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wallypat

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Messages posté(e)s par wallypat

  1. lol j ai meme l impressione que certains dissidents change de pseudos de temps en temps pour faire croire que l on fait de l audience......lol  .....histoire de mieux se faire reperer par LE POUVOIR non ??...a( haha paranoia !! ) aixur et wallypat par exemple.....c la meme personne non ??.....la realité est que , hormis les medecins à la retraite car ce que tu dis est vrai, nous dissidents on est vraiment pas des masses.......et avec la journée sainte sida, je prefere fermer ma gueule sur le sida dans la vie....c est trop dur de passer pour un illuminé....donc faut fermer sa gueule .....

    Merci pour le compliment Terry, mais non, je ne suis pas Aixur ! Même s'il est vrai que je partage pas mal de ces idées et théories.

    Tu peux te rassurer. Il y a bien un dissident de plus ici, et particulièrement motivé compte tenu de mon histoire personnelle (et j'en parlerai ultérieurement, quoique j'ai eu la chance de ne pas passer par les affres des drogues antivirales).

    Effectivement, on n'est pas des masses, mais on est toujours plus qu'il y a quelques années, et le nombre d'"adhérents" augmentent lentement mais sûrement.

    Et non, il ne faut surtout pas fermer sa gueule, car sinon, je n'aurais pas encore découvert la dissidence du sida. Si je l'ai découvert, c'est justement parce que sur le forum d'un site de rencontre gay, quelqu'un (qui s'affirmait chimiste de son métier) avait émis l'idée "saugrenue" que le virus du sida n'existait pas, et avait renvoyé entre autres au site www.sidasante.com. Evidemment, après deux messages de ce genre, le webmaster de ce site l'a censuré (pour cause d'"irresponsabilité") et le sujet n'a plus guère été abordé. Mais c'est justement parce qu'il n'a pas fermé sa gueule que j'ai découvert réellement la dissidence du sida.

    Conclusion : il ne faut surtout pas fermer sa gueule sur le sujet !

    Et oui, moi aussi, je déteste la journée sainte sida, mais bon, il faut bien s'en accommoder encore pour le moment.

    Pour le reste, j'ai lu ton long post antérieur. Je suis globalement d'accord sur les principes généraux, mais pas sur certains points particuliers (kaposi, les femmes hétéros qui prennent du poppers, etc...).

    Mais faute de temps, j'y répondrai un autre soir.

    A +

  2. aixur tu as ecris :

    Sinon, pour la dissidence, on est maintenant plusieurs milliers de part le monde. Plus rien ne peut l'arrêter. La médecine officielle du SIDA n'a rien à répondre aux dissidents. C'est foutu, terminé pour eux.

    lol car tu en connais beaucoup toi dans ton entourage reel et non pas informatique, des dissidents  ?.....des milliers ? lol tu reves ...l espoir fait vivre...l attente fait mourrir........

    foutu, terminé pour qui ?? moi aussi je me dis cela mais bon j y crois de moins en moins.......!

    Terry

    Il faut au contraire y croire de plus en plus. De plus en plus de scientifiques adhèrent aux théories dissidentes, tantôt ouvertement, tant de manière plus feutrée (mais une fois mis à la retraite, ils se mettent ouvertement à dire que les dissidents ont raison).

    Internet et le bouche à oreille sont de fantastiques moyens de propagation des théories dissidentes. Pas plus tard que tout à l'heure, j'ai réussi à piquer la curiosité d'un gay de 23 ans sur un site de rencontre et qui a été déclaré séropositif il y a deux ans. Je l'ai renvoyé sur un site hollandais et des sites anglais (car il parle hollandais et anglais, pas français), et il m'a recontacté le lendemain (soit ce soir) pour me poser des questions. Il était terriblement intrigué et va creuser la question.

    Il faut en fait considérer cela comme l'effet boule de neige, même s'il faut admettre que la boule de neige en question ne grandit pas de façon exponentielle. Mais il viendra un moment où cette boule de neige deviendra tellement grosse qu'elle roulera d'elle-même et emportera tout sur son passage.

    Il faut au contraire continuer sans relâche à faire connaître la dissidence du sida. Les efforts sont déjà payants à l'heure actuelle (j'en suis le parfait exemple) mais le seront encore plus dans les prochaines années.

    PATIENCE et TENACITE sont les deux maîtres mots qui permettront de vaincre les obstacles ! 3 - jedi.gif

  3. .....sauf le grand manitou qui bosse sur paris à l origine de la fameuse decouverte et qui un jour  s est dit : et si il y a avait un point en commun entre toutes ces pneumonies et ces fragilités capilaires ( kaposi ) ?.....oui pourquoi pas.....le probleme est que ces pneumonies existent toujours et pas que chez des gays toxicomanes........

    .......et puis en parlant cru, desolé de remettre cela sur le tapis : est ce que les gays seros sont les seuls à pratiquer la sodomie et le font ils tous ??....je reste persuadé que plus de femmes que d hommes dit passifs pratiquent ça.....si certains ont des references serieuses prouvant le contraire, il est bienvenu.....

    Terry.

    1) Concernant les "pneumonies", les fameuses pneunomies découvertes au début de l'épidémie du sida n'étaient pas des pneumonies comme les autres et étaient même carrément peu communes pour l'époque : il s'agissait uniquement de pneumonies bactériennes et fongiques (pneumocystis et candida), qu'en l'occurrence, on ne retrouvait que chez les gay et toxicomanes. Il est logique qu'à l'époque, les scientifiques ne se soient "intéressés" qu'aux gays et toxicomanes puisqu'eux seuls étaient touchés par ces pneumonies bien particulières.

    Ces pneumonies m'ont rien à voir avec les pneumonies de "Monsieur tout le monde".

    Idem d'ailleurs pour le sarcome de Kaposi qu'on ne retrouvait que les gays pratiquant la sodomie réceptive et surtout grands consommateurs de poppers. D'ailleurs, Gallo lui-même a admis (mais évidemment, la presse n'en n'a pas parlé) dans le courant des années 90 que le sarcome de Kaposi ne pouvait pas être causé par le "virus HIV" mais très probablement par la consommation de poppers sur un organisme déjà affaibli par d'autres pratiques.

    2) Effectivement, je présume que des "tas de" (enfin, façon de parler) femmes hétérosexuelles pratiquent la sodomie réceptive. Peut-être qu'elles sont même plus nombreuses que l'ensemble des gay réunis. Je n'ai pas de statistiques sur le sujet, et peu importe; tel n'est pas l'objet de ce forum. En revanche, je doute qu'il y ait vraiment beaucoup de femmes qui utilisent en plus du poppers, même épisodiquement, à cette fin, contrairement aux gays. Le poppers est un produit typiquement gay. A partir du moment où la prise de poppers doit être considéré comme un cofacteur (en plus de l'administration rectale du sperme) terriblement aggravant, voire même décisif pour certains dans l'apparition du sida déclaré, il n'est guère étonnant que les femmes hétérosexuelles, non toxicomanes, pratiquant la sodomie réceptive et ayant souffert d'un sida déclaré aient été particulièrement rarissimes en Europe Occidentale, du moins jusqu'à la "découverte" en 1987 de ce fameux "médicament" nommé AZT.

  4. Merci si vous pouvez m orienter.

    Nouga.

    Pour que tu puisse mieux comprendre le sujet, je t'invite à aller sur le site www.sidasante.com (un site qui est véritablement d'utilité publique, à mon sens !). Sur la page d'accueil, clique sur le verbo "Journalisme". Tu trouveras des articles de vulgarisation écrits par des journalistes et généralement à la portée de tous. Cela devrait te permettre de commencer à mieux comprendre le sujet.

    Ensuite, tu pourras lire les autres articles et mieux comprendre ce qui se dit sur le site. Et si à la suite de toutes ces lectures, tu as des questions complémentaires, n'hésite pas à les poser.

    Sinon, comme très bonne introduction sur le sujet, clique aussi liens suivants :$IDA ? La première maladie virtuelle de l'histoire ! , VIH - Artefact ou réalité et Réfutation de la Déclaration de Durban.

    Voilà, j'espère que cela aura pu t'aider.

  5. ......et malgre que cela existe depuis des milliards d années...des idiots sont capables d ecrire : le sperme est immunosuppresseur dans l anus et est cause de sida.....lol

    Cher Terry,

    Pour ma part, je trouverais dommage que tu quittes le forum. Tu dois au contraire continuer à venir. Le fait qu'il y ait de plus en plus d'"orthodoxes du sida" qui viennent ici combattre nos idées ..... avec du vent prouvent à suffisance que nos idées dérangent de plus en plus et font enfin du chemin. Si tu quittes le forum, ce serait une petite victoire pour eux; donc, ne leur fais pas ce plaisir.

    Pour revenir à la question de l'effet immunodépresseur de l'administration rectale du sperme dans l'anus, je ne crois pas qu'il y a lieu d'en douter vu les études qui semblent avoir été faites sur le sujet.

    En revanche, je ne crois pas que cela seul puisse causer le sida, bien entendu. Il ne peut à mon sens que s'agir d'un cofacteur. Mais l'administration rectale du sperme dans l'anus conjugué avec d'autres facteurs, tels que la prise de poppers, pourrait à mon sens constituer un mélange détonant de nature à fortement amoindrir le système immunitaire.

    D'ailleurs, les 100 premiers cas de sida sont survenus en 1981, chez des gays presque tous "passifs", et dont 97% consommaient à foison du poppers (et des tas d'autres drogues) . Quand on sait que le poppers s'est fortement démocratisé en 1976 aux USA, il n'est pas étonnant que les premiers cas de sida soient survenus en 1981, soit 5 ans plus tard. Bref, la prise de poppers a elle été le cofacteur décisif, me semble-t-il, non l'administration rectale du sperme qui à elle seule, ne peut, à mon avis qu'être considérée que comme un cofacteur non efficace par lui-même dans la survenue du sida.

    Et je sais de quoi je parle !

  6. Moi je pense surtout que dans les années 80 les professionnels de santé ont un peu paniqué face l'épidémie de sida et qu'on a prescrit le seul médicament qui semblait efficace à l'époque, l'azt, même si l'on s'est rendu compte qu'il avait de très importants effets secondaires, et que toutes les études nécessaires n'ont peut être pas été menées.

    Qui en est responsable?

    Selon moi pas le médecin qui a prescrit le médicament le plus efficace " en l'état actuel des connaissances scientifiques ".

    Le labo? Sans doute avait il des intérets financiers en jeu, mais bon je pense pas que ce soit par hasard qu'ils ont choisi l'azt comme traitement, il y a eu je pense des études cliniques préalables (sur l'efficacité, pas sur les effets à long terme).

    Le patient? Ben je pense que le patient on le force pas à prendre un traitement quand il a pas envie??! Alors d'accord le patient fait peut être confiance au médecin aveuglèment, mais si t'en as pris dix ans et que t'avais des effets secondaires énormes, fallait peut être poser des questions à ce moment là non?

    Pour ceux qui en 2005 (alors que depuis 1993 et l'essai Concorde, il ne faisait déjà plus aucun doute que l'AZT n'a absolument aucune utilité, que ce soit à long, moyen ou court terme) pensent encore que l'AZT a été un bienfait pour l'humanité, je ne peux que les inviter à lire les articles suivants, pour autant bien entendu qu'ils se donnent réellement la peine de les lire :L'AZT : médicament en quête d'une maladie,L'AZT est toxique, La toxicité de l'AZT , et Les causes chimiques des diverses épidémies de SIDA.

    Je ne crois effectivement pas que le médecin (du moins, pour la plupart) soit effectivement responsable. Il ne fait que délivrer une ordonnance pour un "médicament" dont "on" lui assure qu'il aurait quelque efficacité contre le SIDA. A moins d'être vraiment haut placé dans la hiérarchie scientifique et de faire des recherches sur le sujet, il ne s'interrogera guère sur le réel caractère "bienfaiteur" de ce médicament.

    Le labo pas responsable ? Laissez moi rire. La FDA a autorisé ce "médicament" sur base d'une seule étude, clairement bâclée et surtout frauduleuse. Ce sont justement les labos qui sont à la source même du système complètement pourri dans lequel nous vivons et qui font tout pour maintenant coûte que coûte le dogme du virus tueur. Cela fait des décennies que les entreprises pharmaceutiques ne poursuivent qu'un seul but : le fric. Les considérations de santé, c'est accessoire. Et bien sûr, cela continue avec toutes ses drogues "antivirales". On attend toujours une réelle étude en double aveugle sur chacune des drogues "antivirales" mises sur le marché. Pourquoi en matière de sida, ils ne font pas ce genre d'études, pourtant indispensables pour mesurer la véritable efficacité de ces "médicaments" ? Par "compassion" pour les malades, disent-ils ! On se fout de qui ?

    Le patient serait le responsable ? Alors là, c'est vraiment fort de café ! Vu les pressions médicales, familiales et sociales absolument gigantesques qui s'exercent sur le séropo, celui-ci est considéré comme irresponsable s'il n'avale pas son "cocktail thérapeutique", et avec le sourire et en disant merci en plus !

    En revanche, je serais d'accord de considérer que le patient est responsable si les idées "dissidentes" avaient été exposées en public et que la société les avait fait connaître avec autant de moyens et autant de zèle que pour faire la propagande de la capote. Alors là, au moins, le séropo aurait eu le choix, et aurait pu faire un choix en toute responsabilité et en pleine connaissance de cause. Mais ce choix ne lui a jamais été donné. Donc, sous-entendre que le malade est responsable de sa prise quotidienne d'AZT me semble particulièrement osé.

    Les labos sont en revanche les premiers responsables et le jour où l'absence de cause virale au sida sera enfin admis comme une absolue évidence (voire même un nouveau dogme ?!), il faudra s'attendre à une véritable descente en flammes des entreprises pharmaceutiques .... et de leurs chercheurs !

    Et j'ai la réelle impression que grâce à internet (entre autres), ce jour se rapproche de plus en plus, même si cela doit encore se compter en (quelques) années. Et ce jour-là sera assurément le plus beau de ma vie !

  7. STRATEGIE PROPOSEE POUR POPULARISER LES THESES DISSIDENTES A MOINDRES FRAIS  3 - jedi.gif

    Une stratégie complémentaire serait peut-être aussi de "convaincre" une ou plusieurs célibrités du show-business du bien-fondé des thèses et arguments des dissidents du sida ?!

    Eventuellement à la "retraite" pour éviter des répercussions éventuelles sur sa carrière ?

    Ou éventuellement une ou des stars "has been" mais souhaitant faire un come-back fracassant (la star n'aurait de toute façon plus rien à perdre : ce serait un coup de poker, quitte ou double !), par exemple dans la "Ferme Célébrités" ?

    Les messages des scientifiques dissidents ne parviennent pas à passer à la population en raison de la censure générale sur le sujet (hormis internet bien sûr).

    Il me semble qu'il serait possible de court-circuiter cette omerta de cette façon et le débat aurait enfin une chance d'être rapidement porté sur la place publique !

    Exemple : Une star invitée à une émission quelconque, de grande écoute, et qui profiterait - sans crier gare - de l'occasion pour placer son avis (de dissident) sur la question ! Ce serait l'antithèse même des réguliers coups d'éclat d'Act Up en vue d'obtenir plus de sous sous pour les drogues antivirales pour tous les séropos du monde (désolé, mais je les considère comme des meurtriers !).

    Bien sûr, cela suscitera un tollé général (mais c'est bien le but !) et bien sûr, des scientifiques défileront pour affirmer que ce sont des déclarations "à la con". Mais au moins, le débat sera lancé par un coup d'éclat et les possibilités de droit de réponse devraient permettre de ne plus étouffer le débat, et pourquoi pas, l'arrivée sur les plateaux télévisés, de scientifiques dissidents de haute volée qui prendront enfin leur revanche ? 4-bravo.gif

    Et pourquoi ne pas essayer avec le prochain "Sidaction" qui approche à grands pas, sauf erreur de ma part ? icon_biggrin.gif Ce serait une occasion véritablement tonitruante !

    Y a-t-il une star dans l'avion des dissidents ou pourrait-il y en avoir une prochainement ? icon_biggrin.gif

  8. Pour Nico111

    Ce taux de différence est bien sûr injustifiable quant on sait par exemple qu'au sein même de toute l'espèce humaine, le génome humain varie moins de ... 0,10%. Les chercheurs justifient cela en disant que le "virus HIV" mute. Soyons sérieux : n'importe quel rétrovérologiste sait que quand un virus quelconque mute, cela n'excède pas plus de quelques 0,1%. Alors que dire de 10%, et pire encore de 40% de mutation, sur en plus l'espace de quelques années

    Là c'est comme si tu de comparais les fautes d'orthographe faites lors de la dictée de Pivot entre un professeur de français et un enfant de 10 ans. La rétro transcriptase de HIV fait environ 5 à 10 erreurs par génome copié, sachant qu'un virus possède 2 ARN et que lors de l'amplification des génomes viraux ARN, la polymérase virale les réplique avec aussi un grand nombre d'erreur et en plus elle saute d'un ARN à l'autre lors de la synthèse. Si tu ajoutes qu'on estime qu'un miliards de virus sont produits par jour et cela sur plusieurs années, tu imagines le résultat.

    Ah, je m'exprime certainement mal et j'émets peut-être "des réflexions à la con", mais il faudra alors m'expliquer pourquoi j'ai déjà là lu à plusieurs reprises des déclarations de scientifiques de haute renommée et dissidents du sida affirmer de façon péremptoire que le génome du VIH n'est toujours pas décrypté et déterminé ! icon_confus.gif La dernière fois n'étant pas plus tard que lundi dernier.

    Je cite ci-après et textuellement le Docteur Etienne DE HARVEN(Docteur en médecine, professeur émérite d'anatomapathologie à l'Université de Toronto au Canada, auteur de la première description mondiale d'un rétrovirus et de son bourgeonnement à la surface de cellules infectées, ancien chercheur sur le marquage des antigènes à la surface des lymphocytes)et Jean-Claude Roussez (Les 10 plus gros mensonges sur Le sida , Editions Dangles, 2005, pp. 47-49) :

    "Depuis plus de deux décennies, des milliers de chercheurs tentent de décrypter le génome du prétendu "VIH". En vain ! Malgré l'arsenal technologique de pointe dont ils disposent, ils sont incapables de dresser sa carte génétique.

    Tout d'abord, personne n'est d'accord avec son voisin sur le nombre de gènes que contient le génome du virus. Certains disent qu'il y en a huit; d'autres en annoncent neuf; d'autres encore les estiment à dix.

    Ensuite, les tentatives de décodage des séquences du génome donnent des éléments tellement disparates qu'il ne se trouve pas deux laboratoires au monde pouvant présenter des résulats similaires.

    Selon une étude publiée en 1996, les différences constatées peuvent porter sur 40% du génome !

    Afin de démontrer l'énormité de ces différences, il faut signaler qu'entre toutes les races humaines dans leur diversité, le génome ne varie pas d'un pour mille. La variation génomique entre un homme et un primate n'est guère que de 2%. Entre un homme et un éléphant, cette différence est d'environ 30%.

    Il faut l'affirmer haut et fort : on n'a jamais trouvé deux génomes identiques au sein d'un même patient !

    De là à penser que les génomes en question ne sont pas ceux d'un virus mais proviennent de débris cellulaires divers et variés, il n'y a qu'un pas ... que se gardent bien de franchir les dizaines de milliers de scientifiques vivant du sida-business.

    Le lobby du sida viral en a décidé autrement et a préféré expliquer ces colossales différences par le fait que le virus n'en finissait pas de muter.

    Pourtant, les virologues le savent bien, lorsqu'un virus mute, le mutant ne diffère de l'original que dans une infime proportion.

    Peu importe ! Ils ont avalé cette couleuvre sans broncher.

    Et puisque l'on peut y aller dans l'exagération sans crainte d'être contredit, n'hésitons pas à annoncer des chiffres défiant toute logique : selon les chercheurs de l'Institut Pasteur, un patient asymptomatique (seulement détecté séropositif) peut héberger au moins un millions de variantes génétiquement distinctes du "VIH". Chez un patient à sida déclaré, ce chiffre peut atteindre cent millions de variantes !

    Hippocrate, réveille-toi, ils sont devenus fous !"

    Quand un curieux comme moi lit à diverses reprises ce genre de déclaration émanant de sommités en la matière, comment des scientifiques autorisés sur ce site peuvent affirmer que le génome du VIH est parfaitement connu et caractérisé, ..... à moins de faire preuve de l'outrecuidance d'affirmer que le Docteur Etienne De Harven serait donc un fieffé menteur faisant une déclaration à la con ? icon_tresfache.gifmorpheus.gif

  9. (Cheminot @ Jeudi 17 Novembre 2005, 00:11)

    la maladie, c'est la séropositivité.

    le point de non-retour...c'est le sida.

    Mais même quand on fait un "sida déclaré", j'entends par là, quand on souffre de l'une des 29 (ou peut-être plus ?) maladies caractéristiques du sida, on peut encore revenir en arrière (soit être "juste" séropositif), me semble-t-il, en soignant la maladie dont le "sidéen" souffre, et sans recourir aux drogues antivirales ?

    Bref, soigner la maladie comme s'il était séronégatif ... et bien sûr rechercher et remédier aux causes réelles de la maladie (drogues, etc...).

    Je pense que le stade du sida n'est certainement pas un point de non-retour. A moins que je t'ai mal compris ?

  10. La première procédure d'isolement, en 1983, a été ni faite ni à faire (même pas de purification). Et la seconde, en 1997, à plusieurs endroits, montre que le VIH n'est pas viral (entre autres, culture de controle donnant le même résultat qualitatif que la culture virale, ce qui signifie que les particules trouvées sont endogènes).[/i]

    Aurais-tu un nom d'auteur pour l'étude (les études?) de 97, ça me faciliterait la tâche...

    J'ai en tout cas trouvé deux articles qui en parlent ... et qui critiquent cette étude !

    Les liens sont ci-dessous :

    Commentaire sur l'interview avec Montagnier par Djamel Tahi.

    Une critique de l'évidence

    Voilà. Je crois que tu auras de quoi lire ! icon_biggrin.gif

  11. Et il existerait en tant que quoi alors, je suis curieux?  icon_confus.gif Parce qu'il existe hein, on a un génome, des protéines structurelles et fonctionnelles très bien caractérisées. Donc si c'est pas un virus, c'est quoi?

    Faut dire parce que j'ai une trentaine de collègues à l'étage du dessous qui riquent d'être très peinés d'aprendre qu'il travaillent depuis 20 ans sur un truc qui n'existe pas... ouf.gif

    Bonjour Cardel !

    Je suis particulièrement heureux que nous ayons sur ce site un opposant aux théories des dissidents. Pour autant que nous restions tous courtois, cela devrait nous permettre de mieux avancer dans le débat, et pourquoi pas, permettre aux théories (que je partage) des dissidents de sortir encore plus renforcées (à supposer bien entendu que cela soit encore nécessaire).

    Je ne suis pas biochimiste, donc, je ne suis certainement pas en mesure de disserter à armes égales avec toi sur le problème de l'isolement du "rétrovirus HIV". Ma conviction vient de plusieurs dizaines d'incohérences dans la théorie - en général - du virus tueur. Mais tel n'est pas l'objet du présent post puisque tu abordes essentiellement le problème de l'isolement du virus HIV. Donc, je me contenterai d'énumérer - de manière très succincte - certaines choses que j'ai lues sur le sujet de l'isolement, avec quelques liens.

    Donc, tu prétends que l'on a un génome du VIH très bien caractérisé. Or d'après ce que j'ai pu déjà lire sur le sujet, après 20 ans de recherches et des centaines de milliards de dollars dépensés en pure perte (sauf pour tous ceux qui vivent de la recherche sur le sida), les "chercheurs" (en réalité, il serait plus que temps que nous ayons des "trouveurs" 4-ptdrasrpt.gif ) ne sont toujours pas en mesure de dresser la carte génétique du HIV, entre autres pour ce qui concerne le nombre de gènes. Ils sont en outre strictement incapables de décoder les séquences du génome du HIV : en effet, chaque institut de recherche obtient des résultats différents. Et au sein d'un seul patient séropositif, on ne peut même pas trouver deux génomes identiques ! Et les différences de séquençage vont de 10 .... à 40 %.

    Ce taux de différence est bien sûr injustifiable quant on sait par exemple qu'au sein même de toute l'espèce humaine, le génome humain varie moins de ... 0,10%. Les chercheurs justifient cela en disant que le "virus HIV" mute. Soyons sérieux : n'importe quel rétrovérologiste sait que quand un virus quelconque mute, cela n'excède pas plus de quelques 0,1%. Alors que dire de 10%, et pire encore de 40% de mutation, sur en plus l'espace de quelques années ! C'est un peu comme si un scientifique faisait des recherches au départ sur une libellule et qu'ensuite, il travaille sur une baleine ... et qu'il prétend qu'il travaille sur le même objet scientifique ! Même pour un profane comme moi, c'est ridicule ! reflechi.gif

    Donc, dire que le génome du HIV est très bien caractérisé me semble constituer une affirmation pour le moins hasardeuse, si pas erronée (si je puis me permettre).

    Et à défaut de génome du HIV caratérisé, les protéines analysées par tes collègues peuvent être des tas de choses autres qu'un rétrovirus, me semble-t-il.

    En réalité, ta trentaine de collègues qui travaillent à l'étage du dessous et qui vivent du sida depuis 20 ans travaille effectivement sur quelque chose qui existe, mais pas sur un rétrovirus (à défaut d'isolement dans le sens scientifique du terme et tel que cela a toujours été fait .... jusqu'à l'invention HIV) ..... mais sur une multitude de débris cellulaires de source diverses et variée !

    N'est-il en outre pas symptomatique de constater que si on testait les sérums de manière habituelle au lieu de les diluer 400 fois, le monde entier serait déclaré séropositif au "virus du sida" ? (voir le lien suivant : Tout le monde est-il positif pour le VIH ?).

    N'est-ce pas un argument de plus (parmi tant d'autres, que mieux que moi, d'autres sur ce site pourront t'expliquer) pour considérer que ta trentaine de collègues travaillent sur des débris cellulaires endogènes, au mieux des rétrovirus endogènes fabriqués par l'individu lui-même (rien à voir bien entendu avec le "virus exogène HIV") ?

    Voilà, c'était quelques premières explications permettant de savoir sur quoi travaillent réellement des collègues. Mais je l'admets, je suis un profane, je me suis peut-être mal expliqué, ou pire encore, j'ai peut-être mal compris !

  12. Le changement de sérologie du patient reste, en effet, un complet mystère pour les médecins britanniques.

    Pour le Dr Patrick Dixon, de l'organisation spécialisée Acet, le cas est "très, très inhabituel".

    "J'ai entendu bien des anecdotes de ce genre en Afrique, a-t-il commenté sur la BBC, "certaines récemment, mais il est difficile de les vérifier. Celui-ci est le premier cas bien étayé".

    LONDRES (AFP) - Un Britannique, qui avait été déclaré séropositif il y a trois ans, serait la première personne au monde à avoir vaincu naturellement le virus du Sida, a rapporté dimanche l'hebdomadaire News of the World.

    Je ne comprends plus rien !

    Ils affirment dans cet article qu'il serait la première personne au monde à avoir "vaincu" le virus du sida.

    Quid des milliers d'autres qui seraient déjà passés du stade séropositif à séronégatif ? Sur le site www.sidasante.com, il est affirmé à plusieurs reprises qu'il y a déjà eu de nombreux cas pareils auparavant. De même, dans des conférences internationales antérieures sur le sida, il a été affirmé que l'on a discuté de nombreux cas de passage à séropositif à séronégatif.

    Alors pourquoi, diable, dit-on que c'est la premier cas au monde, semble-t-il ?

    Qui essaie de nous berner ? Les orthodoxes du sida ... ou les dissidents ? Je doute ... très fort maintenant ! albator7k.gif

    Merci de me remettre dans le droit chemin !

  13. icon_biggrin.gif

    J'espère que j'aurai le temps cette nuit de mettre sur papier cet avant-projet de plan d'action, tout en espérant que certains membres sur ce site s'y intéresseront et feront leurs commentaires (constructifs).

    STRATEGIE PROPOSEE POUR POPULARISER LES THESES DISSIDENTES A MOINDRES FRAIS 3 - jedi.gif

    Voici ci-dessous ce que je proposerais (mais je ne fais que lancer des propositions, à vous d'en trouver d'autres ou de les améliorer ! icon_ange.gif ) de prime abord pour tenter de faire avancer les choses.

    1) Création d'un comité d'action sur internet

    Et pourquoi pas sous l'égide de www.onnouscachetout.com ? 1-question.gif

    Il s'agirait d'un espace virtuel où ses membres discuteraient et coordonneraient les actions à exécuter, les résultats obtenus ... et se soutiendraient mutuellement !

    Il faudrait déjà commencer à lui donner un nom. Pourquoi pas par exemple "Comité des citoyens pour le droit à une information objective sur les véritables causes du sida et ses traitements appropriés" ? Bon, j'avoue, c'est la première appellation qui m'est venue en tête (je suis un peu fatigué icon_sommeil.gif , là, il est 4 heures du mat !).

    Il faudrait ensuite obtenir à tout le moins la caution morale de certains dissidents scientifiques autorisés établis en France et en Belgique (et il y en a quelques-uns), et disposés à donner des interviews à la radio, à la télé, dans la presse écrite générale (le cas échéant, par le biais d'un droit de réponse)... si enfin ces médias se mettaient à parler de ces thèses dissidentes.

    2) Identifier et contacter les avocats qui assureront la défense les séropos "meurtriers" dans les prochains (et visiblement assez nombreux)procès d'empoisonnement les concernant

    Tenter de faire un procès contre les entreprises pharmaceutiques me paraît très coûteux et aléatoire, du moins pour le moment. En revanche, une fois que les thèses dissidentes seront admises, les procès vont pleuvoir sans problèmes et il est à "craindre" que les cours de bourses de certaines entreprises pharmaceutiques connaîtront un krach brutal et que certaines devront se déclarer en faillite (il faudra s'attendre à des procès du même genre que ceux entamés aux USA contre les cigarettiers à l'heure actuelle).

    Comme l'a dit Cheminot dans un prédécent post, tout ou presque est verrouillé. Ce n'est pas du côté des "grands et puissants" qu'il faudra s'attendre à un changement quelconque (car évidemment, c'est un suicide pour eux; ils sont allés tellement loin dans l'absurde qu'ils ne peuvent plus faire machine arrière).

    Le seul but à rechercher est simplement de faire connaître au plus grande nombre possible l'existence de ces théories dissidentes, que malgré internet, beaucoup ignore. Une simple et unique lettre, signée par des membres de ce comité et contresignée par des dissidents scientifiques autorisés devrait suffir (ce n'est pas bien coûteux).

    La balle sera ensuite dans le camp de l'avocat de la défense qui sera enfin mis au courant de l'existence de ces thèses dissidentes. S'il est soucieux de défendre son client, il devrait au moins avancer cet argument, outre les arguments classiques généralement invoqués dans ce genre de procès (la responsabilité partagée, la "prise de risque" par la personne "injustement" "contaminée", etc..).

    Bref, notre rôle se limite à signaler l'existence de ces thèses dissidentes. Le coût et les aléas du procès, et bien, ce n'est pas vraiment notre problème. A la défense de jouer son rôle. Bien sûr, si la défense voulait faire témoigner des dissidents autorisés (en particulier ceux qui patronneraient ce comité ou à tout le moins donneraient leur caution morale), il serait assurément utile que ceux-ci témoignent justement. Et quelle que soit l'issue du procès (qui attirera de toute façon l'attention de la presse en général), le simple fait qu'on en ait parlé dans le procès est déjà une grande victoire en vue de faire connaître l'existence de ces théories dissidentes au plus grand nombre.

    3) Rédiger le modèle de lettre qui serait adressée à chacun des avocats qui assureront la défense des séropos cités en justice (lettre qui sera plus courte que le tract dont question ci-après

    Il faut bien entendu rédiger ensemble le modèle d'une telle lettre, laquelle aura surtout pour but d'attirer l'attention de l'avocat de la défense sur l'existence de thèses alternatives et plus convaincantes que celle du virus tueur, thèses qui bien sûr ont pour effet (même si ce n'était pas leurs but) de disculper la partie défenderesse, avec pourquoi pas un renvoi au site www.sidasante.com

    Il faudra au moins quelques semaines, voire quelques mois, pour se mettre d'accord sur le contenu de cette lettre. Et bien sûr, ce modèle de lettre devra être approuvé dans son intégralité par les dissidents qui cautionneront notre comité.

    4) Rédiger un modèle de tract ou petit prospectus à distribuer dans des endroits particulièrement bien ciblés pour être le plus efficace possible.

    Je crois que l'on peut encore faire mieux que compter sur les prochains procès qui impliqueront des séropositifs, à savoir faire connaître les thèses dissidentes au sein même de la population.

    Mais pas n'importe quelle population, sous peine de disperser nos efforts en vain !

    Le changement n'est pas prêt de venir des politiques, des scientifiques, etc...

    L'impulsion au changement ne pourra venir à mon sens que de la base, et d'ailleurs, pas de n'importe quelle base.

    Si la base bouge et modifie son comportement, le reste de la société devra forcément bouger. C'est ce que j'appellerais l'effet contaminateur.

    Et de qui le changement pourrait venir ? Essentiellement, ceux qui ont été déclarés séropos ou qui craignent de le devenir. Pour être efficace, c'est vers eux que l'information dissidente doit être dirigée en premier lieu et principalement.

    Et que cela nous plaise ou non, dans nos pays occidentaux, ceux qui courent le plus un tel risque, ce sont les hommes gay et les toxicomanes. Non pas que je veux ignorer les hétéros non bisexuels et/ou non toxicomanes, mais ceux-ci courent bien moins de "risques" d'être déclarés séropos. Donc autant diriger nos efforts et dépenser notre temps sur "Pour une nouvelle politique de prévention du sida chez les gay" (cela pourrait éventuellement être le titre même du tract ou petit prospectus). Car, ne l'oublions pas, à ma connaissance, ce sont les gays qui été les plus prompts à suivre sans vergogne et servilement les recommendations en la matière (à savoir, utiliser la capote 48 heures sur 24 vous protégera du sida) et par leur exemple, cette politique de "prévention" (qui, à mon avis, n'a en réalité qu'augmenter les cas de sida dans les pays occidentaux, faute de se concentrer sur les réelles cause du sida) s'est étendue à toutes les couches de la population. Pour inverser efficacement ce cercle vicieux et le plus rapidement possible, il convient à mon sens de s'adresser en premier lieu aux gay, lesquels, en ayant en connaissance ces théories dissidents, vont modifier leurs comportements, inversant ainsi le cercle vicieux que nous connaissons actuellement ... en un cercle vertueux qui contaminera progressivement le restant de la population. remarque : à mon avis, il ne sert à rien de distribuer de tels tracts auprès des toxicomanes purs et durs car sans vouloir faire preuve de préjugés, ils sont bien plus intéressés par la recherche de leur dose journalière que par quelque théorie dissidente !.

    En résumé, il serait de prime abord utile de s'atteler durant les prochains mois à rédiger un modèle de tract qui inciterait les gays à s'informer sur les thèses dissidentes (avec pourquoi pas un renvoi au site www.sidasante.com).

    Une fois ce tract rédigé (et bien sûr approuvé préalablement par les dissidents autorisant cautionnant notre comité), il conviendrait de les distribuer dans les lieux appropriés, à savoir les entrées des lieux de rencontres gay, tels que les bars, les saunas, etc... (je dirais plutôt les "sorties" des lieux de rencontres gay; en effet, ils seront à mon avis plus ouverts d'esprit lorsqu'ils auront quitté de tels lieux que lorsqu'ils y entreront ! icon_biggrin.gif ).

    Etant donné que c'est un fait que la moitié des gays séropos de France vivent à Paris, c'est à Paris même que la distribution de tels tracts devrait être effectuée en priorité pour toucher un maximum de gens concernés (en Belgique, ce serait donc plutôt Bruxelles, du moins pour la partie francophone du pays).

    Et qui sait, peut-être pourra-t-on pousser l'enhardissement jusqu'à distribuer de tels tracts devant les différents sièges d'Act Up, Aides, Positifs, etc...

    Par prudence, il écherrait de s'assurer préalablement que la distribution de tels tracts sur la voie publique (on ne pourra d'ailleurs pas faire autrement à mon sens) ne suscite pas des difficultés juridiques particulières, genre poursuite ? Je ne le pense pas quand je vois en rue des gens distribuer des tracts pour diverses causes. Et puis pensons également aux Témoins de Jéhovah qui font tous les jours du porte à porte pour populariser leur religion. Et la liberté d'expression, cela existe, non, même dans un état aussi fliqué que la France ?

    N'empêche, il serait prudent de s'en assurer préalablement.

    Evidemment, la distribution de tels tracts devrait se faire par petits groupes (au moins trois ou quatre personnes) pour se donner la force de procéder à de telles actions et surtout pour être en mesure de donner déjà des premières réponses aux questions qui seront posées par ceux à qui seront remis ces petits prospectus d'information (bien sûr, il faudra s'attendre aussi dans un premier temps à un certain nombre de réaction de rejet, d'où l'utilité également d'être en groupe).

    Tous ces propositions me semblent peu coûteuses et parfaitement réalisables ... pour autant que nous nous en donnons le temps ... et surtout la volonté !

    Il ne s'agit bien entendu que de propositions. Ne me lapidez pas. Mais je crois être le premier à suggérer ici des mesures concrètes. Donc forcément, elles seront imparfaites. A vous de les améliorer ou d'en suggérer d'autres.

    PS : Comme je l'ai signalé dans mon premier post sur ce site, je n'aurai normalement plus accès à internet (pour cause de déménagement assez chaotique) de début novembre à mi-décembre. Mais il n'est bien entendu pas nécessaire de m'attendre pour que quelques-uns se proposent de commencer à rédiger l'un des deux modèles de lettre et de tract suggérés ci-dessus ! Cela prendra déjà quelques mois, à mon avis ! icon_razz.gif

  14. En revanche, dans des litiges entre particuliers, la cause me paraît moins désespérée.

    Le problème est justement qu'il ne s'agit pas de litiges entre particuliers ou tout au moins pas au fond ... car l'une des parties a, de façon consciente ou non, un lobbying derrière elle ...

    Maître Verges me paraît tout indiqué ... s'il parvient à distraire quelques instants de sa défence de Saddam ...

    Je ne crois pas qu'il y a lieu d'être aussi fataliste. Je pense que tu as sans doute raison en partie, mais si on se dit à l'avance que la cause est perdue parce que tous les juges seraient carriéristes ou parce que Me Vergès serait trop occupé avec la défense de Saddam, évidemment, les choses ne sont pas prêts de bouger.

    Comme je l'ai dit, l'important est d'en parler ... ailleurs qu'ici !

    Le simple fait que l'avocat de la défense (pas besoin de Vergès pour cela; au contraire, même, je dirais, vu sa réputation sulfureuse) invoque comme argument (parmi d'autres) que son client n'a pu empoisonner la plaignante au motif que le HIV n'est nullement un poison est déjà une grande victoire en soit, et de nature à populariser les idées dissidentes, ... grâce justement aux lobbies dont tu mentionnes l'existence. Certes, ces mêmes lobbies affirmeront que les thèses des dissidents ne vaudraient rien, ... mais au moins le débat sera lancé ... sur la place publique. Et vu l'attention que la presse portera à ce genre de dossier, on en parlera justement ailleurs qu'ici, ce qui me paraît constituer un grand pas en avant.

    Et quand bien même le juge est carriériste, il devra bien se prononcer sur la question, que ce soit négativement ou non, faute de quoi il se rendrait coupable de déni de justice. Et quand bien même il se prononcerait négativement (pour éviter que cela porte atteinte à sa carrière future), au moins, ... on en parlera, sans compter les possibilités de recours par la victime auprès des juridictions supérieures.

    En réalité, cette nuit m'a porté conseil, et je pense avoir élaboré un début d'un plan d'action en faveur de la propagation des thèses et arguments des dissidents et d'en favoriser la publicité à moindres frais et de la façon la plus efficace possible. Cela demandera essentiellement "juste" un peu de temps de la part des partisans des dissidents.

    J'espère que j'aurai le temps cette nuit de mettre sur papier cet avant-projet de plan d'action, tout en espérant que certains membres sur ce site s'y intéresseront et feront leurs commentaires (constructifs).

    A +

  15. icon_confus.gif

    Tu nous dis que tu es juriste. Vois tu se dessiner une stratégie qui à terme puisse permettre de dénoncer ce scandale?

    Je suis juste juriste d'entreprise spécialisé en droit civil immobilier. Donc, pas grand chose à voir avec des procès pénaux ou en matière de responsabilité civile.

    Mais comme le disait Cheminot dans un précédent post, tout semble de plus en plus verrouillé sur le sujet. Et au fil des lectures que j'ai déjà pu faire sur le sujet, la situation est "bloquée" depuis la fin des années 80 et le début des années 90. Car dès le début des années 90, pas mal de chercheurs appelaient déjà de tous leurs voeux à une réévaluation de l'hypothèse du virus tueur. Mais jusqu'il y a quelques années, aucune publicité n'était faite en faveur de ces théories et surtout arguments dissidents. Seul une minorité - quoique croissante - de chercheurs s'interrogeaient davantage sur la question.

    .... Jusqu'à la popularisation d'internet. Car je suis persuadé que c'est grâce à internet que depuis quelques années, ces théories dissidents commencent à se faire - très - lentement connaître du public. C'est déjà ça, mais je crains qu'à ce rythme là, il faudra encore attendre 15 ou 20 ans avant que les choses ne changent réellement malgré tout. L'hypothèse du virus tueur est en effet devenu un dogme et par nature, rien n'est plus malaisé que de remettre en question un dogme.

    Alors que faire ? Surtout quand on constate que tout ce qui compte ou presque dans la société (politique, entreprises pharmaceutiques, chercheurs, associations - bien pensantes - de "lutte" contre le sida, la presse en général et la presse en particulier, etc...) fait front contre toute thèse contraire ? C'est assez désespérant ! : 5-tss.gif

    Que peut-on faire pour tenter de changer les choses ?

    1) Il ne faut certainement pas compter sur le pouvoir législatif. Aux dernières nouvelles, vos députés et autres sénateurs s'intéressent uniquement à la meilleure façon de criminaliser les rapports "non protégés" des séropos. Cela implique forcément qu'ils sont convaincus que le sida est sexuellement transmissible.

    2) Votre gouvernement ? Etant donné qu'il s'agit d'une émanation de votre pouvoir législatif, il ne faut pas s'attendre à un changement quelconque de leur part.

    3) Le pouvoir judiciaire ?

    C'est en ce pouvoir que j'ai encore - un peu - foi. Certes, un intervenant se demandait dans quelle mesure un juge et/ou un avocat pourraient prendre le risque d'accorder quelque crédit aux thèses dissidentes. Je ne suis toutefois pas aussi pessimiste. En Belgique, en tout cas, les juges sont nommés à vie et inamovibles, et ce pour garantir leur indépendance (entre autres d'esprit) face aux autres pouvoirs que sont les pouvoirs législatifs et exécutifs (dont on sait qu'il n'y a visiblement pas grand chose à attendre). En d'autres termes, quand bien même il rendrait une décision de justice qui n'aurait pas l'heur de plaire aux orthodoxes du sida, il ne perdrait pas sa place (emploi garanti à vie en fait), il serait toujours juge et toujours payé. La seule sanction immédiate est qu'il ne devra pas espérer une promotion quelconque, assurément (quoique s'il prend le risque de prendre une décision favorable aux dissidents et qu'ultérieurement, leurs thèses soient ultérieurement généralement admises, ce seront ceux-là mêmes qui auront le plus chance d'obtenir une promotion, genre devenir conseiller dans une cour d'appel).

    Evidemment, si on tombe sur un juge un tant soit peu carriériste, soucieux de "progresser", il ne faudra pas trop compter sur lui. Mais si on tombe sur un juge content de sa situation, peut-être aura-t-on un peu plus de chances?! icon_bravo.gif

    Je ne crois toutefois pas qu'une attaque frontale permettra d'arriver à quelque chose car il s'agira de s'attaquer de front aux puissants tels que les entreprises pharmaceutiques.

    En revanche, dans des litiges entre particuliers, la cause me paraît moins désespérée. Prenons par exemple ces prochains procès où ces femmes déclarées séropositives vont tenter d'engager la responsabilité civile et/ou pénale de leur mari ou compagnon, qui les aurait empoisonnées.

    A mon sens, rien ne devrait empêcher un avocat (pourquoi pas avide de publicité, s'il est nécessaire de jouer sur son ego pour qu'il se bouge, pourquoi pas) d'invoquer les arguments des dissidents comme l'une des stratégies de défense (et d'ailleurs, refaire un test HIV sur le présumé contaminateur ne devrait pas être superflu, en particulier s'il est exclusivement hétéro et non toxicomane, car à mon avis, les chances qu'il soit redevenu séroneg ne sont pas si nulles que ça; mais ces avocats y pensent-ils, alors qu'ils ont toujours entendu que d'après la théorie en vigueur, quand on est séropo, c'est à vie ?), parmi d'autres stratégies de défense bien sûr. Et pourquoi ne demanderait-il pas à certains éminents dissidents spécialistes, demeurant en France, de témoigner ? Certes, le juge demandera des contre-expertises de la part des orthodoxes du sida. Et ce sera l'empoignade ! troconneuse.gif Peut-être arrivera-t-on par ce biais-là à enfin obtenir ce fameux débat où des personnes indépendantes analyseront de façon la plus objective possible les arguments des uns et des autres, débat que les dissidents appellent de leur voeu depuis des années déjà et qui n'a toujours pas été tenu.

    Car le doute, en tout cas sur le plan pénal, doit toujours profiter au prévenu.

    Sans doute, en premier degré de jugement, il ne faudra pas se faire beaucoup d'illusions. Reste que le séropo pourra toujours faire appel, et tomber alors sur des juges qui seront forcément moins soucieux de leurs possibilités d'avancement car siégeant déjà dans un haut degré de juridiction, et peut-être un peu plus indépendants d'esprit ?

    Certes, il ne faut pas trop espérer des juges mais au moins, déjà soulever la question, c'est déjà attirer l'attention du public car la presse sera alors forcément amenée à parler - enfin ouvertement - de la question dans les journaux, ce qui sera déjà une première en soi ! Et quand bien même leurs articles seraient plutôt moqueurs, il y aura, me semble-t-il, une possibilité de faire avancer les choses par le biais du droit de réponse. Donc, pour moi, au point où nous en sommes actuellement, tout publicité des thèses dissidentes est bonne à prendre, quand bien même elle ne sera pas forcément en leur faveur. Mais à ce stade-ci, le plus important ... c'est qu'on en parle, me semble-t-il.

    4) Indépendamment des possibilités - limitées mais réelles au moins - que pourrait offrir ces prochains procès, je crois que le mieux à faire est d'agir sur les principaux concernés, à savoir ceux qui sont déclarés séropos. Car il ne faudra pas trop compter sur le reste de la population, celle-ci ne sentant guère concernée.

    A partir du moment où davantage de séropos suivront les thèses dissidentes, avec les résultats "positifs" (sans vouloir faire de jeux de mots bien sûr ! _biglol.gif ), le reste de la société devra bien suivre, de gré ou de force.

    Donc, outre les possibilités offertes par le pouvoir judiciaire, permettre aux séropos d'accéder aux informations dissidentes est à mon sens la meilleure façon de procéder pour tenter de faire bouger les choses. Si ce verrou saute, le reste suivra naturellement.

    Mais faire sauter ce verrou n'est pas chose aisée !

    J'en parle à des amis gay, mais ce sont des réactions d'incompréhension que j'obtiens.... Quoiqu'à force de persuasion, je commence enfin à obtenir des résultats, en ce sens que certains, toujours dubitatifs, veulent malgré tout se renseigner, comme quoi le bouche à oreille peut être efficace, quoique très lentement. Mais il s'agit généralement de ceux qui sont asymptomatiques et qui n'ont jamais recouru à tous les "médicaments" mis à leur disposition. Car une fois qu'ils y ont touché, dans leur esprit, impossible ou presque de revenir en arrière, ce que je comprends parfaitement.

    En y réfléchissant davantage, je pense que ce verrou pourrait sauter chez tous les séropos s'il était possible de "s'emparer" des associations qui les soutiennent, genre Act Up, Aides, etc... Car si ces associations pouvaient enfin tenir un autre discours, grâce à l'effet d'entraînement, tous les couches de la population, en commençant par les séropos, seraient progressivement "contaminés" par les idées dissidentes, et ce malgré les pressions des médecins.

    Donc, à ce stade-ci de la réflexion, trois idées pour tenter de faire avancer la cause :

    a) Les prochains procès en France impliquant les séropos "meurtriers", car toute publicité des thèses dissidentes, même négative au départ, est bonne à prendre (l'important, c'est qu'on en parle, et pas uniquement sur certains sites ésotériques sur internet ! icon_lol.gif );

    b) Le bouche à oreille en particulier auprès des séropos;

    c) Prendre le pouvoir 3 - jedi.gif ne fût ce que chez certaines associations de défense des séropos (pour ne pas être hypocrite, chez ceux faisant le promotion zélée et bien servile de l'usage de la capote pour lutter contre le sida). Si ceux-ci tiennent un autre discours, un cercle vertueux se mettra enfin en place.

    Mais je reconnais qu'à ce stade-ci de la réflexion, je me demande comment réaliser le point c) (qui me semble le plus efficace).

    Peut-être plutôt en créant une association concurrente ? icon_confus.gif Mais avec quels fonds ? Et comment cette association procéderait ? Par la distribution de tracts (particulièrement bien rédigés et donnant au moins l'envie de s'interroger et de s'informer) aux entrées des lieux gay ? Car la liberté d'expression empêche qu'on s'y oppose, en particulier lorsque davantage de scientifiques de renom (dont des prix Nobel) y adhèrent publiquement !

    Voilà, c'était quelques pistes de réflexion !

    Mais si on pouvait agir 4-guerrier.gif , voilà qui serait bien mieux ! 4-bravo.gif

  16. "The Human development report 2005" du PNUD fixe les nouveaux taux de prévalence HIV ...

    Ne perdons pas de vue qu'outre le fait qu'être déclaré séropositif ne veut strictement rien dire (un peu comme si on me disait qu'untel a les cheveux blonds et untel les cheveux noirs), ces chiffres ne sont en aucune façon fiables, du moins en dehors des pays dits "occidentaux".

    Il faut en effet savoir que dans les pays dits "sous-développés", ces taux sont obtenus par le biais de calculs mathématiques non fiables et extrapolés à l'ensemble de la population du pays ... et ce sur base uniquement (ou presque) des test HIV des femmes qui vont à la maternité pour accoucher !!! Et quand on sait en outre que le fait d'être enceinte, est justement l'une des 70 circonstances qui peut amener à un test HIV positif alors qu'en réalité la future mère en question n'a aucun anticorps contre le si mal nommé HIV...

    On peut donc vraiment se demander quelle est la réelle utilité de ces (pseudos) statistiques ... hormis susciter la peur et perpétuer le mythe du virus tueur ! icon_tresfache.gif

  17. C'est déjà arrivé en Allemagne, et Stefan Lanka était venu en personne comme témoin. Mais j'ai l'impression que tout est de plus en plus verrouillé...

    Faut-il pourtant perdre espoir ? 3 - snifff.gif

    Grâce à internet, j'ai pris connaissance de ces théories dissidentes .... vieilles de 20 ans. N'empêche, sans internet, j'en serais encore à croire au mythe du virus. Mais il faut bien le reconnaître, les gens à qui j'en parle me traitent généralement de meurtrier et d'inconscient ! Il y a encore énormément de choses à faire pour "conscientiser" les gens. Je dirais même plus : presque tout reste à faire ! Le bouche à oreille a des limites.

    Tout cela pour dire que peu de gens sont au courant de ces thèses, en ce compris les défenseurs des séropos qui seront prochainement jugés.

    A ma connaissance, il n'y a eu qu'un seul procès en France sur le sujet. C'est celui dont on a tant parlé au début de cette année. Mais d'autres arriveraient sous peu, et ce sous l'impulsion de l'association "Femmes positives", semble-t-il.

    Peut-être y aurait-il moyen de retrouver l'identité et l'adresse des différents avocats qui seront chargés d'assurer la défense des séropos et de leur adresser une brève lettre leur signalant à tout le moins l'existence de ces thèses dissidentes pourtant très sérieuses ? En effet, fort peu doivent être actuellement au courant de ces thèses car comme tu le dis si bien, tout paraît verrouillé.

    Mais je pense que plus on tâchera de faire connaître ces thèses, quelle que soit la façon, plus on y accordera de l'attention. Car le changement, à mon sens, ne pourra pas venir des chercheurs en général (ils sont justement les mieux à même à perpétuer le mythe de par leurs "connaissances") mais bien de ceux qui en sont les premières victimes, à savoir les séropos eux-mêmes, et en particulier ceux qui n'en sont pas au stade des trithérapies (car une fois qu'on y a touché, il faut un "courage" insensé pour y renoncer vu les pressions de toutes sortes qui s'exercent sur eux : le monde médical, la famille, la société, les associations de tout acabit vivant de la promotion de l'usage de la capote, et j'en passe bien d'autres).

    De Belgique, je vois forcément cela de très loin. Mais pour des personnes vivant en France, peut-être sera-t-il plus aisé de retrouver les coordonnées de ces avocats ?

    Je m'excuse si je peux paraître aussi prosélyte mais j'avoue être terriblement en colère lorsque pas plus tard que quelques jours, j'entends au jounal parlé des inepties du genre : "La pauvreté en Afrique ! Un fléau oublié et qui pourtant s'aggrave d'années en années. A quoi cela est-il dû ? Entre autres, en raison de la propagation du sida" (sic !) icon_tresfache.gif

    Bref, les choses doivent changer icon_rocket.gif3 - jedi.gif Si quelqu'un veut émettre des suggestions pour faire avancer les choses, je suis toute ouïe ! icon_biggrin.gif

  18. Question à Cheminot....

    Comment expliques-tu les résultats de l' étude ci-dessous dans l'hypothése du stress oxydatif?

      Sida. Selon une étude, cette pratique réduirait la contamination.

    VIH: risques circonscrits pour les circoncis

    Par Eric FAVEREAU

    jeudi 07 juillet 2005 (Liberation - 06:00)

    Depuis dix ans, on le savait, mais de manière indirecte. Ainsi avait-on pu constater que, dans les grandes villes africaines où les hommes sont majoritairement circoncis, ces derniers sont moins touchés par le virus du sida. Comme si cette pratique avait un effet protecteur. Une étude menée conjointement par une équipe de chercheurs français et d'Afrique du Sud (1), qui doit être présentée à la fin du mois au congrès mondial du sida à Rio, le démontre de façon plus explicite. etc...

    source

    Bnjour à tout le monde ! icon_biggrin.gif

    Je lis depuis trois mois l'ensemble de vos contributions (et je suis fort loin d'avoir fini de toutes les lire d'ailleurs icon_cry.gif ), outre bien sûr le site www.sidasante.com (où là il me faudra certainement plus d'un an pour lire l'ensemble des articles icon_cry.gif ).

    Depuis que j'ai découvert avec stupéfaction les théories "dissidentes", soit il y a quatre mois, autant le dire, c'est devenu mon dada. D'abord réticent, je dois reconnaître que maintenant j'y adhère à 200% et je m'emplois à essayer dans la mesure de mes faibles moyens (je ne suis pas un scientifique, biologiste, biochimique, médecin, etc..., mais un "simple" juriste) à résoudre les questions icon_confus.gif que je me pose encore sur le sujet. En fait, il y en aura toujours, mais de moins en moins, enfin je crois !

    Bref, sur la question de la circoncision qui "protégerait" contre la "contamination" au VIH, peut-être ai-je quelque chose d'intéressant à dire. Dès lors, je prends la plume pour la première fois sur ce site (merci d'être indulgent, car cela me semble terriblement compliqué d'utiliser toutes les fonctionnalités de ce site .... par ailleurs formidable ! 4-bravo.gif; une question d'habitude, je présume icon_confus.gif ).

    En effet, de manière récurrente, j'ai lu des articles qui avançaient l'idée que la circoncision protégerait contre le sida dans une assez forte mesure, à telle enseigne que les "associations de défense du sida" _biglol.gif tâchent de la promouvoir en Afrique, à défaut de pouvoir généraliser l'usage de ce si "indispensable" préservatif !? reflechi.gif

    J'ai donc été fort surpris icon_eek.gif quand j'ai lu la réponse de Cheminot que je respecte éminemment (j'ai lu ton article sur la Lamivudine et le Sida; bien sûr, je suis loin d'avoir tout compris, mais je suis convaincu) et dans laquelle il précise que des études contraires démontrerait que la circoncision favoriserait justement la "contamination" au "virus du sida". Je ne doute pas un seul instant de la source citée, mais j'ai été vraiment ébahi car c'était bien la première fois que je lisais une opinion contraire.

    N'empêche, je m'étais posé la question à plusieurs reprises : Pourquoi la circoncision protégerait de la "contamination" au "virus HIV" ?

    Premièrement, j'estime que cette question est purement théorique (un peu comme discuter du sexe des anges) puique nous savons tous depuis longtemps que les test HIV sont arbitraires, imprécis, bref, sont inutiles et ne sont d'aucune utilité avec les manifestations du sida; tout au plus, pourrait-on considérer selon certains dissidents que cela pourrait permettre de détecter une baisse de l'immunité (bien entendu parfaitement réversible). Oserais-je peut-être dire que la seule réelle utilité des test HIV serait de les mettre en parallèle sur le plan de l'immunité avec les tests de cholestérol pour prévoir d'éventuels maladies cardiovasculaires dans le futur ? Mais de toute façon, rien à voir avec la condamnation à mort que ces tests impliquent encore aujourd'hui.

    Deuxième, la question est peut-être théorique mais pour la beauté - éventuelle - reflechi.gif du raisonnemment, pourquoi les hommes circoncis seraient moins souvent séropositifs que les ceux qui le sont ?

    J'ai cherché, cherché, et je n'ai pas trouvé d'explication jusqu'à ce que je me dise ceci. En effet, le prépuce est considéré comme un formidable réservoir de virus et de bactéries, ce que n'ont justement pas les hommes circoncis. Donc, je me dis : les hommes non circoncis sont plus facilement susceptibles de développer une multitude d'infections et d'anticorps contre ces bactéries et virus "protégés" par le prépuce. Et qui dit davantage d'infections et d'anticorps à répétition, dit naturellement risque plus élevé que les tests HIV se révèlent positifs !? Voilà qui pourrait expliquer, à mon humble avis, pourquoi selon certaines études, les hommes circoncis seraient moins susceptibles d'être déclarés séropositifs (à un rétrovirus inexistant ou à tout le moins inoffensif et sans réel rapport direct avec le sida).

    Qu'en pensez-vous ?

    Sous l'angle du stress oxydatif, on dira tout simplement que davantage d'infections à répétition entraîne forcément un plus grand stress oxydatif et donc un risque plus grand de sida.

    Pour le reste, j'aimerais bien faire avancer la cause des dissidents, et ce pour le bien de tous.

    Mais comment faire ?

    J'avais pensé à une idée loufoque mais qui, si elle aboutissait, aurait un retentissement international. Pourquoi ne pas proposer au Comité des Prix Nobel d'attribuer un prix aux dissidents, et ce sur la foi de leurs nombreuses études ? Je sais, c'est utopique, mais l'a-t-on déjà suggéré ?

    Sinon, j'avais pensé à autre chose, beaucoup plus réaliste, me semble-t-il.

    J'ai en effet lu qu'en France, pas mal de procès vont être entamés contre des séropos qui auraient contaminé leur compagnon ou compagne (entre autre l'Association "Femmes positives", je crois).

    Pourquoi ne pas suggérer aux avocats de ces malheureux séropos d'avancer comme arguments de défense ... les théories dites dissidentes ? J'ai peine à croire que parmi tous ces juges, il n'y en aura pas un seul ouvert d'esprit.

    Imaginez un peu la publicité que cela fera si un juge acquitte un séropo au moins sous le bénéfice du doute ! 4-bravo.gificon_bravo.gif

    Et quand bien même aucun juge n'adhérerait (à tort) aux thèses dissidentes, au moins ces idées se feront un peu mieux connaître ! malice.gif

    Bon, je laisse le forum ... en espérant que ce message soit posté au bon endroit ! 5-nonnonnon.gif

    Sinon, ne vous étonnez pas si je ne donne pas de suite à mes messages car pour le moment, ma vie privée est un tel désordre que je n'entrevois le calme ... qu'à la mi-décembre 2005. D'ailleurs, je n'aurai plus accès à internet de début novembre à mi-décembre pour cause de déménagement.

    BUT I WILL BE BACK ! icon_biggrin.gif

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