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wallypat

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Messages posté(e)s par wallypat

  1. Pour l'isolement du virus, le virus a pu être isolé (pas purifié par contre) on a même pu montrer en imagerie microscopique une particule virale bourgeonner à la surface d'un T4...

    Concernant l'isolation, dans un post datant d'hier ou d'avant-hier, j'avais déjà précisé qu'il n'était pas possible de prétendre que le virus HIV avait pu être isolé alors qu'il n'avait même pas été purifié.

    A partir de ce moment, parler de bourgeonnement de la particule virale ne constitue pas une preuve de plus d'une quelconque isolation du VIH.

    A supposer même que les fameuses photos du VIH montrent effectivement un bourgeonnement quelconque (on dirait plutôt et "simplement" le pseudo virus contre la cellule), quand bien même ces photos montreraient vraiment un bourgeonnement de la soi-disant particule virale (quod non), cette circonstance ne suffirait pas à prouver que c'est bien un rétrovirus.

    Car le bourgeonnement n'est justement pas l'apanage des seuls rétrovirus. Voici ce qu'en dit Papadopulos dans le commentaire 4 de cet article :

    "Bien que le bourgeonnement sur la membrane cellulaire soit effectivement la façon par laquelle apparaissent les particules rétrovirales, ce processus n'est pas l'apanage des rétrovirus. En d'autres termes, ce n'est pas parce qu'une particule bourgeonne et a les caractéristiques morphologiques de particules rétrovirales que c'est un rétrovirus. Ceci est bien illustré par deux faits, et il suffira de citer deux des rétrovirologues les plus connus. "On a trouvé des particules virus-like (ressemblant à des virus) en cours de bourgeonnement dans des lignées de cellules T non infectées (lignées CEM, H9 et C8166); on en a trouvé également dans deux lignées de cellules B transformées par l'EBV (le virus Epstein-Barr) ainsi que dans des cultures de cellules lymphoïdes humaines primitives provenant de sang ombilical qu'elles soient ou non stimulées par la PHA, cultivées avec ou sans sérum, et aussi dans des lymphocytes d'origine ombilicale aussitôt après la séparation de Ficol"(46) (italiques d'Eleni Papadopulos-Eleopulos et al). Au cours d'une très importante étude in vivo menée par O'Hara et ses collègues à Harvard, des "particules VIH" ont été trouvées chez 18 patients sur 20 (soit 90%) souffrant d'un gonflement des ganglions lymphatiques attribué au SIDA. Cependant, des particules identiques ont également été trouvées chez 13 patients sur 15 (soit 87%) souffrant d'un gonflement des ganglions lymphatiques non attribué au SIDA puisque ces patients ne présentaient aucun risque de l'avoir contracté. Ces données conduisirent les auteurs de l'étude à conclure : "La présence de ces particule n'indique pas en soi qu'il y ait infection par le VIH".(47)"

    Et à supposer même qu'il s'agissait bien d'un rétrovirus en raison de ce - supposé - bourgeonnement, ces photos peuvent très bien montrer des rétrovirus endogènes.

    Voici ce qu'en dit Papadopulos dans le commentaire 7 de cet article :

    "Nous sommes d'accord sur l'affirmation qu'il existe des rétrovirus endogènes (mais il n'est pas sans intérêt de noter que jusqu'en 1994 il n'existait pas de rétrovirus endogène humain connu (51)). On ne peut pas distinguer un rétrovirus endogène d'un rétrovirus exogène, que ce soit morphologiquement ou chimiquement. De plus, on a la preuve que 70 % des patients atteints du SIDA ou considérés comme "à risque" possèdent des anticorps de leurs propres rétrovirus endogènes (le pourcentage n'est que de 3% chez les personnes non "à risque").(33) Compte tenu de cela et des conditions de culture que Montagnier et ses collègues, tout comme tous les autres chercheurs de "VIH", ont utilisées pour détecter leur "VIH", compte tenu aussi de ce que l'on sait aujourd'hui du "VIH" et du SIDA, le plus probable est que si le "VIH" existe (mais cela reste à prouver) il s'agisse d'un rétrovirus endogène et non pas exogène.

    On peut résumer d'une phrase un principe fondamental du comportement de toute culture de cellules : tôt ou tard les cellules mises en culture libèrent, c'est-à-dire produisent, des virus endogènes. L'apparition des virus endogènes peut être accélérée et la quantité de virus produits peut être multipliée jusqu'à un million de fois si la culture est stimulée par des mitogènes, ou bien est mise en coculture, ou encore si l'on y ajoute du surnageant d'une culture de cellules normales non stimulées."

    En d'autres termes, nous sommes toujours à des années-lumières d'une quelconque isolation de ce pseudo VIH !

  2. Suite aux remarques de sicnarfa, j'en reviens à mes deux derniers posts par lesquels j'émets une hypothèse (peut-être loufoque, n'étant pas virologue ou chimiste) pour expliquer pour quelle raison un sidéen meurt de maladies exotiques, et pas d'infections bactériennes habituelles qui devraient achever en quelques jours ou heures une personne dont le système immunitaire est réellement affaibli (ce qui n'est visiblement et justement pas le cas des sidéens puisqu'ils résistent - globalement - aux infections bactériennes traditionnelles).

    Pour y revenir, je prends pour commencer le cas de la syphilis qui était traitée il y a quelques décennies par le mercure et l'arsenic. Comme expliqué dans le topic y consacré ("Peut-on être un porteur sain d'une MST ?" "Le terrain est tout, là aussi ?"), le mercure et l'arsenic ont provoqué des symptômes qui ont été associés à la syphilis. Mais en réalité, ces symptômes sont peut-être propres et uniquement causés par ce traitement au mercure et à l'arsenic, et non propres à la syphilis. N'empêche, à l'heure actuelle, les différents symptômes de la syphilis dont la survenance peut être expliquée par le seul usage de l'arsenic et du mercure sont maintenant irrémédiablement considérés - mais peut-être largement à tort - comme des symptômes spécifiques de la syphilis.

    Je me propose de faire maintenant le parallèle avec le sida.

    En 1981, au tout début de l'"épidémie" du sida, quels étaient les maladies dites caractéristiques du sida ? Il y en avait trois à ma connaissance, à savoir le sarcome de Kaposi, le PCP et l'infection à candida.

    Pour que mon hypothèse tienne (à savoir celle selon laquelle ces maladies sont causées par un "parasite" quelconque [bactérie, ...] ne pouvant vivre et se multiplier que dans un environnement pauvre en oxygène, même quand le système immunitaire se porte bien), il faudrait vérifier si l'agent responsable de ces trois maladies n'est justement pas un tel "parasite".

    N'empêche, le sida est définie arbitrairement par l'existence d'une de ces 29 maladies dites caractéristiques, et non ces trois seules maladies que je qualifierais "de départ". Il conviendrait dès lors de vérifier si une partie des 26 autres maladies ne serait pas due à l'un de ces fameux organismes pullulant en absence d'oxygène.

    Je suis bien entendu sûr qu'il en subsistera certaines qui ne sont pas causées par ce genre d'organisme. MAIS :

    - il faut bien entendu exclure les dernières maladies que l'on dit caractéristiques du sida et qui ont été ajoutées plusieurs années plus tard après le début de l'épidémie (je pense entre autres à la tuberculose qui a été ajoutée à la liste des maladies caractéristiques du sida ..... en 1993, me semble-t-il);

    - des "maladies" dites "caractéristiques" du sida, telles que l'amaigrissement, les diarrhées, la démence même, qui peuvent très bien être expliquées (je crois) par le sarcome de Kaposi, le PCP, le candida ..... et aussi les traitements donnés aux patients (Bactrim au début, AZT, et maintenant trithérapies);

    - les autres maladies dites caractéristiques du sida qui ne peuvent être expliquées par un organisme se développant dans un environnement raréfié en oxygène ...... mais qui peuvent très bien être causées par a) le sarcome de Kaposi, le PCP et le candida, et/ou b) les traitements données aux patients et/ou c) un affaiblissement général immunitaire causé les points a) et b) qui précèdent.

    En d'autres termes, je me pose la question suivante :

    Les maladies de départ (j'insiste bien sur l'expression "de départ") du sida (soit les maladies "exotiques" comme le dit si bien diamant bleu) ne sont pas dues à un affaiblissement du système immunitaire (certes préalablement causé par le stress oxydatif) mais plutôt directement causées par un stress oxydatif exceptionnel lui-même, lequel a permis à des maladies causées par les germes ne pouvant vivre que dans des organismes en manque d'oxygène de se développer ?

    Ces maladies exotiques ne peuvent-elles pas ensuite expliquer l'affaiblissement immunitaire lui-même, auquel se conjugue bien entendu le stress oxydatif (qui contribue - ensuite et davantage - à l'affaiblissement immunitaire lui-même) et les traitements eux-mêmes (Bactrim, AZT et drogues dites antivirales, qui elles-mêmes causent et/ou contribuent à l'affaiblissement immunitaire) ?

    En sorte que certaines maladies dites caractéristiques du sida ne sont finalement que la conséquence des facteurs qui précèdent (maladies causées par les germes pullulant quand l'oxygène présent dans l'organime se raréfie, et par les traitements, ceux-ci induisant seulement alors un affaiblissement immunitaire général, lequel peut alors causer des infections opportunistes moins "exotiques" et plus traditionnelles) ?

    Cela pourrait ainsi expliquer pourquoi les sidéens ne meurent pas d'infections opportunistes traditionnelles et pourquoi des séropos avec très peu de T4 ne meurent pas forcément du sida (car justement le système immunitaire se porte très bien).

    Tout cela me fait penser à encore autre chose.

    Des centaines d'études ont clairement démontré que le stress oxydatif finit par détruire les T4. Mais lesquels ? Tous les T4 ou uniquement les 3% de T4 se trouvant dans le sang (et non les 97% se trouvant dans les tissus) ? Mais de par les nombreux témoignages que nous avons, nous savons que la dimunition des T4 (mesurables, soit ceux dans le sang) ne signifie pas forcément SIDA déclaré. Ne pourrait-on pas au contraire considérer que la diminution de ces fameux T4 mesurable (soit ceux dans le sang, mais pas les 97 autres % dans les tissus et qui semblent encore très bien fonctionner) n'est que l'expression, non d'une destruction immunitaire, mais bien uniquement l'expression d'un stress oxydatif, mais par certains mécanismes (à définir), ce stress oxydatif ne mène pas nécessairement au stade du sida déclaré parce que certains séropos avec très peu de T4 mesurables ont développé des mécanismes qui ne raréfient pas l'oxygène présent dans l'organisme (par exemple, la prise de certains antioxydants, une pratique sportive très régulière [mais non intensive, car cela produirait l'effet inverse] qui stimule l'oxygénation cellulaire, ...).

    Il s'agit peut-être de pistes à creuser ...... mais par d'autres (n'étant pas virologue ou chimistes).

    En tout cas, si cette hypothèse se travail n'est pas trop loufoque mais au contraire fondée, du moins en partie, cela signifierait en fait

    - que le sida n'a AU DEPART (du moins) strictement rien n'a avoir avec une immuno-déficience acquise (ce qui expliquerait pourquoi les sidéens ne meurent pas de n'importe quelle infection opportuniste),

    - que les sidéens ne meurent pas d'infections opportunistes (du moins au départ), puisqu'ils ne tombent pas comme des mouche à la moindre bactérie passant sur eux,

    - qu'il n'y a pas lieu de se focaliser sur l'évolution des T4 (ce qu'atteste de nombreux témoignages; au surplus, la baisse des T4 est un phénomène bien plus fréquent qu'on le croit, en ce compris chez les séronégatifs : voyez par exemple ici),

    - et qu'en réalité, les sidéens meurent ("au départ", c'est-à-dire après intervention des maladies "exotiques" elles-mêmes et avant intervention des traitements, lesquels induisent alors un affaiblissement immunitaire général, source de multiples autres maladies réellement opportunistes) de maladies "exotiques" qui apparaissent à la suite d'un stress oxydatif intensif (au départ causé par les drogues récréationnelles et la toxicomanie, soit les cas de sida de 1981 à 1984, avant que les tests HIV et l'AZT aient permis d'inventer le sida hétérosexuel, soit à partir respectivement de 1984 et 1987), qui fait en sorte que le séropo est en manque d'oxygène et permet la survenue de ces maladies exotiques (et ensuite seulement, l'affaiblissement immunitaire).

    Peut-être que l'orthodoxie du sida a considéré - à tort - que le sida est un syndrome d'immuno-déficience acquise en se basant sur le chute des T4, alors que cette chute, d'une part, n'est nullement synonyme de sida déclaré, et, d'autre part, est elle-même causée par ces maladies "exotiques", les traitements donnés et bien sûr le stress oxydatif en tant que facteur aggravant (le stress oxydatif causant tout d'abord un manque d'oxygène dans l'organisme et la survenue de ces maladies "exotiques") ?

    Bref, le sida n'aurait peut-être pas dû s'appeler SIDA (Syndrome d'Immuno-Déficience Acquise) mais peut-être bien SIOA (Syndrome d'Inoxygénation et d'Oxydation Acquise) ?

    Qu'en pensez-vous ?

  3. Sur les maladies "exotiques" la réponse est simple : donne de l'azt et autres bactrim a n'importe qui (pas besoin d'etre etiquetté SIDA) et tu auras l'apparition de ces maladies "exotiques".

    Les "séropo" ne succombe pas à un rhume ou a une gastro (s'ils ne sont pas complètement intoxiqués par de l'AZT ou autres) parce que leur système immunitaire va bien... Tout simple. Il reagit normalement.

    Tout à fait.

    L'AZT et le bactrim causent un fort stress oxydatif. Cela explique pourquoi ils causent également ces maladies "exotiques", mais également des maladies liées à un affaiblissement du système immunitaire parce qu'en outre ils sont immunotoxiques ! Il en va de même des trithérapies, mais dans une moindre forte mesure puisque certaines de ces trithérapies ont un effet anti-oxydant également. En revanche, elles causent d'autres maladies non spécifiques à l'AZT.

    Les "séropo" ne succombe pas à un rhume ou a une gastro (s'ils ne sont pas complètement intoxiqués par de l'AZT ou autres) parce que leur système immunitaire va bien... Tout simple. Il reagit normalement.

    Tout à fait.

    Mais les choses se compliquent donc un peu si ces séropos sont sous drogues antivirales, puisqu'ils peuvent alors également mourir accessoirement de maladies réellement opportunistes, ces drogues dites "antivirales" étant réellement immunotoxiques et affaiblissant réellement le système immunitaire contre les infections opportunistes. L'orthodoxie du sida en "profite" pour dire que cela est la preuve qu'ils meurent d'infections opportunistes traditionnelles causées par le (pseudo) VIH ..... alors qu'elles doivent clairement être mises sur le compte des drogues antivirales. Car avant l'AZT, les sidéens ne mourraient QUE de ces infections exotiques.

    Bref, la théorie orthodoxe du sida est une suite incroyable d'erreurs d'interprétation et du désir absolu de trouver coûte que coûte un (rétro)virus comme agent responsable du sida !

  4. si le SIDA est une maladie qui détruit le système immunitaire comment se fait il que les séropositifs ne meurent pas comme des mouches avec des virus et microbes très répandus comme la grippe, le rhume, la gastro entérite et autres maladies contagieuses ?

    Si leur système immunitaire est aussi bas, ne devraient ils pas vivre dans des bulles comme ces enfants qui naissent sans système immunitaire ?

    Pourquoi les séropositifs attrapent-t-il des maladies exotiques qui sont très rares et qui deviennent mortelles pour eux alors qu'ils evitent ou résistent à la grippe, au rhume, à la gastro etc. ?

    Quand à la photo : il a déja été dit auparavant sur ce topic le pourquoi et le comment se fait scientifiquement une isolation de virus, particulièrement qu'il faut qu'il soit isolé dans le sang d'un malade et non pas dans une culture fabriquée de toute pièce (voir le principe de Koch sur la façon d'isoler un virus). Il suffit de relire ce topic pour trouver les réponses.

    Pour la question de la charge virale : voir l'étude sur les souris qui démontrent que les tests qui mesurent la charge virale se basent sur un marqueur non spécifique.

    Diamant

    Je pense pouvoir fournir une explication, qui aura l'heur de détruire (encore une fois) un des aspects fondamentaux de la théorie orthodoxe du sida, ce qui n'est pas pour me déplaire bien sûr.

    En réalité, le "sidéen" (pour faire court, pas par impolitesse) ne meurt JAMAIS d'une infection opportuniste ! C'est une erreur terrible de dire qu'un sidéen meurt d'une infection opportuniste. Et c'est justement parce qu'on part de ce présupposé que l'on mesure les T4, dont la chute progressive traduirait une chute de l'immunité (mais à tort en outre : les T4 pouvant être mesurés ne sont uniquement que ceux qui circulent dans la sang; or c'est perdre de vue que 97% des T4 se trouvent dans les tissus et que c'est justement là que les T4 font l'essentiel de leur travail de protection immunitaire; voilà qui expliquent pourquoi des séropos avec très peu de T4 ou pas du tout un moment donné vivent encore très bien, car ils ont encore leurs T4 dans les tissus, mais ceux-ci ne peuvent pas être mesurés avec les tests traditionnels de mesure des T4.).

    Les sidéens ne meurent JAMAIS d'infections dites "opportunistes". En effet, une infection opportuniste est une infection bactérienne qui se développe lorsque le système immunitaire s'affaiblit terriblement. Comme le dit diamant bleue, si un sidéen avait réellement un système immunitaire réellement affaibli, ils devraient mourir de n'importe quelle infection (comme la grippe, rhume, gastroentérite, etc... comme le dit si bien diamant bleue) et en quelques jours (si pas heures). Bref, ils devraient vivre dans des bulles à l'abri de tout microbe et virus (à supposer que ces derniers existent, mais ce point est abordé dans d'autres topics). Mais ce n'est pas de ça qu'ils meurent.

    Comme le dit diamant bleue, les sidéens meurent de maladies "exotiques" (la plupart tropicales), tout en continuant à affronter avec succès les infections opportunistes habituelles, et ce comme n'importe quel séronégatif.

    En réalité et à ma connaissance, toutes les maladies exotiques (PCP, sarcome de kaposi, CMV, ...) dont ils meurent n'ont guère de rapport avec le système immunitaire ou un affaiblissement supposé de celui-ci.

    Ces maladies exotiques (soit les 29 maladies dites caractéristiques du sida) ont la particularité d'être toutes (sauf erreur de ma part) causées par des organismes qui ne peuvent prospérer que dans un organisme en manque d'oxygène (raison pour laquelle ils peuvent se développer même chez des personnes dont les fonctions immunitaires sont parfaites, ce qui est justement le cas des sidéens puisqu'ils se défendent parfaitement ou presque contre n'importe quelle infection opportuniste). Bref, ces organismes se développant dans un organisme peu oxygéné ne sont pas des infections opportunistes ----> mesurer les T4 relève presque de l'aberration, encore plus pour justifier le début de quelque trithérapie que ce soit !

    Ces organismes prospérant en l'absence d'oxygène sont entre autres les mycètes, des sortes de champignon (comme le PCP, et le candida) qui peuvent produire de l'énergie en dehors de l'oxygène grâce à des enzymes particulières.

    Or que se passe-t-il chez un sidéen (ou même séropo) ? Ils souffrent de stress oxydatif (comme l'a maintes fois expliqué Cheminot), ce qui signifie que le sang est oxydé et donc que le sang ne peut plus du tout ou plus aussi efficacement transporter l'oxygène dans l'organisme. Et dès lors, ces maladies "exotiques" causées par ces organismes ne pouvant se développer que dans un organisme mal oxygéné apparaissent et se développent, le système immunitaire - toujours en bon état de fonctionnement - du sidéen continuant à se défendre efficacement contre les infections opportunistes "traditionnelles". Et ces mycètes ont la particularité de se développer sur les matières organiques mortes par défaut d'oxygénation.

    Cela explique entre autres pourquoi le candida, dont nous sommes presque tous porteurs, ne devient pathogène qu'en cas de stress oxydatif et pourquoi les séropos en souffrent et les sidéens en meurent. Idem pour les autres infections dites typiques du sida.

    CONCLUSION :

    1) Je pense qu'il faut cesser définitivement de dire que les sidéens meurent de maladies opportunistes ! Non seulement, c'est faux (ils ne meurent que de maladies ne pouvant apparaître que dans un corps mal oxygéné) mais cela induit l'idée erronée qu'un séropo doit examiner régulièrement l'évolution de ces T4.

    2) L'explication que je donne à diamant bleue (basée sur une "impression" obtenue à la lecture d'articles que je ne peux plus retrouver (car j'ai en ai bien lu au moins 150 sur les arguments de la dissidence) ne peut en aucune façon être expliquée par la théorie orthoxode d'un (pseudo) virus qui détruirait progressivement les T4 (car alors, le sidéen devrait mourir de n'importe quelle infection opportuniste), mais prouve bien au contraire que le sida est causé par le stress oxydatif !

    Bref, répondre à la question de diamant bleu, c'est détruire une fois de plus la théorie orthodoxe du sida !

  5. Pour l'isolement du virus, le virus a pu être isolé (pas purifié par contre)

    Affirmer que le rétrovirus HIV a été isolé quoiqu'il n'ait pas été purifié (comme tu l'admets toi-même) est ..... une hérésie scientifique !

    Voilà ce qu'en dit Papadopulos dans le commentaire 20 de cet article :

    "Pour isoler un rétrovirus, le stade de la purification EST obligatoire. ON NE PEUT PAS ISOLER UN RÉTROVIRUS SANS PURIFIER. Par définition, isoler signifie "mettre à part ou seul" (Concise Oxford Dictionary) et purifier signifie "débarasser de tout élément étranger" (Concise Oxford Dictionary). Donc, on ne peut pas prétendre avoir isolé les particules "VIH" tant que tous les contaminants présents n'ont pas été éliminés, c'est-à-dire tant que le "VIH" n'a pas été purifié".

    En d'autres termes, comme tu admets que le virus n'a pas été purifié, forcément, il n'a pas pu être isolé ! L'isolation implique une purification antérieure et l'isolation ne peut exister sans cette purification. Ces deux étapes sont indissociablement liées.

  6. Oui, mais est-ce qu'on lui a diagnostiqué la syphilis avant ou après son éruption cutanée ? Parce que si c'est après, c'était facile pour le médecin de faire le savant après-coup. Ca n'a aucune valeur. C'est une autre paire de manche que d'avoir quelqu'un qui n'a rien, à qui on diagnostique la syphilis et de le voir développer la phase deux.

    Effectivement, tu as raison, la syphilis de cette personne a été détectée après l'éruption cutanée.

    Je ne pense pas qu'ils détectent le tréponème directement. Je pense qu'ils utilisent un test d'anticorps. C'est beaucoup plus facile pour eux. Surtout que comme le microbe n'est pas tout le temps actif (selon la théorie en vigueur), on peut penser que les scientifiques ont monté une théorie comme quoi, en dehors des phases actives, celui-ci est caché. Donc, a priori, un test d'anticorps sera plus utilisé (puisque les anticorps sont sensés être détectables tout le temps, eux). C'est sur qu'en phase d'éruption, comme dans le cas de ton ami, selon la théorie, on devrait pouvoir détecter directement le tréponème. Donc, il serait possible qu'effectivement, à ce moment-là, ils utilisent un de test détectant directement le tréponème (avec amplification genre PCR). Seulement, on peut penser que par facilité, ils continuent à utiliser un test d'anticorps. Il faudrait vérifier, mais je le vois bien comme ça.

    Et tu as raison, encore une fois !

    Suite à tes remarques, j'ai fait des recherches sur internet et j'ai trouvé ceci et ceci

    Quand on examine ces deux documents, on constate effectivement que les différents (car il y en a plusieurs) tests de détection de la syphilis se basent sur la recherche des anticorps. Et comme si cela ne suffisait pas, il y a régulièrement des problèmes d'interprétation !

    De manière générale, en lisant ces deux documents et en particulier celui de doctissimo, j'ai été tout particulièrement frappé par les éléments suivants qu'on n'entend et on ne lit JAMAIS dans la presse généraliste, à savoir :

    1) De nombreux symptômes de la syphilis sont communs à des tas d'autres maladies !

    2) Au bout d'un certain temps, la syphilis n'est plus contagieuse du tout !

    3) L'évolution de la syphilis au bout de plusieurs années est la suivante :

    a) Dans un premier tiers des cas, il y a guérison spontanée !!! Alors là, je suis abasourdi !

    b) Dans un autre tiers des cas, la syphilis devient latente, soit si j'ai bien compris : on a certes encore des anticorps et c'est donc détectable au moyen des tests ..... mais on n'est pas contagieux et on ne développe pas de symptômes quelconques.

    c) Dans un dernier tiers des cas, on évolue effectivement vers les formes secondaires et tertiaires. Il serait à mon sens particulièrement intéressant de savoir ce qu'il peut y avoir de réellement commun chez les personnes qui développent des symptômes de la syphilis secondaire et tertiaire. Evidemment, faire des études de ce genre aboutirait visiblement à remettre en cause les dogmes de la médecine sur les IST, à savoir que c'est terriblement contagieux dans tous les cas (la médecine ne fait pas dans la nuance), c'est mortel et terriblement dangereux, et il faut courir se faire soigner au plus vite avec des antibiotiques puissants et soi-disant sans danger pour la santé (trois fois lol !).

    Et quand je pense au cas de cette personne qui a souffert de cette éruption carabinée violente et brûlante, je dois préciser que cette personne souffre de stress oxydatif (car séropo), prend des drogues antivirales contre le pseudo HIV (possibilité d'élargir le débat ?: les drogues antivirales favorisent-elles le passage vers des symptômes de la syphilis; car quand j'y repense et comme précisé dans mon post d'introduction de ce topic, l'augmentation des cas (de symptômes) de syphilis est exactement parallèle à l'augmentation de nombres de personnes sous drogues "anti-VIH"), du poppers et d'autres drogues, genre GHB, cristal et que sais-je encore !

    La conclusion - provisoire - de ce topic particulier à la lecture des différents posts qui précèdent ne pourrait-elle finalement pas être la suivante, aussi choquante soit-elle de prime abord pour l'orthodoxie médicale (je me contenterai d'une conclusion provisoire concernant le seul cas de la syphilis devenue "courante", mais je ne serai pas étonné que l'on puisse l'étendre à d'autres IST en général [et certainement aux hépatites B ET C; de cela, je n'en doute pas un seul instant]) :

    "La syphilis est en définitive une maladie bénigne dont les symptômes graves ne se manifestent dans la presque totalité des cas qu'en raison de l'effet nocebo y attaché (l'hystérie et la peur collectives entourant actuellement les IST et auquelles contribuent fortement les organisations de défense du SIDA poussant les gens à passer le test de la syphilis au moindre doute ou à défaut, très fréquemment, et en cas de test positif, à interpréter le moindre symptôme se manifestant comme étant la "preuve" de la maladie, cette croyance poussant nécessairement l'individu à développer les autres symptômes "spécifiques à cette maladie) et du style de vie immunodépressif et toxique du "patient" (drogues récréationnelles et chimiques), ces deux facteurs essentiels pouvant être favorisés par l'environnement dans lequel ce dernier vit (présence de mercure, voire d'arsenic sous les formes les plus diverses). Les rares cas de symptômes graves de la syphilis se manifestant en dehors des facteurs précités ne sont statistiquement pas significatifs et ne sauraient justifier l'hystérie collective actuelle savamment créée et entretenue par les mass media sur les IST. Le recours à l'homéopathie semble cependant prudent et fortement recommandé pour prévenir des séquelles éventuelles de cette 'maladie'".

    Je sais que cette conclusion provisoire est de prime abord choquante mais elle semble plausible au regard de ce qui a été dit dans ce topic ..... Et les ressemblances avec le scandale du "sida causé par un virus polyvalent, polymorphe et tout puissant, semblable à l'effroyable alien du film de science-fiction" ..... ne sont pas fortuites !

    A d'autres de faire maintenant part de leurs avis pour affiner éventuellement cette conclusion !

  7. J'ai plutot compris que c'était 20% des 0,0005 donc que cela divisait le risque de 1/2000 en 1/10 000

    Mais c'est pas claire quand même.

    Non, non, Rosalie. Ce que tu viens d'écrire est exactement ce que l'orthodoxie du sida voudrait nous faire croire. Mais ne tombons pas dans le piège tendu par celle-ci !

    Réfléchissons tous ensemble.

    L'orthodoxie du sida et en particulier les organisations de défense ("défense" : franchement, dans ce cas-ci, cela crève les yeux ..... même d'un aveugle) du sida (Act Up, Aides, Sneg & Co) affirment sans cesse que les risques de transmission du « virus HIV », après un rapport « à risque » (cest-à-dire rapport vaginal ou anal sans préservatif), sont réduits de 80% (c'est ce pourcentage qui est sans cesse affirmé dans la presse) si la « victime » de ce rapport à risque prend au plus tard dans les 48 heures qui suivent et pendant un mois au moins lune de ces fameuses trithérapies. Mais pour affirmer que ce risque est réduit de 80%, comment font-ils ? A ma connaissance, ils comptent le nombre de personnes qui ont pris ce traitement « post-exposition » et à la fin du « traitement », ils vérifient combien de ces personnes deviennent séropositives (il me semble qu'il s'agit de la seule méthode possible, puisque par définition, on ne sait au départ si la personne ayant couru un risque est effectivement devenue séropositive; en outre, si on devait affirmer que les traitement réduisent de 80% un risque au départ évalué à 0,05%, ce "traitement" me semble parfaitement inutile vu que le risque au départ est déjà presque réduit et correspond à un bruit de fond [comme précisé antérieurement par Cheminot]). Or, les faits sont là : 20% des personnes qui ont pris ces traitements « post-exposition » sont devenus séropos ! Lorthodoxie dit (en prétendant que cest la même chose) : les risques de transmission sont « donc » réduits de 80%.

    Mais il me semble quil y a une faille de taille dans le raisonnement de lorthodoxie du sida affirmant que le risque est ainsi réduit de 80%. En effet, pour affirmer cela, lorthodoxie doit nécessairement supposer que celui qui a eu un rapport à risque avait 100% de chances davoir été contaminé lors de ce rapport à risque (si cétait le cas, alors effectivement, on pourrait dire que le risque a été réduit de 80%). Mais ce postulat de base (100% de certitude que la victime de cette relation à risque a été contaminée) est bien sûr FAUX !

    Car il sagit justement dun rapport à risque, en dautres termes, on ne sait justement pas sil a été contaminé au départ. Or, soit il a eu un rapport vaginal ou anal sans préservatif avec une personne qui nétait pas séropositive (mais la « victime » lignorait), et le risque de départ est en fait égal à 0%, soit il sagissait dun rapport à risque avec une personne réellement séropositive. Or nous savons que dans ce cas, le risque de contamination au départ nest que de 0,05% lors dun rapport hétérosexuel et 1% (pour simplifier les chiffres : entre 0,5% et 3%) lors dun rapport anal passif.

    Mais les faits bruts sont clairs : sur lensemble de toutes ces personnes qui ont subi ce risque déjà réduit (0,05% ou 1% en fonction de la sexualité) et qui ont pris ce « traitement » post-exposition, 20% de lensemble de ces personnes sont devenus séropositifs ! Tel est la réalité des faits constatés.

    La conclusion saute aux yeux : en prenant ces fameuses drogues dites « antivirales » après un rapport à risque, on a en réalité 400 fois (en cas de rapport hétéro) ou 20 fois (en cas de rapport anal passif) PLUS de chance de devenir séropo, et non 5 fois moins !

    Il y a peut-être une faille dans le raisonnement, mais je ne lai pas encore trouvé. Mais il est vrai que je nai pas voulu trop chercher une éventuelle faille avec cette « logique » car je trouve ce raisonnement presque trop beau (pour y croire) : en deux phrases, je crois ainsi démontrer que 1) la séropositivité nest clairement pas sexuellement transmissible (mais cela est déjà une redite de ce qu'a précisé antérieurement Cheminot), 2) que cest lutilisation de drogues sources de stress oxydatif qui cause plus que vraisemblablement la séropositivité et 3) que les trithérapies sont clairement nocives pour la santé ! (hormis dans des cas exceptionnels bien sûr, ce qui a déjà été évoqué dans des posts antérieurs).

    Au surplus, cela démontre aussi quil nest pas forcément nécessaire dêtre un virologue multidiplomé (mais cela aide énormément, bien sûr !) pour mettre à néant le dogme du virus tueur, comme la laissé sous-entendre tout récemment un intervenant sur ce topic, et ce simplement en faisant preuve d'un peu de logique!

  8. Avec une probabilité de transmission par acte de 1 pour 2000, comment peux-tu être sûr que la séropositivité de cette personne soit vraiment due à une transmission sexuelle d'un virus?

    Cette remarque de Cheminot permet en outre, me semble-t-il, de mettre le doigt sur une incohérence de plus (à moins que cela ait déjà été souligné dans ce topic, auquel cas je m'excuse) de l'orthodoxie du sida.

    En effet, au vu de cette statistique fournie par le ministère de la santé publique elle-même, comment l'orthodoxie du sida peut-elle encore suggérer de prendre un traitement "post-exposition" après un rapport à risque ? Un rapport hétérosexuel "à risque" : risque de devenir séropo = 0,0005 (1/2.000 ou 0,05%). Or, les statistisques sont impitoyables pour ceux qui prennent des traitements dits de "post-exposition" : 20% de ceux qui ont reçu ce "traitement" d'urgence sont devenus séropos ! (voyez par exemple ici).

    Donc, les statistiques ne trompent pas : un hétéro ayant eu un rapport "à risque" a 400 FOIS PLUS DE RISQUE (0,05% ---> 20%) de devenir séropo en prenant un "traitement" post-exposition !

    Cette incohérence dans la théorie orthodoxe du sida reste également valable en cas de rapport anal passif "non protégé" où, si j'ai bonne mémoire, le risque est évalué entre 0,5 et 3%. Donc, même dans ce cas-là, les risques de devenir séropo en prenant un traitement d'urgence sont au minimum 7 fois plus élevés (3% ---> 20%), voir même 40 fois plus élevés (0,5% ---> 20%) !

    Bref, cela montre bien que les risques de devenir séropo sont infiniment plus élevés en prenant des drogues chimiques, en particulier ici les fameuses trithérapies (c'est vraiment un comble en l'occurrence !), que lors d'un rapport sexuel "à risque" !

    Et face à des incohérences pareilles, l'orthodoxie du sida veut encore nous faire croire que la séropositivité est sexuellement transmissible et que les drogues dites "antivirales" sont, dans leur principe, un bienfait !

    Comprenne qui pourra ! reflechi.gif

  9. Ceci dit, attention le stress oxydant est une quasi constante dans les maladies infectieuses.

    Tout à fait !

    Ce n'est d'ailleurs pas pour rien qu'à l'occasion d'un test HIV, on découvre souvent d'"autres" IST (qui sont vraies, celles-là), qui ont la particularité d'engendrer un fort stress oxydatif, comme tu le dis si bien. En d'autres termes, dans ces cas-là, on peut très raisonnablement considérer que c'est justement l'IST en question qui a permis de rendre le test "HIV" positif ! Nul besoin d'un rétrovirus pour l'expliquer !

  10. A l'attention de Dongiovanni

    En ne prenant pas son traitement, le séropo fait un choix PERSONNEL.

    Encore une fois, je suis tout à fait d'accord avec toi. Ce choix personnel s'appuie sur le principe fondamental selon lequel chacun dispose comme il entend de son corps et a droit à la liberté thérapeutique, ce qui implique que chaque séropo doit être clairement informé du fait que les scientifiques sont loin d'être tous d'accord sur la cause du sida, qu'il existe à tout le moins une autre cause plausible au sida, que celle-ci fait ses preuves, et qu'il existe d'autres possibilités de traitement. Clairement informé de cette alternative (mais cela est rendu quasiment impossible par l'orthoxodie du sida, le dogme du virus tueur n'existant à ce jour qu'en raison d'une tradition relevant d'une quasi mystique religieuse et des moyens financiers mis à la disposition pour perpétuer ce dogme), le séropo aura enfin l'occasion de faire un choix véritablement éclairé. Dans les rares cas où le choix thérapeutique de la dissidence n'aura pas été efficace (ce qui est tout à fait possible en cas de stress oxydatif devenu irréversible), il lui sera toujours possible de recourir en désespoir de cause aux drogues antivirales, dont je ne nie pas l'utilité dans les cas extrêmes de ce genre.

    Pour le surplus, une occupation très professionnelle très prenante m'empêche de répondre à tes si nombreux posts. Mais d'autres sur ce site, en fonction de leur propre temps libre, se feront un plaisir de te répondre.

    Je crains hélas que ton cas soit irrécupérable car tu as visiblement bien été endoctriné et, partant, perdu tout esprit critique sur ce sujet. Il est regrettable que tu ne te donnes visiblement pas la peine de lire la synthèse qui a été faite au début de ce topic (mais cela changera peut-être ?). Pour ma part, je préfère concentrer mes efforts (conjointement avec un autre dissident sur ce site) à traduire de l'anglais en français une réfutation partielle (mais sur des points essentiels) à la moins mauvaise contre-argumentation existante aux arguments de la dissidence du sida, et pour le surplus à réfuter les autres points de cette contre-argumentation. Il s'agit d'un travail de long haleine mais qui permettra, j'en suis convaincu, d'aider ceux qui découvrent la dissidence du sida et qui ont au moins réussi à se débarrasser des oripeaux de la mystique quasi religieuse du HIV. Bref, ce sera destiné à ceux qui ont l'esprit ouvert et qui n'ont pas décidé de considérer que la théorie du virus tueur est un dogme intangible, relevant de l'infaillibilité pontificale. Pour ceux-là, il y a encore de l'espoir et l'effort à fournir en vaut réellement la peine.

    Mais sinon, durant mes temps libres et pour me détendre, je me ferai un plaisir de réfuter tes affirmations, du moins sur les points qui ne relèvent pas trop de la science extrêment pointue. Mais la matière du sida est justement celle où le bon sens, pourtant à la portée de n'importe quel quidam, a définitivement quitté le domaine de la science du SIDA et donne lieu à de multiples déclarations délirantes de la part de l'orthodoxies du sida (exemple : virus mutant, et à ce point mutant qu'un séropo asymptomatique héberge plus d'un million de variantes génétiquement distinctes du VIH et 100 millions chez les sidéens, immunisation naturelle des prostituées contre le sida, la mystérieuse mutation du gène CCR5 remontant à l'époque de la peste et qui seraient présents chez les survivants à long terme, etc... ).

  11. Il n'y a rien de compliqué dans cette notion de "malade",

    laisse moi t'épargner le suspens, tu es malade dès lors que tu chope cette saloperie de virus...

    Avant de déclarer le syndrome (SIDA), on observe plusieurs phases dont une chute inexorable des T4.

    Les antiviraux et autres traitement ralentissent l'apparition du syndrome, mais c'est au prix d'effets très indésirables...

    Libre à chacun de faire ce qu'il veut, s'il veut vivre 20 ans sous traitement ou 10 ans sans!

    Dongiovanni,

    Par respect pour tous les autres, fais d'abord l'effort de lire au moins la synthèse qui figure au début de ce topic (à défaut d'avoir le courage de lire l'intégralité de celui-ci, ce que je peux comprendre) et d'y contredire avec de sérieux arguments, s'il échet.

    Cela nous permettra d'éviter de lire une énième fois la montagne de lieux communs que tu viens d'énoncer.

    Merci.

  12. On rejoint la la théorie des miasmes de la medecine homeopathique... selon laquelle le miasme syphilitique (par exemple) se transmet a la femme ou a l´homme exactement suivant la phase a laquelle il a ete supprimé...

    Ta référence à l'homéopathie me semble très intéressante également.

    Cela m'a donné l'idée de consulter l'ouvrage suffisant, à savoir "Thérapeutique homéopathique" du Docteur Claude Binet (Tome II, Editions Dangles, 2002, p.276), que j'ai depuis un an mais dont je ne me suis encore jamais servi car un an, la seule chose que j'ai eue est un début d'angine et de bronchite que j'ai traité en recourant à la phytothérapie (propolis pour l'angine; eucalyptus radiata par inhalation) et à l'aromathérapie (huiles essentielles : Ravintsara et eucalyptus globulus, par friction sur la peau et contre la bronchite). C'était d'ailleurs la première fois que j'ai eu recours aux médecines naturelles (car auparavant, je faisais encore confiance à la médecine traditionnelle), et le moins qu'on puisse dire, c'est que déjà en deux jours, j'étais quasiment guéri, alors qu'avec les médicaments et autres antibiotiques de la médecine traditionnelle, il m'en aurait certainement fallu pour dix jours ! Bref, je suis maintenant à 200% pour la médecine dite naturelle.

    Bref, dans son ouvrage, l'auteur précise tout d'abord qu'il ne faut pas se soigner seul et que le recours au médecin est indispensable. Ceci étant, il ajoute que SEULE L'HOMEOPATHIE parvient à drainer et à éliminer les toxines résiduelles d'une syphilis traitée allopathiquement et à éviter des complications tardives.

    Donc, pour bien soigner une syphilis, le recours à l'homéopathie paraît indispensable. Ceci étant, est-il nécessaire de recourir à l'homéopathie lorsqu'on n'a jamais eu le moindre symptôme de la syphilis, du moins apparent ? Voilà l'une des questions que je me pose maintenant.

  13. Donc, à mon avis, toute individu censé être porteur d'une MST, s'il a une vie saine et qu'il ne prend pas de substances dangereuses, est normalement un porteur sain.

    Les considérations que j'ai développées ci-avant n'empêchent cependant pas que c'est bien ce que je pense aussi ! Car finalement, je connais quand même pas mal de personnes qui ont contraté la syphilis mais hormis une seule personne ayant subi une éruption cutanée de la peau, les autres ont eu pour seul tort d'avoir réagi positivement au test, mais toujours sans le moindre symptôme (ceci étant, certains ont quand même confirmé avoir eu un chancre).

    Mais libre à toute personne de faire part de son opinion sur le sujet.

  14. Il faut préciser ce que tu entends par porteur "sain" ...en apparence ou sur le plan physiologique ?

    Si je prends par exemple le cas de la syphilis, j'entendrai par "porteur sain" : "Etre par exemple porteur du tréponème (bactérie accusée d'être responsable de la syphilis), mais continuer à vivre sans le moindre symptôme attribué à cette maladie, et pouvoir vivre jusqu'à mes vieux jours sans avoir souffert le moins du monde d'une maladie quelconque reliée à la syphilis".

    Un peu comme le "toxoplasma gondii", contre lequel 70% de la population française possède des anticorps (comme on peut posséder des anticorps contre la syphilis), mais qui ne causera la toxoplasmose qu'en cas d'immunodépression de la personne.

    Ne serait-ce pas également possible pour les IST en général ? Voilà l'objet de ce topic.

  15. Je veux bien que l'on soit "Dissident" et que l'on refuse de prendre les "tri" mais on sait aujourd'hui que la médecine est en mesure de vous écarter de toutes les maladies opportunistes si elles sont prisent à temps!!!

    Refuser les soins dans des cas aussi extrèmes relève du suicide.

    Je sais que je risque d'être traité de tous les noms de chameaux par les plus radicaux d'entre nous...

    Je suis tout à fait d'accord avec toi. Dans les cas extrêmes (et la toxoplasmose me semble justement être un de ces cas), refuser de recourir aux drogues "antivirales", même temporairement, peut s'avérer être un remède bien pire que le mal (le mal étant donc les drogues antivirales elles-mêmes). Car certaines de ces drogues, qui n'ont de toute façon absolument rien d'antivirales, ont quand même un effet antioxydant exceptionnel et un effet antibiotique à large spectre. Il serait regrettable de ne pas y recourir dans les cas extrêmes. Et il paraît même malheureusement ("malheureusement" car ces "effets secondaires" sont véritablement handicapants et de plus en plus souvent mortels) obligatoire d'y recourir dans les cas où le stress oxydatif est devenu irréversible.

    Comme quoi il n'y a absolument rien d'incompatible entre le fait d'être un dissident du sida et celui de devoir recourir aux "trithérapies" dans les cas exceptionnels. Que du contraire, puisque ce recours exceptionnel aux drogues antivirales se justifie en raison même de la théorie du stress oxydatif défendue par la majorité de la dissidence.

    Mais que les choses soient bien claires : hormis ces cas exceptionnels, le principe est intangible : le recours aux drogues antivirales doit être proscrit, et ce pour une raison d'une effroyable simplicité, à savoir qu'en raison du mécanisme même inhérente aux drogues antivirales, celles-ci provoquent ou aggravent l'immunodéficience elle-même qu'elles sont pourtant censées combattre.

    Ce point ne fait aucun doute. En effet, si l'on s'en tient à la théorie orthodoxe et abracadrabantesque du sida, le virus s'introduit dans les T4 (après 25 ans de "recherche", on n'est pourtant jamais arrivé à le prouver in vivo !) dont il utiliserait le matériel génétique pour se répliquer en moult "exemplaires" (et pourtant, même chez les sidéens en phase terminale, soit on ne trouve pas du tout ce virus, soit on en trouve trop peu que pour causer un effondrement immunitaire quelqu'il soit). Sauf erreur de ma part, pour réaliser ce miracle rétroviral, le virus utiliserait trois enzymes, à savoir, premièrement, la transcriptase inverse pour retranscrire l'ARN du rétrovirus en ADN, deuxièmement, l'intégrase pour introduire l'ADN du virus dans le génome du T4, et troisièmement, la protéase pour assembler les nouveaux virus.

    Or chaque drogue antivirale inventée sur ce modèle purement théorique a, je crois, pour objectif d'inhiber l'activation de l'une de ces trois enzymes, et empêcher ainsi la multiplication du pseudo virus. Et il se fait qu'en inhibant l'une et/ou l'autre de ces enzymes et donc en empêchant la reproduction du supposé virus, les "médicaments" en question inhibent par la même occasion et obligatoirement d'autres enzymes indispensables au bon fonctionnement de l'organisme humain et empêchent même la reproduction cellulaire (dont entre autres, celle des T4). En d'autres termes, ces drogues supposées contrer la multiplication du virus constituent par la même occasion des poisons cellulaires .... et sont donc elles-mêmes immunodépressives ! Et le pire dans tout ça, c'est que non seulement ces drogues antivirales sont des poisons cellulaires, mais en plus, ne soignent pas véritablement et à titre principal contre les causes réelles du sida, à savoir le stress oxydatif (que l'on observe chez tout malade du sida et même chez tout séropo) ! Face à de telles constatations, un esprit rationnel aboutirait à la conclusion évidente que le recours aux drogues dites "antivirales" doit être proscrit (sauf cas exceptionnels en raison des quelques effets secondaires réellement bénéfiques de ce qui doit être considéré à la base comme un poison).

    Et comme si cela ne suffisait pas, il semblerait (car ce point-là, je ne l'ai vu écrit que dans un seul article scientifique) que lorsqu'on est arrivé - mais uniquement en laboratoire, par des procédés artificiels, jamais in vivo - à causer des maladies (leucémies et cancers, semble-t-il), à partir de rétrovirus, ces maladies en question sont toutes INCURABLES et ne peuvent être évitées par aucun vaccin ! En d'autres termes, si le sida était vraiment causé par le (pseudo) rétrovirus HIV, les scientifiques (y compris les orthodoxes) doivent avoir toutes les raisons de penser que le SIDA ne sera JAMAIS GUERISSABLE, et donc que tout ce qu'on invente actuellement comme drogues dites "antivirales" ne sont que des leurres destinés à masquer cette évidence scientifique.

    Mais, ouf, le sida n'est heureusement pas causé par un rétrovirus !

    Pour clôturer, je vais profiter de ce topic (qui me semble tout à fait approprié, mais bien évidemment, j'espère ardemment que Jimmy le Rebel se porte bien !) pour tordre définitivement le cou (je ne crois pas que cela a déjà été fait, à tout le moins sur ce site) à un argument qui est parfois invoqué pour discréditer les thèses dissidentes.

    En effet, je lis et entends parfois de la part de l'orthodoxie du sida que les thèses dissidentes sont farfelues au motif que de nombreux dissidents meurent malgré tout le sida.

    La stratégie de défense habituellement adoptée par la dissidence consiste à démontrer par A + B que les dissidents ne sont pas morts du sida ou sont morts du sida parce qu'ils n'ont pas arrêté à temps l'AZT ou leurs drogues antivirales avant que celles-ci ne causent des dommages irréversibles à l'organisme (et cela peut aller très vite en fonction des individus !). Cette stratégie me semble bien entendu excellente, mais quand bien même il aurait été constaté que quelques (rares) dissidents seraient morts parce qu'ils consommaient par exemple les drogues récréationnelles que pourtant ils dénoncent avec tant de ferveur, il n'y a pas lieu pour les orthodoxes d'en déduire pour autant que la mort de ces dissidents prouverait qu'ils ne croient finalement pas réellement en leurs propres théories et que celles-ci sont bidon, et ce pour les raisons évidentes suivantes :

    1) Cet "argument" des orthodoxes ne réfute en rien l'argumentation scientifique elle-même de la dissidence, argumentation qui est la seule à valoir.

    2) Cet "argument" fait fi de la véritable nature humaine, à savoir que l'homme n'est pas uniquement un être doué de raison (s'abstenir des drogues récréationnelles par exemple), mais c'est surtout un être agissant en fonction de ses passions (je sais que je vivrai plus longtemps en m'abstenant de drogues récréationnelles, mais c'est plus fort que moi, la vie sans vices quelconques ne vaut pas la peine d'être vécue, même si ma vie est susceptible d'être fortement raccourcie) , lesquelles peuvent souvent prédominer sur la raison. En d'autres termes : "Faites ce que je dis (c'est l'"idéal" scientifiquement établi), pas ce que je fais !" N'empêche, même si un dissident fait le contraire que ce qu'il prêche, ce qu'il prêche reste toujours la vérité scientifique !

    3) Troisièmement et certainement surtout, cet "argument" peut être renvoyé en pleine figure de l'orthodoxie du sida elle-même. Prenons le cas typique des barebackeurs, soit les personnes qui ont fait le choix (passionnel) d'avoir systématiquement des rapports sexuels non protégés. Ils font en réalité partie des plus grands défenseurs du dogme du virus tueur, et ce en raison même de l'opprobre quasi général qui s'abat sur eux et qui les oblige à défendre l'idée du bareback politiquement et socialement correct (à savoir, rapports non protégés mais uniquement entre séropos). Ils "savent" très bien que "le sida est causé par le virus HIV" et pourtant, en raison de leurs passions, ils s'abstiennent délibérément d'utiliser des capotes qui éviteraient la "contamination du VIH". Si les dissidents utilisaient à l'encontre de l'orthodoxie du sida l'argument invoqué originellement à leur encontre, ils pourraient alors parfaitement affirmer que la théorie du virus tueur est pour le moins farfelue puisque leurs partisans ont quand même des relations sexuelles "non protégées". Cela prouve donc que finalement ils ne croient pas réellement à leur théorie du virus tueur et que cette théorie est complètement bidon ! Evidemment, ce n'est pas sur base d'un tel argument que la théorie du virus tueur est combattue par les dissidents. De même, il n'y a aucune raison d'invoquer réciproquement ce même argument à l'encontre de la dissidence du sida !

    CQFD ! (enfin, je me permets de le croire)

  16. Je tenais tout d'abord à présenter mes excuses à sicnarfa. En effet, comme ton post a suivi le mien, j'ai de bonne foi pensé qu'il s'agissait d'une réponse à la question posée à la fin de mon post, d'autant plus que ton post aurait parfaitement pu être interprété comme une réponse (d'ailleurs Isis Rider l'a pensé également). Comme j'ai supposé que ton post était une réponse, forcément, je l'ai pris comme une insulte ("ignorant", "con", ...) et par conséquent (mes origines à moitié méditerranéenne n'arrangeant rien dans l'affaire), je l'ai très mal pris.

    En réalité, ton post, posté quelques minutes après le mien, n'avait strictement aucun rapport.

    Donc, encore une fois mille excuses, sicnarfa.

    Entre-temps, j'ai eu le temps de faire des recherches sur cette fameuse étude SMART, et j'ai entre autres trouvé ceci, qui confirme entièrement l'interprétation d'Aixur, à savoir que cette étude déterminait la nécessité de reprendre ses drogues antivirales uniquement sur base de la mesure de la charge virale et du nombre des T4, le premier critère prêtant à rire (charge virale) et le second, à savoir les T4, aux critiques les plus sérieuses (lisez par exemple l'étude scientifique suivante, en anglais, très complète, qui démontre clairement que se baser sur le nombre des T4 pour décider de la "nécessité" de (re)prendre des drogues "antivirales" est une parfaite aberration; et ce, sans même tenir compte des nombreux témoignages sur ce forum et sur d'autres sites de séropos vivant en parfaite santé avec un taux de T4 ridiculement bas depuis plusieurs années).

    Bref, mon interprétation n'aurait pu jouer que dans l'hypothèse où la reprise de drogues antivirales aurait été justifiée par la constatation de réels symptômes cliniques de maladies chez les participants à cette étude. Mais visiblement, j'ai été bien naïf de croire qu'ils s'étaient basé sur des symptômes réels, et non encore sur les seuls marqueurs que seraient les T4 et la charge virale. L'orthodoxie du sida en est encore toujours à ce stade-là de leurs "recherches" !

  17. Question stupide d'un ignorant:

    Que ce passe t il si j'exerce sur ton front une pression de 500g de façon continu ?

    Que se passe t il si j'exerce sur ton front une pression de 500g de façon discontinu ...une fois par seconde par exemple?

    C'est vraiment con comme question!

    Cher sicnarfa,

    Malgré le respect que je te dois éventuellement (respect que tu me dénies sans le moindre doute possible [c'est vraiment con comme question !]; je me demande bien pourquoi d'ailleurs), je ne suis guère convaincu par ton explication, et même pas du tout en y réfléchissant un tantinet soit peu. C'est exactement en raison de ce genre d'argument simpliste, toute faite, en deux lignes et sans la moindre nuance que je me heurte à la franche hostilité de ceux à qui j'essaie de faire connaître l'existence d'une dissidence en matière de sida. J'ai posé cette question car je me mets à la place du séropo qui, ahuri, découvre l'existence d'une dissidence sur le sida, se rend sur ce forum, constate que presque tous les intervenants sur ce forum proposent, le plus souvent sans grande nuance, comme solution d'arrêter leurs drogues antivirales et qui ensuite lit cette dépêche et constate qu'il résulte d'une étude menée sur une grande échelle que le séropo qui est momentanément en vacances thérapeutiques se porte finalement plus mal que celui qui consomme religieusement et tous les jours ses drogues antivirales. Il ne pourra que penser que les dissidents sont des fous dangereux. Compte tenu de l'expérience que j'ai avec ceux dont j'essaie vaille que vaille de susciter l'intérêt sur la dissidence du sida, je peux t'assurer que ton "explication" suscitera nombre de railleries à mon égard !

    Car il me semble pour le moins osé et même particulièrement hasardeux de comparer une pression continue de 500g sur le front avec la prise quotidienne de drogues hautement toxiques. Comparaison n'est pas raison. Car ton "explication" ne tient - entre autres - pas compte du fait évident :

    - que celui qui prend tous les jours ses drogues antivirales accumule chaque jour davantage des toxines diverses dans son organisme, qui tôt ou tard détruiront sa santé et l'amèneront, le cas échéant, au stade du sida déclaré,

    - et que celui qui est en vacances thérapeutiques a au contraire l'occasion de récupérer et de débarrasser son corps de ses toxines, bref, de remettre son compteur "santé" à zéro (contrairement à celui qui n'arrête jamais ses drogues antivirales) lorsque pour une raison ou l'autre il reprend ses drogues antivirales.

    Ton "explication" revient également à dire par exemple que celui qui sniffe tous les jours de la coke (pression continue de 500 grammes sur le front) sera en moins mauvaise santé que celui qui en sniffe occasionnellement (pression discontinue de 500 grammes sur le front). Non, décidément, ta comparaison comme "explication" me semble particulièrement téméraire.

    Pour ma part, j'ai une autre explication, plus élaborée.

    L'idéal serait bien sûr de savoir préalablement quel était le style de vie de ceux qui tout en étant en vacances thérapeutiques, refont une rechute. Mais à défaut d'être en possession de cette information, nous ne pouvons que nous répandre en explications à tout le moins plausibles.

    Supposons que je sois un orthodoxe du sida et que je suis donc persuadé que le VIH soit la cause nécessaire et suffisante du sida. Je n'informerai forcément pas les participants de cette étude de ce qui cause réellement le sida, comme par exemple l'usage de drogues récréationnelles (je ne prendrai que cette cause-là dans ce cas-ci).

    Que se passe-t-il chez celui en vacances thérapeutiques et qui retombe dans les mêmes travers que précédemment, à savoir qu'il reconsomme ou continue à consommer des drogues récréationnelles (car s'il reconsomme des drogues antivirales, c'est que son immunité a bien dû s'affaiblir à nouveau et préalablement pour une raison ou l'autre) ? Son organisme va à nouveau s'affaiblir et c'est dans cet état de fort affaiblissement immunitaire préalable, qu'il va à nouveau consommer des drogues antivirales, lesquelles vont finalement enfoncer le clou en aggravant encore davantage sa santé et le mener plus rapidement au stade du sida déclaré.

    Que se passe-t-il au contraire chez le séropo qui prend religieusement tous les jours ses drogues antivirales et qui, tout comme celui en vacances thérapeutiques, continue à consommer des drogues récréationnelles ? Comme Cheminot l'a expliqué à de nombreuses reprises, certaines drogues antivirales ont malgré tout un effet bénéfique (admis par la dissidence en général, mais par peu de monde sur ce forum, il est vrai) de par leur effet antioxydant exceptionnel. Ces drogues antivirales auront - entre autres - pour effet positif d'empêcher à court ou moyen terme (selon les individus) la survenance de certains effets toxiques des drogues récréationnelles, contrairement justement à celui qui est en vacances thérapeutiques.

    Voilà qui pourrait expliquer à mon sens pourquoi des séropos en vacances thérapeutiques sont susceptibles d'atteindre le stade du sida déclaré plus rapidement que ceux qui sont continuellement sous drogues antirales car non "protégés" par les quelques effets bénéfiques mais réels de certaines drogues antivirales et car subissant en outre de plein fouet les effets toxiques des drogues récréationnelles (contrairement au séropo continuellement sous drogues antivirales).

    Cette explication me semble bien plus censée (mais comme je l'ai dit, il conviendrait idéalement de savoir quel est le style de vie de ceux qui font une rechute en vacances thérapeutiques) que la tienne, qui en outre ne tient pas compte des quelques effets bénéfiques réels des trithérapies.

    Bref, même si ton "explication" devait présenter un fond de vérité, elle doit être très fortement nuancée.

    Un peu plus d'humilité et de respect de ta part ne te ferait en outre certainement pas tort, malpoli !

    Aux autres sur ce forum de trancher et/ou d'avancer leurs propres explications.

  18. Que pensez-vous de la dépêche suivante publiée ce jour (Sida: arrêt brutal d'une étude internationale ) ?

    Sida: arrêt brutal d'une étude internationale

    WASHINGTON (AP) - Trop d'effets secondaires ont conduit les spcécialistes à mettre fin brutalement à un essai clinique de grande ampleur mené sur des patients atteints du sida et traités par antiviraux de façon discontinue.

    Selon les chercheurs, les malades, qui prenaient leurs médicaments uniquement lorsque leur système immunitaire s'appauvrissait, avaient deux fois plus de risques d'aggraver leur maladie ou de mourir que ceux qui le prenaient en continu.

    L'essai baptisé SMART (Strategies for management of anti-retroviral therapy: stratégies de gestion des antirétroviraux), lancé en 2002, concernait 5.000 personnes atteintes de HIV dans 33 pays avant d'être brutalement suspendue par les Instituts nationaux de santé américains après un conrôle de routine de son inocuité.

    Cette découverte porte un coup aux défenseurs de ce traitement discontinu, qui pensaient réduire les effets secondaires et économiser de l'argent, notamment dans les pays en développement où le nombre de cas monte en flèche.

    "Partout, c'est une nouvelle décevante", a déclaré José Zuniga, président de l'Association internationale des médecins s'occupant des malades du sida. Mais selon lui, l'idée d'un traitement discontinu ne doit pas être abandonnée. "Cela finira par marcher, quand nous disposerons de nouveaux antirétroviraux plus puissants", a-t-il ajouté.

    L'association d'antirétroviraux puissants allonge l'espérance de vie des patients, et ralentit la progression de la séropositivité vers la maladie déclarée. Mais cette association peut entraîner des effets secondaires importants. Sans compter l'inconvénient que représente la prise de plusieurs comprimés chaque jour, et son coût.

    Ce sont les résultats d'études antérieures montrant l'efficacité thérapeutique et financière d'un traitement antirétroviral en discontinu qui a conduit les Instituts nationaux de santé à financer une étude plus importante.

    L'essai SMART concernait des volontaires répartis au hasard, les uns prenant un traitement continu, les autres un traitement discontinu lorsque leurs cellules immunitaires, les CD4, descendent au-dessous d'un certain nombre. Au vu des résultats, non seulement cette stratégie ne réussit pas à contrôler la propagation du VIH, mais les effets secondaires cardiaques, rénaux et hépatiques sont plus importants chez les personnes en traitement discontinu.

    "Les experts ne s'expliquent pas cette augmentation inattendue des effets secondaires", a déclaré le Dr Sandra Lehrman du département Sida des Instituts américains. Les médecins qui contactent ces patients test doivent donc leur dire de désormais prendre leur cocktail d'antirétroviraux en continu, et non de l'arrêter.

    L'étude concernait notamment les Etats-Unis, l'Argentine, l'Australie, l'Austriche, la Belgique, le Brésil, l'Angleterre, le Canada, le Chili, le Danemark, l'Estonie, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Grèce, l'Irlande, Israël, l'Italie, le Japon, la Lituanie, le Luxembourg, le Maroc, le Pérou, le Portugal, la Russie, l'Afrique du sud, la Thaïlande, et l'Uruguay.

    Sur the Net:

    NIH SMART trial info: http://www3.niaid.nih.gov/news/newsrelease...6/smartqa06.htm AP

    fs/v1066/nc

    Comment peut-on expliquer du point de vue de la dissidence du sida que ceux qui arrêtent de façon discontinue leurs drogues antivirales se portent finalement encore plus mal que ceux qui les prennent de façon continue ?

    Remarque : je viens de lire cette dépêche et je n'ai pas encore eu le temps d'y réfléchir moi-même (vais me coucher). Mais je lance déjà entre-temps ce petit sous-sujet.

  19. J'ai lu les deux articles référencés dans le post qui précède. Je suis naturellement bien loin d'avoir tout compris (n'étant pas chimiste ou que sais-je encore), mais sauf erreur de ma part, ils ne répondent pas à la question suivante : par quel mécanisme les survivants à long terme font-ils naître ces anticorps anti-R7V ? N'ont-ils pas autre chose en commun que ces fameux anticorps (habitudes de vie, etc...) ?

  20. Ce test anti-R7V ressemble furieusement à un test de stress oxydatif, mais inversé par rapport au test "HIV".

    Gageons que ce test va rapporter à ces fabricants bien plus que les tests HIV puisqu'ils ont vocation à être utilisés régulièrement (contrairement au test HIV puisque dans la théorie traditionnelle du virus tueur, une fois que l'on est séropo, c'est à vie; donc, inutile de refaire ce test une deuxième fois). Que n'inventent-ils pas pour se faire du blé sur le dos des séropos ..... et de la sécu !

  21. Au sujet du R7V.

    Quand je lis l'article auquel Cheminot fait référence, je constate donc que le R7V serait un antigène. Cela pourrait donc parfaitement être une protéine du pseudo VIH. En se basant sur la théorie du stress oxydatif, ne pourrait-on pas considérer que c'est une protéine qui se multiplierait en même temps que le stress oxydatif ?

    De même, les "anticorps" à ce R7V, qui empêcheraient que les séropos arrivent au stade du sida déclaré et que l'on trouverait chez les survivants à long terme ne pourraient-ils pas surgir à la suite de divers antioxydants qui sont naturellement présents chez les "survivants" à long terme, soit parce qu'ils ont par exemple arrêté les drogues récréationnelles, soit parce que ces antioxydants résultent d'une supplémentation prise par les survivants à long terme (ou les deux explications à la fois)?

    N'étant pas chimiste, je ne sais pas ce que vaut ce début d'explication.

    Mais de manière générale, je me demande dans quelle mesure la survenance des "anticorps anti-7RV" ne pourrait pas s'expliquer par la théorie du stress oxydatif (ou plutôt par une lutte contre le stress oxydatif par des moyens naturels : prise de certains antioxydants par exemple). Bref, le 7RV pourrait peut-être très bien renforcer davantage encore la théorie du stress oxydatif (sur lequel ces chercheurs travaillent "sans le savoir") ?!

  22. heu oui c'est vrai Terry je viens d'apprendre que ça a l'air d'etre le cas (d'apres les scientifiques) pour 1% de la population qui développerait des résistances naturelles contre le VIH...

    et là je me demande sur quoi les scientifiques se basent pour faire ce genre d'affirmation vu que la plupart des gens déclarés séro+ mais ne voulant pas de traitement évitent les médecins donc les statistiques... et les autres ne sont pas du tout déclarés

    Les orthodoxes du sida expliquent cette résistance naturelle par la défectuosité du gène CCR5.

    Or, depuis quelques années, même un tenant de l'orthodoxie du sida ne pourrait plus sérieusement avancer cette explication puisque différentes études publiées ces toutes dernières années ont démontré de manière répétée que la plupart des survivants à long terme ne sont pas dotés de ce gène défectueux. On trouvera la liste de ces études en cliquant ici.

    Par conséquent l'argument fantaisiste du gène défectueux ne peut même plus être invoqué du point de vue orthodoxe du sida ! Ils ne peuvent même plus dire qu'ils "supposent" que tous les survivants à long terme sont dotés de ce gène défectueux puisqu'après vérification, on a chaque fois constaté noir sur blanc que la quasi-totalité de ces "survivants à long terme" ne sont pas dotés de ce gène défectueux.

    Et à défaut de cette explication, les explications dissidentes au phénomène du "SIDA" tiennent plus que jamais la route ! icon_biggrin.gif

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