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wallypat

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Messages posté(e)s par wallypat

  1. POur le génome du VIH, ses gènes sont caractérisés et il me semble codent toujours pour les mêmes protéines malgrè les changements de séquences. Je ne me souvient pas avoir vu des HIV avec 8, 9 ou 10 gènes différents, faudrait que je relise le chapitre VIH !

    Alors que je suis en train de travailler sur une réfutation globale en français de cet article, en commençant par l'analyse de cet article qui la réfute sur trois points uniquement, mais des points absolument fondamentaux, je suis tombé sur un passage qui précise très clairement qu'il n'y a pas de consensus sur le nombre de gènes que comporte le pseudo VIH : tantôt 10, tantôt 8, tantôt 9. Je reproduis ci-dessous ce passage (en anglais), mais je ne résiste pas au plaisir de reproduire également les considérations qui suivent et dont il ressort (mais je l'admets, je suis un profane sur de tels points) que franchement, il n'y a vraiment pas grand chose de clair avec ce génome du pseudo "VIH".

    Voici le passage en question :

    In 1990 the HIV genome was said to consist of ten genes. This year Montagnier reported that HIV possesses eight genes and according to Barré-Sinoussi, HIV has nine genes. Neither is there constancy of the number of nucleotides in the "HIV genome". Also, to date, only 11 full length "HIV genomes" have been sequenced and accordingly, HIV genotype consignments are derived from sequence analysis of subgenomes measuring 2% to 30% of the total. The data is that such "genomes" vary between 3-40%. (If 30% of the HIV genome varies as much as 40%, how much does 100% of the HIV genome vary? In the HIV Western blot, how can an HIV producing one set of proteins detect antibodies that are produced in response to the set of all other disparate "HIV genomes"? When does "HIV" become some other entity?). Thus, not only are there no two HIV genomes of the same length or nucleotide composition, there is no single genetic entity "HIV DNA" to describe the myriads of "HIV genomes". It is also estimated that patients contain between one and one hundred million distinct HIV DNAs at the one time. Neither is it correct to encompass such DNAs under the umbrella of a quasispecies of "closely related genomes". (Papadopulos-Eleopulos, 1996).

    Peut-être que cela relancera le débat entre ceux qui sur ce site maîtrisent ce sujet bien précis ?

  2. Juste pour dire que baroudeur2005 et moi-même avons décidé de traduire l'article suivant car il réfute les trois contre-arguments principaux figurant dans l'article suivant, très souvent invoqué par les orthodoxes du sida pour apparemment contrer les arguments de la dissidence du sida. Et si Aixur est d'accord, qu'il soit ensuite publié sur le site de sidasante.com

    Mais ne rêvons pas : cela va durer de nombreux mois, vu le peu de temps libre dont nous disposons !

    Etant donné que nous sommes pas très familiarisés avec les termes médicaux ou scientifiques anglais en général, ce serait bien si certains sur ce site, qui jonglent avec ces termes (Cheminot par exemple ? Ou d'autres bien sûr ?), pouvaient ensuite relire la première version que nous établirons. Ce serait en quelque sorte un travail collectif.

    Dans un second temps, on essaierait ensuite d'élaborer un texte structuré en français énumérant de façon synthétique des réfutations aux autres contre-arguments si complaisamment invoqués dans ce document par les tenants de l'orthodoxie du sida, avec bien sûr renvoi à des textes déjà existant sur le sujet (mais en anglais).

    Autant dire que ce sera un travail de longue haleine, mais nous sommes particulièrement motivés ! icon_biggrin.gif

    Le combat continue donc ! 3 - jedi.gif

    PS : Et finalement, pour mon contradicteur de départ (cf mon premier post dans ce topic-ci), je vais lui suggérer de venir se joindre à nous sur ce forum pour que nous puissions débattre tous ensemble et dans la sérénité (SVP) de ces arguments.

  3. Je suis nouveau sur ce forum... Tout d'abord bonne année à tous...

    Je me suis intéressé de plus près à ce sujet grâce à wallypat et son annonce sur un site gay... Force est de constater que le message passe lentement mais sûrement...

    Sois le bienvenu sur ce site, Baroudeur2005 ! icon_biggrin.gif

    Et que ton arrivée puisse être considérée comme un encouragement pour nous tous ! 4-bravo.gif

  4. Je retourne voir le medecin et la il me prescrit un antibiotique "de choc" (rocéphine je crois), en intra musculaire, 2 fois par jour pendant 1 semaine (a 180f le flacon, encore heureux on a une bone mutuelle!).

    "Rocéphine".

    Effectivement, c'est très probablement cela. J'ai moi-même eu droit à ce traitement (mais là, c'était une fois par jour pendant 40 minutes et 14 jours d'affilée) il y a un an et demi, mon médecin étant persuadé que j'étais au stade de la syphilis tertiaire (en fait, il ne m'a l'a jamais dit, mais d'après ce que j'ai lu sur le sujet, c'est bien ce "traitement" qu'on administre quand on aurait atteint le stade de la syphilis dite tertiaire).

    Sauf que je me portais comme un charme, que je n'ai jamais eu le moindre symptôme apparent et que deux scanners au cerveau et une ponction lombaire n'ont pas révélé la moindre "irrégularité" dans mon organisme. Et que suite à ce traitement, je me suis senti assez mal (envie de vomir, grande fatigue, ...) pendant trois semaines. Et quand j'ai vu la facture après intervention de la mutuelle, j'en ai eu l'appétit coupé : 500 EUR à ma charge.

    A la suite de ce "traitement", j'ai décidé de ne plus me faire suivre sur ce point (ainsi que sur d'autres IST qu'on m'aurait découvertes et dont je n'ai pourtant JAMAIS souffert ou eu le moindre symptôme, du moins apparent).

    Raison pour laquelle j'ai proposé ce topic bien particulier car de par mon expérience personnelle, je suis persuadé qu'on pourrait être un porteur sain de ce que finalement j'ai bien tendance à appeler une PSEUDO IST.

  5. "Au niveau des 51 pays de la région Europe de l'OMS, le taux de nouveaux diagnostics d'infections à VIH est stable dans les pays d'Europe de l'Ouest (..............) et du Centre (....................................) mais est en pleine explosion dans les pays d'Europe de l'est (349 cas par million d'habitants) du fait de l'épidémie de toxicomanie intraveineuse dans ces pays ."

    Quoiqu'on s'éloigne assez fortement du sujet de ce topic, effectivement, le mot "toxicomanie" confirme bien entendu l'hypothèse du stress oxydatif ou de manière générale l'origine chimique de la séropositivité.

    Ceci étant, il est évident que les orthodoxes du sida n'interprètent pas du tout cette étude de cette façon-là puisqu'ils ont bien pris soin de spécifier toxicomanie "intraveineuse" ! Ce qui n'est rien d'autre qu'une façon de faire concorder coûte que coûte cette étude avec le dogme du virus tueur puisqu'ils diront que la séropositivité n'a pas de cause chimique mais est bien dû à la transmission du "rétrovirus" par le sang puisque seules les drogues injectables sont prises en considération. Il aurait pourtant été très intéressant de voir quel est également le comportement de ces séropos vis-à-vis des drogues non injectables.

    Encore un exemple patent de la mauvaise foi et du peu d'esprit critique des pontes de l'orthodoxie du sida !

    (J'arrête ici car sinon, on s'éloignerait définitivement du sujet de départ).

  6. Une bonne année 2006 à tout le monde ! 4-bisou.gif

    Et espérons tous que cette année ou, à défaut, les toutes prochaines, connaissent un véritable coup d'accélérateur dans la diffusion en France de la cause dissidente du sida ! icon_jump.gif

    Tous ensemble, en faisant preuve de patience et de persévérité, nous vaincrons le côté obscur de la force orthodoxe du sida, je le pressens au fond de moi ! 3 - jedi.gif

    Bon courage à tous ! 4-guerrier.gif

    Wallypat (ou Wally pour les intimes).

  7. Commençons d'abord par d'assez bonnes nouvelles pour la "cause" de la dissidence.

    En effet, comme je l'ai déjà dit à plusieurs reprises, je ne rate aucune occasion (ou presque) pour faire connaître la dissidence du sida. En l'occurrence, comme je suis sur plusieurs sites de rencontres gay, dès que c'est possible, j'attire entre autres l'attention des mecs qui veulent me rencontrer sur l'existence de cette dissidence du sida. Bien sûr, on me traite souvent de fou dangereux mais cela ne les a encore jamais empêchés de vouloir me rencontrer ... pour des fins .... disons plus basiques (lol). Et j'en profite, si la situation s'y prête, pour les relancer sur le sujet. Force est de constater qu'avec les mois, je reçois de moins en moins de volées de bois vert. D'autant plus que je ne force personne à y croire mais les invite à sérieusement analyser les arguments et autres réfutations avancées par les dissidents du sida. Je les exhorte à se faire leur propre opinion et à me recontacter pour me poser des questions. Et certains me recontactent effectivement, intrigués et très intéressés.

    Mais hier soir, un pas supplémentaire a été franchi, et j'avoue en avoir éprouvé une très grande satisfaction, lorsqu'un mec que je n'avais jamais contacté de ma vie m'a contacté de sa propre initiative pour obtenir des infos complémentaires sur le sujet. En l'espèce, il s'avère qu'il avait été informé de l'existence de la dissidence du sida par un autre mec à qui j'en avais parlé et qui m'avait traité d'aliéné mental. Evidemment, il a cru bien faire en en parlant au mec (qui m'a finalement contacté de sa propre initiative), mais il se fait que ce mec, séronégatif, a quand même été assez curieux et a pris la peine d'examiner les sites que j'avais recommandés à celui qui m'avait traité d'aliéné mental. Et dommage pour ce dernier, il s'avère que celui qui m'a contacté, après avoir analysé le sujet pendant plus d'un mois est maintenant convaincu de la pertinence des arguments avancés par la dissidence du sida. A tel point qu'il m'a contacté pour me remercier indirectement, pour me poser des questions sur le sujet et aussi pour signaler qu'il n'allait pas hésiter à en parler à son entourage (il en a déjà parlé à deux amis séropositifs, le premier séropo depuis un an et sans "traitement" pour le moment, le second, séropo depuis 15 ans et sous "traitement" depuis 4 ans). Et je l'ai d'ailleurs invité à s'inscrire sur ce site dès que possible afin qu'il pose à plus compétent que moi des questions sur le sujet.

    Tout ça pour dire que même quand on est injurié lorsqu'on parle de la dissidence du sida, les efforts ne sont pas vains pour autant et se révèlent payants. Et cela m'incite bien entendu à continuer de plus belle.

    Venons au sujet de ce topic. J'ai beaucoup hésité à créer un topic spécifique mais j'ai finalement préféré ne pas l'insérer dans le topic général "Le HIV ne causerait pas le sida" car je tiens absolument à ce qu'on reste dans les limites de ce topic-ci, à savoir contrer les "arguments" qui m'ont été avancés ce soir par un orthodoxe du sida. Je crains en effet qu'en l'insérant dans le topic précité, l'attention des intervenants se disperse sur d'autres points, aussi intéressants soient-ils, mais qui s'éloigneraient trop du sujet principal, à savoir réfuter spécifiquement les arguments qui m'ont été avancés et qui seront exposés ci-dessous. Au besoin, le webmaster, s'il juge ce topic intéressant pour la synthèse générale, pourra toujours créer un lien vers ce topic-ci.

    Bon, que s'est-t-il passé ?

    Hier soir, j'ai répondu à un questionnaire sur le baromètre gay et les usages homos et bisexuels d'internet. Le lecteur gay dissident intéressé trouvera ce questionnaire en cliquant ici.

    Après avoir rempli ce questionnaire, ce fut plus fort que moi, je n'ai pas pu m'empêcher d'envoyer un message (que je reproduis ci-dessous) pour faire part de ma colère car ce test supposait que c'est une absolue évidence que le pseudo VIH cause le sida.

    Entre parenthèse, pour éviter que ce coup de gueule soit considéré comme un cas isolé mais bien comme correspondant à l'opinion d'une minorité (aussi petite soit-elle), je me permettrais de suggérer que les lecteurs dissidents gay répondent également à ce test et en tout état de cause, envoient un mail aux organisateurs de ce test pour leur faire de leur opinion dissidente. En effet, à compter du moment où plusieurs personnes pouvaient éventuellement réagir de la même façon que moi, à moins qu'ils fassent preuve de malhonnêteté intellectuelle, ils seront bien obligés d'en parler un peu dans les conclusions de ce sondage. Certes, la publicité qui en sera faite sera évidemment mauvaise (style : ce sont des fous dangereux), mais vu qu'en France, on n'est vraiment pas beaucoup pour le moment, je me plais à penser que toute publicité, même mauvaise, est bonne à prendre ! (cf ci-dessus la personne qui m'a contacté hier soir).

    Ci-dessous, mon coup de gueule. J'avoue que j'ai fait un peu fort sur certains points, mais cela a été efficace, car j'ai obtenu ce soir, et avec un certain étonnement, une réponse plus ou moins argumentée que je reproduis également ci-dessous.

    Mon coup de gueule donc :

    Cher Monsieur;

    Je viens de répondre à votre questionnaire.

    Je tenais à vous faire part de mon profond ahurissement à la lecture des questions posées. Il est en effet incroyable qu'aujourd'hui, en 2006, on puisse encore croire que le sida soit causé par un (rétro)virus qu'on n'a toujours pas pu isoler selon les trois postulats de Koch (seule méthode permettant de garantir qu'un virus est réellement pathogène) et dont aucune étude scientifique n'a encore pu démontrer à ce jour qu'il attaque in vivo les fameux T4 de l'organisme, et ce malgré des centaines de milliards de dollars gaspillés (presque) en vain pendant pendant 25 ans.

    Il serait plus que temps que vous analysiez sérieusement la question de la causalité de ce (pseudo) virus dans la survenance du sida déclaré. Vous trouverez toutes les informations utiles sur le sujet sur internet et entre autres (mais c'est bien loin d'être une liste exhaustive) sur :

    - www.sidasante.com (et entre autres les liens suivants : http://www.sidasante...rences_sida.htm, http://www.sidasante.../refutation.htm, http://www.sidasante.../bioscience.htm, http://www.sidasante...ence/dtlmep.htm, http://www.sidasante...pour_le_VIH.htm, http://www.sidasante...e_de_betise.htm, http://www.sidasante...asrationnel.htm, http://www.sidasante...e/repmbeki.htm)

    - http://perso.wanadoo..._powerpoint.htm

    - http://www.healtoron...m/nih/main.html

    - http://www.virusmyth.net/aids/

    - http://www.aliveandwell.org/

    - http://www.aras.ab.ca/rethinkers.htm

    - http://www.altheal.o...city/aztbiz.htm

    - http://www.aras.ab.ca/haart.html

    - http://www.altheal.org/

    Vous auriez tort de croire qu'il ne s'agit là que d'une bande d'illuminés semant le chaos autour d'eux. Il y a parmi ces "illuminés" plus de 2.000 docteurs ès sciences qui s'interrogent publiquement sur l'existence de ce rétrovirus et à supposer que celui-ci existe, quod non, sur sa causalité dans la survenance du sida. Il est regrettable que la presse refuse de diffuser leurs opinions (particulièrement bien étayées), ce qui permettrait réellement aux gens de se faire leur opinion sur le sujet, plutôt que de la leur imposer. Heureusement qu'internet existe et permet enfin de diffuser ces informations.

    Plutôt que de faire des questionnaires, il faudrait d'abord s'assurer que le sida est réellement causé par un virus !

    Or la propagande pour le moins éhontée en faveur de l'usage de la capote en vue de la prévention du sida ..... ne fait que propager l'épidémie au lieu de l'endiguer puisque cette propagande ignore délibérément les causes réelles du sida : à savoir les drogues récréationnelles, chimiques (tels que les drogues dites "antivirales") et la malnutrition (en Afrique), en résumé le stress oxydatif. S'il ne fait aucun doute que la capote protège contre les IST en général, l'affirmation que celle-ci protégérait contre le sida donne à ses utilisateurs une bien fausse impression de sécurité et ne les protège en aucune façon contre le sida.

    Si après avoir lu (entre autres) les articles cités ci-dessus, vous persistez à croire que le pseudo VIH cause le sida, plutôt que de faire des sondages, il convient tout d'abord de réfuter réellement la multitude d'arguments avancés par ceux qu'on qualifie de "dissidents" du sida.

    En tout état de cause, pour ma part, je continuerai à faire connaître par tous les moyens les thèses et les arguments des dissidents du sida aussi longtemps qu'il ne m'aura pas été clairement démontré que leurs affirmations sont fausses. Et je suis encouragé dans cette voie vu le nombre de personnes que j'ai réussi à intriguer, dont certains séropositifs qui ont même abandonné leur "traitement" ... avec grand succès (et après avoir définitivement abandonné leurs pratiques de nature à causer le sida, soit en Occident, essentiellement les drogues récréationnelles). Et la tendance va - heureusement - en s'accentuant.

    Comme vous l'aurez constaté, je n'ai répondu à votre questionnaire (certes sincèrement) que pour vous adresser le présent mail.

    Je vous prie d'agréer, Cher Monsieur, l'expression de ma considération très distinguée.

    Ci-dessous, la réponse que j'ai reçue :

    Bonjour,

    Malgré ce que vous vous plaisez à croire, nous avons en général que trop bien connaissance de ces sites.

    Je vous invite donc à nous montrer votre bonne foi en consultant en retour "http://www.tac.org.z.../debunking.htm" avec autant de recul que celui que vous nous imposez.

    Pour information, et car certaines informations sont difficiles à entendre de la bouche d'occidentaux bien à l'abris et repus dans leur maison:

    - Paludisme : 1 million de morts par an en Afrique (2005)

    - Tuberculose : 3 million de morts par an en Afrique (2005)

    - Sida : 1 million de morts en Afrique (1992).

    - Sida : 2.5 millions de morts en Afrique (2001).

    - Sida : 3 millions de morts en Afrique (2003).

    - Sida : 2.5 millions de morts (2005)

    .... Comment expliquez vous ces chiffres? si ce n'est pas les modèles de courbes de contaminations et de mortalité des bassins de populations contaminées!

    Et la tuberculose aussi? est elle due à une nevrose psychotique ?

    Pourquoi de nombreux séropositifs vivent sainement, sans fumer, ayant toujours fait du sport et heureux de vivre! .. ont ils pour certains développé le sida? Ont ils développé une nevrose inconsciente bien récente que seul un psychanalyste pourrait vaincre? Vous rendez vous compte que vos théories ne sont pour le coup.. que des théories? Vos propagandistes sont de bons rhétoriciens, mais certainement pas de bon humanistes et scientifiques.. 2000 docteurs ès sciences vous suivent.. parmis les milliers voir millions de docteurs ès science, cela reste peu. De nombreux docteurs ès science ont menés une grande population dans les chambres à gaz vous rappelez vous? J'aimerais un jour qu'ils aient tous, ces 2000, l'audace de signer ce qu'ils prétendent en y apposant les études qu'ils ont menées (pas écoutées et re-distribuées) afin de parvenir à leur conclusions.

    Le nihilisme est une tâche facile, mener des études sérieuses concretement de ses propres mains en est une autre. Avant de démonter celles des autres, menez les votres.

    Je vous invite à vivre le débat déjà mené cette année entre votre église et celle que vous combattez :

    http://www.tac.org.z...ents/modise.htm

    http://www.tac.org.z...s31_01_2005.htm

    http://www.nypress.c...mns/bergman.cfm

    http://www.hivstopsw...e&c=chad&id=137

    "Judge takes on S.Africa's AIDS 'denialists'" http://www.aegis.com...5/RE050502.html

    Bref... les gens qui en meure encore vous excecre. Désolé d'être si fort. Mais récemment un de mes amis a été sauvé d'une mort annoncée par utilisation d'une nouvelle molécule(TMC114) combattant le HIV, basée sur des études liées à l'existence du HIV. Il était mort, aujourd'hui il vit. Vos efforts l'auraient enterré.

    Je ne vous pas remercie pour cela.

    Pensez aux autres. Au delà des idées. La politique fait parfois des morts.

    En temps normal, je ne perdrai pas mon temps à répondre. Mais ici, cela en vaut réellement la peine, et ceci pour deux raisons.

    Premièrement, il a pris la peine de répondre par des arguments, quoique certains me semblent quelque peu risibles.

    Deuxièmement et surtout, l'auteur de la réponse a contrairement à moi (je l'admets, mais bon, la tâche est plus facile pour lui puisqu'il fait partie - pour le moment - de l'orthodoxie du sida) eu le courage de signer de son propre nom. Le secret que je qualifierais presque de professionnel m'empêche définitivement de dire de qui il s'agit. Mais en l'occurrence, je le connais assez bien pour avoir déjà débattu à plusieurs reprises du sujet (sans trop d'injures, ce qui est assez exceptionnel) avec lui il y a quelques semaines et quelques mois dans d'autres lieux et d'autres circonstances. Cette personne est non seulement bourrée de qualité ... et très intelligente ! Il a à ma connaissance pour seul défaut de ne pas avoir encore eu le courage d'ouvrir son esprit. Par ailleurs, si je souhaite lui répondre, c'est aussi parce que je sais que c'est une personne très influente, très écoutée et suivie dans certains "milieux" et que quand il dit quelque chose, on l'écoute et on le croit (sauf quelques uns comme moi bien sûr). Je peux vous assurer que s'il était possible de susciter dans son esprit un doute raisonnable dans son esprit, un verrou assez important sautera et permettra sans aucun doute possible que la dissidence du sida puisse se propager plus rapidement (ou du moins lentement) en France.

    De prime abord, la tâche pourrait s'avérer difficile. Mais il n'a absolument rien d'un "Candide" sur ce site (dont je loue - dans une certaine mesure - les interventions sur ce topic car cela a permis visiblement aux dissidents de mieux agencer et développer leurs arguments, du moins jusqu'à la page 63 du topic à laquelle je suis actuellement arrivé) et je suis convaincu qu'après quelques mois d'échanges de mail argumentés, il est bien possible qu'il se rallie à la cause de la dissidence du sida ou du moins, leur laissera le bénéfice du plus grand doute. J'en veux pour preuve que lorsque j'ai eu l'occasion d'aborder le sujet avec lui en d'autres circonstances, il ne s'est jamais fermé au sujet mais a au contraire toujours contre-argumenté (parfois d'une manière un peu philosophique). Et c'est plutôt moi qui ai négligé les occasions de le réfuter (surtout parce que j'étais trop occupé à lire les articles de sidasante.com !). Mais là, je ne veux pas rater cette occasion. Il ne fait aucun doute qu'il répondra à ma future réponse.

    Et d'ailleurs, j'ai toujours trouvé ces interventions intéressantes et dans ma future réponse, je l'inviterai à se joindre à ce forum pour qu'il nous fasse part de ses "lumières".

    Pourquoi faire appel à vous tous ?

    Je me sens tout à fait capable de réfuter ces arguments, sauf que cela va me prendre un temps considérable (je le connais assez bien pour pouvoir affirmer qu'il sera nécessaire de réfuter chacune de ses moindres assertions ainsi que les différents "arguments" invoqués sur les sites qu'il m'invite à consulter, mais ce travail de réfutation en vaudra réellement la peine) et que sans aide extérieure, les arguments que j'avancerai ne seront certainement pas tous très pertinents.

    Je ne demande pas à ce qu'on fasse le travail à ma place, loin de là d'ailleurs, mais si tout un chacun pouvait apporter sa petite contribution avec mes futures propres réflexions et aussi des références à des sites et des articles, je ne refuserai certainement pas cette aide !

    Et pour prouver que cette réfutation collective ne sera pas vaine, je me propose de rédiger ultérieurement (mais dès que possible) sur ce topic-ci un projet de réponse en fonction des arguments qui seront avancés par les différents intervenants sur ce site. Projet qui pourra bien entendu être modifié en fonction de vos remarques. Et je ne manquerai pas de vous faire part régulièrement de ses réponses ultérieures ..... car pour le connaître quelque peu, il répondra. Il est en effet impossible qu'il ne réponde pas car en s'abstenant de répondre, il admettrait qu'il perdrait la face. Et compte tenu de sa position, c'est absolument impossible pour lui ..... sauf à admettre finalement que la dissidence du sida est dans la vérité. Et je pense qu'il est tout à fait apte à l'admettre ..... mais au bout d'assez nombreuses réfutations à ses arguments.

    Je dois avouer que cet échange de correspondance avec ce tenant de l'orthodoxie du sida est actuellement devenu ma top priorité car il ne fait aucun doute dans mon esprit que cela sera fortement susceptible de faire avancer la cause de la dissidence du sida, du moins en France.

    JE VOUS REMERCIE VIVEMENT D'AVANCE POUR VOS AVIS, REMARQUES ET AUTRES SUGGESTIONS (en ce compris pour ce qui concerne les arguments avancés sur les sites auquels il se réfère) ! 4-bisou.gif

    PS : Ne vous étonnez pas si dans un premier temps je n'interviens pas très souvent ou même très peu sur ce topic que je viens de créer, mais c'est justement parce que je serai trop occupé à rédiger à une réfutation sensée à ces arguments. Mais je me manquerai certainement pas de consulter chaque jour les éventuels avis qui seront faits par des intervenants. Il va par ailleurs de soi que je préciserai dans ma future réponse que celle-ci est le résultat d'une "oeuvre" collégiale des intervenants sur ce site.

    PS : Je vous remercie également d'avance de bien vouloir rester dans les limites de ce topic-ci (à savoir, "réfuter" les arguments invoqués), et ce afin de me faciliter quelque peu la rédaction ultérieure de la réponse.

    ENCORE UN TRES GRAND MERCI D'AVANCE ! icon_biggrin.gif

  8. je me permet de souligner que les tests ne mettent pas en évidence la présence de virus H.I.V , mais celle d'anticorps nommés  (arbitrairement d'aprés moi )  "anticorps anti-hiv"  !

    Donc le resultat est " positif " aux tests d'anticorps . icon_smile.gif

    Mais, Gosseyn, je suis tout à fait d'accord ! Sans doute me suis-je mal exprimé. Je voulais dire que l'acoolisme doit probablement induire un fort stress oxydatif de nature à fortement augmenter ces fameux anticorps (à tort supposés spécifiques au pseudo VIH), augmentation tellement élevée que le test "HIV" devient positif.

    Mais je suppose qu'il y a eu chez cette personne d'autres cofacteurs (non révélés dans cet article) qui ont permis de rendre le test "HIV" positif, faute de quoi, presque tous les alcooliques seraient séropositifs, ce qui n'est certainement pas le cas.

    Merci à Aixur pour sa réponse. En résumé, ta réponse est donc :

    - Pour le choléra et la fièvre typhoïde : la bactérie incriminée a chaque fois été clairement identifiée et peut se reproduire (les deux premiers postulats de Koch sont de prime abord respectés) mais on ne peut toujours pas démontrer que celle-ci peut causer la maladie en question chez la personne à qui on injecte ladite bactérie; alors que dans le "VIH", on ne l'a même pas identifié ni même, partant, prouvé qu'il pouvait se reproduire.

    - Quand à l'hépatite C : là aussi, en fait, le "virus" soi-disant responsable n'a pas été isolé et nombre de scientifiques mettent en doute que le "virus de l'hépatite C" puisse causer la maladie (ce que je pensais également, puisque j'ai déjà lu à diverses reprises que ceux qui souffrent de cette maladie sont presque toujours un peu trop penchés sur la boisson, toxicomanes ou sous drogues antivirales [d'ailleurs, pour ce dernier cas, à savoir drogues antivirales, je me demande dans quelle mesure ces drogues antivirales ne sont pas elles-mêmes de nature à rendre le test de l'hépatite C positif; mais on s'éloigne du sujet, là]).

  9. Autre sujet de réflexion.

    De nombreux dissidents sur ce site affirment de façon péremptoire (à l'exception de Cheminot sauf erreur de ma part, et si j'en oublie d'autres, je les prie de bien vouloir m'excuser) que les séropos sous drogues antivirales doivent les arrêter immédiatement. Je partage cette opinion puisqu'ils semblent que dans la majorité des cas et pour autant que les séropos adoptent une "hygiène de vie" adéquate, ils s'en sortent très bien.

    N'empêche, comme je crois que Cheminot l'a dit dans un précédent post, ce conseil n'est pas à donner à la légère puisque dans certains cas, les séropos ayant arrêté leurs drogues antivirales se portent en réalité encore bien plus mal et les infections opportunistes reprennent au galop. Ce que je pense en effet également.

    En effet, que penser du cas suivant que je tire du site www.catie.ca ?

    Date d'affichage : 10/25/2005

    Des médecins d'Harvard sonnent l'alerte devant les complications fatales d'une interruption de traitement

    En dépit du pouvoir de suppression de la production du VIH et d'augmentation du compte de CD4+ des multithérapies antirétrovirales hautement actives (HAART), il arrive que les médecins doivent interrompre temporairement le traitement des PVVIH (personnes vivant avec le VIH/sida), et ce, pour les raisons suivantes :

    - permettre à l'organisme de récupérer de la toxicité des médicaments

    laisser un répit aux PVVIH qui prennent des médicaments chaque jour depuis des années

    - permettre aux PVVIH de participer à des études cliniques sur les interruptions thérapeutiques

    Dans la majorité des cas, une interruption de traitement n'entraîne pas une réapparition soudaine des symptômes. Toutefois, une faible proportion des PVVIH développera des symptômes similaires à ceux observés à l'installation de l'infection par le VIH. Ceux-ci peuvent inclure :

    - fièvre

    - frissons

    - maux de gorge

    - tuméfaction des ganglions lymphatiques

    - douleurs musculaires

    - douleurs articulaires et aux os

    - éruptions cutanées

    - maux de tête

    - fatigue

    - nausées

    - vomissements

    - diarrhée

    - sueurs nocturnes

    - ulcères dans la bouche

    Dans de rares cas, ces symptômes peuvent exiger l'hospitalisation du patient.

    Les médecins de l'École de médecine Harvard ont rédigé un rapport sommaire sur les conséquences fatales d'une interruption thérapeutique contrôlée, lequel paraîtra dans le numéro électronique du 1er novembre 2005 de la revue Clinical Infectious Diseases.

    Antécédents médicaux

    En 1998, le patient étudié avait consulté suite à une perte de poids involontaire. Les analyses sanguines faites dans le cadre des examens visant à déterminer la cause de cet amaigrissement ont révélé la séropositivité du patient. Le patient était alors âgé de 44 ans et sa numération de CD4+ était de 20 cellules. Les médecins lui ont alors prescrit l'association suivante de médicaments anti-VIH :

    - AZT (zidovudine, Retrovir)

    - 3TC (lamivudine, Epivir)

    - indinavir (Crixivan)

    Selon les médecins, le patient suivait le traitement avec difficulté et son alcoolisme compromettait son observance encore davantage, empêchant son système immunitaire de lutter contre l'infection par le VIH.

    Retour à l'hôpital

    Comme il fallait s'y attendre, un an après la consultation, le patient retournait à l'hôpital pour des complications délétères aux poumons dues à une PCP (pneumonie à Pneumocystis jiroveci). Sa numération de CD4+ était alors de 95 cellules et sa charge virale dépassait les 100 000 copies.

    Nouvelle association

    Une fois sorti de l'hôpital, le patient a repris son traitement HAART. Plus tard, en raison d'une toxicité au niveau de la moelle osseuse, les médecins ont remplacé l'AZT par deux nouveaux médicaments, donnant la nouvelle association suivante :

    - ddI (didanosine, Videx)

    - d4T (stavudine, Zerit)

    - 3TC (lamivudine, Epivir)

    - indinavir (Crixivan)

    Sa numération de CD4+ est alors montée à plus de 300 cellules. Toutefois, sa charge virale était encore bien au-dessus du point limite pour le test utilisé par l'hôpital, à 75 copies. Ainsi, en août 2003, les médecins ont ajouté le ritonavir (Norvir) à son schéma de traitement et sa charge virale est tombée sous la barre des 75 copies.

    Complications

    En septembre 2004, le patient est retourné en consultation avec les graves complications suivantes :

    - fatigue intense

    - douleurs musculaires

    - bouche sèche

    - diarrhée

    - perte involontaire de 23 kg (51 lb)

    Les tests sanguins alors effectués ont révélé une numération de CD4+ de 318 cellules et une charge virale sous la barre des 75 copies. Toutefois, d'autres tests sanguins ont permis de déceler des taux plus élevés que la normale de ce qui suit :

    - enzymes du foie

    - lactate

    - lacticodéshydrogénase

    Compte tenu de ces valeurs anormales et des symptômes du patient, soupçonnant une toxicité thérapeutique, les médecins ont ordonné une interruption du traitement et une visite à l'hôpital deux semaines plus tard pour passer d'autres tests.

    Traitement interrompu et repris

    Une semaine après l'arrêt de son traitement, le patient, dont l'état s'était encore détérioré, est retourné à l'hôpital avec les symptômes suivants :

    - intensification de la fatigue et des douleurs musculaires

    - développement de fièvre

    - apparition de lésions de zona

    En outre, après juste une semaine d'interruption de traitement, son compte de CD4+ avait chuté à 26 cellules et sa charge virale avait grimpé à plus de 500 000 copies. Une nouvelle complication était apparue : une inflammation au niveau des poumons. Cette affection réduisait l'habilité de ses poumons à extraire l'oxygène de l'air, entraînant une chute du taux d'oxygène sanguin et une respiration difficile.

    Pour traiter ces symptômes, les médecins ont prescrit un antibiotique à large spectre et du valacyclovir (Valtrex), un médicament antiviral. Le patient a également repris son traitement anti-VIH avec l'association suivante :

    - 3TC

    - ténofovir (Viread)

    - atazanavir (Reyataz)

    - ritonavir

    Deux semaines après l'application de cette association, sa numération de CD4+ a passé à 294 cellules et sa charge virale est tombée sous la barre des 75 copies. L'analyse de l'échantillon de liquide pulmonaire n'a pas permis de déceler une cause infectieuse manifeste des problèmes dans ces organes. D'autre part, après la reprise du traitement HAART, son affection pulmonaire s'est améliorée.

    Toutefois, peu de temps après, le patient a développé des caillots dans le cerveau et dans le pied. Les facteurs de risque de cette nouvelle complication incluaient le diabète, la fumée de tabac et l'infection par le virus de l'hépatite C, tous trois fardeaux préexistants du patient. Les caillots dans son pied réduisaient la circulation sanguine, si bien que les tissus ont commencé à mourir. Pour essayer d'éviter d'autres complications, les médecins ont décidé d'amputer la jambe droite sous le genou. Au cours de cette intervention, le patient a eu une crise cardiaque et décédait, 25 jours après son entrée à l'hôpital.

    Pourquoi les caillots?

    Au cours de sa dernière visite à l'hôpital, le patient avait développé les complications suivantes :

    - augmentation substantielle de la charge virale

    - diminution importante de la numération de CD4+

    - fièvre intense

    - zona

    - détresse respiratoire

    -altérations sanguines entraînant une susceptibilité extrême aux caillots — une affection appelée état hypercoagulable.

    Sa famille n'a pas consenti à une autopsie; ainsi, au vu et au su des signes observés par les médecins, on a conclu que ce cas était un exemple extrême de syndrome de rebond rétroviral sévère. Un tel syndrome se déclare lorsqu'un PVVIH interrompt son traitement et que la réplication du VIH monte en flèche, l'immunité s'affaiblit et des complications surgissent.

    User de prudence

    Les médecins d'Harvard estiment que les fournisseurs de soins de santé devraient familiariser leurs patients avec les signes et symptômes du syndrome de rebond rétroviral. Toujours selon eux, les médecins devraient également songer à rétablir le traitement HAART plus rapidement, dès l'apparition des symptômes.

    En 2004, des médecins de Barcelone, en Espagne, ont signalé des complications sévères (insuffisance hépatique, pulmonaire et cardiaque) chez l'une de leurs PVVIH 12 jours après l'interruption de son traitement. Fort heureusement pour elle, les médecins ont pu intervenir à temps et ces complications ne lui ont pas coûté la vie.

    —Sean R. Hosein

    RÉFÉRENCES :

    1. Coco A et Kleinhaus E. Prevalence of primary HIV infection in symptomatic ambulatory patients. Annals of Family Medicine 2005;3(5):400-4.

    2. Garlin AB et Sax PE. Retroviral rebound syndrome with fatal outcome after discontinuation of antiretroviral therapy. Journal of Infectious Diseases 2005;41(9):1164-70.

    3. Crespo M, Paradineiro JC, Ribera E, et al. A case of multiorgan failure following interruption of antiretroviral treatment. Journal of Infectious Diseases 2004;23(1):63-65.

    Quelques premières questions :

    1) La personne en question était visiblement alcoolique. L'alcoolisme induit-il un fort stress oxydatif ? Je suppose que oui. Mais je suppose que cet alcoolisme ne saurait justifier à lui seul un résultat positif au test "HIV". Je présume qu'il y avait d'autres cofacteurs, non indiqués dans le texte repris ci-dessus ?

    2) Peut-on présumer que le stade du stress oxydatif avait chez ce séropo atteint le stade de l'irréversibilité ?

    3) Ou peut-on considérer que ce sont tous les médocs prescrits à ce séropo qui ont précipité sa chute (solution à laquelle je donne la préférence pour le moment) ?

    Merci d'avance pour vos réponses !

  10. Je ne suis pour le moment arrivé qu'à la lecture de la page 62 de ce topic, mais je ne pense pas que la question suivante ait été abordée (mais si c'est le cas, n'hésitez pas à me le dire).

    Je constate qu'un peu partout sur ce site (et aussi sur sidasante), on n'arrête pas d'affirmer et de prouver (avec forces détails d'ailleurs) que le pseudo "VIH" n'a pas été isolé et ne remplit pas les postulats de Koch.

    Très bien, et j'en suis moi-même convaincu.

    Mais est-il vraiment nécessaire que les dissidents du sida portent leur attention sur ce point bien précis ?

    En effet, essayant de propager la "bonne nouvelle", je suis parfois confronté à des "orthodoxes" du sida, qui, je l'admets, émettent le contre-argument suivant qui me semble très pertinent, à savoir :

    "Effectivement, peut-être que le "virus HIV" ne respecte pas les postulats de Koch. Et alors ? Cela signifie-t-il pour autant que le sida ne soit pas causé par un (rétro)virus ? Ne sais-tu pas, triple idiot, que pour d'autres maladies, le germe responsable n'a toujours pas pu être isolé en respectant les postulats de Koch et pourtant, personne ne doute de l'origine virale ou bactérienne de ces maladies ?".

    Et avec plein d'aplomb, ils me citent par exemple les cas suivants : l'hépatite C, le choléra, la fièvre typhoïde, etc...

    Evidemment, je leur rétorque que nonobstant le problème de l'isolement du "VIH" (qui n'est finalement pas un problème pour ces contradicteurs), il subsiste des dizaines d'autres incohérences dans la théorie du virus tueur, outre le fait que selon certains scientifiques dissidents, le rétrovirus "HIV" existe mais est inoffensif.

    N'empêche, face à un tel argument, il me semble assez hasardeux d'aborder avec autrui le sujet de la dissidence du sida en commençant par affirmer avec assurance que le virus "HIV" n'a pas encore été isolé et que cela pose un (faux, visiblement) problème. Alors que répondre à ce contre-argument des orthodoxes du sida ?

    J'ose espérer que la réponse à fournir ne consiste pas à dire que les virus n'existent pas, car alors là, je ne suis pas prêt d'intéresser qui que ce soit avec la dissidence du sida. En plus, fournir une telle réponse consisterait à mon sens à saper l'un des meilleurs arguments de la dissidence du sida.

    Alors que répondre ? Pourquoi la dissidende du sida s'acharne-t-elle sur le problème de l'isolement du "VIH" alors que ce problème semble exister pour d'autres maladies sans que l'on remette en question le caractère infectieux de celles-ci ?

    Merci pour vos réponses !

  11. (seva @ Vendredi 23 Décembre 2005, 12:03)

    Est-ce que je me trompe?

    Oui, c'est bien çà, le stress oxydatif. Mais il existe déjà un moyen de le mesurer, mais de façon imprécise, à savoir ..... le test HIV ! En effet, si on réagi positivement à un test HIV, cela peut signifier que le système immunitaire est déjà assez affaibli par le stress oxydatif, tantôt très provisoirement (par exemple : un vaccin effectué dans les jours ou même les semaines précédant le test HIV), ou d'une façon plus prononcée ("mode de vie" : drogues récréationnelles, trop d'antibiotiques, trop de MST, etc...).

    Donc, un test HIV positif peut s'avérer utile car il peut - parfois (car dans bien d'autres cas [exemple : vaccins, être enceinte, ...],cela ne signifie strictement rien) - être le premier signe d'un sérieux affaiblissement du système immunitaire.

    Mais cela n'est certainement pas synonyme de maladies dites du "sida déclaré", et encore moins de mort, comme on le croit à l'heure actuelle.

    En réalité, il faut profiter du test HIV positif pour s'interroger sur les motifs qui ont pu le rendre positif et si on présume que cela n'est pas dû à un facteur occasionnel (genre vaccin, grippe, etc..) mais à des facteurs durables source de fort stress oxydatif (drogues récréationnelles, abus d'antibiotiques, etc...), ce test positif doit au contraire constituer une "chance" pour modifier son "style de vie", en évitant les drogues, en se nourissant correctement, etc... et éviter le stade du sida dit déclaré.

    Cependant, vu comment ces tests HIV sont actuellement interprétés (test positif = HIV = mort), il vaut pour le moment mieux ne pas passer ces tests (du moins, c'est mon avis personnel). Nous sommes quand même assez grands pour savoir si le style de vie qu'on adopte est source d'un stress oxydatif "maladif" ou non, surtout après lu tout ce que nous enseigne la dissidence du sida ! Le simple fait de contracter une maladie dite caractéristique du sida doit clairement nous mettre la puce à l'oreille, test HIV ou non.

    PS : C'est absolument cruel et inhumain ce qu'ils t'ont fait, retirer la garde de tes quatres enfants !

  12. L'expression "charge virale" est particulièrement trompeuse et fait croire aux séropos qu'on l'on prétend mesurer le nombre de "virus VIH" par millilitre de sang.

    ...

    PREMIEREMENT, et contrairement à ce que tu pourrais croire, la technique du PCR en matière de sida ne prétend pas mesurer le nombre de "virus VIH" ou de protéines supposées spécifiques au VIH, mais consiste à multiplier en grand nombre et selon des calculs mathématiques très complexes de courts composants d'ARN supposés attribués au fameux "virus HIV". Mais rien ne prouve que ces fragments d'ARN vient du fameux "virus HIV" (que l'on n'est toujours pas parvenu à isoler et dont, au surplus, on n'a toujours pas réussi à décoder le génome). Ces fragments d'ARN peuvent parfaitement provenir d'innombrables déchets cellulaires variés ayant ces mêmes fragments d'ARN. Ces fragments d'ARN peuvent également provenir de diverses particules virales ou rétrovirales, mais rien ne prouve que ces fragments d'ARN proviennent du fameux "virus HIV".  En d'autres termes, n'hésitons pas à le dire, on prétend mesurer la charge de "virus HIV" dans le sang d'un séropo ..... en prenant n'importe quoi (fragments d'ARN non spécifiques) qu'on multiplie par plusieurs millions ..... pour obtenir un résultat .... qui n'est n'importe quoi ! La seule utilité de ce concept de charge virale est en réalité d'effrayer les séropos et de les pousser à prendre leurs drogues antivirales ...... pour le plus grand bénéfice des entreprises pharmaceutiques !

    ...

    a) On n'a en réalité pas pu démontrer une quelconque relation fiable entre le taux de la "charge virale" et le risque de développer un sida déclaré.

    ...

    PS 2 : Il ne faut pas me croire sur parole. Sur www.sidasante.com (entre autres), tu trouveras différents articles qui traitent à titre principal ou accessoire de ce point !

    Pour ceux que ce sujet précis intéresse tout particulièrement et qui ont les compétences scientifiques pointues adéquates (ce dont je ne dispose malheureusement pas), Etienne De Harven cite entre autres l'article suivant :

    Collectif (2000) : "Human immune deficiency virus type 1 RNA level and CD4 count as prognostic markers and surrogate end points : a meta-analysis" - AIDS Research and Human Retroviruses , volume 16, n°12, pages 1123 à 1133.

    Cette analyse de 96 études montre le manque de spécificité et de sensibilité de la technique PCR dans le diagnostic du sida !

  13. Statistiques : (source insee)

    http://www.insee.fr/fr/ffc/figure/CMPTEF06208.XLS

    Intéressantes ...  4-piout.gif

    Intéressant, effectivement.

    Mais sauf erreur de ma part, ces statistiques ne tiennent compte que des 29 ou 30 maladies dites "caractéristiques" du sida (sarcome de Kaposi, pneumocystose, etc...).

    Quelqu'un disposerait-il en revanche des statistiques de mortalité des séropos morts alors qu'ils consommaient diverses drogues antivirales (ou qui les avaient arrêté quelques mois ou même quelques années auparavant) ainsi que les causes de ces morts-là, par exemple maladies cardiovasculaires, cancers divers, atteintes hépatiques diverses, etc... Je crois que l'on serait très étonné des chiffres obtenus (sans même tenir compte de ceux qui sont simplement malades en prenant ces drogues antivirales), du moins si lesdits chiffres ne sont pas falsifiés (car il y a certainement de tas de séropos morts dus à diverses maladies qui ne seraient pas spécifiquement liées - mais à tort - aux drogues antivirales) ? Sauf erreur de ma part, ces autres chiffres (fantômes) vont en augmentant !

    Il me semble que pour apprécier objectivement la mortalité des séropos (et bien entendu, sans même tenir compte du "mal-être" au sens très large vécu par les séropos sous drogues antivirales), ces autres chiffres sont absolument indispensables.

    Merci.

  14. Avertissement : La question posée n'a pas pour but de dénigrer l'usage du préservatif. Cela reste (très) vraisemblablement le meilleur moyen de se protéger contre une maladie sexuellement transmissible.

    N'empêche, je me pose des questions. Et ce site est bien fait pour aborder les questions taboues, non ? Donc, si quelques personnes ont des réflexions (non moralisatrices SVP, je ne suis pas là pour obtenir des jugements de valeur, mais des réponses scientifiques !) sur le sujet, qu'elles n'hésitent pas.

    Bon, dans la presse, on n'arrête pas de dire que depuis quelques années, les MST (et IST en général) sont en pleine expansion depuis la fin des années 90. Cela serait dû au recours de moins en moins fréquent au préservatif. Soit.

    Mais j'aimerais bien avoir des chiffres précis, pas simplement lire des dépêches du genre "Les cas de syphilis ont fait un bond de 200 % d'une année à l'autre ". Evidemment, si l'année précédente, il y avait 10 cas, et que l'année suivante, il y a 30 cas sur toute la France, je n'estime vraiment pas que l'augmentation de 200% revêt une signification quelconque.

    Non, je souhaiterais obtenir des chiffres précis, du genre :

    - Il y avait 5.000 cas avérés, et l'année suivante, il y en a 6.000;

    - Sur les 6.000 cas dépistés, X % avaient des symptômes et X autres % n'avaient pas (encore ?) de symptômes;

    - Quel est le profil médical des personnes atteintes par l'une de ces MST ?

    - etc...

    Partons de l'hypothèse que les virus existent (je sais, il y a une controverse portant sur leur inexistence éventuelle en tant qu'entité exogène, mais je souhaite de prime abord ne pas brouiller les débats en abordant ce point-là dans ce post-ci .... pour le moment).

    J'ai "déjà" lu un peu partout (et notamment sur ce site) que les virus et les microbes ne sont rien, le terrain est tout, ce qui est d'ailleurs mon avis personnel également. Et on cite de nombreux exemples à ce sujet, du genre : on peut être porteur du virus de la grippe et en sortir indemne, etc...

    D'autres exemples : 90% de la population en Occident semblent porteurs d'anticorps contre le pneumocystis carinii, mais n'en souffrent que s'ils sont immunologiquement affaiblis. Idem pour la toxoplasmose dont 70% de la population seraient porteurs d'anticorps, etc...

    La syphilis elle-même, par exemple, est détectée à l'aide de la recherche des anticorps. Or à ma connaissance, les anticorps prouvent que le corps a bien réagi et s'est donc bien protégé (?!) contre le tréponème (exception étant faite justement pour le HIV par les tenants de l'orthoxie du "virus" tueur). Il me semble que l'on peut également faire ce genre de considérations pour d'autres MST.

    En conséquence de ce qui précède, je me pose les questions suivantes, qui, il est vrai, pourraient aboutir à des conséquences peut-être douteuses sur le plan de la moralité. Mais cette question-là (la moralité), je la laisse aux moralistes de tout poil qui pensent pouvoir dire aux autres comment ils doivent mener leur vie sexuelle. Moi, je voudrais des réponses (ou du moins, des débuts de réponse) .... scientifiques, pas moralistes. Et la dissidence du sida doit bien en savoir quelque chose avec le sida justement.

    Donc, mes premières réflexions sont les suivantes.

    1) L'augmentation des cas de MST a commencé à la fin des années 90. D'après des informations très parcellaires trouvées ci et là sur le net, les personnes qui en "souffriraient" seraient assez souvent des personnes immunodéprimées, genre séropos sous drogues antivirales. C'est fou le nombre de séropos sous drogues antivirales qui souffrent de syphilis, de coïnfection hépatite C, etc... Or l'emploi des tri(quadri)(poly)thérapies a commencé à se généraliser à partir de la fin des années 90, et son usage ne fait que s'amplifier à l'heure actuelle ..... en même temps que les MST !

    De manière générale, pas mal de toxicomanes (non séropos) semblent également souffrir de MST diverses. Bref, surtout des personnes dont l'immunité est affaiblie pour une raison ou l'autre.

    Dès lors, ne peut-on pas considérer que l'augmentation (apparente) des manifestations de symptômes de différentes maladies vénériennes ne serait-elle pas davantage due à l'emploi de diverses drogues antivirales, et de manière générale à une immunité affaiblie de la personne en souffrant ?

    Ai-je tort ? Si c'est le cas, qu'on n'hésite pas à me le démontrer ! Sans rancune.

    2) De manière générale, dès qu'on parle dans la presse de maladies sexuellement transmissibles, on semble partir de l'idée - automatique - que la personne qui sera "contaminée" par ces "sales bestioles" va en souffrir systématiquement et à brève ou moyenne échéance.

    Est-ce vraiment exact ? Ne peut-on pas au contraire croire que nombre de personnes peuvent parfaitement vivre "sainement" jusqu'à la fin de leur vie avec ces multiples bactéries et virus causant (ou plutôt "susceptibles de causer") ces différentes maladies vénériennes ? Et ce, en se basant sur le principe essentiel selon lequel le terrain n'est tout, le virus et les bactéries n'étant rien ? Car pourquoi ce principe ne s'appliquerait pas en matière de maladies vénériennes ? Ne peut-on pas faire un pourcentage entre "porteurs sains" (asymptomatiques donc) et "porteurs symptomatiques" ?

    3) L'augmentation apparente des cas de MST n'est-elle pas amplifiée par la psychose et l'hystérie collectives sur le sujet (après celles du sida bien sûr !)? Car en faisant peur à la population sur le sujet, combien de gens en parfaite santé et non immunodéprimés d'une façon quelconque, angoissés par les MST, ne vont-ils pas se faire dépister et découvrent ahuris qu'ils "souffrent" d'une MST quelconque ? "souffrent" entre guillemets car il me semble parfaitement possible que bon nombre d'entre eux (mais quel pourcentage ?) ont en fait pour seul tort d'avoir réagi positivement à un "chek-up" IST alors qu'ils n'en souffraient absolument pas ! Certes, le médecin dira : "Mais vous allez prochainement en souffrir !" (cela ne vous fait pas penser à quelque chose d'autre ... genre sida déclaré "tôt ou tard") et s'empresse de vous prescrire des antibiotiques !

    L'effet nocebo ne peut-il pas également jouer en matière de MST en général et fausser largement les statistiques "en hausse apocalyptique" en matière de MST ?

    4) La conclusion quelque peu amorale de ces premières réflexions ne pourrait-elle pas consister à dire que la prévention des MST par l'usage systématique du préservatif (assurément efficace, je le répète) est la solution du "paresseux" (un peu comme le vaccin [nonobstant les effets secondaires de ceux-ci]) et qu'il existe d'autres moyens de se protéger efficacement des MST, à savoir disposer d'un système immunitaire non affaibli ... et éviter l'effet nocebo lié à l'hystérie collective actuellement attachée aux IST ?

    Ce sujet est sans doute susceptible d'en froisser quelques-uns, mais si on aborde le sujet tabou du sida comme maladie n'ayant pas une cause virale, il me semble logique d'aborder cet autre sujet tabou.

    Merci d'avance pour vos divers avis et réflexions sur le sujet ! icon_biggrin.gif

  15. On a entendu parler dans les années 90 de personnes qui avaient été inculpées pour avoir sciemment contaminer d'autres personnes. Il pourrait être amusant un jour de voir un de ces inculpés demander réouverture de son dossier car si il était prouvé que le VIH n'existait pas alors il serait victime du système icon_smile.gif

    "Amusant", je n'utiliserais pas vraiment ce terme pour ces pauvres malheureux injustement condamnés. Mais il est vrai que leur situation est une raison de plus pour laquelle la dissidence du sida a encore bien du mal à se faire entendre et surtout à se faire accepter.

    Il ne fait cependant pas de doute qu'ils auront droit à de bien substantiels dommages-intérêts lorsqu'il sera enfin devenu évident que le sida n'est pas une maladie sexuellement transmissible.

    Mais peut-être que la plupart de ces condamnés auraient pu être acquittés sous le bénéfice du doute s'ils avaient au moins basé leur stratégie de défense sur la dissidence du sida ? Cela suppose, il est vrai, qu'ils en aient été préalablement informés. Donc, à nous d'en parler ..... à toutes les occasions possibles !

    Pour le reste, merci de nous avoir dit comment tu as été informé de la dissidence du sida. Grâce à internet, visiblement.

  16. Je parle à tout le monde autour de moi de ce que je découvre sur vos pages et à chaque fois je passe pour un illuminé ou un inconscient. Lorsque je propose aux gens de lire les articles, ils disent ne pas être à même de juger de leur validité.

    Je suis surpris de constater que ces idées soient étouffées, je ne peux pas imaginer que personne ne veuille en parler...

    Je ne puis que marquer mon accord sur le post de Rosalie qui précède.

    Ceriums, sache que c'est l'omerta sur le sujet, et ce dans toute la presse. Parler de la dissidence du sida, c'est trop dangereux, paraît-il ! La recherche de la vérité scientifique, tout le monde ou presque s'en fiche ! Trop d'intérêts sont en jeu en outre : financiers, médicaux, politiques, sociaux, ...

    Ceci étant, je suis loin d'être pessimiste, et ce grâce à internet. D'ailleurs, Ceriums lui-même est la preuve vivante que l'information finit par passer, et cela passe beaucoup plus facilement grâce à internet justement.

    Et ce serait intéressant d'ailleurs que Cériums nous précise comment il a eu vent de la dissidence du sida. Et il est de même de tout nouvel intervenant sur ce topic. La première question que l'on devrait poser systématiquement à ton nouvel intervenant sur ce sujet serait justement : "Comment as-tu eu connaissance de l'existence de la dissidence du sida ?". Ainsi, cela permettra de mieux savoir dans quel sens nous pourrions agir pour davantage faire connaître ces autres explications au sida.

    Ceriums, surtout ne te décourage pas, que du contraire !

    Depuis que j'ai découvert la dissidence du sida il y a six mois, j'en ai déjà parlé grosso modo à une cinquantaine de personnes. Tous (à l'exception d'un seul qui s'est tout de suite dit intéressé au sujet) m'ont dit au début que j'étais devenu un fou dangereux. Toutefois, un deuxième a rejoint mon opinion lorsqu'une autre personne (que je ne connais pas) lui en a également parlé. Cela l'a titillé et il a commencé à faire l'effort de s'intéresser au sujet. Et deux autres personnes qui m'avaient au départ considéré comme irresponsable commencent enfin à se poser de sérieuses questions, parce que j'ai eu l'opportunité de relancer le sujet dans d'autres circonstances.

    Internet et le bouche à oreille fonctionnent, encore assez lentement mais sûrement.

    Aie le courage de tes opinions ! La folie de millions de gens ne peut faire le poids face à la raison d'un seul.

    PATIENCE ET PERSEVERITE permettront de vaincre les obstacles. Je n'en doute pas un seul instant. Le mouvement est lancé et grossit davantage chaque mois !

    Bref, continue à en parler autour de toi, du moins si tu en es parfaitement convaincu. Cela se révélera payant tôt ou tard !

  17. (Je pose peut etre des questions betes mais je ne suis pas dans le milieu et je m'interroge.)

    que mesure t on avec cette technique de mesure de la charge virale? Le chiffre qu'on annonce, est ce le nombre de virus en présence dans le sang ou de simples protéines supposées spécifiques au virus?

    Rassure toi, en cette matière, les questions apparemment "idiotes" sont souvent bien plus "intelligentes" que les réponses fournies par la nomenklatura orthodoxe du sida.

    Et je ne suis pas un spécialiste. J'ai juste lu (et continue à lire) beaucoup d'articles sur le sujet et j'essaie d'expliquer - parfois très maladroitement - avec mes propres mots. Mais comme pour le moment tout le monde ou presque semble surchargé, je me dévoue.

    L'expression "charge virale" est particulièrement trompeuse et fait croire aux séropos qu'on l'on prétend mesurer le nombre de "virus VIH" par millilitre de sang. Et bien sûr, quand on annonce à un séropo qu'il a par exemple une charge virale de 100.000, il croit sa dernière venue ..... à moins qu'il prenne sans tarder ses si "bénéfiques" "cocktails" "thérapeutiques". Et cela marche ! La peur, la peur, toujours la peur.

    En réalité, quand on annonce un chiffre de 100.000 comme charge virale, cela signifie au mieux .... qu'il a 10 "virus VIH" par millitre de sang, et encore !

    L'orthodoxie du sida a de tout temps été confronté à un problème insurmontable (parmi des dizaines d'autres), à savoir que même chez les"sidéens" en phase terminale, l'activité "virale" du VIH est faible, voire nulle (cf mon post précédent).

    Voulant surmonter cet écueil, depuis 1995, l'orthodoxie du sida prétent mesurer la "charge" de "virus VIH" à l'aide de la technique du PCR (Polymerase Chain Reaction), une sorte de "photocopieuse biologique" révolutionnaire qui permet, à partir d'un échantillon de sang contenant de très petites quantités de ADN ou de ARN, de créer des millions de copies. Cette invention permet en quelque sorte l'identification d'une aiguille (= le si insaisissable "VIH") dans une botte de foin (= le sang) en multipliant les aiguilles jusqu'à ce qu'elles soient plus nombreuses que le foin ! Et on peut dire qu'en matière de VIH, cela est bien "nécessaire".....

    L'application de l'invention du PCR en matière de détection du si introuvable et insaisissable "VIH" pose - au moins (mais il y en a d'autres) - deux problèmes ..... de taille.

    PREMIEREMENT, et contrairement à ce que tu pourrais croire, la technique du PCR en matière de sida ne prétend pas mesurer le nombre de "virus VIH" ou de protéines supposées spécifiques au VIH, mais consiste à multiplier en grand nombre et selon des calculs mathématiques très complexes de courts composants d'ARN supposés attribués au fameux "virus HIV". Mais rien ne prouve que ces fragments d'ARN vient du fameux "virus HIV" (que l'on n'est toujours pas parvenu à isoler et dont, au surplus, on n'a toujours pas réussi à décoder le génome). Ces fragments d'ARN peuvent parfaitement provenir d'innombrables déchets cellulaires variés ayant ces mêmes fragments d'ARN. Ces fragments d'ARN peuvent également provenir de diverses particules virales ou rétrovirales, mais rien ne prouve que ces fragments d'ARN proviennent du fameux "virus HIV". En d'autres termes, n'hésitons pas à le dire, on prétend mesurer la charge de "virus HIV" dans le sang d'un séropo ..... en prenant n'importe quoi (fragments d'ARN non spécifiques) qu'on multiplie par plusieurs millions ..... pour obtenir un résultat .... qui n'est n'importe quoi ! La seule utilité de ce concept de charge virale est en réalité d'effrayer les séropos et de les pousser à prendre leurs drogues antivirales ...... pour le plus grand bénéfice des entreprises pharmaceutiques !

    DEUXIEMEMENT, et comme si ce qui précède ne suffisait pas, il est quand même évident pour n'importe qui qu'il n'est en aucune façon censé de multiplier dans un premier temps de nombreux fragments de structure génétique, et puis de postuler ensuite leur présence en grand nombre, .... et donner ainsi l'impression que le séropositif est investé par le "virus VIH" ! En réalité, si le séropo mourrait d'une multiplication anarchique du "virus HIV" et qu'il y en avait assez, les scientifiques devraient être en mesure de le rendre visible par des techniques largement éprouvées par le passé, telles que le microscope électronique traditionnel (or ici, avec les multiplications que l'on doit faire dans cette "application" de la technique du PCR, nous sommes au niveau de ..... la sensibilité de la physique atomique !). Et n'oublions pas que même chez la plupart des "sidéens" en phase terminale, l'activité virale est nulle ou proche de nulle. Or zéro (ou presque : 0,1 par exemple) multiplié par un exposant "millions" (0,1 x 0,1 x 0,1 .....), cela fait toujours ........... zéro ou presque ! Mais on fait peur aux séropos avec les "millions" précités : c'est quand même plus effrayant que zéro ou presque !

    Pour conclure (s'il en est encore besoin) sur l'inutilité du concept de charge virale en matière de sida, encore quatre réflexions.

    a) On n'a en réalité pas pu démontrer une quelconque relation fiable entre le taux de la "charge virale" et le risque de développer un sida déclaré.

    b) L'inventeur du PCR, étant le docteur Kary Mullis, qui a d'ailleurs reçu le prix Nobel en 1993 pour cette invention (qui d'autre que lui connaît mieux son invention ?), dénie tout utilité de cette invention pour mesurer une prétendue "charge virale de VIH". Cette invention a en revanche été révolutionnaire en d'autres matières, telles que le décodage du génome humain.

    c) La FDA (Food and Drug Administration), qu'on ne peut certainement pas suspecter de sympathie pour la dissidence du sida, n'a à ce jour encore JAMAIS validé et approuvé le test PCR en matière de diagnostic de sida, jugeant la technique du PCR non fiable et non spécifique pour mesurer une prétendue charge virale. Bref, la FDA considère les tests Elisa et consorts plus fiables (et pourtant, nous savons ce qu'il faut déjà penser de ces derniers tests !) que la mesure de la charge virale. Cependant, la technique de PCR est utilisée tous les jours pour prétendre mesurer la pseudo efficacité des drogues antivirales, efficacité tirée du fait que la charge virale diminue, voire même devient indétectable.

    d) Et comme s'il cela ne suffisait pas, des charges virales peuvent également être détectées chez des personnes ..... séronégatives aux tests HIV !

    Comprenne qui pourra !

    PS 1: Si quelqu'un veut corriger ou compléter le présent post, qu'il n'hésite pas !

    PS 2 : Il ne faut pas me croire sur parole. Sur www.sidasante.com (entre autres), tu trouveras différents articles qui traitent à titre principal ou accessoire de ce point !

  18. Pourrait on me dire si aujourd'hui, on est capable de prendre un "malade" ayant une "charge virale" élevée, prélever une goutte de son sang et d'en extraire un virus?

    Une réponse toute simple, là voici.

    Même chez un malade du sida en phase terminale et ayant une "charge virale" dite élevée, soit on ne trouve pas directement le "virus" dans la plupart de ces malades, soit on en trouve dans une cellule sur mille ou dix mille, ce qui est naturellement absolument insignifiant et surtout incapable de provoquer un effondrement immunitaire quelqu'il soit (alors que dans n'importe quelle autre maladie virale en phase terminale, c'est par millions [!] qu'on en trouve).

    C'est justement pour surmonter cette difficulté de taille dans la théorie du virus tueur qu'a été inventé le concept de "charge virale", dont l'inanité en matière de sida n'est plus à démontrer.

    Mais c'est bien avec cette technique de charge virale que l'on fait peur aux séropos et qu'on les incite à prendre leurs drogues antivirales !

  19. je viens de trouver cet article, pour ceux qui lisent l'anglais, qui critique point par point les thèses dissidentes, et meme si personnellement j'aimerais croire à toute force aux idées que sans traitement je ne vais pas tomber malade (je me passerais bien des effets secondaires), j'avoue que j'ai du mal à trouver des réponses aux arguments de cet article.

    si certains d'entre vous ont les éléments (en s'appuyant sur des recherches sur un grand nombre de patients plutot que sur quelques cas isolés, si possible), je suis évidemment tres intéressé.

    http://www.napwa.org.au/index.php?q=node/438

    eric

    Bonjour Eric.

    Je comprends ton profond désarroi. J'ai moi-même découvert les thèses dissidentes il y a six mois à peine grâce à internet (alors que ses thèses existent depuis plus de 20 ans maintenant) et il m'a bien fallu deux ou trois mois pour me convaincre, non que les dissidents avaient raison, mais à tout le moins que leurs différentes théories et leurs divers arguments sont plus fondés, plus cohérents et surtout bien plus respectueux des faits constatés sur le terrain. Et à ce titre et à défaut d'arguments contraires plus probants de la part de la "médecine" orthodoxe du sida, j'estime qu'à l'heure actuelle, les dissidents ont raison. Je ne peux plus en douter à ce jour ...... à moins que les plusieurs dizaines d'incohérences relevés dans la théorie du virus tueur trouvent entre-temps de réelles explications. C'est bien cette foule d'incohérences (voir par exemple :Le Top 100 des incohérences scientifiques sur le SIDA; attention : quelques incohérences relevées doivent toutefois être quelque peu affinées depuis les dernières "découvertes" faites en la matière; il en est ainsi de l'incohérence n°7 : en réalité, la majorité, mais pas la totalité des séropositifs récupère après avoir arrêté leur trithérapie, mais les infections opportunistes reprennent toutefois après un certain temps chez une minorité, non pas parce que le pseudo virus gagnerait en virulence mais bien parce que le stress oxydatif dont ils souffrent est malheureusement et très vraisemblablement devenu irréversible) et l'absence d'explications plausibles de la part de la médecine orthodoxe qui m'ont entre autres convaincu de la "supériorité" des thèses dissidentes. Que l'on soit à l'origine pour ou contre la thèse virale du sida, il faut constater que la plupart des incohérences constatées sont bien des faits, et que ces faits vont complètement à l'encontre de la thèse de la théorie virale.

    Le temps me manque, donc je vais essayer d'aller à l'essentiel (mais je compte bien y revenir quand j'ai un peu plus de temps [mais mon problème, c'est bien que je n'ai jamais de temps à rien !]).

    L'article que tu cites et qui semble contre-attaquer efficacement les arguments des dissidents du sida a au moins de ceci de remarquable qu'il est bien un des rares à ne pas contre-attaquer les dissidents du sida en se fondant sur la soi-disante incompétence des figures marquantes de la dissidence et en se contentant de dire que les théories dissidentes sont bidon et ne méritent même pas la moindre réponse. Pour cette raison-là, cet article mérite à tout le moins notre respect car au moins, il essaie de contrecarrer par de réels arguments ceux avancés par la dissidence.

    Mais je vais tâcher de te faciliter les recherches en te précisant que l'article que tu cites s'inspire en réalité et pour la totalité d'un autre article (en anglais), "bien meilleur", dont il apparaît en fait être un résumé, que tu trouveras en cliquant sur le lien suivant : The Evidence That HIV Causes AIDS, datant de 2003 et émanant de la "National Institute of Allergy and Infectious Diseases" (NIAID). Ce document constitue sans conteste la "meilleure" (ou plutôt "moins mauvaise") contre-attaque aux thèses dissidentes. Il reprend des contre-arguments désormais fort bien connus des dissidents et auxquels il a déjà été repondu de façon dispersée dans divers articles.

    Ceci étant, quelques mois plus tard, les dissidents du sida ont eux-mêmes réfuter les trois principales contre-attaques faites à leur encontre dans le document susdit. Cette réfutation, tu l'as trouveras (en anglais) en cliquant sur le lien suivant :Réfutation des arguments avancés par le NIAID.

    Cette réfutation porte sur les trois principaux arguments avancés à l'encontre des thèses dissidentes, à savoir :

    a) Que le virus HIV aurait été isolé (au sens scientifique du terme) et répond bien aux postulats de Koch;

    b) Que le HIV peut être "virtuellement" détecté chez tout patient souffrant du sida;

    c) Que les test HIV sont fiables à 99,9999999% et prouvent à tous les coups une infection au VIH.

    Bref, la réfutation émanant de la médecine orthodoxe du sida (et dont l'article que tu cites est un résumé) ne tient elle-même pas la route, si tu lis l'article repris au dernier lien ci-dessus.

    Je vais maintenent (et encore) revenir très brièvement (faute de temps) sur les contre-arguments invoqués dans l'article que tu cites (et auxquels il a toutefois déjà été répondu aux trois principales dans la réfutation prémentionnée), essentiellement en te dirigeant vers d'autres articles qui y répondent. N'oublie cependant pas les explications déjà reprises dans le dernier post de "Cheminot".

    1) Le virus aurait été isolé

    Sur cette question, je t'invite à cliquer sur le verbo "Isolement du virus" du site "www.sidasante.com". Tu trouveras une foule d'articles sur le sujet, évidemment toujours d'actualité, démontrant très clairement que le virus n'a en aucune façon été isolé. Tu dois bien savoir qu'à partir du moment où la base même de l'édifice construit par la médecine orthodoxe ne tient pas, tout le reste ne tient pas non plus. En ce sens, cette critique émanant de la dissidence du sida est absolument fondamentale car à elle seule, elle met immédiatement fin à toutes les théories élaborées sur base du mythe du virus tueur.

    Je te renvois également à la réfutation déjà mentionnée ci-dessus.

    Au surplus, quand bien même le virus aurait été réellement isolé, quod non, il conviendrait encore que la médecine orthodoxe prouve que le virus HIV détruit réellement les T4. Or malgré 25 ans de recherches et des centaines, non de millions, mais bien de milliards (!) de dollars, la médecine orthodoxe admet elle-même qu'elle est bien incapable de prouver ce point fondamental ! A tel point qu'elle est bien obligée de recourir à la théorie dissidente du stress oxydatif pour expliquer cela ..... mais à titre de cofacteur. C'est perdre de vue un point fondamental : la théorie du stress oxydatif est suffisante par elle-même pour expliquer la dégradation du système immunitaire. Nul besoin d'un virus en plus.

    Et tout cela sans compter les dizaines d'autres critiques à l'encontre de la théorie du virus tueur.

    2) Les test HIV et la technique de la charge virale sont fiables

    Là aussi, je te renvois à la réfutation susvantée mais également au verbo "Les tests " du site www.sidasante.com, et entre autres à l'article particulièrement édifiant suivant (Tout le monde est-il positif pour le VIH ?) et d'où il ressort que nous sommes tous en réalité séropositifs ! La circonstance que certains d'entre nous réagissent positivement au test HIV signifient simplement que leur système immunitaire est simplement un peu plus endommagé, mais cela n'a absolument rien d'irréversible .... pour peu qu'on remédie efficacement au stress oxydatif plus élevé qu'à l'ordinaire qui a permis de rendre le test positif.

    3) Le Sida serait bien une infection sexuellement transmissible

    Dans bien des articles, tu trouveras de multiples preuves du contraire, en commençant par l'exposé de Cheminot (vers le milieu : Exposé de Cheminot). Comme le signale très bien Cheminot, comment peut-on considérer que le sida serait sexuellement transmissible avec un taux de 1 pour 2000 ?

    Tenter de comprendre les modes de transmission du sida par référence aux relations sexuelles n'a absolument aucune pertinence vu le pourcentage atteint (1 pour 2000), alors que n'importe qu'elle autre maladie vénérienne a un risque de contamination éminemment plus élevé (syphilis par exemple : lors d'un rapport non protégé, le risque de contamination avoisine 50 % !). Et ce qui n'est pas sexuellement transmissible entre hétéros ne sauraient l'être entre gay, même si les pourcentages sont plus élevés (le pourcentage plus élevé de "contamination" entre les gays tend au contraire à prouver que la "transmission" du sida a justement d'autres causes que sexuelles).

    La non-pertinence de la référence de la transmission supposée sexuelle du sida saute d'autant plus aux yeux quand on constate que les statistiques de sida présentent un pourcentage bien plus élevé lorsqu'on se réfère à celles relatives aux toxicomanies. Il n'est nul besoin de faire 10 ans de médecine pour comprendre qu'on se protège bien mieux du sida en s'abstenant de consommer des drogues récréatives qu'en utilisant une capote.

    Car finalement, qui devient séropositif de nos jours ? Ceux qui utilisent la capote ! Vu comme cela cela choque, mais explicitons quelque peu. Dans nombre de témoignages, que lit-on ?

    "Mais docteur. J'utilisais toujours la capote !".

    Et le docteur de répondre : "Toujours ? En êtes-vous sûr ?".

    Le séropo : "En y réfléchissant bien, il y a bien eu une fois, il y a un an, j'avais trop bu, j'ai rencontré quelqu'un et je ne suis pas sûr d'avoir mis la capote au début !".

    Le docteur : "Mais Monsieur. C'est à cette occasion-là que vous avez été contaminé !".

    Et c'est entre autres de cette façon-là que le mythe de la transmission sexuelle du sida se répand, perdure ...... et devient un dogme ! Il ne viendra jamais à l'idée du docteur de se poser la question de savoir si la séropositivité ne serait pas dû à des circonstances sources de stress oxydatif. Et allons encore plus loin : cet autre mythe qu'est "la sainte capote protectrice du sida" est elle-même une cause essentielle à la propagation de l'épidémie du sida puisqu'elle évite de lutter contre les causes réelles du sida. Il est absolument navrant (et le mot est faible !) de constater que ceux qui font la promotion zélée et bien servile de l'usage de la capote comme seul moyen de (soi-disant) protection contre le sida ..... ne font en fait que propager davantage le sida à travers le monde ! Du moins, tel est mon intime conviction.

    Les auteurs de l'article que tu cites pèchent en outre par leur confusion - vraisemblablement délibérée - entre séropositivité et sida, en supposant que le premier implique le second.

    Ils "oublient" par ailleurs que deux faits majeurs ont successivement permis de rendre hétéros et homos égaux face au sida, donnant ainsi l'impression que le sida est sexuellement transmissible, à savoir :

    a) Dès 1984, l'invention des test HIV, qui a permis de donner l'impression que les hétéros non toxicomanes pouvaient aussi être contaminés par le virus HIV, et ce en raison de l'imprécision même et la subjectivité de ces tests (ce sont en outre des tests à limite), dont le caractère positif peut en outre résulter de plus de 70 circonstances (ex : certaines vaccinations) sans rapport quelconque avec le pseudo virus.

    b) Le deuxième événement qui a rendu hétéros et gay égaux face au sida n'est rien d'autre que les différentes drogues antivirales, en commençant par le premier, à savoir l'AZT, qui ont permis l'émergence de nombreux cas de sida (sur ordonnance) chez les hétéros que l'on croyait contaminés en raison des tests susdits.

    4) Les auteurs de cet article disent que le style de vie n'est pour rien dans la survenance du sida

    Je n'hésite pas à dire que l'énoncé des exemples qui suit dans cet article est une suite de contre-vérités non soucieuse des faits, et même carrément de mensonges :

    Par exemple :

    - Ils "oublient" de dire qu'à compter de 1985 et surtout 1987, la principale cause de sida n'était plus seulement les drogues récréatives, mais bien l'AZT ! Nulle part, il ne cite l'AZT ! Or, c'est bien cela (avec auparavant les test HIV) qui a permis de propager le sida à l'ensemble de la population et de ne plus le confiner aux seuls groupes à risques (ces groupes à risques ont justement un style de vie particulier de nature à fortement endommager le système immunitaire). Cette omission de leur part peut alors donner l'impression que le sida n'est plus nécessairement liée à un style de vie (source de stress oxydatif démesuré).

    - Ils "oublient" de dire qu'à compter de 1983, la définition de sida a été artificiellement de plus en plus élargie, pour englober de plus en plus de "maladies" n'ayant plus aucun rapport avec les cas de sida originels, et ce jusqu'à y inclure des personnes en parfaite santé (<200T4). Cet élargissement artificiel de la définition de sida peut également donner l'impression que sida n'est plus nécessairement liée à un style de vie (source de stress oxydatif démesuré).

    - Il y a même carrément un mensonge fragrant. Par exemple, quand ils affirment qu'on avait constaté une diminution des T4 chez de nombreux cas de sida, et qu'on n'avait pas d'autres explications que l'existence d'un virus particulier attaquant les T4 (comme déjà dit beaucoup plus haut et pour rappel, après 25 ans de recherches et des centaines de milliards de recherches, les orthodoxes du sida sont toujours incapables d'expliquer comme ce soit disant virus attaque les T4). C'est carrément un mensonge là ! Dès le départ, nombre de scientifiques avaient expliqué cette baisse des T4 par les effets toxiques des drogues. Au surplus, cela est connu depuis ... le début du 20ème siècle.

    5) Le sida est bien causé par un virus puisque les séropos sous drogues antivirales vont "mieux"

    Là, je te renvois en premier lieu à l'explication de Cheminot. Et j'ajouterai que les trithérapies ont également amélioré le pronostic de vie des "sidéens" parce que certaines d'entres elles ont la particularité (mais ce n'était pas le but originel poursuivi par les entreprises pharmaceutiques) de combattre très très efficacement deux bactéries sources de sida, à savoir celles à l'origine des infections à candida et de certaines pneumonies.

    Mais bien sûr, cela ne prouve pas que le sida a une cause virale.

    Et tout cela, sans compter les effets secondaires dramatiques toujours plus nombreux et toujours plus mortels (mais heureusement, on n'en revient pas [encore ?] au taux de mortalité de l'AZT). Ainsi depuis deux ans, on constate en outre de plus en plus de cas de cancers, les plus divers, chez les séropos sous drogues antivirales. Il fallait s'y attendre. Les trithérapies ayant été introduites en 1996, il est logique que l'on ne constate un fort accroissement des cas de cancers que bien des années plus tard puisque cela se développe en quelques années. Et il faut s'attendre avec les années à de plus en plus de cas de cancers.

    Il faut par ailleurs noter quelques points fondamentaux concernant les drogues antivirales surgies depuis 1996 :

    - Pour aucun de ces antirétroviraux, une étude placebo n'a été faite; dans ces conditions, il est réellement impossible d'affirmer qu'un séropo sous trithérapie ira mieux qu'un séropo sans trithérapie (et qui bien entendu remédie aux causes de stress oxydatif); va demander aux entreprises pharmaceutiques pour quelles raisons des études versus placebo ne sont pas faites en matière de sida, mais bien pour tous les autres médicaments mis sur le marché pour "soigner" d'autres maladies;

    - Les études préalables à la mise sur le marché de ces drogues se basent uniquement (ou à tout le moins, presque uniquement, sur la hausse des T4 et la baisse de charge virale, supposées traduire une amélioration de la santé), mais sans tenir compte de l'état clinique réel du patient.

    De manière générale, concernant la pseudo efficacité des drogues antivirales en général (donc pas que l'AZT), je t'invite à cliquer sur le lien suivant : Les causes chimiques des diverses épidémies de SIDA : Drogues récréationnelles, chimiothérapies antivirales, malnutrition (un article récent de 2002 et absolument fondamental).

    Enfin, pour rester objectif, au vu de ce qui précède, il faut quand même reconnaître une utilité certaine aux trithérapies (mais certainement pas dans le sens voulu à l'origine par les entreprises pharmaceutiques), à savoir qu'en cas de sida déclaré, visiblement corrélé avec un stress oxydatif devenu irréversible, l'utilisation de drogues antivirales peut à mon sens se justifier comme "booster" de l'immunité, mais certainement pas à vie, dans des cas extrêmes et pour une période de temps limitée (le cas échéant, à renouveler par période). Mais il ne faut pas perdre de vue que de toute façon, ce n'est pas dans cette voie-là que les recherches doivent être approfondies, mais bien dans celle des dissidents. Encore faut-il qu'on leur donner les moyens financiers, quod non toujours à l'heure actuelle ! Et je ne doute pas un seul instant que si l'on "détournait" une toute petite partie des moyens financiers actuellement consacrés à la seule hypothèse virale, on trouverait enfin de véritables médicaments efficaces, avec peu d'effets secondaires, et qui combattrait réellement et bien plus efficacement le stress oxydatif source du sida. Enfin, telle est mon opinion.

    6) Quant à l'Afrique

    Je ne puis que te conseiller de cliquer sur le verbo "Afrique" de www.sidasante.com pour comprendre ce qui s'y passe réellement.

    Bon, c'était juste un résumé de quelques critiques qui peuvent être faites à l'encontre de l'article que tu invoques. Il avait surtout pour but de ne pas te laisser impressionner par le contenu de cet article, qui pèche par de nombreuses omissions. Et je suis certains que d'autres sur ce site pourront bien mieux que moi t'expliquer le sujet et t'aiguiller dans ta propre réflexion. Et ils pourront certainement apporter davantage de critiques à l'encontre des arguments relevés dans l'article auquel tu renvois. Il faut juste considérer ce post comme une ébauche de réfutation à cet article, ébauche que j'espère toutefois assez convaincante.

    Les doutes que tu peux légitimement encore éprouver s'estomperont d'elles-mêmes au fur et à mesure que tu liras les différents articles qui ont été écrits et qui seront écrits par la dissidence.

    Je peux également te recommander des sites en anglais, qui permettront de mieux aplanir tes doutes :

    - www.theperthgroup.com(c'est le groupe de scientifiques australiens qui a le premier émis l'hypothèse au début des années 90 que le sida est causé par une cause bien plus large que les drogues récréationnelles, chimiques et la malnutrition, à savoir l'hypothèse du stress oxydatif, hypothèse qui n'a fait que se renforcer au cours de ces années comme tu pourras le constater au fil de tes lectures, et que même les trithérapies ont contribué à renforcé en réalité [puisque l'efficacité - toute relative chez de plus en plus de séropos puisqu'avec les années, il y a de plus en plus d'"échecs thérapeutiques" patents] - s'explique justement par la théorie du stress oxydatif);

    - www.aliveandwell.com;

    - http://www.aras.ab.ca/haart.html: ce site critique chaque jour un peu plus les drogues antivirales.

    Mais il y en a bien d'autres.

    Maintenant, avant de venir à ton propre cas, tu dois donc comprendre que la majorité des dissidents explique le sida par le stress oxydatif exagéré, lequel peut être le résultat de plusieurs facteurs concomitants : les drogues récréationnelles bien sûr, les drogues antivirales, mais aussi l'abus d'antibiotiques (dont certains en particuliers), .... et le fameux effet nocebo, c'est-à-dire la croyance que tu vas tôt ou tard être atteint d'un sida déclaré (lequel effet nocebo peut être considéré très grossièrement comme l'exact contraire de l'effet placebo, et est en outre diablement plus efficace que l'effet placebo car il ne fait qu'accroître et qu'accompagner la tendance naturelle de l'organisme humain à combattre ce qui peut l'"agresser"). En outre l'effet nocebo s'explique très bien médicalement. En effet, la peur (d'être atteint un jour d'un "sida déclaré) entraîne dans ton organisme une augmentation pouvant être multipliée par 20 de cortisol, lequel est un puissant immunodépresseur. Et bien sûr, cela va provoquer une forte diminution de la production de tes lymphocytes, en particulier les T4.

    En d'autres termes, la première étape à suivre pour atteindre la "guérison" est d'être convaincu que la dissidence du sida est dans le vrai et de cesser de croire que tu vas tôt ou tard atteindre le stade du sida déclaré (maintenant, cela ne veut pas dire pour autant que tu n'"attraperas" jamais rien; comme n'importe quel séronégatif, tu pourra souffrir de maladies quelconques, mais tu dois cesser de croire que cela est dû au pseudo virus HIV; tu dois dans ce cas te faire soigner comme n'importe quel séronégatif souffrant de la même maladie; prenons par exemple tes condylomes : des tas de séronégatifs en souffrent également à répétition, cesse de croire éventuellement que cela est causé par le "virus" et ce sera déjà une première étape vers la guérison de ceux-ci). Le fait que tu t'interroges indique que tu es sur la bonne voie et lorsque tu seras enfin intimement persuadé (sans dissuasion de notre part mais grâce à la justesse de nos arguments et de ce tu auras toi-même pu constater, et parce que tu en es intimement convaincu en ton for intérieur), tu auras déjà accompli là un pas de géant. Et cette intime conviction de ta part doit forcément impliquer que tu ne te soucies plus des T4 (ce qui n'est manifestement pas ton cas; mais c'est tout à fait normal vu ce qu'enseigne la médecine orthodoxe du sida). Et c'est triste à dire, cela implique également généralement de ne plus aller chez son "médecin HIV" car continuer à aller chez lui, ne permet en principe pas de couper le cercle vicieux dans lequel tu as commencé à t'insérer. Ce qui compte, c'est de se sentir bien et en bonne santé ...... tout en mettant fin à tout ce qui pourrait causer une forte immunodépression définitive dans ton chef.

    L'effet nocebo est bien sûr l'un de ces facteurs (et tu es déjà sur la bonne voie pour t'en débarrasser) mais c'est bien loin d'être le seul facteur.

    Et si tu veux que l'on puisse davantage t'aider, il serait utile de nous donner des éléments qui puissent expliquer ton immunodépression finalement bien légère, puisque tu sembles souffrir uniquement de condylomes à répétition. Non pas que l'on veuille te juger (et je suis d'ailleurs très très très mal placé pour le faire), mais justement pour tenter d'expliquer comment tu en es arrivé là.

    Bref, déjà quelques premières questions que tu dois te poser.

    1) Dans quelles circonstances ta séropositivité t'a été révélé ?

    2) Au vu des différentes causes d'immunodépression existantes, lesquelles aurais-tu pu rencontrer à l'époque de la "révélation" de la séropositivité ou rencontres-tu encore ce jour : stress, dépression, antibiotiques, poppers, etc...

    3) A quelle occasion sont survenus tes premiers condylomes, et comment ont-ils été traités (antibiotiques, comme le suggère Terry ?)?

    En fait, des tas de questions doivent être posées. Mais seule une explication de ton style de vie (mais sans jugement quelconque de notre part; je crois que nous sommes tous là pour comprendre ce qui cause le sida, comment y remédier, et toute expérience de vie sur le sujet ne peut être que bénéfique pour mieux appréhender le sujet) permettrait de mieux t'aider.

    Bon, c'est assez comme cela. Je commence à être très fatigué et quand mes écrits commencent à devenir quelque peu "philosophiques", c'est que vraiment, plus rien de bien constructif va en sortir.

    A +

    Patrick

  20. (anarista @ Mercredi 07 Décembre 2005, 07:39)

    je'ai lu l'intégralité du site en FR dissident.

    J'ai pu observer que les hypothèses sont multiples pour expliquer ce phénomène appelé VIH SIDA. Qui croire ? Faut-il élaborer sa propre théorie, une de plus ?

    De prime abord, il semble possible d'élaborer une seule théorie dissidente qui permettrait d'englober toutes les explications proposées un tant soit peu "sérieuses".

    Toutes les théories ont déjà ceci de commun d'exclure un virus comme cause de sida (pour les uns [mais ils deviennent eux-mêmes minoritaires dans la dissidence, me semble-t-il], ce rétrovirus existerait certes, mais est parfaitement inoffensif; pour les autres [de plus en plus majoritaires, me semble-t-il], ce virus n'existe tout simplement pas car il n'a pas été véritablement isolé).

    Alors, qu'est ce qui cause le sida ?

    La première explication sérieuse qui fut donnée est que le sida est causé par l'abus (la consommation nécessaire pour aboutir au stade sida variant en fonction des individus) de drogues récréationnelles, la malnutrition, et ultérieurement, en raison des bourdes commises par la médecine orthodoxe du sida, la consommation de drogues antivirales.

    Il me semble qu'il s'agissait là de la première explication sérieuse.

    Mais il me semble qu'il est existe maintenant une autre explication tout aussi sérieuse, purement chimique celle-là, beaucoup plus large et à laquelle semblent davantage adhérer la majorité des dissidents, à savoir l'explication du stress oxydatif (avancée dès 1988 ou 1989, je crois), explication qui n'a fait que se renforcer au cours des années.

    Cette explication, plus générale, permet d'englober non seulement l'explication de départ (drogues récréationnelles, antivirales et malnutrition), mais également d'autres explications (que je crois malgré tout relativement marginales comme cause principale, comparées à l'explication de départ; mais ces explications pourraient à mon sens certainement consister en des cofacteurs décisifs dans la survenance du sida déclaré), telles que l'abus d'antibiotiques, l'effet nocebo (donc, très grossièrement, la croyance que l'on va réellement souffrir tôt ou tard d'un sida déclaré), etc...

    En réalité, il conviendrait d'examiner si chacune des explications (autres que pseudo virales, bien sûr) avancées comme cause du sida ne peut pas s'insérer dans l'explication générale du stress oxydatif, auquel cas il n'y aurait donc plus qu'une seule explication alternative (à celle du mythe du virus tueur) à la cause du sida, et non plus une multitude.

  21. Que doivent donc penser les dissidents du sida de l'affirmation suivante ?

    Les séropositifs qui sont testés tardivement ont 16 fois plus de (mal)chances à l'heure actuelle d'atteindre le stade du sida déclaré et de mourir car ils n'ont pas eu la "chance" de bénéficier des drogues antivirales à un stade plus précoce de la "maladie"!

    Je pense qu'en six mois, j'ai déjà lu pas mal d'écrits émanant des dissidents du sida (mais pas sur ce site, car je ne suis pour le moment qu'à la page 21 de ce sujet qui en comporte à l'heure actuelle 130; donc, si jamais le sujet a déjà été abordé auparavant, je prie les lecteurs de m'excuser), mais en tout cas, je n'ai pas encore lu quelque commentaire sur cette affirmation.

    L'assertion qui précède est régulièrement répétée de façon péremptoire et depuis nombre d'années par les association de défense du sida (genre Act Up, Aides, Sneg, etc.) pour inciter - par la peur - les gens à se faire "dépister" le plus rapidement possible.

    Il m'est venu quelques (très brèves) réflexions sur le sujet mais je serais ravi si d'autres dissidents sur ce site pouvaient également me faire part de leurs réflexions (ou me renvoyer à un autre endroit sur ce forum ?).

    1) A supposer que cette affirmation soit ne fût-ce que partiellement exacte (ce dont je ne doute pas, de prime abord), n'est-elle pas de nature à démontrer que passer un test HIV le plus tôt possible reste malgré tout utile, entre autres à l'effet de constater l'état de dégradation de l'immunité de la personne en question ? Comme le semblent affirmer malgré tout pas mal de dissidents.

    2) Sur quoi se basent-ils pour faire de telles affirmations ? Sur quelles statistiques ? N'est-ce pas plutôt les agissements du corps médical dans ce cas de figure qui font artificiellement monter les risques de sida déclaré ?

    3) Ceux qui ont atteint ce stade ont-ils négligé à ce point leur santé ? Car je suppose que s'ils ont 16 fois plus de "chances" de faire un sida déclaré, c'est qu'ils ont souffert ou souffrent déjà de maladies "typiques" du sida déclaré, dont ils se sont volontairement cachés la véritable origine (le "virus" pour ceux qui croient encore en cette ineptie; le stress oxydatif pour les autres) ? Ou alors qu'ils n'en souffrent pas encore mais qu'ils ont un taux de T4 tellement bas (quoiqu'ils soient encore très bien portants) que les médecins croient nécessaire de leur donner des mégadoses de drogues antivirales, ce qui ne ferait en réalité qu'aggraver leur immunodépression et favoriser le passage au sida ?

    4) Cette affirmation n'est-elle pas au contraire un argument de plus pour que les thèses dissidentes soient connues de tous le plus tôt possible afin d'éviter justement d'atteindre le sida déclaré ?

    5) Ou, au contraire, cette affirmation serait-elle de nature à énerver quelque peu les thèses dissidentes ?

    J'avoue que cette affirmation me trouble dans une certaine mesure (je l'ai encore lu pas plus tard qu'une semaine) et je ne sais comment l'appréhender. J'essaie juste de mieux comprendre les thèses dissidentes dans leur globalité.

    Merci d'avance pour vos avis !

  22. Cette nuit, j'ai pris l'initiative d'envoyer deux courriers électroniques à deux sites sur internet qui - en théorie - pourraient avoir vocation à démythifier le dogme suivant lequel le sida est causé par un terrifiant et nouveau (rétro)virus, à savoir le si mal nommé "VIH".

    ............

    Les deux sites en question sont les suivants :

    1) www.tatoufaux.com

    Ce site prétend avoir vocation à démonter les idées reçues. Cela devrait être un sujet rêvé pour eux, non ?

    2) www.voltairenet.org/fr

    Ceux-là prétendent faire preuve d'objectivité journalistique ! Et bien, qu'ils le prouvent !

    ......................

    Si jamais je reçois une réponse quelconque (on peut rêver), je vous la communiquerai.

    J'ai déjà reçu une réponse de www.tatoufaux.com. Vous la trouverez ci-dessous :

    "Bonjour

    Nous partageons lavis de la communauté scientifique internationale, qui est à lopposée de ce qua pu affirmer le président Mbeki. Je rappelle quand même que ce dernier est responsable de la mort de milliers dAfricains en refusant lévidence, et en refusant de prévenir efficacement la propagation du Sida parmi sa population. Heureusement quil est revenu sur ses positions aujourdhui ! Les femmes séropositives qui accouchent peuvent désormais bénéficier dun traitement efficace et peu coûteux...

    Cordialement,

    Corinne, co-rédactrice de Tatoufaux"

    Ci-dessous, vous trouverez une copie de ma réponse :

    "Chère Madame,

    Je vous remercie pour votre réponse.

    Je crois toutefois dommage que vous basiez essentiellement votre argumentation sur l'avis de la communauté scientifique internationale (soit l'avis d'autrui) pour vous faire une opinion. Si vous cliquiez sur le lien suivant (http://www.aras.ab.ca/rethinkers.htm), vous constateriez que la dissidence du sida n'est pas soutenue par quelques scientifiques isolés, mais bien par de toujours plus nombreux scientifiques réputés, que seule la censure empêche de faire passer les idées.

    Vous auriez pu avoir l'opportunité de briser l'omerta sur le sujet. Je vous remercie toutefois pour votre réponse et ne désespère pas que vous analysiez un jour sérieusement le sujet.

    Je vous prie de croire, Chère Madame, en l'assurance de mes sentiments les meilleurs."

    Si jamais d'autres sur le site pouvaient faire preuve de la même initiative, cela permettrait au moins de leur faire comprendre qu'il ne s'agit nullement d'une opinion isolée.

  23. Cette nuit, j'ai pris l'initiative d'envoyer deux courriers électroniques à deux sites sur internet qui - en théorie - pourraient avoir vocation à démythifier le dogme suivant lequel le sida est causé par un terrifiant et nouveau (rétro)virus, à savoir le si mal nommé "VIH".

    Je ne me fais bien sûr guère d'illusion, mais qui sait, peut-être aurais-je au moins un mail de "remerciement" pour ma suggestion d'enquête sur le sujet.

    Mais si par cette initiative, je réussis quand même à semer le doute dans l'esprit ne fût-ce que d'une seule personne et à la pousser à faire des recherches sur le sujet, j'estime que le but aura été atteint.

    Au pire, cela permettra au moins aux destinataires de savoir qu'il y a de réelles et très profondes divergences scientifiques sur le sujet, ce que quasiment toute la France ignore. Et cela n'aura rien coûté, si ce n'est une prise d'initiative ne se résumant pas à des discussions - aussi intéressantes soient-elles - sur ce site.

    Les deux sites en question sont les suivants :

    1) www.tatoufaux.com

    Ce site prétend avoir vocation à démonter les idées reçues. Cela devrait être un sujet rêvé pour eux, non ?

    2) www.voltairenet.org/fr

    Ceux-là prétendent faire preuve d'objectivité journalistique ! Et bien, qu'ils le prouvent !

    Mon initiative aurait bien sûr bien plus de poids si d'autres (bien plus compétents que moi) sur ce site leur adressaient également un mail les invitant à analyser le sujet. A moins que cela ait déjà été fait ?

    Encore une fois, je ne me fais guère d'illusion, mais je crois qu'il s'agit là d'un exemple parmi tant d'autres d'initiatives qui pourraient être prise pour tenter de mieux faire connaître les idées dissidentes à moindre coût .... et ici, même gratuitement !

    Si jamais je reçois une réponse quelconque (on peut rêver), je vous la communiquerai.

    Bon, moi, je vais dormir. J'ai assez fait aujourd'hui pour la dissidence du sida, à mon avis.

  24. kaposi chez les gays passifs !! connerie CONNERIE j y ai cru moi aussi mais il se trouve que depuis je parle du sida mais des gens tres proches de moi je m appercois que j en connais un de 60 ans qui sniffe du poppers et se fais mettre à tout va depuis plus de 30 ans qui a deja fais plusieurs tests vih : NADA.....idem pour un autre qui se fait des soirées poppers et whisky depuis des lustres et qui a des rapports sans preservatifs avec un *noir africain* qui est lui meme par contre bourré de medocs : tests et re-tests : toujours negatifs aprés 15 ans de rapports reguliers !.....

    Malgré tout le respect que je te dois, ce genre d'"argument", comme la plupart des autres qui figurent dans ton post originel, ne me semble guère convaincant.

    C'est exactement comme si on me disait : "Je connais des fumeurs qui ont fumé toute leur vie deux paquets par jour et sont morts à 90 ans sans avoir fait de cancer de poumon !".

    Conclusion : la tabac n'est pas dangereux pour la santé et il ne faut pas décourager son utilisation (du moins si on veut augmenter nos chances de rester en bonne santé le plus longtemps possible) ?!

    Non, je ne puis évidemment pas être d'accord.

    Sinon, je suis globalement d'accord sur le fait qu'à partir du moment où on est diagnostiqué HIV +, les médecins ont une furieuse tendance à te trouver des tas de maladies qu'ils n'imagineraient pas chercher chez des séronegs. Et ils exagèrent certainement. Mais même là, il ne faudrait pas tout rejeter. Après tout, une grande majorité des dissidents du sida ont quand même clairement démontré qu'un test HIV positif, même s'il n'est pas synonyme de mort, est susceptible d'être la preuve d'un certain désordre immunitaire pouvant fortement s'aggraver s'il n'y est pas remédié. Donc, à mon sens, cela pourrait permettre de justifier - dans une certaine mesure - les tests et autres recherches cliniques qu'ils font sur les séropos.

    En réalité, à mon avis, les test HIV sont utiles si on les considère comme une sorte de test de "cholestérol de l'immunité" (quoique même la recherche du niveau de cholestérol semble de moins en moins prédictive d'une future maladie cardiovasculaire d'après ce que j'ai pu lire sur le sujet). Mais la médecine traditionnelle est très loin de voir ces tests de cette façon-là, c'est le moins qu'on puisse dire.

    Ne crois pas que j'essaie de défendre la médecine traditionnelle. Mais j'essaie d'en retenir ce qu'il y a de mieux (ou de moins mauvais). Par exemple, il y a deux ans, j'ai souffert d'une fissure anale horriblement douloureuse, et ce pendant presque quatre mois . Je doute fort que l'homéopathie ou d'autres techniques naturelles auraient pu m'être de quelque secours. J'ai été très "heureux" d'avoir subi une opération chirurgicale pour en être définitivement quitte. Et dans des cas extrêmes de ce genre, la médecine "orthodoxe" me semble tout à fait justifiée.

    Ceci étant, je me suis définitivement coupé de la médecine traditionnelle depuis un an (avant même de découvrir la dissidence du sida), hormis des cas extrêmes comme celui cité ci-dessus, et ce à la suite de deux événéments majeurs dans ma vie :

    1) Il y a 4 ans, j'ai souffert d'une encéphalite (qui a failli me rendre sourd à vie et dont j'ai mystérieusement guéri spontanément en trois semaines et sans médicament). La médecine traditionnelle n'a jamais pu m'expliquer d'où cela aurait pu provenir ..... jusqu'à ce que je découvre moi-même un an plus tard que cela aurait parfaitement pu provenir du vaccin contre la grippe et du deuxième rappel du vaccin contre l'hépatite B (il s'est avéré ultérieurement que j'étais déjà immunisé naturellement contre l'hépatite B!) que j'avais "subis" deux semaines avant le déclenchement de mon encéphalite.

    2) La deuxième raison, ce sont ces fameuses IST. Il ne fait aucun doute que j'en ai "contracté" des "tonnes" durant les six dernières années .... et je n'en ai JAMAIS souffert (pas le moindre symptôme, que dalle). Ce que n'admettait pas mon (ancien) médecin HIV qui me les a diagnostiqués à multiples reprises. Ce qui me fait dire plus que jamais que les microbes et virus ne sont absolument rien et sont inoffensifs, mais qu'au contraire, le terrain est absolument tout. Voire peut-être même que les virus n'existent pas (mais je n'ai pas encore eu l'occasion de creuser la question). Peut-être que ma "résistance" à ces fameuses IST est due au fait qu'hormis les excès de chacun de mes week-ends, je m'efforce de dormir chaque jour suffisamment, de faire 7 à 8 heures de sport intensif chaque semaine et de prendre chaque jour différents anti-oxydants (et à haute dose durant mes week-ends) et autres compléments alimentaires.

    Mais tout cela mériterait, je crois, un post beaucoup plus long (quand j'ai le temps) et à supposer que cela intéresse quelqu'un.

    Bref, depuis un an, je me fais suivre par un homéopathe, mais en théorie, car depuis que je ne "rends plus visite" à mon médecin VIH (soit depuis un an), je n'ai plus jamais fait la moindre maladie ! Comme quoi, une personne bien portante est un malade qui s'ignore ! icon_biggrin.gif

    Bref, "mon" homéopathe, je ne l'ai vu qu'une fois .... pour savoir quelles étaient ces heures d'ouverture !

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