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wallypat

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  1. wallypat

    Le glutathion

    COMMENT AUGMENTER LE NIVEAU DE GLUTATHION ? Introduction On a déjà pu constater à de multiples reprises sur ce forum que la baisse du niveau intracellulaire du glutathion (à savoir plus particulièrement le glutathion réduit ou GSH) est synonyme de progression vers le stade de sida déclaré. C'est tellement vrai que la mesure du taux de glutathion dans l'organisme constitue le meilleur indicateur prédictif de cette progression (éventuelle), bien mieux que la mesure des lymphocytes T4. Il est à cet égard très regrettable que les "experts" ès "VIH" n'accordent généralement aucune attention au glutathion et ne prennent pas la peine de le mesurer tout aussi régulièrement que les lymphocytes T4. Par conséquent, dans le cas où le glutathion baisse, la solution de principe ne consiste certainement pas à consommer des drogues dites "antivirales", lesquelles ne permettent pas ou alors très imparfaitement de résoudre le problème, mais bien à prendre les mesures qui s'imposent pour augmenter ce taux de glutathion. LA PREMIERE DE TOUTES LES PRIORITES EST BIEN CELLE-LA, et non s'inquiéter en premier lieu de l'évolution de ses lymphocytes T4. Bien sûr, la première chose à faire est d'adapter son style de vie de façon à ne plus être confronté à des sources de stress oxydatif causant une forte consommation de glutathion (et ensuite le sida). Mais indépendamment de cette étape indispensable, il convient donc de faire le nécessaire pour augmenter à nouveau son niveau de glutathion, essentiellement par la prise de certains compléments alimentaires. 1) La consommation du glutathion lui-même est la pire méthode et est parfaitement inutile On se dit naturellement qu'il suffit de consommer du glutathion et le niveau de glutathion augmentera à nouveau. Et d'ailleurs certains sites de vente en ligne promettent cet effet. Mais à tort, en réalité, comme expliqué en autres dans cet article-ci : Concernant toutefois la sylimarine, d'après ce que j'avais pu lire en son temps, il paraît préférable de la consommer pendant les repas. Conclusion Il est vraiment navrant que le coût hors norme des drogues dites "antivirales" soit supporté par la sécurité sociale, alors que des compléments alimentaires sont en mesure de produire généralement les mêmes effets positifs (et les études faites en Afrique sur les séropositifs consommant des vitamines et autres au lieu de drogues dites "antivirales" le confirment également) à des coûts riculement bas lorsqu'on les compare au coût prohibitif des drogues dites "antivirales" et en outre sans les effrayants effets secondaires de celles-ci. L'usage - généralement temporaire - des drogues dites "antivirales" ne devrait être réservé qu'aux cas désespérés. En attendant, le séropositif est actuellement placé devant le choix suivant : - SOIT, "consommer" gratuitement des tri"thérapies" et en subir ses effets, parfois mortels, pour des coûts exorbitants pour la société, cette dernière finançant donc les plantureux bénéfices des entreprises pharmaceutiques ("qui ne veulent que notre bien" ! lol), - SOIT, consommer des compléments alimentaires, généralement sans effets secondaires, ..... mais à ses propres frais, c'est-à-dire en se ruinant ! Cette situation est pour le moins cornélienne et kafkaïenne, et pour changer cet état de choses le plus rapidement possible, il importe de faire connaître les réelles causes du sida et donc ce qui est appelé "la dissidence du sida". Il est à cet égard piquant de constater que déjà en 1990 (et même déjà plusieurs années auparavant), le Perth Group avait préconisé comme traitement la prise d'antioxydants (naturels) comme solution pour traiter le sida. Presque 20 ans plus tard, on est encore et toujours au stade des drogues chimiques !
  2. wallypat

    Guérir le Sida!

    Dès que j'aurai un peu le temps, je compléterai déjà la synthèse sur le sida en ajoutant un lien vers le post en question (sous le titre consacré aux traitements proposés par la dissidence du sida, plus spécifiquement sous le sous-titre consacré à l'importance du glutathion).
  3. LE "VIH" PROVIENDRAIT-IL DU "SIV" DU SINGE ? Source : http://contrecourant...?id_article=169 Des éléments de réponse ont déjà été donnés dans mon post précédent, à savoir que les différents composants pathogènes (quelqu'ils soient et quel que soit le nom donné à ces composants) utilisés dans ce vaccin contre la polio suffisent par eux-mêmes à expliquer qu'ils puissent causer chez un certain nombre de ces vaccinés (déjà mal nourris au départ) un stress oxydatif encore plus élevé et diverses maladies qui seront par commodité et par paresse intellectuelle englobées sous le vocable "sida". Il n'est nul besoin de "VIH" pour l'expliquer. Mais il y a encore mieux ! En effet, n'oublions pas que cette thèse de l'administration "accidentelle" du "VIH" via le vaccin contre la polio a surtout été soutenue par Edward Hooper, qui n'est pas un scientifique mais bien un journaliste d'investigation, certes dans un ouvrage de 1070 pages (858 pages de texte et 175 pages de commentaires, notes et références bibliographiques). Ceci étant, l'orthodoxie scientifique du sida elle-même a démontré que cette thèse ne tenait absolument pas la route et était en réalité dénuée du moindre fondement. Le lecteur est à cet égard invité à lire par exemple cet article scientifique paru en 2000 (traduit en français, ce qui est exceptionnel), lequel synthétise les raisons pour lesquelles cette thèse de l'introduction accidentelle du "VIH" via le vaccin contre la polio ne tient pas la route, même du point de vue de l'orthodoxie du sida ! Je reproduis d'ailleurs ci-dessous une partie de leurs conclusions : Alors, si même du point de vue de l'orthodoxie du sida, cette thèse ne tient pas, que dire du point de vue dissident ! En effet, nous savons déjà que les différents composants pathogènes du vaccin de même que le principe même de la vaccination peuvent en elle-même suffire à causer, non pas la transmission de je ne sais quel mystérieux "VIH", mais bien diverses maladies appelées par commodité et par paresse intellectuelle "sida" (tantôt pour avoir réagi postivement au test appelé à tort "VIH", tantôt pour avoir simplement répondu à la définition de Bangui, même sans test dit "VIH" positif !) Mais il y a toujours mieux ! En effet, cette thèse pour le moins abracadabrantesque présuppose déjà comme un fait établi que le pseudo "VIH" a bien été transmis à l'homme par je ne sais quel singe d'Afrique, comme on le lit et l'entend chaque jour dans la presse. Est-ce bien le cas ? On sait déjà que par définition, la réponse est déjà négative puisqu'on a déjà démontré à d'innombrables reprises que chez l'humain, l'orthodoxie du sida n'a jamais été en mesure de prouver l'existence d'un rétrovirus dénommé "VIH" qui serait exogène. Dans ces conditions, par définition, il est impossible de prouver qu'un rétrovirus que l'on n'a jamais pu isoler chez un humain et dont on ne sait donc même pas s'il existe, ait pu être transmis par un singe du fin fond d'Afrique centrale. On vient de voir justement ci-dessus que l'orthodoxie du sida a pu démontrer elle-même que ce rétrovirus inexistant ou à tout le moins invisible n'a pas pu être transmis aux humains via le vaccin contre la polio. Alors que reste-t-il encore ? Le "VIH" existerait quand même chez le singe comme on nous le fait croire depuis plus de 20 ans ? En effet, n'est-il pas affirmé qu'une forme apparentée de "VIH" existerait chez certains (très rares) singes, appelée "SIV" ? Et bien, non bien sûr ! J'invite à cet égard le lecteur à lire par exemple cet article anglais du Perth Group, dont la publication fut refusée par la revue "Nature" (on comprendra aisément pourquoi) et dans lequel le Perth Group démontre clairement que l'isolation du "SIV" du singe est confrontée exactement aux mêmes problèmes que la soi-disant isolation du "VIH" humain. En d'autres termes, jusqu'à ce jour, le "VIH" du singe (ou "SIV") n'a jamais été isolé. Tout au plus, pourrait-il s'agir d'un rétrovirus endogène (et donc non exogène) comme il en existe des milliers de variété dans l'organisme, produit naturellement par l'organisme du singe. Mais même ce point-là reste à prouver. Et il y a à cet égard un argument de plus (à supposer qu'à ce stade-ci, il soit encore nécessaire d'en invoquer un de plus) qui ne trompe pas. En effet, l'orthodoxie du sida ne cesse de marteler que certains (très rares) singes sont porteurs du "VIH" mais qu'ils sont naturellement immunisés car ne faisant jamais de sida. Faut-il s'en étonner ? Non bien sûr ! A ma connaissance, les singes en question ne sont jusqu'à nouvel ordre pas consommateurs de poppers et autres drogues récréationnelles, d'AZT et autres drogues dites "antivirales" ! Dans ces conditions, il n'y a pas lieu de s'étonner que les singes en question ne fassent pas de sida. En d'autres termes, cette pseudo immunisation des singes contre le "VIH" est un argument de plus (à supposer qu'il soit encore nécessaire d'en ajouter d'autres, bien sûr) en faveur des repenseurs du sida. Nous conclurons donc en affirmant que le "VIH" n'a jamais pu être transmis à l'homme par le singe : - car le "VIH" n'a jamais été isolé jusqu'à ce jour chez l'homme en tant que rétrovirus exogène, - car le "SIV" (le soi-disant "VIH" du singe") n'a jamais été isolé jusqu'à ce jour chez le singe en tant que rétrovirus exogène, - et car l'orthodoxie du sida précise elle-même que ce rétrovirus (inexistant/invisible au microscope électronique) n'a jamais pu être transmis à l'homme via ce vaccin contre la polio. On ajoutera donc en ultime conclusion que ce vaccin contre la polio n'a forcément pas pu transmettre de "VIH" chez l'homme, bien qu'il ait naturellement pu causer des maladies définies sous le vocable "sida", sans que celles-ci n'aient évidemment quelque rapport que ce soit avec du "VIH".
  4. wallypat

    Guérir le Sida!

    COMMENT AUGMENTER LE NIVEAU DE GLUTATHION ? A la demande de plusieurs lecteurs et afin d'éviter des doublons, ce post-ci a été déplacé afin de constituer un nouveau topic consacré tout spécialement au glutathion. Ce nouveau topic s'appelle donc "Le glutathion". Le lecteur intéressé pourra donc retrouver le post en question dans le topic "Le glutathion", dont il est le premier post. Deux des moyens (parmi d'autres) cités dans le post en question pour augmenter le niveau de glutathion est le recours à la sylimarine et à l'acide alpha-lipoïque, raison pour laquelle ont suivi dans ce topic-ci deux posts consacrés justement à la sylimarine et à l'acide alpha-lipoïque, respectivement de "Liane" et de "Cheminot". Pour émettre tous éventuels commentaires complémentaires relatifs à ce post, le lecteur est donc invité à placer ses posts dans le topic "Le glutathion".
  5. QUELQUES CONFIRMATIONS ET MISES A JOUR 1) Un tiers des cas de syphilis non traités évoluent après de nombreuses années (beaucoup moins d'années toutefois en cas de séropositivité) vers des formes de syphilis tertiaire..... Ou moins d'un tiers des cas en fait ?! Il a souvent été précisé dans ce topic (et dans d'autres d'ailleurs) que les cas de syphlis tertiaire ne surviendraient que dans un tiers des cas, et après de bien nombreuses années au surplus. En effet, les deux autres tiers non traités évoluent spontanément vers la guérison (parfois avec subsistance des anticorps). Toutefois, en lisant ce document-ci (un cours donné sur la syphilis), on constate en fait que ce pourcentage est bien plus bas que ce qu'on pouvait penser. En effet, si on examine le début du document, à savoir le tableau du point "II. Evolution générale de la syphilis", on constate que seuls 10% des cas non traités de syphilis évoluent vers le stade de la syphilis tertiaire. En d'autres termes, 90% des cas de syphilis non traités évoluent spontanément vers la guérison (sans médicament donc). C'est du moins ainsi qu'il convient d'interpréter ce tableau, me semble-t-il. 2) Il existerait une forme d'immunité naturelle contre la syphilis J'ai été pour le moins interloqué dans j'ai lu récemment la dépêche suivante, déjà parue au début de l'année passée : En d'autres termes, on a pu constater une augmentation des cas de syphilis oculaire (soit une forme de syphilis tertiaire) chez des séropositifs sous tri"thérapie". Et les scientifiques en question se déclarent surpris car c'était inattendu ! Mais est-ce si surprenant que ça ? Quant je constate l'extrême diversité des symptômes que pourraient (rarement) causer des MST dans la phase ultime, je commence franchement à me demander si ces symptômes ne sont tout simplement pas le produit de diverses formes de stress oxydatif (dont, certes, une partie est certainement induite par les MST en question) qui, conjuguées ensemble, causent des dommages de plus en plus graves à l'organisme, dommages qui se traduisent donc par les multiples et très variés symptômes des maladies qui sont pourtant mises sur le seul compte des MST selon l'orthodoxie médicale. A partir du moment où l'on considère que de réels cofacteurs interviennent concurremment avec les différents germes qualifiés de responsables de MST selon l'orthodoxie médicale, on comprend aisément (ici : dans le cas de la syphilis): - pourquoi les séropositifs sous drogues dites "antivirales" paraissent bien plus susceptibles que d'autres d'arriver parfois (et plus rapidement) au stade tertiaire de la syphilis, - et pourquoi les cas de syphilis tertiaire sont rares (10% des cas) et la plupart des "contaminés" guérissent spontanément même sans traitement. Et parmi ces cofacteurs, on trouvera bien sûr des sources complémentaires de stress oxydatif, comme par exemple certaines drogues dites "antivirales", mais aussi et par exemple l'exposition à des sources d'arsenic et de mercure, comme nous l'avons déjà vu précédemment dans ce topic-ci. Bien entendu, tout cela relève encore du domaine de l'hypothèse (bien fondée, je crois), mais pour en avoir le coeur net, il écherrait que des études scientifiques approfondies soient effectuées sur le style de vie, l'environnement, etc... des personnes qui ont souffert ou souffrent de MST. Malheureusement, ces études ne semblent pas prêtes d'être effectuées puisque la position de l'orthodoxie médicale sur le sujet relève du dogmatisme : les maladies en question sont causées par les MST en question, et rien d'autre. Dans ces conditions, on n'est pas prêt de connaître le fin fond de l'affaire ! Ceci étant, l'étude susvantée de mai 2006 me paraît clairement aller dans cette hypothèses des cofacteurs décisifs, quand bien même les auteurs de cette étude se gardent bien d'aboutir à cette conclusion ou même de la suggérer. Ils se contentent juste d'être étonnés !
  6. Pour éviter qu'un nouveau lecteur n'y comprenne peut-être plus rien, je tiens donc à préciser que ce que tu voulais dire (je présume, du moins), ce n'est pas que le VIH "mute" et deviendrait ainsi résistant aux tri"thérapies", mais bien qu'à la longue : - le consommateur de drogues dites "antivirales" ne résiste plus à la toxicité de certaines de celles-ci, en sorte qu'elles deviennent "inefficaces" et qu'il deviendrait ainsi "nécessaire" d'augmenter et de multiplier la variété des drogues dites "antivirales", - et que les différentes bactéries et autres infections opportunistes (pas le pseudo "VIH" bien sûr), qui peuvent effectivement être combattues par certaines drogues dites "antivirales", s'adaptent et deviennent résistantes. En d'autres termes, ce n'est pas le pseudo "VIH" qui mute et qui devient résistant, mais bien les différents sources bactériennes, virales et autres d'infections opportunistes qui mutent et qui deviennent résistantes. Et quand on sait que certaines drogues dites "antivirales" ont en outre des effets mutagènes, on ne s'en étonnera guère.
  7. Une nouvelle "idée" délirante de l'orthodoxie du sida (en anglais, hélas) : mettre tous les gay sexuellement actifs sous drogues dites "antivirales" ! Visiblement, BIG PHARMA ne fait pas encore assez de bénéfices avec ses tri"thérapies" ! Dans un premier temps, celles-ci étaient destinées aux séropositifs ayant un sida déclaré. Dans un second temps, aux séropositifs asymptomatiques. Dans un troisième temps, à titre de "traitement" dit de "post-exposition", pour ceux qui auraient eu un rapport dit "à risque". Mais l'orthodoxie du sida fait toujours plus fort : maintenant, même les gay dits "séronégatifs" devraient consommer tous les jours des drogues dites "antivirales" à titre "prophylactique" (lol) ! Mais pourquoi les gay uniquement ? Il faut faire preuve d'un certain stoïcisme pour ne pas y voir une forme patente d'homophobie. Voilà qui va malheureusement conforter la thèse de ceux affirmant que le sida a été inventé pour éradiquer toutes les marginaux et autres personnes vivant en dehors des "normes". Désolé, c'était un coup de gueule mais cela permet également d'illustrer que les folies sans fin de l'orthodoxie du sida ne sont pas prêtes de se terminer ..... hélas ! Quand cette hystérie collective du "VIH" cessera-t-elle donc ?
  8. Mais justement, l'étude Padian de 1997 qui a analysé sur 10 ans les risques de la supposée transmission hétérosexuelle de la séropositivité a pu constater que les facteurs les plus importants (= causes) de "transmission" hétérosexuelle de la séropositivité était l'usage de drogues et les rapports anaux réceptifs "subis" par la femme (et également la contamination par de vraies MST). Même chose. Ce sont effectivement surtout celles qui se droguent, mais pas uniquement (car les drogues ne sont pas les seules sources de stress oxydatif). Certaines prostituées, même non droguées, deviennent malgré tout séropositives. Il s'agira notamment des prostituées qui acceptent les rapports anaux réceptifs.
  9. Tu as très bien suivi, au contraire. L'exemple que tu as cité ne relève pas de la science-fiction mais a au contraire déjà pu réellement se passer à plusieurs reprises dans la réalité !
  10. En fait, si je me rappelle bien les explications antérieurement données à ce sujet par Cheminot, si le sperme est un oxydant, ce n'est pas par hasard mais est le résultat de l'évolution naturelle. En effet, cela (entre autres) permettra à la femme de ne pas rejeter les spermatozoïdes (qui sont en pratique des corps étrangers pour la femme) qui se faufilent dans son organisme, faute de quoi la conception d'un enfant deviendrait bien plus difficile. Donc, le caractère oxydant du sperme est "normal" chez la femme. En revanche, ce que différentes études paraissent avoir démontré, c'est que le caractère oxydant du sperme dans l'anus est bien plus élevé que la "normale" chez la femme (via le vagin donc) à tel point que cela peut causer une immunodépression transitoire, en ce compris la survenance transitoire de ce que l'orthodoxie du sida appelle "VIH", même si le donneur n'est pas "séropositif" au "VIH". En réalité, ce que je voudrais savoir, c'est si dans un tel cas de figure, le sperme agit comme un oxydant azoté (le plus dangereux de tous et contre lequel l'organisme a le plus de mal à réagir) ou non. J'ai relu d'anciens posts de Cheminot mais je n'ai visiblement pas trouvé de réponse claire à cette question, très probablement parce que cette question n'avait pas encore été posée jusqu'à maintenant, je crois du moins.
  11. Je me permets de reproduire un petit passage (que j'ai traduit de façon approximative) de cet article que j'ai trouvé très intéressant car ce passage explique de quelle façon (scandaleuse) les protéines dites spécifiques du "VIH" ont été choisies et permet en outre de constater que l'argument de l'orthodoxie du sida selon lequel le sida est causé par le "VIH" car le "VIH" cause le sida n'est pas un argument car relevant de la pure tautologie.
  12. Je sais que ce sujet est TRES sensible pour certains, mais j'aimerais bien en avoir le coeur net sur un point ou deux, du moins d'un point de vue scientifique (pas moral). Tu as donc déjà prouvé à plusieurs reprises et sur base de plusieurs études que le sperme agit comme oxydant lorsqu'il se trouve dans un rectum. J'en déduis à tout le moins que lorsqu'un séropositif souffre déjà d'un très fort stress oxydatif à la suite d'autres facteurs (poppers par exemple), le caractère oxydant du sperme ne va rien arranger, en particulier si cela résulte de "donneurs" différents. Mes questions sont les suivantes. 1) Le sperme agit-il comme oxydant azoté ou non ? Car ce qui cause principalement le sida, ce sont bien les oxydants azotés, me semble-t-il. Donc, si ce n'est pas un oxydant azoté, mais une autre espèce d'oxydants, c'est déjà beaucoup moins "grave". Il me semble d'ailleurs que tu avais déjà précisé à plusieurs reprises que contre les espèces activées de l'oxygène, l'organisme était bien mieux en mesure de se défendre que contre les espèces activées de l'azote. Donc, en l'espèce, le sperme ne pourrait-il pas être une espèce activée de l'oxygène, plutôt qu'une espèce activée de l'azote ? A moins que les choses soient plus compliquées que cela, du genre que cela facilitera l'émergence d'oxydants azotés dans l'organisme ? En tout cas, le sperme, dans les circonstances précisées ci-dessus, ne me semble quand même pas être une source de monoxyde d'azote ... ou je me trompe ? Questions peut-être idiotes mais n'étant pas chimiste ... 2) A supposer que d'une façon ou l'autre le sperme puisse contribuer à favoriser l'apparition ou peut-être plutôt la multiplication d'oxydants azotés dans l'organisme du séropositif, ne peut-on pas considérer que le sperme dans le rectum constitue un facteur accessoire de survenance d'oxydants azotés dans l'organisme quand on le compare à d'autres sources d'oxydants azotés, telles que les drogues récréationnelles comme le poppers ? En d'autres termes, le poppers, même utilisé de temps en temps (que dire alors quand il est utilisé régulièrement), ne reste-t-il pas une source d'oxydants azotés éminemment plus importante que l'administration rectale du sperme ? Ou encore, l'usage du poppers ne reste-t-il pas de loin la pire source d'oxyde nitrique dans l'organisme humain et donc de pire cause de sida, et de loin (avec d'autres drogues récréationnelles, outre des drogues chimiques) ? Désolé d'être un peu cru dans ces questions mais j'aimerais en avoir le coeur net définitivement. Merci.
  13. wallypat

    Oxyde nitrique

    Oui, c'est toujours le cas en Afrique et c'est même la règle générale. Lis par exemple ce post-ci et ceux qui ont suivi.
  14. wallypat

    Oxyde nitrique

    Je réfléchis encore au cas de Lasimar, et complémentairement aux explications proposées par Liane, je me demande si Lasimar ne serait éventuellement pas contaminé (au moins le terme est exact ici) par l'une des deux très rares MST suivantes. Il ne faut en effet pas perdre de vue que selon les "experts" ès sida, il aurait été "contaminé" par le "VIH" (lol), en sorte que les médecins ne s'interrogent même plus sur les vraies causes des divers symptômes anciens et actuels de Lasimar. Ce ne sont bien sûr que deux hypothèses à (faire) vérifier par le principal concerné. 1) La Lymphogranulomatose vénérienne Cette maladie vénérienne était inconnue en France, mais depuis peu elle commence à réapparaître (de plus en plus souvent) en France, et tout particulièrement dans les "coins chauds" de Paris. Ceci étant, les médecins ne pensent que très rarement à examiner cette possibilité, et quand ils y pensent, ce n'est que quand cette MST se manifeste par des complications graves à l'anus. Or ces atteintes à l'anus ne concernent que les personnes ayant des pratiques anales réceptives. Mais Lasimar paraît plutôt être du genre "actif", donc, cette MST pourrait passer plus facilement inaperçue (comme bon nombre d'autres MST aux stades primaires et secondaires). Examinons les symptômes de cette maladie, par exemple en lisant ce document-ci : Or parmi les symptômes décrits par Lasimar,nous trouvons entre autres : forte douleur à la déglutition, cinq jours de fièvre de cheval et la méningite bien sûr. Dans cet autre document, il est également précisé que cette maladie peut se manifester par douleurs musculaires et articulaires, ce dont Lasimar semble encore souffrir justement. Indépendamment de la lymphogranulomatose vénérienne, il existe également la lymphogranulomatose bénigne également appelée sarcoïdose, où le système immunitaire produit une réponse immunitaire très forte (pouvant être assimilée à la pseudo primo-infection par le VIH). Cette maladie se caractérise entre autres par une méningite lymphocytaire parmi ces signes extra-respiratoires, et aussi fièvre, douleurs articulaires, .... 2) Le mycosplasma hominis Je crois que cette seconde possibilité me semble également intéressante car elle permet d'établir clairement une corrélation avec sa consommation d'arginine, laquelle a "coïncidé" avec l'apparition des symptômes, et dont la cessation a "coïncidé" avec la disparition de la plupart des symptômes, du moins, si je l'ai bien compris. Les mycoplasmes sont des microbes proches des bactéries dont il existe plusieurs familles et qu'on ne peut pas détecter avec une prise de sang (cela a donc peut-être échappé à l'attention du médecin traitant). J'ai eu l'occasion de lire que l'on peut en contracter sans que cela cause des symptômes quelconques. Mais ce qui est intéressant de savoir, je crois, c'est que certains mycoplasmes utilisent l'arginine comme source d'énergie (!), ce que confirme également Wikipedia (bon, je sais, c'est loin d'être la meilleure référence, mais bon, on fait avec les moyens du bord ! lol). Et Wikepedia précise également que parmi les mycoplasmes qui utilisent l'arginine (qu'a donc consommé Lasimar) comme source d'énergie, il y a entre autres la Mycoplasma hominis, qui est sexuellement transmissible. Et ce document (à la fin, sous le point "Etiologies rares") précise que les mycoplasmes peuvent entre autres causer des méningites. En outre, il y a peut-être moyen de relier les deux hypothèses citées ci-dessus, à savoir lymphogranulomatose et mycoplasme. En effet, dans le numéro 44 de Nexus (mai-juin 2006), il y a un volumineux dossier consacré à la grippe aviaire, où l'on précise en autres que le mycoplasme est un facteur dans la survenance de diverses maladies, dont le lupus (or Lasimar a noté entre autres comme symptômes : "éruption cutanée ressemblant au lupus (deux jours durant)") ..... et la sarcoïdose, déjà citée ci-dessus et connue également sous le nom de "lymphogranulomatose bénigne" ! Avec un petit raccourci, nous arrivons donc à : arginine (cela semble commencer avec cela, chez Lasimar, du moins si j'ai bien compris) ---> mycoplasme ---> lymphogranulomatose (vénérienne ou bénigne). Je ne sais vraiment pas ce que tout cela vaut, mais outre les hypothèses retenues par Liane, je crois que ce serait prudent pour Lasimar de s'assurer qu'il n'a pas été contaminé par une forme quelconque de lymphogranulomatose ou de mycoplasme sexuellement transmissible, d'autant plus que je doute très fort que ces deux possibilités aient été un seul instant envisagées par les "experts" ès "VIH", tout heureux d'avoir trouvé du soi-disant "VIH" chez Lasimar. En tout cas, il y a bien une chose dont je suis certain à 200%, c'est que le pseudo "VIH" n'y est absolument pour rien (outre le fait qu'il est en plus séronégatif en Australie, du moins sur base des informations communiquées par Lasimar et en fonction même des sottises délirantes de l'orthodoxie du sida) !
  15. wallypat

    Oxyde nitrique

    Bravo Liane pour cette étude des réelles causes potentielles des diverses maladies et symptômes endurés par Lasimar ! Voilà une petite étude mille fois plus intelligente et intéressante que le prétexte bien commode et passe-partout du "VIH", lequel permet aux "experts" de la médecine de ne pas s'interroger sur les causes réelles des ennuis de santé de Lasimar. Ceci étant, je me permets de revenir brièvement sur la première phrase de ton post : Ecoeurant !
  16. wallypat

    Guérir le Sida!

    En fait, Vitosi, j'ai déjà entièrement reproduit cet article à la page 3 de ce même topic, dans un post du 6 mai dernier. Il y a même un renvoi vers celui-ci depuis la synthèse générale sur le sida. Au moins, l'avantage dans cette deuxième publication, c'est que vraiment, le lecteur ne pourra plus dire qu'il ne sait pas comment traiter efficacement et de la façon la moins dangereuse possible la séropositivité et le sida. Il n'aura plus d'excuses !
  17. wallypat

    Oxyde nitrique

    Quant aux deux autres méthodes cités dans ton document, ils s'agit de méthodes de détection absolument non courantes et utilisées dans des cas exceptionnels. Elles allient détection d'anticorps (Western Blot) et détection de l'antigène P24 ou encore détection d'acides nucléiques du "VIH". Dans le cadre de ces deux autres méthodes, alors, "logiquement", il n'est pas requis en Australie que 4 bandes réagissent au Western Blot car ils ont déjà eu une "confirmation" avec l'antigène P24 et les acides nucléiques. Ces autres méthodes sont également utilisées dans d'autres pays, dont la France, mais pour ceux-là aussi, le protocole et les conditions de "confirmation" varient. Et donc, la confirmation de la séropositivité au "VIH" variera également en fonction des pays, et parfois même des laboratoires. Mais pour en revenir à la détection du "VIH" par la seule méthode de détection des anticorps, soit la seule méthode couramment utilisée, tu auras pu constater qu'il faut bien quatre bandes "positives" au Western Blot et trois seulement en France. Donc, en France, Lasimar est un condamné à mort, en Australie, c'est un miraculé ayant frôlé la catastrophe de la "contamination". Conclusion Tu as tort, Venusien. PS : Maintenant, tu me diras : "Que faut-il penser de ceux qui ont alors plus de 4 bandes postives, ou même les 10 ?" (d'ailleurs, ce fut mon cas : 10 bandes [très largement] positives, mais je sais très bien pourquoi). La réponse est très simple : indépendamment du caractère ridicule des méthodes de diagnostic du "VIH", dont les crtières varient en fonction des pays et même de l'époque (!), il n'a tout simplement pas été prouvé que ces 10 protéines ont quelque spécificité que ce soit avec un rétrovirus dénommé "VIH". Maintenant, avoir 10 bandes positives au lieu de 4, c'est évidemment très mauvais signe car cela signifiera, en principe, que la personne en question souffre généralement d'un plus grand stress oxydatif que celui qui n'en a 4. En tout cas, cela devra être pris encore plus au sérieux (sans que cela n'ait bien sûr quoique ce soit à voir avec le "VIH").
  18. Un très grand merci, Papillon de nuit. Ce que je ferai déjà quand j'aurai le temps, c'est ajouter trois petits points supplémentaires dans le sommaire : 1) Le mythe de la "primo-infection" (avec référence au post de Psyence), que je placerais dans les applications pratiques du test dit "VIH". 2) L'intérêt fondamental des polyphénols, dont le Padma 28 serait l'un des meilleurs, que je placerais dans le chapitre consacré au traitement du sida. 3) Et un renvoi vers un post où l'orthodoxie du sida confirme l'intérêt absolument fondamental du glutathion ..... bien des années après la dissidence du sida. Concernant le sujet de la "primo-infection", je suggérerais qu'on y réponde (du moins, s'il y a encore quelque chose à dire) dans le topic "Oxyde nitrique", à la suite du post de Lasimar et du mien.
  19. wallypat

    Oxyde nitrique

    Bon, Lasimar, je fais aussi très vite. Je me permets de te renvoyer à ce post que j'ai écrit en réponse à Psyence et qui est valable pour toi aussi. 70% (je crois) de la population française est porteuse d'anticorps contre le CMV. Ces 70% ne font pas de sida pour autant ! Outre les explications figurant dans le post auquel je t'ai renvoyé, tes anticorps anciens à une chlamydiae et la circonstance que tu as peut-être contracté le microbe causant le CMV lors de ce rapport "non protégé" et la mauvaise réaction qui a suivi (cf tes divers symptômes de la supposée "primo infection"), peuvent parfaitement expliquer que ton test dit "VIH" ait viré au rouge ! En tout cas, sur base de ce que tu as écrit (et ton style de vie apparemment "sain"), je considère que tu n'as aucun risque de faire un sida un jour. A moins de jouer l'effet nocebo (et quand je lis tes posts antérieurs, il est clair que tu es pleins dedans; je te proposerais donc de mieux "étudier" la dissidence du sida pour remédier à ce maudit effet nocebo). Bref, j'arrêterais de voir ces "experts" VIH (effet nocebo) et je mènerai la vie en oubliant définitivement ce fichu test "VIH". Franchement, s'il y en a bien un ici qui ne doit pas s'inquiéter, c'est bien toi ! En tout cas, c'est mon avis.
  20. Bon, je fais très court faute de temps (et ce sera d'ailleurs comme cela durant les prochains jours aussi), d'autant plus que ce topic me semble guère approprié pour répondre. L'orthodoxie du sida prend en fait le problème à l'envers pour mieux faire croire au mythe du VIH. Lisez le début du document suivant. Premièrement, on constate que les chiffres les plus farfelus courent à ce sujet quand à sa fréquence, et la (pseudo) infection pourrait bien se manifester par des symptômes que dans 5% des cas. Quand bien même ce chiffre serait un peu plus élevé (mais en réalité, on n'a pas de chiffre fiable), c'est tout à fait négligeable, et cela ne prouve rien, si ce n'est que l'organisme a mal réagi à je ne sais n'importe quel stimulus extérieur(bactérie, virus, etc...) Que je sache, n'importe quelle personne séronégative souffre régulièrement de ce genre d'infection. Ce n'est pas l'apanage des séropositifs. En réalité, la bien hypothétique primo infection, lorsqu'elle "se manifeste" par des symptômes, ne constitue pas la preuve que l'on a été contaminé par le VIH mais bien la preuve qu'on a bien pu être contaminé par n'importe quelle autre bactérie, virus ou je ne sais quel microbe. En d'autres termes, les smptômes de la primo infection sont tellement variées et banales que n'importe quoi peut l'expliquer. Il n'est nullement nécessaire d'avoir le "VIH" pour l'expliquer. Il en va d'ailleurs de même dans les quelques cas de "primo infection" où les symptômes sont moins banals. Mais dans ces quelques cas, la primo infection, si elle est sérieuse, porte le nom d'une maladie déjà existante. Il n'a nul besoin du VIH pour l'expliquer. En réalité, l'orthodoxie du sida fait du n'importe quoi en la matière. Si après la supposée pseudo infection, le test dit "VIH" reste désespérément négatif (ce qui sera presque toujours le cas en fait, car rappelons le, les symptômes de la primo infection sont d'une banalité affligeante et des millions de gens ont des symptômes de ce genre chaque année sans devenir séropositifs pour autant), il sera dit qu'il a fait une grippe ou un gros rhume. En revanche, toujours avec les mêmes symptômes, si le test dit "VIH" devient positif, il sera dit qu'il a été contaminé par le "VIH" à cette occasion-là ! Quant à savoir pourquoi dans les semaines qui suivent des symptômes de ce genre (quand ils surviennent, je le rappelle, et appelés "primo infection), un test VIH peut - rarement - devenir positif, il suffit par exemple de retenir que l'un des facteurs pouvant rendre un test dit "VIH" positif est le fait d'avoir vécu un peu auparavant une infection microbienne ou virale aiguë, ce dont justement les symptômes, parfois aigus, de la supposée primo infection témoignent. Alors, si en plus, le nouvellement "contaminé" prend du poppers et que je sais-je encore, il n'y a vraiment pas de quoi se poser la question. Quant à savoir pourquoi une personne est devenue positive alors que c'était la première fois de toute sa vie qu'elle avait eu une relation "non protégée", franchement, est-il vraiment nécessaire de se poser la question ? Des milliers personnes ont eu une première fois "non protégée" avec un séropositif et restent désespérement négatives au test dit "VIH". Quant aux rares autres qui le deviennent, ma foi, un rapport sexuel non protégé est l'une des meilleurs façon d'attraper toute une variété de microbes les plus divers du partenaire soi-disant "contaminé" et de parfois mal réagir. Et cela est d'autant plus le cas lorsqu'il s'agit de la première fois "non protégée" car la personne nouvellement "contaminée" est confrontée pour la première fois de sa vie et de plein fouet à des tas de nouveaux microbes. Son organisme n'y est parfois pas préparé. C'est un peu comme cette manie qu'ont certaines personnes de se laver (analogie : utiliser toujours la capote) matin, midi et soir tous les jours. Ces personnes sont justement celles-là qui sont les mieux à même de devenir malades lorsqu'elles sont en contact avec un "nouveau" microbe un peu plus virulent que les autres (analogie : pouvant provenir d'un rapport non protégé). Leur organisme n'ayant que rarement été stimulé antérieurement par les microbes environnants "habituels" et ayant donc rarement eu antérieurement l'occasion d'exercer leur système immunitaire de façon optimale, elles sont susceptibles de réagir bien plus sérieusement (gros symptômes) lorsqu'elles sont confrontées à des microbes un peu plus virulents que d'autres. Attention : ce n'est pas une incitation à ne plus utiliser la capote, c'est juste pour illustrer mon propos. En conclusion : les symptômes de la supposée primo infection ne constituent pas la preuve d'une infection par le supposé "VIH", au contraire, ils sont de nature à rendre le test dit "VIH" positif. Il faut donc replacer ce faux problème dans le bon ordre et ne pas déduire que c'est la preuve d'une infection par le "VIH". C'est au contraire la preuve d'une infection par n'importe quel autre (et réel) bactérie, virus, microbe, etc... et parfois, les réactions peuvent être tellement fortes qu'elles sont susceptibles de rendre le test dit "VIH" positif. Et en outre, c'est plutôt rare même. Il faut également se dire que quand un test dit "VIH" est positif, le nouvellement "contaminé" sera invité par le médecin à se rappeler s'il n'a pas eu une relation "à risque" auparavant (et bien sûr, dans la généralité des cas, il trouvera au moins un cas, et si franchement, c'était un saint, une fellation non protégée sera incriminée [c'est entre autres de cette façon-là que l'on aboutit aux statistiques des risques de contamination en fonction des pratiques sexuelles et au mythe grotesque que ce virus aurait une tendance "naturelle" à préférer 100 fois plus les anus que les vagins; pourtant, un virus est fait pour proliférer, il ne peut se permettre de "faire le difficile", sinon il meurt]), et aussi si dans les semaines qui ont procédé, il n'aurait pas eu des symptômes quelconques. Evidemment, en cherchant un peu, il se rappellera de symptômes qui arrivent à tout un chacun sans qu'on y prête attention. Mais dans ce cas, ce sera interprété comme la "preuve" de la primo infection.
  21. Je n'ai pas encore eu le temps de lire bien attentivement tes deux derniers posts, mais concernant les lymphocytes T4, on peut apporter les quelques éléments complémentaires suivants, du moins tel que je le comprends à l'heure actuelle (car cela évolue chaque mois, si pas chaque semaine ! lol). 1) Les sidéens ne souffrent pas réellement d'un système immunitaire déficient car ils sont parfaitement capables de se défendre contre la plupart des infections bactériennes et virales, et peut-être même mieux que bon nombre de séronégatifs puisqu'ils ont en principe bien plus d'anticorps que ces derniers. Ces maladies sont causées très généralement par des "microbes" (pour faire simple) pathogènes extracellulaires. En revanche, ils souffrent de maladies bien particulières, de maladies "exotiques", caractéristiques du sida. Ces maladies sont causées par des "microbes" pathogènes intracellulaires, qui pullulent lorsque le sang ne transporte plus correctement l'oxygène vers les cellules (par suite du stress oxydatif), et contre lesquels les sidéens ne sont plus en mesure de se défendre 2) En réalité, la chute des T4 est le plus souvent apparente. Sous l'effet du stress oxydatif, certains meurent d'apoptose (suicide programmé suite à leur épuisement induit par un excès de monoxyde d'azote = stress oxydatif) mais la plupart quitte la circulation sanguine pour se réfugier dans les tissus. Les T4 en question sont des TH2 qui activement l'immunité par des anticorps (qui sont justement très nombreux chez les séropos et sidéens, tellement nombreux d'ailleurs qu'au bout d'un certain moment, ils dépassent un certain seuil et peuvent rendre le test dit "VIH" positif), lesquels anticorps permettent justement de se défendre contre la plupart des microbes pathogènes extracellulaires, soit la plupart des maladies bactériennes et virales contre lesquelles le séropo continue à bien se défendre. En revanche, comme il y a de moins en moins de T4 dans le sang, soit les TH1 (mais cette baisse est apparente car la plupart des T4 sont partis dans les tissus sous l'effet du stress oxydatif où ils deviennent les TH2), le sidéen est de moins en moins capable de se défendre contre les germes pathogènes intracellulaires, lesquels causent justement les maladies exotiques du sida. Or pour se défendre contre ceux-ci, le sidéen a besoin des T4 qui produisent du monoxyde d'azote (ou oxyde nitrique), soit les TH1. Mais ces derniers sont justement partis dans les tissus (où ils deviennent des TH2). Cette baisse des T4 dans le sang est donc apparente. Si le stress oxydatif diminue (par exemple, grâce à la lamivudine, une des drogues dites "antivirales"), une partie des T4 (les TH2) qui étaient dans les tissus pour activer l'immunité par anticorps revient dans la circulation sanguine (---> hausse des T4) et redeviennent des TH1, et ils peuvent à nouveau se défendre contre les maladies exotiques causées par les germes pathogènes intracellulaires (puisqu'ils ont à nouveau dans le sang, plus de TH1). En résumé, dans le sang, il y a des TH1 et des TH2 (l'ensemble formant les T4) et sous l'effet du stress oxydatif, il y a de moins en moins de TH1 dans le sang. Mais ce phénomène est en principe réversible. 3) La seule baisse des T4 n'est pas suffisante pour prédire la progression du sida car il n'y a pas que le stress oxydatif qui cause une baisse (apparente) des T4. Des tas d'autres facteurs peuvent également l'expliquer, à commencer déjà par le simple fait de souffrir d'une maladie. En revanche, on constate chez les séropos et surtout chez les sidéens un fort déficit en glutathion, dont la mesure constitue en réalité le meilleur indicateur de risque vers un sida déclaré. Donc en résumé, cela devient : - Peu de T4 mais concentration normale de glutahion : pas trop d'inquiétude, pour autant que cette baisse des T4 soit passagère. - Peu de T4 et niveau de glutathion inférieur à la "norme" : il faut alors très très sérieusement s'inquiéter !
  22. wallypat

    Oxyde nitrique

    Il est quasiment impossible de te répondre, Lasimar, à défaut de connaître tes antécédents. Car l'arginine n'est pas forcément mauvais pour l'organisme. Il existe d'ailleurs de l'arginine en complément alimentaire. L'oxyde nitrique tant décrié pour son lien de causalité avec le sida quand il est en excès reste indispensable pour l'organisme. Idem pour l'arginine. Ce dernier intervient d'ailleurs et par exemple dans les processus de cicatrisation et d'activation lymphocytaire, d'après ce que j'ai pu lire. Tout est question d'équilibre. Ce que j'ai essayé de faire dans mon post précédent, c'est de tenter d'expliquer, je crois de façon plausible, pour quelle raison la canavanine pourrait effectivement aider des sidéens africains à aller mieux, c'est-à-dire en inhibant dans ces cas-là l'action de l'arginine. Maintenant, il ne s'agit pas d'en déduire que l'arginine est mauvais pour la santé dans tous les cas ! Pour pouvoir en dire plus, il faudrait nous en dire bien plus, c'est-à-dire connaître ton "historique".
  23. wallypat

    Guérir le Sida!

    Comme je crains que l'article cité dans mon précédent post ne soit plus disponible d'ici quelques semaines, je reproduis ci-dessous les passages les plus intéressants, article, dont je le rappelle, a bien été écrit par un tenant de l'orthodoxie du sida. Il va de soi que chaque fois qu'il est fait référence aux "mécanismes d'action du pseudo 'VIH'", il convient de traduire cela mutatis mutandis par les "mécanismes d'action du stress oxydatif". Notons l'avant-dernier paragraphe reproduit. Ce qu'il dit en définitive, c'est que le glutathion est de nature à augmenter les lymphocytes T4 mesurables (dans le sang), en ce sens qu'une partie des T4 qui se sont "enfui" vers les tissus (soit les TH2) sous l'effet du stress oxydatif retourne dans la circulation sanguine (soit les TH1). Il est précisé que la lutte contre le sida va connaître une grande avancée grâce aux connaissances du glutathion. Mais bon sang, ils ont 15 ans de retard ! Cela n'a rien de nouveau pour les dissidents du sida. Mais le plus "drôle", c'est encore le dernier paragraphe reproduit, à savoir que le Bactrim serait plus efficace si on augmente le taux de glutathion. En réalité, on sait déjà que le Bactrim en "prévention" et en mono"thérapie", ce n'est rien d'autre que du sida sur ordonnance (un peu comme l'AZT en mono"thérapie", mais en moins vite généralement). Lisez par exemple cet article-ci (en anglais). En réalité, c'est la baisse du glutathion qui favorise l'émergence des maladies caractéristiques du sida, dont la pneumocystose. L'augmenter est déjà une grande partie de la solution. Le Bactrim n'y est strictement pour rien.
  24. wallypat

    Oxyde nitrique

    La théorie du stress oxydatif permet, semble-t-il, d'expliquer pourquoi la plante "sutherlandia" permet aux sidéens africains d'aller bien mieux, et peut-être bien mieux que bon nombre de séropositifs occidentaux puisque le sida africain est en premier lieu un sida nutritionnel (et non un sida toxique comme chez nous). Il est en effet précisé à la fin du document cité par Liane que l'on a isolé dans cette plante de la "canavanine". Or Wikipedia précise : En l'occurrence, les autorités françaises s'inquiètent déjà pour un taux de 0,1%. Or, ci-dessus (Wikipedia), il a été précisé que le sutherlandia comprendrait jusqu'à 2 mg de canavanine par gramme de feuille séchée. Ne peut-on donc pas craindre que la canavanine soit une arme à double tranchant pour traiter les sidéens africains, en ce sens qu'au début ils iront mieux, mais qu'ensuite, du moins, s'ils continuent à consommer cette plante sur le long terme, diverses maladies auto-immunes pourraient surgir chez ceux-ci, maladies qui seront bien sûr mises sur le compte du "VIH" ? N'oublions d'ailleurs pas qu'au début de ce post, il a justement été précisé que la canavanine est l'analogue toxique de l'arginine. Je crois donc que l'on peut se poser des questions sur l'innocuité de cette plante, du moins si elle est utilisée à long terme ! Ce n'est bien sûr qu'une hypothèse, mais je me pose quand même la question. En tout cas, de prime abord, cela semble dangereux de la consommer sur le long terme.
  25. wallypat

    Guérir le Sida!

    Je voulais juste signaler que dans le magazine Votre Santé N° 119 du mois de Mai 2006, un article de la plume d'un orthodoxe du sida vient de paraître. Il est particulièremebt édifiant puisqu'il ne précise rien d'autre que le glutathion permet de combattre le "VIH" en améliorant le "terrain" ! Ce que les dissidents du sida disaient déjà depuis plus de 10-15 ans ! On peut donc en conclure que la pérennisation du dogme du "VIH" fait perdre 10 à 15 ans à la recherche, et ce pour le plus grand profit des entreprises pharmaceutiques ..... et pour le grand malheur des séropositifs et des malades du sida !
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