égard, l'article suivant, très récent (2007) est pour le moins extrêmement intéressant et éloquent :

    Abstract:

    Inducible nitric oxide synthase (iNOS) is expressed in a variety of cell types, in particular in inflammatory cells, in response to diverse pro-inflammatory stimuli. This process requires critical levels of arachidonic acid (AA), generated by constitutive phospholipase A2 (PLA2), promoting tyrosine kinase-dependent phosphorylation, and inhibition, of constitutive NOS. Lowering basal NO levels is indeed critical for the activation of nuclear factor-κB (NF-κB), and thus for the expression of genes (e.g. iNOS) regulated by this trascription factor. It is interesting to note that NO and AA, two small lipid soluble molecules, rapidly cross the plasma membrane thereby allowing the triggering of the above responses in distal cells. That is, constitutive NO might inhibit NF-κB activity in the same cells (e.g. astrocytes) in which it is generated, as well as in other cells that do not express constitutive NOS (e.g. microglia). NO from cells unable to respond to pro-inflammatory stimuli (e.g. neurons) will also contribute to these effects. Along the same line, AA released by pro-inflammatory molecules in specific cell types (e.g. astrocytes) might suppress constitutive NOS activity in the same cells as well as in other cells (e.g. neurons). Thus, AA produced at the very early stages of the inflammatory response is a likely critical signal switching the regulation of the “NO tone” from physiological (i.e. mediated by constitutive NOS) to pathological (i.e. mediated by iNOS). This second phase of the inflammatory response is often accompanied by the onset of deleterious effects in the tissue in which a critical role is played by iNOS-derived NO (directly or indirectly, i.e. via formation of peroxynitrite) as well as by products of the AA cascade. In summary, we suggest that the relative amounts of NO and AA, released by their constitutive enzymes, produce autocrine and paracrine effects regulating the onset of an inflammatory response in which, in addition to other factors, NO and AA are extensively released by their inducible enzymes.

    Alors, j'admets que je ne comprends pas tout ce qui y est précisé mais ce qui est extrêmement clair en revanche, c'est que si on n'a plus ou très peu d'acide arachidonique dans le corps, il devient extrêmement difficile à l'organisme de produire les différents phénomènes inflammatoires permanents que l'on retrouve chez les séropositifs et les sidéens ainsi que le "mauvais" oxyde nitrique (iNOS) et le peroxynitrite, ces deux derniers étant donc en relation causale avec l'évolution vers le stade "sida".

    Il s'agit d'une étude de plus qui me conforte (s'il en était encore besoin) dans l'idée que pour diminuer (et pourquoi pas, "supprimer" si on n'est pas encore dans un stade avancé) très fortement le risque d'évoluer vers le stade "sida" (et "accessoirement" pour redevenir séronégatif), il faut donc absolument privilégier une alimentation qui évite le plus possible les acides gras polyinsaturés (improprement appelés "acides gras essentiels" [LOL !])quels qu'ils soient (excepté celui qui sera naturellement produit par l'organisme "privé" de ces "acides gras soi-disant essentiels") et qui privilégie au contraire les acides gras saturés (en particulier à chaînes courtes et moyennes, directement assimilées par l'organisme : huile de noix de coco, beurre [si possible au lait cru], fromages [si possible au lait cru], ...) qui, eux, protègent justement contre les phénomènes inflammatoires (même si dans un premier temps, on peut penser exactement le contraire car un tel régime favorisera la libération dans l'organisme de l'acide arachidonique [d'où l'utilité certaine des antioxydants pour s'en protéger au début de ce régime] mais ce phénomène sera provisoire puisqu'à terme, l'organisme sera privé d'acides gras dits "essentiels" et donc d'acide arachidonique) mais également contre l'oxydation (laisser par exemple de l'huile de noix de coco à l'air libre, pendant 1 an, sous 30 degrés, elle ne s'oxydera pas et ne rancira donc pas [exactement tout le contraire des acides gras "essentiels" polyinsaturés que sont les oméga 6 et oméga 3, lesquels rancissent déjà ... après quelques heures, et encore plus vite pour les oméga 3 !] !).

  12. par contre il y n'y a toujours pas d'explication pour la présence d'une entité virus car ces structures ont été bien isolées (qu'on le fasse par des moyens artificiels n'est pas le problème puisqu'en stimulant les lymphocytes on peut produire ces entités donc elles peuvent exister), et on les utilisent en plus pour des tonnes d'autres études. Que ce ne soit pas la cause du sida pas de souci, qu'elles soient une conséquences pourquoi pas et là on retouve également une explication de la production des anticorps.

    Je tenais à apporter quelques précisions à ce passage-là de Nico.

    Tout comme Nico, j'admets bien volontiers que par des techniques "artificielles" (soit, des technique de pseudo clonage du "VIH"), on arrive, non pas à cloner, mais bien à produire des "entités virus", à savoir des rétrovirus (endogènes, produits par les techniques elles-mêmes), qui sont effectivement très bien isolés et utilisés dans des tonnes d'études (comme les lentivirus).

    Mais comme je l'ai déjà mentionné antérieurement, à de nombreuses reprises, tous ces faits scientifiques, aussi exacts soient-ils, ne prouvent en rien (et ne constituent même pas un début de preuve) que ces rétrovirus sont bien des rétrovirus exogènes (ou même endogènes, d'ailleurs) "VIH", entre autres pour les raisons suivantes (liste certainement pas exhaustive) :

    1) On retrouve également ces prétendus "VIH" dans les cultures non supposées contaminées par le "VIH" mais préparées de façon méticuleusement identiques (ce qui est extrêmement rare en matière de "VIH") à celles qui sont supposées avoir été contaminées.

    2) Plusieurs publications de Montagnier et Gallo ont montré elles-mêmes que le prétendu "VIH" était strictement incapable de provoquer quelque apoptose que ce soit en l'absence d'agents oxydants, étant pourtant la caractéristique fondamentale du supposé "VIH".

    3) Comme si cela ne suffisait pas, il n'y a pas une seule publication scientifique qui ait prouvé que ces prétendus clones soient infectieux au sens même (et pourtant moins strict que la définition proposée par le Perth Group) de la définition proposée par l'orthodoxie du sida la plus autorisée elle-même.

    Dès lors qu'il n'a jamais été prouvé que ces rétrovirus sont bien du "VIH", il n'y a même plus lieu de se demander si celui-ci aurait pu être la cause du "sida" ou même tout simplement d'expliquer la soi-disant présence de ces "VIH" chez les séropositifs et sidéens ... dont il n'a jamais été prouvé qu'ils sont bien présents chez ceux-ci !

    et là on retouve également une explication de la production des anticorps.

    A mon avis, in vivo, ce point n'a jamais été prouvé, puisque :

    1) Il faut déjà l'avoir isolé chez ne fût-ce qu'un seul sidéen,

    2) Et à supposer même que cela eut été le cas, avant de suggérer éventuellement qu'un test "VIH" positif résulte de la réaction d'anticorps dirigés contre les antigènes du supposé rétrovirus exogène (ou même endogène) "VIH", et compte tenu que des si nombreux auto-anticorps (présents de façon quasi systématique chez les sidéens) et anticorps (présents eux de façon systématique chez les sidéens) à des dizaines d'autres maladies et autres syndromes réagissent également avec les prétendus antigènes du "VIH",

    *Il en résulte forcément que pour prétendre qu'un test "VIH" positif est bien le résultat de la réaction d'anticorps dirigés contre les antigènes du supposé rétrovirus "VIH" (qu'il soit exogène ou même endogène d'ailleurs, puisqu'il faut déjà avoir préalablement apporté la preuve que le "VIH" est un rétrovirus tout court) et non le résultat de la myriade d'autres anticorps dirigés contre des tas d'autres bactéries, virus, antigènes, etc... mais réagissant également avec les antigènes du supposé "VIH",

    *On ne peut faire autrement que de prendre d'une part des sidéens dont on sait qu'ils ont été contaminés par le "VIH" (pour l'avoir isolé, réellement, chez eux) et d'autre part des personnes malades exactement des mêmes maladies (car les maladies du "sida" n'ont rien de spécifique et encore moins d'unique au "sida") que chez le sidéen sauf que chez ces dernières, il est non seulement supposé qu'elles n'ont pas été contaminées par le "VIH" mais en plus, on n'arrive pas à isoler, réellement, du "VIH" comme chez les sidéens. Si le test "VIH" ne réagit presque jamais dans le second cas mais en revanche presque toujours dans le premier groupe, alors seulement, on pourra raisonnablement affirmer que le test "VIH" est effectivement fiable et spécifique, que les anticorps réagissent effectivement avec le rétrovirus "VIH" (exogène ou même endogène d'ailleurs) et que cette réaction est bien la preuve que la personne testée a bien été contaminée par le "VIH".

    Il faut toutefois constater que de telles études n'existent pas (et pour cause, le "VIH" n'ayant jamais été isolé) en sorte qu'in vivo du moins (et même in vitro, puisqu'il n'a jamais été prouvé que les clones du "VIH" sont bien du "VIH"), il est strictement impossible d'affirmer ou même de suggérer que chez un sidéen ou un séropositif, un test "VIH" positif serait la preuve que des anticorps réagiraient avec les antigènes d'un rétrovirus (exogène ou même endogène) "VIH". Ces tests "VIH" seront donc au mieux des tests prédictifs de l'apparition de maladies particulières ultérieures mais absolument rien ne prouve que la personne testée positive est bien porteuse d'un rétrovirus "VIH", exogène ou même endogène.

    Enfin et de toute façon, il n'est nul besoin de l'hypothétique "VIH" pour expliquer que les séropositifs et les sidéens aient des anticorps réagissant avec les antigènes utilisés dans le test improprement appelé "VIH". La présence de ces anticorps est déjà été expliquée par des dizaines de raisons différentes.

    Sinon, pour le surplus, je suis d'accord sur la plupart des (si pas tous les) écrits qui précèdent de Nico au sujet de la réaction en général antigènes/anticorps, du moins dès lors que l'on n'entre pas dans le sujet du "VIH".

  13. Très intéressant comme site ! Merci beaucoup !

    Je m'étonne quand même des prix extrêmement peu élevés. C'est presque trop beau pour être vrai.

    Oui, effectivement, il me semble qu'il faille s'en méfier, en tout cas pour certains produits.

    Par exemple, ce thé vert vendu sur le site américain en question.

    Le prix a de quoi faire rêver puisque que l'on peut obtenir deux flacons de cent gélules de 315 mg pour 8,99$ seulement, tandis que sur le site européen où je les achète, je dois payer 20,00 EUR pour 90 gélules de 350 mg ! Le site américain paraît clairement le plus intéressant.

    Toutefois, lorsqu'on examine la situation plus attentivement, on constate que le thé vert que j'achète sur le site européen garantit un minimum de 95% de polyphénols, dont au moins 50% d'épigallo-catéchingallate (EGCg), la fraction la plus désirable. Or sur le site américain, on constate qu'ils ne garantissent que 15% de polyphénols et on ne sait strictement rien de l'EGCg.

    Donc, oui, ce site américain est très intéressant au niveau des prix mais au niveau de la qualité de certains produits, il y a visiblement lieu de très bien comparer avant d'acheter éventuellement sur ce site.

    Maintenant, il est clair que certains suppléments alimentaires sont très bien standardisés et banals qu'on pourrait de prime abord les acheter sur ce site sans problème, comme le sélénium.

  14. Base du TT :

      600 mg/jour d'acide alpha lipoïque en 2 prises

    900 mg/jour de silymarine en 3 prises

    400mcg/jour de sélénium en 2 prises

    C'est effectivement le traitement qui a fait l'objet de cette publication scientifique de 1999 et dont j'avais parlé il y a un an environ.

    Très intéressant comme site ! Merci beaucoup !

    Je m'étonne quand même des prix extrêmement peu élevés. C'est presque trop beau pour être vrai. Quand j'aurai un peu le temps, j'essaierai d'examiner cela d'un peu plus près.

  15. merci de vos réponses mais aucun des deux n'a en fait répondu à ma question.

    ......

    Lorsqu'un anticorps ne réagit que lorsqu'il y a bien et uniquement présence du virus : alors il est considéré spécifique.

    Il me semble pourtant que mon post précédent répondait - entre autres - à la question posée, entre autres le passage suivant :

    Par conséquent, la seule façon de prouver la spécifité des tests dits "VIH" est de comparer la réaction antigènes/anticorps avec la présence/l'absence du  "VIH" lui-même chez chacun des patients testés, c'est-à-dire le "VIH" isolé/purifié, qui ne peut être que le seul étalon-or fiable de comparaison.
  16. D'abord quand on les teste ces antigènes/anticorps, on les teste tous en même temps mélangé ou alors on les sépare tous les uns des autres. Ainsi on teste du sérum ne contenant que l'anticorps A (l'antigène A). Puis ensuite celui ne contenant que l'anticorps B (l'antigène B). Pour moi c'est logique qu'on les sépare, parce que sinon c'est un sac de noeud pour savoir lequel a provoqué la réaction.

    Ensuite concrètement je sais pas comment marche cette histoire d'étalonnage avec le VIH purifié.

    J'ai un anticorps/antigène du plasma qui réagit sur un patient.  Comment utiliser l'étalon or pour déterminer la spécificité

    A ma connaissance, les supposés antigènes du "VIH" sont testés ensemble dans le test "Elisa" tandis qu'ils sont testés séparément dans le test "Western Blott" ou test dit de "confirmation" (LOL) !

    Mais même testé séparément, le fait qu'un antigène prétendument attribué au "VIH" réagit avec des anticorps retrouvés chez les personnes testées ne prouve pas le moins du monde :

    - que cet antigène a pour origine un rétrovirus exogène "VIH" (les dissidents, et en particulier le Perth Group, ont déjà montré que tous les antigènes prétendument attribués au "VIH" ont tous une origine cellulaire [ce qui n'a rien à voir avec un rétrovirus]),

    - et que cette réaction positive soit la conséquence d'une infection par un rétrovirus "VIH" vu que des dizaines d'anticorps (retrouvés systématiquement dans les groupes à risque de "sida", justement) dirigés contre tes tas d'autres virus, bactéries et surtout contre ses propres cellules (soit les auto-anticorps) réagissent avec les protéines d'origine cellulaire prétendument considérées comme les antigènes du "VIH" (voir ici une liste - devenue fort incomplète avec le temps - de nombreux anticorps, retrouvés justement systématiquement chez les sidéens, réagissant avec les antigènes prétendument attribués au "VIH").

    Par conséquent, pour prétendre qu'une réaction positive antigène/anticorps soit la preuve d'une infection par le mythique "VIH", il faut avoir le seul étalon-or disponible, à savoir le "VIH" lui-même, c'est-à-dire que l'on sait déjà auparavant (soit avant de tester la personne), preuves (véritables) à l'appui, que la personne testée a été contaminée par le "VIH". Cette preuve n'a jamais été apportée. On prend juste des malades du "sida" dont on présuppose qu'ils ont été contaminés par le "VIH" et on compare avec les personnes (supposées en bonne santé) donnant leur sang. Si le test réagit positivement dans 99,99% des cas chez les malades du "sida" et négativement dans 99,99% chez les échantillons de sang des banques du sang, il sera affirmé que le test "VIH" est très spécifique ! LOL

    Mais en réalité, on l'aura compris, un test "VIH" positif pourra au mieux être un test prédisant que la personne testée aura une prédisposition particulière à developper ultérieurement des maladies (qui n'ont rien de spécifique au "sida") qualifiées de "sida". Mais cela ne prouve en aucune façon que les personnes testées séropositives ont bien été contaminées par un rétrovirus "VIH", ce point n'ayant jamais été prouvé mais bien uniquement supposé lorsque ces tests d'anticorps ont été mis au point.

    Et il n'y a rien d'étonnant à ce que tests d'anticorps puissent prédire que des personnes puissent ultérieurement développer des maladies particulières (étant donc ici le test dit "VIH").

    Dans cet article, le Perth Group a donné d'autres exemples de tests prédictifs (dont peut justement faire partie le test "VIH", du moins dans une certaine mesure).

    Je reproduis à cet égard ci-dessous une partie d'un post antérieur que j'avais déjà consacré à ce sujet :

    Le test destiné à prouver la prétendue contamination par le "VIH" est le test des anticorps, soit le test "VIH". Il est affirmé par l'orthodoxie du sida que la spécificité du test "VIH" est de 100% ou qu'il s'en approche. Lorsqu'on examine les choses de plus près, on constate en fait que cette prétendue spécificité est obtenue en comparant le résultat obtenu chez des personnes dites malades du sida et le résultat obtenu chez de jeunes donneurs de sang anonymes. Il va de soi qu'il ne faut pas être grand clerc pour comprendre qu'en procédant ainsi, l'orthodoxie du sida ne prouve en aucune façon que les tests "VIH" sont spécifiques d'une infection par le "VIH". En effet, le point de départ de cette méthode consiste à supposer que la présence de ces si nombreux anticorps chez les sidéens est le résultat d'une infection par le rétrovirus "VIH", et à faire fi du fait que la présence de ces anticorps peut s'expliquer par de nombreuses autres raisons, tout particulièrement présentes dans les groupes à risque de sida. En d'autres termes, les tests "VIH" positifs sont au mieux (et encore !) des tests pouvant indiquer une propension chez certaines personnes à développer ultérieurement des maladies particulières, peu importe la cause de ces maladies vu que la spécificité des tests "VIH" n'a jamais été comparée avec le "VIH" lui-même.

    On l'aura compris, pour prétendre que la séropositivité est le signe d'une infection par le "VIH", il est déjà absolument nécessaire, mais non suffisant, de comparer le résultat obtenu avec la présence/l'absence du "VIH". En d'autres termes, l'étalon-or de référence doit être le "VIH" lui-même isolé/purifié ... et non la pure hypothèse que les malades du sida ont été contaminés par un rétrovirus "VIH".

    PAR CONSEQUENT :

    1) L'orthodoxie du sida doit déjà avoir préalablement prouvé que les antigènes utilisés dans les tests "VIH" et avec lesquels des anticorps de la personne testée sont susceptibles de réagir, ont bien pour origine un rétrovirus "VIH". En d'autres termes, la preuve "A" ci-dessus (existence d'un rétrovirus "VIH") doit déjà avoir été préalablement apportée. Etant donné que cette preuve n'a jamais été apporté, le simple fait que des anticorps puisse réagir avec les antigènes utilisés dans les tests "VIH" ne prouvera JAMAIS que la personne testée a été contaminée par un rétrovirus "VIH".

    2) A supposer même que l'orthodoxie du sida eût été capable d'apporter cette preuve, cela n'aurait de toute façon pas été suffisant. Très très loin de là, d'ailleurs. En effet, le simple fait que des anticorps du patient testé réagissent avec des antigènes (supposés) spécifiques du "VIH" ne prouve toujours pas qu'il s'agit là du résultat d'une contamination par le "VIH" vu que les anticorps du "VIH" sont polyspécifiques, d'autant plus que les sidéens et les séropositifs sont connus pour avoir une pléthore d'anticorps dans leur sang contre de nombreux agents infectieux et également beaucoup d'auto-anticorps.

    Par conséquent, la seule façon de prouver la spécifité des tests dits "VIH" est de comparer la réaction antigènes/anticorps avec la présence/l'absence du  "VIH" lui-même chez chacun des patients testés, c'est-à-dire le "VIH" isolé/purifié, qui ne peut être que le seul étalon-or fiable de comparaison.

    3) Il va de soi que les études en question doivent être effectuées en aveugle, sur un nombre statistiquement significatif de patients qui ont le sida et de patients qui n'ont pas le sida mais qui sont malades (des mêmes maladies que ceux du sida, sauf que chez eux, les maladies en question ne seraient pas causées par le "VIH").

    4) Ceci étant, même si les trois points qui précèdent avaient été remplis, aussi étonnant que cela puisse paraître à première vue, la spécificité des tests "VIH" ne pourrait de toute façon pas être déterminée même si un étalon-or (à savoir le "VIH") avait existé.

    Pourquoi ? Parce que l'orthodoxie du sida n'a même pas été fichu de standardiser le test "Western Blot". Le lecteur peut par exemple lire ce graphique comparatif, où il pourra constater que les critières de séropositivité varient en fonction de différentes région du monde. Ainsi et par exemple, un australien sera déclaré "contaminé" par le "VIH" s'il a les quatre bandes p41, p32, p24 et P18 qui réagissent positivement, mais sur base de ce même résultat, cet australien ne sera pourtant pas déclaré contaminé par le "VIH" en Afrique, où pourtant deux bandes suffisent ! Inversément, un africain sera considéré comme "contaminé" par le "VIH" s'il est positif aux protéines p41 et p120, mais ce même africain sera en revanche considéré comme séronégatif et non contaminé par le "VIH" en Australie et dans certains Etats européens ! Comprenne qui pourra.

    Le lecteur aura donc compris que le test "VIH" est donc le premier test de l'histoire médicale dont l'interprétation du résultat varie aussi radicalement (c'est le moins que l'on puisse dire) entre les Etats. Par conséquent, même si l'étalon-or du "VIH" avait existé, les différents tests "Western Blot" n'étant pas standardisés, la spécificité de ceux-ci sera quelque part ... entre 0% et 100% même en présence de l'étalon-or du "VIH".

  17. Je suis vraiment désolé, Keiser, mais je ne suis pas médecin. Il ne m'est malheureusement pas possible, et réellement à mon plus grand regret, de donner des conseils en la matière, en particulier si l'on a suivi la voie "orthodoxe" (ce que je ne te reproche absolument pas, ceci étant).

    Personnellement, que ce soit pour le "VIH" ou l'hépatite C, ou même les deux en même temps, je suivrais la même "recette" :

    1) Probiotiques,

    2) Antioxidant (et en particulier pour le fois, le siliphos),

    3) Et surtout un régime très riche en acides gras saturés et très pauvre en acides gras polyinsaturés (il ne fait guère de doute qu'un tel régime fera monter, sans doute très fortement, les transaminases du foie, pendant sans doute deux ans ou trois ans, mais cela ne me paraît pas signifier que le foie aille plus mal pour autant [il n'y a pas de corrélation mathématique entre les transaminases et l'état du foie, seule une biopsie permet de vérifier réellement l'état du foie, sauf erreur de ma part]: ce sont les cellules hépatiques qui réagissent à la libération dans l'organisme de l'acide arachidonique (dircectement impliqué dans le phénomène inflammatoire [dont entre autres et justement le foie], mais ce phénomène sera forcément transitoire puisqu'avec un tel régime, l'organisme ne pourra plus produire à terme d'acide arachidonique). Pour plus d'infos, lire ce topic.

    Et puis, attendre deux ou trois ans (tout en suivant quelques marqueurs) pour voir quels sont les résultats. Personnellement, c'est ce régime-là que je suis maintenant et j'en suis très satisfait. J'entends bien redevenir séronégatif d'ici quelques (courtes) années.

    Ceci étant, si je souffrais du foie depuis plus de 20 ans (comme ton épouse, semble-t-il), je pense qu'il serait sans doute trop tard pour tenter de telles "recettes" et que je n'aurais également pas eu d'autre choix que de recourir aux traitements conventionnels. Mais je ne suis absolument pas compétent en la matière, malheureusement.

    Ne crois pas qu'il y ait là une quelconque mauvaise volonté de ma part.

    Peut-être quelqu'un d'autre sur le forum pourra te faire d'autres suggestions.

  18. comment expliquez vous qu'un africain, touché par le sida provoqué par la malnutrition d'après votre théorie, puisse développer le même anti corps spécifique qu'un homosexuelle utilisant les poppers, développant un sida provoqué par les drogues d'après votre  théorie ???

    Alors qu'avez-vous à répondre à cela ???

    1) Ce serait étonnant que ce soit les mêmes anticorps dits "spécifiques" vu l'extrême variété d'anticorps susceptibles de réagir avec les protéines utilisés dans les tests dits "VIH".

    2) A supposer même que les anticorps de l'homosexuel et de l'africain réagissant positivement avec les antigènes utilisés dans ces tests eussent été identiques, cette identité supposée ne prouve en rien que ce soit le résultat d'une infection par un chimérique rétrovirus exogène "VIH".

    Ainsi, dans les deux cas, les personnes testées sont-ils par exemple porteurs en grand nombre de différents champignons (candida albicans, par exemple). Or le Perth Group a montré dès les années 90 que les anticorps à ces champignons peuvent faire réagir positivement le test bizarrement appelé "VIH", en dehors de toute intervention de l'hypothétique "VIH". Et vu que presque tous les séropositifs et sidéens souffrent de maladies causées par ces champignons, à défaut d'avoir jamais pu isoler le "VIH" et donc à défaut de ce seul étalon-or admissible, à supposer même que le "VIH" aurait existé (ce qui n'a pourtant jamais été prouvé), il est tout simplement impossible de savoir si ce qui fait réagir le test dit "VIH" est les anticorps à l'hypothétique et supposé "VIH" ... ou les anticorps à ces champignons dont sont également porteurs l'écrasante majorité, si pas tous, des séropositifs et sidéens supposés avoir été infectés par du "VIH" !

    PS : Concernant l'africain souffrant de malnutrition, Cheminot a déjà souligné à diverses reprises que la probabilité est extrêmement forte qu'en plus d'être mal nourri, il a surtout été exposé auparavant à des médicaments à base d'oxydants azotés, ce qui permettrait d'expliquer encore plus aisément pourquoi il a pu obtenir un test dit "VIH" positif (par identité de motifs avec les occidentaux séropositifs qui ont également été exposés à de tels agents oxydants).

    3) En définitive, dans les deux cas, la positivité au test dit "VIH" peut au mieux indiquer une propension éventuelle à développer ultérieurement des maladies spécifiques qualifiées de "sida". Mais le fait que les personnes testées positives développent éventuellement une telle propension ne prouve de nouveau en rien que cela soit le résultat d'une infection par un hypothétique rétrovirus "VIH".

  19. Un excellent article aux nombreuses références scientifiques, mais en anglais : http://hivskeptic.files.wordpress.com/2008...aldysbiosis.pdf.

    Il souligne fort bien l'association presque parfaite qui existe entre la progression vers le stade "sida" et la déplétion en probiotiques de l'organisme, en particulier dans les groupes dits à risque de "sida".

    L'auteur rappelle entre autres que certains probiotiques favorisent la production de glutathion et de sélénium et, corrélativement, la hausse des T4 (quoique l'on ait déjà souligné à de multiples reprises que la mesure des T4 constitue un bien mauvais marqueur de l'évolution vers le sida), en particulier les trois probiotiques suivants : "L. acidophilus", "Lactobacillus plantarum" et "L. casei".

    Je me suis alors demandé si le probiotique que je consomme chaque jour, à savoir celui-ci, comportait justement ces trois précieux probiotiques-là : et bien, oui, c'est justement le cas !

    Le seul reproche que je peux faire à cet article est que l'auteur paraît presque affirmer que la cause du "sida" serait la réduction du nombre des probiotiques dans l'intestin, alors que je dirais que la déplétion en probiotiques de l'organisme du séropositif et du sidéen est plutôt une conséquence de l'exposition de ceux-ci aux différents agents oxydants et autres facteurs (drogues, certaines pratiques sexuelles, etc...) favorisant la déplétion en glutathion de l'organisme (la diminution concomittante en probiotiques de l'organisme accélérant lui-même la baisse du niveau du glutathion).

    En conclusion, à ce stade-ci de mes lectures, je dirais qu'avant de devoir recourir en dernier ressort aux trithérapies "classiques" ou appelées à tort "antirétrovirales", la meilleure trithérapie naturelle sans effet secondaire (en tout cas, sans comparaison aucune avec les drogues "antirétrovirales") est la suivante :

    1) Probiotiques,

    2) Antioxydants, et en tout premier lieu la N-acétylcystéine et la vitamine C (cette dernière à forte dose, comme par exemple 5 à 6 grammes par jour au moins) (voir ce topic),

    3) et bien sûr, un régime riche en acides gras saturés et le plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés (voir ce topic).

  20. Un article a été publié aujourd'hui abordant entre autres l'apoptose !

    Ce qui me paraît frappant, ce sont les contorsions intellectuelles utilisées pour relier d'une façon ou d'une autre l'apoptose à une hypothétique infection par le "VIH" ... alors que l'explication des agents oxydants permet d'expliquer immédiatement cette apoptose (et forcément sans le "VIH" dont l'existence n'a jamais été prouvée) !

    La théorie du stress oxydatif explique déjà ce phénomène d'apoptose. Mais pour cause de dogme à respecter, l'orthodoxie publie depuis 25 ans des milliers d'articles pour tenter de prouver l'improuvable, à savoir que le "VIH" provoque l'apoptose d'une façon qui reste à trouver ! (LOL)

  21. Petite info :

    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=36919

    je ne sais pas ce que cela vaut , je l'ai lu tres rapidement .

    Encore une fois : nulle part dans cet article, on découvre la preuve de l'existence du "VIH".

    Tout ce qu'il y a, c'est comme d'habitude des cultures cellulaires et certains marqueurs sont interprétés - à tort - comme la preuve de l'infection par un mystérieux (et invisible) rétrovirus "VIH". Et chez les survivants à long terme, les chercheurs paraissent avoir trouvé une protéine spécifique dont ils présument forcément qu'ils protégeraient contre le "VIH" puisqu'ils ont déjà présumé que les personnes en question auraient été contaminés par un rétrovirus "VIH".

    En réalité, tout ce qu'on pourrait dire, à mon avis, c'est que chez certains survivants à long terme, on trouve des protéines que l'on ne retrouve peut-être pas chez ceux qui progressent vers le sida. Mais affirmer ensuite que cela protégerait contre un rétrovirus "VIH", c'est tout simplement aller bien vite en besogne. Encore une fois, on ne voit pas pourquoi cette découverte de protéine spécifique ne pourrait pas être analysée au regard de la théorie des agents oxydants.

    Par ailleurs, il ne s'agit là que de la 100.000ème découverte "fondamentale" (LOL !) faite en matière de "sida". Donc, autant n'avoir aucune espoir. D'ailleurs, cela me fait penser à cette autre protéine, une mutation du CCR5, dont l'orthodoxie du sida prétend depuis bien des années déjà qu'on la retrouve aussi chez les survivants à long terme et protégerait contre le "sida" ... alors que chez bon nombre de survivants à long terme, on ne trouve pas une telle mutation du CCR5 (lisez par exemple ce post).

    Bref, à mon avis, encore beaucoup de bruit pour rien !

  22. Dans ce topic, nous avons donc déjà souligné à diverses reprises et sur le plan biomoléculaire, les dangers incommensurables pour la santé des acides gras polyinsaturés ("PUFA" en anglais), dont tout particulièrement les oméga 6 qui favorisent et aggravent le phénomène inflammatoire, contrairement aux acides gras saturés.

    Nous avons également vu que les autres acides gras polyinsaturés que sont les oméga 3 ont à court terme un effet relativement positif car court-circuitant l'action des oméga 6. J'ai pourtant souligné à diverses reprises que la meilleure solution ne constitue pas à tenter maladroitement d'éteindre l'incendie causé par les oméga 6 en consommant cet autre poison que sont les oméga 3 mais bien en évitant de consommer des aliments comportant un peu plus qu'un petit montant d'acides gras polyinsaturés, que ce soit des oméga 6 ou des oméga 3.

    Car sur le moyen et le long terme, les oméga 3 favorisent encore plus que les oméga 6 le phénomène inflammatoire et l'oxydation.

    De nombreuses études l'ont clairement démontré à l'échelle biomoléculaire (et ce niveau-là me paraît le plus intéressant car les résultats sont clairs, démontrés et ne trompent pas, contrairement aux études épidémiologiques où tout et son contraire peuvent être soi-disant prouvés; et les nutritionnistes orthodoxes ne font que citer des études épidémiologiques, mais en revanche très rarement les études réalisées sur le plan biomoléculaire et qui vont justement à l'encontre de leurs prétendus conseils avisés).

    Par exemple, cette étude qui montre que l'huile de poisson (oméga 3) augmente les cytokines pro-inflammatoires et diminuent les cytokines ant-inflammatoires :

    In contrast, PUFAs act to inhibit production of Th1-type cytokines with little effect on Th2-type cytokines; n-3 PUFAs are particularly potent.
  23. tu dis" redeviennes négatif "  icon_confus.gif

    est ce possible? j ai jamais entendu parler de ça 4-spamafote.gif

    On a cité d'autres exemples dans la synthèse collective ---> Chapitre IV : Le SIDA est un syndrome toxique et nutritionnel, manifestement causé par le stress oxydatif ---> D) Conséquences ---> 1) La séropositivité est réversible et donc guérissable, du moins si on ne s'y prend pas trop tard.

    Il y encore un peu plus d'un an, un célèbre sportif anglais, Lee Evans, avait dû arrêter la compétition sportive parce qu'un test "VIH" l'avait déclaré séropositif. Dix ans plus tard (environ), le test "VIH" s'est révélé négatif.

    Personnellement, je ne pense absolument pas qu'il est facile de redevenir séronégatif. J'en connais énormément autour de moi et si un de ceux-ci était redevenu séronégatif, franchement, je le saurais. Et puis, n'oublions pas les témoignages de membres passés (ou encore présents) qui avaient apparemment adopté une vie "saine et équilibrée" mais qui étaient apparemment restés séropositifs, et qui finissent bien des années plus tard à faire des maladies spécifiques du "sida", genre pneumocystose ou toxoplasmose.

    Pour prendre mon cas personnel, cela fait maintenant trois ans (j'ai été déclaré séropositif en mars 2000) que je prends des antioxydants de façon méthodique et bientôt deux ans que j'ai cessé de m'exposer de façon systématique aux agents oxydants. Si mon taux de glutathion et mes T4 ont augmenté, et si ma charge dite "virale" a diminué, en revanche mes IgG (soit le nombre de mes anticorps) n'ont toujours pas diminué (en deux ans, ils sont passés de 2370 à 2376, donc cela n'a certes pas vraiment augmenté, ce qui est toujours ça de pris). Je ne vais donc pas perdre de temps à refaire un test "VIH". Je ne le referai que quand (en espérant que cela arrive un jour) ce taux sera revenu à un niveau "normal" (soit de mémoire, entre 700 et 1.500 environ). Mais je ne désespère absolument pas car comme le dit Jibrail et comme je l'avais déjà lu moi-même, la durée de vie des anticorps est extrêmement longue, en particulier en matière de sida où l'on constate souvent que le passage à la séronégativité, lorsqu'elle intervient, se produit généralement bien des années plus tard.

    Je pense qu'il faut faire la distinction entre les "faux positifs" et les "vrais positifs", étant précisé que dans aucun de ces deux groupes, un test positif signifie que l'on aurait été contaminé par un rétrovirus exogène "VIH".

    Je suis d'avis que dans le groupe appelé par l'orthodoxie du sida "faux positifs", le passage à la séronégativité peut intervenir rapidement, car ces cas positifs sont le plus souvent le résultat de facteurs tout à fait ponctuels (mauvaise réaction à un vaccin ou femme enceinte par exemple). Et je pense que ces cas de "faux positifs" sont en fait susceptibles d'être nombreux (et en ce sens, je peux rejoindre Aixur) mais passent le plus souvent inaperçus (les personnes en question ne savaient pas qu'ils étaient devenus séropositifs et puis séronégatifs) au motif qu'ils ne font pas partie des groupes considérés à risque et n'éprouvent donc pas le besoin de se faire tester.

    En revanche, dans le groupe considéré comme "vrais positifs", je pense que le passage à la séronégativité, à supposer qu'il soit encore possible (ce qui ne sera sans doute pas le cas de tout le monde), prendra en principe de très et très nombreuses années. Généralement, dans ce groupe-là, la séropositivité est le résultat d'une cause, non ponctuelle, mais bien profonde et il va sans dire que l'organisme humain aura besoin de nombreuses années pour s'en remettre (du moins, si l'organisme y arrive encore). Sans compter que dans le groupe des "vrais positifs", l'un des groupes majoritaires d'anticorps qui cause la séropositivité n'est rien d'autres que les autoanticorps, produits par son propre organisme entre autres par la destruction des cellules exposées aux agents oxydants. Or il semble bien que ces autoanticorps prennent des années et des années pour disparaître (entre autres, car produits par son propre organisme et non provenant de causes extérieures à l'organisme), à supposer que cela soit possible chez certains séropositifs, contrairement aux autres causes (extérieures à l'organisme) susceptibles de causer un test "VIH" positif (en fait chez les "vrais positifs", ils ont des tas d'anticorps contre des tas de choses, mais ils ont surtout pléthore d'autoanticorps; ce n'est donc pas un hasard si de nombreux dissidents précisent que le "sida" est en fait une maladie auto-immune).

    Personnellement, pour tenter d'hâter le passage à la séronégativité, j'ai décidé d'adopter un régime riche en acides gras saturés (surtout à chaînes courtes et moyennes) et extrêmement pauvre en acides gras polyinsaturés. L'avenir, que j'espère proche, me dira si j'ai bien fait ou non (et à première vue, il semble bien que oui vu que ma pseudo charge "virale" a fortement diminué [je n'étais plus qu'à 700 il y a quelques mois]).

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