Aller au contenu
forum sidasante

wallypat

Modérateurs
  • Compteur de contenus

    1 158
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Days Won

    1

Messages posté(e)s par wallypat

  1. (Terry @ Mardi 21 Mars 2006 à 00h11)

    un souvenir :

    une chef de laboratoire sanguin :

    -ben monsieur, faut pas en prendre tout le temps !

    -ha bon , mais mon medecin vih dit que oui

    -mais non, si vous avez une maladie opportuniste vous en prenez pendant 3 mois au maximum !

    !

    J'avoue avoir assez de mal à croire qu'elle ait pu dire cela.

    L'orthodoxie du sida sait très bien pour l'avoir constaté depuis le début de l'épidémie du sida que ce qui fait l'extrême gravité de ce syndrome (le sida donc), ce n'est pas le fait que le sidéen puisse faire le même genre de maladie qu'un séronégatif, mais bien le fait qu'après être soigné pour la maladie opportuniste en question et contrairement à un séronégatif qui a pu souffrir également de la même maladie (par exemple à la suite d'une chimiothérapie, soit une circonstance ponctuelle) , le séropo recommence à refaire la même maladie et en plus grave en plus (à moins bien sûr et sauf exception, qu'il reprenne définitivement une vie "saine et équilibrée", ce qui constitue d'ailleurs le meilleur remède pour éviter d'atteindre le stade du sida déclaré, sauf cas exceptionnels comme par exemple stress oxydatif devenu - hélas - irréversible).

    Certes, le séropo et le séronégatif peuvent faire exactement la même maladie mais il y a souvent une différence primordiale entre les deux : la cause de la maladie chez les séronégatifs est plutôt ponctuelle (exemple : une chimiothérapie) alors que la cause de cette maladie chez un séropo a une cause bien plus profonde, cause étant interprétée par l'orthodoxie du sida comme étant due à un rétrovirus, et par la plus grande partie de la dissidence du sida comme étant due au stress oxydatif.

    Par conséquent, j'ai un peu de mal à croire qu'elle ait pu suggérer que trois mois de drogues dites "antivirales" soient suffisants et qu'on puisse ensuite arrêter car un représentant quelconque de l'orthodoxie du sida sait très bien que l'une des caractéristiques du sida est que les infections opportunistes reprennent de plus belle (à cause de l'improbable virus VIH). Or pour éviter cela, la seule solution (ce n'est bien sûr pas la solution de la dissidence du sida bien sûr, à moins que le stress oxydatif soit devenu irréversible) consiste à prendre justement tous les jours les tri"thérapies", dont l'un des - très rares - avantages est de consister en des "antibiotiques" très puissants à très large spectre (du moins, cela est l'explication dissidente[outre d'autres explications]; pour l'orthodoxie du sida, les tri"thérapies" lutteraient contre le VIH). En les prenant tous les jours, la plupart des germes opportunistes seront en permanence tués, du moins jusqu'à ce qu'un phénomène de résistance survienne. Et qui peut justement - partiellement - être évité en changeant plus ou moins régulièrement la composition des drogues dites "antivirales", ce qui pourrait permettre de retarder dans une certaine mesure ce phénomène de résistance des germes opportunistes.

    C'est pour ces raisons que j'ai un peu de mal à croire qu'elle ait pu affirmer cela, surtout en tant que représentante de l'orthodoxie du sida.

    Ceci étant, ne te méprend pas, je n'ai nullement l'intention de faire l'éloge des drogues dites "antivirales" et je ne suis certainement pas un partisan de celles-ci, sauf dans des cas exceptionnels !

  2. (Terry @ Mardi 21 Mars 2006 à 00h11)

    non sans deconner tenir des propos du genre la sodo tue est carrement lourde......debile.....

    Je n'ai jamais dit que la sodomie tue.

    Manifestement, tu sembles croire que la vie sexuelle que les gay ont pu connaître à partir des années 70 n'avait absolument rien d'exceptionnel et que depuis l'aube des temps et en tout temps, les gay ont toujours connu une vie "dépravée" (je le mets en guillemets car moi-même, je n'aime pas le terme, mais il a au moins le mérite d'être clair) avec plusieurs milliers de gay différents.

    Finalement, la libération sexuelle gay des années 70 était une fausse révolution à te lire !

    Je ne crois cependant pas que les gay d'avant les années 70 qui faisaient de la prison en raison de leur sexualité, qui étaient sans cesse tracassés par les autorités, ou même déportés dans les camps de concentration (pour ne citer que quelques exemples parmi tant d'autres) aient eu l'impression de vivre une libération sexuelle quelle qu'elle soit et qu'ils aient même eu l'occasion d'en rêver ! Mais si cela te fait plaisir d'y croire, soit.

    Quant à tous tes exemples, Jules César et compagnie, bien sûr que cela a existé, je n'en doute pas. Mais encore une fois, je ne crois pas un seul instant que dans tous tes exemples, ils pratiquaient la sodomie anale réceptive, tous les jours ou presque, avec une multitude de partenaires différents, comme cela fut certainement le cas à partir des années 70. Non, là franchement, cela dépasse mon entendement. Mais si tu peux me recommander des ouvrages historiques prouvant que tous ces illustres personnages n'étaient pas hétéros mais bien gay "pur et dur" comme presque tous les gay sidéens morts lors des premières années de l'épidémie (c'est-à-dire jusqu'en 1985, quand les premières campagnes de safe sex ont débuté chez les gay en premier lieu [et il ne fait aucun doute que le safe sex a permis de diminuer les cas de sida dans une relative mesure, mais sans rapport quelconque avec le pseudo VIH bien sûr]), alors n'hésite pas à m'en donner les références.

    Quant à tes "débauchés" hétéros, peut-être y en a-t-il bien plus que d'homos, et peut-être qu'occasionnellement (donc, rien à voir avec les gay morts du sida au début des années 80), ils pratiquaient la sodomie passive, mais encore une fois, c'est occasionnel, et partant, moins de risque de sida. Contrairement à toi, je me refuse à croire que les "débauchés" hétéros soient gay.

    Je conçois que les découvertes scientifiques faites au travers du prisme des expériences de l'administration rectale de sperme chez des souris aient pu te vexer, mais bon, jusqu'à nouvel ordre, à moins que l'on me prouve que ces expériences ne sont pas scientifiquement fondées, je ne doute pas des conclusions.

    Même si je sais parfaitement que cela n'est pas ton but ni même ta pensée, te rends-tu compte que tes propos sont EXACTEMENT les mêmes que ceux qui furent tenus par la communauté gay au début de l'épidémie du sida ..... et qui ont permis de grandement faciliter l'émergence de l'idée d'un rétrovirus comme cause du sida car cette communauté ne voulait pas envisager un seul instant que son mode de vie puisse être la cause du sida ?

    C'est d'ailleurs toujours à l'heure actuelle l'une des raisons qui empêchent cette même communauté gay (représentée par les associations telles que Act Up, Aides, etc..., soit les associations de défense du sida) d'envisager un seul instant que les dissidents du sida puissent avoir raison, car ce faisant, elle devra admettre que c'est son mode de vie qui en a été et est la cause du sida (outre bien sûr maintenant l'AZT et consorts).

    De toi à moi (façon de parler, bien sûr ! lol), je peux te jurer sur l'honneur qu'en presque vingt ans de vie gay, j'ai connu (d'assez loin) plusieurs dizaines de gay qui ont mené et mènent exactement le même genre de vie que ceux du début des années 80. Ils ont presque tous (il y a bien 2 ou 3 exceptions) à l'heure actuelle pour point commun ..... d'être sous tri"thérapie" (et de continuer pour la plupart le même "genre de vie"), et pour une minorité, d'être morts ! Désolé si cela ne te fait pas plaisir à lire, mais c'est ce que moi je constate personnellement "sur le terrain". Et cela confirme donc les expériences faites avec les souris.

    Pour quand même finir sur une note concordante avec toi, je dirais quand même que la cause principale du sida reste bien sûr (et peut-être de loin) l'abus de drogues récréationnelles. Mais une vie "dissolue" tels que les gays de la fin des années 70 et du début des années 80 ont pu connaître (et que d'autres connaissent encore à ce jour d'ailleurs) ne peut qu'aggraver la situation et les précipiter vers le stade du sida déclaré. Cela me semble l'évidence même.

  3. Donc autant faire un vrai bon ménage dans le gros topic et supprimer tous les messages qui sortent du cadre du topic.

    Oui, cela me semble finalement la moins mauvaise solution ..... et la plus rapide en plus !

    Mais comme il y aura sans doute une certaine subjectivité de ma part (après tout, qui suis-je pour "décider" quels posts sont assez "scientifiques", et d'autres non), j'aurais préféré dans un premier que le topic de 142 pages (du moins à l'heure actuelle) continue à subsister momentanément et parallèlement à ce futur topic de synthèse.

    Si ensuite (au bout de quelques semaines par exemple), il est généralement estimé que ce futur topic de synthèse a été plus ou moins bien raccourci par mes soins, alors on pourrait décider de supprimer définitivement le topic d'origine de 142 pages. Cela me semble la façon la plus prudente d'agir.

    Donc, en résumé, je proposerais finalement ce qui suit :

    1) Je tâche de raccourcir le topic de base de 142 pages en supprimant les posts dits "non scientifiques", tout en gardant exactement le même ordre strictement chronologique pour les posts qui subsisteront. Et j'en profite peut-être pour ajouter dans le sommaire qui figure à la première page des renvois supplémentaires vers d'autres posts de ce seul topic, à l'origine de 142 pages (je ne touche donc certainement pas et supprime encore moins les liens du sommaire qui renvoient à des posts se trouvant ailleurs que dans le topic "Le VIH ne causerait pas le sida"; je ne travaille "que" sur le topic de 142 pages).

    2) Pendant ce temps, le topic de 142 pages continue à subsister bien sûr, éventuellement enrichi de nouveaux posts.

    3) Lorsque j'aurai fini de raccourcir le topic de 142 pages, je le soumets aux lecteurs. Et s'il est généralement estimé que ce n'est pas trop mal fait (éventuellement après quelques petites adaptations suggérées par des lecteurs), alors on pourrait définitivement supprimer le topic de 142 pages.

    4) Et bien sûr, comme tu le suggères à la fin de ton post, le sommaire continuerait ensuite à être remis à jour régulièrement par des renvois à de nouveaux posts "scientifiques" pertinents. Et d'ailleurs, il ne devrait pas toujours forcément être nécessaire de créer presque chaque fois de nouveaux titres ou sous-titres à cette synthèse. Parfois, des posts abordent des points déjà mentionnés dans le sommaire, mais sous des angles différents. On pourrait simplement préciser que le lecteur peut lire les posts relatifs à tel sous-sujet en cliquant ici, ici et encore ici.

    Ce sera loin d'être parfait, mais ce sera déjà bien plus "digeste" à lire.

  4. Par ailleurs, il te faudra citer les auteurs de chacun des posts, voire même d'indiquer un lien vers le post d'origine.

    Oui, bien sûr. Mais je suppose que tu vises par là l'hypothèse où la totalité d'un post ne serait pas retenue, mais bien une partie seulement de ce post, auquel cas le système ne précise jamais ou presque (je crois) l'identité de l'auteur du post .

  5. Au moins, Terry, j'ai le net avantage par rapport à la plupart des autres intervenants que tu ne pourras pas m'accuser d'homophobie (lol).

    lol, à l époque de caligula, sodomore et gomore, les orgies romaines etc etc.....ils sont tous morts du sida ??....imaginez un livre d histoire :

    il y a des centaines d années, dieu a puni un peuple pratiquant la sodomie : sodome et gomorre.....ils sont tous morts brulés par le feu......

    Là, OK, je n'ai pas de preuve, juste une intuition, qui ne demande qu'à être vérifiée. Mais je n'ai pas le temps de le faire. Mais je crois que ce serait utile de vérifier, à supposer que cela soit possible, de quelles maladies les "débauchés" de l'époque mourraient.

    en gros l homosexualité ( donc sodomie à en lire tes lignes) est devenue trés active dans les années 80 et ces chers hetero-metrosexuel-s, ils faisaient quoi à l époque ??.....la prositution heterosexuelle des années 50/60 ??? les maisons closes.....

    Par définition, les hétérosexuels ne pratiquement pas la sexualité anale. Ils pouvaient et peuvent encore être des "débauchés", ils courent par définition moins de risque de sida (à supposer qu'ils ne consomment pas de drogues bien sûr) car ce que la théorie du stress oxydatif a démontré, c'est l'effet immunodépresseur - passager - de l'administration rectale du sperme. C'est peut-être "injuste" (lol) mais un tel effet n'existe pas en cas d'administration vaginale. Il n'est dès lors pas étonnant qu'il y ait peu de cas de sida hétérosexuel (non toxicomane, bien sûr) même chez les "débauchés" hétérosexuels.

    Cet effet immunodépresseur de l'administration rectale du sperme(désolé si cela ne fait pas plaisir à lire, mais c'est ainsi) est transitoire ou provisoire, mais cela tombe sous le sens qu'il ne peut pas rester transitoire et est susceptible de devenir permanent si les homo passent en revanche leur temps à "ça" (ce qui était manifestement le cas des premières années du sida gay), et cela peut réellement devenir grave (en fonction de la constitution des individus) si en plus, ils le font avec "n'importe qui", vu que le volume et la diversité des protéines étrangère ne font qu'augmenter.

    les gays des années 50 baisaient autant que les gays de 2005 et il va en de meme pour les heterosexuels

    Pour ce qui concerne les hétéros, j'ai déjà répondu ci-dessus. S'ils sont vraiment hétéros, ils ne sont par définition pas sujets au risque provenant de la sexualité anale et de l'effet immunodépresseur qu'elle implique (normalement transitoire, mais pouvant devenir permanent en cas d'exagérations "exacerbées").

    Quant à la sexualité des gay des années 50, je ne peux m'empêcher de me dire que tu fantasmes un peu beaucoup. Tu dois quand même te rappeler que jusqu'au début des années 70 (si pas un peu plus tard), l'homosexualité était un délit. Dans ces conditions, il me semble un peu hardi d'affirmer que la plupart des homosexuels de l'époque aient - en général - pu avoir ne fût-ce que la possibilité d'avoir une vie sexuelle aussi "trépidante" que celle qui a pu exister à partir du milieu des années 70. Dans ces conditions, il est normal qu'il n'y ait pas eu de bien nombreux cas de sida apparents à l'époque.

    Si tu as des sources confirmant que les gay de l'époque aient eu une vie sexuelle semblable à celle des années 70, cela m'intéresserait vraiment de les connaître.

    Maintenant, il est bien connu par exemple que certains acteurs des années 50 ou 60 étaient gay et de fameux "débauchés". C'est bien pour cela que dans mon dernier post, j'ai parlé de "cercles fermés". Mais je ne pense vraiment pas que même pour ces quelques gay "privilégiés" des années 50 ou même 60, leurs parties de débauche aient pu atteindre les sommets et les fréquences atteints à partir du milieu des années 70. En outre, à ma connaissance, ce n'est qu'à partir des années 70, qu'il y a vraiment eu une épidémie de MST devenue permanente dans le milieu gay, la preuve par excellence que le milieu gay avait atteint un summum d'"activités" à cette époque. Et les MST contractées de manière répétée (c'était quasiment à chaque relation sexuelle, semble-t-il) constituent un risque supplémentaire terriblement aggravant vers le stade du sida déclaré.

  6. UNE SUGGESTION

    Après 5 mois de lecture attentive, j'ai donc fini par terminer il y a peu la lecture du topic de base de 142 pages.

    C'était assurément très instructif, surtout si on avait déjà des notions avant de commencer.

    N'empêche, maintenant, je me mets surtout à la place des nouveaux lecteurs, et je pense qu'à de rares exceptions près, ce ne sera pas toujours limpide. La plupart des nouveaux lecteurs - non bornés d'esprit - auront peut-être la nette impression qu'il y a vraiment des choses qui "clochent" avec l'orthodoxie du sida, que les arguments de la dissidence du sida sont intéressants, mais je pense que la plupart d'entre eux seront bien en peine d'expliquer même à leur façon la plupart des choses qu'ils auront lues et de les répercuter de façon convaincante auprès d'autres personnes.

    Le problème pour un nouveau venu, à supposer qu'il ait réellement le courage de lire le topic de 142 pages depuis le début, c'est qu'il est extrêmement long et bien peu y arriveront. En plus, il y a très souvent de véritables "chutes de rythme" car très souvent, on y parle de sujets accessoires, certes ayant un rapport avec le sida, mais assez éloigné des questions principales que se poserait un nouveau venu.

    Exemple (mais attention, je ne critique pas le contenu des posts en question, qui restent tous intéressants, et en aucune façon, je proposerais leur suppression, c'est sur leur utilité afin de permettre à un nouveau lecteur de comprendre rapidement les points essentiels que je m'interroge) : pendant 9 ou 10 posts, on parle par exemple du chauffage du sang "contaminé" comme prouvant que le sida est causé par le HIV, avec les arguments des uns et des autres (= le véritable sujet principal du topic). Puis tout à coup, il y a un intervenant qui poursuit en disant que son beau-père est séropositif et malade. Suivent ensuite une vingtaine de posts pour savoir ce qu'il a réellement, les conseils que tout un chacun veut donner pour que le beau-père aille mieux, mais ces conseils vont bien au-delà de la problématique principale et on s'en éloigne véritablement. Suit ensuite un post sur l'homophobie supposée de certains sur le forum, suivi lui-même de 7 ou 8 posts pour prouver que ce n'est pas vrai ou que cela résulte d'une erreur d'interprétation. Suivent enfin finalement 8 ou 9 posts où on aborde réellement et à nouveau le sujet, par exemple la transmission sexuelle du supposé VIH avec les arguments des uns et des autres. Et puis suit un post sur un ouvrage français paru récemment dénonçant la supercherie du sida, suivi lui-même de 5 ou 6 posts où certains intervenants font l'éloge de cet ouvrage mais sans aborder le fond du débat. Etc...

    Dans cet exemple, tous les posts en question auront pris 3 ou 4 pages. Mais si on laissait uniquement les 9 ou 10 posts concernant le chauffage du sang "contaminé", suivi immédiatement des 8 ou 9 posts concernant la transmission sexuelle du supposé VIH, cela formerait déjà un tout un peu mieux cohérent, réduit à 1 page ou 1,5 page, sans qu'un nouveau lecteur ait l'esprit distrait sur les points accessoires (maladie du beau-père, l'homophobie supposée de certains, l'ouvrage français dénonçant la supercherie du sida, etc....). Cela n'était qu'un exemple mais il y en a plusieurs dizaines ainsi dans ce topic.

    C'est pourquoi, dans un premier temps, j'avais d'abord pensé à ce qu'il soit créé EN OUTRE (donc, en aucune façon, je ne suggère ni même pense à supprimer le topic de base de 142 pages, lequel continue donc à s'enrichir de nouvelles contributions, auxquelles il sera le cas échéant renvoyé via la synthèse de la première page) une synthèse de ce topic de 142 pages, où on trouverait uniquement les posts (mais tous ces posts sans exception ou presque) abordant uniquement et très principalement le sujet "Le VIH ne causerait pas le sida". Et compte tenu de ce que j'ai lu, il est clair que la moitié, si pas les deux tiers des posts pourraient être supprimés sans problème. Il ne resterait dès lors plus qu'une synthèse d'environ 40-50 pages, ce qui est quand même plus "digeste" à lire, sans chute de rythme, d'autant plus que seuls seront retenus les posts abordant directement le sujet. Ce ne serait cependant pas un best of car tous les posts "scientifiques" seraient retenus (pas ceux qui seraient jugés les "meilleurs"), que ce soit ceux émanant de l'orthodoxie du sida ou ceux de la dissidence du sida.

    En réalité, ce serait une synthèse plus "scientifique", où subsisteront essentiellement les arguments scientifiques des uns et des autres, sans les considérations accessoires, quoique intéressantes, comme citées par exemple ci-dessus.

    Donc, l'idée de départ consisterait en fait à garder le topic exactement dans le même ordre chronologique mais pour le réduire à 40-50 pages en conservant uniquement les arguments "scientifiques" des uns et des autres (étant entendu que le topic de base de 142 pages subsiste toujours bien sûr, et continuera à s'enrichir de nouveaux posts, avec le cas échéant un renvoi depuis la synthèse figurant à la première page). En somme, mon idée de départ n'est pas si compliquée que cela, mais cela prend beaucoup de temps puisqu'il faut tout relire depuis le début et supprimer tous ces posts qui ne sont pas réellement "scientifiques" pour le tout.

    Cette idée me semble présenter les avantages suivants : le topic est plus court, donc forcément plus rapide à lire pour un nouveau lecteur, les questions abordant directement le sujet se suivent immédiatement sans cassure de rythme.

    Mais il présente bien sûr un désavantage de taille (mais c'est également le cas et en bien pire pour le topic de 142 pages) : les posts se suivent certes en abordant toujours le sujet directement, mais sans réelle structure.

    Exemple : aux pages 13 à 16, on parle de l'isolation du virus, puis on n'en reparle plus jusque par exemple aux pages 76 à 80, puis on en reparle à nouveau aux pages 129 à 131, etc....

    Donc, cela m'a donné l'idée dans un second temps que l'on essaie ensuite d'agencer les posts restants (après que l'on ait donc supprimé la moitié, voire les deux tiers des posts "non scientifiques") : dans l'exemple ci-dessus (isolation), les posts concernant le sujet de l'isolation situés aux pages 13 à 16, seraient immédiatement suivis des posts concernant ce même sujet mais situés aux pages 76 à 80 et ceux situés aux pages 129 à 131. Cela serait bien sûr encore loin d'être parfait, mais ce serait déjà un peu mieux structuré. Cela impliquerait en quelque sorte qu'une autre table des matières figure au début de ce topic de synthèse.

    Ceci étant, depuis deux jours, j'ai examiné un peu au hasard quelques-uns de ces posts "scientifiques". Et finalement, cette seconde idée ne semble vraiment pas très praticable, non pas parce que cela prendrait énormément de temps, mais bien parce qu'il est tout simplement rare qu'un post "scientifique" n'aborde qu'un seul angle de la dissidence du sida ou même de l'orthodoxie du sida. Tous les aspects de ces théories semblent irrémédiablement liés. Il faudrait alors dans chaque sous-sujet de ce topic synthétique reprendre à plusieurs reprises les mêmes posts ........ en sorte que finalement, ce topic synthétique n'aurait plus rien de synthétique et deviendrait presque aussi long que le topic d'origine de 142 pages.

    Par conséquent, je me suis interrogé sur les utilités de ce forum, absolument indispensable ceci étant, et je me suis dit qu'en principe, ONCT n'a pas vraiment vocation à refaire l'argumentaire - théorique - de l'orthodoxie et de la dissidence du sida alors qu'il existe déjà très bons articles théoriques sur le sujet rédigés en français sur www.sidasante.com. Je me dis que ONCT, du moins le topic du sida, a plutôt pour vocation à compléter très utilement et de façon indispensable www.sidasante.com, en permettant de réexpliquer les arguments des uns et des autres (avec, il est vrai, une préférence pour la dissidence du sida en raison de la supériorité de l'argumentaire de celle-ci), de les confronter, de les mettre en application et d'aller encore plus loin dans l'analyse sur de nombreux points.

    En définitive, ma suggestion finale serait la suivante, et celle-ci est surtout faite pour aider tous les nouveaux lecteurs sur ce topic, quel que soit leur bord d'ailleurs (s'ils sont au départ des orthodoxes du sida, qu'ils prennent d'abord la peine de lire le "dossier" en question, surtout s'il est devenu "synthétique") :

    1) Maintenir bien sûr au début de la synthèse collective le renvoi à "Réponses aux questions du docteur Mbeki", mais ajouter également un renvoi à la "Réfutation de la Déclaration de Durban" (qui constitue en soi déjà une synthèse de l'argumentaire dissident sur les points les plus essentiels, tout en reprenant les multiples arguments invoqués par l'orthodoxie du sida). Je crois qu'il n'y vraiment pas lieu de douter de l'utilité de ce renvoi vers la Réfutation de la Déclaration de Durban car il me semble qu'il s'agit à ce jour du meilleur "article" synthétisant les principaux arguments de la dissidence du sida, du moins, la meilleure synthèse traduite en français ! J'en veux d'ailleurs pour preuve que dans ce topic de 142 pages, on y fait très souvent référence (l'orthodoxie du sida aussi, d'ailleurs; raison de plus, à mon sens, de prévoir un tel lien).

    2) Créer un topic synthétique de 40-50 pages en ne retenant que les posts dits "scientifiques", quasiment dans le même ordre chronologique (et avec toujours ou presque la même synthèse que celle figurant à la première page du topic de 142 pages). Certes, cela ne sera toujours pas très structuré, mais comme le nouveau lecteur est censé avoir déjà lu ce qui précède, il sera censé bien mieux comprendre une grande partie des posts "scientifiques" qui subsisteraient dans le topic de synthèse.

    Au moins, en procédant ainsi, le nouveau lecteur ne pourra plus invoquer l'énormité de ce topic pour justifier le fait qu'il n'aurait pas eu le courage de le lire dans son intégralité.

    Reste à savoir qui souhairerait s'atteler à cette tâche ! A moins que quelqu'un d'autre ne souhaite le faire également, je suis tout à fait disposé à le faire ..... mais à mon rythme bien sûr. Mais je pense sincèrement pouvoir "rédiger" (en fait, c'est retenir uniquement les posts dits "scientifiques") ce topic de synthèse en trois ou quatre mois, voire même moins, vu que j'ai fini tout récemment de lire l'intégralité de ce topic, et que cela est encore bien "frais" dans ma tête.

    Evidemment, il y aura un peu de subjectivité de ma part, mais je me ferai un point d'honneur à retenir la presque totalité des posts de l'orthodoxie du sida, dont nombre d'entre eux m'ont d'ailleurs paru très pertinents,..... bien entendu suivis des contre-arguments repris dans les posts de la dissidence du sida.

    Ce n'est bien sûr pas parfait, même très loin de là, mais je crois que créer un topic synthétique est déjà un bon pas vers la bonne direction.

    Il ne s'agissait bien sûr que d'une suggestion. Et à la base, l'idée de cette suggestion est venue de trois ou quatre autres personnes que j'avais contactées sur d'autres sites et que j'avais renvoyées à www.sidasante.com et à ONCT, mais qui devant la longueur de ce topic, n'avaient pas eu le courage de le lire.

    Toute autre suggestion est bien sûr la bienvenue.

  7. Cet article de l'observatoire zététique a déjà fait l'objet d'une analyse approfondie, la conclusion est plutôt la suivante : il y a effectivement eu des erreurs d'écriture dans quelques articles relatant les faits attribués en Espagne au docteur Willner, mais pour le reste,

    - cet article ne réfute toujours en rien l'argumentaire de la dissidence du sida,

    - et les deux conclusions de cet article, à savoir que le geste du docteur Willner ne prouverait rien et que son geste aurait été diablement courageux, sont pour le moins sujettes à des critiques radicales !

    Même avec la meilleure volonté du monde, je ne peux m'empêcher de voir dans cet article un parti pris évident, alors que l'observatoire zététique semble invoquer la "raison" comme sous-tendant son action.

  8. (Terry @ Lundi 13 Mars 2006, 17:30)

    La relation directe entre les fréquences élevées de rapports anaux passifs et le développement du SIDA ainsi que le caractère non infectieux de l'unique modèle animal de SIDA sont également en accord avec la théorie du stress oxydant d'Eleopulos

    ca c est limite homophobe catho integriste et faux bien sur......l etre humain existe depuis des milliards d années je doute fort que la sodomie passive soit une nouveauté datant des années 80......puis ca coincide pas avec les chiffres du sida car ce sont les femmes et non les gays qui devraient etre le plus touché par le fameux $yndrome

    Je crois, Terry, que tu as mal compris ce que ces dissidents du sida ont voulu dire. Et je ne crois vraiment pas qu'il y a là une once d'homophobie de leur part.

    Ce n'est pas le rapport anal non protégé qui est cause de sida, mais son extrême fréquence, avec une multitudes de partenaires sexuels différents, en très très peu de temps, étant entendu que le risque évolue en fonction de la "constitution immunitaire" de chaque personne.

    Effectivement, l'homosexualité existe depuis toujours et visiblement, cela n'a jamais causé le sida.

    En revanche, je crois que tu dois admettre que jusqu'au début des années 70, l'homosexualité n'avait pas pignon sur rue, et cela était jusque là assez "discret", avec peu de partenaires sexuels différents.

    Mais avec le début de la libération sexuelle gay dans le courant des années 70, cette libération a connu des excès que l'homosexualité n'avait jusque là jamais ou presque connus. Je veux dire par là que ce n'est qu'à partir du milieu des années 70 (et excuse moi d'être assez direct pour la suite) qu'il a été possible pour des gays de "se faire" par exemple dix pénétrations anales avec éjaculation par soir, et avec dix partenaires différents (pour être encore plus direct et quoique le terme ne me plaise guère, parlons carrément de "débauche" ou même gang bang anal), et cela très régulièrement, voire presque tous les jours et/ou soirs. Ce que les dissidents ont démontré scientifiquement (entre autres, avec leurs expériences sur les souris), c'est que de telles pratiques anales passives intensives, avec autant de réception de sperme et de protéines étrangères provenant de si nombreux donneurs différents, en plus, en si peu de temps, induisent un très fort stress oxydatif, et donc une très forte détérioration du système immunitaire (vérifiée par la chute des T4, pour faire un lien avec ce topic). Ceux qui étaient atteints du sida les premières années avaient eu plus de 1000 partenaires sexuels différents, et certaines même 2000, voire même 3000. Quand tu tiens compte en outre que pour pouvoir avoir physiquement la possibilité de mener une telle vie sexuelle, ils devaient consommer des drogues récréationnelles, il ne devient vraiment plus étonnant qu'ils aient fait un sida déclaré.

    Ce n'est pas un hasard que durant les premières années, les gays atteints du sida étaient essentiellement ceux vivant dans les grandes métropoles américaines et européennes, c'est-à-dire là où un tel style de vie était possible.

    L'homosexualité a toujours existé et n'a jamais abouti à une forme de sida quelconque; en revanche, à ma connaissance, une telle forme de sexualité anale intensive, extrêmement répétée en peu de temps, avec en plus, consommation de drogues récréationnelles dont le poppers, cela n'a été possible que depuis le milieu des années 70. Pas étonnant que les premiers cas de sida soient survenus au tout début des années 80 (en fait, il y avait déjà eu quelques cas isoles à la fin des années 70 mais cela était passé inaperçu à l'époque car ceux qui allaient devenir les orthodoxes du sida, n'avaient à l'époque pas pensé à faire un lien avec ces quelques premiers cas de la fin des années 70).

    Avant le milieu des années 70, une telle forme de sexualité anale était à ma connaissance extrêmement rare. Mais peut-être que cela a existé auparavant, mais dans des "cercles" très fermés, mais alors par définition, il n'y avait déjà pas une telle possibilité quasi infinie de partenaires sexuels différents, et donc un moins grand risque de sida déclaré. Et peut-être que quelques uns ont quand même fait un sida déclaré, mais cela était forcément tellement rare que cela est passé complètement inaperçu, sans qu'il soit fait une relation avec les risques d'une sexualité anale passive intensive et extrêmement répétée avec de nombreux partenaires sexuels différents.

    Ceci étant, pour remonter très loin dans le temps, je ne serais pas étonné d'apprendre qu'une telle sexualité anale passive intensive et extrêmement répétée en peu de temps ait pu exister à l'époque de la Rome "décadente" et que les diverses maladies dont mourraient les "décadents" romains de l'époque n'auraient pas été qualifiées de sida à l'époque actuelle.

    Enfin, pour finir, si on prend ton exemple des femmes qui souhaitent ou subissent une sexualité anale, peut-être qu'au total, elles sont plus nombreuses que les gay à pratiquer la sexualité anale (forcément) passive, mais je doute très fort que parmi celles-là, il y en ait vraiment beaucoup qui pratiquaient une telle forme de sexualité anale aussi intensive, aussi répétée en peu de temps, avec autant de partenaires sexuels différents que les gay sidéens du début des années 80, et en plus en consommant autant de drogues récréationnelles que les gay. Je pense qu'un tel mode de vie était réellement caractéristique des gay atteints du sida au début des années 80 (et d'ailleurs de nombreux gay d'aujourd'hui, d'après ce que j'en sais).

    Mais j'admets qu'il y a quand même un petit relent moralisateur dans l'affaire, mais cela ne doit pas être mis sur le compte de la dissidence du sida ou de qui que ce soit en fait. Le corps humain ne semble visiblement pas avoir été constitué pour vivre une telle sexualité anale passive aussi intensive, répétée en aussi peu de temps avec en plus des milliers de partenaires sexuels différents, ce qui me semble évident de prime abord !

    Bref, le petit relent moralisateur relève du bon sens : il ne faut pas trop user et abuser jusqu'à plus soif des "possibilités" offertes par son corps ..... car cela finit par se payer un jour ou l'autre et d'une façon ou l'autre. Mais cela est valable pour tout, pas uniquement pour la sexualité anale passive.

  9. A la page 114 de ce topic, en date du 1er octobre 2005, Bardamu a reproduit un article quasiment hilarant (scientifiquement parlant, je veux dire) publié dans le Figaro du 30 mai 2005 et intitulé "Le virus du sida actuel est moins actif".

    Le passage le plus intéressant qui posait "problème" était le suivant :

    l'atténuation de ces virus VIH au cours du temps, se serait faite par adaptation moléculaire et sélection continue. Pour mieux se transmettre d'un individu à l'autre, le virus aura dû payer le prix d'une moins grande virulence.

    Bref, encore une explication digne du légendaire mythe de la mutabilité du VIH.

    En réalité, il existe une toute autre explication qui tombe sous le sens et que n'importe quel lecteur trouvera de lui-même s'il lit préalablement ce post-ci : Qu'est ce que le VIH finalement ?

    Après avoir lu ce dernier post, le lecteur aura compris que la différence de soi-disant "virulence" du VIH entre ceux de 1986-1989 et ceux de 2002-2003 doit s'expliquer en se demandant si les causes de stress oxydatif n'auraient pas évolué de façon à devenir un peu moins "virulentes" ou moins élevées.

    Cela demande bien entendu un travail de recherche bien plus compliqué que celui consistant à dire que comme par hasard, le VIH est devenu moins virulent afin de mieux se transmettre entre humains.

    Mais déjà, sans même faire de recherches approndies, on peut constater, je crois, que certaines causes de stress oxydatif (et donc de séropositivité et ensuite de sida si rien n'est fait pour y remédier) ont fortement diminué pour devenir moins courantes.

    Je pense entre autres au poppers, accusé - à juste titre - de tous les maux en la matière.

    Je me rappelle très bien par exemple quand j'ai commencé à fréquenter le milieu gay à 17 ans (c'était donc en 1988), sur les pistes de danse, on voyait des tas de types en train de danser en sniffant quasiment sans arrêt du poppers. Aujourd'hui, en tout cas en Belgique, vous ne voyez quasiment plus la chose (c'est même bien simple, je ne me rappelle plus avoir vu cela depuis 10 ans au moins, en Belgique en tout cas). En d'autres termes, ce que je veux dire, c'est que par rapport à la période 1986-1989, la consommation de poppers a assez fortement baissé. En témoigne le fait que dans de nombreux pays, comme en France, le poppers est tout simplement - officiellement - interdit et on ne peut certainement plus le trouver dans l'"épicerie" du coin (lol). D'ailleurs, en France, il est interdit depuis 1990 et a été remplacé par une substance moins nocive (voyez par exemple les posts suivant : axelwebb, wallypat et cheminot).

    A partir du moment où une telle source de stress oxydatif survient moins souvent comme cela semble être justement le cas, il va de soi que ce que l'orthodoxie du sida appelle "les souches virulentes" soient ..... moins souvent virulentes !

    Il s'agissait bien entendu d'un élément d'explication, mais en cherchant davantage, on pourrait certainement trouver d'autres explications complémentaires résultant d'une modification à travers les années des sources de stress oxydatif très élevé ..... sans devoir faire appel à la légendaire mutabilité du VIH !

    Notons que cet article paru dans Le Figaro semble contredire l'impression générale selon laquelle on ne cesse d'entendre l'orthodoxie du sida affirmer que les souches virulentes ne s'arrêtent pas de se multiplier depuis ces dernières années ..... corrélativement bien sûr à la multiplication des séropos mis sous drogues dites "antivirales" !

    Encore une fois, les dires et explications de la nébuleuse orthodoxe du sida pèchent par leur manque de clarté, tout le contraire des explications scientifiques fournies par la dissidence du sida !

  10. (Terry @ Dimanche 12 Mars 2006, 14:48)

    meme la theorie du stress oxydatif me fait parfois rire...une theorie de plus c est tout mais rien de vraiment prouvé finalement !

    La théorie du stress oxydatif n'est pas une théorie non prouvée mais est au contraire un fait scientifique prouvé par plusieurs centaines d'études. Tellement bien prouvé d'ailleurs que même les orthodoxes du sida, tels que l'Institut Pasteur et le Professeur Montagnier, s'y intéressent de très près et incitent d'ailleurs les étudiants universitaires à étudier ce phénomène chimique, mais sans toutefois aller au bout de leur raisonnement, à savoir que le phénomène du sida est bien mieux expliqué par le phénomène du stress oxydatif que par l'hypothèse virale.

    L'hypothèse virale du sida n'a jamais permis de faire des prédictions correctes, tandis que l'hypothèse chimique du sida, soit un stress oxydatif très élevé, a quant à elle permis de faire de nombreuses prédictions qui se sont bel et bien réalisées. Encore un point, pour le moins absolument fondamental, qui plaide une fois de plus en faveur de la dissidence du sida.

    Et pour que plus personne n'ait de doute (du moins, je l'espère) sur le bien-fondé de l'hypothèse (ou plutôt : fait) du stress oxydatif, source de sida, je reproduis ci-dessous un passage tiré de cet article : Le Yin et le Yang du VIH :

    Pour paraphraser Stephen Hawking, théoricien de la physique : les prédictions erronées dénoncent les mauvaises théories ; les prédictions correctes confortent les théories. La théorie du VIH exige que le VIH provoque toutes les maladies définissant le SIDA et prédit que le VIH/SIDA deviendra une épidémie mondiale par le truchement de la plus ancienne et la plus incontournable de toutes les activités humaines. Néanmoins, le sarcome de Kaposi, l'une des deux maladies pour lesquelles la théorie du VIH fut mise sur pied, n'est plus attribué, ni directement ni indirectement, au VIH.(12,13,54,74,78, et voir note n°3 en fin d'article) Dans les pays de l'OCDE, la prédiction d'une épidémie sexuelle a complètement échoué. Par exemple, au début de l'année 1998, en Australie, 93 % des morts du SIDA (en chiffres cumulés) avaient appartenu aux groupes à risque initiaux, c'est-à-dire aux hommes homosexuels/bisexuels, aux toxicomanes et aux hémophiles. Cette observation concorde avec le profil démographique classique de maladies non infectieuses telles que la pellagre, le béribéri et le scorbut qui, de façon caractéristique, restent confinées à leurs groupes à risque. Toutes ces maladies sont causées par des carences vitaminiques, mais, dans le passé, elles étaient considérées comme infectieuses; ceux qui en souffraient étaient mis en quarantaine et rejetés.

    Les tenants du VIH prédisaient aussi un vaccin curatif pour la fin de 1986 ainsi qu'un modèle animal destiné à prouver définitivement la théorie du VIH. Aucune de ces deux prédictions ne s'est réalisée. Un vaccin n'est pas envisagé avant longtemps et les animaux auxquels on inocule le "VIH" s'obstinent à ne pas développer le SIDA.

    En revanche, la théorie du stress oxydant d'Eleopulos prédit les données démographiques actuelles, une perte apparente de cellules T4, le risque lié au rapport anal chez les deux sexes, le fait que les séropositifs et les malades du SIDA sont oxydés par rapport aux individus normaux, l'amélioration des séropositifs et des malades du SIDA par la prise d'antioxydants et enfin un modèle animal non infectieux. Chacune de ces prédictions s'est réalisée. La réalité du stress oxydant est bien établie par des centaines d'articles, (14,62,79-81) à telle enseigne que, au début des années 90, l'Institut Pasteur en vint à faire de la publicité auprès des étudiants du monde entier pour les inciter à étudier ce phénomène. Mieux encore, Luc Montagnier est co-auteur d'un livre de 558 pages publié en 1998 sur le rôle du stress oxydant dans le cancer, la sénescence et le SIDA.(82)

    La théorie d'Eleopulos prédit qu'une réduction du nombre de cellules T4 peut intervenir sans mort cellulaire. En fait, d'après le groupe de Perth, rien ne permet de dire que les cellules T4 sont mortes, ou que le VIH les tue. Dans les cultures de cellules T4, le même nombre de cellules T4 "disparaît", que l'on ajoute le "VIH" ou simplement les stimulants chimiques nécessaires à la "culture" du "VIH".(83) Il n'y a pas non plus de preuve qu'un faible nombre de cellules T4 soit nécessaire ou suffisant pour produire le syndrome clinique.(9,12,14)

    La relation directe entre les fréquences élevées de rapports anaux passifs et le développement du SIDA ainsi que le caractère non infectieux de l'unique modèle animal de SIDA sont également en accord avec la théorie du stress oxydant d'Eleopulos. Des souris recevant des injections répétées de protéines cellulaires étrangères montrent une réduction dramatique du nombre de cellules T4, développent des tumeurs semblables au sarcome de Kaposi, et d'abondantes particules analogues à des rétrovirus apparaissent dans leur rate.(87) Ainsi, les maladies du SIDA sont suivies d'une production de particules analogues à des rétrovirus, et non l'inverse.
  11. Tout comme proposé par Aixur dans le tout nouveau topic "Les statistiques africaines bidon sur le sida", je propose que l'on fasse entre autres ensuite des renvois vers d'autres topics et posts qui parleraient également de la problématique des tests HIV.

    Je crois qu'après un tel article de synthèse, des liens vers d'autres topics et d'autres posts sur le même sujet permettraient d'un peu centraliser le sujet. Ce serait particulièrement utile pour les nouveaux lecteurs puisqu'il y a plus de 260 topics dans cette section-ci du forum.

    Donc, quand quelques personnes ont un peu de temps libre pour le faire, qu'elles n'hésitent pas !

    Bien entendu, de nouveaux posts sur ce topic-ci peuvent toujours être ajoutés.

    NB : J'ai suggéré à Ecliptux de supprimer du topic "Le VIH ne causerait pas le sida" le post identique au premier de ce topic-ci et de le remplacer par un lien vers ce premier post, afin de ne pas alourdir davantage le topic de base "Le VIH ne causerait pas le sida".

  12. LA DEMONSTRATION DE L'INQUALIFIABLE IGNOMINIE

    DES TESTS DITS "HIV"

    Au travers de la réfutation de deux arguments invoqués par l'orthodoxie du sida, en la personne de Candide, à l'encontre de la dissidence du sida, et restés jusqu'à ce jour visiblement irréfutés

    (d'une pierre, deux coups)!

    INTRODUCTION

    Je suis actuellement arrivé à la page 115 du topic "Le VIH ne causerait pas le sida", soit peu de temps avant que j'arrive sur ce forum. J'ai pu constater que jusqu'à la page 97 de ce topic, les arguments réellement pertinents invoqués par les tenants de l'orthodoxie du sida ont chaque fois pu être réfutés, et le plus souvent avec une facilité pour le moins déconcertante. Ce fut également le cas à partir des pages 98 et suivantes et jusqu'à maintenant (du moins, sur les points essentiels). Force m'est cependant de constater qu'à la page 97 de ce topic, Candide, qui, à mon sens, est assurément le moins mauvais de nos contradicteurs, a invoqué à l'encontre de la dissidence deux arguments APPAREMMENT très pertinents (il s'est également demandé pour quelles raisons les trithérapies ont pu paraître si efficaces au début des premières années des trithérapies, mais Cheminot a pris bien soin d'y répondre, tout en lui rappelant que cela avait déjà été expliqué à plusieurs reprises auparavant), deux arguments qui APPAREMMENT ont eu l'heur exceptionnel de laisser la dissidence du sida complètement K.-O. !

    Arrivé à la page 115, je constate qu'il n'y a toujours pas été réfuté clairement (et je suppose que cela n'a pas été le cas ensuite). Certes, des considérations frôlant la philosophie ont immédiatement suivi ces deux fameux contre-arguments mais il faut bien le reconnaître que, quoique ces considérations soient intéressantes, elles ne font pas le poids et ne réfutent en rien ces deux fameux contre-arguments. Cela ne peut que me laisser qu'un goût bien amer dans la bouche puisque cela revient à donner l'illusion à l'orthodoxie du sida qu'après plusieurs années de bataille acharnées sur ce site contre la dissidence du sida et 97 pages de ce topic, celle-ci aurait - enfin - pu réfuter des arguments de la dissidence sur deux points, au surplus très fondamentaux. Cette situation est d'autant plus "grave" que l'occasion faisant le larron, Candide en profite pour en déduire "évidemment" que la fameuse et célèbre Réfutation de Durban n'est qu'un château de cartes pour le moins inconsistant, à laquelle aucun crédit ne pourrait "forcément" être accordé. Et je me mets également à la place du lecteur découvrant récemment la dissidence du sida qui lisant cela, ne pourrait s'empêcher de se dire que les arguments de la dissidence du sida ne sont que pur mensonge et se détournerait donc de la bonne voie pour celle, mortifère, de l'orthodoxie du sida.

    Par conséquent, le présent post aura pour objet de réfuter clairement et de façon la plus impitoyable possible chacun de ces deux soi-disant contre-arguments invoqués par Candide ainsi que les différentes réflexions qui la sous-tendent, et, partant, d'aboutir à la conclusion que la Réfutation de la Déclaration de Durban reste toujours LA référence en la matière, je dirais même la bible de la dissidence, et que la Déclaration de Durban, en elle-même, reste toujours et encore une suite ininterrompue de mensonges et d'inepties, qui doivent toujours être prouvées scientifiquement.

    La présente réfutation me permettra par ailleurs d'illustrer le fait qu'au contraire de la "Réfutation de la Déclaration de Durban", la meilleure (ou plutôt moins mauvaise) contre-argumentation existante à ce jour aux arguments de la dissidence du sida, étant " The Evidence That HIV Causes AIDS" du NIAID (cliquez ici pour le lire dans son intégralité) est, elle, un véritable château de cartes, entre autres en approchant la question des soi-disant tests dits "HIV". En effet, la contre-argumentation avancée par l'orthodoxie du sida pour affirmer que les tests HIV sont fiables est tout simplement symptomatique de la plupart des autres contre-arguments qui figurent dans ce document. Réfuter cette contre-argumentation avancée à l'appui de la fiabilité des tests HIV permettra en effet de comprendre la logique complètement biaisée qui est utilisée dans la presque totalité de ce document pour défendre envers et contre tous le dogme de l'origine virale du virus.

    Notons que pour ce qui me concerne, les présentes réfutations sont quasiment d'une simplicité infantine, ou presque. Mais je me mets à la place de ceux qui découvrent la dissidence du sida et pour qui, forcément, cela n'est pas si enfantin que ça (d'autant plus qu'ils sont pour la plupart encore imprégnés de toutes les croyances erronées et dogmatiques que leur a inculquées l'orthodoxie médical). Raison pour laquelle les réfutations sont assez longues, et ce pour permettre aux lecteurs de bien les comprendre, sans la moindre zone d'ombre (du moins, je l'espère).

    Commençons donc avec le premier "argument" de Candide.

    I) LA REFUTATION DU PREMIER ARGUMENT DE CANDIDE

    (Aixur @ Vendredi 01 Juillet 2005, 23:30)

    comme le dit le texte de la réfutation de la déclaration de Durban, 25 personnes seulement sur les 56 dont la séroconversion est documentée ont développée le SIDA. Donc, là-dessus, les dissidents disent vrais (le texte de la réfutation parle bien de personnes ayant développé le SIDA, pas de séropositifs).

    Et apparemment si les dissidents qui ont écrit le texte parlent de zéro cas, c'est parce qu'ils considèrent que les cas "documentés" sont considérés séropositifs dans l'exercice de leur fonction parce qu'on n'a pas pu trouver de meilleure explication. Ce qui veut dire qu'on n'est pas du tout sur à 100 % que les cas en question ont été contaminés a tel ou tel moment. Percutaneous exposure, ça ne signifie pas forcément qu'on connait le moment précis où ils se sont fait piquer, mais qu'ils ont pu être amené à être piqués dans l'exercice de leur profession. C'est très différent. Parce que dans ce cas, c'est une reconstruction a posteriori. Tandis que si on teste juste après une piqure, là, c'est plus convaincant. Ici, on n'a aucune preuve que le test a été fait juste après une piqure précise. Donc on reconstruit le scenario a posteriori en disant que c'est "probablement" une piqure qui a été faite il y a 1, 2, 3 ou 4 ans qui a causé la séroconversion. On reste dans le domaine de l'hypothèse et pas du tout de la chose sure et certaine.

    Eh oui, pauvre Candide, tu aurais du penser que les dissidents qui ont rédigé le texte ne sont pas des rigolos, et que s'ils ont sorti ça, c'est qu'ils avaient des arguments derrières. Tu aurais dû te douter que c'était un peu trop facile de pouvoir démonter cet argument de cette façon

    C'est terrible, ça : il ne t'est pas possible de reconnaître l'évidence, alors que je t'ai apporté tous les éléments sous les yeux ? Je recommence une dernière fois sur ce point. Tu as copié le texte que vous appelez la "réfutation de la déclaration de Durban". Ce texte prétend que "aux Etats-Unis, aucun personnel paramédical ni technicien ou chirurgien urgentiste n'a contracté le SIDA à l'occasion de son travail". Le texte cite à l'appui une étude du CDC menée en 1999. Et moi, je te mets sous le nez un tableau extrait de l'étude en question qui établit la listes des personnels de santé ayant été contaminés durant leur travail. Tu ne vois pas où est le problème ?

    Tu es d'une mauvaise foi invraisemblable lorsque tu me réponds que l'on n'est pas sûr que ces personnes ont bien été contaminées durant leur travail. Il y a deux colonnes dans le tableau que j'ai cité : la première colonne établit la liste des personnels de santé contaminés par le virus lors de leur travail, et pour lesquels on dispose de documents attestant d'une exposition au VIH. La deuxième colonne contient une liste de personnels de santé contaminés également durant leur travail, mais pour lesquels on ne dispose pas de documents prouvant qu'ils ont été exposé au VIH. Dans la première colonne, ce sont donc des personnes certainement contaminées durant leur travail. Pourquoi nier l'évidence ? Tu dis que "les dissidents qui ont rédigé le texte ne sont pas des rigolos et que s'ils ont sorti ça, c'est qu'ils avaient des arguments derrière". Ca, c'est ton point de vue, mais ce n'est pas une preuve. Tu peux citer des sources, des travaux, des articles ?

    Je le redis une nouvelle fois : la "réfutation de la déclaration de Durban" a cité un article pour lui faire dire autre chose que ce qu'il dit vraiment. Ca s'appelle un mensonge, une interprétation biaisée, de la malhonnêteté intellectuelle. Point barre.

    Apparemment, l'argument invoqué par Candide semble imparable, mais voyons cela d'un peu plus près. La "preuve" de la contamination par le pseudo HIV résulte donc de la circonstance que dans les 56 cas retenus, il a chaque fois pu être prouvé (et je n'en doute pas d'ailleurs) qu'ils avaient tous été exposés directement au HIV (disons plutôt : à ce qui est supposé dogmatiquement par l'orthodoxie du sida comme étant le rétrovirus exogène et pathogène HIV) d'une façon ou d'une autre (piqûre, ...), et qu'"à la suite" de cette exposition, chacune de ces 56 personnes est devenue séropositive. Le lien apparement direct entre cette exposition au pseudo HIV et la séropositivité au test HIV qui s'en est "suivi" est donc la "preuve" qu'il y a bien eu "contamination".

    Evidemment, il n'en est strictement rien et cet argument ressemble à s'y méprendre à un autre invoqué par certains orthodoxes du sida, à savoir la circonstance qu'à la suite un rapport sexuel "à risque" la "victime" devenue séropositive est porteuse du même génotype du pseudo virus que le "contaminateur". J'ai déjà clairement démontré l'absurdité de cet argument et je n'y reviendrai plus (voyez ce post-ci). L'"argument" de Candide n'est à cet égard rien d'autre qu'une variation sur le même thème. Et on constatera d'ailleurs à la lecture du post précité et de la réfutation qui suit que quand bien même il serait prouvé que la personne "contaminée" à la suite de cette exposition directe au pseudo virus HIV aurait en outre été porteur du même génotype que ce même pseudo HIV, cette circonstance n'énerve en rien les raisonnements qui suivent.

    En effet, la "preuve" de Candide n'est même pas un commencement de preuve ou même une supposition, elle est tout au plus une simple coïncidence, que le très faible nombre de cas (56 cas sur toute l'histoire du sida aux USA, ce qui est tout simplement statistiquement insignifiant !) ne fait que conforter davantage. Et jusqu'à nouvel ordre, une coïncidence n'a jamais constitué une preuve, en particulier sur le plan scientifique. Une association ou coïncidence n'est pas causalité ! C'est un peu comme si moi (= le HIV), j'étais présent dans une banque au moment d'un hold-up (= le SIDA) et que je ne suis évidemment pas le voleur (= l'auteur du hold-up ou stress oxydatif).

    * LA CRITIQUE DES TESTS DITS "HIV"

    1) Introduction

    Cet argument ne se peut se justifier qu'en s'appuyant sur un des (nombreux) autres dogmes de l'orthodoxie du sida, à savoir que la séropositivité serait le signe d'une infection virale (le HIV donc) et que le test HIV est assurément fiable, sensible et spécifique, et que, partant, il détecte indubitablement une infection au pseudo HIV. Or nous savons qu'il n'en est strictement rien. Et quand je dis RIEN, c'est vraiment RIEN ! Je veux dire par là que les tests HIV ne détectent JAMAIS une infection virale au HIV! Pas dans 98% des cas, pas même dans 50¨% des cas, pas même dans 5% des cas, pas même dans 1% des cas, non, dans AUCUN cas ! Et j'insiste là-dessus car le dogme selon lequel les tests HIV détecteraient une infection virale au HIV est tout simplement la plus grande de toutes les ignominies de l'orthodoxie du sida puisque c'est à cause des tests HIV que les séropositifs pensent - à tort - qu'ils sont atteints d'une maladie (virale) et qu'ils sont contagieux ! Le pire mensonge qui soit !

    Ceci étant, même si les tests HIV ne détectent aucune infection virale au HIV, cela ne signifie pas pour autant qu'il y a lieu de s'en désintéresser. En effet, être positif à un test HIV signifie quand même généralement (mais pas toujours) que le système immunitaire est (assez) fortement endommagé (tantôt beaucoup, tantôt très très gravement) et donc un résultat positif ne doit pas être pris à la légère, quand bien même il ne représente pas la sentence de mort que l'orthodoxie du sida veut nous imposer. Mais tel n'est pas l'objet du présent post, lequel n'a ici pour vocation qu'à démontrer que le HIV ne cause pas le sida, et plus particulièrement dans les passages qui suivent, que les tests HIV ne détectent en aucune façon une infection virale HIV, et que les deux arguments invoqués par Candide n'ont évidemment aucune pertinence.

    2) Arguments invoqués par l'orthodoxie pour prouver la fiabilité des tests HIV

    Et à cet effet, et par souci de réelle honnêteté intellectuelle, je vais carrément reprendre la moins mauvaise contre-argumentation existante (à l'encontre de la dissidence du sida donc) à ce jour invoquée par l'orthodoxie du sida pour "prouver" que les tests HIV détecteraient une infection à ce pseudo rétrovirus HIV.

    On la trouvera dans ce document-ci, à savoir The Evidence That HIV Causes AIDS :

    HIV antibody testing is unreliable.

    FACT: Diagnosis of infection using antibody testing is one of the best-established concepts in medicine. HIV antibody tests exceed the performance of most other infectious disease tests in both sensitivity (the ability of the screening test to give a positive finding when the person tested truly has the disease ) and specificity (the ability of the test to give a negative finding when the subjects tested are free of the disease under study). Current HIV antibody tests have sensitivity and specificity in excess of 98% and are therefore extremely reliable WHO, 1998; Sloand et al. JAMA 1991;266:2861).

    Progress in testing methodology has also enabled detection of viral genetic material, antigens and the virus itself in body fluids and cells. While not widely used for routine testing due to high cost and requirements in laboratory equipment, these direct testing techniques have confirmed the validity of the antibody tests (Jackson et al. J Clin Microbiol 1990;28:16; Busch et al. NEJM 1991;325:1; Silvester et al. J Acquir Immune Defic Syndr Hum Retrovirol 1995;8:411; Urassa et al. J Clin Virol 1999;14:25; Nkengasong et al. AIDS 1999;13:109; Samdal et al. Clin Diagn Virol 1996;7:55.

    Traduction :

    MYTHE : Les tests HIV ne sont pas fiables.

    FAIT : Le diagnostic de l'infection par le procédé du test de détection des anticorps est l'un des mieux établis par la médecine. Le test de détection des anticorps HIV est supérieur à la plupart des autres tests de détection de maladies infectueuses aussi bien en matière de sensibilité (la capacité de détecter avec précision la présence d'anticorps lorsque la personne testée a vraiment la maladie) qu'en matière de spécificité (la capacité de détecter avec précision l'absence d'anticorps lorsque la personne testée n'est pas malade). La sensibilité et la spécificité des tests actuels de détection des anticorps HIV excèdent les 98% et par conséquent, ils sont extrêmement fiables. WHO, 1998; Sloand et al. JAMA 1991;266:2861).

    De continuels progrès dans les méthodes de détection ont aussi permis la détection du matériel génétique viral, des antigènes et du virus lui-même dans les fluides corporelles et les cellules. Quoiqu'elles ne sont pas utilisées de façon routinières en raison de leur coût élevé et de la nécessité d'avoir l'équipement du laboratoire adéquat, ces techniques de détection directe ont confirmé la validité des tests d'anticorps (Jackson et al. J Clin Microbiol 1990;28:16; Busch et al. NEJM 1991;325:1; Silvester et al. J Acquir Immune Defic Syndr Hum Retrovirol 1995;8:411; Urassa et al. J Clin Virol 1999;14:25; Nkengasong et al. AIDS 1999;13:109; Samdal et al. Clin Diagn Virol 1996;7:55.

    3) Des réfutations des arguments "accessoires " invoqués ci-dessus

    Notons tout d'abord le procédé malhonnête utilisé par le NIAID au tout début de son argumentation. L'orthodoxie du sida se contente de reprendre la conclusion finale émise par la dissidence du sida au sujet de la fiabilité des tests HIV, sans même reprendre, fût-il partiellement, les arguments de la dissidence qui la sous-tendent.

    Il est vrai que lu de cette façon-là, on ne pourrait qu'être impressionné et penser que l'orthodoxie du sida aurait brillamment relevé le défi de la dissidence. Mais cette première impression ne résulte que du fait que ce document n'explique en rien l'argumentation sous-jacente de la dissidence du sida aboutissant à la conclusion que les tests HIV ne détectent en aucune façon une infection au HIV. Cette technique, consistant uniquement à retenir le résumé pour le moins très succinct des conclusions de la dissidence de la sida, utilisée par l'orthodoxie du sida pour appuyer ses dires est particulièrement symptomatique de ce document du NIAID puisqu'il en est truffé. On peut dès lors s'interroger sur le caractère réellement scientifique de ce document, qui, pourtant, se veut être la meilleure réponse aux arguments de la dissidence du sida, ce qui est un comble !

    Concernant ensuite les huit références citées dans cette "argumentation", ce qui semble lui donner davantage de poids et donc impressionner, nous verrons ultérieurement, lorsque nous réfuterons le deuxième argument de Candide, que nous avons en réalité toutes les raisons de nous en gausser !

    Je ne m'attarderai pas longtemps sur le deuxième alinéa, lequel fait implicitement référence aux tests dits de détection directe du pseudo HIV. Il s'agit des tests de charge virale (PCR) et de l'observation directe au microscope électronique. En effet, il est tout simplement ahurissant que l'orthodoxie du sida prétende valider la fiabilité des tests HIV par le biais de deux autres méthodes qui souffrent d'autant et même de davantage de critiques que les tests HIV eux-mêmes.

    Je n'en parlerai guère, faute de quoi ce post deviendrait véritablement kilométrique.

    Pour ce qui concerne la charge virale, en guise d'introduction, il n'a jamais été prouvé que l'ARN à partir duquel la technique du PCR est utilisé provient bien du rétrovirus pathogène et exogène que serait le HIV. Ensuite, j'invite le lecteur à par exemple lire ce post-ci, les différents articles qu'on peut trouver sur le sujet sur www.sidasante.com ou encore ce topic particulier.

    Pour ce qui concerne l'observation directe au microscope électronique du virus HIV, il s'agit en fait de tout le problème relatif à l'isolation du virus. Quoique j'y reviendrai partiellement ci-après, j'invite le lecteur à lire par exemple les articles suivants : un,deux, trois, quatre et cinq.

    Le lecteur constatera que le virus HIV n'a jamais réellement été isolé selon la bonne vieille méthode, sûre, logique et sensée utilisée depuis des lustres pour prouver l'existence des rétrovirus, méthode basée sur la définition même du rétrovirus (particule ayant une taille, une forme, une apparence, une constitution bien définies, outre la capacité de répliquer), méthode abandonnée pour une raison inconnue lorsqu'il s'agit de l'appliquer au HIV. Ce sur quoi travaille depuis plus de 20 ans l'orthodoxie du sida est au pire une infinité de débris cellulaires, au mieux des rétrovirus endogènes produits naturellement par l'organisme humain suite au stress oxydatif. En d'autres termes, l'orthodoxie du sida travaille sur les symptômes ou conséquences (= le pseudo HIV) de la maladie, et non sur sa cause (le stress oxydatif). Et étant donné que le degré du stress oxydatif varie sans cesse et que les sources de stress oxydatif sont quasiment infinies, la conjonction de ces deux variables engendre une infinité de souches de matériel endogène (pas exogène donc, car produite par l'organisme humain lui-même) et donc non pathogène qualifié de HIV, ce qui a entre autres donné naissance au légendaire mythe de la mutabilité du virus HIV, l'orthodoxie du sida prétendant que le génome du virus pouvant varier jusqu'à 40% ! (C'est d'ailleurs absolument ahurissant; en effet, à supposer que le HIV soit vraiment un rétrovirus exogène et pathogène, comment, en variant autant, pourrait-il rester le même acteur tout en continuant à construire les mêmes protéines fonctionnelles et à induire les mêmes anticorps ? Voilà qui relève carrément de la magie et du paranormal ! En revanche, si le HIV est considéré [au mieux] comme un rétrovirus endogène, les millions de génotypes différents de ce rétrovirus peuvent s'expliquer car étant le produit et donc la conséquence d'un stress oxydatif au degré et aux sources quasiment infinies, et la circonstances que le HIV, considéré donc comme rétrovirus endogène, n'est qu'une conséquence de la maladie et non sa cause, explique que le HIV "muté" n'ait nul besoin de conserver la fonctionnalité de ses protéines. Remarquons que cette même notion "endogène" explique la notion orthodoxe du sida de "souche virulente du virus". Une "souche virulente du virus" n'est en réalité rien d'autre que l'expression endogène d'un stress oxydatif extrêmement élevé. Et le caractère endogène du "HIV" ne fait aucun doute d'ailleurs. En effet, si une souche est dite virulente, comment se fait-il qu'une personne contaminée par la souche virulente du "HIV" provenant d'un autre séropo [qui en est mort] peut parfaitement continuer à très bien vivre sans en souffrir si le HIV cause le sida ? Tout simplement, parce que le HIV n'est que du matériel endogène qui a été transmis par le second à la première et que celle-ci ne souffre pas elle-même d'un fort stress oxydatif. Certes, une méthode de détection directe constatera qu'elle est porteuse d'une souche dite virulente, mais étant donné que cette souche n'était que l'expression endogène du stress oxydatif dont est mort l'autre séropo, il n'y a évidemment aucune raison que la nouvelle porteuse de cette souche en souffre).

    En réalité, ce qui m'intéresse, c'est le premier alinéa de l'argumentation de l'orthodoxie du sida, à savoir la soi-disant sensibilité et spécificité des tests HIV, et c'est là-dessus que mes critiques vont fuser.

    4) Un énoncé - au surplus incomplet - d'une multitude de critiques à l'encontre des tests HIV (à propos donc du premier alinéa susrelaté) et, partant, de son ignominie sans nom

    Par boutade, je commencerai déjà par dire que oui, effectivement, les tests HIV, lorsqu'ils détectent les protéines supposées spécifiques au HIV, sont précis à 98%. Quand ils détectent par exemple la protéine p24, il y a 98% de chance qu'il s'agit bien de la protéine p24 et pas une autre !

    Cessons la plaisanterie. Ceci n'a été dit que pour impressionner le lecteur et pour montrer de quelle manière Candide a pu lui-même impressionner les intervenants sur ce forum avec ces deux arguments, c'est-à-dire par l'effet d'annonce !

    a) Aucune des 10 protéines n'est spécifique à 100% au HIV !

    Comme nous le savons, les tests HIV ont pour objectif de détecter (en l'occurrence, 10 lorsqu'il s'agit du test Western Blot, le test dit de "confirmation") des protéines supposées spécifiques du HIV, censées donc constituer la "carte d'identité moléculaire" du HIV. Or, JAMAIS, il n'a pu être prouvé que ne fût-ce qu'une seule de ces dix protéines (arbitrairement) sélectionnées proviennent d'un virus isolé appelé HIV, et encore moins qu'elle soit spécifique à 100% au (pseudo) HIV. Et à partir du moment où pas même une de ces dix protéines n'a une spécificité de 100% avec le supposé rétrovirus HIV, il devient dès lors logique que chacune de ces dix protéines puisse être l'indice de dizaines ou même centaines d'autres choses que le supposé HIV. Au contraire, certaines d'entres elles correspondent à des éléments n'ayant rien à voir avec un virus quel qu'il soit. Par exemple, les protéines p24 et p41 correspondent au poids moléculaire de respectivement de la myosine et de l'actine. Or, ces deux protéines sont des protéines essentielles des muscles, que l'on trouve donc naturellement dans le corps.

    De manière générale, voyez également cet autre post.

    Donc, il n'a jamais été démontré que pas même une de ces 10 protéines aurait une spécificité totale au pseudo HIV.

    Comment peut-on affirmer cela ?

    * Car le rétrovirus HIV n'a jamais été isolé, pardi ! Et faute d'avoir pu l'isoler, il est strictement impossible de dresser sa carte moléculaire et de déterminer les protéines qui lui seraient spécifiques (fût-il partiellement) et d'affirmer leur origine rétrovirale de ces 10 protéines (il en est d'ailleurs strictement de même pour ce qui concerne son génome : la meilleure preuve en est que l'orthodoxie du sida n'a pas peur du ridicule en affirmant que le génome du virus HIV peut varier jusqu'à concurrence de 40% de son génome ! Si une telle différence pourrait encore se justifier dans l'hypothèse - possible - où le HIV serait un rétrovirus endogène et inoffensif, marqueur de la maladie et non cause de la maladie, elle ne saurait l'être dans l'hypothèse où le HIV serait un virus exogène et pathogène).

    * Car il a été démontré que nous sommes tous séropositifs au test HIV, à partir du moment où on ne dilue pas le sérum à tester. La preuve même que nous sommes tous naturellement porteurs de ces dix protéines en plus ou moins grande quantité, que le stress oxydatif permettra de multiplier jusqu'à atteindre le seuil au-delà duquel vous êtes déclaré séropositif au test dit "HIV" ! Lisez par exemple cet article-ci. Seuls seront en effet déclarés séropositifs ceux dont le nombre de ces protéines dépasse un certain seuil, au surplus défini arbitrairement !

    b) Mais il y a bien mieux encore ! Quand bien même le HIV existerait en tant que rétrovirus exogène et pathogène et quand bien même on supposerait que les 10 protéines en question seraient chacune 100% spécifiques au VIH (mais on vient de voir justement que ce n'est déjà pas le cas pour aucune de ces 10 protéines) et que tous les virus et bactéries du monde ont chacun leurs protéines 100% spécifiques (pas de phénomène de réaction croisée donc, ce qui n'existe également pas), à défaut d'avoir pu isoler préalablement ce HIV exogène et pathogène, il est tout simplement impossible de créer un test d'anticorps ayant la prétention de détecter le HIV en raison des deux faits suivants cumulativement réunis chez chaque séropo et sidéen sans exception.

    En effet, le HIV n'ayant jamais été isolé (1er fait), quand bien même on supposerait qu'il existerait 10 protéines 100% spécifique au HIV, on ne saurait identifier lesquels il pourrait s'agir (et donc créer un test HIV détectant ces protéines ou anticorps) au motif que chaque sidéen ou séropo sans exception est TOUJOURS porteur d'une multitude d'autres bactéries, virus ou microbes (2ème fait), en sorte qu'il est tout simplement impossible de dire quelles protéines réagissent avec les microbes qui lui sont spécifiquement attribuées à 100% ...... faute d'avoir pu isoler le HIV ! SEULE l'isolation du (pseudo) HIV permettrait d'effectivement déterminer quelles seraient les protéines spécifiques du HIV. Mais cet exploit n'a justement jamais pu être réalisé !

    C'est ce que Papadopoulos me semble avoir très bien expliqué dans cet article-ci et dont je ne peux m'empêcher de reproduire ci-dessous le passage en question :

    CJ: ... et ne réagit pas lorsque le VIH est absent?

    EPE: Question de pourcentage. Spécifique à 100% veut dire qu'il n'y a aucune réaction quand le VIH est absent. Mes collègues et moi disons que les anticorps ne peuvent pas plus prouver l'existence d'un virus que vous ne pouvez prouver qui est premier de la poule ou de l'oeuf. C'est un point essentiel dans notre argumentation, aussi j'espère que je vais arriver à me faire bien comprendre.

    CJ: Je suis tout ouïe....

    EPE: Songez un peu à ce qu'on a fait jusqu'à présent: on dispose d'une bonne vieille méthode, sure, logique, sensée, pour prouver l'existence des rétrovirus. Elle est basée sur la définition même du rétrovirus et rien d'autre = particule ayant une taille, une forme, une apparence, une constitution bien définies, plus la capacité de répliquer. Soudain, pour une raison inconnue, cette méthode est abandonnée quand il s'agit de l'appliquer au VIH. Ne me demandez pas pourquoi, mais c'est ainsi! A sa place nous avons une collection de données disparates du genre photos hors du gradient de densité, traces de TI dans les cultures ou la bande 1.16 du gradient... Aucune n'est preuve par elle-même de existence d'un rétrovirus. Gallo lui-même l'avoue

    CJ: Continuez. Je vous suis.

    EPE: Dans la foulée vient alors l'idée des anticorps. Si virus il y a, venant du dehors, il doit induire des anticorps chez les gens qu'il infecte. Mais on se dit: et si ces anticorps étaient spécifiques? et si ils étaient produits en réaction au VIH seulement? et si ils ne réagissaient qu'avec les protéines du VIH? O.K. Supposons que cette spécificité, bien peu probable, existe et faisons une supposition encore plus improbable.

    CJ: Oui, laquelle?

    EPE: Qu'il n'existe que des anticorps spécifiques: les anticorps au bacille tuberculeux ne réagissent qu'avec le bacille de Koch, les anticorps au virus de l'hépatite B ne réagissent que contre le HBV etc...O.K. On prélève des tissus sur des malades du SIDA. On en arrose la culture. Hop! ça réagit. Et alors? Qu'est-ce qu'on a prouvé? Les sidéens sont bourrés de microbes, on le sait. Leurs microbes, ou des débris de leurs microbes, se retrouvent dans leurs cellules;(c'est bien pour ça que les laborantins qui manipulent ces spécimens sont dits être à risques, n'est-ce pas?). D'autre part, on sait aussi que malgré leur immnunodépression les sidéens ont des myriades d'anticorps circulants. Y compris des anticorps anti-cellule T humaine, celle-là même qui sert de substrat à notre culture. Vous voyez bien: même si chaque anticorps ne réagit qu'avec son partenaire de microbe, on va assister à une foule de réactions entre un tas d'éléments différents.

    CJ: Je vois où vous voulez en venir: puisque tout ce que l'on voit c'est le phénomène réaction, on ne peut pas dire qui réagit avec quoi.

    EPE: Exactement. Les anticorps réagissent, ça clignote ; mais qui a mis le doigt sur l'interrupteur ? Pour les besoins du raisonnement, nous avons supposé que chaque anticorps est spécifique, mais dans la réalité, ils ont des réactions croisées. C'est encore pire.

    CJ: Difficile de savoir quelle est l'origine de chaque protéine et de chaque anticorps. C'est un drôle de capharnaüm.

    EPE: C'est tout à fait ça. De plus ne perdons pas de vue que nous cherchons à connaître deux choses à ne pas confondre. D'une part la nature , d'autre part l'origine de protéines virales. La réaction d'anticorps ne nous renseigne ni sur l'une, ni sur l'autre. Pourquoi telle protéine viendrait-elle d'une particule plutôt que de la planète Mars? Les anticorps ne sont que des gaufres qui portent l'empreinte de leur moule.

    c) Au sujet de la sensibilité

    A la lecture déjà des deux seules critiques fondamentales qui précèdent, les autres critiques qui suivent ne peuvent que confirmer encore plus la vaine prétention de l'orthodoxie à affirmer que les tests HIV détecteraient le pseudo HIV.

    Ainsi pour ce qui concerne la pseudo sensibilité du test HIV, celle-ci ne peut à l'évidence n'être qu'une chimère puisque pour l'apprécier, il faudrait l'évaluer sur la population la plus importante possible dont nous savons, preuves à l'appui, qu'ils sont effectivement porteurs de ce pseudo virus. Ces preuves n'ont jamais pu être apportées car nous savons tous que chez plus de 50%, voire même 60% des sidéens en phase terminale, ce qui est considéré comme étant du HIV est absolument indétectable ! Raison pour laquelle d'ailleurs le concept, particulièrement trompeur, de "charge virale" a été inventé par l'orthodoxie du sida au milieu des années 90.

    d) Au sujet de la spécificité

    Exactement pour la même raison, il est évidemment impossible d'affirmer que les tests HIV revêtent une quelconque spéficité puisqu'ils supposent qu'on ait pu l'évaluer à partir d'une population dont nous savons, preuves à l'appui, qu'elle n'est pas porteuse du pseudo virus !

    e) Au sujet des réactions croisées

    Le lecteur aura déjà compris à ce stade-ci du présent post que le phénomène de réactions croisées est extrêment courant dans les tests HIV. Je les invite à lire par exemple l'article suivant et d'où il ressort que plus 70 facteurs sans rapport quelconque avec le pseudo HIV sont parfaitement de nature à rendre le test HIV positif. Et pour illustrer cette 5ème critique avec l'argument de Candide, je ne vois absolument pas en quoi la circonstance qu'il a été prouvé dans ces 56 cas qu'il y a eu un contact antérieur (au test) avec le pseudo HIV exclut l'un et/ou l'autre de ces 70 facteurs dont il est reconnu qu'ils peuvent rendre un test dit "HIV" positif !

    f) Le seuil

    Le lecteur aura également compris que les tests HIV sont en outre des tests avec seuil. Si le nombre des protéines soi-disant spécique dépasse un certain seuil, vous êtes considéré comme séropositif, et donc porteur d'un virus contagieux et mortel. Si ce nombre est inférieur à ce seuil, vous êtes considéré comme séronégatif et donc, comme non porteur d'un virus contagieux ou mortel. Si par malheur, le résultat est douteux (car trop proche du seuil), on examinera si vous faites partie d'un groupe à risque. Si cela est malheureusement le cas, vous êtes séropositif. Dans le cas contraire, vous êtes séronégatif ! Où est la logique dans ce procédé de détection du virus, quand en outre, si vous êtes proche du seuil et que le résultat est donc incertain, on vous cataloguera de séropositif si vous êtes dans un groupe à risque et séronégatif si vous n'êtes pas considéré comme étant dans un groupe à risque !?

    Mais il y a bien pire encore comme nous allons le voir immédiatement !

    g) Le nombre de protéines

    Si comme l'affirme l'orthodoxie du sida, ces dix protéines seraient effectivement spécifiques au HIV (mais nous avons déjà vu que ce n'est absolument pas le cas, pour aucune d'entre elle), nous pouvons nous poser les deux questions suivantes, totalement contradictoires l'une de l'autre :

    * Pourquoi la détection (par ces fameux tests, donc) d'une seule de ces dix protéines ne serait pas suffisante pour détecter ce (fameux et si insaisissable) HIV ?

    * Tout à l'opposé, pourquoi ne pas au contraire exiger que les tests HIV détectent chaque fois ces dix protéines avant de déclarer une personne séropositive, puisque ces dix protéines sont dites "spécifiques" du HIV ?

    Ces deux questions sont parfaitement illustrées par la courte mais hélas tragique histoire du sida, et ce d'ailleurs jusqu'à ce jour.

    En effet, les premières années, il suffisait qu'une seule de ces dix protéines soit détectée, à savoir la p24, et que la personne testée soit gay pour qu'il soit déclarée comme séropositive et donc porteuse de ce pseudo HIV. Et les choses ne sont pas améliorées à l'heure actuelle. Tantôt deux protéines suffisent (comme en Afrique, du moins dans les cas rarissimes où ces tests sont effectuées), tantôt trois protéines (USA et la plupart des états européens), tantôt quatre protéines (comme en Australie par exemple). Trouvez-vous normal et scientifique qu'un français, chez qui trois de ces dix protéines ont dépassé le seuil, soit considéré comme en mauvaise santé car porteur d'un dangereux virus sexuellement transmissible, soit en revanche considéré comme étant en parfaite santé et non porteur de ce virus lorsqu'il traverse la frontière australienne ?!? Expliquez moi çà !

    h) Les facteurs raciaux

    Les différentes races (je n'aime guère le terme, mais nous nous comprenons) ont naturellement des taux d'anticorps différents. Ainsi, les personnes de race noire ont en moyenne 9 fois plus d'anticorps que les personnes de race blanche et même 33 fois plus que les Asiatiques, et donc respectivement 9 et 33 fois plus de chances d'être déclarées séropositives.

    C'est ce qu'explique très bien David Rasnick dans ce document-ci

    Les différentes races ont naturellement des taux différents d'anticorps. C' est pour cela que les noirs ont un risque 9 fois plus élevé que les blancs d 'avoir un test positif, et un risque 33 fois plus élevé que les asiatiques. Cela n'a rien à voir avec une infection ou avec la santé. Dans une tribu d' indiens d'Amérique du Sud, on a effectué un test ELISA. 13% d'entre eux étaient séropositifs pour le VIH, mais aucun n'était malade. Ils avaient juste des anticorps qui réagissaient avec le test.

    Ceci (entre autres) explique (les chiffres qui suivent sont citées de mémoire, mais même si dans la réalité, c'est un peu différent, cela reste éloquent) que 7 ou 8 personnes séropositives sur 10 aux USA sont de race noire, alors qu'il y a 6 ou 7 fois moins de personnes de race noire que de personnes de race blanche aux USA ! L'explication (mais il y en a d'autres bien sûr) vient de là, et non parce que les personnes de race noire seraient 40 ou 50 fois moins prudentes que les personnes de race blanche en omettant d'utiliser un préservatif.

    C'est (entre autres) cette explication qui explique aussi qu'il y ait une telle "épidémie" de sida en Afrique.

    C'est (entre autres) cette explication qui explique que l'"épidémie" de sida ait été déclaré en dernier lieu en Asie : voyez par exemple la Chine avec seulement (650.000 personnes séropositives [cliquez ici] pour une population de plus de quasiment 1,3 milliard d'habitants (et encore, il semble s'agir d'une estimation véritablement exagérée basée sur le modèle mathématique, viral et orthodoxe du sida). Voyez par exemple le cas du Japon (c'est peut-être un bien meilleur exemple finalement puisqu'il s'agit d'une nation occidentalisée pour la totalité, contrairement à la Chine) avec à peine 600 nouveaux cas de séropositivité en 2002 pour une population de 125 millions d'habitants, alors qu'il y avait 3000 nouveaux cas de séropositivité en France en 2003 pour une population deux fois moins importante : cliquez ici.

    Je suis sûr d'avoir oublié encore quelques autres critiques des tests HIV tellement elles sont innombrables (ainsi n'ai-je par exemple pas mentionné que les fabricants eux-mêmes [et pour cause, à la lecture des critiques absolument rédhibitoires qui précèdent !] annoncent dans les notices explicatives que leurs tests ne peuvent servir à affirmer ou infirmer la présence du HIV [!!! Et on continue encore à s'en servir pour condamner à mort !]), mais le lecteur - même un peu distrait - aura pu constater aisément à l'énoncé de cette liste de critiques, dont l'une ou l'autre se suffit d'ailleurs à elle-même pour dénier aux tests la moindre prétention à détecter ne fût-ce qu'un seul cas d'infection au (pseudo) HIV, que LES TESTS HIV NE DETECTENT JAMAIS UNE INFECTION AU SUPPOSE RETROVIRUS EXOGENE ET PATHOGENE QUE SERAIT LE HIV ! On notera également que toutes les objections énumérées ci-dessus à l'encontre des tests HIV et, partant, à la théorie virale du sida, peuvent en revanche toutes et sans exception aucune être expliquées par la théorie chimique (ou stress oxydatif) du sida. Mais tel n'est pas l'objet du présent post. N'empêche, devant cette seule considération, il est absolument inouï de continuer à marteler sans cesse que le sida est causé par le HIV !

    * ET MAINTENANT, REVENONS PLUS SPECIFIQUEMENT AU PREMIER ARGUMENT DE CANDIDE POUR EN CONCLURE AVEC SA REFUTATION

    En résumé, si Candide veut démontrer que ces 56 cas sont bien plus qu'une simple coïncidence d'une infection au pseudo HIV mais bien la preuve réelle d'une infection au HIV, il doit tout d'abord démontrer que les tests HIV sont fiables, sensibles et spécifiques au HIV et donc qu'ils sont la preuve, ne fût-ce que dans quelques cas déjà (ce ne sera déjà pas si mal !), d'une infection virale. Etant donné qu'une telle preuve n'a encore jamais pu être faite par l'orthodoxie scientifique du sida (et je ne vois par conséquent pas comment Candide pourrait relever une telle gageure) et qu'il n'a donc pas été démontré que le test HIV est la preuve d'une infection au virus HIV, il est particulièrement vain et malvenu d'affirmer que ces 56 cas sont la preuve d'une infection au HIV ou, même de manière générale, que le HIV cause le sida !

    Et comme si cela ne suffisait pas pour anéantir cet "argument" de Candide, il échet en outre de s'interroger avec quelle fréquence des tests HIV ont été effectués dans ces 56 cas. En effet, faisaient-ils des tests HIV régulièrement, toutes les semaines voire uniquement tous les mois, ou pire encore, l'ont-ils fait pour la première fois après l'exposition au pseudo HIV ? Car dans ces hypothèses, qui paraissent logiquement correspondre à la réalité, on peut parfaitement se dire qu'il est tout à fait possible qu'ils étaient déjà séropositifs avant même cette exposition au pseudo VIH vu qu'il est par définition et par exemple impossible d'exclure que l'une et ou l'autre des 70 facteurs dont question ci-dessus ait pu se produire entre le dernier test (par définition séronégatif) effectué avant l'exposition au pseudo HIV et celui (par définition séropositif) effectué après l'exposition au pseudo HIV. Et à supposer même qu'ils faisaient de tels tests chaque semaine (mais on rentre là carrément dans le domaine de la science-fiction), il ne peut en aucune façon être exclu que de tels facteurs aient pu se produire en quelques jours (hypothèse tout à fait vraisemblable vu le nombre [56] statistiquement sans signification au regard du nombre de cas de sida total aux USA depuis le début de l'"épidémie").

    Comme le lecteur aura aisément pu le constater, ce premier argument de Candide, qui avait l'air d'être très impressionnant au premier abord mais qui après analyse ne l'est absolument pas, n'est pas prêt de faire florès ..... et un seul et unique sort ne peut que lui être réservé : le rebut, et sans le moindre ménagement d'ailleurs !

    Passons maintenant au deuxième "argument" ou "preuve" de Candide selon laquelle le HIV causerait le sida.

    II) LA REFUTATION DU DEUXIEME ARGUMENT DE CANDIDE

    Et puisque tu le demandes, je veux bien continuer mon enquête sur ce château de carte que vous appelez "la réfutation de la déclaration de Durban". Il n'est pas compliqué de démontrer que c'est un tissu de mensonges : il suffit de repérer, dans le texte, ce qui paraît le plus énorme et qui reposerait sur des travaux scientifiques. On retrouve l'article cité, son auteur, et on compare l'original à ce qui est écrit dans votre "réfutation". Et pfiou ! Le château de carte s'écroule.

    Nouvel exemple : je cite un passage de la "réfutation"

    Katz et ses collègues (1997) ont également constaté que le nombre de nouvelles infections par le VIH dans la ville de San Francisco (considérée comme "l'épicentre de l'épidémie") avait diminué dès la fin de 1982, c'est-à-dire bien avant le démarrage des premières campagnes de "safe sex" et même deux ans avant qu'on ne décide que le VIH était la cause probable du SIDA

    L'article de Katz et ses collègues en 1997, c'est : Katz M et al (1997). Projected incidences of AIDS in San Francisco: The peak and decline of the epidemic. Journal of Acquired Immune Deficiency and Human Retrovirology 16:182-189. On en trouve un résumé sur Pubmed : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...bstr&query_hl=3. Dans ce résumé, on apprend que les auteurs ont élaboré une projection du nombre de nouvelles personnes atteintes par le Sida chaque année à San Francisco. Ce modèle explique que le nombre de nouvelles personnes porteuses de la maladie en 1992 était de 3332 et qu'il diminuait progressivement chaque année, pour atteindre 1196 en 1998. L'étude conclut que le déclin de "l'incidence du Sida à San Francisco reflète la baisse considérable du nombre de personnes infectées une dizaine d'année plus tôt, et qui résulte d'un changement significatif des comportements à risque, notamment chez les homosexuels et les hommes bisexuels".

    C'est écrit noir sur blanc : la baisse du nombre de nouveau cas de Sida est imputable à une diminution des comportements à risque à San Francisco. Il s'agit donc d'un nouveau contresens et d'un nouveau mensonge par omission de la "réfutation". Pourquoi les auteurs du château de carte (euh... pardon, de la "réfutation") tiennent-ils absolument à nous dire que la diminution du nombre de nouveaux cas de contamination a diminué avant les campagnes de prévention ? Parce qu'ils aimeraient faire croire qu'il n'y a pas d'épidémie, que le VIH n'est pas un virus et que le Sida n'est pas une maladie contagieuse. Le problème, c'est que c'est faux. Une nouvelle fois, les auteurs de la "réfutation" ont fait mentir les travaux scientifiques qu'ils ont cités.

    Précisons que M. Katz est directeur du département de santé publique de San Francisco. Sur le site du département de la santé, on trouve plusieurs études relatives au VIH/Sida. Il y a par exemple ce document qui montre la progression de l'épidémie dans la ville de 1981 à 2000 (pdf). On trouve aussi les rapports épidémiologiques annuels sur le VIH/Sida à San Francisco. Je vous recommande par exemple le rapport 2004 (pdf), dans lequel on trouve, à la page 3, les courbes montrant l'évolution du nombre de nouveaux cas de Sida, du nombre de morts par Sida. On y voit que le nombre de morts par Sida chute de manière spectaculaire entre 1995 et 1997, grâce à l'efficacité des traitements par anti-rétroviraux. Il faudra un jour que les "dissidents" m'expliquent pourquoi les personnes qui se soignent avec des anti-rétroviraux ont une plus grande espérance de vie que les autres.

    La mauvaise foi des "dissidents" est sans borne. Car ils connaissent très bien les travaux de M. Katz. En effet, en 1999, trois d'entre eux (D. Pasquarelli, M. Bellefountaine, C. Maggiore) ont rencontré M. Katz, et ce dernier leur a expliqué en détail les raisons de la décrue du nombre de nouvelles contaminations à San Francisco. Ces trois "dissidents" avaient demandé à être reçu par le maire de San Francisco de l'époque, W. Brown. Celui-ci avait accepté d'entendre les arguments "dissidents", accompagné par M. Katz, en sa qualité de directeur du département de la santé publique de San Francisco. J'imagine que tout le monde ici connaît le compte-rendu de cet entretien, retranscrit sur ce site "dissident". Voici ce qu'a dit M. Katz à propos de cette fameuse étude de 1997 : "San Francisco a organisé des campagnes de prévention au début des années 1980, et ces campagnes ont permis de faire chuter le nombre de séroconversions de manière très importante".

    En fait, plus le mensonge est énorme, plus les "dissidents" se disent qu'on va le gober facilement. L'étude de M. Katz indique que la diminution des contaminations s'explique par une réduction des comportements à risque, suite aux campagnes de prévention menées à San Francisco. Les auteurs de la "réfutation" affirment, sans sourciller, que la baisse des nouvelles contaminations a eu lieu avant les campagnes de prévention. Et, comme ils ne manquent pas d'air, ils citent les travaux de M. Katz comme preuve de ce qu'ils avancent. Il fallait oser... Apparemment, ça a marché auprès de certains d'entre vous, puisque vous êtes nombreux ici à vous référer à cette "réfutation" de la déclaration de Durban. Combien d'entre vous ont pris la peine de vérifier que l'on ne vous racontait pas des salades ?

    Aixur, dois-je vraiment continuer à souffler sur le château de carte ?

    Ce texte, que vous appelez la "réfutation de la déclaration de Durban", est, je le répète, un tissu de mensonges, d'allégations et de contrevérités. Je ne comprends pas que vous continuiez à vous y référer.

    L'argument de Candide, de nouveau apparemment très pertinent, consiste finalement à dire que les "contaminations", tout particulièrement chez les gay, ont baissé grâce au safe sex. Le safe sex consistant à adopter des pratiques sexuelles évitant la (pseudo) transmission sexuelle du (pseudo) virus HIV, ceci est donc la "preuve" que le HIV est la cause du sida.

    Mais avant d'y venir, nous allons d'abord commencer par analyser ce qui a mis le feu au poudre et permis à Candide de littéralement se déchaîner, à savoir la circonstance que dans le cadre de la Réfutation de la Déclaration de Durban, les dissidents du sida auraient invoqué à mauvais escient une étude scientifique qui dirait exactement le contraire de ce qu'ils affirment dans la célèbre Réfutation de la Déclaration de Durban, en sorte que les dissidents du sida seraient des gens naturellement malhonnêtes !

    1) La réfutation du prétexte

    a) Notons tout d'abord et sans que cela réfute le prétexte invoqué par Candide que ce dernier a profité d'une faiblesse de la traduction française de la Réfutation de la Déclaration de Durban. En effet, dans la version française de la Réfutation de la Déclaration de Durban, il est écrit que le nombre de nouvelles infections par le VIH dans la ville de San Francisco (considérée comme "l'épicentre de l'épidémie") avait diminué dès la fin de 1982, c'est-à-dire bien avant le démarrage des premières campagnes de "safe sex" et même deux ans avant qu'on ne décide que le VIH était la cause probable du SIDA.

    Or dans la version originale de la Réfutation de la Déclaration de Durban, soit le version anglaise, que le lecteur trouvera en cliquant ici, il est écrit:

    new HIV infections in San Francisco, supposedly the "epicenter of the epidemic", peaked in 1982. This was long before the introduction of any safe sex campaign, and was two years before HIV was even selected as the probable cause of AIDS.

    Pour ma part, "peaked in 1982", je le traduirais par ""atteindre son apogée en 1982". En réalité, la traduction française de la Réfutation de la Déclaration de Durban introduit une nuance qui n'existe pas forcément dans la version anglaise. En effet, si on se base sur la version originale ("atteindre son apogée"), les cas de "contamination" n'ont pas forcément diminué dès la fin de 1982, mais on peut au contraire imaginer que les cas de contamination sont restés stables au cours des années qui ont suivi avant de diminuer.

    Mais peu importe. Je voulais simplement montrer qu'avant de faire de telles affirmations, Candide aurait bien dû analyser minutieusement les documents sur lesquels il s'appuie, et nous verrons bientôt que le défaut d'analyse de Candide est particulièrement flagrant.

    b) Personne ne semble avoir constaté cette évidence mais pour étayer cette accusation de malhonnêteté intellectuelle à l'encontre de la dissidence, Candide s'appuie uniquement ..... sur un résumé, pour le moins très succinct, de l'étude invoquée par la dissidence dans la Réfutation de la Déclaration de Durban. Un résumé ! Le résumé relatant en fait uniquement la conclusion principale (que je nie pas, j'en parlerai plus loin) de l'étude, à savoir que les "contaminations" ont baissé corrélativement à la diminution des comportements dit "à risque", c'est-à-dire corrélativement à la promotion du safe sex.

    Mais dites moi, où est-il précisé dans ce résumé qu'au cours de cette étude, les chercheurs en question n'auraient effectivement pas constaté cette incohérence flagrante à la théorie virale du sida, à savoir que les cas de "contamination" ont baissé dès la fin de l'année 1982 ? NULLE PART ! Candide a fait dire à ce résumé ce qu'il voulait entendre, et rien d'autre. Il a interprété ce résumé dans le sens qu'il souhaitait, et rien d'autre.

    En réalité, ce qui s'est passé est le suivant. Contrairement à l'orthodoxie du sida, la dissidence du sida, elle, prend le temps et le soin d'analyser les études invoquées à l'appui de l'abracadabrantesque théorie virale. Et la dissidence a pu constater qu'au cours de cette étude, les chercheurs en question ont constaté que les "contamination" avaient malgré tout diminué dès la fin de l'année 1982, soit avant même le début des campagnes de safe sex. Et c'est tellement "gros", comme le dit si bien Candide, que la dissidence du sida n'a légitimement pas pu s'empêcher de reprendre cette anomalie tellement "grosse" à la théorie virale et orthodoxe du sida dans la Réfutation de la Déclaration de Durban ! Et cette anomalie, ne pouvant justement être expliquée par le dogme du virus tueur et ayant en outre été constatée par l'orthodoxie du sida elle-même (!), cela ne peut que lui conférer encore davantage de poids ! La dissidence du sida n'allait quand même pas s'en priver !

    En revanche, si Candide avait affirmé avoir lu, non le résumé très succinct de cette étude, mais bien l'intrégralité de cette étude et qu'il avait affirmé qu'il n'avait pas relevé dans cette étude cette incohérence flagrante à la théorie virale du sida, alors son accusation de malhonnêteté intellectuelle de la dissidence du sida aurait pu présenter quelque intérêt. Mais ce n'est pas ce qu'il a fait !

    c) Mais il y a bien pire encore ! Et c'est bien ici que la malhonnêteté intellectuelle sans fin de Candide, je dis bien de Candide (!), est dévoilée de façon éclatante au grand jour. En effet, le résumé lui-même, et malgré son caractère fort succinct, étaye l'affirmation de la dissidence du sida selon laquelle les cas de contamination ont baissé dès la fin de l'année 1982, ce qui est pour le moins le comble du comble !

    Je reproduis ci-dessous la partie de ce résumé y relative :

    The annual number of new AIDS cases is estimated to have peaked at 3332 in 1992, and is projected to decline to 1196 annually by 1998......The decline in the incidence of AIDS in San Francisco reflects the dramatic reductions in new HIV infections that occurred a decade previously .....

    En d'autres termes, le résumé précise lui-même que les cas de SIDA (il est bien écrit dans ce résumé "SIDA", et non "contamination" !) ont culminé en 1992 et ce en raison de la diminution des cas de "contamination" intervenue une décennie auparavant ! Si vous retranchez une décennie à 1992, vous arrivez à ..... 1982 ! Donc, le résumé lui-même laisse entendre que les cas de contamination ont effectivement baissé dès la fin de 1982. L'accusation portée par Candide à l'encontre de la dissidence du sida est non seulement purement gratuite, mais pire encore, mensongère. Nous voyons là quel est le vrai visage de l'orthodoxie du sida ..... et de Candide !

    d) Mais il y a encore et toujours pire ! Et cela est d'ailleurs particulièrement cocasse. Nous venons de voir que l'accusation de malhonnêteté intellectuelle de la dissidence de sida émise par Candide est tout simplement un mensonge aveuglant. Nous venons de constater que contrairement à ce que Candide a essayé de nous faire croire, la dissidence du sida n'a en aucune façon invoqué une étude de façon malhonnête mais bien de façon parfaitement justifiée.

    En revanche, l'orthodoxie du sida, elle, est particulièrement coutumière du fait. Celle-ci, et contrairement donc à la dissidence du sida, a effectivement pour très fréquente habitude d'appuyer ses affirmations sur base d'études ..... qui n'ont strictement rien à voir avec ces affirmations ou qui les contredise au contraire.

    Ainsi, le document "The Evidence that ...... " du NIAID déjà cité ci-dessus lorsque j'ai abordé la question de l'absence totale de fiabilité des test HIV est à cet égard particulièrement éloquent puique ce procédé y est utilisé à de maintes reprises. Lorsqu'on sait que ce document ne constitue déjà que la moins mauvaise contre-argumentation à celle de la dissidence du sida, on est vraiment en droit de se demander comment l'orthodoxie du sida peut invoquer ce château de cartes (oh pardon .... La preuve que le HIV cause le sida) pour continuer à affirmer sans honte que la dissidence aurait tort. L'orthodoxie du sida est vraiment d'une mauvaise foi sans bornes.

    Rappelez-vous. Plus haut, à l'occasion de la réfutation du premier argument de Candide, j'avais littéralement repris le passage qui prouverait la fiabilité à 98% des tests HIV (mais nous avons déjà vu plus haut que cette fiabilité est égale ..... à 0%). Rappelez vous que dans le passage en question, l'orthodoxie du sida invoquait à l'appui de ces affirmations huit études. Voilà qui aurait dû être de nature à impressionner le lecteur, quoique nous étions déjà arrivés auparavant à la conclusion qu'il n'en était rien en tout état de cause.

    Mais savez-vous ce qu'il faut penser de ces huit références ? Et bien, vous allez le savoir. En effet, la dissidence du sida a examiné ces huit études et voici sa conclusion (vous la trouverez en cliquant ici) :

    As with the claim "HIV can be detected in virtually everyone with AIDS", the anonymous authors have provided spurious references that do not support their assertions. Seven of the eight references have nothing to do with attempting to confirm the validity of the antibody tests. Only the Jackson et al. reference can be considered appropriate, but their conclusions are based on the flawed logic discussed above. See previous discussion of Piatak et al.

    En d'autres termes, sur les huit références invoquées, sept (!) n'ont strictement rien à voir avec leur assertion selon laquelle les tests HIV seraient fiables pour détecter pour détecter le pseudo HIV ! Quant à la huitième référence, qui est donc en réalité la seule pouvant être invoquée avec une certaine pertinence par l'orthodoxie du sida, les conclusions sont tout simplement biaisées en raison du parti pris de ces auteurs, à savoir que le sida est "forcément et naturellement" causé par le HIV.

    Ce cas permet d'illustrer combien, et contrairement à l'orthodoxie du sida, la dissidence du sida, elle, étudie et épluche dans ses moindres détails les études et articles scientifiques invoqués à l'appui du dogme du virus tueur, et ce pour bien mettre en évidence les incohérences criantes de ce dogme. Avant de faire des reproches, au surplus non fondés comme nous venons de le voir, Candide aurait d'abord été mieux inspirer de faire le ménage dans son propre camp.

    Et pour paraphraser Candide, je reprends les termes qu'elle a utilisés tout à la fin de son post pour qualifier - à tort, nous n'arrêtons pas de le démontrer tout au long du présent post - la Réfutation de la Déclaration de Durban, mais cette fois-ci, pour l'appliquer à cette soi-disant contre-argumentation du NIAID : ""Ce texte, que vous appelez la "La preuve que le HIV cause le sida", est, je le répète, un tissu de mensonges, d'allégations et de contrevérités. Je ne comprends pas que vous continuiez à vous y référer" !

    Nous venons donc de démontrer que le prétexte invoqué par Candide pour accuser la dissidence du sida de malhonnêteté intellectuelle est complètement bidon. Reste toutefois à réfuter l'argument proprement dit de Candide. C'est ce que nous allons justement faire.

    2) Et la réfutation de l'argument proprement dit !

    En effet, Candide a profité - à tort, nous le savons maintenant - de ce prétexte pour faire l'énumération pour le moins fastidieuse de diverses études scientifiques prouvant que les "contaminations" chez les gay (et au surplus, dans la population hétérosexuelle en général, quoique selon l'orthodoxie du sida elle-même, les risques de transmission hétérosexuelle de la séropositivité frisent le zéro absolu) ont baissé corrélativement à la généralisation de la pratique du safe sex. Ce serait donc la preuve que le sida est causé par le HIV, le safe sex étant l'ensemble de pratiques sexuelles de nature à éviter la transmission du supposé rétrovirus HIV.

    Pour réfuter cette "preuve", est-il réellement nécessaire que je m'évertue à lire ne fût-ce qu'une seule des études invoquées ?

    Non, bien sûr, car toutes les études en question pèchent par le même biais, à savoir que les tests dits "HIV" qui seraient positifs révéleraient une infection au virus HIV. Or, à l'occasion de la réfutation du premier argument invoqué par Candide à l'encontre de la dissidence du sida, nous avons déjà pu constater que les tests HIV ne détectent JAMAIS une infection au HIV. Ces tests ne font que détecter des protéines qui, par l'effet du stress oxydatif, se multiplient à tel point qu'ils dépassnt un seuil arbitrairement défini et au-delà duquel vous êtes déclaré séropositif.

    Pour en avoir la confirmation définitive et en finir avec ce pseudo argument, il suffit de se demander si l'utilisation du préservatif (dont, je le répète, la dissidence du sida ne nie en aucune façon l'utilité, ne fût-ce déjà que pour amoindrir les risques de contracter une - véritable - MST; donc, ne vous méprenez pas sur mes propos) n'aurait pas été de nature à diminuer fortement les causes de séropositivité (ce terme est bien entendu beaucoup plus exact que "contamination"), c'est-à-dire de stress oxydatif, chez les gay. Et la réponse est oui, bien sûr. Mais avant d'énumérer lesdites causes, je dois d'abord prévenir le lecteur aux yeux et oreilles bien chastes que les explications qui vont suivre seront parfois bien crues. Nous ne pouvons toutefois pas faire autrement si nous voulons définitivement enterrer en bonne et due forme cet argument de Candide. Donc, allons y franchement.

    La pratique du safe sex a effectivement permis de supprimer ou, à tout le moins, de fortement amoindrir au moins trois causes fréquentes de séropositivité ou stress oxydatif chez les gay. Nous aurons par ailleurs l'occasion d'aborder très brièvement une quatrième cause de séropositivité chez les gay, assurément la cause la plus grave et de nature à causer un sida déclaré, quoique cette quatrième cause n'ait qu'un rapport indirect avec la pratique du safe sex. Je les citerai par ordre de gravité, étant entendu que la première, quoique constituant une cause fréquente de séropositivité, ne saurait causer le sida, l'histoire de l'homosexualité l'ayant démontré.

    a) L'effet immunodépresseur mais transitoire de l'administration rectale du sperme (pour le "passif" donc)

    Il va sans dire que l'usage du préservatif empêche cette forme de sexualité d'aller jusqu'au bout ! (lol) Or il a déjà été démontré à diverses reprises par la dissidence du sida que l'administration rectale de sperme au "receveur" est de nature à causer un stress oxydatif provisoire. Je renvois à cet égard et entre autres à divers posts de Cheminot en personne (voyez par exemple ce premier post, ce deuxième post et ce troisième post), et je le cite d'ailleurs textuellement :

    Les études dont parle Wallypat sont claires, mais cependant elles indiquent que la baisse des CD4 liés au sperme est transitoire. Ce qui signifie que si une personne (homme ou femme) a vécu (je dirai carrément subi lorsqu'il s'agit d'une femme) un rapport anal réceptif (pour parler comme les gens "bien") et qu'il court faire un test "vih", il aura beuacoup plus de chance d'être transitoirement séropositif, et bien entendu, la machine à broyer les corps et les âmes qui s'appelle la "science médicale" va les condamner à vie.

    Tout cela est révoltant.

    La séropositivité faible, mais suffisante pour qu'on puisse être déclaré séropositif et mis sous AZT (cercle vicieux) peut être également due à la présence répétée de sperme dans le rectum, comme l'ont montré des chercheurs tchèques, car le sperme a des propriétés immunosuppressives (et donc oxydantes).

    En d'autres termes, l'orthodoxie du sida a réussi à faire croire à nombre de gay qui avaient pour seul tort d'avoir une sexualité épanouie (lol) d'avoir été contaminés par un rétrovirus sexuellement transmissible ! Voilà une affirmation pour le moins éhontée et révoltante ! Et si cette circonstance est susceptible de causer un test dit "HIV" positif, il ne saurait bien sûr causer à lui seul du moins un sida déclaré, vu l'histoire de l'homosexualité.

    Car les autres causes de séropositivité que j'énumère ci-après et que la pratique du safe sex a utilement empêché ou presque empêché de se produire sont en revanche bien plus graves et de nature à causer, quant à elles, un sida déclaré. Le problème est que les tests dit "HIV", qui ne sont en fait que des tests de stress oxydatif, ne font pas dans la nuance et ne permettent pas de faire la distinction entre une séropositivité légère, moyenne, forte, très forte, voire même mortelle à court terme. Raison pour laquelle dans divers posts antérieurs (voyez par exemple ce post-ci), j'ai émis la suggestion que les tests de stress oxydatif que sont les tests dits "HIV" soient retravaillés en dehors de toute psychose et hystérie collectives du sida pour devenir une sorte de "test de cholestérol de l'immunité", ce qui serait bien entendu plus utile.

    b) Les MST

    Evidemment, l'usage des préservatifs est un moyen efficace pour prévenir la transmission de MST. Or les MST sont connues pour causer un fort stress oxydatif à l'organisme. Il n'est dès lors pas étonnant qu'avec les campagnes de safe sex, les cas de "séropositivité" aient fortement diminué. Il est piquant de constater qu'il arrive fréquemment et actuellement de constater l'existence de - véritables - MST à l'occasion de tests HIV. Ce n'est évidemment pas un hasard. Les MST en question sont par elles-mêmes de nature à rendre positif le test de stress oxydatif qu'est le test "HIV" ! Nul besoin d'un rétrovirus pour expliquer cela.

    Notons que la presque totalité des gay morts du sida, du moins jusqu'en 1987 et à l'apparition de l'AZT qui a permis à bien davantage de gay (et fait nouveau à de nombreux hétérosexuels) de mourir du sida sans même rencontrer les causes de séropositivité énumérés sub b), c) et d) avait justement la particularité de souffrir justement de MST à répétition, outre les deux autres facteurs de séropositivité énumérés ci-dessous et dont l'implication dans le risque de survenance d'un sida déclaré est encore bien plus fort.

    c) La "débauche" anale passive

    Il va de soi que la réception par le gay passif de multitudes de protéines étrangères (sans même tenir compte du sperme donc) d'innombrables partenaires sexuels différents est de nature à causer à causer un fort stress oxydatif et, partant, un test dit "HIV" positif. Cela est bien entendu rendu impossible par la pratique, toujours à recommander bien sûr, du safe sex.

    Là également, il s'agissait d'un trait commun à nombre gay morts du sida durant les premières années de l'"épidémie". C'était des partouzeurs exceptionnels ! lol Nombre d'entre eux avaient eu durant leur vie plus de 1000 partenaires sexuels différents !

    d) Les drogues récréationnelles

    Evidemment, le safe sex n'a en soi pas formellement provoquer une diminution de la consommation de drogues récréationnelles chez les gay. Cependant, l'usage de ces drogues étaient corrélé avec la cause de séropositivité citée ci-dessus sub c) puisqu'à l'effet de pouvoir continuer leur vie sexuelle effrénée, de nombreux gay avaient recours à la consommation de drogues récréationnelles (tels que le poppers) pour pouvoir tenir ce rythme sexuel pour le moins infernal. A de rarissimes exception près, jusqu'en 1987 (apparition de ce médicament "fabuleux" qu'était et est encore l'AZT), tous les gay morts du sida étaient consommateurs de drogues récréationnelles. Lisez à cet égard et par exemple l'article suivant : Les causes chimiques des diverses épidémies de SIDA).

    Voilà, la réfutation du deuxième "argument" de Candide se termine ici. Nous avons clairement démontré que celui-ci ne démontrait en rien que le sida était causé par le HIV, et que cette apparente preuve de Candide ne résultait uniquement de son seul effet d'annonce !

    CONCLUSION

    Au cours de ces dernières semaines, grâce à cet espace d'expression qu'est ce forum et grâce entre autres aux nombreux posts de Cheminot, que je remercie encore au passage, j'ai été amené à mieux comprendre encore l'argumentaire de la dissidence du sida. J'ai pu constater que s'il était indispensable d'avoir une formation scientifique pour réfuter des arguments de l'orthodoxie du sida, de nombreux arguments de celle-ci peuvent toutefois être réfutés par la simple logique, ce qui n'est bien entendu pas l'apanage des seuls scientifiques. C'est justement ce que j'ai tâché de démontrer dans le cadre du présent post. Il est à cet égard particulièrement malfaisant d'affirmer qu'à défaut d'avoir une formation scientifique, on ne saurait avoir voix au chapitre et qu'on serait obligé de croire sur parole les innombrables stupidités de l'orthodoxie du sida, faute d'avoir la formation scientifique adéquate.

    J'ose enfin espérer que maintenant, les quelques personnes qui auraient encore pu être impressionnés en son temps par les propos pour le moins mensongers de Candide ne le sont maintenant plus. La seule logique a permis de réfuter les arguments de celui-ci !

    • Like 1
  13. Je signale aux lecteurs intéressés que j'ai rédigé un long post

    - par lequel je crois avoir clairement démontré que les tests dit "HIV" ne détectent JAMAIS une infection virale dénommée "HIV",

    - et à l'occasion duquel je réfute les deux (bien seuls) arguments essentiels apparemment très pertinents invoqués à la page 97 de ce topic à l'encontre de la dissidence du sida, par l'orthodoxie du sida, en la personne de Candide, arguments qui semblent avoir été jusqu'ici irréfutés.

    Pour lire ledit post, le lecteur est invité à cliquer ici.

    Merci

  14. Pour commencer, il faut déjà savoir comment les cas de sida sont diagnostiqués en Afrique (voyez par exemple et entre autres cet article-ci).

    En effet, les méthodes de détection des cas de sida en Afrique sont absolument différentes de ce qui a cours dans les pays occidentaux, et reposent essentiellement sur deux méthodes, qui expliquent à elles seules (mais il y a aussi d'autres facteurs) que les statistiques de sida en Afrique soient complètement bidon !

    1) LA DEFINITION DE BANGUI

    Il faut en effet savoir qu'en Afrique, les cas de sida ne sont que très rarement détectés à l'aide des tests Elisa et Western Blot, ceux-ci étant entre autres jugés trop chers pour les finances des Etats africains.

    Par conséquent, les cas de sida en Afrique sont détectés à l'aide de la Définition de Bangui, datant de 1985.

    Les cas de sida sont détectés à partir de symptômes cliniques ..... qui ont la particularité d'être très fréquents en Afrique !

    L'orthodoxie du sida considère qu'il y a un sida africain lorsque le malade présente simultanément et au moins deux symptômes majeurs et un symptôme mineur.

    Symptômes majeurs

    - Une perte de poids de plus de 10%:

    - Une fièvre persistante ou récurrente pendant un mois au moins;

    - Une diarrhée chronique pendant un mois au moins.

    Symptômes mineurs

    - Toux durant au moins un mois;

    - Herpès cutané;

    - Démangeaisons généralisées;

    - Candidose;

    - Affection des ganglions lymphatiques.

    Si un africain a le malheur de présenter en même temps deux de ces symptômes majeurs et un de ces symptômes mineurs simultanément, et bien, il a le sida ! (remarque : si un africain souffre d'un sarcome de Kaposi ou d'une méningite à cryptocoques, l'orthodoxie du sida ne tient pas compte de ces symptômes, et il est immédiatement diagnostiqué comme souffrant du sida, sans même faire de "tests" de détection "virale").

    On constate tout de suite l'absence patente de critères scientifiques à ces symptômes, ceux-ci n'étant rien d'autre que les symptômes de nombreuses maladies endémiques en Afrique, résultant tout simplement de la pauvreté et/ou manque d'hygiène et de la manultrition en général : tuberculose, malaria, lèpre, etc...

    En d'autres termes, un africain souffre au départ d'un début de tuberculose ou de malaria : selon l'orthodoxie du sida, il souffre effectivement de la tuberculose ou de malaria.

    En revanche, si ce même africain est ultérieurement à un stade plus avancé de ces maladies et qu'il a le malheur de réunir certains des symptomes précités, et bien, l'orthodoxie du sida affirme qu'il souffre du sida car soi-disant contaminé par le VIH ! Mais en pratique, il souffre toujours de la tuberculose ou de la malaria mais à un stade plus avancé de la maladie ! Rien à voir avec le VIH !

    Certes, si on fait parfois un test Elisa à certains de ces cas de sida africain, ce test peut effectivement parfois réagir positivement. Mais les maladies en question (tuberculose, malaria, etc...) ainsi que la malnutrition en général expliquent à elles seules la survenance d'anticorps élevés (non spécifiques au pseudo VIH, rappelons le) que les tests dits "HIV" détectent.

    Bref, par ce biais-là, on a fait croire à ces "sidéens" africains et au monde en général qu'il y a une épidémie de sida en Afrique, au surplus hétérosexuellement transmissible ! En réalité, il n'en est rien. Il y a surtout une épidémie de pauvreté en Afrique, qui permet de perpétuer ces maladies chroniques en Afrique. Et on ne doit pas en douter, les gouvernements africains étant invités à destiner leurs maigres ressources financières, non à lutter contre la pauvreté, la manultrition et le manque d'hygiène, mais bien à acquérir ces si "bénéfiques" drogues antivirales, les cas de "sida" africain, au sens de la définition de Bangui, ne pourront qu'augmenter et donner ainsi l'impression que l'épidémie de sida n'est plus "contrôlée" du tout en Afrique !

    Notons que c'est entre autres "grâce" à la définition de Bangui que l'orthodoxie du sida a pu prétendre que le sida africain touche aussi bien les femmes que les hommes, contrairement au sida des pays occidentaux.

    2) LA METHODE SENTINELLE

    La deuxième méthode utilisée en Afrique pour évaluer les cas de sida consiste à faire passer un test HIV aux femmes enceintes fréquentant les hôpitaux, et puis à extrapoler les résultats ainsi obtenus par des méthodes mathématiques acrobatiques à l'ensemble de la population africaine, hommes et enfants compris !

    Or le fait d'être enceinte est en soi une source de "fausse" séropositivité, à tel point d'ailleurs que dans les pays occidentaux, il est généralement déconseillé de faire passer de tels tests aux femmes enceintes. Mais pour l'Afrique, ce serait en revanche une très bonne méthode !

    Quand en plus on sait que pour les tests dits de "confirmation", soit les tests Western Blot, il suffit que deux des dix bandes réagissent positivement (alors que pour les pays occidentaux, c'est tantôt trois bandes, tantôt quatre bandes ![sinon, à part ça, les tests de détection "virale" sont très fiables ! lol Il suffit que vous changiez de frontière pour ne plus être considéré comme porteur d'un virus dangereux et sexuellement transmissible]), on aura définitivement compris que les statistiques des cas africains de sida relèvent de la pire forme de mensonge qui soit !

    Et c'est - entre autres - "grâce" à ces deux méthodes de détection que les africains se croient "contaminés" par un virus mortel sexuellement transmissible, alors qu'ils ont pour seul tort de souffrir de manultrition, source de nombreuses maladies remplissant les symptômes de la définition de Bangui et expliquant déjà à elles seules que les test HIV (du moins, les rares fois où elles sont faites) puissent se révéler positives !

    Voilà. Il s'agissait d'une introduction au sujet.

  15. Etant au boulot, je n'ai pu que survoler pendant une quinzaine de minutes ce document de "L'Empire (du sida business) contre-attaque".

    L'un des principaux contre-arguments phares qui est brandi à d'innombrables reprises par l'orthodoxie tel un leitmotiv consiste à dire que de nombreuses études récentes ont prouvé que ceux qui sont "infectés par le virus" évoluent plus rapidement vers la mort, qu'ils soient pauvres ou non, quel que soit leur style de vie, etc... En faisant ainsi comprendre que le style de vie (drogues récréationnelles par exemple) ou la pauvreté (le cas de l'Afrique par exemple) ne sont pas les causes du sida, mais bien le virus.

    Je me demande bien en quoi ce contre-argument, brandi tel un bouclier, constitue une réfutation des thèses dissidentes. En effet, la dissidence, entre autres représentée par le "Perth Group", ne cesse de préciser dans leur argumentation que le système immunitaire des HIV+ est affaibli en raison du stress oxydatif subi par ceux-ci et évoluent plus rapidement et naturellement vers la mort. Bref, ce contre-argument de l'orthodoxie du sida, ne fait que conforter davantage l'argumentaire dissident. Et dans mon rapide survol, plusieurs contre-arguments invoqués relèvent du même acabit.

    En revanche, sur certains points mais accessoires de l'argumentation dissidente, l'orthodoxie semble réfuter efficacement, mais franchement, cela ne remet nullement en question le bien-fondé de l'essentiel de l'argumentaire dissident.

    Bref, rien de bien interpellant finalement dans cette contre-attaque de l'Empire, du moins à l'occasion d'un premier survol de celui-ci.

  16. J'ai examiné la proposition de plan, assurément intéressante, de Psyence.

    Mais cette proposition de plan correspond déjà approximativement au plan de la Réfutation de la Déclaration de Durban, réfutation pour le moins cinglante et dont la validité n'a pu que se confirmer au cours de ces dernières années (à l'époque, en 2000, on était - par exemple - bien loin de connaître l'ensemble de ce qu'on appelle pudiquement les "effets secondaires" des drogues dites "antivirales", on n'en connaissait que les tout premiers).

    Par conséquent, je suggère qu'au début de la synthèse collective, il soit renvoyé à cette Réfutation.

    Evidemment, je serai accusé par certains d'un fort parti pris. Mais ce n'est pas à moi qu'il faut en faire le reproche mais à l'orthodoxie du sida, dont on attend toujours à ce jour la Réfutation à la Réfutation de la Déclaration de Durban, ainsi qu'à la presse qui, à de rarissimes exceptions près, ne parle pas de l'existence de contestations toujours plus fortes à l'encontre du présupposé viral du sida. Et évidemment, comme quasiment personne n'est au courant de l'existence d'une dissidence sur le sujet, l'orthodoxie du sida n'a guère de raison de se fatiguer à tenter de prouver que la dissidence aurait tort, à supposer bien sûr que l'orthodoxie du sida le puisse. Et d'ailleurs, à supposer que celle-ci l'eût pu faire, cela ferait bien longtemps qu'elle l'aurait fait, ne fût-ce que pour mettre définitivement un terme à l'existence de cette dissidence. Quod non, justement.

  17. Soit la bienvenue "laurie" et merci pour ton témoignage de "survivante à long terme".

    Il illustre a contrario l'effet nocebo résultant de l'annonce de la séropositivité. Contrairement à la majorité des séropos, tu n'as jamais accordé d'importance à l'annonce de cette séropositivité, faute d'avoir compris ce que cela voulait réellement dire. En réalité, ce fut une grande chance pour toi !

    Manifestement, ton test positif ne résultait pas d'un style de vie néfaste prédisposant au sida, mais bien de circonstances ponctuelles, à savoir bactrim et autres antibiotiques.

    En revanche, si tu avais cru que cette séropositivité résultait d'un virus, tu aurais été irrémédiablement emportée dans la spirale de la mort résultant de la croyance en la cause virale du sida, bref, l'effet nocebo dans ce cas-ci.

    En définitive, tu dois continuer comme tu l'as toujours fait, à savoir ignorer définitivement ce fichu test dit "HIV", qui, dans ton cas, n'avait pas les conséquences dramatiques de ceux dont la séropositivité résulte d'un style de vie néfastement durable.

    Encore merci pour ce témoignage !

  18. (pierrot @ Jeudi 09 Mars 2006, 16:22)

    en fait , pour rerésumer, les CD4 ne sont pas du tout un marqueur fiable de l'immunité.

    A moins bien sûr de souffrir de stress oxydatif (ce que révélera l'état clinique du séropo), auquel cas la baisse des T4 traduira le plus souvent une poursuite de l'aggravation du stress oxydatif et l'augmentation du risque de souffrir d'une maladie "exotique" du sida.

  19. (pierrot @ Jeudi 09 Mars 2006, 13:16)

    le coup des séronégatif qui ont le système immunitaire qui baisse, les études sont vieilles, et ce n'est pas pour moi

    Mais Pierrot, ces études ne sont pas si vieilles que ça. En revanche, elles ne sont pas nombreuses, lorsqu'on les compare à celles faites sur les T4 des séropos. Mais à ma connaissance, la stratégie de comportement des T4 chez les séronegs ne me semble pas avoir évolué au cours de ces dernières années (lol).

    Quant à dire que ces études ne seraient pas pour toi, c'est bien toi qui le dis, car tu présupposes que tu es encore séropo.

    Mais une chose est claire : je ne ferai jamais de tests HIV chez ton médecin. Vu qu'il partage la conception du sida viral, tu peux être certain que le test ne sera pas réellement anonyme et qu'il sera de toute façon positif !

    Ton ami homéopathe me semblait pour ma part de bien meilleur conseil, du moins d'après le peu que tu en as dit.

  20. il n y aucune raison de se faire compter les tcd4 tant qu ils ne sont pas compter dans la population en general........

    C'est ce que j'ai essayé de démontrer dans mon long post. Des tas de facteurs influent sur la baisse des T4 et de prime abord, effectivement, les mesurer n'a pas vraiment une grande utilité. C'est entre autres pour çà que de telles mesures sont rarement effectuées chez les séronégatifs.

    Mais il y a une très nette différence avec les séropos qui souffrent de stress oxydatif. Dans ce cas-là, mesurer les T4 est un véritable indicateur fiable du risque de survenance de maladies exotiques chez le séropo. Plus les T4 baissent, plus cette baisse traduit une aggravation du stress oxydatif et, partant, une aggravation du risque de survenance de maladies exotiques de plus en plus grand graves. Tout n'est pas forcément à jeter dans la théorie orthodoxe du sida. Presque tout, certes, mais certainement pas la mesure des T4 si le séropo n'a pas remédié à son problème de stress oxydatif démesuré. Or, de prime abord, quasiment seuls les "survivants à long terme" ont remédié à ce problème et ce sont bien les seuls séropos qui à mes yeux n'ont pas de raisons particulières de s'inquiéter de la baisse de leurs T4 ou tout simplement de les mesurer.

    Mais Pierrot n'étant pas dans ce cas-là (stress oxydatif), la mesure de ces T4 ne me semble effectivement pas constituer un marqueur présentant une quelconque fiabilité quant au risque de prédiction d'une maladie quelconque chez lui.

    car bien sur si l epivir lutte contre le stress oxydatif...celui ne touche pas que les seros !......donc, alors les personnes de plus de 70 ans doivent etre seropositifs non ??

    Le stress oxydatif est un phénomène naturel qui touche n'importe qui et avec lequel nous vivons tous très bien. En effet, l'organisme humain dispose déjà en soi d'antioxydants naturellement produits par le corps humain pour lutter contre le stress oxydatif.

    Des facteurs peuvent toutefois faire en sorte que le corps humain ne dispose plus assez de moyens pour combattre naturellement le stress oxydatif.

    L'un de ses facteurs, c'est justement la vieillesse, l'organisme humain ne développant plus par lui-même d'assez antioxydants pour lutter contre le stress oxydatif. C'est pourquoi, plus on vieillit, plus il est recommandé de prendre des antioxydants à titre de compléments alimentaires.

    Mais le stress oxydatif dont souffre les personnes âgées est absolument sans aucune mesure avec celui des séropos et encore plus avec celui des sidéens. La preuve en est que la vieillesse en elle-même n'entraîne pas la séropositivité.

    Chez les séropositifs, il s'agit d'un hyper stress oxydatif résultant de facteurs extérieurs entraînant une hyperstimulation du monoxyde d'azote (rien de tel et d'aussi grave se produit chez les personnes âgées) : l’inhalation de nitrite d’amyle (poppers) et autres drogues, l’abus d’antibiotiques dont les produits de catabolisme sont le monoxyde d'azote et des nitrosamines, l’absorption d'une multitude de protéines étrangères résultant d'une multitude de coïts anaux non protégés avec de nombreuses personnes différentes (la débauche anale passive "non protégée" pour faire simple), ....

    Chez les séropos, ce stress oxydatif est à ce point hyper élevé qu'il entraîne des infections "exotiques" à répétition et de plus en plus graves (que justement la baisse des T4 permet de prédire), ce qui en fait l'extrême gravité de la maladie, et aboutit à la mort si rien n'est fait pour y remédier. Ce stress oxydatif est d'ailleurs tellement élevé au moment du test dit "HIV" que celui-ci devient positif.

    Tellement élevé et de plus en plus élevé qu'il peut même parfois devenir irréversible. Heureusement (et je le pense dans ce cas-ci), certaines drogues dites "antivirales" permettent de remédier provisoirement à ce problème de stress oxydatif devenu irréversible.

    Bref, le stress oxydatif dont souffre les séropos et surtout les sidéens n'a qu'un rapport très éloigné avec celui des gens âgés et de la population en général.

  21. (pierrot @ Mercredi 08 Mars 2006, 11:53)

    Enfin, j'ai une référence à apporter demain, j'imprime ce texte en anglais et on verra ce qu'elle en pense

    Comme tu as pu le constater à la lecture de cet article scientifique anglais, qui fait en réalité la synthèse de toutes les études existantes sur les causes de baisse en général des T4 chez les séronégatifs, tu auras constaté que la baisse APPARENTE (car les TH2 s'en vont dans les tissus et les TH1 ne sont pas détruits) des T4 en dessous de 200, et même très largement en dessous, peut avoir de nombreuses explications, forcément en dehors de tout stress oxydatif (puisqu'ils sont séronégatifs), tel que justement une pratique de sport intensive ou le stress psychologique répété ou de longue durée.

    Il n'y absolument aucune raison de penser qu'un séropo ne souffrant plus de stress oxydatif ne puisse pas également souffrir de ces mêmes facteurs, si ce n'est que la baisse APPARENTE (car les TH1 ne sont plus détruits) est bien plus prononcée en raison des dégâts causés auparavant par le stress oxydatif du séropo sur les TH1 de ce dernier. Et je pense que ces dégâts laissent malgré tout des séquelles pour ce qui concerne les TH1, en sorte que les baisses de T4 sont APPAREMMENT bien plus prononcées chez un séropo survivant de longue durée (c'est-à-dire ne souffrant plus de stress oxydatif) que chez un séronégatif en cas de survenance de l'un et/ou l'autre de ces facteurs causant une baisse APPARENTE des T4. L'important est en réalité de faire le nécessaire afin de ne pas perdre le capital restant des TH1 qui reste suffisant pour vivre sans infections "exotiques" pour autant que le "survivant de longue durée" vive une vie encore plus "saine" qu'un séronégatif.

    Concernant ma suggestion t'invitant à repasses un test HIV vraiment anonyme, je le maintiens. Mais c'est bien sûr une arme à double tranchant. Si ce test est négatif ou encore douteux, cela contrebalancera certainement le choc psychologique (mais injustifé donc à mon sens comme précisé dans mon précédent post) résultant de la baisse APPARENTE de tes T4. En revanche, s'il s'avère qu'il est positif (ce qui pourrait parfaitement être expliqué par ton stress actuel), cela pourrait au contraire aggraver le stress que tu subis maintenant.

    A toi donc de voir si le jeu en vaut la chandelle.

    Mais en tout cas, si j'étais dans ta situation (mais ce n'est pas le cas bien sûr), je ne pourrais pas m'empêcher de passer un test anonyme, surtout quand je sais que la recherche de la protéine p24 est déjà négative.

    Tiens nous au courant de ce qui se passe !

  22. POUR TENTER D'Y VOIR PLUS CLAIR AVEC LA MESURE DES T4

    Attention : il s'agit ici d'une hypothèse de travail, pas de l'évangile (lol), quoique j'ai fort tendance à croire ce que j'ai écrit dans ce post !

    Première observation : Je serai amené à reproduire des passages de certains articles et pour permettre au lecteur d'y voir un peu plus clair, je reprendrai certains de ces passages en gras.

    Deuxième observation : Je serai souvent amené à utiliser l'expression "maladies exotiques". Pour savoir pourquoi, j'invite le lecteur à relire préalablement ces posts-ci : un, deux, trois, quatre et cinq.

    I) UN RAPPEL DE BON ALOI : TOUS LES SIDEENS QUI MEURENT ONT DES T4 TRES BAS, VOIRE MEME PLUS AUCUN

    Au début de l'apparition de l'épidémie du sida en 1981 (en réalité, j'ai pu lire qu'il y avait déjà eu au cours des années qui ont immédiatement précédé quelques autres cas de maladies "exotiques" chez de jeunes gay, mais à l'époque, on n'avait pas encore "pensé" à faire des relations, et encore moins à parler d'une pseudo épidémie), ce qui devint très rapidement l'orthodoxie du sida avait constaté que ce qu'il y avait entre autres de communs chez les sidéens était un taux bas et parfois même très bas de T4. L'orthodoxie du sida en a très rapidement déduit que plus les T4 baissent, plus les risques de survenances de maladies "exotiques" augmentent. L'orthodoxie tâche en outre d'"affiner" ce "marqueur" du risque de sida en mesurant également le taux des T8, le rapport T4/T8, etc...

    Sur base de ces mesures, et tout particulièrement de la chute des T4", l'orthodoxie du sida ne ménage pas ses efforts pour enjoindre les séropos dont les T4 "ont l'air" de baisser, de consommer au plus vite des drogues dites "antivirales" pour éviter la survenance de ces maladies "exotiques". Là où l'orthodoxie du sida atteint les records de cynisme, c'est lorsque elle donne exactement le même conseil à des séropos dont les T4 ont l'air de baisser très fortement alors qu'ils sont en forme olympique; à défaut de recourir sans tarder aux "cocktails thérapeutiques, leur vie serait en grave danger puisque la mesure des T4 serait un indicateur infaillible.

    Depuis cette époque et jusqu'à ce jour, la mesure des T4 serait donc devenue un instrument de fort grande utilité pour prédire le risque de survenance de maladies exotiques chez les séropos.D'où l'angoisse de la quasi-totalité des séropos au sujet de la mesure des T4, et tout particulièrement de la baisse de ceux-ci (angoisse multipliée bien sûr par l'effet nocebo, ce qui fera qu'amplifier encore plus le, phénomène de la baisse des T4). Et leur souci de vouloir les mesurer et, le cas échéant, de les faire remonter coûte que coûte et par n'importe quel moyen.

    Mais est-ce aussi simple que cela ? Est-il raisonnable de recommander des trithérapies sur base de ce marqueur (avec celui de la pseudo charge virale) ? Selon moi, la réponse est indubitablement : NON !

    Avant de recommander la prise de drogues dites antivirales à un séropo, il convient selon moi d'approcher la personne dans sa globalité, et non en fonction des deux soi-disant "marqueurs" précités. Les seuls vrais marqueurs véritables sont les marqueurs "cliniques", c'est-à-dire de véritables et réelles symptômes de maladies, et dans lesquels il conviendra de tenir compte du "style de vie" du séropo, outre son environnement psychologique et social. La circonstance qu'un séropo souffre de manière répétée et de plus en plus grave de maladies opportunistes malgré un retour à une vie "saine et équilibrée" est par exemple et à mon sens (et hélas d'ailleurs) un "bon" prétexte pour devoir recourir aux drogues dites antivirales. Bref, on est extrêmement loin de la nécessité de mesurer les T4.

    Et c'est ce que je vais essayer de démontrer.

    II) UNE PETITE INTRODUCTION A CE SUJET

    Dans un post antérieur (cliquez ici), j'avais déjà écrit entre autres ce qui suit.

    Venons en justement aux T4.

    Rappelons quelques faits.

    1) Les sidéens qui meurent du sida ont un nombre de T4 égal à zéro ou qui frise ce niveau. Devant cette constatation, l'orthodoxie du sida (et aussi la quasi totalité de la dissidence du sida, me semble-t-il) est depuis le début de l'"épidémie" obsédée par la mesure des T4, de prime abord avec raison. Et sur base de ce seul "marqueur" (et aussi sur base de celui de la pseudo charge virale), elle décide d'administrer des drogues antivirales lorsque les T4 chutent trop bas, quand bien même dans la majorité des cas, les séropos confrontés à cette chute des T4 et non affectés par l'effet nocebo, se portent à merveille.

    Mais ce premier fait fait fi des faits suivants.

    2) Les séropos qui abandonnent les drogues récréationnelles, mangent correctement, ne s'en font pas, ont une vie saine, se portent à merveille. Il en va d'ailleurs de même de la majorité des séropos qui abandonnent les drogues antivirales et adoptent le même style de vie. Toutefois, malgré tout, pour certains, les infections exotiques reprennent de plus belle : il y a lieu de penser que ceux-là souffrent dorénavant d'un stress oxydatif hélas devenu irréversible (mais pour en être sûrs, il faut, me semble-t-il, qu'ils arrêtent de consommer ces drogues dites antivirales et que malgré une vie "saine et équilibrée", les infections exotiques se produisent à répétition) et ils sont bien obligés de recourir à la solution du dernier recours et hélas pleinement justifié, à savoir le recours aux drogues antivirales.

    Notons que ces survivants à long terme ont généralement un taux de T4 "normal", du moins quand ils estiment devoir faire cette vérification (mais cela me semble malgré tout très dangereux en raison de l'effet nocebo que cela pourrait causer; à mon avis, ils devraient continuer à vivre comme n'importe quel séronégatif qui ne fait pas contrôler ses T4 et sa charge virale).

    Mais ce deuxième fait est incompatible avec un troisième fait.

    3) Des séropos qui ont le même style de vie que 2) vivent très bien, certes, mais ont des T4 ridiculement bas pendant des années et des années, et continuent à se porter très bien (tout en ne s'en inquiétant pas [éviter effet nocebo])

    Quelles premières impressions à la lecture de ces trois faits ?

    La chute des T4 semble être un marqueur important, certes. Mais n'explique pas tout, loin de là, puisque certains séropos vivent très bien des années durant avec peu de T4.

    Alors je me dis : Finalement, la chute des T4 sur laquelle on se focalise autant, ne serait-elle pas un épiphénomène, au pire annonciatrice d'un autre phénomène ultérieur, sur lequel les chercheurs ne se focalisent pas ou très peu ? Surtout que les T4 mesurés sont uniquement les 3% circulant dans le sang, et non les 97% réfugiés dans les tissus. Les T4 sont-ils forcément détruits ou n'arrive-t-il pas (comme je l'ai lu) qu'ils aillent "se cacher" dans les tissus (entre autres par l'effet du stress <--- effet nocebo entre autres).

    Certes, il a été démontré que le stress oxydatif détruit les T4. Mais lesquels ? Ceux circulant dans le sang ou aussi ceux dans les tissus ? Il serait intéressant (moi, je l'ignore en tout cas) si les T4 dans le sang et ceux dans les tissus ne remplissent pas des objectifs quelque peu différents.

    Bref, beaucoup de questions, peu de réponses.

    Mais il y a quand même quelques certitudes qui pourraient nous aider à voir plus clair.

    La chute des T4 mesurables dans le sang ne traduit pas une baisse de l'immunodéficience "traditionnelle" puisque le sidéen meurt de maladies "exotiques" qui surgissent malgré un système immunitaire finalement en bon état puisqu'il résiste aux infections opportunistes "traditionnelles".

    Autre certitude, me semble-t-il. Le stress oxydatif, au niveau du sida, produit deux effets majeurs, et je soupçonne que ces deux effets ne se produisent pas nécessairement conjointement mais successivement.

    Premièrement, le stress oxydatif dont on parle tant dans le sida détruit les T4. Mais visiblement et spécialement ceux circulant dans le sang. D'où la chute (peut-être apparente ? Certains T4 ne vont-ils pas se réfugier dans les tissus ?) des T4 mesurables. Deuxièmement, le stress oxydatif va entraîner progressivement un problème de circulation de l'oxygène dans le sang.

    Mais je me dis : finalement, la chute (peut-être parfois apparente) des T4 n'est-elle finalement pas un épiphénomène annonçant ULTERIEUREMENT (mais le laps de temps varierait en fonction des individus et de leur style de vie) l'installation de ce système anaérobique de l'organisme, qui, lui, va entraîner l'apparition des maladies exotiques du sida ?

    En d'autres termes, la chute des T4 est certes un critère important mais en rien décisif de l'apparition du sida déclaré car ce qui causerait le sida, c'est l'effet suivant du stress oxydatif, à savoir le problème d'inoxygénation ?

    Cela permettrait peut-être de rendre compatibles les trois faits relatés ci-dessus.

    Premièrement, les sidéens qui meurent du sida avec presque aucun ou plus de T4 sont arrivés au deuxième stade, lui mortel, du stress oxydatif, soit celui de l'inoxygénation.

    Deuxièment, les survivants à long terme avec un taux de T4 "normal" ont réussi à inverser le phénomène de stress oxydatif avant que celui-ci ne devienne irréversible au premier stade (chute des T4).

    Troisièmement, les survivants à long terme vivant très bien (et sans effet nocebo) avec très peu de T4 n'ont réussi à inverser le cercle vicieux du stress oxydatif qu'avant que celui-ci ne devienne irréversible au niveau du deuxième stade (inoxygénation) mais après l'irréversibilité du stress oxydatif au niveau du premier stade (chute des T4). Mais ils ne font pas de sida déclaré car ils ont réussi à agir avant que le stress oxydatif ne devienne irréversible au niveau du deuxième stade, qui, lui, cause les maladies typiques du sida, le niveau bas - visiblement permanent - des T4 n'ayant pas de si graves conséquences au niveau immunitaire (et d'ailleurs, nombre de scientifiques admettent qu'ils doivent encore beaucoup apprendre du système immunitaire, car il reste encore assez mal connu).

    Dans cette vision, la chute des T4 n'est plus qu'un épiphènomène certes sérieux, mais nullement synonyme de sida déclaré. En tout cas, il ne saurait justifier l'administration de drogues dites antivirales. Ce qui compte, c'est surtout d'empêcher que le deuxième effet du stress oxydatif, soit l'instauration d'un problème d'inoxygénation dans le sang, ne s'installe de façon irréversible. Par conséquent, la mesure des T4 ne s'avère plus un problème aussi crucial, d'autant plus qu'il est de nature à causer l'effet nocebo.

    Dans cette vision, ce qui importerait, c'est d'éviter l'apparition des maladies exotiques. Mais à ma connaissance, on n'arrive pas au stade du sida déclaré du jour au lendemain. Il y a des maladies intermédiaires qui, elles, sont annonciatrices d'un futur sida. C'est là-dessus (et non uniquement et surtout sur les T4) qu'il faudrait peut-être se focaliser. Lorsqu'on a un style de vie à risque et que ces maladies intermédiaires annonciatrices d'un futur sida déclaré surviennent et surtout ont tendance à se reproduire, il ne faut pas faire l'autruche : il est alors plus que temps de "changer de style de vie". Et je ne crois pas qu'il sera alors encore trop tard car ces maladies intermédiaires ne sont pas, je crois, synonyme de stress oxydatif devenu irréversible, mais synonyme que cela commence vraiment à devenir sérieux.

    Dans cette vision, les test HIV (ou tests de mesure de stress oxydatif) et la mesure des T4 ne seraient plus forcément d'une absolue nécessité, et seraient même à éviter en raison de leur effet nocebo. Mais cet effet nocebo tombera de lui-même lorsqu'il sera enfin admis que les tests HIV ne révèlent pas une contamination par un virus mais bien l'existence d'un (fort) stress oxydatif à gérer au mieux (un peu comme le cholestérol).

    Bref, je ne sais ce que cela vaut, mais cela donnera peut-être des idées à d'autres.

    Mais tâchons maintenant d'aller bien plus loin encore.

    III) LE DECLIC

    Au hasard d'une lecture, à savoir dans cet article-ci, le passage suivant n'a pu que m'interloquer et confirmer mes doutes quant à l'utilité - relative - de mesurer les T4 :

    Afin d'expliquer l'échec à découvrir un rétrovirus causant directement le cancer, ils ont prétendu pouvoir mesurer le système immunitaire. Mais c'est ridicule. Dans le journal de l'association médicale américaine du 28 août 1981, il a été publié que ça n'a pas de sens de mesurer des lymphocytes dans le sang parce que seule une petite partie d'entre eux se trouvent dans le sang. Le système immunitaire est réalisé, non pas dans le sang, mais dans les tissus. C'est seulement rarement et accidentellement que nous voyons certains d'entre eux dans le sang. Nous avons déjà effectué des milliers d'études qui n'ont prouvé aucune corrélation entre la maladie ou la santé, chez les vieux ou les jeunes, et les cellules T ; et encore moins, naturellement, dans les sous-ensembles de cellules T.

    Mais, même s'ils savaient que ces tests de cellule T n'avaient aucune signification, ils les vendaient au marché. En commençant en 1977 par les Etats-Unis, il était possible de faire breveter des entités biologiques ou des techniques biologiques, ainsi des gens ont commencé à faire de l'argent à partir d'idées biologiques.

    C'est le moment définitif ou la médecine moderne et la biologie moderne ont perdu leur 'Unschuld', leur innocence. C'est ça. La théorie de la surveillance immunitaire du cancer - la croyance que si vous mesurez la force du système immunitaire, alors vous serez en mesure de déterminer à quel moment vous développerez le cancer - était la base du SIDA, de l'idée du SIDA. Ils ont dit que si vos fonctions immunitaires sont faibles, vous développerez toutes les formes virales d'infections opportunistes et toutes les formes de cancer. Et ceci ne s'est jamais produit, en fait. Dans le SIDA nous n'avons jamais vu des infections opportunistes. Nous n'avons jamais vu toutes les formes virales de cancer; seulement une forme de cancer, le KS [le sarcome de Kaposi]."

    A lire ce passage, on aurait l'impression que c'est par accident que les T4 se retrouvent dans le sang. Evidemment, il s'agit encore ici d'une atteinte à un des dogmes fondateurs de la théorie orthodoxe du sida. Ceci étant, comme Lanka se réfère à une publication scientifique qui date de 1981, je me suis dit qu'il serait pour le moins souhaitable d'obtenir des confirmations scientifiques concordantes et plus récentes, ce que j'ai justement tâché de faire comme nous allons le voir.

    IV) LA CHUTE DES T4 NE PRECEDE PAS LA SURVENANCE D'UNE MALADIE, ELLE LA SUIT AU CONTRAIRE !

    Je vais commencer par citer certains (et parfois longs) passages de deux articles, avec quelques brefs commentaires.

    1) "Low CD4+ T Lymphocyte counts" (cliquez icipour le lire, mais c'est hélas en anglais)

    Il ressort entre autres de cet article de synthèse que des taux très bas de T4 sont monnaie courante chez les séronégatifs, même en dessous de 200 T4. Et plus ces maladies (ou toute autre cause autre qu'une maladie d'ailleurs) durent, plus les T4 diminuent.

    Une multitude de facteurs peuvent expliquer la chute des T4, comme par exemple : lorsqu'on se trouve en soins intensifs, pneumonie, abcès, ulcère, mononucléose, le simple fait d'être porteur d'un virus quelconque ou presque est susceptible d'entraîner une baisse des T4, quand bien même on vit très bien avec ce ou ces virus, hémophilie, drogues (bien sûr, on n'est pas étonné), blessures ou brûlures sévères, le simple fait d'être enceinte, le surentraînement, la malnutrition ou le simple fait de ne pas se nourrir correctement, la variation journalière des T4 (donc sur la même journée, ils peuvent assez fortement augmenter ou diminuer), le simple stress psychologique, l'isolement social, les drogues dites antivirales (on n'en est évidemment pas étonné), etc... etc... En réalité, comparé aux séropos dont on traque à chaque instant la baisse éventuelle des T4, peu d'études ont été faites sur les niveaux des T4 chez les séronégatifs. Mais sur base ce peu d'études, on peut déjà être absolument sûr qu'il existe une multitude de facteurs pouvant expliquer une baisse parfois très durable des T4 chez les séronégatifs.

    Et certains de ces facteurs sont d'ailleurs parfaitement inconnus. J'en veux pour preuve les "pas si rarissimes que ça" séronégatifs qui vivent avec des T4 en dessous de 200 sans qu'aucune explication puisse être fournie malgré tout et qui peuvent parfaitement vive comme n'importe qui, sans trop de "bobos", et pour lesquels un nouveau concept a été inventé : ils "souffrent" de lymphocytopénie des cellules T ou CD4 idiopathiques (car s'ils avaient eu le malheur d'être déclarés séropos, ils étaient immédiatement diagnostiqués comme "souffrant" du sida).

    Ce petit échantillon de facteurs expliquant une baisse parfois très prononcée des T4 (dont même en dessous de 200, et même très largement en dessous) n'a certainement pas pour but de nier le fait que le stress oxydatif ne causerait pas une baisse des T4 mais bien de prouver qu'une baisse des T4 chez des personnes ne souffrant pas ou plus de stress oxydatif peut bien entendu survenir de façon prolongée, car il existe une multitude de facteurs autres que le stress oxydatif qui peuvent causer cela. Or ce qui cause le sida, c'est uniquement le stress oxydatif, nous le savons déjà. Si les T4 baissent pour l'une et/ou l'autre des facteurs autres que le stress oxydatif, c'est sur ces facteurs qu'il faut agir. Or ces facteurs n'ayant rien à voir ou presque avec le stress oxydatif, l'administration de drogues dites antivirales ne saurait en principe se justifier puisque l'un des biens rares (mais indispensables) effets positifs de certaines drogues dites antivirales consiste justement à lutter contre le stress oxydatif, par hypothèse en principe absent dans ces cas-là.

    Tout cela pour dire que ces facteurs sont tellement communs chez des séronégatifs qu'il n'y a absolument aucune raison de penser que ces facteurs ne puissent pas se retrouver chez des séropos ne souffrant pas de stress oxydatif.

    Quelques morceaux choisis.

    Low CD4 counts are so common that this undermines the most fundamental claim about HIV, which is that HIV causes low CD4 counts. The vast majority people diagnosed HIV-positive have experienced at least one of the other causes of low CD4 counts, and so there is no way to know if HIV is the cause.

    Un bas niveau de T4 est tellement courant que cela sape l'affirmation fondamentale selon laquelle le HIV provoque une baisse des T4. La grande majorité des séropos ont vécu au moins une fois dans leur existence l'une ou l'autre de ces facteurs pouvant causer une baisse des T4, et il n'y a aucune façon de savoir si le HIV en est la cause.

    While most people know about the lowered CD4 counts which are common in people diagnosed HIV-positive, but very few people or clinicians seem to know how common low CD4 counts are in people considered HIV-negative. Studies show that CD4 counts commonly fall extremely low, especially if a person suffers from certain conditions. These conditions include a variety of viral illnesses, bacterial infections, parasitic infections, sepsis, septic shock, multiple organ system failure, tuberculosis, coccidioidomycosis, burns, trauma, transfusions, malnutrition, over-exercising, pregnancy, normal daily variation, psychological stress, and social isolation.

    Alors que la plupart des gens savent que les taux bas de T4 sont monnaie courante chez les séropos, bien peu de gens ou médecin semblent au contraire savoir combien il est courant de retrouver des bas niveaux de T4 chez les séronégatifs. Des études ont démontré que les T4 peuvent chuter d'une façon extrêmement basse, en particulier chez une personne souffre de certains facteurs. Ceux-ci incluent une multitude de maladies virales, infections bactériennes, infections parasitaires, chic septique, défaillance de plusieurs organes, tuberculose, brûlures, traumatisme, transfusions sanguines, malnutrition, surentraînement, être enceinte, variations normales quotidiennes, stress psychologique, et isolation sociale.

    When several of these conditions are combined in the same person, as is often the case in people diagnosed HIV-positive, extremely low CD4 counts may be a natural result.

    Quand plusieurs de ces conditions sont combinés dans une même personnes, comme cela est souvent le cas chez des personnes diagnostiquées séropositives, un niveau extrêmement bas de T4 peut être la conséquence naturelle.

    Because many of the conditions that cause low CD4 counts are common in people diagnosed HIV-positive, this paper advises caution regarding the use of CD4 counts to make treatment and diagnostic decisions. This is made more urgent since some of the conditions, like psychological stress, are greatly increased when people are told that their CD4 counts are low, which may cause the CD4 count to fall even further. Psychological stress and social isolation are also created by the diagnosis, HIV-positive, and by the diagnosis of AIDS, which may have chronic effects on the CD4 count. Finally, the widely accepted argument that HIV specifically targets CD4+ T lymphocytes is also called into question, because it appears that low CD4 counts are a common reaction to many kinds of physical and psychological stressors.

    Etant donné que les séropos rencontrent nombre de ces facteurs pouvant entraîner une chute des T4, cet article recommande la plus grande précaution concernant l'usage de la mesure des T4 pour décider de la mise en place d'un traitement et pour faire des diagnostics. Cette précaution est d'autant plus grande que certains de ces facteurs, tels que le stress psychologique, sont fortement augmentés chez les personnes à qui on annonce que les T4 sont bas, ce qui peut par voie de conséquence provoquer une plus grande chute encore des T4. Le stress psychologique et l'isolement social sont également suscité par l'annonce d'un test HIV positif, et par le diagnostic lui-même de sida, ce qui peut entraîner des effets de baisse chronique sur les T4. En fin de compte, l'idée largement acceptée selon laquelle le HIV ciblerait spécifiquement les lymphocites T4 doit être remis en question, puisqu'il apparaît qu'un bas de niveau de T4 est une réaction normale à toutes sortes de facteurs de stress physiques et psychologiques.

    Based on the results reviewed in above, however, it is very possible that the low CD4 counts in those early cases were simply a result of the opportunistic infections that were present, not because of any new agent that targeted CD4+ T-cells. This argument is strengthened by the continued difficulty in determining a mechanism for how HIV destroys CD4+ T-cells.

    En se basant sur les résultats repris ci-dessus, il est cependant extrêmement possible que la chute des T4 dans les premiers cas de sida était simplement la conséquence des infections opportunistes (ndlr : on a donc mal interprété dès le départ la cause de la chute des T4 dans les premiers cas de sida; et c'est en se basant sur l'analyse de ces premiers cas qu'est née l'idée qui perdure jusqu'à nos jours que la chute des T4 est forcément de nature à prédire le risque d'apparition de maladies opportunistes; or, cette chute des T4 est plutôt la conséquence des maladies survenue précédemment [ou dans l'optique du seul sida, la conséquence du stress oxydatif] qui étaient présentes, et non la conséquence d'un nouveau germe ciblant les T4. Cet argument est renforcé par la circonstance qu'il est toujours continuellement difficile d'expliquer le mécanisme par lequel le [pseudo] HIV détruit les T4).

    2) "Sida et sorcellerie Vaudou" (cliquez ici; en plus, cela a été traduit en français)

    Il existe un grand nombre d'études complètement innovantes qui indiquent à quel point les croyances peuvent provoquer ou, au contraire, guérir les maladies. Beaucoup de ces études ont été réalisées il y a plusieurs dizaines d'années mais certaines autres sont très récentes. Elles révèlent combien les croyances actuelles sur le VIH et le SIDA peuvent être dangereuses. Elles montrent qu'il est fort possible que le diagnostic lui-même constitue une prophétie assurant sa propre réalisation du fait des croyances négatives puissantes qu'il génère. La plus grande part du présent article utilisera des exemples tirés de la littérature médicale pour illustrer ce fait."

    "On décrira également de quelle manière le stress, l'isolement social et les croyances négatives peuvent provoquer le même type d'immunodéficience que celui que l'on retrouve dans le SIDA."

    Le SIDA peut-il être provoqué par le stress, l'isolement social et les croyances négatives?

    On proclame presque partout que le VIH est la cause d'une grande variété de symptômes chez ceux qui ont été testés séropositifs. Mais même pour les symptômes les plus répandus chez ces personnes, telle que l'immunosuppression et le faible taux de cellules T-CD4, l'accord ne parvient pas à se faire sur la compréhension du mécanisme en cause (Balter 1997). Cette situation a conduit le premier découvreur du VIH, Luc Montagnier, à déclarer qu'il ne pensait pas que ce virus soit capable de provoquer le SIDA en l'absence de cofacteurs non encore identifiés (Balter 1991).

    Des études menées sur l'animal et sur l'homme ont montré qu'un stress chronique sévère se traduit par un syndrome remarquablement semblable à celui du SIDA, et certains des mécanismes proposés pour expliquer cela sont facilement reproduits sur l'animal ainsi qu'in vitro (Benson 1997, Binik 1985, Campinha 1992, Cannon 1957, Cecchi 1984, Cohen 1988, Eastwell 1987, Golden 1977, Kaada 1989, Meador 1992, Milton 1973, Uno 1994). Les médiateurs des effets du stress sont, au moins pour partie, les hormones cortisol et épinéphrine qui provoquent un état d'immunodéficience caractérisé par une diminution du nombre de cellules T. Les cellules T helpers CD4 sont sélectivement réduites, exactement comme on le constate chez ceux qui ont été diagnostiqués VIH+ (Antoni 1990, Castle 1995, Herbert 1993, Kennedy 1988, Kiecolt-Glaser 1991, Laudenslager 1983, Kiecolt-Glaser 1988, Pariante 1997, Stefanski 1998).

    Le stress sévère a également été associé à l'augmentation de la survenance de symptômes et de maladies officiellement considérées comme spécifiquement typiques du SIDA, notamment : pneumonie, tuberculose, démence, amaigrissement et, pour finir, la mort. Il a été démontré que, chez l'animal et chez l'homme, le stress provoque des dommages au cerveau et une atrophie des neurones se traduisant par un état de démence qui est le reflet fidèle de la "démence VIH", avec des modifications du cerveau identiques à celles qui sont souvent observées dans le cerveau des personnes mortes du SIDA (Axelson 1993, Bernt 1992, Brooke 1994, Frolkis 1994, Gold 1984, Jensen 1982, Lopez 1998, Magarinos 1997, Momose 1971, Sasuga 1997, Sapolsky 1990, 1996, Starlman 1992, Uno 1989, 1994). Le stress social et psychologique sévère et chronique a aussi été associé à l'augmentation du taux de la mortalité due à des maladies comme la pneumonie et la tuberculose (Kennedy 1988, Luecken 1997, Russek 1997), et il a été montré qu'un tel stress provoquait chez les humains, les primates non-humains et d'autres animaux un syndrome d'amaigrissement remarquablement semblable à ce que l'on constate dans le SIDA.

    Ces études seront examinées en détail plus loin dans le présent article mais voici déjà un bref extrait d'une étude portant sur des singes sauvages capturés :

    Des singes vervet capturés... montrèrent occasionnellement un syndrome de cachexie avec diarrhée persistante, anorexie et déshydratation se terminant le plus souvent par la mort. Ces animaux étaient socialement soumis et avaient été en proie à un harcèlement social ainsi qu'à des agressions très violentes de la part de leurs congénères. Deux de ces animaux décédèrent dans le mois suivant cette mise en situation et les autres moururent dans des délais allant de 6 mois à 4 ans après leur mise en captivité... L'issue fatale causée par un stress social sévère et prolongé était précédée des pathologies classiques associées au stress, notamment ulcères gastriques et aplasie des surrénales. Nous avons aussi trouvé chez ces animaux une très importante dégénération et destruction des neurones de l'hippocampe (la zone du cerveau qui contrôle l'apprentissage et la mémoire)... Une dégénération similaire a également été trouvée dans les neurones du cortex. (Uno 1994, page 339)

    La plupart des gens ont entendu parler des sorts vaudou, dans lesquels un individu auquel un sort a été jeté se retrouve atteint d'une maladie chronique se terminant souvent par la mort, exactement en conformité avec le sort proféré. Cependant peu de gens savent que ce phénomène a été étudié par les chercheurs et les médecins les plus renommés. En outre, bien peu sans doute ont fait le rapprochement avec le SIDA.

    Nombre de rapports, émanant pour la plupart de médecins occidentaux exerçant dans les sociétés traditionnelles, ont été publiés dans les journaux médicaux. Le phénomène a reçu diverses appellations : la mort vaudou, l'action à la racine, le pointage d'os (Benson 1997, Binik 1985, Campinha 1992, Cannon 1957, Cecchi 1984, Cohen 1988, Eastwell 1987, Golden 1977, Kaada 1989, Meador 1992, Milton 1973). Un phénomène similaire qui survient dans les sociétés modernes, "développées", a également été décrit : la mort de personnes après qu'elles eurent reçu de leur médecin un diagnostic fatal, mais cette mort survenant avant que la pathologie n'ait pu s'étendre suffisamment pour la provoquer. Ce phénomène a lui aussi reçu plusieurs appellations : mort inexpliquée, mort autoprovoquée, complexe du "abandonné alors j'abandonne", effet nocebo (Benson 1997, Engel 1968, Milton 1973). Pour annoncer ce qui va être présenté ci-après, voici ce qu'indique Meador (1992) à propos de deux hommes ayant chacun reçu un sort vaudou mais émanant de deux hommes-médecine différents : l'un moderne, l'autre traditionnel.

    Le premier patient, un homme peu instruit, se trouvait à l'article de la mort à la suite d'un sort jeté par un sorcier vaudou local; il récupéra rapidement grâce à l'action et aux paroles ingénieuses de son médecin de famille. Le second, qui avait reçu un diagnostic de carcinome métastasique de l'œsophage, mourut d'avoir cru qu'il était atteint d'un cancer généralisé comme le croyaient sa famille et son médecin. À l'autopsie, on ne trouva qu'un petit nodule cancéreux de 2 cm au foie. (page 244)

    Une autre comparaison entre ces deux phénomènes avait été fournie vingt ans plus tôt par le médecin australien G.W. Milton (1973) dans un article écrit pour la revue médicale The Lancet. En voici un extrait qui suggère que des décès de cette nature peuvent aussi bien se produire dans nos sociétés occidentales.

    Chez certains patients, la prise de conscience de l'imminence de leur mort constitue un choc si terrible qu'ils sont pratiquement incapables de s'ajuster à cette situation, et ils meurent rapidement avant même que leur maladie n'ait eu le temps de se développer suffisamment pour provoquer la mort. Cette question de mort auto-infligée évoque la mort entraînée par des manœuvres de sorcellerie (pointage d'os) dans les sociétés primitives. (page 1435)

    À cause des controverses qu'un tel sujet, aussi bien que son rapport éventuel avec le SIDA, ne peut manquer de susciter, nous incluerons de nombreuses citations dans la suite du présent article.

    Outre le stress sévère que constitue le fait de vivre avec un pronostic aussi dévastateur, les personnes testées séropositives doivent souvent faire face à un rejet social et à l'isolement. Ceux qui appartiennent au même groupe que les premières personnes à avoir été affectées par le SIDA (homosexuels mâles et utilisateurs de drogues injectées par voie intraveineuse) sont déjà confrontées à ce type de rejet, le plus souvent par leur propre famille. Cet isolement est fortement aggravé par le diagnostic de séropositivité quels que soient les efforts déployés par certains membres de leur famille, leurs amis et les travailleurs sociaux. Tragiquement, ces mêmes amis et êtres chers peuvent, sans le vouloir, perpétuer l'isolement social par suite de leur crainte de la contamination. Il a été démontré que l'isolement social constitue à lui seul un facteur de risque d'immunosuppression et conduit à la diminution du nombre des lymphocytes T CD4. Si on les compare aux personnes bénéficiant d'un soutien social important, celles qui sont socialement isolées ont un taux de mortalité deux à trois fois plus élevé (Berkman 1979, House 1988, Ornish 1997). Une étude récente a révélé que les gens testés séropositifs avaient deux à trois fois plus de chances d'évoluer vers le SIDA déclaré s'ils étaient socialement isolés et soumis à un haut niveau de stress (Leserman 1999). Voici un extrait de cette étude :

    Une progression accélérée vers le SIDA a été associée à un plus grand nombre d'événements stressants (p<0,002), à un plus grand nombre de symptômes dépressifs (p<0,008) et à une déficience répétée de soutien social (p<0,0002).... À l'échéance de 5,5 ans, la probabilité de se trouver en état de SIDA déclaré était deux à trois fois plus élevée pour ceux qui étaient plus soumis au stress que la moyenne, tout comme pour ceux qui bénéficiaient de moins de soutien social que la moyenne.

    Toutes les études consacrées à cette question, y compris celle de Leserman, présentent une lacune fondamentale. Aucune ne prend en compte le stress sévère et le sentiment d'isolement associés au fait même d'être testé "séropositif" et toutes se contentent d'examiner les autres facteurs de stress. Il serait assurément extrêmement difficile, voire impossible, de concevoir une étude focalisée sur le stress infligé par le diagnostic "séropositif" sans porter atteinte au droit des personnes à être complètement informées des diagnostics les concernant. Mais cette constatation ne permet pas de sortir du dilemme. Il existe des problèmes similaires pour nombre d'autres études sur le VIH qui permettraient de faire avancer la question.

    Le stress psychologique sévère et chronique constitue une maladie douloureuse et souvent fatale

    Le stress psychologique sévère et chronique, de même que l'isolement social, peuvent avoir sur l'état de santé des effets quasiment identiques à ceux du SIDA, tout particulièrement s'il s'y ajoute un stress physique ou une maladie. Le stress provoque une immunodéficience caractérisée par la réduction du nombre de lymphocytes T, surtout les cellules T-helpers CD4. On constate également une réduction du ratio CD4/CD8, avec une augmentation relative des CD8 qui sont des cellules T suppresseurs/cytotoxiques (Antoni 1990, Bonneau 1993, Castle 1995, Herbert 1993, Kennedy 1988, Kiecolt-Glaser 1988, 1991, Laudenslager 1983, Pariante 1997, Stefanski 1998). Ces deux modifications immunologiques sont considérées comme typiques du SIDA. Puisque le fait d'être diagnostiqué "séropositif" constitue en lui-même un stress psychologique important et un facteur d'isolement social, il est probable que la réduction des CD4 soit due à ce stress, au moins pour partie.

    L'une des causes premières de ces changements immunitaires semble être constituée par l'augmentation importante de l'hormone cortisol. Les catécholamines (telles que l'épinéphrine) qui sont produites semblent également impliquées, mais à un degré moindre. De nombreuses études ont fait apparaître que les personnes ayant reçu un diagnostic de séropositivité ont, de façon chronique, un taux de cortisol élevé (Azar 1993, Christeff 1988, 1992, Coodley 1994, Lewi 1995, Lortholary 1996, Membreno 1987, Norbiato 1997, Nunez 1996, Verges 1989). Il est cependant important de noter que le stress chronique peut entraîner une immunodéficience même lorsque les taux de cortisol et d'épinéphrine restent normaux (Bonneau 1993, Keller 1983), ce qui montre que le mécanisme par lequel le stress affecte le système immunitaire et l'état de santé reste mal connu.

    Il a également été montré qu'un stress sévère provoque des dommages au cerveau et une atrophie neuronale spécialement dans l'hippocampe, la zone du cerveau qui contrôle l'apprentissage et la mémoire (Axelson 1993, Brenner 1995, Brooke 1994, Gold 1984, Frol'kis 1994, Gurvits 1996, Jensen 1982, Lopez 1998, Magarinos 1997, Sapolsky 1990, 1996, Sasuga 1997, Sheline 1996, Starkman 1992, Uno 1989, 1994). Ceci se traduit par une diminution du fonctionnement mental similaire à ce qu'on appelle la "démence VIH". La recherche la plus effrayante est pourtant celle qui a démontré qu'un stress psychologique et social peut provoquer chez l'homme, le primate non-humain et les autres animaux un syndrome fatal d'amaigrissement ressemblant à s'y méprendre à celui que l'on retrouve dans le SIDA (Benson 1997, Binik 1985, Campinha 1992, Cannon 1957, Cecchi 1984, Cohen 1988, Eastwell 1987, Golden 1977, Kaada 1989, Meador 1992, Milton 1973, Uno 1994). Nous reviendrons plus en détail sur ce point dans la suite du présent article.

    Être testé séropositif constitue peut-être le stress le plus violent que l'on puisse imaginer. Non seulement cela fait surgir une peur extrême et permanente d'une lente détérioration se terminant par la mort, mais cela entraîne en outre un isolement social se manifestant dans tous les aspects de la vie de la personne en cause. Pour aggraver encore les choses, nombre de ceux qui sont testés séropositifs souffraient déjà auparavant de rejet et d'isolement social. Des études portant sur un grand nombre de personnes ont montré qu'à lui seul, l'isolement social est responsable d'une augmentation de 100% à 200% de la mortalité, chiffres semblables à ceux que l'on retrouve associés à l'usage du tabac (Berkman & Syme 1979, House 1988). Et il est probable que le niveau de stress psychologique subi par les personnes testées séropositives est très supérieur à celui qui affectait les personnes visées par ces études...

    Les effets du stress et de l'isolement social sur les lymphocytes T

    La diminution des cellules CD4 chez les personnes testées séropositives est considérée comme le marqueur de la maladie(Balter 1997). Depuis la découverte du VIH, il est proclamé que ce virus s'attaque sélectivement à ces cellules, provoquant un ratio CD4/CD8 inférieur à 1, qu'on appelle "ratio inversé". Le mécanisme qu'il utiliserait pour faire cela n'est pas élucidé en dépit des énormes sommes d'argent consacrées aux recherches sur le VIH. Une autre recherche a montré que les cellules CD4 se déplètent d'un grand nombre de manières et qu'un nombre réduit de CD4 est une situation absolument non spécifique que l'on retrouve chez beaucoup de personnes souffrant de n'importe quel type de stress physique ou psychologique(Bird 1996, Carney 1981, Feeney 1995, Junker 1986, Kennedy 1988, Lotzova 1984, Pariante 1997, Zachar 1998). Un faible nombre de CD4 est aussi une situation relativement courante chez les gens en bonne santé (Bird 1996). Toutes ces constatations suggèrent que le faible nombre de CD4 chez les personnes testées séropositives pourrait n'être pas provoqué par le VIH mais par beaucoup d'autres facteurs que l'on retrouve chez elles. Pour faire un point complet de cet aspect des choses, on pourra consulter la revue complète de la littérature effectuée par l'auteur du présent article; cette littérature montre que le faible nombre de CD4 et les autres modifications du système immunitaire considérées comme spécifiques au HIV sont en fait très courantes chez les personnes soumises à un stress physique ou psychologique (Irwin 2001).

    Déplétion des CD4 dans les maladies chroniques

    En 1981, un groupe de chercheurs a étudié le nombre des CD4 et des CD8 chez 10 patients atteints de mononucléose aiguë et ont comparé les chiffres obtenus avec ceux trouvés chez 10 volontaires en bonne santé (Carney 1981). À cette époque, le décompte des CD4 était une technique nouvelle, de même que l'idée de regarder le ratio CD4/CD8. Les CD4 trouvés chez les volontaires en bonne santé étaient 73% plus nombreux que chez les personnes atteintes de mononucléose. Chez ces dernières, les CD8 étaient en plus grand nombre, ce qui se traduisait chez chacune d'elles par un ratio CD4/CD8 inversé. Le ratio moyen était de 0,2 alors que le ratio normal se situe à 1,7. Les trois décomptes de CD4 les plus faibles trouvés chez les patients étaient : 194, 202 et 255 cellules/mm3. Les personnes séropositives sont considérées comme ayant un SIDA déclaré lorsque leur nombre de CD4 est inférieur à 200/mm3, diagnostic basé sur l'affirmation que le VIH attaque leurs cellules T. À la lueur de ce qui précède, cette affirmation paraît quelque peu sujette à caution.

    Plus récemment, un autre groupe de chercheurs a étudié le nombre de CD4 chez 102 personnes, toutes séronégatives, admises consécutivement pour des raisons diverses en unités de soins intensifs (Feeney 1995). Trente pour cent d'entre elles s'avérèrent avoir un chiffre inférieur à 300. Malheureusement, l'étude ne précise pas combien se situaient en dessous de 200, chiffre considéré comme indiquant un SIDA déclaré chez les personnes séropositives. Ces chercheurs ne trouvèrent pas non plus qu'un faible nombre de CD4 était lié à un mauvais état de santé général ni à un pronostic pessimiste. Voici ce qu'ils écrivent :

    Nos résultats démontrent qu'une maladie aiguë, à elle seule et en l'absence d'infection par le VIH, peut être associée à des concentrations de lymphocytes sévèrement réduites. Nous avions fait l'hypothèse que cette réduction serait directement liée à la gravité de la maladie mais ceci n'a pas été confirmé par nos résultats. Les diminutions de cellules T que nous avons observées se sont avérées imprévisibles et ne présentant aucune corrélation avec la sévérité de la maladie ni avec le taux de mortalité. Cette étude est en ligne avec des études précédentes qui avaient montré des réductions semblables des cellules T chez des échantillons de patients atteints de maladies en phase aiguë. Ces échantillons étaient constitués de patients atteints, selon le cas, d'infection bactérienne, de septicémie, de choc septique, de défaillance multiorganique, de tuberculose, de coccidioidomycose, d'infection virale, de brûlure et de traumatisme. La plupart de ces études rapportent des réductions des populations de lymphocytes, parfois sévères et avec des ratios CD4/CD8 inversés...

    Dans la plus vaste étude effectuée à ce jour sur des patients hospitalisés, Williams et al. (1983) ont mesuré des sous-ensembles de cellules T chez 146 patients fébriles souffrant d'infections aiguës : 19 des 45 patients chez lesquels les CD4 avaient été mesurés avaient un chiffre inférieur à 300/mm3. (page1682-3)

    Nous avons aussi trouvé que le nombre de CD4 était linéairement lié aux concentrations totales de lymphocytes, tout comme Blatt et al. (1991) l'ont constaté chez les patients séropositifs. (page 1683)

    Curieusement, alors qu'ils avaient trouvé des réductions de CD4 comme on les trouve dans le SIDA, ces chercheurs n'ont pas relevé que ces réductions constituaient une excellente indication de l'état des fonctions immunitaires.

    Une très vaste étude en double aveugle sur l'usage de l'AZT chez 2000 personnes séropositives est parvenue aux mêmes résultats. L'AZT augmentait le nombre de CD4 mais ceux qui le prenaient sont morts plus rapidement (Seligman 1994). Cette étude eut pour effet de faire tomber en disgrâce l'usage de l'AZT en tant que monothérapie chez les personnes séropositives; elle remet aussi en cause le bien-fondé de l'utilisation du nombre de CD4 comme marqueur de l'état du système immunitaire.

    Stress, cortisol et lymphocytes T CD4

    Contrairement à la confusion qui règne sur la façon dont le VIH affecte le système immunitaire, le mécanisme de l'immunosuppression dans les états de stress psychologique et physique chroniques est relativement bien connu. L'un des changements majeurs se produisant dans les périodes de stress est le déversement des hormones épinéphrine et cortisol qui provoquent une réduction dramatique du nombre de lymphocytes T. La corrélation entre la diminution des cellules T (aussi appelée "lymphocytopénie") et l'excès de cortisol est si forte que le faible nombre de cellules T constitue un critère permettant de diagnostiquer un excès de cortisol.

    Voici quelques extraits tirés d'un manuel de physiologie en usage dans la plupart des écoles de médecine (Guyton 1996) :

    Presque tous les types de stress physique ou mental peuvent produire en quelques minutes une augmentation de la sécrétion d'ACTH et, par conséquent, de cortisol. La sécrétion de cette dernière est souvent multipliée par 20. (page 966)

    Le cortisol est un immunosuppresseur et entraîne une diminution importante de la production des lymphocytes, tout particulièrement des lymphocytes T. (page 964)

    Le cortisol fait décroître le nombre d'éosinophiles et de lymphocytes dans le sang; cet effet débute dans les minutes qui suivent l'injection de cortisol et s'accentue dans les heures qui suivent. De ce fait, une lymphocytopénie ou une éosinopénie constitue un important moyen de diagnostiquer une surproduction de cortisol par les glandes surrénales. Pareillement, l'administration de fortes doses de cortisol provoque une atrophie significative de tous les tissus lymphoïdes du corps... Ceci peut parfois conduire à une infection fulminante et à la mort dans le cas de maladies qui autrement n'auraient pas été mortelles, par exemple une tuberculose fulminante chez une personne chez qui cette maladie avait été stoppée. (page 965)

    Cette description de morts survenant dans le cadre d'infections qui "autrement n'auraient pas été mortelles" évoque point pour point ce qui se produit dans le SIDA et que l'on met habituellement sur le compte du VIH.

    De nombreuses études ont établi une relation entre les niveaux de cortisol et la déplétion des CD4. Certaines ont établi un lien analogue en ce qui concerne l'épinéphrine. Ces deux hormones sont déversées dans le sang lors des périodes de stress; or lorsqu'on les injecte à l'homme ou aux animaux de laboratoire, une immunosuppression en résulte (Crary 1983a, 1983b, Tornatore 1998). Tornatore, par exemple a trouvé des réductions de 70% du nombre de CD4 chez les personnes, jeunes ou âgées, auxquelles on avait injecté un analogue synthétique du cortisol qu'on appelle méthylprednisone. Après une seule injection, il fallait 8 à 12 heures pour que le nombre de lymphocytes revienne à la normale.

    Il est important de noter que des études ont montré que ce n'est pas le seul mécanisme. Le cortisol et l'épinéphrine sont produits par les glandes surrénales, mais lorsqu'on retire ces glandes à des rats, ils continuent de manifester une réduction du nombre de cellules T s'ils sont soumis à un stress (Bonneau 1993, Esterling 1987, Keller 1983).

    Nombre d'études ont montré que les personnes testées séropositives ont des taux élevés de cortisol. Certaines manifestent des réponses réduites d’accroissement de la production de cortisol lorsqu'on les stimule, ce qui indique la présence d'un stress chronique accompagné d'une surproduction chronique de cortisol (Membreno 1987, Christeff 1988, 1992, Verges 1989, Azar 1993, Coodley 1994, Lewi 1995, Lortholary 1996, Nunez 1996, Norbiato 1996, 1997). Par exemple, Norbiato et al. (1997) ont comparé des patients atteints de SIDA à des personnes saines séronégatives. Ils placèrent les patients atteints de SIDA en deux groupes, ceux ayant une affinité des récepteurs cortisol normale (AIDS-C) et ceux ayant une affinité faible (AIDS-GR), et comparèrent ces deux groupes aux personnes saines. En comparant les niveaux de cortisol dans les urines 24 heures après l'injection de cortisol, ils constatèrent que le groupe AIDS-GR avait 451 microgrammes/24h alors que les personnes saines n'en avaient que 79. Les personnes atteintes du SIDA excrétaient environ 6 fois plus de cortisol que les personnes saines. Le groupe AIDS-C avaient des niveaux de 293 microgrammes/24h, soit 3,7 fois le taux normal. Le taux de cortisol dans le plasma était également près de 3 fois plus haut dans le groupe AIDS-Gr que chez les personnes saines. Le commentaire des auteurs de l'étude est révélateur :

    Dans le SIDA, l'interaction normale dans l'axe hypothalamus/pituitaire est altérée. Ceci se traduit par une hypersécrétion de cortisol provoquant une immunosuppression. Chez la plupart des patients, ce phénomène se poursuit durant toute la maladie. (page 3262)

    Les niveaux indiqués plus haut sont comparables à ceux que l'on trouve généralement chez les patients atteints de la maladie de Cushing. Cette maladie se traduit par une surproduction de cortisol qui entraîne une sévère immunosuppression et donne lieu à des infections opportunistes, des anomalies neuropsychiatriques, la fonte des muscles, des états de faiblesse et à la formation de dépôts graisseux dans le haut du dos, le visage et le ventre (Britton 1975, Momose 1971, Robbins 1995, Starkman 1992).

    Plusieurs études ont montré l'existence d'un lien entre un haut niveau de stress et une déplétion sélective des CD4, souvent accompagnée d'une augmentation des CD8. Cependant, l'un des problèmes que l'on rencontre lorsqu'on cherche à comparer l'immunosuppression due au stress à celle que l'on voit chez les malades du SIDA est que la plupart des chercheurs ne considèrent pas que le nombre de CD4 constitue un bon indicateur de l'état immunitaire, et par conséquent ils ne mesurent pas ce nombre.Au lieu de cela, ils préfèrent mesurer la responsivité des lymphocytes qui est presque toujours réduite dans les états de stress psychologique chronique (Antoni 1990, Kiecolt-Glaser 1988). Il existe cependant des études qui examinent les cellules T en période de stress et nous allons en rendre compte ici, en commençant par les résultats obtenus chez les primates non-humains puis en poursuivant par plusieurs études consacrées aux humains.

    Isolement social et niveau de cortisol chez les primates non-humains

    ...

    Stress et lymphocytes chez les humains, les primates non-humains et autres animaux

    Un groupe de chercheurs mené par Robert Sapolsky a travaillé très activement sur les effets du stress psychologique sur les babouins et autres primates. La plupart de leurs travaux sont consacrés à la neurotoxicité. Dans l'une de leurs études, ils ont mesuré les lymphocytes totaux et les niveaux de cortisol au sein d'un groupe de babouins chez qui était arrivé un jeune mâle particulièrement agressif, que les chercheurs avaient nommé Hobbs (Alberts 1992). Hobbs se montrait très menaçant vis-à-vis des femelles et usait de la peur, de l'intimidation physique et de mauvais traitements pour augmenter ses chances de s'accoupler avec elles. Les niveaux de cortisol dans le groupe doublèrent après l'arrivée de Hobbs, avec un taux d'augmentation légèrement supérieur chez les femelles. Les lymphocytes T chez les membres du groupe s'effondrèrent de 67 pour 10 000 globules rouges (les conditions opératoires ne permettaient pas de mesurer le nombre de lymphocytes par ml de sang ni les CD4) à environ 39, soit une chute de 42%. Cet effondrement était encore plus spectaculaire chez les babouins qui étaient victimes des agressions de Hobbs puisque leur nombre de lymphocytes T tomba à 29, soit une chute de 55%. Curieusement, c'était Hobbs lui-même qui avait le plus faible nombre de lymphocytes et le plus haut niveau de cortisol, ce qui semble indiquer que son comportement était encore plus nuisible à sa propre physiologie qu'à celle de ses victimes. Les auteurs font les commentaires suivants sur leur utilisation du nombre de lymphocytes plutôt que de critères plus sophistiqués.

    Alors que la plupart des études sur les effets du stress sur l'état immunitaire examinent les indices fonctionnels de la compétence immunitaire (par exemple, les tests de stimulation des mitogènes, la fabrication d'anticorps, la responsivité des cytokines), nos conditions d'opération nous ont contraints à nous limiter à cette mesure moins raffinée que constitue le comptage des lymphocytes T. (Alberts 1992, page 174)

    Il est à noter que les chercheurs eux-mêmes reconnaissent que les mesures fonctionnelles des lymphocytes T constituent le meilleur moyen de mesurer la compétence immunitaire. Ce point de vue va dans le même sens que certains rapports antérieurs qui mettent en cause le bien-fondé du comptage des CD4 pour effectuer une telle mesure (Feeney 1995, Seligman 1994).

    Pariante et al. (1997) ont mesuré les CD4 et le ratio CD4/CD8 chez des personnes soumises à un stress chronique du fait qu'elles avaient à assurer les soins à donner à des membres sévèrement handicapés de leur famille. Ils trouvèrent que ces personnes avaient "un pourcentage significativement plus faible de cellules T, un pourcentage significativement plus élevé de cellules suppresseurs/cytotoxiques, et un ratio CD4/CD8 significativement plus faible". Une autre étude effectuée sur des personnes placées dans une situation analogue (soin à des patients atteints d'un Alzheimer à un stade avancé) montra également des ratios CD4/CD8 diminués et un mauvais fonctionnement des lymphocytes T (Castle 1995).

    Une étude a comparé l'effet d'un stress chronique de 3 semaines sur des rats qui, pour les uns, avaient connu un stade prénatal normal et, pour les autres avaient été exposé à l'éthanol in utero. Les mâles étaient spécialement affectés, et les rats qui avaient été exposés à l'éthanol avaient significativement moins de CD4 après avoir subi l'environnement stressant que les rats non exposés (Gibberson 1995). Ceci suggère que les agressions chimiques peuvent augmenter la susceptibilité à l'immunodéficience induite par le stress, spécialement si l'agression a eu lieu in utero; cette constatation présente un grand intérêt en ce qui concerne le SIDA chez les enfants puisque nombre d'entre eux naissent de mères qui consomment des drogues par voie intraveineuse.

    Il est à noter que les effets du stress de courte durée peuvent être très différents de ceux du stress de longue durée. Par exemple, une étude a comparé, chez les rats, les effets d'un stress social de 2 heures avec ceux d'un stress de 48 heures. Après 2 heures, on constatait une diminution des lymphocytes T totaux mais une augmentation du ratio CD4/CD8, alors qu'après 48 heures du même stress social, le ratio CD4/CD8 était tombé en-dessous de la normale avec maintien de la diminution globale des lymphocytes T (Stefanski 1998).

    Les effets du stress varient également beaucoup selon les individus, ce qui peut être dû à des facteurs tels que la stratégie utilisée pour faire face aux problèmes et le soutien social reçu. Plusieurs études ont montré que le dysfonctionnement immunitaire était plus élevé chez les personnes vivant dans l'isolement que chez celles bénéficiant d'un bon soutien social (Kennedy 1988, Kiecolt-Glaser 1984, 1991). Ces étude seront examinées plus en détail un peu plus loin. Un autre facteur important est la possibilité d'action que l'on a sur l'origine du stress. Des rats à qui l'on donnait une possibilité d'agir sur l'origine du stress montrèrent des réponses lymphocytaires normales alors que ceux qui ne disposaient pas d'une telle possibilité eurent des réponses lymphocytaires endommagées alors que les événements stressants (chocs électriques) étaient exactement les mêmes (Laudenslager 1983). Certaines de ces variables contenues dans les études de 1988 ont fait l'objet des commentaires suivants :

    Certaines données confirment les effets immunosuppresseurs des facteurs de stress de courte durée aussi bien que de longue durée tels que rupture du lien conjugal ou soins apportés à des proches atteints de la maladie d'Alzheimer. Les changements immunitaires comportaient des modifications des cellules de l'immunité tant sur le plan qualitatif que sur le plan quantitatif, notamment des changements du temps de latence du virus de l'herpès, une réduction du taux de lymphocytes T-helper ainsi que du nombre et de la fonctionnalité des cellules tueuses (natural killers). Ces effets se produisaient indépendamment des variations dans le mode de nutrition. Les variables psychologiques (solitude, attachement et dépression) étaient corrélées avec les changements immunitaires. Les données recueillies montrent que la bonne qualité des relations interpersonnelles atténue les effets adverses des changements immunologiques associés à la détresse psychologique et peuvent avoir des répercussions sur la susceptibilité aux maladies ainsi que sur l'état de santé. (Kiecolt-Glaser 1988)

    Un autre article (Antoni 1990) examine plusieurs aspects de cette question, notamment les effets du stress sur les personnes atteintes du SIDA. En voici quelques extraits se rapportant aux effets sur les cellules T :

    Les animaux soumis à des facteurs de stress sur lesquels ils ne disposaient d'aucune possibilité d'action ont montré des dégradations de leur système immunitaire telles que : diminution du thymus, baisse de la cytotoxicité des cellules tueuses NK, disparition de la prolifération des lymphocytes, baisse du ratio cellules helper/suppressor. (page 41)

    Dans les recherches mettant en œuvre des facteurs de stress naturellement incontrôlables qui interviennent chez les humains, on a constaté une réduction du nombre total de lymphocytes T, du nombre total de macrophages et du nombre total de CD4. (pages 41-42)

    D'autres travaux récents ont fait apparaître qu'un haut niveau de stress, des symptômes dépressifs importants, un mécontentement en ce qui concerne le soutien social et un recours insuffisant à des stratégies permettant de faire face aux problèmes permettaient de prédire une baisse des CD4 et une augmentation des CD8. (page 42

    Plusieurs autres types de facteurs de stress conduisent à une baisse des défenses immunitaires, par exemple la solitude, le manque de soutien social et le chagrin causé par le deuil, toutes choses fréquentes chez les personnes testées séropositives. Voici un dernier extrait de l'article d'Antoni (1990) à cet égard :

    Nous avons observé des modifications immunologiques et psychologiques, parfois légères et parfois significatives, chez les homosexuels mâles asymptomatiques au cours de la période précédent le test HIV ainsi qu'au cours de la période suivant l'annonce de la séropositivité. Nous avons également constaté un effet favorable de l'aide à l'amélioration du comportement sur l'état psychologique et l'état des défenses immunitaires des homosexuels mâles asymptomatiques séronégatifs aussi bien que séropositifs. (page 45)

    Il est remarquable que ces deux revues globales (Antoni 1990, Kiecolt-Glaser 1988), de même qu'une méta-analyse consacrée aux effets du stress sur les fonctions immunitaires (Herbert 1993), fassent constamment apparaître une diminution sélective des cellules T helper CD4 ainsi qu'une baisse du ratio CD4/CD8 chez les personnes soumises à un stress chronique. Si de telles caractéristiques étaient mises en évidence chez des personnes séropositives, elles seraient à coup sûr mises sur le compte du VIH et il ne serait tenu aucun compte de l'impact du choc causé par le fait d'avoir été testé séropositif.

    c) Conclusion à ce stade-ci

    On peut clairement constater à l'examen de ces différents passages que la chute des T4 a une furieuse tendance à suivre ou tout au plus à être concomitante avec la survenance de maladies (si on met cela en rapport avec le stress oxydatif, cause du sida déclaré, on dira naturellement que le stress oxydatif précède la survenance du sida déclaré et, partant, la baisse des T4). C'est exactement ce qui s'est passé au début de l'épidémie du sida. La chute des T4 était la conséquence des différentes maladies exotiques endurées par les sidéens, elles-mêmes causées par le stress oxydatif. Mais la chute des T4 ne précède visiblement pas la survenance de maladies. En réalité, il faudrait - à mon sens - faire une distinction.

    On constate que les T4 baissent, mais

    SOIT on est déjà malade ou on a souffert il y a peu de diverses maladies, et les T4 continuent de baisser : cette baisse des T4 est alors effectivement annonciatrice de futures et encore plus graves maladies et la mesure des T4 est assurément utile et même indispensable, quoiqu'on est déjà sans cesse malade. Pas vraiment besoin de mesurer ces T4 pour le savoir ! (Mais la mesure des T4 peut quand même servir à prédir la survenance de maladies encore plus graves : par exemple, si les T4 baissent en dessous de 20, les risques de souffrir par exemple d'une rétinite à CMV (qui peut rendre aveugle) sont éminemment plus élevés). Dans ce genre de cas, la trithérapie s'impose de toute urgence pour éviter le pire, à savoir la mort ou des maladies gravissimes qui laisseront de toute façon au mieux des séquelles. Toutefois, si le séropo a de fortes raisons de penser que cette succession de maladies était due à son style de vie, après s'être remis grâce (et ici je le pense vraiment) aux drogues antivirales, je n'ai pas peur de le dire, je lui suggérerais d'arrêter ses drogues dites antivirales et de mener une vie "saine et équibrée" (et en prenant des antioxydants naturels, au moins au début, pour tenter de compenser les effets positifs de certains drogues dites antivirales), tout en l'avertissant du risque réel qu'il soit malheureusement possible que son stress oxydatif soit devenu irréversible (mais pour le savoir et sauf erreur de ma part, il n'y a pas d'autre solution que d'arrêter ces trithérapies). Alors, ou bien où il tombe dans le groupe visiblement majoritaire de ceux qui se portent bien et ont des "bobos" comme n'importe quel séronégatif, ou bien (et hélas) il tombe dans le groupe visiblement minoritaire de ceux où les infections opportunistes reprennent de plus belle, et les trithérapies s'imposent de prime abord jusqu'à de nouvelles avancées de la science, espérons, dissidente du sida.

    SOIT les T4 baissent et continuent de baisser mais on n'est pas malade ou si peu ou pas souvent ou "légèrement". Manifestement, cette baisse - apparente (on l'expliquera plus loin) - n'est visiblement pas la conséquence de maladies et du stress oxydatif, mais de facteurs moins graves (mais certainement pas à prendre à la légère pour autant, comme on l'expliquera plus loin) : l'effet nocebo, le stress psychologique, l'isolement social, un mal-être, etc.... A mon sens, le recours aux drogues antivirales ne s'impose absolument pas, en particulier à défaut de "maladies cliniques" (par oppositions aux "maladies-marqueurs" que sont la chute des T4 et la hausse de la pseudo charge virale, quoiqu'il n'y ait pas forcément de corrélation en plus entre ces deux "marqueurs spécifiques du sida").

    Bref, dans les deux cas, les T4 sont bas, voire très bas, mais seul le premier cas exige réellement le recours aux drogues dites antivirales, du moins si cela se produit malgré un style de vie "sain et équilibré". Or la mesure des T4, telle qu'elle est pratiquée aujourd'hui, ne permet pas de faire cette distinction, outre l'effet nocebo qu'il provoque. Seule une analyse du style de vie du séropo pourra indiquer dans quel cas de figure on se trouve.

    Et si le lecteur n'est toujours pas convaincu à ce stade-ci du raisonnement développé jusqu'ici, j'invoque "l'argument ultime". En effet, même quand un sidéen meurt en stade terminale (et sauf exceptions, qui peuvent s'expliquer par des facteurs parfaitement étrangers à la mesure des T4 : par exemple, les effets secondaires de certaines drogues dites antivirales et de certains antibiotiques provoquant des infections opportunistes "traditionnelles") et qu'il a 0 T4 (je dis bien : "zéro" T4), de quoi meurt-il donc ? De maladies "exotiques", pardi ! Il ne meurt toujours pas de maladies virales ou bactériennes ordinaires, il n'a toujours pas besoin d'une bulle pour survivre. Il ne meurt que de maladies exotiques causées par le stress oxydatif. Bref, même avec zéro T4, il semble tenir le coup. Ceci étant, zéro T4 ne semble quand même pas recommandé pour autant ! Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Manifestement, cette chute à zéro T4 est la conséquence du stress oxydatif. Mais même dans ce cas de figure, on constate qu'avec zéro T4, le système immunitaire fonctionne encore apparemment contre les maladies opportunistes. Ce qui me semble en tout cas clair, c'est qu'on est loin de bien connaître le système immunitaire et préconiser des drogues dites antivirales à des séropos ayant des T4 très bas mais ne souffrant pas de maladies quelconques me semble assez hardi !

    Nous allons maintenant encore essayer d'aller plus loin dans l'analyse, et peut-être trouver des explications encore plus scientifiques à la distinction de ces deux cas de figure.

    V) IL Y A DEUX GROUPES DE T4 : LES TH1 ET LES TH2. OR LES TESTS DE MESURE DES T4 NE FONT PAS LA DISTINCTION ENTRE CEUX-CI !

    1) Citation de deux passages

    a) Tiré de "Réponses aux questions du Président Mbeki" (cliquez ici)

    Il faut qu’il y ait équilibre entre les cellules immunitaires productrices de NO et celles qui n’en produisent pas. Cet équilibre entre l’immunité cellulaire et l’immunité dite humorale par anticorps peut être pertubé par des facteurs infectieux ou non infectieux qui tous deux peuvent mener à une immunodéficience acquise cellulaire (SIDA). Une hyperstimulation (trop longue ou trop forte) des cellules immunitaires productrices de NO mène à l’épuisement de ces cellules et l’inhibition de la production de NO qui en résulte est compensée par une activité accrue des cellules productrices d’anticorps. Il s’ensuit que les microbes intracellulaires tels que mycoses, parasites, mycobactéries et virus (germes de maladies opportunistes), qui normalement seraient éliminés sans symptômes par le gaz NO cytotoxique, se développent sans limites dans les cellules. Ce sont ces maladies opportunistes qui caractérisent cliniquement le SIDA.

    La respiration aérobie de certaines cellules peut être bloquée par un excès de production de NO et par les phénomènes d’adaptation biologique qui s’ensuivent. Ces cellules peuvent alors adopter un mode de production d’énergie indépendant de l’oxygène.

    b) Tiré de "Interview de Kremer sur le sida et le cancer" (cliquez ici)

    Le point crucial est de bien réaliser que les lymphocytes T4 ne sont pas détruits par un quelconque virus, un prétendu " VIH " ou un autre, et que l’immunité cellulaire peut être restaurée.

    Depuis le début des années 90 on a mis en évidence chez l’homme, comme chez tous les mammifères, deux sous-groupes de lymphocytes T4. Dans les examens conventionnels de laboratoire ils ne sont pas différenciés. Pourtant le taux de lymphocytes T4 dans le sang est déterminé par la somme de ces deux sous-groupes, appelés Th1 et Th2.

    Les cellules Th1 synthétisent le NO cytotoxique et sont responsables de l’immunité cellulaire vis-à-vis des germes intracellulaires.

    En cas de carence en cystéine et glutathion les cellules Th2 deviennent dominantes. Ces Th2 quittent la circulation sanguine pour stimuler la production d’anticorps dans les organes lymphoïdes et donc, automatiquement, le nombre total de lymphocytes T4 dans le sang diminue.

    Cette " bascule " du rapport Th1-Th2 en faveur des Th2 est (comme le phénomène de cancérisation cellulaire) contrôlée et causée par la cytokine type 2. Si cette bascule dure longtemps elle prédispose au SIDA.

    2) Tentative d'interprétation (au regard de ce que nous avons déjà dit plus haut)

    Si je fais la relation avec ce qui a déjà été dit ci-dessus, les TH1 correspondraient aux fameux 2 à 3% de T4 circulant dans le sang, tandis que les TH2 sont les fameux 97% ou 98% T4 plutôt de nature à rester dans les tissus humains, mais une partie des TH2 peuvent se retrouver par accident dans le sang (cf. le passage de départ "III) LE DECLIC".

    Le gros problème de la mesure des T4 est que cette mesure ne fait nullement la distinction entre les deux sous-groupes de T4, les TH1 et les TH2.

    On peut distinguer deux hypothèses différentes :

    * En cas de stress oxydatif, cause du sida, les TH1 seront détruits et/ou survivront en faisant appel à un système de "respiration" anaérobique (sans oxygène, donc). La destruction de ces TH1 et/ou leur survivance sous une forme anérobique va causer les fameuses infections "exotiques du sida". EN OUTRE, l'organisme du séropo va réagir en faisant davantage fuir les TH2 vers les tissus. Il se produit un sida déclaré "confirmé" par la baisse GLOBALE des T4 sur le plan des "marqueurs".

    * Pour de toutes autres raisons (maladies en général, stress psychologique, etc...), les TH2 vont également s'enfuit vers les tissus. Cela va également se traduire sur le plan des "marqueurs" par une baisse GLOBALE des T4, exactement comme en cas de stress oxydatif et dans les mêmes proportions. Mais il y a une différence gigantesque sur le plan clinique : quoique dans les deux hypothèses les T4 sont extrêmement bas, dans le second cas, IL N'Y A PAS DE SIDA ! Pourquoi ? Parce que contrairement au cas du stress oxydatif, ces différentes causes de baisse GLOBALE des T4 (exactement comme en cas de stress oxydatif) n'entraîne pas une diminution RELLE des TH1, lesquelles ne meurent pas ou ne survivent pas sous forme anaérobique. Or c'est la mort et/ou la survivance sous forme anaérobique des TH1 qui cause le sida. Ceci étant, la bascule des TH1 et TH2 ne doit pas se poursuivre indéfiniment car quand bien même les TH1 ne sont pas détruits, si cette bascule dure trop longtemps, cela peut quand même aboutir visiblement à un réel affaiblissement immunitaire, sans même stress oxydatif. Il s'agit en fait des cas de sida causé par un stress psychologique répété et durable.

    En d'autres termes, dans le premier cas, soit le stress oxydatif, la baisse des T4 est REELLE car les TH1 sont détruits ou ne survivent plus de façon naturelle; cela mène au sida rapidement. Dans le second cas, la baisse des T4 n'est qu'APPARENTE car les TH1 ne sont pas détruits; cela ne mènera au sida ou de manière générale à des infections opportunistes en général que si cette baisse apparente se produit longtemps (sida sur stress psychologique répété et durable).

    Mais ces deux cas, aux conséquences diamétralement différentes, ne peuvent être distingués par le biais des tests de mesure des T4, car les TH1 ne représente que 2 ou 3% des T4 globaux, alors que les TH2 représentent 97 à 98% des T4 globaux. Une diminution réelle des TH1, qui se produit dans le premier cas uniquement, soit le sida déclaré, passera absolument inaperçu (vu qu'ils ne représentent que 2 à 3% du total des T4 globaux).

    La seule façon de distinguer ces deux cas est le recours à l'analyse clinique du patient : souffre-t-il ou non et de façon assez répétée d'infections "exotiques" ?

    Dans le premier cas (stress oxydatif), la mesure des T4 est INDISPENSABLE pour prédire l'aggravation du sida ou non. La mesure des T4 est assurément utile et nécessaire.

    Dans le second cas (absence de stress oxydatif), la baisse globale des T4 (c'est-à-dire une diminution APPARENTE des T4, puisque les TH1 ne sont pas détruits) ne prédispose pas au sida rapidement. Mais si cela dure assez longtemps, le sida peut malgré tout survenir. C'est tout particulièrement le cas en cas de stress psychologique durable. Ce stress peut justement découler de l'importance accordée à une baisse des T4.D'où le danger de continuer à mesurer ces T4 quand le séropo n'a plus de raison de penser qu'il souffre encore de stress oxydatif.

    Dans le second cas toujours, la baisse des T4 résulte de facteurs sans rapport avec le stress oxydatif, tout comme pour n'importe quelle personne séronégative. Et tout comme une personne séronégative qui ne mesure pas ses T4 et ne prend pas de drogues antivirales , un séropo qui ne souffre pas de stress oxydatif (ce qui est révélé par l'analyse clinique, non la mesure des T4) n'a pas à recourir aux drogues antivirales pour y remédier. Ce même séropo souffre en réalité des mêmes facteurs qui affectent également la baisse des T4 des séronégatifs.

    Le raisonnement exposé ci-dessus peut toutefois se heurter une objection de taille, que j'essaie toutefois de relever avec la simple logique (encore une fois, d'ailleurs).

    Certes, des études ont démontré que les T4 peuvent descendre très bas, même largement en dessous de 200 T4, chez des séronégatifs en raison de multiples facteurs énumérés ci-dessus. Mais visiblement aucune étude n'a montré des séronégatifs avec des niveaux de T4 baissant jusqu'à 10, voire même un peu moins, comme pour certains séropos qui ont des T4 à seulement entre 3 et 10 (par exemple) et qui, pourtant, vivent très bien et sans maladie.

    Dans tout ce que j'ai lu, je n'ai pas trouvé d'explication. Mais il me semble qu'il existe une explication vraisemblable, mais à vérifier. Avant de devenir le séropo vivant très bien avec des T4 inférieurs à 10 par exemple, il a souffert d'un stress oxydatif démesuré, lequel a causé la perte définitive d'un certain nombre de TH1. Alors que les TH1 ne semblent que représenter "normalement" 2% du total global des T4, la perte, vraisemblablement définitive d'une partie de ceux-ci (peut-être la moitié, les trois quarts même) à la suite d'un fort épisode de stress oxydatif, les TH1 ne représenteront par exemple déjà plus que 1% du total, voire même 0,5%, au lieu des 2 ou 3% habituels. Par conséquent, en cas de causes de baisse APPARENTE des T4 globaux (c'est-à-dire les hypothèses énumérées ci-dessus en dehors de tout stress oxydatif), la baisse apparente des T4 sera bien sûr très largement accentuée puisque on ne part déjà plus de 2 ou 3% mais bien de 1 ou 2%. Cela pourrait expliquer pourquoi la baisse APPARENTE des T4 globaux est plus accentuée chez les séropos survivant à long terme (parce qu'ils ont déjà perdu définitivement une partie importante de leurs TH1) que chez les séronégatifs qui, par définition, n'ont jamais perdu définitivement auparavant une partie de leurs TH1. Mais l'organisme humain semble ainsi (heureusement) fait qu'il est possible de vivre avec moins de TH1 que ce qui avait été prévu au départ, POUR AUTANT que les survivants à long terme adoptent un style de vie encore "plus sain et équilibré" que n'importe quel séronégatif (parce qu'ils ont justement déjà perdu une partie de leurs TH1).

    Pour que cette explication tienne, il conviendrait toutefois de s'assurer si la perte des TH1 est définitive ou non. Et cela, je l'ignore.

    CONCLUSION

    Pour une fois, elle sera courte car tout a déjà été dit auparavant.

    Les séropos ayant des raisons de penser qu'ils souffrent encore de stress oxydatif DOIVENT faire mesurer et contrôler leurs T4, car la chute des T4 (globaux) est un instrument fiable de prédiction de risque de sida déclaré. En pratique, il s'agit de presque tous les séropos (excepté le cas du sida nutritionnel) puisque très peu d'entre eux connaissent la dissidence du sida et le fait que le sida est causé, non par un rétrovirus exogène chimérique, mais bien par le stress oxydatif. Ne le sachant pas, la plupart d'entre continuent à souffrir de stress oxydatif.

    Les séropos n'ayant plus de raison de penser qu'ils souffrent de stress oxydatif ne devraient vraisemblablement plus mesurer leurs T4 car l'importance accordée à une baisse de celle-ci (laquelle ne peut être qu'apparente puisque ne souffrant plus de stress oxydatif) est succeptible de susciter un stress psychologique répété, de nature à causer le sida, mais sur le long terme. Ils doivent en réalité vivre comme n'importe quel séronégatif, avec toutefois la particularité de vivre encore plus "sainement" que n'importe quel autre séronégatif car ils ont déjà perdu antérieurement et définitivement (vérifier toutefois si cela est vraiment définitif ou s'il n'y aurait pas une possibilité de "résurrection" des TH1 perdus) une partie de leurs TH1 contrairement aux séronégatifs.

    PS : Désolé pour les fautes de frappe. J'ai rédigé ce post sous le "bénéfice de l'urgence".

  23. Le stress oxydatif ayant des sources et des intensités extrêmement variables en fonction du style de vie des séropos, il relève de la logique absolument stupéfiante que la combinaison de ces deux variables aboutisse respectivement aux notions devenues légendaires de "extrême mutabilité du VIH" et de "souche virulente du VIH".

    On ajoutera que cette variation du "génome" du VIH se traduit dans les autres notions devenues également légendaires de "génotype" et "phénotype" du VIH, certains de ceux-ci étant représentatifs de "souches dites virulentes" du VIH.

  24. QU'EST-CE QUE LE VIH FINALEMENT ?

    ou encore : Le SIDA cause le VIH, et non l'inverse !

    ou encore : Sur quoi travaille l'orthodoxie du sida ?

    En attendant que je termine mon long post par lequel je réfuterai les deux (bien seuls) arguments essentiels - visiblement restés irréfutés à ce jour - qui ont été invoqués sur ce forum à l'encontre de la dissidence du sida (du moins jusqu'à la page 112 où je suis actuellement arrivé, soit presque au même moment où je suis arrivé sur ce forum) et au cours duquel j'aurai l'occasion de dénoncer l'infamie sans équivalent à ce jour que constituent les tests dits "HIV", j'ai estimé utile d'en extraire un passage, de le développer et de le retravailler de façon à ce qu'il puisse avoir les "honneurs" d'un post à lui tout seul (lol).

    Je vais tâcher dans ce post d'expliquer aux nouveaux lecteurs et avec mes propres mots ce qu'est réellement le VIH (il y aura certainement des imprécisions et même quelques petites erreurs, mais je crois que pour un nouveau lecteur, cela l'aidera quand même énormément), en faisant la relation avec des notions et des termes couramment utilisés par l'orthodoxie du sida pour faire croire que le VIH est un rétrovirus exogène causant le sida, tels que mutation du virus, génotype, souche virulente, etc... Ce sont d'ailleurs ces notions-là de l'orthodoxie du sida qui m'ont réellement empêché au départ d'accorder le moindre crédit à tout ce qu'affirmait la dissidence du sida. Je crois donc que le présent exercice ne sera certainement pas inutile !

    Ce sera également l'occasion de comprendre ce sur quoi travaille réellement l'orthodoxie du sida depuis plus de 20 ans, et d'aboutir en outre à la conclusion que le VIH ne cause pas le sida, mais bien que le sida cause le VIH !

    Je vais tâcher de l'expliquer de deux façons. Premièrement, d'une façon "scientifique", bien qu'avec mes propres termes (n'étant pas scientifique moi-même), deuxièmement et ensuite d'une façon extrêmement simple et imagée en faisant la comparaison avec la banque qui est victime d'un hold-up commis par un voleur et à la suite duquel la police se dépêche très prestement sur les lieux. De façon humoristique (enfin, je crois), cette deuxième façon a été appelée "Dissidence du sida pour les Nuls" (lol).

    Après la lecture de ce post, normalement plus aucune personne ne pourra décemment affirmer qu'il ne sait pas ce qu'est réellement le VIH.

    Commençons par la version "scientifique".

    A) La version "scientifique" du VIH (avec mes propres termes donc)

    1) Le stress oxydatif, qui est la réelle cause du sida (pour que le nouveau lecteur puisse comprendre ce qu'est le stress oxydatif, je l'invite d'abord à lire le début de ce post-ci, et les considérations relatives au monoxyde d'azote) provoque dans l'organisme la production de multiples débris cellulaires, voire éventuellement de rétrovirus endogènes (mais cela reste encore à prouver; et quand bien même cela serait prouvé un jour, cela ne prouverait toujours pas que le VIH causerait le sida puisque le VIH en question est justement produit par l'organisme humain lui-même et est donc endogène et inoffensif). Ces multiples débris cellulaires sont appelés VIH, et c'est bien là-dessus que travaille l'orthodoxie du sida.

    2) Ces innombrables débris cellulaires ont donc pour point commun d'être le produit et la conséquence spécifique du stress oxydatif. C'est entre autres pour cette raison qu'il n'a à ce jour toujours pas été possible de faire la photographie au microscope électronique du VIH "isolé". L'excuse invoquée par l'orthodoxie du sida consiste à dire que le "virus" est très fragile et se décante très rapidement. Et bien, je crois en cette excuse. Et pour cause ! Comme ce matériel endogène (qualifié donc de VIH par l'orthodoxie du sida) n'est produit et ne vit que par l'effet du stress oxydatif, une fois séparé de ce qui l'a fait naître, soit le stress oxydatif, le "VIH" ne peut susbister par lui-même (à moins de reproduire en laboratoire des techniques de culture produisant les mêmes effets que le stress oxydatif), se décante forcément très rapidement et disparaît (et constitue l'une des raisons pour lesquelles il n'a jamais été possible à ce jour d'isoler le "VIH"). La preuve même que ce matériel endogène n'est pas la cause du sida mais bien le sympôme du stress oxydatif ou sida !

    3) La circonstance que ce matériel endogène est le produit spécifique du stress oxydatif explique que certaines protéines (les fameuses 10 protéines du VIH dont l'existence éventuelle est révélée par le test dit de "confirmation" Western Blot) soient grossièrement spécifiques à ce qui est appelé VIH par l'orthodoxie du sida.

    4) Le point commun à tous ces débris cellulaires est qu'ils ont été produits par le stress oxydatif. Ce point commun a été analysé par l'orthodoxie du sida et a été traduit par celle-ci comme consistant en le génome du VIH.

    Le stress oxydatif ayant des sources et des intensités extrêmement variables en fonction du style de vie des séropos, il relève de la logique absolument stupéfiante que la combinaison de ces deux variables aboutisse respectivement aux notions devenues légendaires de "extrême mutabilité du VIH" et de "souche virulente du VIH".

    1°) En réalité, le lecteur l'aura déjà compris à ce stade-ci de la lecture, le VIH n'étant que le miroir et la conséquence du stress oxydatif ou sida, l'orthodoxie du sida travaille en fait depuis plus de 20 ans sur les symptômes ou conséquences de la maladie, soit le matériel endogène que le stress oxydatif produit ou VIH, et non sur sa cause, le stress oxydatif. Le "génie" ou plutôt l'erreur dramatique de l'orthodoxie du sida est d'avoir voulu nous faire croire et de continuer à nous faire croire que le VIH cause le sida. Alors qu'elle a confondu et confond toujours à ce jour l'action, à savoir le stress oxydatif, et la réaction, à savoir le VIH.

    On comprend dès lors mieux pour quelle raison l'orthodoxie du sida n'a jamais pu guérir le sida à ce jour. On comprend également pour quelle raison, le modèle viral du sida a pu quand même aboutir à quelques drogues qualifiées d'"antivirales" qui ont pu montrer une certaine efficacité, quoique cette efficacité est en réalité expliquée scientifiquement par le modèle dissident du sida. En étudiant les symptômes du maladie (donc, le VIH), l'orthodoxie du sida peut quand même arriver à inventer des médicaments qui suppriment momentanément les symptômes (les fameuses tri"thérapies"), sans pour autant soigner sa cause ! Mais l'idéal est bien sûr d'étudier directement sa cause, comme le demande désespérément et depuis 20 ans la dissidence du sida.

    Etant donné que les sources et l'intensité du stress oxydatif sont quasiment infinies, ceux-ci expliquent, comme l'affirme l'orthodoxie du sida, que les variations du génome du VIH puisse porter jusqu'à 40% de celui-ci ! Ce qui ne serait évidemment pas possible d'affirmer sans honte si le VIH était la cause du sida. Mais n'étant au contraire que son produit, cela reste scientifiquement admissible. De même, étant donné que le VIH n'est que la conséquence du sida ou stress oxydatif, il est logique d'arriver à la conclusion que cette extrême variabilité du VIH est sans incidence sur la fonctionnalité de ces protéines puisque le VIH, n'étant que le produit du stress oxydatif, aucune fonction pathogène n'est assigné aux protéines du VIH.

    De même, le lecteur comprendra ainsi pour quelles raisons les "chercheurs" de l'Institut Pasteurs n'ont pas peur de se ridiculiser en annonçant des chiffres défiant toute logique, à savoir qu'un séropo asymptomatique pourrait héberger jusqu'à un million (!) de variantes génétiquement distinctes du VIH tandis qu'un patient à sida déclaré pourrait quant à lui être porteur jusqu'à cent millions (!!!) de variantes génétiquement différentes du VIH. Si ce VIH était un rétrovirus exogène et pathogène, et bien, ce serait l'organisme vivant le plus intelligent de l'évolution. En revanche, en tant que matériel endogène produit par le stress oxydatif du séropo et variant à chaque instant, cette affirmation de prime abord ridicule de l'orthodoxie du sida tombe sous le sens, du moins dans une mesure relative.

    2°) a) Lorsque l'orthodoxie du sida déclare avoir identifié des souches virulentes du VIH, le VIH en question n'est que la représentation génomique d'un stress oxydatif démesuré. Ainsi, il y a de cela un peu plus d'un an, une souche extrêmement virulente du VIH avait été détectée aux USA chez un séropo, lequel a fait un sida déclaré extrême. Il ne répondait plus à aucune drogue "antivirale", à l'exception d'une seule. Lorsqu'on a examiné le style de vie du séropo en question, on a pu relever que depuis plusieurs années, il consommait avec force de multitudes drogues récréationnelles et qu'il était un partouzeur hors norme. D'ailleurs, il avait passé le week-end précédant l'apparition de son sida déclaré à consommer toutes les drogues possibles et inimaginables afin de pouvoir réaliser un gang bang de premier ordre ! Compte tenu de son style de vie, il n'était vraiment pas étonnant qu'après un tel week-end, il ait subi un stress oxydatif absolument démesuré qui se soit traduit par un sida déclaré accélé et une souche extrêmement virulente de VIH.

    b) Une des preuves que le VIH ne saurait causer le sida est la circonstance qu'il existe légion de séropos supposés porteurs de souches virulentes (à la suite de rapports sexuels dit "non protégés") et qui ne font quand même pas de sida déclaré. Si le VIH était la cause du sida, cela serait pour le moins incompréhensible. En revanche, à partir du moment où le VIH est considéré comme étant un produit du stress oxydatif, en quelque sorte la carte d'identité de celui-ci, il est logique que le nouveau porteur de cette souche supposée virulente ne fasse pas de sida déclaré si ce nouveau porteur ne souffre pas lui-même d'un fort stress oxydatif. En revanche, si le nouveau porteur souffre lui-même d'un fort stress oxydatif, il fera naturellement lui-même un sida déclaré, mis erronément sur le compte de la pseudo souche virulente du sida par l'orthodoxie du sida.

    c) L'orthodoxie du sida ne cesse de se plaindre de la circonstance qu'il y aurait de plus en plus de souches virulentes du VIH, et cela est mis sur le compte de la multiplication des rapports sexuels dits "non protégés", lesquels favoriseraient la variation génomique du VIH. Evidemment, l'explication réelle est tout autre. Les drogues dites "antivirales" sont connues pour causer elles-mêmes du stress oxydatif, et donc causer à moyen ou long terme un sida déclaré. Comme évidemment de plus en plus de séropos sont sous drogues dites "antivirales", il n'y a plus aucune raison de s'étonner que les "souches virulentes" du VIH continuent à se multiplier.

    5) Lorsque l'orthodoxie du sida parle du phénomène de "résistance", il y a tout simplement lieu d'entendre par là que le séropo en question souffre d'un stress oxydatif (qui peut donc lui-même être causé par les drogues dites "antivirales" !) de plus en plus fort, voire parfois devenu irréversible, à tel point que les drogues dites "antivirales" ne réagissent plus et ne peuvent plus contrecarrer les effets délétères et mortifères du stress oxydatif.

    6) Enfin, après avoir lu ce qui précède, le lecteur pourra de lui-même corriger la tristement célèbre équation de la mort de l'orthodoxie du sida, à savoir : VIH = SIDA = MORT, à savoir que le VIH cause le SIDA et ensuite la MORT. La dissidence du sida a déjà précisé que cette équation est manifestement erronée et est plutôt celle-ci : VIH >< SIDA><MORT, à savoir que le VIH ne cause pas le SIDA et encore moins la MORT. Mais maintenant, nous pouvons affiner davantage cette équation, laquelle devient : (SIDA = VIH) >< MORT, à savoir que le SIDA cause le VIH, mais que le SIDA n'est en aucune façon synonyme de MORT.

    Arrivé à la fin de la version "scientifique" des explications sur le VIH, le lecteur peut maintenant aisément comprendre comment l'orthodoxie du sida a été et est toujours capable depuis plus de 20 ans de pondre des milliers d'ouvrages et d'articles et d'organiser des dizaines de conférences internationales sur le sida, sans avancer d'un iota dans une guérison véritable de la maladie. En effet, la médecine orthodoxe du sida n'est qu'une médecine de symptomalogie et leurs différents traités et autres écrits ne sont que des études sans fin des symptômes (soit le VIH) du sida. Seule la dissidence du sida ne s'attache qu'à l'étude des causes du sida, et ce malgré l'absence de moyens financiers mis à leur disposition, la totalité de ceux-ci étant mis à la disposition de l'orthodoxie du sida non afin de guérir le sida ..... mais bien d'étudier les symptômes du sida. Des remèdes efficaces contre le sida existent déjà, mais imaginez les avancées spectaculaires que la dissidence scientifique du sida pourrait encore davantage faire si on lui mettait à sa disposition ne fût-ce qu'une infime partie du gigantesque budget alloué à l'étude des symptômes du sida !

    En tout cas, le lecteur n'aura maintenant plus aucune raison d'être impressionné par n'importe quel discours de je ne sais quel ponte de l'orthodoxie du sida, ce dernier n'ayant pour seule connaissance, certes extrêmement approndie (c'est le moins qu'on puisse dire !), que des symptômes superficiels du sida, à savoir le matériel endogène produit par le stress oxydatif et appelé "VIH" !

    Maintenant, pour ceux qui n'auraient pas encore tout compris, je vais passer à la version imagée de ces explications.

    B) La version "Dissidence du sida pour les Nuls" (lol)

    Imaginons une banque victime d'un hold-up commis par un voleur. Dans les minutes qui suivent, quelques agents de police se dépêchent prestement sur les lieux du "crime".

    Dans notre exemple, la banque est le séropo, le hold-up n'est rien d'autre que le sida déclaré, le voleur est le stress oxydatif et les agents de police le "VIH". Nous constatons qu'à la suite de l'action du voleur (le stress oxydatif), une réaction se produit, à savoir la venue des agents de police (le VIH).

    En l'occurrence, tout le "génie" de l'orthodoxie du sida a consisté à nous faire croire jusqu'à ce jour que la police (le VIH) est l'auteur du hold-up (sida déclaré) ! Alors que la dissidence du sida ne cesse de crier à cor et à cri que c'est le voleur (le stress oxydatif) qui est l'auteur du hold-up (sida déclaré) et que la police (le VIH) n'est là que pour constater les faits et enquêter. La police (VIH) n'est que le miroir et la conséquence de l'agression commise par le voleur (stress oxydatif) à l'encontre de la banque (le séropo).

    Pour comprendre le modus operandi ayant conduit au hold-up (sida déclaré), l'orthodoxie du sida étudie depuis plus de 20 ans le mode opératoire des agents de police (le VIH), alors qu'elle devrait étudier le mode opératoire du voleur (stress oxydatif). L'étude de la façon de procéder des agents de police (le VIH) a abouti à une littérature absolument déchaînée sur le sujet. En revanche, la dissidence du sida, elle, essaie avec la pauvreté de ces moyens, d'étudier le mode opératoire .... du voleur (stress oxydatif) !

    Il arrive parfois que des hold-up (sida déclaré) soit commis sans que des agents de police (VIH) se manifestent, par exemple parce que la banque connaît les voleurs et qu'elle a des raisons de cacher ce hold-up (sida déclaré). Il s'agit de l'exemple des cas de sida déclaré (hold-up) sans VIH (agents de police). Il existe au moins quelques milliers de cas clairement et scientifiquement documentés et intitulés "CD4 idiopathiques avec lymphocytopenie des cellules T" (pour éviter de prononcer le mot "sida", puisque cela va à l'encontre du dogme selon lequel il y a toujours VIH (agents de police) quand il y a sida déclaré (hold-up).

    Les agents de police (VIH) ont pour points communs d'être munis de revolvers, d'être à l'affût du moindre indice, d'avoir un chef qui les commande, etc... Ceux-ci sont les protéines grossièrement spécifiques du VIH. Toutefois, parfois ils sont quatre, parfois dix, parfois ils ont des cheveux noirs, d'autres bruns, etc.... Il s'agit de la légendaire mutabilité de ce qui est considéré comme le VIH.

    Lorsqu'il s'agit d'un hold-up audacieux et de grande envergure (grave cas de sida déclaré), ce ne sont plus quelques agents de police (le VIH) qui se rendent sur les lieux, mais carrément tout le commissariat de police. Le commissariat en question n'est rien d'autre qu'une souche virulente du VIH. L'action du voleur (stress oxydatif) a été en effet à ce point impressionnante que la réaction s'est traduite par la venue, non de quelques agents de police, mais bien de tous les agents de police du commissariat (la souche virulente).

    Leur enquête aboutit à la conclusion qu'un hold up (sida déclaré) d'une aussi grande envergure devrait prochainement être commis dans une autre banque (un autre séropo) et tout le commissariat de police se rend en cette autre banque (transmission de la souche virulente chez un autre séropo). Mais en réalité, il ne se passe rien, ils se sont trompé. Aucun hold-up (sida déclaré) n'est commis. La circonstance que le commissariat de police (souche virulente) se soit déplacé dans cette autre banque (transmise à un autre séropo) n'a évidemment pas eu pour conséquence qu'un autre hold-up (sida déclaré) ait été commis ..... faute de voleur (stress oxydatif) dans cette autre banque (autre séropo porteur de la souche virulente) !

    Nous pouvons pousser l'analogie encore plus loin.

    Que fait le voleur (stress oxydatif) avant de commettre le hold-up (sida déclaré) ? Il éteint toutes les caméras de surveillance (baisse prononcée des T4). Cependant, le voleur (stress oxydatif) arrive parfois à commettre le hold-up (sida déclaré) juste en éteignant quelques caméras de surveillance (baisse légère des T4). Il s'agit-là des cas de sida déclaré sans baisse prononcée des T4.

    L'une des autres idées de "génie" de l'orthodoxie du sida est d'avoir voulu nous faire croire que chaque fois que les caméras de surveillance sont éteintes (baisse prononcée des T4), ce serait la preuve qu'un hold-up (sida déclaré) est sur le point d'être commis. C'est perdre de vue qu'il peut arriver que la totalité ou presque toutes les caméras de surveillance (baisse prononcée des T4) peuvent être éteintes sans pour autant qu'un hold-up (sida déclaré) soit commis et sans que cette extinction des caméras de surveillance (baisse des T4) n'ait été causée par le voleur (stress oxydatif), par exemple en cas de panne d'électricité dans la ville ou en raison d'un erreur d'un employé de la banque (par exemple stress psychologique répété de cet employé de banque..... ou du séropo). Mais nous nous avançons trop loin, et je n'ai justement pas parlé des T4 dans la version "scientifique" car il fera ultérieurement l'objet d'un post plus détaillé.

    En conclusion, le lecteur aura pu constater que le trait fondamental de l'orthodoxie du sida est d'avoir fait et de toujours faire preuve à ce jour d'une monstrueuse ignorance et arrogance en matière de monopole de la connaissance du VIH !

  25. (pierrot @ Lundi 06 Mars 2006, 14:22)

    j'ai déja fait l'essai, en 2000, l'année de mon mariage, en présence de ma femme, le médecin était embêté, car mon test, anonyme, était "douteux".

    Il proposait d'en faire un autre, mais je lui ai dit que si le premier était douteux, quelle garantie de fiabilité aurait un autre, ou même dix autre?

    il a été contrarié.

    Et bien, Pierrot, compte tenu des intérêts en jeu, je t'invite encore et avec la plus grande énergie à refaire ce test, de façon ANONYME, sans passer chez ton médecin ou tout autre médecin.

    Je ne leur fais guère confiance quand ton médecin déclare que le test aurait été effectué de façon anonyme. Le cas échéant, ils feront et referont le test jusqu'à obtenir un test à tout le moins douteux car cela DOIT être comme cela selon l'orthodoxie du sida.

    Si pour te permettre de faire un test réellement ANONYME, tu dois faire 50 ou 100 km, l'enjeu en vaut sacrément la chandelle.

    Tu as fait mesurer tes T4. Soit. Mais maintenant, tu dois avoir toutes les données du "problème". Donc, repasse un test dit "HIV" de façon réellement anonyme, sans donner ton nom à qui que ce soit.

    Tu ne souffres manifestement plus de stress oxydatif et tu sais déjà que la protéine P24 est indétectable. Les chances sont très grandes que tu sois redevenu séronégatif (et pas simplement un résultat douteux)!

    Il serait bien que tu sois définitivement fixé là-dessus, me semble-t-il. Tu n'auras alors vraiment plus de raison de t'inquiéter de la baisse - apparente - de tes T4.

    Merci.

×
×
  • Créer...