Aller au contenu
forum sidasante

wallypat

Modérateurs
  • Compteur de contenus

    1 158
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Days Won

    1

Messages posté(e)s par wallypat

  1. Comment lui apporter une certitude, une preuve ?

    Je crains malheureusement que la certitude ne pourra venir que de lui-même, après des mois et des mois de recherche sur le sujet. Et cette "certitude" sera, je pense, d'autant plus difficile à acquérir que les traitements dits "antirétroviraux" peuvent souvent, à court ou même à moyen terme, faire du bien à une personne souffrant de maladies qualifiées de "sida", sans toutefois que leur prétendu caractère anti-"VIH" y soit pour quoi que ce soit.

    Y a t-il des médecins ou similaire, qui accompagnent les « sidéens » dans cette démarche vers l'arrêt de la tri-thérapie ? 1-calin.gif

    Il semblerait qu'en Allemagne, il y ait quelques praticiens de ce genre. Mais en France ... ?

    Ton témoignage est assurément très intéressant. Malheureusement, en France, comme dans de nombreux autres pays, c'est le plus souvent, je crois, le règne de la débrouille pour sortir des sentiers battus. 5-tss.gif

  2. Et la "fenêtre thérapeutique" qui pour certains dure déjà 5 ans, je trouvais ça malgré tout pas mal comme résultat,

    Oui, effectivement, ce n’est pas mal du tout.

    Ne perdons toutefois pas de vue que ci et là, on peut lire le témoignage de séropositifs ayant pu arrêter depuis plus de cinq ans leurs traitements « antirétroviraux » sans devoir recourir à ces « vaccins », si ce n’est parfois à des compléments alimentaires appropriés.

  3. Par contre je viens de lire ce qui suit sur la bbc,  un vaccin basé plutôt sur la stimulation du système immunitaire, et donc différent dans l'approche que les traitements anti-hiv classiques.

    J'ai déjà eu l'occasion de lire (en résumé) certaines études consacrées à ces "vaccins".

    Le terme "vaccin" n'est guère approprié et je parlerai au mieux de "médicaments" qui a pour effet d'empêcher, dans une mesure variable en fonction des individus, de ne pas devoir reprendre des traitements "antirétroviraux" pendant quelques mois, au mieux quelques années (quoique certains de ces "vaccins" ont également eu pour effet d'accélérer au contraire l'évolution vers le stade "sida" de certains patients). Les patients doivent généralement reprendre les traitements classiques dès que la charge "virale" augmente beaucoup trop et/ou lorsque les T4 diminuent de plus de la moitié par rapport au nombre de départ , même s'ils ne sont pas malades.

    En tout état de cause, même si ces "vaccins" font parfois preuve de bons résultats à court terme, leur efficacité peut s'expliquer autrement que par une supposée lutte contre un imaginaire rétrovirus "VIH". D'après ce que j'ai cru comprendre, certains de ces "vaccins" ne sont rien d'autre que des formes d'auto-vaccin stimulant le système immunitaire, peu importe la présence du supposé "VIH". Les auto-vaccins sont souvent utilisés dans le bétail avec de bons résultats. Il n'est pas étonnant que ceux-ci puissent - parfois - produire de bons résultats chez l'être humain, sans qu'une lutte contre le supposé "VIH" y soit pour quoi que ce soit.

  4. Un renvoi vers cet article cité dans un autre post par "brume de l'abro" et qui montre bien le rôle délétère de l'acide arachidonique dans la survenance de la sclérose en plaque.

    Ceci étant, pour diminuer (sur le long terme) la quantité d'acide arachidonique dans l'organisme, j'invite le lecteur à ne pas suivre la plupart des conseils mentionnés dans cet article mais bien à lire le topic consacré aux acides gras saturés.

    Je pense toutefois qu'adopter le régime préconisé dans le topic précité alors qu'on est déjà en pleine crise de sclérose en plaque risque de ne pas améliorer la situation, du moins à court terme. En effet, adopter une alimentation riche en acides gras saturés et pauvre en acides gras polyinsaturés (et, partant, pauvre en acide arachidonique) va avoir pour conséquence qu'à court terme (au moins quelques mois, si pas un an ou deux), l'organisme va libérer dans l'organisme l'acide arachidonique qu'il possède déjà dans l'organisme, ce qui risque de provoquer une augmentation des phénomènes inflammatoires et donc des symptômes de la sclérose en plaques. Du moins sur le court terme puisque sur le long terme, à la suite de ce régime, l'organisme produira beaucoup moins d'acide arachidonique, devant ainsi entraîner une diminution du phénomène inflammatoire et donc des symptômes de la sclérose en plaques (voire une guérison dans certains cas, qui sait). C'est pourquoi ce régime devrait bien mieux fonctionner et avoir bien moins d'éventuels effets secondaires (à court terme) lorsqu'on n'est pas déjà malade (ce que je fais personnellement, étant un séropositif asymptomatique [depuis plus de huit ans, maintenant]).

    Personnellement, dans une telle situation, je suivrais le traitement conventionnel mais j'en profiterais pour suivre en même temps ce régime, tout en prenant de solides antioxydants pour me protéger dans une certaine mesure contre les effets de la libération de l'acide arachidonique dans l'organisme (et aussi pour diminuer les effets secondaires du traitement conventionnel).

    Je ne peux cependant absolument pas garantir le succès de cette méthode vu que personne ne l'a apparemment suivie en matière de sclérose en plaque (et pour cause, sur le court terme, ce régime devrait logiquement provoquer une aggravation des symptômes; il faut donc avoir une sacrée dose de courage et être convaincu par les arguments développés pour se lancer dans un tel régime). Mais cela semble logique vu qu'un métabolisme à base d'acide arachidonique (cf le topic sur les acides gras saturés) constitue d'ores et déjà un bien mauvais "background" décuplant de manière exponentielle le risque de survenance, la gravité, la durée et le pronostic de la plupart des maladies, dont entre autres la sclérose en plaques (et le sida bien sûr), comme signalé dans l'article cité ci-dessus.

  5. Et encore une dernière, en cherchant des choses sur l’acide arachidonique (dont je ne comprends toujours pas vraiment le problème/nocivité, c'est l'oxidation ?)

    Comme expliqué dans le topic consacré aux acides gras saturés, l'acide arachidonique et les très nombreux métabolites et autres prostaglandines produits par l'acide arachidonique sont impliqués et souvent en relation directement causale avec bon nombre des principales maladies de notre temps : cancer, maladies cardiaques, etc.. et comme tu le signales, la sclérose en plaque.

    Bref, il vaut mieux s'en passer (d'autant plus que son caractère indispensable n'a jamais été prouvé, quoique en dise l'auteur de l'article que tu as cité) et adopter une alimentation qui ne favorise pas la production par l'organisme de l'acide arachidonique.

    A cet égard, j'invite absolument personne à suivre les conseils prodigués dans cet article car suivre les conseils, c'est l'assurance d'avoir encore plus d'acide arachidonique dans l'organisme. A commencer par ce conseil complètement stupide de consommer des huiles végétales (autres que l'huile de noix de coco), qui certes ne comporte pas une once d'acide arachidonique mais contient en revanche des "hectolitres" d'oméga 6 (parfois plus de 70% de l'huile en question), qui non seulement vont favoriser encore plus le phénomène d'oxidation dans l'organisme mais surtout à partir desquels l'organisme va produire lui-même des "hectolitres" d'acides arachidonique dans l'organisme.

    Quant à son conseil d'éviter la viande, les oeufs, ... bref, les produits animaux, excusez moi, mais c'est également un conseil complètement stupide. L'acide arachidonique se trouve uniquement dans les produits animaux mais il y en a extrêmement peu.

    Prenez l'exemple du steak bien gras : voyez la composition chimique ici.

    Que constatons nous ?

    Pour 100 grammes de steak, il y a à peine et en moyenne 0,69 grammes d'acides gras polyinsaturés dont à peine 0,06grammes (pour ceux qui n'ont pas compris : il y a peine 6/100èmes d'un gramme) d'acide arachidonique (code 20:4) ! Ce n'est vraiment pas en mangeant des produits animaux (plutôt connus pour leur richesse en acides gras saturés que pour leur richesse en acides gras polyinsaturés) que l'on risque la surdose d'acide arachidonique.

    En revanche, le lecteur qui suivra les "conseils" prodigués dans cet article et qui consommera par exemple une cuillère à soupe (+/-15 grammes) de je ne sais quelle "bonne" huile végétale, aura en bouche facilement entre 3 à 10 grammes d'oméga 6 (la quantité dépend des huiles utilisées) dont une bonne partie sera transformée en acide arachidonique par l'organisme lui-même : on imagine aisément que la quantité d'acide arachidonique ainsi produite sera largement supérieure au 6/100èmes d'un gramme du steak de boeuf mentionné ci-dessous !

    Quand j'aurai le temps, je reviendrai sur l'article cité par "brume de l'abro" mais dans le cadre du topic consacré aux acides gras saturés, entre autres pour y apporter quelques nuances (si je ne condamne certainement pas la consommation de viande, personnellement je n'en consomme pas trop, non en ordre principal parce qu'il y aurait un problème d'acide arachidonique mais bien à cause du problème du cholestérol oxydé; par ailleurs, je ne consomme plus de la viande de porc, celle-ci étant devenue - sous la pression du lobby anti-cholestérol - de plus en plus polyinsaturée [contrairement à la viande de boeuf] et donc bien plus riche en acide arachidonique [j'évite dès lors de consommer de la charcuterie, étant justement et essentiellement de la viande de porc]).

    Finalement, cet article a pour seul mérite de souligner les dangers pour l'organisme de l'acide arachidonique (entre autres, l'apparition de la sclérose en plaque), chose déjà soulignée à de multiples reprises dans le topic des acides gras saturés. Mais pour le reste (le caractère prétendument essentiel de l'acide arachidonique, la nutrition à adopter, ...), cet article est extrêmement critiquable.

    PS : Il y a quand même des choses intéressantes dans cet article, comme le conseil de consommer de la vitamine D, vitamine bien connue pour sa nature à prévenir dans une certaine mesure les maladies auto-immunes (comme la sclérose en plaque).

  6. Un lien vers un récent article résumant les bienfaits de l'antioxydant universel acide alpha-lipoïque : http://www.nutranews.org/article.php3?id_r...&id_article=955

    Notez que les scientifiques ont maintenant pu crééer une forme extrêmement biodisponible d'acide alpha-lipoïque, dix à trente fois (!) encore plus biodisponible que l'acide R-alpha lipoïque (lui même déjà trois à quatre fois plus biodisponible que l'acide alpha lipoïque), à savoir le sodium R-lipoate.

    Personnellement, c'est dorénavant cette forme-là d'acide alpha lipoïque que j'utiliserai à l'avenir.

  7. Ci-dessous, deux liens anglais montrant les effets secondaires désastreux (dont au moins 18 décès) du (prétendu) vaccin contre le cancer du col de l'utérus :

    http://articles.mercola.com/sites/articles...-tea-works.aspx

    http://www.judicialwatch.org/documents/200...cineRecords.pdf

    Et ne perdons pas de vue qu'en moyenne à peine 1 à 1,5% des effets secondaires sont signalés (voir ce document : http://www.whale.to/vaccines/ploy1.html) !

  8. Une étude très intéressante datant de 2004 puisqu'elle démontre que l'huile de noix de coco extra vierge a généralement pour effet (et contrairement à ce qu'affirment les "experts" nutritionnistes) de diminuer le cholestérol total, le prétendu "mauvais" cholestérol (LDL) (mais est-il si mauvais que cela alors que plusieurs récentes études scientifiques ont montré que le "mauvais" cholestérol protège contre la maladie de Parkinson et alors que (et surtout) le seul cholestérol vraiment mauvais est le cholestérol oxydé ?), d'augmenter le bon cholestérol (HDL) et de prévenir l'oxidation du "mauvais" cholestérol "LDL".

    Donc, même pour le cholestérol, l'huile de noix de coco paraît également être la meilleure, d'autant plus qu'elle est de nature à prévenir l'oxidation du cholestérol (qui, elle, cause réellement les maladies cardio-vasculaires).

    Ceci étant, après avoir lu de nombreux articles anglais sur l'huile de noix de coco extra vierge ainsi que divers témoignages anglais, je suis arrivé à la conclusion que les effets sur le cholestérol, tels que résumé dans l'article ci-dessus, ne se produisent généralement que chez les personnes qui ont trop de cholestérol. En revanche, chez les personnes qui ont peu de cholestérol (ce qui est très mauvais pour la santé), l'huile extra vierge de noix de coco fait au contraire augmenter le cholestérol, le "mauvais" cholestérol LDL mais fait augmenter encore plus vite le bon cholestérol "HDL" en sorte que le rapport cholestérol total/HDl va en s'améliorant (et je peux personnellement en témoigner puisque cela fut mon cas [j'avais fort peu de cholestérol auparavant]).

    Bref, que du bon !

  9. On a déjà examiné dans le topic consacré aux acides gras saturés les bienfaits de l'huile de noix de coco, en particulier en raison de sa richesse en acides gras saturés à chaînes courtes et moyennes, de nature à protéger contre l'oxidation (et pour autant que l'alimentation soit pauvre en acides gras polyinsaturés, que ce soit les oméga 6 et 3).

    Il convient cependant de ne pas perdre de vue que l'huile de noix de coco extra vierge possède également de nombreuses propriétés antibactériennes et antivirales.

    Ainsi, cette récente étude de 2007 démontre-t-elle par exemple que l'huile de noix de coco est fort efficace contre plusieurs forme de candida, et plus particulièrement contre le candida albicans, en ce compris contre des formes de candida devenues résistantes aux "bons" antibiotiques.

    Dès lors que l'on sait que les maladies inaugurales du sida sont le plus souvent celles causées justement par le candida albicans (par exemple, la pneumocystose), la consommation d'huile de noix de coco extra vierge me paraît devoir se justifier encore plus.

  10. Personnellement, je ne connais vraiment pas grand chose à la sclérose en plaques.

    J'ai toutefois lu qu'il s'agit d'une maladie auto-immune. Je trouve cela intéressant car on peut dire la même chose du sida. Chez les séropositifs, une grande majorité des anticorps (qui, à partir d'une certain niveau, peuvent faire réagir positivement le test "VIH") ne sont rien d'autres que des auto-anticorps dirigés contre les propres protéines du séropositif (provenant de la décomposition des cellules exposées aux agents oxydants).

    Les personnes souffrant de scléroses en plaques ont également un très grand nombre d'auto-anticorps et comme cité ici, les maladies auto-immunes peuvent causer la positivité du test "VIH" :

    Autoimmune diseases: systemic lupus erythematous, scleroderma, connective tissue disease, dermatomyositis (Bylund et al 1992; Leo-Amador et al 1990; Pearlman & Ballas1994; Proffit & Yen-Lieberman 1993; Ranki et al 1992;  Schochetman & George 1992).

    Et comme je l'avais lu en son temps, tout comme en matière de sida, l'apparition des auto-anticorps dans les maladies auto-immunes, telles que la sclérose en plaques, peut précéder l'apparition de la maladie elle-même dix ou même vingt ans à l'avance.

    Peut-être ton ami ne fera-t-il jamais une maladie caractéristique du sida et peut-être que les anticorps qu'ils possèdent contre cette maladie n'ont-ils fait que provoquer accessoirement la positivité au test "VIH", du moins à l'époque où il fut diagnostiqué en tant que tel.

    Beaucoup de "peut-être", désolé, mais je ne connais vraiment pas grand chose à la sclérose en plaques, si ce n'est les observations ci-dessus.

  11. Une dépêche intéressante illustrant, s'il en était encore besoin, la faillite de la chimérique hypothèse rétrovirale du "sida" :

    La décision du laboratoire pharmaceutique suisse Roche de suspendre la recherche sur de nouveaux médicaments contre le sida est "désespérante pour les 33 millions de malades", estime mardi l'association Elus locaux contre le sida (ELCS).

    Tout en reconnaissant que la décision "relève naturellement du droit le plus strict d'une entreprise privée", l'association déplore une "annonce à la forme et au contenu désespérante pour les 33 millions de malades".

    "La direction de Roche rend publique son incapacité, dans les 5 ou 6 prochaines années, à trouver de meilleures thérapies", constate l'association. "De ce fait, si elle était suivie par les dirigeants des autres laboratoires impliqués dans la recherche sur le VIH, elle condamnerait les personnes séropositives à aller au bout de leurs traitements puis, en état d'échappement thérapeutique, à mourir, faute de nouvelles thérapies", poursuit ELCS.

    Jean-Luc Romero, président d'ELCS, "s'étonne qu'un groupe de chercheurs, dont le métier, par définition, est d'explorer toutes les voies et de ne jamais être sûr d'un résultat avant qu'il ait été cliniquement avéré, ait acquis la certitude absolue de ne rien trouver". Il rappelle que la plupart des grandes découvertes "ont été faites par hasard".

    Selon lui, la décision de Roche met en lumière "l'incapacité de la puissance publique et notamment l'Europe, aujourd'hui, à assumer son devoir à mener une recherche appliquée de haute qualité et à avoir une parole forte en matière de sida, ainsi que les limites de la délégation dans une telle matière".

    Encore une fois, nous sommes en pleine tragi-comédie !

  12. En 1998 il a passé un seul test Elisa et son médecin a jugé que c,était suffisant pour commencer la thérapie. Est-ce acceptable selon vous ?

    Absolument pas.

    Avant de commencer éventuellement (et je pense de plus en plus : sur le court terme) les traitements bizarrement appelés "antirétroviraux", j'aurais déjà attendu d'être réellement et gravement malade (d'une des maladies dites "spécifiques" du "sida"). Et avant d'arriver éventuellement à ce stade, j'aurais d'abord essayé les méthodes dites "alternatives" (mais qui me paraissent de plus en plus être les plus souhaitables), à savoir : probiotiques, antioxydants et régime le plus riche possible en acides gras saturés et le plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés.

    Mais je reconnais que si je n'avais pas connu la dissidence du sida, j'aurais forcément fait comme lui et je serais devenu une autre victime de la chimérique hypothèse rétrovirale.

    Pour le surplus, bienvenu sur le forum. Tu constateras qu'il y a déjà ENORMEMENT à lire et qu'il a déjà été répondu à bon nombre de questions.

  13. Je voyais ceci d'ailleurs cette page, peut être qu'on peut prendre ça à l'occasion, pendant quelques semaines par exemple, pour alterner. S'il faut les croire, cette formule permet l'absorption du glutathion.

    J'en ai pris aussi pendant deux, trois mois, mais j'ai arrêté. J'ai franchement plus confiance en la NAC, vitamine C, R-lipoic acid et le siliphos car il y a des dizaines (si pas de centaines) d'études qui ont montré qu'ils font augmenter le glutathion; par ailleurs, leurs bienfaits sont bien plus larges que le glutathion. Et franchement, je trouve ces chewing-gums fort chers !

    Puis les articles de Raypeat. Je lui ai envoyé un mail demandant s'il pouvait m'indiquer des études autres/plus récentes, mais il ne m'a jamais répondu

    A la fin de chacun de ces articles figure toujours une (très) longue liste de références.

    Pour des références plus récentes, examine par exemple ce forum, sur lequel tu peux d'ailleurs intervenir (après inscription).

  14. 1 - 300 mg/jour d'acide alpha lipoïque en 2 prises

    2 - 450 mg/jour de silymarine en 3 prises

    Juste deux petites précisions.

    Au sujet de l'acide alpha lipoïque, il vaut surtout mieux qu'il prenne cette forme-ci : R-Lipoic Acid : 300 mg par jour (pendant les repas, de préférence) comme il le fait déjà maintenant, et si cela va mieux ensuite, il pourrait certainement réduire à 200 mg par jour (c'est ma dose actuelle).

    Quant à la silymarine, il faut mieux éviter celle que l'on trouve partout et dont l'efficacité laisse à désirer, et prendre au contraire plutôt cette forme-ci, où de nombreuses études scientifiques ont montré sa très nette supériorité et efficacité sur les formes habituelles de silymarine : le SILIPHOS. Une précision essentielle : lorsqu'on examine ces études, on constate qu'il faut en prendre au moins 6 par jour (et c'est un minimum), et non 3 comme précisé dans le site "supersmart", pour une réelle (et très grande) efficacité, la meilleure dose étant 9 par jour. Mais vu tous les antioxidants qu'il prend déjà, 6 par jour me semble amplement suffisant.

    Il va de soi que tout cela est provisoire et les doses d'antioxydants devront être diminuées avec le temps (trop d'antioxidants, pendant trop d'années pourrait causer pas mal d'effets secondaires, du moins après de nombreuses années d'utilisation), dès lors qu'il va mieux (et peut se passer de traitements dits "antirétroviraux"). En revanche, le régime que je préconise (et qui à long terme rend inutile l'emploi d'antioxydants à haute dose) devrait être suivi jusqu'à la fin de sa vie, et je prendrais certainement toujours autant de probiotiques, toujours jusqu'à la fin de la vie.

  15. 1 - 300 mg/jour d'acide alpha lipoïque en 2 prises

    2 - 450 mg/jour de silymarine en 3 prises

    3 - 200 mcg/jour de sélénium en 2 prises

    4 - NAC 1500 - 2000 mg / jour

    4 - complexe vitamines B.

    6 - probiotiques

    7 - vit C à 4500 - 6000 mg/ en 3 prises

    Franchement, s'il prend réellement tout cela, je lui conseillerais quand même fortement de penser à réduire progressivement les traitements "antirétroviraux" qu'il prendrait encore, et de voir ce que cela donne.

    Quant au complexe de vitamines B, plutôt que de prendre un "simple" complexe de vitamines B, je lui suggérerais très vivement de prendre un complexe de vitamines comme celui-ci (que je prends moi-même également depuis 3 ans, à raison de 3 par jour) : il aura non seulement les précieuses vitamines B mais également de nombreux autres vitamines et antioxidants à un prix relativement raisonnable.

    et je le gave de produits à base de noix de coco en espérant que l'acide laurique, même à mini-dose, fasse un peu contrepoids aux autres huiles, car cette histoire d'acides gras saturés / (poly-)insaturés que j'ai découverte ici, donne sacrément à refléchir, et il en consomme des quantités quasi industrielles.

    Alors là, si effectivement il consomme assez bien d'acides gras polyinsaturés, en particulier les huiles riches en oméga 6 ou 3, je l'invite très fortement à éviter à tout le moins et définitivement toutes ces huiles, mêmes extra vierges (cela ne change rien au fait que ces huiles, même extra vierges, vont rapidement s'oxyder dans l'organisme), à défaut de pouvoir (je l'espère provisoirement) adoper une alimentation qui évite également des aliments comportant des huiles végétales comme ingrédients ou des acides gras polyinsaturés en général et en assez grand nombre (personnellement, je suis maintenant ce régime depuis un an et quoique ayant bientôt 40 ans, je ne me suis jamais senti aussi bien, pas même quand j'avais 20 ans; par ailleurs, je ne suis JAMAIS (!) malade (pas même un simple rhume) et je ne fais absolument pas mon âge (on me donne plutôt 28-29 ans), ce qui s'explique aisément avec un tel régime (les acides gras polyinsaturés accélèrent le phénomène d'oxidation et, partant, le vieillissement, alors que les acides gras saturés, en particulier à chaînes courtes et moyennes, freinent ce phénomène). Pour rappel, la meilleure huile (sur le plan nutritionnel) est l'huile de noix de coco extra vierge, mais pour les salades par exemple, l'huile d'olive extra vierge est acceptable également. Sinon à part ces deux huiles, aucune autre ne mérite grâce à mes yeux (excepté peut-être l'huile de palme en tant qu'ingrédient d'autres aliments, ce qui est acceptable).

    Enfin, si cela peut le motiver, tous les témoignages que j'ai lus (par exemple sur ce forum ou encore sur ce site) sont unanimes pour affirmer que la consommation d'huile de noix de coco extra vierge (à raison d'au moins 4 cuillères à soupe par jour; personnellement, j'en consomme maintenant +/-8 cuillères à soupe par jour et j'ai déjà perdu pas mal de kilos vu qu'avec autant d'acides gras saturés (en ce compris fromage et beurre au lait cru), on éprouve vite une sensation de satiété et on mange bien moins) fait baisser de façon spectaculaire et après à peine quelques mois la charge dite "virale".

    Il va cependant de soi que pour un maximum d'efficacité, il faudrait en plus suivre le régime que je préconise. Vu qu'il prend pas mal d'antioxydants, à sa place, je me lancerais dans un tel régime (et je réduirais progressivement quoique assez rapidement la dose quotidienne de traitements dits "antirétroviraux") car les antioxidants le protégeront contre les effets secondaires à court et moyen terme d'un tel régime (libération de l'acide arachidonique dans l'organisme).

    Je ne peux évidemment pas garantir que cela marchera avec lui, d'autant plus qu'il a dû recourir aux traitements antirétroviraux, mais franchement, si je voulais mettre toutes les chances de mon côté, c'est ainsi que je ferais (avec bien sûr, des doses "astronomiques" de probiotiques comme celui-ci [j'en prends deux par jour]).

    Tiens nous informés.

    PS : Quoique cela soit effectivement coûteux, une mesure (assez régulière dans le temps, du moins dans le début) du glutathion me paraît nécessaire vu que les T4 et la charge dite "virale" ne constituent pas de bon marqueurs de l'évolution vers le stade "sida".

    PS : S'il consomme effectivement autant d'huile de noix de coco extra vierge (comportant beaucoup de calories mais immédiatement utilisées par l'organisme contrairment aux autres acides gras), je lui conseille de réduire sa consommation générale de calories, de préférence en commençant par les aliments riches en acides gras polyinsaturés, s'il souhaite prévenir le risque de grossir (un peu).

  16. Options trouvées sur le site:

    Base du TT :

    1 - 600 mg/jour d'acide alpha lipoïque en 2 prises

    2 - 900 mg/jour de silymarine en 3 prises

    3 - 400mcg/jour de sélénium en 2 prises

    4 - et complexe vitamines B.

    Et les options de wallypat

    5 - antioxydants

    6 - probiotiques

    7 - régime pauvre en acides gras (poly)insaturées et riche en acides gras.

    Personne n’étant médecin sur ce forum, il va de soi que l’on ne peut donner de réponses précises, d’autant plus que l’écrasante majorité (si pas la totalité) des recherches scientifiques en matière de traitement ne porte que sur les traitements « antirétroviraux ».

    Si ton ami entend continuer les traitements antirétroviraux, je ne proposerai pas ma solution ; celle-ci est vraiment radicale et me paraît se concilier très mal avec la prise concomitante (et surtout durable) de traitements « antirétroviraux ».

    Quant à la première option, celle-ci concerne surtout un traitement alternatif à l’hépatite C. Mais en divisant les doses par deux, cela devrait également être très bon en matière de séropositivité, surtout pour tenter de contrecarrer une partie des effets secondaires des traitements antirétroviraux. Au surplus, un grand nombre de ceux-ci ont pour effet de causer sur le long terme une baisse du glutathion, en sorte qu’il n’y a rien d’étonnant que sur le moyen terme, une majorité des séropositifs sous traitements « antirétroviraux » soit obligée de demander une modification de leur « cocktail thérapeutique », sous peine d’arriver au stade « sida » malgré (ou bien souvent « à cause » de leurs traitements). Dès lors, si un séropositif entend malgré tout poursuivre de tels traitements, sa façon d’agir devrait consister à tenter de minimiser les (parfois très graves) effets secondaires de tels traitements. L’option 1 (divisée par deux) y aidera certainement car protégeant le foie (or la majorité des séropositifs sous traitements « antirétroviraux » meurt en raison de maladies hépatiques). Mais afin de tenter de maintenir le niveau de glutathion (qui est en réalité le seul marqueur scientifiquement avéré et efficace de l’évolution vers le « sida », contrairement aux T4 et à la prétendue « charge virale »), il me paraît absolument impératif de prendre également de bons probiotiques mais aussi de la N-acétylcystéine (par exemple 1.500-2.000 mg) et une dose triple de vitamines C (par exemple 4.500-6.000 mg).

    Ce topic illustre également le témoignage d’un séropositif sous traitements et précise les compléments alimentaires qu’il prenait pour ne plus quasiment souffrir des effets secondaires de ces traitements. Lors de ces derniers messages, il commençait également à obtenir de bons résultats en réduisant progressivement ses doses de traitements « antirétroviraux ».

    Ceci étant, pour ce qui me concerne, les traitements « antirétroviraux » ne doivent être prises que sur le court terme et il faut absolument les éviter tant que possible, certainement sur le moyen et le long terme.

    Comme rappelé dans ce petit résumé, il a encore été démontré en 2006 que les traitements « antirétroviraux » n’ont pas pour effet de réduire la mortalité des séropositifs mais bien de promouvoir le « sida » chez ceux les prenant ! Au surplus , en 2007, il a encore été rappelé que le taux de mortalité chez les séropositifs sans traitement était de 1-2% par an tandis qu’il était chez les séropositifs sous traitements antirétroviraux de … 7-9% ! Je pense que c’est assez éloquent comme cela.

    La dernière fois j'ai de nouveau essayé avec du "glutathion" et "bilan antioxydant", et il a rigolé, et dit que ça ne rentre pas dans la médecine officielle française.

    Cela ne m’étonne pas. La plupart des « experts » ès « VIH » ne connaisse pas la littérature scientifique autre que celle des traitements bizarrement appelés « antirétroviraux ».

  17. Pourquoi seulement "certains" séropositifs peuvent arrêter les antirétroviraux ? Sous quels critères ?

    Les critères ? Et bien, il faudra encore des années et des années d’études, à supposer qu’elles se réalisent un jour et qu’on arrive à les déterminer. Si les effets secondaires, parfois mortelles à court et moyen terme, et les effets toujours toxiques à long terme des drogues « antirétrovirales » varient en fonction de chaque individu (dixit mon ancien « docteur » ès « VIH »), les conséquences de l’arrêt de ces drogues varient également au cas par cas (cf entre autres les témoignages sur ce forum même).

    Peux-tu me dire également pour quelles raisons ces drogues dites "antirétrovirales" fonctionnent (augmentation des CD4, diminution de la CV) alors qu'il n'y a pas de virus ?

    Je t’invite à lire la fin de la synthèse collective relative aux « Traitements », et dont Cheminot a d’ailleurs cité l’un de ses propres articles.

  18. quoi qu'il en soit apres un mois d'oligo-element, zinc, selenium, cuivre

    vitamines C,E probiotiques et autres.....

    je retouve un bilan, t4 500, cv 3000 copies

    Bravo ! Voilà qui est très encourageant. Cela paraît confirmer qu'il est possible pour certains (du moins) séropositifs d'arrêter les drogues dites "antirétrovirales" et de se porter bien, tout en ayant de bons "marqueurs", du moins en faisant préalablement un bon bilan du statut oxydant.

    Encore bravo et tiens nous informés ultérieurement de l'évolution de ta santé.

  19. Une dépêche anglaise intéressante du 4 octobre 2007, révélant qu'il existe un nombre fort élevé de bébés et d'enfants séropositifs ... alors que leurs mères respectives ne le sont pas !

    Evidemment, pour faire tenir l'hypothèse rétrovirale du sida, il est alors déclaré par les "experts" ès "VIH" que les enfants en question ont été "contaminés" par le "VIH" (pourtant considéré comme un rétrovirus extrêmement délicat et fragile, à ce point délicat d'ailleurs qu'il est - "bizarrement" - détruit [voilà qui est bien commode pour l'orthodoxie du sida !] lorsqu'on tente de le voir chez le moindre sidéen, même ayant une charge dite "virale" astronomique ) lors de leur passage à l'hôpital !

    En revanche, si l'on considère, comme nous, la séropositivité comme étant un phénomène découlant d'un déséquilibre oxydo-réducteur et pouvant être passager (cf les cas de séroréversion), il n'est nul besoin de se creuser les méninges pour l'expliquer, comme le fait l'orthodoxie du sida, trop soucieuse de devoir respecter un dogme coûte que coûte. 5-tss.gif

  20. Une dépêche intéressante :

    L'anti-inflammatoire Célébrex pour traiter l'arthrite pourrait peut-être, à doses élevées, empécher le développement du cancer du poumon chez des fumeurs, selon une étude préliminaire publiée dimanche.

    Le Célébrex (celecoxib) paraît réduire les niveaux d'un bio-marqueur qui est un indicateur de risque de développer ce cancer, le plus fréquent et aussi le plus meutrier dans le monde.

    Le Célébrex du laboratoire américain Pfizer agit en bloquant l'enzyme dite COX-2 responsable de l'inflammation dont des études ont établi des liens avec l'apparition d'un cancer.

    Pourquoi est-ce intéressant ?

    Parce qu’il s’agit d’un exemple parmi des milliers d’autres illustrant comment la « recherche » est actuellement menée en matière de (tentative ou prévention de) maladie.

    En effet, pour tenter de prévenir le cancer du poumon, il est proposé d’utiliser le Célébrex qui a pour effet de diminuer le phénomène inflammatoire en bloquant la COX-2, directement liée à l’aggravation et même au développement du cancer du poumon.

    Ce que cet article ne précise malheureusement pas, c’est que la COX-2 est l’une des innombrables molécules inflammatoires très dangereuses produites à partir de (devinez !) … l’acide arachidonique ! Et l’une des voies de « recherches » actuelles dans la plupart des maladies de notre temps consiste en fait à inhiber le développement de ces multiples molécules inflammatoires.

    Ceci étant précisé, les lecteurs qui auront lu ce topic depuis le début auront compris depuis bien longtemps que plutôt que de tenter de guérir le mal (les dangereuses et surtout instables molécules inflammatoires produites à partir des acides gras polyinsaturés oméga 6 et 3), le plus simple et surtout le bien moins dangereux pour l’organisme (ces molécules anti-inflammatoires sont toutes extrêmement dangereuses pour l’organisme, et parfois tout simplement mortelles) est plutôt d’adopter un régime le plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés (et donc également en acide arachidonique) et le plus riche possible en acides gras saturés, les premiers donnant naissance en présence d’agents stressants quelconques (comme le tabac par exemple mais cela peut être des tas d’autres éléments, en ce compris une bactérie ou un virus) à de très nuisibles et instables molécules inflammatoires, ce qui n’est justement pas le cas des seconds, soit les acides gras saturés.

    Loin de moi l’idée de promouvoir la consommation de tabac, mais il convient de rappeler par exemple au lecteur qu’au cours des années 20 et 30, à peu près 80% des hommes états-uniens fumaient des cigarettes, au surplus bien plus nocives et toxiques qu’elles ne l’étaient dans les années 80, et pourtant, le cancer du poumon (et les cancers en général d’ailleurs) était une maladie extrêmement rare.

    Pourtant, dans les années 80, à peine 30% des hommes états-uniens fumaient mais entre-temps, les cas de cancer du poumon avaient été multipliés par plus de 50-100 si on compare avec les 80% d’hommes états-uniens qui fumaient dans les années 20 et 30 (désolé de ne plus pouvoir retrouver une source pour cette information, je l’avais simplement retenu en son temps).

    Que s’est-il donc passé entre les années 20 et les années 80 (et d’ailleurs jusqu’à nos jours) ? Et bien, on s’est mis à consommer moins d’acides gras saturés (à tort diabolisés car causant une hausse du cholestérol, supposé – également à tort – causer des maladies cardiovasculaires) et énormément plus d’acides gras polyinsaturés, en particulier les prétendues « bonnes » huiles végétales (faisant baisser le cholestérol dans une certaine mesure, ce que font d’ailleurs aussi la plupart des produits toxiques à l’organisme [comme le sont justement ces huiles végétales]), que l’on retrouve non seulement en bouteille mais également comme prétendu bon « ingrédient » dans bon nombre d’aliments de tous les jours.

    En conclusion, affirmer que le tabac cause le cancer du poumon constitue assurément une affirmation par trop réductrice et même, osons le dire, fausse. Disons plutôt que le tabac constitue un agent stressant pour l’organisme (et donc à éviter en tout état de cause) mais en présence d’un organisme nourri d’acides gras polyinsaturés (au lieu d’acides gras saturés), cet agent stressant pour l’organisme qu’est le tabac sera éminemment plus de nature à produire des phénomènes inflammatoires qui pourront ensuite aboutir, entre autres, au développement du cancer du poumon. D’où l’épidémie actuelle de cancer de poumon, lors que l’on compare avec la situation qui prévalait en début du siècle dernier !

    Et d'où également, la prétendue épidémie actuelle de "sida" !

×
×
  • Créer...