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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Toutes ces citations ne prouvent qu'une seule chose en définitive (et cela, je ne le conteste pas et ne l'ai d'ailleurs jamais contesté), à savoir que sur base de modèles théoriques du "VIH", la science dispose de techniques suffisantes pour répliquer et même produire des hectolitres de ce que l'orthodoxie du sida considère comme étant du "VIH" (mais à tort, faute d'avoir pu l'isoler). Mais les faits sont pourtant extrêmement clairs : A ce jour, il n'est toujours pas prouvé que le VIH est infectieux parce que l'orthodoxie du sida n'a toujours pas été en mesure de publier des photographies au microscope électronique de particules non mélangées à des cellules et dont il est prouvé qu'elles ne sont pas produites par les techniques elles-mêmes de culture, ayant les dimensions des particules rétrovirales et pourvues de piques et protubérances, c'est-à-dire de la gp120, sans lesquelles justement le VIH ne peut infecter une cellule. Donc, pas de gp120, et bien, désolé, pas de possibilité d'infection du VIH. Et ce n'est pas moi qui le dis, mais l'orthodoxie du sida elle-même.
  2. Si je puis me permettre, répondre à cette question présuppose déjà l'existence du VIH, du moins en tant que rétrovirus humain exogène. Or une telle preuve n'existe toujours pas à ce jour (ni d'ailleurs que ce soit un rétrovirus endogène). Donc, le "VIH" n'est pas infectieux. En revanche, je veux bien admettre que ce qui est considéré comme du VIH par l'orthodoxie du sida peut être infectieux. Mais on n'a toujours pas la preuve que c'est bien du VIH en tant que rétrovirus humain exogène. Au mieux s'agira-t-il d'un rétrovirus endogène infectieux, mais cela (soit "rétrovirus" + "endogène") reste à prouver . Et à supposer que l'orthodoxie du sida le prouve un jour, et bien, elle prouvera par la même occasion que le "VIH" n'est pas la cause du sida (et je rejoins donc ton opinion finale) puisque 1) par définition (et sauf erreur de ma part), un rétrovirus endogène ne peut que se transmettre verticalement, c''est-à-dire de parents à enfants, et 2) l'orthodoxie du sida admet que les rétrovirus endogènes n'ont aucune rôle pathologique, en tout cas dans le sida. Ce serait donc (à nouveau) la fin définitive du sida viral puisque dans ce mythe, le "VIH" est censé se transmettre tout particulièrement horizontalement, en particulier à l'occasion des rapports sexuels.
  3. Comme je me rends compte que je ne pourrai pas modifier d'un seul coup la totalité du sommaire, à moins de disposer de 48 heures d'affilée (lol), je vais déjà commencer à établir ci-dessous et progressivement le nouveau projet de sommaire, en allant grosso modo du début vers la fin. Quand j'estimerai l'avoir fini, je ferai un post dans ce même topic pour le confirmer, étant entendu que par la suite, il écherra de le compléter par de nouveaux et anciens posts (puisqu'il est régulièrement mis à jour). Ceci étant, je me demandais où il faudra le placer quand ce sera terminé. Au début de chacune des deux moitiés du topic "Le VIH ne causerait pas le sida ?". Mais la première partie est devenue un topic fermé. En outre et peut-être surtout, ce projet de nouveau sommaire fait entre autres référence à de nombreux liens renvoyant à des posts (ou même des topics) placés en dehors de ce topic-là. Peut-être vaudrait-il mieux le placer sur une partie de la page d'accueil de ce forum, ce qui le mettra d'ailleurs en meilleure évidence ? Ce n'était juste qu'une suggestion. Peut-être y en aura-t-il d'autres. SOMMAIRE DU TOPIC UNIQUE SUR LE SIDA (mis à jour en permanence) PREALABLE Vous trouverez dans ce topic de nombreuses informations apportant des éléments de réponse à la question : "Le VIH est-il vraiment la cause du SIDA ?" Nous avons tenté de réaliser une sorte de synthèse de ce qui a été dit tout au long de ce topic et de ce forum. Pour celles et ceux qui découvriraient la dissidence du sida à la lecture de ces mots, ou ceux qui ne comprennent pas (encore) pourquoi certains scientifiques remettent en cause la théorie officielle, nous vous invitons avec insistance à lire, avant d'aller plus loin, les Réponses aux questions du Président Mbeki et la Réfutation de la Déclaration de Durban. CHAPITRE I : POUR COMMENCER EN DOUCEUR: L'ORTHODOXIE DU SIDA ET LA DIFFICULTE DE REMETTRE EN CAUSE UN DOGME Sida : Le danger d'en avoir fait une école, par Viduité Pourquoi est-il si difficle de se remettre en question ?, par Pikpikandré Le fonctionnement du corps médical, par Baroudeur 2005 CHAPITRE II : SE POSER LES BONNES QUESTIONS VIH / SIDA, 10 questions restées sans réponses Le VIH est-il la cause du SIDA ? ( Présentation en images de Cheminot) Petite introduction récapitulative, par PikpikandréCHAPITRE III : LE "VIH" N'A, A CE JOUR, JAMAIS ETE ISOLE EN TANT QUE RETROVIRUS EXOGENE ET PATHOGENE A) LA SOI-DISANT DETECTION DIRECTE DU VIH (OU LA CONSTATATION DU NON-RESPECT DES POSTULATS DE KOCH) 1) Aucun des trois postulats de Koch n'est rempli et jusqu'à ce jour, on n'a encore jamais pu isoler le VIH directement à partir d'un échantillon du sang d'un malade, même ayant une charge dite "virale" extrêmement élevée. a) En résumé, que signifie "isoler" ? b) Très bref développement du premier postulat de Koch c) Développement du deuxième postulat de Koch : L'isolation implique obligatoirement et nécessairement la purification.Et voici la seule méthode correcte et scientifique d'isolation et de purification d'un rétrovirus, laquelle implique en outre l'existence d'une ou même plusieurs cultures de contrôle. Le bourgeonnement n'est pas l'apanage des seuls rétrovirus et, à supposer même qu'il soit un jour prouvé que le VIH existe (mais cela reste encore à démontrer justement), il est plus que probable que celui-ci soit alors un rétrovirus endogène produit par les conditions de culture du "VIH" ou le stress oxydatif dont souffre la personne séropositive. d) Développement du troisième postulat de Koch (lisez plus spécialement "La réfutation du premier argument de Candide") e) Que montrent finalement les photos du VIH ? Tantôt des coupes ultrafines de particules cellulaires (pp.34-35), tantôt de somptueuses images informatiques de ce que devrait être l'hypothétique VIH. f) Que penser des soi-disant "clones infectueux du VIH" ? 2) Les protéines du VIH ne sont en aucune façon spécifiques à celui-ci, en ce compris la tristement célèbre protéine P24. 3) Le génome du VIH n'est jamais identique entre deux individus différents, peut varier jusqu'à même plus de 40% entre deux individus différents, et en raison même de ces différentes incongruités, constitue plus que vraisemblablement une partie du génome humain, un morceau d'ARN humain muté par l'effet de différentes sources de stress oxydatif agissant forcément d'une façon et avec une intensité différentes chez chaque séropositif. 4) Applications pratiques Récompense de £10000 (env. 15000 euros) pour celui qui parviendrait à prendre une photographie du virus VIH dans le sang d'un séropositif, et non dans une culture (entre-temps devenue visiblement une récompense de 100.000 $ !) Débat contradictoire avec Cardel (pp.23 à 27). Les photographies au microscope électronique publiées début 2006 ne sont toujours pas la preuve de l'existence du VIH, en particulier faute d'une culture de contrôle. B) LES SOI-DISANT TECHNIQUES DE DETECTION INDIRECTE DU VIH 1) Les tests dits "HIV" a) Ce sont des tests avec seuil, en outre arbitrairement défini : quoique dans les deux cas, vous soyez porteur d'un certain nombre de protéines dites "spécifiques" du VIH, si ce nombre est inférieur à ce seuil, vous serez considéré comme séronégatif et "donc" non porteur du VIH; en revanche, si ce nombre est supérieur au seuil, vous serez considéré comme séropositif et "donc" porteur du virus. Cela est clairement établi dans les documents officiels. Sans ce seuil arbitrairement défini, nous serions TOUS séropositifs ! b) Les tests dits "HIV" ne sont JAMAIS le signe d'une infection au VIH, mais constitue en revanche une mesure (parmi d'autres) du stress oxydatif subi par le séropositif, en ce sens qu'ils mesurent le taux anormalement élevé de certaines protéines. c) Liste de 70 facteurs scientifiquement reconnus comme pouvant rendre un test dit "HIV" positif. d) Différences fondamentales entre le test Elisa et le test Western Blot. e) Eprouver les tests de dépistage du SIDA, expériences à mener... f) Applications pratiques : Les (vraies) MST ne facilitent pas la (pseudo) transmission sexuelle du (pseudo) "HIV"; au contraire, elles sont de nature à rendre par elles-mêmes positifs les tests dits "HIV". La vaccination en Afrique. Plus de 60 à 70% des sidéens africains sont séronégatifs; quant aux (autres) 30 à 40% réellement positifs aux tests dits "HIV", leur séropositivité peut parfaitement s'expliquer par des facteurs rendant le bien virtuel "HIV" parfaitement inutile. De quoi meurent ces femmes-là ? En deux mots : Il n'est toujours pas prouvé jusqu'à ce jour que l'ARN obtenue par la technique de la charge virale provient bien du "génome" du "VIH". Une toute petite synthèse. Pour aller plus loin sur certains aspects, et notamment la technique du PCR, laquelle technique n'a de toute façon aucune spécificité et sensibilité en matière de sida. C) QU'EST CE QUE LE VIH FINALEMENT ? SUR QUOI TRAVAILLE l'ORTHODOXIE DU SIDA ? EN REALITE, LE SIDA CAUSE LE VIH, ET NON l'INVERSE ! D) ET SI LES (RETRO)VIRUS N'EXISTAIENT PAS ? (pour ceux qui veulent - très fortement - élargir le débat) CHAPITRE IV : LE SIDA EST UN SYNDROME TOXIQUE ET NUTRITIONNEL, MANIFESTEMENT CAUSE PAR LE STRESS OXYDATIF, soit la conjonction de facteurs de STRESS CHIMIQUE (drogues récréationnelles [poppers, viagra, cocaïne, ...], AZT, certaines autres drogues dites "antivirales" et abus de consommation de certains antibiotiques particuliers [étant ceux à base d'oxydants azotés : Bactrim,chloramphénicol, .....]) et de STRESS NUTRITIONNEL (le "sida africain" par excellence), le tout aggravé par des facteurs de STRESS PSYCHOLOGIQUE (effet nocebo) A) LE STRESS OXYDATIF EST UN FAIT SCIENTIFIQUE CONFIRME PAR DES CENTAINES D'ETUDES SCIENTIFIQUES, EN CE COMPRIS PAR L'ORTHODOXIE DU SIDA ELLE-MEME. B) GENERALITES Explications détaillées du stress oxydatif d'un point de vue général (+ un exercice physique intense, mal pratiqué ou mal géré, est une source importante de stress oxydatif et de consommation de glutathion). Explications détaillées du stress oxydatif d'un point de vue chimique : les mécanismes biochimiques du stress oxydatif et les mécanismes biochimiques pour s'en défendre, parfois imparfaitement. Il y a trois formes principales de stress oxydatif, le sida étant quasi-principalement causé par celle résultant des espèces activées de l'azote, soit les oxydants azotés. Toutes les hypothèses "sérieuses" proposées comme causes du sida par les scientifiques dissidents peuvent être expliquées par le stress oxydatif; celui-ci est leur point commun et confère donc au sida une explication essentiellement chimique et non virale.C) LE STRESS OXYDATIF COMME CAUSE DU SIDA 1) L'hyperstimulation des cellules immunitaires productrices de monoxyde d'azote (lisez plus particulièrement le début de ce post, soit les différentes considérations relatives au monoxyde d'azote). 2) Explication équivalente fournie par Cheminot. 3) Cette explication est admise du bout des lèvres par l'orthodoxie du sida (entre autres, par le professeur Luc Montagnier lui-même), mais celle-ci confond allègrement cofacteur et cause du sida (lisez plus spécialement le point 5)). 4) Le stress oxydatif permet d'expliquer l'apparition et la multiplication des protéines et de l'ARN dites "spécifiques du VIH", et, partant, la séropositivité aux tests dits "HIV". 5) Pour encore mieux connaître la théorie du stress oxydatif comme cause du sida (hélas en anglais) 6) Applications pratiques générales : Pourquoi le VIH serait-il actuellement moins virulent qu'il y a 15 ans ? Le sida serait-il apparu en 1959 ? Qu'en est-il de la transmission par seringues "contaminées" ? (lisez la fin de ce post) D) CONSEQUENCES 1) La séropositivité est réversible et donc "guérissable", du moins si on ne s'y prend pas trop tard. "Un séropositif aurait guéri sans traitement" (Le Figaro, Le Parisien, La Croix...). Viduité ne serait-il pas redevenu séronégatif ?2) Le stress oxydatif provoque l'apoptose progressive (ou suicide programmé) des lymphocytes T4 et, par voie de conséquence, l'apparition des maladies caractéristiques du sida. C'est également admis par l'orthodoxie du sida, mais à mots couverts, tantôt à titre de cofacteur (lisez plus spécialement le point 5)), tantôt sous le prétexte fallacieux que le "VIH" stimulerait beaucoup trop le système immunitaire. Le sida est-il réellement un syndrome d'immunodéficience acquise, dans le cadre duquel le sidéen meurt d'une infection opportuniste ? Cela semble douteux vu que le sidéen ne meurt que d'infections "exotiques" bien particulières et survit à la plupart des autres infections virales, bactériennes ou microbiennes. Deux dissidents tentent d'en donner les raisons : Aixur et Wallypat. Nous attendons toujours une explication à ce sujet de la part de l'orthodoxie du sida. Si la diminution des lymphocytes T4 peut effectivement être le signe d'une progression vers le stade du sida déclaré, il serait hasardeux de penser qu'une telle diminution est systématiquement prédictive d'une telle évolution, en particulier si cette baisse n'est pas corrélée avec l'apparition d'infections dites "opportunistes" répétées et de plus en plus graves et que le séropositif n'a pas de raison de penser qu'il souffre encore de stress oxydatif. Dans cette dernière hypothèse, la baisse parfois très prononcée et durable des lymphocytes T4 peut être expliquée par de multiples facteurs, sans que cela conduise nécessairement au stade du sida déclaré : maladies, infections virales diverses, exercices physiques trop intensifs, mauvaise alimentation, stress psychologique intense et répété, .... Un dissident a tenté de résumer ces diverses raisons dans un post; ceci étant, en pratique, et à moins qu'il ait des raisons de penser qu'il ne souffre plus de stress oxydatif et qu'il ne souffre plus de maladies dites "opportunistes", la personne séropositive doit certainement continuer à faire mesurer ces lymphocytes T4. Le caractère relatif du marqueur de l'évolution vers le stade du sida déclaré que constituerait la baisse des lymphocytes T4 est également expliqué par le fait que les lymphocytes T4 mesurés ne sont que les lymphocytes T4 circulant dans le sang et ne représentant en réalité que 2 à 3% des lymphocytes T4 totaux de l'organisme, ce que confirme également le célèbre Stefan Lanka. En réalité, la mesure du taux de sélénium et de glutathion paraît être un bien meilleur marqueur de l'évolution vers le stade du sida déclaré que la seule mesure des lymphocytes T4. Appendice : Très bref résumé du fonctionnement global du système immunitaire. 3) La séropositivité n'étant pas sexuellement transmissible, le SIDA ne peut en aucune façon être une MST. a) Les taux officiels de la (bien hypothétique) transmission sexuelle de la séropositivité entre sérodiscordants (+ comparaison avec les statistiques de contamination par une VRAIE MST) et examen de ceux-ci (pp.30-33) b) Examen des deux seules études de grande ampleur consacrées à l'éventuelle transmission sexuelle de la séropositivité : L'étude "Padian" de 1990 où l'on constate que les facteurs de risque (à interpréter en fait comme étant les "causes") de séropositivité sont des sources bien connues de stress oxydatif : l'usage de drogues bien sûr, mais également la présence de MST et les rapports anaux réceptifs (dont par ailleurs l'effet immunodépresseur mais transitoire de l'administration rectale du sperme est également bien connu, fait apparaître les fameux anticorps dits du "VIH" et s'explique donc indépendamment de la circonstance "troublante" qu'on n'a jamais isolé de "VIH" dans le sperme d'un séropositif). Etude réalisée en Ouganda en 2003 : l'usage du préservatif entraîne effectivement la diminution de la fréquence des MST mais n'a au contraire aucune incidence sur la séropositivité.c) Réfutation de l'argument tiré de la circonstance qu'après un rapport dit "à risque", une personne devient séropositive, tout en devenant porteur du même "génome" du "VIH" que le (pseudo) contaminateur. d) Applications pratiques : Le safe sex a permis la diminution manifeste des cas de séropositivité. Pourquoi ? (lisez plus spécialement "La réfutation du deuxième argument de Candide") A supposer que la circoncision permette effectivement de diminuer les cas de séropositivité, ce qui est loin d'être une évidence dans les nations industrialisées, la théorie du stress oxydatif permet parfaitement de l'expliquer (lisez plus particulièrement le milieu du post).4) Qu'en est-il de la transmission de la séropositivité par le sang ? a) La transfusion de sang a par elle-même des propriétés immunodépressives. Par conséquent, les polytransfusés constituent naturellement un petit groupe à risque de séropositivité, sans qu'il soit nécessaire de faire intervenir le "VIH" pour l'expliquer. b) De même, s'injecter le sang d'un séropositif peut constituer un risque, quoique réduit, de séropositivité en raison de la transmission sanguine des protéines particulières produites par ce sang sous l'effet du stress oxydatif. c) Le chauffage du sang (qualifié à tort de "contaminé") a cependant permis de supprimer les propriétés alloimmunogènes et immunodépressives du sang. d) Applications pratiques : Le cas des hémophiles, lesquels n'ont jamais pu avoir été contaminés par le HIV (à supposer qu'il eût existé) via le facteur VIII. L'interprétation du geste du docteur Willner.5) Qu'en est-il de la transmission verticale de la séropositivité (transmission mère-enfant) ? En réalité, le nourrisson ne fait que recevoir les anticorps de sa mère durant sa vie foetale, lors de l'accouchement ou en se nourissant au sein, et remplacera progressivement ceux-ci par ses propres anticorps. Que penser plus particulièrement de l'allaitement ?(lisez le début de ce post) E) LES FACTEURS NUTRITIONNELS La malnutrition constitue une cause bien connue d'immunodéficience et de stress oxydatif, ce qui est admis par l'orthodoxie du sida (lisez plus particulièrement le point 5)). Nul besoin du soi-disant "VIH" pour l'expliquer. L'exemple par excellence est celui du "sida africain".F) LES FACTEURS PSYCHOLOGIQUES OU L'EFFET NOCEBO L'effet nocebo lié à l'annonce d'une séropositivité soi-disant causée par le mythique rétrovirus "HIV" et le stress psychologique intense et répété que cette croyance erronée induit ne peuvent qu'accéler l'évolution vers le stade du sida déclaré et, dans des cas extrêmes, causer à eux seuls le sida. Les considérations et preuves scientifiques de ces affirmations ont été reproduites au milieu de ce post-ci.CHAPITRE V : LES INTERPRETATIONS STATISTIQUES ET EPIDEMIOLOGIQUES PAR L'ORTHODOXIE DU SIDA, TANTÔT TRUQUEES, TANTÔT BIAISEES, TANTÔT INEXPLIQUEES - L'ARROGANCE DE L'ORTHODOXIE DU SIDA ET SON REFUS DE SE REMETTRE EN QUESTION A) Les interprétations statistiques et épidémiologiques 1) La confusion savamment entretenue par l'orthodoxie du sida entre la baisse des cas de sida déclaré, entamée dès 1993, et la baisse de la mortalité due au sida, laquelle intervient forcément plus tard, avec deux ou trois années de retard. A mettre en relation avec ces deux graphiques, d'où il ressort que si le "HIV" était vraiment la cause du sida, à nombre constant de "contaminations" et les autres paramètres éventuels restant inchangés, le nombre de cas de sida aurait également dû rester constant.2) Les statistiques bidon en Afrique. 3) Appendice : Parfois, un dissident va trop loin dans l'interprétation mais contrairement à l'orthodoxie du sida, il fait preuve de l'honnêteté de reconnaître son erreur d'interprétation. B) L'arrogance de l'orthodoxie du sida et le refus par celle-ci de se remettre en question 1) Quelques exemples (parmi tant d'autres) des nombreuses incohérences de la théorie virale du sida. 2) Une future maman, forcée - sans ménagement et sous la contrainte morale - d'accoucher par césariennen, au moment et dans les conditions imposées par l'orthodoxie du sida, et d'administrer de l'AZT à son bébé. 3) Echange de mails avec l'association Sida Info Service. 4) Les dissidents sont censurés et bannis des sites officiels de discussion du sida, sans que leurs critiques aient pu être réfutées par l'orthodoxie du sida. Sur doctissimo Sur sidaventure.net 5) Des articles sur un possible manque d'éthique du lobby pharmaceutique sont publiés dans Libération. Le lecteur trouvera la deuxième partie du projet de nouveau sommaire en cliquant ici.
  4. wallypat

    Oxyde nitrique

    Concernant le viagra, il n'y a visiblement plus de doute à ce sujet. Cheminot l'a rappelé récemment dans ce post-ci. Et effectivement, l'oxyde nitrique est utilisé dans certains médicaments. Cheminot l'a rappelé également récemment dans ce post-ci. Donc, effectivement, certains médicaments peuvent - à la longue - contribuer à la séropositivité. Lis peut-être déjà la liste des médicaments cités dans ce deuxième post de Cheminot. L'idéal serait bien entendu de changer de médicament, du moins si cela est possible compte tenu du mal dont on souffre (dans ton exemple, l'asthme). Cheminot pourra peut-être t'en dire plus quand il aura eu l'occasion de lire ton post, car là, cela relève réellement de la chimie !
  5. Il me semble qu'il y a plusieurs explications complémentaires à cela. Première explication Contrairement aux personnes âgées, le stress oxydatif de ceux faisant un sida déclaré est manifestement démesuré et rarement sans comparaison possible avec celui dont souffre une personne âgée. Le stress oxydatif des sidéens est à ce point démesuré qu'il peut devenir incontrôlable et causer des dégâts irréversibles à l'organisme humain, en ce compris sa "machinerie cellulaire". Ce qui peut effectivement arriver chez les personnes âgées, mais il est rare que cela atteigne un tel degré, en tout cas aussi rapidement. Après vérification, j'ai lu récemment dans deux ou trois articles que le fait de vieillir, et le stress oxydatif que celui implique (ou peut-être plutôt : le stress oxydatif est un facteur d'accélération du vieillissement), peut rendre le test dit "HIV" positif. Mais contrairement à un sidéen "traditionnel", la personne âgée sera séropositive parce qu'elle est un peu (sauf exceptions) au-dessus du seuil au-delà duquel une personne est déclarée séropositive. En revanche, dans le cas de la personne qui a atteint le stade du sida déclaré, celle-ci est très largement au-delà de ce seuil. Or c'est plutôt dans ce dernier cas que les drogues dites "antivirales" peuvent montrer un - relatif quoique parfois indispensable - intérêt. Deuxième explication Il s'agit probablement de la plus importante explication. Il y a en réalité différentes formes de stress oxydatif, et pour ne citer que les plus importantes : - le stress oxydatif provenant des espèces activées de l'oxygène, - le stress oxydatif provenant des espèces activées du chlore, et - le stress oxydatif provenant des espèces activées de l'azote. Parmi ces trois formes de stress oxydatif, celle qui cause de la façon la plus importante le sida est la troisième forme, à savoir celle dérivant des espèces activées de l'azote. Cette troisième forme de stress oxydatif, on la trouve généralement et justement dans la consommation de drogues récréationnelles (telles que le poppers, le viagra, la cocaïne, etc...), certaines drogues dites "antivirales" de même que dans certains antibiotiques. Elle aboutit justement à hyperstimuler et finalement épuiser les lymphocytes T4 qui produisent du monoxyde d'azote, soit les fameux TH1. Ceux-ci finissent progressivement par "se suicider" (apoptose) et ne sont plus en mesure de défendre le sidéen contre les germes (le plus souvent des "champignons") causant les maladies caractéristiques du sida, soit les maladies "exotiques". Ceci étant, les deux autres formes de stress oxydatif ne peuvent que contribuer à accélérer l'atteinte du stade du sida déclaré, mais ne doivent visiblement être considérées que comme des "cofacteurs" (lol !). Les drogues dites "antivirales" les plus "efficaces" sont justement celles qui luttent principalement contre le stress oxydatif dérivé de l'azote (la troisième forme de stress oxydatif), soit celui causant le sida. Donc, l'intérêt d'administrer ces drogues dites "antivirales" à des personnes souffrant de maladies qui peuvent trouver partiellement leur cause dans l'une des deux premières formes de stress oxydatif citées ci-dessus (cancer par exemple) est particulièrement limité, surtout au vu de leurs effrayants effets secondaires. Et pour penser au cas du sida africain, celui-ci est principalement dû à la malnutrition. Or la malnutrition ne cause pas spécialement la troisième forme de stress oxydatif mais bien toutes les trois. Par conséquent, le recours aux drogues dites "antivirales" pour les sidéens africains est plus que jamais injustifié et ne saurait être justifié que dans des cas encore plus exceptionnels que dans celui du sida "occidental" causé par un style de vie "nocif" et "malsain". Je suppose que Cheminot pourra confirmer et/ou compléter (ou corriger) les deux explications qui précèdent.
  6. Bon, je vais te faciliter la tâche. Tu trouveras ci-dessous les liens de ce qui est considéré par l'orthodoxie du sida comme constituant les "meilleurs" (disons plutôt : "moins mauvais") contre-arguments invoqués à l'encontre de la dissidence du sida. Mais je te donne également les contre-réfutations qui ont été faites par la dissidence du sida à l'encontre justement de ces contre-arguments, en sorte que le point gagnant revient toujours à la dissidence du sida ! Attention, hormis le premier, ils sont tous en anglais. 1) La Déclaration de Durban et sa Réfutation 2) The Evidence That HIV Causes AIDS et Errors in Celia Farber's March 2006 article in Harper's Magazine 3) Tu trouveras ci-dessous diverses réfutations aux différents contre-arguments repris dans les deux documents de l'orthodoxie du sida qui ont été mentionnés ci-dessus (sous 2) donc) : a) NIAID/NIH "Evidence" Rebuttal b) The Corrections: Rethinking AIDS Responds to Harpers ‘Out of Control Critics c) PERTH GROUP Commentary on the Rethninking AIDS Response d) HIV tests cannot diagnose HIV infection Attention toutefois à la réfutation constituant le document b) susmentionné, lequel fait l'objet d'une "correction" (pour être poli) par d'autres dissidents sous la forme du document mentionné sous c). Tu dois en effet savoir que dans la dissidence du sida, il y a essentiellement deux groupes de dissidents, ces deux groupes ayant cependant comme point commun absolument essentiel que le sida n'est pas causé par le VIH. Le premier groupe, de plus en plus minoritaire, pense que le rétrovirus HIV existe réellement mais qu'il est inoffensif et ne cause pas le sida. Le deuxième groupe, de plus en plus majoritaire, pense que le VIH n'existe carrément pas (en tant que rétrovirus exogène) et bien sûr ne saurait causer le sida. Malheureusement pour le premier groupe scientifique de dissidents, certains contre-arguments invoqués par l'orthodoxie du sida ne peuvent être efficacement réfutés par ce groupe-là et celui-ci est parfois placé dans certaines incohérences. En revanche, la théorie du stress oxydatif, qui cause le sida selon le deuxième groupe de dissidents scientifiques (de plus en plus majoritaire donc), permet de réfuter la totalité des principaux contre-arguments invoqués par l'orthodoxie du sida. Tout cela pour dire que certaines (pas toutes bien sûr) réfutations reprises dans le document b) doivent être analysées avec une certaine circonspection et doivent plutôt être remplacées par les "corrections" figurant dans le document mentionné sous c). Ceci étant, ne jettons certainement pas la pierre au premier groupe de dissidents : ils ont - entre autres - eu le très grand mérite de faire connaître il y a presque déjà 20 ans "la bourde" du sida viral et de faire justement développer la dissidence du sida, telle qu'on la connaît actuellement.
  7. Pour te répondre très brièvement, il suffit juste de savoir que tout est "verrouillé", en particulier et justement la presse. Ce que la dissidence du sida dit depuis 20 ans paraît tellement incroyable que (presque) personne ne la prend au sérieux et ne pense même à analyser l'extrême richesse de leur argumentation. Et ce quand bien même le nombre de scientifiques qui adhèrent aux thèses dissidentes ne cesse d'augmenter. Et toujours dans le même sens d'ailleurs : je n'ai pas encore entendu qu'un scientifique dissident a retourné sa veste pour adhérer au mythe du virus tueur ! Et si la presse ne dit rien (et elle est persuadée de bien faire, pour de pseudo motifs "moraux"), il y a peu de chance que les choses bougent assez rapidement vu que presque personne ne connaît ne fût-ce que l'existence même d'une dissidence du sida. Heureusement, il y a internet, et c'est bien cela qui a permis de commencer à faire connaître l'existence d'une dissidence du sida à travers le monde. Et cela paraît se "propager", lentement mais sûrement. Non seulement en Afrique du Sud mais également tout doucement dans une certaine presse de gauche états-unienne. Evidemment, si tu connais des journalistes français qui seraient réellement désireux d'analyser le sujet et de le faire connaître objectivement, il ne faut hésiter à leur en parler. Mais en attendant, la presse nous prenant quasi unanimement pour des fous dangereux, il n'y a que le bouche à oreille et internet qui permet de faire connaître (très) progressivement la dissidence du sida. Si, si, tu dois te sentir soulagé. Certes, les tests dits "HIV" ne détectent pas une infection par un rétrovirus "HIV" mais le fait d'être séropositif n'est bien sûr pas une bonne nouvelle, tout particulièrement si cela semble résulter d'un style de vie de nature à causer de façon durable un affaiblissement immunitaire. Dans ce cas, cela doit au contraire être pris très au sérieux vu qu'à terme, cela peut causer des infections opportuniste à répétition et de plus en plus sévères s'il n'y est pas remédié à temps. Mais contrairement à ce qu'affirme l'orthodoxie du sida, c'est tout à fait traitable et même guérissable (et parfois même après des épisodes de sida déclaré, quoique les choses soient un peu moins évidentes et "faciles") si l'on y remédie à temps, c'est-à-dire s'il est informé (avant que son état de santé s'empire réellement, c'est-à-dire d'une façon qui risque bien de devenir irréversible) que ce qui cause ce syndrome n'est pas un (rétro)virus mais bien son style de vie (aussi dur soit-il de l'admettre). Donc, oui, tu peux être soulagé, quand bien même le sida n'a strictement rien à voir avec une épidémie virale censée menacer l'humanité.
  8. Dans la perspective de compléter l'un des liens qui figurera dans le futur sommaire "rénové" du topic sur le sida, je me permets de compléter ci-dessous les explications déjà fournies par Aixur dans le post précède. En effet, dans le sommaire, il y a un lien renvoyant à un article intitulé "Immunodépression liée à la transfusion sanguine". En lisant cet article, même en diagonale, on comprend que le fait de recevoir de multiples transfusions de sang a pour effet de créer progressivement chez le transfusé une immunodépression. Le sang a en effet des propriétés alloimmunogènes, qui ne font que s'accentuer avec le nombre de transfusions. Le cas typique est celui des hémophiles qui subissait de nombreuses transfusions de sang pour recevoir le facteur VIII de coagulation sanguine, nécessaire à leur survie en raison de leur maladie (justement caractérisé par une insuffisance d'un facteur de coagulation). Les hémophiles recevaient ce facteur VIII de coagulation au travers de nombreuses transfusions de sang. Or il fut calculé qu'à l'époque (du moins), chaque fois qu'un hémophile (ou même une autre personne d'ailleurs [par exemple, une personne ayant subi un grave accident et devant subir une transfusion de sang pour survivre], mais les hémophiles étaient les plus exposés puisqu'ils devaient subir ces transfusions régulièrement) subissait une transmission de sang, c'est comme s'il recevait en une seule fois les protéines étrangères de centaines, voire même de milliers de personnes différentes, outre l'augmentation exponentielle du risque pour eux d'être contaminés par les virus et les bactéries pathogènes les plus divers. Or le fait de recevoir en si peu de temps une telle multitudes de protéines étrangères (outre le risque d'être contaminé par de multiples virus) est fortement de nature à rendre le test dit "HIV" positif et, ultérieurement, à causer un sida déclaré. Tous ces facteurs expliquent pourquoi des hémophiles à l'époque ont pu mourir du sida, car ayant reçu du facteur VIII non purifié et donc de nature fortement immunodépressive, fabriqué grâce aux dons de sang de milliers de donneurs (allègrement mélangé au surplus). Maintenant, tu me diras que depuis que le sang est chauffé, le nombre d'hémophiles devenus séropositifs et mourant du sida a diminué de façon drastique. Et bien, à cet égard, dans un post antérieur, Cheminot a justement expliqué que le chauffage du sang (à tort qualifié de "contaminé") a pour heureux effet de faire disparaître les propriétés immunodépressives des transfusions répétées de sang. Et cela, on le sait depuis 1985. Ceci explique donc pourquoi le nombre des hémophiles séropositifs a fortement diminué depuis que le sang est chauffé (lequel chauffage permet en outre et sauf erreur de ma part, de détruire la plupart des virus et autres bactéries du sang, et supprime dès lors un autre facteur de risque important de séropositivité et de sida). Et maintenant, tu me diras :"Oui, mais il n'y avait pas que les hémophiles qui recevaient des transfusions de sang et qui mourraient du sida. Il y avait aussi des personnes qui n'ont subi qu'une seule transfusion de sang (alors toujours non chauffé) et qui sont morts du sida. Or pour ceux-là, on ne peut pas dire que leur immunodépression résultait du caractère répété des transfusions de sang puisque par définition, je vise l'hypothèse des gens qui n'ont subi qu'une seule ou tout au plus quelques transfusions de sang seulement". Pour ceux-là, je renvois à l'explication susdite d'Aixur, à savoir que ceux qui sont morts étaient sous AZT. Or nous savons sans le moindre doute possible que depuis 1993 et la fameuse étude Concorde que l'AZT, en particulier en mono"thérapie", ce n'est rien d'autre que du sida sur ordonnance. Et l'explication de l'AZT est bien sûr également valable pour les hémophiles qui, outre le facteur d'immunodépression résultant du nombre répété et régulier de transfusions sanguines, prenaient en outre de l'AZT. Bref, ces derniers réunissaient tous les facteurs de risque possibles et imaginables pour mourir du sida.Et comme je l'ai d'ailleurs lu en son temps dans un article (que je ne retrouve plus pour le moment), malgré le caractère alloimunogène des transfusions répétées de sang et, partant, leur caractère immunodépressif, l'espérance de vie des hémophiles n'a cessé d'augmenter de 1970 ..... à 1987, c'est-à-dire malgré le (pseudo) VIH ! Mais à partir de 1987, l'espérance de vie des hémophiles dégringole "brusquement". L'explication saute aux yeux : c'est à partir de 1987 que l'orthodoxie du sida a commencé à administrer de l'AZT aux séropositifs ! En d'autres termes également, tu auras compris que l'"Affaire du sang contaminé" était un faux procès et que le bon procès aurait dû s'appeler le "Procès de l'AZT" ! Je ne puis par ailleurs résister au plaisir de reproduire ci-dessous un passage tiré de cet article, dans lequel le Perth Group, en la personne d'Eleni Papadopoulos-Eleopulos, explique que quand bien même le VIH existerait (mais nous savons déjà que ce n'est pas le cas), il était strictement IMPOSSIBLE que les hémophiles aient pu avoir été contaminés par le VIH via le facteur VIII de coagulation, et ce en raison même du procédé de fabrication du facteur VIII : Bon, voilà, après avoir lu ce post et celui d'Aixur qui précède, plus personne ne pourra encore décemment prétendre que les hémophiles et autres sidéens sont morts à cause du sang dit "contaminé par le VIH" !
  9. Je te donne déjà la réponse : c'est NON ! Même pour les photographies au microscope électronique datant du début de l'année 2006. Tu dois en effet comprendre que ce n'est pas parce que ce que tu vois au microscope électronique a l'air du supposé rétrovirus HIV ..... qu'il est pour autant le rétrovirus HIV ! Il faut en savoir que pour prétendre que quelque chose est bien un rétrovirus, les étapes suivantes doivent impérativement et scrupuleusement être suivies (les étapes citées ci-dessous constituent grosso modo le deuxième postulat de Koch appliqué ici à un rétrovirus [en lisant ce post-ci, tu comprendras que pour prétendre qu'un germe quelconque, ici le pseudo VIH, est la cause d'une maladie, il est nécessaire que les trois postulats de Koch sans exception soient remplis, quod non]) : (c'est ce qui est expliqué entre autres dans ce document-ci) Si cette procédure n'est pas suivie à la lettre, il est tout simplement impossible de prétendre que ce que l'on voit au microscope électronique est bien un rétrovirus. Il peut en effet tout simplement s'agir de multiples débris cellulaires, de simples (retro)virus-like ou au mieux de rétrovirus endogènes produits par les techniques utilisées de culture. Note que c'est cette procédure qui est utilisée depuis plus de 50 ans pour isoler convenablement un rétrovirus. Pourtant, pour une raison "inconnue" (façon de parler) de la dissidence du sida, cette procédure n'a pas été suivie strictement à la lettre pour ce qui concerne le VIH, et ce jusqu'à ce jour d'ailleurs. Partant, il ne sert donc à rien de venir sur ce forum avec l'une des dizaines de milliers de photographies au microscope électronique publiées du soi-disant VIH pour prétendre que le VIH existe tant qu'il n'est pas confirmé dans la publication scientifique que les étapes précitées ont effectivement été suivies scrupuleusement à la lettre. Le jour où une telle publication sera publiée (avec la confirmation du respect du "contrôle" expliqué plus bas), alors là seulement, il appartiendra à la dissidence du sida de prouver que le VIH en question n'est effectivement pas un rétrovirus. Mais en attendant, la charge de la preuve pèse sur les épaules de l'orthodoxie du sida, et non sur celle de la dissidence du sida. Il est par ailleurs piquant de constater que les étapes énumérées ci-dessus n'ont pas été édictées par la dissidence du sida, mais bien par ce qui allait devenir plus tard l'orthodoxie du sida. L'Institut Pasteur lui-même avait rappelé ces étapes .... en 1973, soit bien avant la "découverte" du VIH par cet institut en 1984. En somme, la dissidence du sida ne fait que rappeler à l'orthodoxie du sida les propres règles que celle-ci avait elle-même (!) édictées, règles qu'elle bafoue allègrement dès lors qu'il s'agit du VIH ! Ceci étant, les étapes énumérées ci-dessous ne sont en soi pas du tout suffisantes car il faut en outre effectuer ces mêmes étapes dans ce qu'on appelle une "culture de contrôle", c'est-à-dire exactement dans la même culture que celle utilisée pour la culture du pseudo rétrovirus "HIV" mais sans celui-ci(ou plutôt : sans ce qui est considéré comme étant du "VIH"). En effet, les techniques utilisées peuvent être elles-mêmes être de nature à créer des rétrovirus ou des choses qui s'en apparentent plus ou moins fortement. C'est ce qu'a très bien expliqué le Groupe de Perth, à l'origine du stress oxydatif comme cause du sida, notamment dans cet article-ci : Or, le recours à la culture de contrôle n'est que très rarement utilisé par l'orthodoxie du sida (ce n'est évidemment pas un hasard dès lors qu'il s'agit du "VIH"). Et pourtant, sans culture de contrôle, il est absolument impossible d'affirmer que ce que l'on voit au microscope électronique est bien le rétrovirus VIH ! Que nenni ! Tout ce qui précède ne constitue par ailleurs que les règles à suivre pour prétendre qu'un rétrovirus remplit le deuxième postulat de Koch, ce qui n'a jamais pu être fait à ce jour. Et à supposer même qu'un jour, l'orthodoxie du sida réalise ce miracle (qui pourrait éventuellement justifier un Prix Nobel), il faudra encore remplir : - le premier postulat de Koch, à savoir trouver le microbe chez tous les sidéens (ce qui n'est justement généralement le cas que chez environ 30% des sidéens) et en plus en abondance, ce qui n'est jamais le cas; l'orthodoxie du sida prétend toutefois remplir ce premier postulat, mais c'est en trichant, c'est-à-dire en recourant à la technique dite de la (pseudo) "charge virale", qui contrairement à ce que son nom laisse indique, ne mesure en aucune façon le nombre de virus chez un sidéen ou même un séropo; - et le troisième postulat de Koch, à savoir prouver que le rétrovirus ainsi isolé et purifié (2ème étape) est infectieux (comme le précise Cheminot dans le post qui a suivi le tien), c'est-à-dire cause la maladie lorsqu'il est inoculé à un patient. Ce troisième postulat n'a jamais été rempli, ce qui est d'ailleurs absolument logique, faute d'avoir déjà pu remplir les premier et deuxième postulats. Que s'est-il passé début 2006 ? L'orthodoxie du sida a encore voulu frapper l'imagination de nos contemporains en publiant de très belles images en trois dimensions (cette fois-ci), de ce qu'elle appelle le rétrovirus "VIH". J'ai toutefois le "profond regret" de t'annoncer qu'il n'est en aucune façon prouvé que les images en question soient bien celles du supposé rétrovirus "VIH", du moins jusqu'à preuve du contraire (et comme déjà précisé ci-dessus, la charge de la preuve appartient à l'orthodoxie du sida, non à la dissidence du sida). En effet, je reproduis ci-dessous le premier commentaire émis sur ces photographies par le célèbre "Perth Group" : En résumé, quelles sont les critiques absolument fondamentales et rédhibitoires émises par le Perth Group à l'encontre de ces photos, critiques qui, à défaut de réfutation, empêchent définitivement de considérer que ces si belles photographies en trois dimensions soient du VIH purifié ? 1) Si j'ai bien compris (c'est en anglais tout de même !), il n'y avait pas de culture de contrôle ! Quel "hasard" ! Et dès lors, s'il n'y a pas de culture de contrôle, qu'est ce qui empêche de considérer que les photographies au microscope électronique en question ne soient en réalité que des retrovirus like (soit des particules ressemblant à des rétrovirus mais qui n'en sont pas pour autant), et à supposer même qu'il s'agisse bien de rétrovirus, qu'est ce qui prouve qu'il s'agit bien du rétrovirus HIV, et non de rétrovirus produits par les techniques culture ? Et bien, rien ! Il s'agit sans doute ici de la critique la plus fondamentale et rédhibitoire à l'encontre de ces photographies au microscope électronique. Mais il y en a d'autres, un peu moins fondamentales. 2) En effet, depuis au moins trois décennies, il est admis que les rétrovirus ont une taille entre 80 et 100 (voire 120) nanomètres. Or dans la publication en question, il est précisé que certains des rétrovirus en question ont une taille bien supérieure, et que leur diamètre peut même varier de 1 à 3. Dès lors, comment justifier cela avec le concept de rétrovirus ?! 3) Il est par ailleurs unanimement admis par l'orthodoxie du sida que le rétrovirus VIH doit être porteur de protubérances de forme conique. Or parmi les 75 virions de VIH retenus, 35 ne sont pas porteurs de telles protubérances de forme conique. Comment peut-on dès lors affirmer qu'ils sont effectivement du VIH ? 4) Si j'ai bien compris (j'ai un doute), en fait, les photographies en question ne montrent même pas du VIH purifié vu qu'elles comportent d'innombrables particules, autres que du VIH. Et parmi ces innombrables particules, l'orthodoxie en a simplement retenu 75 prétendues être du VIH. Mais sauf erreur de ma part, la circonstance que les photographies en question comportent beaucoup d'autres particules que le supposé VIH prouve à suffisance que la purification n'a visiblement pas été excellente, en particulier à défaut pour l'orthodoxie du sida de préciser comment ces 75 particules ont été choisies pour affirmer que c'est bien du "VIH". Donc, tu l'auras compris, jusqu'à ce jour, il n'y a toujours pas de photographie au microscope électronique de VIH purifié. Si tu veux obtenir davantage d'informations sur le sujet de l'(absence d')isolation du VIH, je t'invite à par exemple lire les trois articles suivants en français : Le VIH est-il la cause du sida ?, Commentaire sur l'interview avec Luc Montagnier par Djamel Tahi et Une analyse critique de l'évidence de l'existence du VIH et des tests d'anticorps du VIH. Et ne sois pas impressionné par les belles photos publiées du soi-disant VIH : ce ne sont que de très belles images produites par ordinateur depuis différents modèles théoriques de ce que devrait être le VIH ! Donc, pour répondre en définitive à ta question, non, jusqu'à ce jour, on a encore jamais pu observer de façon claire et sans aucun doute le virus du sida au microscope à balayage élèctronique. Loin de là d'ailleurs. Et il me semble qu'il s'agit toujours à ce jour de l'avis du Perth Group, du moins lorsque je lis son premier commentaire reproduit ci-dessus. Et donc, jusqu'à nouvel ordre, le VIH en tant que rétrovirus exogène reste bel et bien un mythe !
  10. Le premier post de ce topic sera très utilement complété par la lecture de l'article suivant (hélas en anglais), venant de paraître et intitulé "HIV tests cannot diagnose HIV infection", qui confirme également que les tests dits "HIV" ne peuvent être la preuve d'une infection par le si mal nommé "rétrovirus HIV", article qui développe encore davantage certains des arguments repris dans le premier post.
  11. wallypat

    Guérir le Sida!

    Encore une confirmation de plus, et très récente au surplus, du rôle absolument fondamental des antioxydants dans la prévention et aussi le traitement de la séropositivité et du sida. Je viens de le lire dans cet article venant de paraître et intitulé "HIV tests cannot diagnose HIV infection" : S'appuyant sur des références récentes et même parfois très récentes, il est donc précisé dans ce passage qu'une condition préalable pour devenir séropositif est le fait d'avoir de bas niveaux d'antioxydants dans le sang, en particulier les vitamines A, C et E, le zinc et bien sûr le sélénium, et que corrélativement, la prise de vitamines antioxydantes est de nature à éviter la progression des individus "séropositifs au VIH" vers le sida déclaré.
  12. Encore du nouveau suite à l'article paru dans Harper's Magazine ! En effet, deux dissidents célèbres, étant Roberto Giraldo et Etienne de Harven, ont rédigé une réfutation complémentaire aux deux précédentes déjà parues (à savoir celle émanant du "Rethinking AIDS" et celle provenant du "Perth Group"), intitulée "HIV tests cannot diagnose HIV infection". A la lecture de ces trois documents (certes en anglais), on constatera que la dissidence du sida a manifestement triomphé de l'orthodoxie du sida !
  13. Outre les nombreuses explications déjà énumérées ci-avant pour expliquer le caractère absolument bidon des "contaminations " au "VIH" en Afrique (de même que dans des pays non africains où les habitants souffrent de malnutrition en général), il convient de ne pas perdre de vue que les vaccinations sont elles-mêmes de nature à rendre positif un test dit "HIV", et bien davantage encore sur un organisme souffrant de malnutrition. Et les vaccinations (forcées) de masse ont été et sont encore extrêmement courantes de nos jours en Afrique. Pour éviter de me répéter, je renvois le lecteur intéressé vers ce court post explicatif placé dans un autre topic.
  14. Tordons également le cou à ce mythe (cf l'article reproduit dans le post qui précède). Les vaccinations sont connues pour déprimer le système immunitaire et faciliter l'obtention d'un résultat positif au test dit "HIV". Alors, imaginez que l'on se mette à vacciner presque un continent entier comme l'Afrique, où nombre de ses habitants souffrent déjà à l'origine de malnutrition, et donc d'un fort affaiblissement immunitaire préalable. Il va sans dire que les vaccinés en question ont encore plus de "chance" d'avoir un test dit "HIV" positif. Il n'y a dès lors pas lieu de dire dans l'article cité ci-dessus que la personne dont l'échantillon de sang a été testé plus de 20 ans plus tard aurait été contaminée par le "VIH" en 1959 par le biais d'un vaccin contre la polio contenant je ne sais quelle forme de virus "VIH", mais bien que cette vaccination et, partant, le stress oxydatif que celle-ci a pu induire chez la personne vaccinée (stress oxydatif encore plus facilitée si celle-ci souffrait en outre de malnutrition), ont permis de rendre le test HIV positif. Rien à voir avec une quelconque contamination par un virus ! On comprendra d'ailleurs que c'est entre autres pour cette raison-là que de nombreux premiers foyers africains de "VIH" coïncident "bizarrement" avec des régions où de fortes campagnes de vaccinations ont été menées "pour le bien" des africains. Au passage, cela (avec d'autres raisons) explique pourquoi dans certains pays, plusieurs millions de séropositifs ont pu "disparaître" en quelques années des statistiques de "contamination" au "VIH", tout simplement parce que la réaction à ces vaccinations rendant les tests dit "HIV" positifs ..... est généralement temporaire. Mais il y a bien pire encore, concernant plus particulièrement la vaccination contre la polio dont il est tout spécialement question dans l'article reproduit dans le post ci-dessus. En effet, le passage suivant tiré de cet article précise textuellement ce qui suit : En d'autres termes, le vaccin en question contre la polio était visiblement l'un des pires vaccins nocifs au monde et source de diverses maladies (mises par erreur sur le compte du "VIH") ! Bref, à la lumière de ce passage et des explications qui précèdent, le lecteur aura aisément compris que la thèse de l'inoculation du pseudo "VIH" via ce vaccin contre la polio ..... n'est qu'un autre mythe !
  15. Merci Papillon de nuit pour tes remarques, en ce compris pour la remarque grammaticale. Le sommaire que je propose n'est évidemment pas parfait, et je n'en ai d'ailleurs pas la prétention. Mais je crois que c'est un peu plus clair et structuré. Et effectivement, cela pourra toujours être remanié et complété, et tel est le but d'ailleurs. Oui, effectivement, certains titres sont longs, et c'est vrai que cela fait un peu désordre. Mais supposons par exemple que l'un des titres soit réduit à par exemple "Le sida est vraisemblablement causé par le stress oxydatif", à peu près personne ne comprendra ce que cela veut dire. Donc, je me suis dit que déjà donner un ou deux éléments d'explication dans le titre serait déjà un début d'explication. Concernant le fait que la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible, je ne vois pas pourquoi il faudrait édulcorer la chose car effectivement, la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible. Dire le contraire, c'est comme si on disait par exemple que le cancer était sexuellement transmissible. Nous savons tous les deux que le cancer n'est pas sexuellement transmissible. Si la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible, pourquoi justement ne pourrait-on pas insister sur ce point absolument fondamental, en particulier lorsque l'on voit le nombre de séropos condamnés pénalement pour avoir "contaminé" de façon sexuelle un partenaire ? Donc, au contraire, il faut justement bien insister là-dessus. L'autre but est également de faire comprendre aux personnes qui auraient "par mégarde" eu une relation "non protégée" avec une personne séropositive que ce n'est justement pas comme cela qu'on "attrape" le sida et qu'elle ne doit pas se mettre martel en tête sur ce point. Evidemment, le préservatif protège des (vraies) IST et le topic du sida n'a certainement pas pour vocation de décourager l'utilisation du préservatif. Et tu auras remarqué que dans plusieurs récents posts, j'ai rappelé à plusieurs reprises que les préservatifs protègent des IST. Ceci étant, même sur le point des IST, les choses ne me semblent pas si évidentes (en ce compris pour certains autres sur ce site, d'ailleurs) que cela, raison pour laquelle j'ai d'ailleurs créé un topic particulier sur le sujet, mais que j'ai négligé faute de temps. En réalité, j'ai l'impression que le sujet des "IST" est encore plus tabou que celui du sida ! Pourtant, si le monde scientifique a pu se tromper sur le sida, pourquoi ne pourrais-je pas m'interroger sur ce que ce même monde scientifique "enseigne" au sujet des IST ? Mais bon, on s'éloigne du sujet du sommaire du sida. PS : Evidemment, je ne propose pas et ne proposera jamais que le sommaire du sida fait mention du topic sur les MST. Cela ne doit toutefois pas nous empêcher de nous poser des questions à ce sujet.
  16. Si j'applique cette métaphore au cas du sida, cela signifie donc que le séropo en question fait un grave cas de sida déclaré et est sur le point de mourir. Pour moi, dans ce cas de figure, il est vrai qu'il n'a pas le temps de lire le sommaire détaillé et les différents liens y mentionnés. Peut-être trouvera-t-il juste le temps de lire une petite synthèse. Mais dans ce cas de figure, c'est-à-dire l'extrême urgence (foncer sa voiture contre un arbre et mourir), même la petite synthèse lui dira de croquer les drogues "antivirales" car sa pathologie est à ce point grave et la situation est à ce point urgente qu'à mon avis, les drogues "antivirales" sont la seule solution dans cette situation d'extrême urgence (en tout cas, je ne vois pas d'autres solutions immédiates [à moins qu'on soit dans le cas de figure où l'on peut raisonnablement suspecter que ce sont justement les drogues antivirales qui sont en train de le tuer]). Ensuite, quant il se rétablira "grâce" (et dans ce rare cas de figure, je le pense vraiment) aux drogues "antivirales", il aura tout le temps de lire attentivement le sommaire et de prendre la décision (d'arrêter) en connaissance de cause. Il devra toutefois être informé qu'il est toutefois possible que même en reprenant une vie "saine et équilibrée", il pourrait refaire à nouveau des infections à répétition car le stress oxydatif lui aura peut-être entre-temps causé des dommages apparemment irréversibles (dans l'état actuel de la science). Heureusement, des cas pareils ne semblent pas être légion (du moins, si le séropo renonce au style de vie lui ayant causé ce stress oxydatif) mais existent tout de même. Mais encore une fois, je m'excuse auprès de "-2N", je me suis peut-être mal exprimé. Evidemment, une petite synthèse peut être utile, mais de prime abord, cela me paraît assez inutile car on en trouve déjà sur www.sidasante.com (par exemple celui-ci). C'est en ce sens qu'il fallait interpréter mon précédent post. Pour ma part, quand j'aurai fini de rédiger ce nouveau projet de sommaire, je me propose de rédiger en français (cela n'existe pas encore dans cette langue à ma connaissance) une réfutation au célèbre document du NIAID "The Evidence That HIV Causes AIDS", qui se veut être la réfutation ultime des arguments de la dissidence du sida, document qui est sans cesse invoqué par nos détracteurs. Et comme je tiens à en finir définitivement avec l'orthodoxie du sida ..... Il existe déjà une réfutation de ce document en anglais, mais les problèmes sont justement qu'il est en anglais (j'avais entamé la traduction avec un autre dissident, mais cela est provisoirement suspendu, faute de temps) et surtout qu'il ne réfute "que" trois arguments, certes les trois arguments les plus essentiels, mais ne parle pas de tous les autres contre-arguments invoqués par l'orthodoxie du sida (quoique la réfutation des trois arguments essentiels permet de réfuter la plupart des autres). Quand ce sera fait (dans plusieurs mois donc, forcément), je le mettrai ici pour qu'on puisse le compléter, l'améliorer (et le corriger aussi). A mon sens, ce sera la fin définitive de l'orthodoxie du sida, en français (car en anglais, c'est déjà le cas !). Oui, cette situation est absolument écoeurante ! Mais je n'en dirais pas plus pour éviter de sortir de l'objet de ce topic.
  17. Excuse moi si tu l'as mal pris mais il n'y avait aucune méchanceté dans mes propos. Je voulais juste dire que j'avais déjà plus qu'assez à faire à tenter de rédiger un sommaire détaillé. Mais si quelqu'un veut en plus rédiger un petit article de synthèse, comme tu le proposes toi-même, personne ne s'y opposera, évidemment. Toute aide est forcément la bienvenue.
  18. Pour ma part, je continue sur mon projet de synthèse. Mais si quelqu'un veut rédiger un article court et rassurant, qu'il n'hésite pas. Ceci étant, de tels articles, on peut déjà en trouver sur www.sidasante.com, avec toutefois généralement et pour point commun qu'ils ont pour (rare) défaut de condamner sans la moindre réserve toutes les drogues dites "antivirales", alors que dans certains (rares) cas, le recours à (certaines de) celles-ci peut être justifié, voire même nécessaire, malgré leurs effets secondaires.
  19. Je n'avais pas pris ton post pour une critique, rassure toi, car je me rends compte moi-même que c'est assez long. Mais pour ceux qui sont dans le cas que tu décris dans ton dernier post et qui sont si "pressés", je les inviterai alors à passer directement au point VII) du sommaire, soit "Traiter la séropositivité et le sida". Ton dernier post vient d'ailleurs de me donner l'idée d'ajouter un point f) au sous-titre "Solutions proposées par la dissidence du sida", par exemple : "f) Si tout le reste a échoué, le recours aux drogues dites "antivirales" les moins nocives (et en tout cas sans AZT et sans Névirapine) constitue en définitive le moindre mal." Mais sinon, j'estime que ceux qui sont dans le cas décrit dans ton post doivent prendre le temps qu'il faudra pour lire l'ensemble du sommaire car recourir aux drogues dites "antivirales" constituera sans doute l'une des plus importantes, si pas la plus grave décision qu'ils prendront durant leur vie. Et à ce titre, il importe qu'ils soient clairement informés de tous les tenants et aboutissants de ce dossier ou de moins de la substantifique moelle de ceux-ci, en d'autres termes qu'ils lisent la totalité du sommaire. Au pire des cas, ils peuvent momentantément en "croquer" et après avoir lu l'ensemble du sommaire, prendre la décision non plus de "J'en croque ou non ?" mais bien de "Je cesse d'en croquer ou non ?" !
  20. Oui, effectivement, mon projet de sommaire est assez long. Mais au regard de tout ce qui a déjà été écrit sur le sujet (le topic "Le VIH ne causerait pas le sida" à lui seul fait 143 pages [et si on met cela en format "livre", cela ferait bien plus encore], et si on y ajoute les 268 autres topics quasiment presque tous consacrés à ce même sujet), j'estime que ce sommaire n'est pas si long que ça. Par ailleurs, compte tenu de l'extrême difficulté du sujet, il me semble difficile de faire un tout petit sommaire. Mais sinon, pour faire une synthèse de la synthèse comme tu le proposes sans doute justement, il me semble possible d'y arriver, par exemple en proposant juste en dessous les cinq ou dix "meilleurs" posts explicatifs du sujet. Une sorte de "best of" donc.
  21. Oui, oui, j'y travaille. J'espère sincèrement que mon projet de nouveau sommaire sera prêt dans les prochaines semaines. Mais si cela prend "autant" de temps également, c'est aussi parce que je recherche par la même occasion d'autres posts pour éviter que ce nouveau sommaire comporte trop de blancs (mais cela se remplira progressivement ensuite). Mais en (très) gros, la structure que je proposerais serait la suivante (toujours en très gros) : (attention, les titres sont purement provisoires et je devrai les retravailler) * Les deux premiers articles en préambule I) Pour commencer en douceur Suivent les trois mêmes articles que dans le sommaire actuel II) Se poser les bonnes questions - Dix questions sans (bonne) réponse - La présentation de Cheminot III) Le HIV n'a à ce jour jamais été isolé en tant que rétrovirus pathogène 1) La soi-disant détection directe du VIH (ou le non-respect des postulats de Koch) Suivent ensuite des subdivisions (genre : purification, bourgeonnement, développement du troisième postulat de Koch, débat contradictoire avec Cardel, etc...) 2) Les soi-disant techniques de détection indirecte du VIH a) Les tests HIV Suivent des subdivisions (genre : les tests HIV ne sont jamais le signe d'une infection au VIH avec des applications pratiques comme le topic "De quoi meurent ces femmes-là", post explicatif de Pikpikandré, etc...) b) La charge virale - En trois mots : Cheminot - Une petite synthèse : Wallypat - Pour aller plus loin sur certains aspects, et notamment la technique du PCR : voir le topic particulier sur le sujet (et notamment la discussion entre Aixur et Nico111) 3) Qu'est ce que le VIH finalement ? Sur quoi travaille l'orthodoxie du sida ? Le sida cause le VIH et non l'inverse ! 4) Pour élargir le débat, à propos des virus en général ----> voir topic de Lanka IV) Le sida est manifestement causé par le stress oxydatif, soit la conjonction de facteurs de stress chimique (drogues récréationnelles, AZT et certaines autres drogues dites "antivirales") et nutritionnel, aggravé par des facteurs de stress psychologique (effet nocebo) 1) Qu'est-ce que le stress oxydatif (avec renvoi - entre autres - aux deux articles que Cheminot vient de citer dans son avant-dernier post du topic général) 2) Le stress oxydatif est un fait scientifique confirmé par ces centaines d'études(renvoi vers un post de Wallypat) 3) Conséquences a) La séropositivité est réversible, en tout cas c'est possible si l'on ne s'y prend pas trop tard - Renvoi à un post de Cheminot - "Un séropositif aurait guéri sans traitement" b) L'apoptose ou suicide programmé des lymphocytes T4 et apparition des maladies caractéristiques du sida Suivent des subdivisions genre : cela est admis par l'orthodoxie du sida (mais de façon implicite), les maladies "exotiques" du sida (deux dissidents fournissent des explications : Aixur et Wallypat), la mesure du sélénium et du glutathion paraît être un meilleur indice de mesure du risque de sida déclaré que la seule mesure des lymphocytes T4, etc... c) La séropositivité n'est pas sexuellement transmissible - Etude des statistiques (entre autres : pp.30-34) - L'étude "Padian" + l'étude faite en Ouganda - Réfutation de l'argument tiré de la circonstance qu'après un rapport "à risque", une personne devient séropositive, tout en étant porteur du même "génome" que le (pseudo) contaminateur * Applications pratiques : - La circoncision (Cheminot + Wallypat) - Le safe sex a permis la diminution manifeste des cas de séropositivité. Pourquoi ? (voir la Réfutation du deuxième argument figurant dans le post "Démonstration de l'ignominie des tests HIV") d) Qu'en est-il de la transmission par le sang ? - Déficience suite à transfusion sanguine - Portée du geste du docteur Willner e) Qu'en est-il de la transmission verticale ? - Généralité - Lors de l'allaitement 4) Les facteurs nutritionnels (avec entre autres un renvoi à un post de Vitosi renvoyant à quatre articles sur le sujet) 5) Les facteurs psychologiques ou l'effet nocebo 6) Des posts récapitulatifs (de Pikpikandré notamment) V) Les interprétations statistiques et épidémiologiques par l'orthodoxie du sida, tantôt truquées, tantôt biaisées, tantôt inexpliquées, et l'arrogance de l'orthodoxie du sida 1) Les interprétations statistiques et épidémiologiques a) Comment interpréter des statistiques de façon malhonnête b) Les statistiques bidon en Afrique 2) L'arrogance de l'orthodoxie du sida - Par exemple le cas de shasha VI) L'empire du sida business contre-attaque, mais les dissidents du sida continuent encore et toujours à réfuter les contre-arguments avancés par celui-ci (récapitulatif global des arguments et autres réfutations émanant de la dissidence du sida : rappel et approfondissement de ceux-ci) 1) Le débat, de façon "sarcastique" : - L'abracadabrante thèse de la maladie imaginaire - Et son antidote : L'abracadabrante thèse de la maladie (rétro)virale 2) Le débat, de façon "austère" : a) La déclaration de Durban et sa réfutation b) "The Evidence that Aids Causes Aids" et sa réfutation (en anglais) c) Renvoi à l'un des tout derniers posts de Cheminot renvoyant aux critiques et aux réfutations suite à l'article de Celia Farber (en anglais) 3) Le débat, sur ce forum, de façon "conviviale" : les passes d'armes les plus homériques a) Candide contre la dissidence du sida - Son site pour tenter de défendre vaille que vaille le mythe du virus tueur - Sa première et sans doute meilleure vague d'attaques, suivie des réfutations (pp.25-29) - Ses deux vraisemblables meilleurs arguments (p.97), mais réfutés dans ces moindres détails (voir topic : "Les tests HIV ne sont jamais le signe d'une infection au VIH : Pensez-y !) b) FinallyFree contre la dissidence du sida (pp.71-86) c) Lavienrose (et Callisto) contre la dissidence du sida (pp.14-20) d) Cardel (et Forlax) contre la dissidence du sida (pp.120-125, du moins avant que le topic soit divisé en deux pour des raisons techniques) e) Un dissident (wallypat) propose une réfutation synthétique à un article paru dans un journal australien VII) Traiter la séropositivité et le sida 1) Solutions proposées par l'orthodoxie du sida a) L'AZT .... ou le sida sur ordonnance - Renvoi entre autres à un post de Wallypat renvoyant lui-même à plusieurs articles de sida santé l'expliquant - Renvoi à un post de Wallypat reprenant les conclusions de l'étude Concorde b) Les tri- et autres multithérapies - Elles sont immunotoxiques et sources de diverses maladies, parfois mortelles - Pourquoi ont-elles cependant amélioré la vie des sidéens, du moins dans une relative mesure ? (antioxydant + antibiotique à large spectre) - Il faut idéalement s'en passer, mais parfois, elles sont hélas nécessaires, lorsque le stress oxydatif a visiblement causé des dégâts devenus irréversibles c) Une relative exception : la lamivudine en monothérapie d) Prédire l'évolution vers le sida déclaré grâce au test des anticorps R7V : un attrape-nigaud ?! 2) Solutions proposées par la dissidence du sida a) Les témoignages Suivent tous les témoignages tels qu'ils figurent actuellement b) L'importance de la carence en sélénium et en glutathion dans la survenance du sida (ou de manière générale, la voie des antioxydants) c) Le topic : "Guérir du sida" d) L'homéopathie (Cheminot) e) L'ozonothérapie VIII) La dissidence du sida 1) En france et dans le monde a) En France * Marc Griffiths - Son site - Topic sur sa disparition * Autres sites en français faisant connaître la dissidence du sida - http://sida69.free.fr/ - http://home.tiscali.be/nomoreillusions/hivsida.html b) Dans le monde en général * Enumération de quelques sites en anglais 2) La dissidence du sida gagne du terrain a) Dans le monde en général - La mathématicienne récemment convertie à la dissidence du sida - Un journal écologiste américain parle de la dissidence - Un journal de gauche américain parle de la dissidence b) En Afrique du Sud 3) Idées pour propager la dissidence du sida 4) Les articles de ONCT, tels que repris dans le sommaire actuel 5) Les publications sur la dissidence, telles que reprises dans le sommaire actuel Voilà le "squelette" (que je dois continuer à retravailler et à étoffer) du nouveau sommaire que je propose. Tous les liens qui figurent actuellement dans le sommaire y seront repris, mais évidemment dans un ordre totalement différent et avec des titres souvent différents (je dois revérifier bien sûr, mais je pense qu'il y a un lien ou deux renvoyant à des adresses internet (en dehors de ONCT donc) qui n'existent plus; ces liens, je propose de les supprimer). Et il y aura donc déjà des renvois supplémentaires (que je compléterai ultérieurement). Evidemment, c'est un travail de "titan" (lol). Mais j'espère sincèrement que ce sera prêt dans quelques semaines. Et bien sûr, ce sera ensuite progressivement complété. Sur certains points, j'ai fait quelques renvois à mes propres posts, mais c'est provisoire car je sais très bien qu'il y a d'autres posts (entre autres de Cheminot) que j'ai lus et qui expliquent aussi et en bien mieux certains de ces points. Lorsque je les aurai retrouvés, je ferai un renvoi vers ceux-ci depuis le sommaire. Si quelqu'un a des suggestions d'amélioration de cet avant-avant- projet de nouveau sommaire, qu'il n'hésite pas. Quand ce sera prêt, je le publierai ici "déjà tout fait" (c'est-à-dire avec tous les renvois, etc...), en sorte qu'il n'y aura plus qu'à le mettre ensuite à la place de l'ancien sommaire. Ceci étant, pour faire cela d'un seul coup, il faudra que je le fasse quand j'aurai 5 ou 6 heures d'affilée de libre (sans doute une nuit allant de vendredi à samedi). Je ne tiens en principe pas à faire cela en plusieurs fois car la structure du sommaire sera incompréhensible pendant plusieurs nombreux jours (si pas trois ou quatre semaines), avec de nombreux doublons. Ensuite, je le compléterai et l'adapterai en fonction des anciens et nouveaux posts que je lirai par la suite. Mais le plus gros aura "déjà" été fait, à savoir la nouvelle structure du sommaire.
  22. Quand je lis ton dernier post ainsi que le passage suivant tiré de cet article, à savoir et contrairement à l'expression que j'ai parfois reprise dans des posts antérieurement, à savoir "stress oxydatif devenu irréversible", il faudrait en réalité comprendre que dans le cas du sida, le stress oxydatif aurait deux effets majeurs (si j'ai bien compris donc) : a) L'apoptose des lymphocytes T4, ou du moins des TH1, ce qui entraînera les maladies spécifiques du sida, et b) Un deuxième effet, plus discret (au départ) mais visiblement bien plus grave encore, à savoir des modifications irréversibles de certaines molécules et cellules du corps humain, en ce compris le génome, lesquelles modifications ne se traduiront qu'ultérieurement, parfois bien des années plus tard, par diverses maladies (erronément mises sur le compte du VIH), et entre autres par des maladies autoimmunes (qui seraient donc la conséquence des facteurs exogènes causant le stress oxydatif). Est-ce bien cela ? Ai-je bien compris ? Donc, en définitive, un stress oxydatif peut toujours être "renversé" mais parfois, il est trop tard car ce stress oxydatif a déjà causé des dégâts irréversibles au corps humain, quoiqu'ils ne se traduiront que des années plus tard ?! Ce deuxième effet - provisoirement caché (mais ne peut-il pas parfois resté définitivement caché ? Doit-il forcément se manifester un jour ? Des circonstances ultérieures ne seraient-elles pas de nature à faciliter la manifestation pathologique de ces effets occultés du stress oxydatif, par exemple des prises de certains antibiotiques ?) du stress oxydatif ne permettrait-il pas d'expliquer : - que des séropos et même des sidéens, après avoir renoncé à un style de vie "malsain", peuvent - parfois et après plusieurs annés sans symptômes - refaire des sidas déclarés, étant entendu que cela n'est pas à mettre sur le compte du HIV, - et aussi les cas de sida déclaré sans VIH, en ce sens qu'ils ont subi un stress oxydatif passé inaperçu et auquel ils ont remédié (parfois sans le savoir), mais qui se manifestent ultérieurement par le sida justement en raison de ces atteintes irréversibles ? Ne pourrait-on alors pas considérer qu'il y a trois stades du sida, stades différents de ceux retenus par l'orthodoxie du sida (ou du moins, ces stades définis par l'orthodoxie du sida s'insèrent en "sous-stades" dans les stades 2) et 3) repris ci-après), à savoir : 1)Séropositivité asymptomatique, mais parfaitement réversible. C'est donc la phase la moins dangereuse, nécessitant jamais de drogues dites "antivirales". En principe, pas trop de danger (même pour ceux dont la séropositivité résulte d'un style de vie "malsain"), sauf qu'il y a le risque que le stress oxydatif ait pu causer des dégâts irréversibles, provisoirement cachés. Mais ce risque est minime car il n'y a pas encore eu un seul épisode de sida déclaré. 2) Un premier type de sida déclaré, assez grave, à savoir sida déclaré sans atteinte irréversible aux constituants les plus divers du corps humain, ou peut-être même avec des atteintes irréversibles mais celles-ci ne se manifesteront heureusement pas de manière flagrante sur le plan de la pathologie. Dans ce second cas, un retour à une vie "saine" permet de remédier à la situation (c'est donc réversible) et les drogues dites "antivirales" ne se justifient pas également, sauf à titre purement provisoire (et si on ne peut vraiment pas faire autrement) pour surmonter l'épisode du sida déclaré avant de revenir à une vie "saine" (il s'agira par exemple de la plupart des cas des séropos qui ont arrêté leurs "traitements" dits "antiviraux" et qui continuent à se porter comme un charme pendant des années et des années). 3) Un deuxième type de sida déclaré, le plus grave, à savoir avec atteintes irréversibles, par exemple au génome humain, et qui se manifesteront de façon flagrante sur le plan de la pathologie. Dans ce troisième cas, extrêmement grave, même avec une réversion du stress oxydatif, des épisodes de sida déclaré peuvent continuer à se déclarer, et c'est surtout dans ce troisième cas, en particulier si ce troisième cas se traduit par des maladies autoimmunes, que le recours aux drogues dites "antivirales" ou du moins à certaines d'entre elles (les moins nocives, genre lamivudine) pourrait se justifier et serait même nécessaire, malgré leurs terribles effets secondaires ? J'essaie juste de comprendre. Je crois que tu avais déjà expliqué cela à ta façon antérieurement, mais je n'ai peut-être compris que maintenant. En conclusion, pour vraiment guérir du sida, il faudrait visiblement que les dizaines de milliards de dollars actuellement investis dans l'approche thérapeutique erronée du virus (quoique parfois avec certains succès, comme la lamivudine) soient en fait consacrés à : 1) bien entendu, la façon de combattre au mieux le stress oxydatif bien particulier qui cause les différentes maladies du sida, et 2) au traitement, voire la guérison des maladies autoimmunes en général ? Cette deuxième voie de recherche permettrait donc de mieux soigner (et peut-être un jour guérir ?) les sidéens qui ont subi des dommages cellulaires (en général) irréversibles, mais profitera également à toutes les autres personnes qui souffrent de maladies autoimmunes en général ? Je ne voudrais toutefois pas finir ce post sur une note aussi négative. D'après le peu que je sais, les maladies autoimmunes sont extrêmement difficiles à traiter. Mais d'après ce que j'ai pu lire en son temps, certains "produits" (la pao pereira et le ginko V si je me rappelle bien) du professeur Beljanski auraient montré une certaine efficacité non seulement sur le cancer mais aussi sur des maladies autoimmunes, à savoir le sida et l'hépatite C. Peut-être que ces "produits" seraient alors réellement utiles, malgré leur coût, mais uniquement en cas de dommages irréversibles causés par le stress oxydatif vu leur absence (visiblement) d'effets secondaires par rapport aux drogues dites "antivirales" ? Voilà, je me pose maintenant ces questions après avoir lu (ou plutôt "tenté de lire" vu que je n'ai pas la formation adéquate) les deux articles que tu as cités ci-dessus. PS : De manière plus générale encore, la recherche ne devrait-elle pas se consacrer globalement et avec les mêmes moyens financiers mis à la disposition de l'orthodoxie du sida, à l'étude des diverses formes de stress oxydatif et à la façon de la combattre et de la "guérir", ce qui profitera non seulement aux malades du sida mais également à de nombreux autres malades, en particulier ceux souffrant de maladies autoimmunes en général (car d'après ce que j'ai lu également, l'homéopathie semble plutôt impuissante à l'égard des maladies autoimmunes, mais c'est bien l'un des rares cas) ? Car finalement, j'ai de plus en plus l'impression que presque toutes les maladies du monde s'expliquent par le stress oxydatif (maladies cardiovasculaires, cancer, etc...), d'une façon ou d'une autre. Finalement, la vision de la médecine résultant de "Le terrain est tout, les microbes ne sont rien" ne pourrait-elle pas arriver à se concilier avec cette autre vision de la médecine, à savoir celle de Pasteur "Les microbes et les virus doivent être éradiqués" (en exagérant à peine) grâce au phénomène du stress oxydatif ? Bref, je m'interroge.
  23. Juste pour ajouter un lien vers cet article où on apprend des choses assez édifiantes, entre autres : - que ce test sera vendu 100 EUR l'unité (il n'y a vraiment pas de petit profit !), - que le fait d'être porteur d'anticorps R7V ne signifie certainement pas qu'on ne fera jamais un sida déclaré, mais simplement qu'on aurait moins de risque de faire un jour un sida déclaré, - et que cela ne garantit certainement pas que le séropo pourra se passer des drogues dites "antivirales" (dans le meilleur des cas, il pourrait "bénéficier" d'une thérapie "allégée", et encore, ce n'est pas garanti [en tout cas, c'est comme cela que j'ai compris en lisant cet article]). Bref, ce test semble ne rien vouloir dire du tout et n'a aucune portée prédictive quelconque ou très peu alors. C'est un peu comme si on me disait qu'un séropo souffrant d'une moins forte carence en sélénium qu'un autre séropo aura moins de risque de faire un jour un sida déclaré que cet autre séropo. Est-il vraiment nécessaire de payer 100 EUR pour le savoir ? L'inutilité de ce test (outre l'effet nocebo qu'il induira si le séropo a le malheur de le "rater") me semble encore plus évidente lorsque je lis l'extrait suivant tiré de cet article: En d'autres termes, même les séropos qui paraissent "progresser" vers le stade du sida déclaré sont porteurs des anticorps R7V, si ce n'est que c'est dans une deux fois moindre proportion que les "survivants à long terme" (35% pour les premiers et 70% pour les seconds). Dans ce dernier article, les chercheurs en question arrivent pourtant à la conclusion que le fait d'être porteur de ces anticorps serait malgré tout un bon pronostic d'une non-évolution vers le stade du sida déclaré. Pour ma part, je ne pense vraiment pas qu'il faille tirer cette conclusion-là puisque de nombreux (certes deux fois moins que les "survivants à long terme", mais est-ce vraiment un indicateur pertinent ?) sidéens sont également porteurs de cet anticorps. Moi, j'arrive plutôt à la conclusion que la progression vers le stade du sida déclaré résulte d'une conjonction de multiples facteurs, dont le fait d'être porteur de cet anticorps ne constitue qu'un élément parmi tant d'autres. Bref, ne passez surtout pas ce test, la "réussite" à celui-ci ne garantissant pas que le séropo n'évoluera pas vers le stade du sida déclaré, et l'échec à celui-ci ne signifiant pas non plus que le séropo évoluera certainement vers le stade du sida déclaré (cela ressemble furieusement aux notices accompagnant certains tests Elisa, du genre "Un test positif ne signifie pas pour autant que vous êtes porteur du "virus, et un test "négatif" ne signifie pas pour autant que vous n'êtes pas porteur du "virus" !). Ce test me semble complètement bidon, sauf pour alléger le portefeuille ! Ceci étant, il serait en revanche bien plus utile de savoir quelle est la nature précise de ces anticorps et comment sont-ils produits par l'organisme humain. Mais hormis les profits financiers que ce test pourra rapporter à l'entreprise qui commercialisera ce test, je n'ai pas trouvé d'informations à ce sujet justement ! Et visiblement, les chercheurs eux-mêmes ne semblent pas savoir eux-mêmes pour le moment. Mais ils sont déjà prêts à commercialiser ce nouveau test, avec tout l'effet nocebo potentiel qu'il impliquera (tout comme les tests HIV)! Ne pourrait-on pas considérer que ces anticorps R7V ne seraient finalement que des protéines produites par certaines substances antioxydantes de l'organisme, ce qui expliquerait qu'ils puissent avoir une - toute relative - valeur prédictive de l'évolution vers le stade du sida déclaré, et expliquerait aussi le fait qu'être porteur de ces anticorps ne signifie pas pour autant que l'on n'évoluera pas vers le sida déclaré (dans le passage reproduit ci-dessus, il est bien précisé que 35% des séropos "progressant" vers le sida sont malgré tout porteurs de ces anticorps) ? Et par ailleurs, est-il interdit de penser que celui qui n'est porteur de ces anticorps au moment du test, ne pourrait pas l'être ultérieurement ? Et le contraire d'ailleurs ? En effet, ces anticorps semblent apparaître à la suite de certaines circonstances, mais celles-ci semblent parfaitement inconnues à ce jour. En conclusion et à mon sens, il ne faut surtout pas passez ce test et il convient de se conformez aux enseignements de la dissidence scientifique du sida : cela restera toujours la meilleure voie pour éviter au maximum le risque de sida déclaré !
  24. Dans l'un des deux articles que tu viens de citer, je lis entre autres ceci : . Alors ma question est la suivante : c'est quoi les "séléno-protéines" ? Du sélénium par exemple ?
  25. Demander des réparations constitue à mon sens le "minimum minimorum" ! Car ne rien réclamer, cela signifierait que l'on continuera à cautionner le fonctionnement actuel de la société. Or tout le monde est responsable : non seulement les entreprises pharmaceutiques (peut-être pas pour leurs actions durant les premières années du sida, mais certainement à partir du début des années 90 quand de plus en plus de dissidents scientifiques du sida ont commencé à se manifester), mais également et peut-être surtout le monde politique et la presse qui ont laissé faire tout cela sans se poser de questions ! Pour ma part, j'espère qu'il y aura des procès aussi gigantesques que ceux menés à l'encontre des cigarettiers. Et j'espère que l'on profitera de la dynamique qui sera lancée par la révélation de la farce virale du sida pour faire par la même occasion la révolution de la médecine en général et dénoncer par exemple des scandales comme les vaccins. Le triomphe de la dissidence du sida devrait permettre de rendre tout le reste possible. Après tout, si les gens ont gobé l'histoire du rétrovirus HIV, pouquoi devraient-ils encore continuer à croire ce qu'affirme la médecine sur d'autres sujets ?
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