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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. wallypat

    Guérir le Sida!

    Intéressant ce passage. On paraît effectivement très bien voir combien Montagnier est entre le marteau et l'enclume !
  2. En voilà un qui épluche visiblement avec force détails tout ce que j'ai pu écrire ! Ceci étant, on a déjà parlé de cet ouvrage et il est mentionné tout en bas de la synthèse collective. Plus sérieusement, c'était mes tous premiers débuts sur ce site et depuis lors, je pense avoir - très rapidement - fait un long chemin. Et surtout, ce jour-là, j'avais appris le décès subit d'un ami extrêmement proche, mort de complications cardiaques soudaines (il était sous drogues dites "antivirales"), ce qui m'avait complètement déstabilisé sur le moment. Mais dès le lendemain, je repris très rapidement du poil de la bête, en me disant que la meilleure façon de le "venger" était de réaliser l'impossible, à savoir faire triompher la dissidence du sida. Et depuis ce jour-là, c'est bien devenu mon but principal dans la vie et ABSOLUMENT RIEN ne m'en dissuadera ! Voilà, maintenant tu connais le fin fond de l'affaire.
  3. Tiens, par hasard, ce soir, j'ai lu deux articles (qui sont cités ci-dessous) en anglais d'où il ressortirait visiblement qu'il n'y aurait pas eu qu'une seule étude (comme je l'avais pensé dans un post précédent) sur les effets de la "Névirapine" quant à la transmission verticale du "VIH". Cela semble assez flou de savoir si c'était avec un groupe placebo ou non. Mais là n'est pas le plus important. En effet, je constate que l'article de Celia Farber dans Harper's, en mars dernier, semble avoir - enfin - mis clairement le feu aux poudres aux USA et que les orthodoxes du sida s'énervent, gesticulent et paraissent nourrir de plus en plus de craintes au sujet de la survie de leur théorie. La preuve en est par exemple cet article, paru au début de ce mois, où l'orthodoxie du sida accuse les repenseurs du sida d'être des "AIDS denialists", avec bien sûr les complaintes habituelles, mais non argumentées ou très peu scientifiquement (ils se basent en fait sur la "science" de la divination pour tenter de réfuter dans cet article les repenseurs [et je n'exagère pas quand j'utilise le terme "divination"]; et faisant flèche de tout bois, par un jeu d'esprit des plus méprisants, l'orthodoxie du sida, visiblement désespérée, va même jusqu'à laisser entendre que les repenseurs du sida nieraient la réalité du génocide rwandais [vraiment du n'importe quoi de leur part]). Et en outre, ils se plaignent de la parution de l'article de Celia Farber, tout en précisant qu'il a été réfuté par Gallo et consorts, mais en omettant "bizarrement" de préciser que cette réfutation a elle-même été contre-réfutée sur les points essentiels par la dissidence du sida (voir la synthèse collective). Pourquoi un tel déferlement de haine et de fureur à l'encontre des repenseurs ? Parce que Celia Farber avait rappelé les propos tenus par un membre du Perth Group, étant Valendar F. Turner, qui avait mis en son temps le doigt là où cela fait mal. Il avait en effet rappelé l'une des conclusions qui figurent dans une étude scientifique datant de 1998 (raison pour laquelle j'en parle dans ce topic-ci) : En d'autres termes, dans une étude africaine (qui, certes, ne portait pas principalement sur le "VIH"), on avait pu constater que sur 158 femmes enceintes séropositives non "traitées" (par l'AZT ou Névirapine), seuls 19 nouveau-nés étaient séropositifs, soit un pourcentage de 12% seulement. Evidemment, cela fait très mal pour l'orthodoxie du sida lorsqu'on constate que des études scientifiques ont abouti à la conclusion que 25% des femmes "traitées" avec de l'AZT et 13,1% de celles "traitées" avec de la Névirapine donnaient naissance à des bébés séropositifs. En d'autres termes, il y a de sérieuses raisons de penser qu'une femme enceinte séropositive "traitée" avec de l'AZT a deux fois plus de risque qu'une femme enceinte séropositive non "traitée" de donner naissance à un bébé séropositif, et que l'usage de la Névirapine est aussi efficace qu'un placebo (mais avec les effets secondaires, parfois mortels, en plus). Bien entendu, quelques jours plus tard, le Perth Group a soumis à la revue "Nature" une réfutation courte mais cinglante ("La divination n'a pas de place dans un débat scientifique"), laquelle fut promptement rejetée par la revue sans motif d'explication (comme cela est presque toujours le cas, et on ne s'en étonnera pas). On la trouvera toutefois en cliquant sur ce lien, le Perth Group ayant donc dû se résoudre à la publier sur son propre site. Le présent post n'est qu'un résumé en français de cette petite réfutation en anglais. Notons pour les personnes intéressées que le Perth Group a publié sur son site une monographie on ne peut plus détaillée de 214 pages sur l'étude de la transmission verticale du "VIH". On la trouvera en cliquant sur ce lien. Enfin, pour finir sur une note de bonne augure pour les repenseurs du sida, j'ai pu constater dans cette dépêche du 7 juin dernier, que le président sud-africain Mbeki n'a jamais été aussi populaire dans son pays ! En effet, sa cote de popularité s'élève actuellement à 77%, soit une cote presque aussi élevée que la plus haute obtenue en son temps par le président Mandela (79%). Je constate également à la lecture de cette dépêche que sa cote de popularité n'était que de 51% en 2000, soit en pleine année de la fameuse conférence de Durban. Visiblement, les sud-africains ne paraissent pas du tout avoir de remontrances à formuler à l'encontre de leur président quant à sa façon de gérer l'hystérie psychotique du sida dans son pays !
  4. En cliquant sur ce lien, on peut voir une photo du Professeur Luc Montagnier en grande discussion (aimable, visiblement) avec son "ennemi" juré, Docteur Etienne De Harven, une grande figure respectée de la dissidence du sida. En arrière-plan, on peut voir également le regretté Mark Griffiths.
  5. Et pour les lecteurs francophones qui nous lisent, je résume de la façon suivante : (i) Etant donné que le "VIH" ne cause pas la baisse des T4 à moins que des agents de stress oxydatif soient présents (nitrites comme le poppers, sperme, etc...), (ii) Etant donné que même en l'absence du "VIH", ces mêmes agents de stress oxydatif causent la baisse des T4 (en d'autres termes, le stress oxydatif cause lui-même l'apoptose des T4, sans même l'intervention de ce qui est appelé "VIH"), (iii) Et étant donné que les sidéens sont exposés à de telles sources de stress oxydatif, Il ne peut donc qu'y avoir une seule conclusion : la cause ultime de l'apoptose des T4 (et donc du sida) n'est pas le "VIH" mais bien les nombreuses sources de stress oxydatif auxquelles sont exposés les groupes à risques (gay ---> poppers, MST, sperme; hémophile ---> facteur VIII; etc...). EN CONCLUSION A QUOI SERT ENCORE LE VIH PUISQU'IL N'EST PAS NECESSAIRE OU SUFFISANT POUR CAUSER L'APOPTOSE DES LYMPHOCYTES T4 ?, à moins de le considérer tout au plus comme une conséquence de ce stress oxydatif (puisqu'on vient de voir qu'il ne peut en être de toute façon la cause nécessaire ou suffisante) Cordialement. PS : Désolé pour les fautes de frappe. Et je ne répondrai plus avant ce week-end, faute de temps.
  6. Magnus, Comme la souligné Pikpikandré, la réponse à ces questions se trouve déjà dans la synthèse collective. Concernant le sida dit africain, je tinvite à lire le topic de synthèse y consacré. Certains de ces vaccins ont vraisemblablement pu causer certaines maladies chez les africains qualifiées paresseusement de « sida », mais en tout cas, ceux-ci nont certainement pas transmis de « VIH » auxdits africains, ce que confirme dailleurs lorthodoxie scientifique du sida elle-même (lis par exemple ce post-ci ou encore celui-ci). Pourquoi les premiers sidéens étaient des gay de grandes métropoles américaines et européennes (et constituent dailleurs toujours à ce jour le groupe à risque le plus exposé) ? La réponse se trouve également dans la synthèse collective. En résumé, cela coïncide avec la consommation de plus en plus frénétique et à partir de la fin des années 70 de poppers et dautres drogues récréationnelles. Le poppers, par excellence, est une source excessive doxydants azotés, en particulier doxyde nitrique (variété très toxique de radicaux libres produits par ce stress oxydatif). A plus ou moins longue échéance, si cette pratique se poursuit et en fonction de la résistance des individus (certains pouvant sen sortir), cette consommation de drogues récréationnelles, associée à lion superoxyde (autre produit du stress oxydatif pouvant résulter dautres pratiques : sexualité anale non protégée ( doù utilité de lusage du préservatif, même pour la dissidence du sida) avec une multitude de partenaires différents, MST à répétition, etc...), et reliée à une déficience en glutathion (seul antioxydant pouvant globalement protéger contre ce stress oxydatif particulier, et diminuant en raison des pratiques précitées), va aboutir à la formation de peroxynitrique (très toxique produit du stress oxydatif) qui provoquera lapoptose des lymphocytes T4, plus particulièrement des TH1, qui produisent du monoxyde dazote, lesquels sont épuisés par tout cet accroissement extérieur de monoxyde dazote). En raison de la diminution progressive des TH1 (que la carence en glutathion ne permet plus denrayer, même imparfaitement) et de lépuisement global du séropo, il narrive plus à se défendre contre les infections caractéristiques du sida (contre lesquelles les TH1 auraient justement pu le protéger). Montagnier a confirmé fin 2003 que lun des facteurs dapoptose des lymphocytes T4 est le stress oxydatif (il sest gardé dénumérer quels seraient les autres facteurs de cette apoptose ; mais sil y en avait dautres, cétait pourtant loccasion rêvée pour lui de les énumérer, ne fût-ce que pour tenter dénerver les thèses dissidentes du sida). Cheminot a rappelé récemment que le mécanisme chimique qui précède a été confirmé pour les monocytes (lis ce post-ci), et on ne voit pas par quel miracle les fameux lymphocytes T4, dont la nature est proche des monocytes justement, échapperaient aux conséquences de ce stress oxydatif (donc confirmé par Montagnier lui-même, co »découvreur » du « VIH »). Notons que ce type particulier de stress oxydatif va provoquer l'apparition de ce que l'orthodoxie du sida appelle du "VIH", lequel est donc la conséquence de la maladie, et non sa cause ! Pour savoir ce qu'est réellement le "VIH", lis par exemple ce post de synthèse.
  7. Je suis évidemment daccord avec la plupart des assertions de Nico111, de Pikpikandré et de Liane, et ma réponse à Magnus, portant sur divers points et déjà assez longue comme cela, navait pas spécialement pour but daborder cette question de la vaccination avec précision ; le (petit) point relatif à la vaccination avait surtout pour but de montrer avec quelle pitoyable énergie du désespoir, lorthodoxie du sida tente de mettre au point depuis 22 ans et en vain, un vaccin préventif contre le soi-disant pathogène « VIH », « pitoyable » car basé sur lidée, pourtant saugrenue, que le sida serait causé par le « VIH ». On remarquera que les posts en question de ces trois intervenants ne remettent pas directement en question la théorie du stress oxydatif (et non du « VIH ») comme cause du sida et apoptose des lymphocytes T4. Ceci étant, je compte bien apporter quelques bémols (de taille, je pense) à certaines des affirmations de Nico111 et de Pikpikandré étant donné que dans ma réponse à Magnus, déjà assez longue comme cela, je nai pas eu loccasion dentrer dans les nuances requises (raison pour laquelle les différents posts précèdent), et je serai bien curieux de lire les (éventuelles) réfutations qui pourraient être faites, mais vu la complexité de ce sujet bien précis et le peu de temps dont je dispose actuellement, ce sera pour un de ces (tout) prochains soirs (ce week-end très probablement). Mais promis, je le ferai très prochainement. Par ailleurs, je constate avec plaisir que mon explication portant sur le point de savoir pourquoi la circoncision entraîne dans les pays sous-développés une diminution des cas de séropositivité ne paraît pas faire lobjet de contestations fondamentales ; jen déduis que mon explication semble clairement bien meilleure que celle de lorthodoxie du sida. En revanche, je me désolidarise complètement des propos tenus par « La loutre » et ne puis en aucune façon marquer mon accord sur aucun de ceux-ci, lesquels consistent en réalité en la retranscription, et sans trop réfléchir, des affirmations retrouvées après quelques clics sur des sites « orthodoxes » du sida. Cette affirmation présuppose que le « VIH » existe réellement en tant que rétrovirus exogène. Et à supposer même que cela est le cas, où est la preuve que le « VIH » se réplique chez le sidéen ? Cest un secret de polichinelle que chez environ 70% des sidéens en phase terminale de la maladie, on ne trouve pas de ce qui est appelé du « VIH » par lorthodoxie du sida ; et chez les 30 autres %, ce qui est appelé du « VIH », on nen trouve quà raison et environ à raison de 1 pour 500 cellules « infectées ». Et quon ne vienne pas avec la charge dite « virale » pour prouver la multiplication du « VIH ». La question a déjà été abordée sur ce forum. Au surplus, le recours à la technique du PCR (---> à charge virale) par lorthodoxie du sida est déjà en soi une preuve à lencontre du modèle dit « infectueux » du sida. Si le « VIH » se réplique réellement, ce point devrait être constaté sans même devoir recourir à la trompeuse technique dite de la « charge virale ». Au surplus, je renvois au post ci-dessus où lon constate que même lorthodoxie du sida, en la personne de Montagnier, considère que lapoptose des T4 nest pas due à la multiplication de je ne sais quel « VIH », mais bien au stress oxydatif (tout en essayant de le relier au « VIH » pour des raisons que lon comprendra aisément). A partir du moment où tous les sidéens ont ceci de commun dêtre exposés à des agents toxiques (ou des carences nutrionnelles) suffisant par eux-mêmes à engendrer un tel stress oxydatif, quel est encore lutilité du « VIH », en particulier lorsque sa pseudo isolation laisse tant à désirer ? Pour le surplus et de manière générale, je remercierai les orthodoxes du sida de (tenter de) réfuter les différents arguments figurant dans la synthèse, plutôt que de répéter des affirmations déjà réfutées maintes fois dans les posts auquel renvoit ladite synthèse. Il sagit bien entendu dun travail autrement plus difficile pour ladite orthodoxie du sida (ou plutôt « aristocratie » du sida) ! Merci. PS : Pour la vaccination (et quoique cela ne remette pas en question le modèle du stress oxydatif comme cause du sida), je répondrai donc un de ces tout prochains soirs. Merci pour votre patience.
  8. Magnus, Comme la signalé Pikpikandré, www.sidasante.com est LE site français des repenseurs du sida, et on remerciera jamais le rôle inestimable qua joué en la matière le créateur de ce site, à savoir Mark Griffiths. Ceci étant, tous les articles que tu liras sur ce site ne doivent pas être pris pour argent comptant (il faudrait plutôt considérer ce site comme une sorte de grande bibliothèque en langue française de la dissidence du sida) ! Et cest justement le cas de larticle que tu cites dans ton post. Certes, cet article comprend des informations utiles mais tu remarqueras quil a été rédigé en 1992, dans la période par excellence où les séropos tombaient comme des mouches, le plus souvent à cause de lAZT. Il a en plus été redigé par le célèbre docteur Willner (depuis lors décédé), qui nétait pas loin (si ce nétait même pas effectivement le cas) de partager les idées de complot et de conspiration à légard du sida. Doù dailleurs le titre de larticle que tu cites. Et vu le contexte de lépoque, on peut parfaitement comprendre leurs positions dalors. En réalité, si tu veux aborder la question de la dissidence du sida sur une base solide, ce nest certainement pas en commençant par cet article. Je te recommande de lire plutôt cet article qui vulgarise en synthèse la théorie du stress oxydatif comme cause du sida, théorie élaborée dès 1984 par le Perth Group, mais qui a mis un temps fou à se faire connaître et à gagner en crédibilité en raison de la soi-disant « découverte » concomitante du « VIH ». Et je te recommande ensuite de lire les deux articles (Réfutation de la Déclaration de Durban + Réponses au Président Mbeki) mentionnés en préambule de la synthèse sur le sujet, outre la « synthèse » elle-même. Concernant le question du vaccin, sache que celui-ci représente en réalité le Saint-Graal de lorthodoxie du sida Tu dois savoir quen 1984, il fut tranquillement annoncé quun tel vaccin serait disponible dans les deux ans, chose qui aurait pu être concevable si le sida était vraiment causé par un rétrovirus. Pourtant, 22 ans plus tard, nulle trace dun moindre vaccin. Et pour lexpliquer, lorthodoxie invoque entre autres comme excuse les quatres propriétés magiques susvantées du pseudo « VIH ». En réalité, le plus simple serait de considérer que le sida nest effectivement pas causé par un rétrovirus pour expliquer léchec de la découverte dun vaccin. Noublie dailleurs pas que le « VIH » est le (rétro)virus le plus traqué de toute lhistoire de la médecine, si ce nest de lhumanité. Et pour cause, puisquil nexiste pas en tant que rétrovirus (exogène à tout le moins). Noublie pas également que sauf exceptions (comme dans le cas de la syphilis par exemple), les anticorps à un microbe quelconque signifient en principe que lon est immunisé contre les effets pathogènes de ce microbe ; cest le principe même de la vaccination. Or, en matière de sida, il est dit que posséder de tels anticorps est devenu la marque de la maladie, et non plus de son immunisation. Doù problème : comment va-t-on trouver un vaccin qui protège du sida alors que les anticorps signifient morts en matière de sida (et survie suivant les principes mêmes de la vaccination) ? Et les 22 années qui se sont écoulées sans invention de quelque vaccin que ce soit en la matière le démontrent amplement. Quand on voit les « progrès » en matière de développement de vaccin, on constate que les orthodoxes du sida nessaient pas tellement de mettre au point des vaccins préventifs, mais bien des vaccins curatifs à prendre à répétition. Ce genre de vaccin est davantage apparenté à un « médicament » quelconque quà un vaccin en réalité. Et on pourra très certainement constater que ces (éventuels) futurs « vaccins » sont davantage des antioxydants quautre chose. Bref, ne met pas trop despoir dans quelque vaccin que ce soit en la matière. Les solutions existent déjà (mais pourraient davantage être améliorées si l'on abandonnait l'idée saugrenue du "VIH" et que la communauté scientifique se dirigeait résolumént dans la voie du stress oxydatif), sans quil ne soit en principe nécessaire de recourir aux drogues dites « antivirales ». Et dailleurs, quand on voit ce quil y a déjà lieu de penser des vaccins en général, franchement ... !
  9. Disons plutôt : vous diminuez (et non "supprimez") les risques de contracter une maladie vénérienne (ou une autre maladie source de fort stress oxydatif).
  10. wallypat

    Guérir le Sida!

    Je crois qu'on peut quand même un peu relativiser cette commande de 324 EUR en précisant que certains compléments alimentaires figurant dans cette commande pourraient fort bien être utilisés en doses d'entretien (une fois l'éventuelle carence entre-temps corrigée), en sorte que certains de ces compléments pourraient servir pendant 2 mois ou 3. Ou même ne pourraient plus être utilisés pendant quelques mois. Par exemple, les oméga 3 pourraient ensuite être avantageusement remplacés et de façon beaucoup moins chère par de l'huile de poisson. Cela permettrait d'alléger un peu la note, mais cela reste toujours très cher bien sûr. Car après tout, ces compléments ne sont pas en soi des médicaments mais bien une façon de remédier de façon plutôt naturelle à des carences, qui permettront d'atteindre le stade du sida déclaré s'il n'y est pas remédié. Lorsqu'il a été remédié à ces carences, il ne m'apparaît plus nécessaire de les consommer encore, ou alors uniquement à doses d'entretien ---> la note devient beaucoup moins élevée. Par ailleurs, en faisant des recherches sur internet, on peut constater que certaines trithérapies génériques (utilisées dans les pays en voie de développement) ne coûteraient pas plus de 1,00 EUR par jour. Vu de cette façon-là, les trithérapies s'avéreraient beaucoup moins chères que la commande de sidarta. Mais bon, ce n'est pas une raison suffisante pour recourir à ces poisons (sauf cas exceptionnels). La santé n'a en effet pas de prix !
  11. Je crois qu'il est intéressant à cet égard de lire les explications fournies par l'orthodoxie du sida au sujet de cette transmission moindre du (pseudo) "VIH" en cas de circoncision. On constatera tout de suite que si l'explication est rattachée à l'hypothèse du rétrovirus, nous tombons tout de suite dans le domaine de la pure hypothèse et de la simple spéculation. En revanche, lorsque l'explication est reliée au stress oxydatif comme cause du sida (et du VIH), cela tombe sous le sens (me semble-t-il). Lisez en effet la fin de ce document qui émane manifestement de l'orthodoxie du sida. Voici leur principale explication : On constate tout de suite à la lecture de ce passage, considéré comme simple "facteur" par l'orthodoxie du sida, qu'en revanche, la théorie du stress oxydatif permet parfaitement d'expliquer ce phénomène, et ce sans entrer dans le domaine de la pure spéculation comme l'est l'"explication" fournie ci-dessus par l'orthodoxie du sida. En effet, l'orthodoxie du sida précise elle-même que le prépuce est un véritable nid à bactéries et de virus sexuellement transmissible. Elle utilise également le mot "chancre". Or chancre, cela signifie "syphilis" (une MST donc), et l'on sait que le chancre chez l'homme se localise entre autres au niveau du prépuce. Et il n'est nullement contesté que les maladies sexuellement transmissibles sont justement des sources de fort stress oxydatif (lisez justement le deuxième post qui précède de Cheminot consacré au rapport entre maladies vénériennes et sperme fortement oxydant), à tel point qu'elles peuvent rendre le test dit "VIH" positif (ce n'est donc évidemment pas un hasard qu'à l'occasion d'un test dit "VIH", d'"autres" vraies maladies vénériennes sont découvertes). Le lecteur arrivera maintenant de lui-même à la conclusion ..... pour le moins limpide : en faisant une circoncision, vous supprimez une source très importante de stress oxydatif, à savoir les maladies vénériennes (si pas d'autres maladies sources de stress oxydatif), et donc vous contribuerez à diminuer les cas de séropositivité (par la voie "sexuelle", soi-disant). Contrairement à l'explication orthodoxe (des cellules "spécialisées"), l'explication dissidente du stress oxydatif ne rentre visiblement pas dans le champ des spéculations hasardeuses. Aucun scientifique sérieux ne pourrait à mon sens nier le fait que les MST sont des sources très importantes de stress oxydatif. Mais il y a encore bien mieux. En effet, non seulement l'hypothèse du stress oxydatif n'a pas à s'encombrer d'artifices et de spéculations pour expliquer la diminution des cas de séropositivité en cas de circoncision, elle est en outre - et contrairement encore et toujours à l'hasardeuse et bien osée théorie rétrovirale du sida - en mesure d'expliquer des études contradictoires qui ont été faites quant aux effets de la circoncision sur la supposée transmission sexuelle de la séropositivité. Rappelez-vous en effet de ce post de Cheminot dans lequel il avait relevé que dans les nations industrialisées, la circoncision paraissait bien être sans incidence sur la supposée transmission sexuelle de la séropositivité, ainsi que cela ressort de diverses études scientifiques; au contraire même, elle paraissait même plus élevée chez les circoncis. Des études des orthodoxes du sida, nous déduisons donc : - En occident : circoncision ---> pas de diminution de la supposée transmission sexuelle du "VIH". - Dans les pays en voie de développement : circoncision ---> diminution de la supposée transmission sexuelle du "VIH". Si on l'on se réfère à l'explication orthodoxe, laquelle relève déjà en soi de la spéculation la plus boiteuse, soit les cellules dites "spécialisées", ces résultats complètement opposés dans ces différentes études sont inconcevables et sont de nature à porter un nouveau coup fatal à la bien chimérique hypothèse du "VIH". Il est en effet inadmissible de penser que dans les pays sous-développés, les habitants auraient plus de cellules "spécialisées" que les habitants des pays occidentaux. En revanche, si l'on retient l'hypothèse du stress oxydatif comme cause du sida, les explications tombent encore une fois sous le sens. En effet, sans vouloir faire preuve d'une quelconque forme de racisme ou xénophobie, on peut considérer que dans les nations industrialisées, la population a une bien meilleure hygiène que dans les pays en voie de développement. Par conséquent, les habitants des pays en voie de développement sont plus susceptibles d'être exposés entre autres à des maladies vénériennes, en particulier s'ils ne sont pas circoncis. Ce problème ne se pose guère en Occident, prépuce ou non, car les habitants ont plus facilement accès à une meilleure hygiène, entre autres, au niveau du prépuce. Voilà qui peut expliquer pourquoi la circoncision est sans influence quelconque sur la supposée transmission sexuelle du "VIH" dans les pays occidentaux. Le cas de la circoncision permet encore une fois de démontrer l'incroyable supériorité de la théorie du stress oxydatif comme cause du sida sur celle du soi-disant rétrovirus "VIH" !
  12. Plutôt que de débouler sur ce forum pour proférer des litanies maintes fois entendues, lues et sans intérêt quelconque, je t'invite d'abord à lire l'intégralité de la synthèse qui a été rédigée sur le sujet. Elle a entre autres été faite pour prévenir des réactions épidermiques de cet acabit. Ton intervention n'apporte rien au débat. Les repenseurs du sida ne t'ont pas attendue pour analyser et réfuter tes critiques depuis des lustres. Seul le black-out sur le sujet par la presse généraliste t'a empêchée jusqu'à maintenant de savoir ce qui cause réellement les différentes maladies (qui n'ont rien de nouveau) définies sous le vocable "sida". Sur ONCT, tu as le privilège de connaître en français ce qui cause réellement le sida. Il te "suffit" de lire la synthèse en question. Si après l'avoir lue, tu penses encore que le sida est causé par le "VIH" et, par conséquent, avoir de solides arguments scientifiques de nature à réfuter les arguments des repenseurs du sida et à faire renaître le mythe du sida (rétro)viral de ses cendres, c'est au contraire avec le plus grand intérêt que tes écrits seront lus. Mais entre-temps, nous n'allons pas nous répéter une énième fois alors que la plupart des réponses à tes péremptoires affirmations figure déjà dans cette synthèse. Voilà une réaction typique d'une personne qui ne s'est jamais donnée la peine de lire ce que disent effectivement les repenseurs du sida. Ceux-ci ne nient nullement la réalité des (très graves) maladies définies sous le vocable "sida". En revanche, à ce jour, il n'a jamais été prouvé scientifiquement qu'à supposer même que le "VIH" existe en tant que rétrovirus exogène et pathogène, le sida est effectivement causé par le "VIH". Et nous sommes en droit de le penser lorsqu'on constate que le phénomène du sida et des réelles maladies qui sont regroupées sous ce nom peut parfaitement s'expliquer tout à fait autrement, et sans les incohérences sans fin relevées dans la théorie orthodoxe du sida viral. Ce qui est réalité criminel, c'est de continuer à faire peur aux futurs mères en leur faisant croire avec un bel allant qu'elles transmettront le "VIH" à leur bébé et que la Névirapine serait la solution, alors que : a) à supposer même que le "VIH" existerait, la seule étude scientifique faite à ce jour quant aux effets de la Névirapine (que l'on a administrée à la copine de Patrick) sur la (pseudo) transmission verticale du "VIH" ne montre pas d'amélioration statistiquement significative (ne parlons même pas de l'AZT) : Donc, dans cette seule étude scientifique consacrée aux effets de la Névirapine sur la pseudo transmission verticale du "VIH", le taux de "transmission" du "VIH" a été de 18,1% après usage de la Névirapine et de 21,7% sans usage de Névirapine, ce qui est statistiquement sans la moindre signification. Cette étude fait entre autres fi de la considération essentielle que même nés séropositifs, la plus grande majorité des bébés, sans "traitement", redeviennent séronégatifs après quelques mois (car ils se débarrassent des anticorps de leur mère), et oublie également de tenir compte du fait que plusieurs études ont démontré que même nés séronégatifs, pas mal de bébés qui ont "profité" de ce genre de traitement pendant la grossess ou même après la naissance deviennent très malades et peuvent même développer des maladies qui auraient été définies comme étant un sida s'ils avaient été déclarés séropositifs, et en meurent. Avais-tu déjà eu connaissance de ce qui précède ? b) et que la Névirapine est après l'AZT, le "médicament" le plus nocif, entraînant - entre autres - de très graves dommages au foie, parfois mortels, et même irréversibles après l'arrêt de ce "traitement", ce qui a été encore confirmé le mois dernier : En réalité, la copine de Patrick s'est révélée séropositive très probablement en raison de diverses maladies dont elle a souffert ou souffre encore ou en raison de carences nutritionnelles. La solution consiste à remédier à cela, et non à consommer des drogues dites "antivirales". Mais pour le comprendre, tu devrais d'abord savoir ce qu'est réellement un test dit "VIH" et donc lire la synthèse. Je peux comprendre ton étonnement (je suis également passé par là), mais la moindre des choses à faire avant d'émettre des reproches, c'est d'abord de lire cette synthèse. Je te remercierai donc de préalablement t'atteler à cette lecture.
  13. Evidemment, des individus peuvent être plus résistants que d'autres à la nocivité du lait de vache. Un peu comme les gens qui fument et qui n'auront pas nécessairement un cancer du poumon. Ceci étant, si tu veux t'assurer - de façon raisonnable (car le lait animal peut produire ses effets nuisibles après de très très nombreuses années) - que le lait de vache n'est pas nuisible à ton propre organisme, il y a une solution toute simple : tu arrêtes de consommer du lait (de même que tout produit laitier comme le fromage par exemple) pendant deux mois, et puis tu recommences. Tu pourras alors plus clairement constater si ton état de santé ne s'était pas amélioré, parfois sur des "détails" qui t'ont échappé justement, avec lesquels tu vis depuis de nombreuses années sans t'en rendre compte et auxquels tu n'as pas pensé à incriminer le lait de vache (ou les produits du lait animal en général) : par exemple, le simple fait d'avoir l'une des deux narines "bouchée" en te levant le matin, etc...
  14. Ce ne sont pas les alternatives qui manquent : Détrompe-toi justement ! Je t'invite à lire par exemple l'article cité ci-dessus. Quelques exemples des très nombreuses maladies que peut causer la consommation de lait animal, et dont certaines peuvent bien sûr passées inaperçues, en ce sens qu'en raison de la propagande sur les bienfaits - pour le moins hypothétiques - du lait de vache (et du lait animal en général), on ne pense justement pas à attribuer la cause de ces maladies à la consommation du lait de vache (exactement comme les vaccins, en somme): Et concernant tout particulièrement les bébés et les nourrissons : Quand on lit tout ce qui précède, on comprendra aisément que l'on puisse par exemple lire dans cet article-ci : Ce qui est logique. Comme le sida est entre autres le résultat de nombreuses inflammations et qu'il a été prouvé que le lait animal cause de nombreuses maladies de type inflammatoire, il est vivement recommandé aux séropos au "VIH" de renoncer à la consommation de lait de vache ou de lait animal en général. En réalité, il y a déjà un topic sur les méfaits de la consommation de lait animal (en ce compris pour les nourissons : et si la mère n'a pas assez de lait, il vaut encore mieux éviter que le bébé consomme du lait animal, hormis peut-être du lait de jument, dont la composition est fort semblable au lait humain ..... mais très cher) : http://www.onnouscachetout.com/forum/index.php?showtopic=434. Dans l'intérêt même de tes propres enfants et dans ton propre intérêt, je t'invite à lire très attentivement l'article qui a donné naissance à ce topic, ainsi que le topic lui-même et les nombreuses références qui y figurent et renvoyant à de nombreux articles qui prouvent clairement que tout comme le sida dit viral, les bienfaits de la consommation du lait de vache (ou animal, en général) ne sont rien d'autre qu'un mythe et le résultat d'une propagande particulièrement bien ancrée dans nos esprits depuis plusieurs décennies. Il me paraît clair que les séropositifs au "VIH" devraient éviter de la consommer. Toutefois, pour ne pas encombrer ce forum-ci, si tu estimes avoir des arguments de nature à réfuter tout ce qui est dit sur les dangers hors du commun de la consommation de lait animal, je te propose de faire part de tes réfutations dans le topic justement consacré à ce sujet-là.
  15. Patrick, Encore deux observations de ma part. 1) Veille à ce que ta copine mange assez d'aliments riches en zinc et vitamines A. En effet, diverses études paraissent avoir démontré que les bébés nés de mères diagnostiquées "séropositives" naissent "directement" (sans donc attendre plusieurs mois comme c'est le cas pour la plupart des bébés nés "au départ" séropositifs) séronégatifs si la mère ne souffre pas de carence en zinc et en vitamines A : 2) Quoi qu'il arrive et quoi que puissent dire les médecins, il est absolument nécessaire que ta copine allaite le bébé naturellement. C'est la meilleure façon pour renforcer l'immunité du bébé. Je t'invite à cet égard à lire le début de ce post-ci ainsi que l'article scientifique auquel il est référé. Et il faut refuser tout autre forme d'allaitement du bébé, par exemple le lait industriel. Lis par exemple cet article-ci (sur ONCT justement).
  16. wallypat

    Guérir le Sida!

    Sur le net, j'ai été récemment interpellé par un hollandais qui avait atteint le stade du sida déclaré. Ayant lu un profil de dissident du sida que j'avais créé sur un site de rencontre, il m'a contacté pour brièvement me faire part de son expérience sur le sujet. Jusqu'à ce qu'il me contacte, il pensait que le "VIH" existait, mais il commence à changer d'avis depuis peu ! (lol). Mais là n'est pas le plus important. Il m'a surtout précisé qu'il avait fait une pneumocystose il y a deux ans, pris une trithérapie pendant quelques mois, puis qu'il a arrêté et que depuis un an et demi, sa thérapie (naturelle) est la suivante (et cela fonctionne depuis lors visiblement) : 1) manger naturel, éviter tous les excès (alcool, drogues, etc.) et 2) "désintoxication" + oxygénation régulière de son organisme grâce à la technique de la Biorésonance, qui aurait la vertu de combattre les virus (dont le "VIH"), selon lui. Je pensais que sur ONCT, je trouverais quelque chose sur le sujet, mais même avec l'option recherche dans tous les forums, je n'ai rien trouvé avec le terme "biorésonance". Sur internet, j'ai trouvé quelques rares sites en français sur la biorésonance, et notamment celui-ci où l'on précise que la biorésonance est la nouvelle médecine de demain et permet entre autres de lutter contre le stress oxydatif et d'oxygéner efficacement et durablement le sang. Voilà qui pourrait expliquer pourquoi ce correspondant hollandais se porte plutôt bien pour le moment. A la lecture de son témoignage et du peu que j'ai pu lire sur le sujet, j'ai donc cru bon de préciser dans ce topic-ci que la biorésonance est peut-être une technique complémentaire efficace pour lutter contre le stress oxydatif et donc contre le sida. Mais visiblement, dans le monde francophone, cette technique semble très peu connue, du moins pour le moment.
  17. Je ne sais pas trop pourquoi on a publié la "découverte" de l'orthodoxie du sida relatée dans le post précédent, mais ne peut-on pas considérer que cette "découverte" avait déjà été faite depuis plus de 10 ans par la dissidence du sida ? Il est en effet dit (si j'ai bien compris, n'étant pas rétrovirologue) que le "VIH" empêcherait les lymphocytes T "infectées" de reconnaître les antigènes des germes opportunistes et donc de les détruire. Or, la dissidence du sida n'a-t-elle déjà pas précisé depuis bien des années déjà qu'à cause d'un stress oxydatif démesuré, les TH1 sont épuisés par une trop forte hyperstimulation de monoxyde d'azote, et que dès lors ils ne sont plus en mesure de combattre les germes intracellulaires (sources des maladies "exotiques" du sida) et de les détruire ? En d'autres termes, cette "découverte" de l'orthodoxie du sida me paraît être une confirmation de plus (à supposer que cela était encore nécessaire) et bien tardive du bien-fondé des théories dissidentes du sida, et tout particulièrement de la théorie du stress oxydatif comme cause du sida.
  18. C'est hélas possible, et plus longtemps ta copine prendra ces "médicaments" "antiviraux", plus élevé sera le risque qu'elle devienne malade de même que le bébé. Plus tôt elle arrêtera, mieux ce sera pour elle et le bébé. De manière générale, pour mieux comprendre ce qu'est réellement le "sida" en Afrique, lis par exemple les articles consacrés à ce sujet sur www.sidasante.com.
  19. Patrick Faute de temps, je fais très vite. Le paludisme (ou malaria) est connu pour rendre les tests appelés "VIH" positifs. Lis par exemple le facteur n°18 repris dans cette liste. Ce facteur permet déjà à lui tout seul d'expliquer pourquoi ta copine a pu devenir séropositive. En outre, le fait qu'elle soit enceinte et le paludisme peuvent expliquer que les lymphocytes T4 de ta copine se soient révélés bas au départ (200). Le désarroi provoqué ensuite par l'annonce de cette soi-disant séropositivité au "VIH" permet ensuite d'expliquer que ses lymphocytes aient pu ensuite baisser à 115. Ce qu'elle doit faire, c'est se faire soigner pour sa maladie réelle du moment, soit le paludisme, et ne plus consommer les "médicaments" dits "antiviraux" qu'on lui donne : Névirapine, Bactrim et autres. Ce sont les pires qu'il y ait et sont connus pour causer réellement le sida (mais sur ordonnance ici). Lis entre autres à cet égard la fin de cet article-ci, qui décrit les effets désastreux de la Névirapine. Elle ne doit pas craindre de transmettre quelque "VIH" que ce soit à son bébé en renonçant à ses "médicaments" "antiviraux", car en les prenant, non seulement elle va devenir malade, mais son bébé également. Il est possible qu'à la naissance, le bébé soit testé positivement au test dit "VIH" mais ce ne seront que les propres anticorps de la mère. Et à moins que l'état de santé de ta copine se dégrade (en raison de la malaria par exemple) et que cette mauvaise santé de ta copine se répercute pendant la gestation sur le bébé, au bout de quelques mois, le bébé redeviendra séronégatif (à moins que le bébé soit lui-même malade en raison de l'état de la mère et/ou des "médicaments" "antiviraux" qu'elle prend"). Elle doit arrêter les "antirétroviraux" le plus vite possible et se soigner pour ses réelles maladies (paludisme) par les médicaments appropriés. Le Bactrim et la Névirapine sont de nature à aggraver sa situation, en réalité. Quant à l'alimentation, il faut simplement qu'elle mange correctement et ne souffre pas de dénutrition. D'autres sur ce site pourront certainement te donner davantage d'informations.
  20. J'ajoute ci-dessous un lien vers certains posts du site http://groups.msn.com/AIDSMythExposed. En effet, différents intervenants de ce site-là reproduisent régulièrement des résumés et extraits d'articles scientifiques très intéressants d'où il semble de plus en plus clairement ressortir que l'hépatite C n'a effectivement strictement rien à voir avec un pseudo virus, mais bien avec le stress oxydatif. Voici le lien : http://groups.msn.com/AIDSMythExposed/heal...elete=0&CDir=-2 C'est hélas en anglais mais c'est très intéressant pour ceux qui comprennent un peu l'anglais. Les posts en question ne concernent pas que l'hépatite C mais bien l'hépatite en général. On constate (mais je n'ai fait que survoler ces - très longs - posts) que le stress oxydatif joue un rôle non négligeable dans la plupart des formes d'hépatites et de cirrhose, et concernant l'hépatite C, on peut très raisonnablement considérer que celle-ci trouve sa cause réelle dans le stress oxydatif. D'ailleurs, dans un post reproduisant un article scientifique, on peut constater l'aveu des scientifiques qui ont bien du mal à expliquer le ou les mécanismes par lequel le soi-disant virus de l'hépatite C causerait de tels dégâts au foie. En revanche, ils constatent que le stress oxydatif est ultra présent dans l'hépatite C. Pour ma part, ce que j'ai pu constater en survolant ces différents posts, c'est que contrairement au sida, ce ne sont pas spécialement ou uniquement les oxydants azotés qui auraient un rôle étiologique dans l'hépatite C, mais surtout et tout particulièrement les radicaux libres provenant des espèces activées de l'oxygène. Cela pourrait, à mon sens, expliquer que les cas dits d'hépatite C soient bien plus nombreux que les cas dits de sida dans les pays occidentaux. De prime abord, la meilleure façon de traiter l'hépatite C consiste donc à lutter contre les différentes sources de stress oxydatif nuisant au bon fonctionnement du foie.
  21. Je suis tout à fait d'accord avec les propositions d'Aixur. Toutefois, par prudence, je suggérerais en plus de t'assurer que ta copine n'aurait pas (ou pas eu auparavant) une (réelle) maladie quelconque (et de la soigner comme il faut) et qu'elle mange convenablement et de manière variée. Le plus important, en particulier en Afrique, c'est la nutrition. Ce que les scientifiques appellent là-bas "sida" est surtout le résultat de carences nutritionnelles, et ces carences sont justement encore plus courantes chez les femmes enceintes. Si tel est le cas, tu dois absolument faire le nécessaire pour que ta copine remédie à ses carences nutritionnelles éventuelles par une alimentation appropriée (et non en recourant à leurs "médicaments", qui sont fort susceptibles de la rendre réellement malade, sans compter le futur bébé lui-même). Au fait, ta copine aurait-elle déjà été enceinte au moins une fois auparavant ? Si c'est le cas, cela permettrait d'encore mieux expliquer que le test appelé par erreur "VIH" soit devenu positif (sans que cela ait quelque rapport que ce soit avec le soi-disant "VIH"). Pour le reste, je suivrais les conseils d'Aixur et j'oublierais définitivement toute cette psychose du sida.
  22. wallypat

    Guérir le Sida!

    Je crois qu'il est malgré tout préférable d'apporter un (tout petit) bémol à cette affirmation, faute de quoi un orthodoxe du sida pourrait peut-être en profiter pour repérer une faille éventuelle dans les théories dissidentes du sida. Je ne pense en effet pas que ces compléments alimentaires soient systématiquement aussi efficaces que certaines drogues dites "antivirales". Dans les cas extrêmement difficiles, genre sida déclaré avec prognostic vital réservé, personnellement, je ne me hasarderai pas à recommander au malade en question de prendre de tels compléments alimentaires comme solution. Dans ce cas extrême, je lui recommanderais tout de même de prendre - provisoirement - des drogues dites "antivirales", dont tout particulièrement la "lamivudine", dont Cheminot a démontré à plusieurs reprises qu'elle était un antioxydant exceptionnel, avec en plus de fortes doses de glutathion en intraveineuse. Ensuite, seulement, après rétablissement, je lui suggérerais d'abandonner progressivement les drogues dites "antivirales" et de passer aux compléments alimentaires. Je crois que dans les cas extrêmement difficiles où il peut même être question de vie ou de mort, la lamivudine (qui est visiblement la drogue dite "antivirale" ayant le moins d'effets secondaires) devrait s'imposer à titre de remède urgent. Je ne suis en effet pas sûr que des compléments alimentaires soient en mesurer de se révéler aussi efficaces, du moins tout aussi rapidement. Mais peut-être est-ce le cas. Encore faudrait-il faire des études pour s'en assurer. En d'autres termes, je pense que les compléments alimentaires sont toujours la meilleure solution, sauf si le prognostic vital est en jeu, auquel cas je crois qu'il vaut mieux ne pas jouer avec le feu. Ceci étant, on a assez récemment découvert au Nigéria une plante ayant des propriétés antioxydantes extrêmement élevées (peut-être autant que la lamivudine ? Ou peut-être pas aussi efficace que celle-ci car n'agissant pas aussi efficacement contre les oxydants que combat la lamivudine ? Des études complémentaires devraient être faites). Il s'agit de la "Jobelyn". On trouve des informations à ce sujet dans cet article-ci. On y précise que la Jobelyn aurait une capacité antioxydante ORAC extrêmement élevée car s'élevant à 1.590, soit éminemment plus que la plupart des aliments antioxydants actuels. On remarquera que les scientifiques en question restent toujours obnubilés par les T4 et que visiblement, ils ne vérifient pas si cette plante fait augmenter le niveau de glutathion ou non (on peut cependant supposer que oui). On constatera également, que ce soit dans cet article ou dans d'autres, que l'orthodoxie du sida envige presque toujours les compléments alimentaires, non pas en tant que médication principale, mais bien en tant que compléments aux tri"thérapies", tellement ils restent fascinés par les effets de celles-ci. C'est quand même perdre de vue que ces effets positifs ont été au départ (en 1996) fortement amplifiés parce que ces drogues dites "antivirales" avaient à l'origine été administrées à des séropos sous AZT, et comme l'a démontré Cheminot, la lamivudine a agi en premier lieu comme antipoison à l'AZT et donner ainsi l'impression que c'était des produits hors du commun. Enfin, il est piquant de constater à la lecture de cet article que les scientifiques en question ne font (visiblement) même pas la relation entre la forte capacité antioxydante de cette plante et les effets de cette capacité en matière de sida ! Pour le surplus, je reviendrai sur le post de sidarta (300 EUR + 300 EUR) pour y apporter, je crois, un (petit) bémol de nature à amoindrir la note (quoique cela restera encore beaucoup trop cher), mais je n'ai plus le temps maintenant.
  23. wallypat

    Le glutathion

    Moi, je ne peux parler que pour la Belgique, donc, je ne sais pas trop comment cela peut fonctionner en France. Etant donné qu'il n'existe pas de médecin dissident du sida en Belgique, ni même en France (à ma connaissance), je me suis dit que le mieux à faire était encore de trouver un médecin nutritionniste spécialiste. Après deux mois de recherches, j'en ai enfin trouvé un. Il m'a simplement fait plusieurs prises de sang (je ne comprends pas ton histoire d'ordonnance ? C'est peut-être pour que les analyses en question soient également couvertes par la prise en charge à 100% des séropos en France ? En Belgique, la question ne se pose pas : on doit payer notre quote-part dans ces analyses, il n'y a pas de régime de faveur pour les séropos) et après trois semaines, il avait toutes les analyses. Alors, analyser le niveau de glutathion, c'est bien, mais ce n'est pas assez. J'ai quand même lu que l'approche thérapeutique de dissidents scientifiques allemands (Kremer) et même américains (Giraldo) (voir par exemple ici) relève de la nutrition orthomoléculaire, c'est-à-dire qu'il convient idéalement de faire un bilan nutritionnel complet. Chez moi, l'analyse a donc porté sur les points suivants (en gros): - Le statut de stress oxydatif bien sûr : glutathion bien sûr mais d'autres éléments car le stress oxydatif ne se résume pas qu'au glutathion (quoique ce soit l'élément fondamental pour les séropos); et j'ai d'ailleurs demander expressément et malgré son coût [25 EUR] une analyse de mon niveau de coenzyme Q10 vu son importance dans l'étiologie du sida (et manifestement, j'avais très bien fait de le demander); - Le potentiel de défense anti-radicalaire globale, soit en gros mon potentiel de défense contre les inflammations en général; - Le profil protéique; - Le bilan nutritionnel; - Le statut des acides gras; - Le typage lymphocytaire (je l'ai finalement demandé car ce qui me semble dangereux, c'est justement de mesurer uniquement les T4, comme le fait l'orthodoxie du sida, sans tenir compte de tous les éléments précités, ce qui ne permet pas de réellement analyser la situation). - etc... La note m'est bien sûr restée au travers de la gorge (150 EUR encore à ma charge après intervention de la sécu; ce sera peut-être différent en France), mais malgré son coût, je ne regrette pas un seul instant car on a pu constater qu'il y a vraiment des choses à améliorer chez moi, quand bien même je suis manifestement assez loin d'un quelconque stade de sida déclaré. En tout cas, cet examen semble clairement indiquer que je suis sur la bonne voie (par exemple, mes IgG ont assez bien diminué, ce qui m'a un peu surpris d'ailleurs, tout en restant largement au-dessus de la norme), et je referai un nouvel examen complet dans six mois pour voir comment cela a évolué suite aux nouveaux compléments alimentaires qu'il m'a vivement recommandé de prendre maintenant (surtout des oméga 3 et du fer, mais ce n'est valable que pour moi bien sûr). En tout cas, mon médecin a très bien pu interpréter les résultas ! Il faut dire qu'il en a la compétence. Un médecin généraliste ne sera jamais en mesure de faire de telles analyses et encore moins de les interpréter. Quand au médecin homéopathe, je ne crois pas qu'il possède la formation adéquate, mais peut-être pourra-t-il te communiquer les références d'un médecin spécialisé en la matière. Donc, il faudrait idéalement trouver un médecin réellement spécialisé en matière de nutrition. Cela ne court pas les rues bien sûr, mais ils sont toujours bien plus nombreux que les médecins dissidents du sida puisque ces derniers sont inexistants en France. En tout cas, je ne me fierai pas une seule seconde aux dires de ton médecin généraliste. Il est clair qu'en France, déjà faire un bilan nutritionnel complet, c'est déjà limite "dissidence de la médecine". Donc, je ne suis pas étonné de sa réaction et de ses bien pauvres encouragements en la matière.
  24. Il est unanimement déclaré par l'orthodoxie du sida que cette "épidémie" a surgi quasiment spontanément le 5 juin 1981. Evidemment, c'est faux. L'orthodoxie du sida elle-même admet qu'un cas de sida aurait été retrouvé (rétroactivement) chez un zaïrois mort de "sida" en 1959. Mais il y a bien mieux. Juin 1981 est considéré comme la date de départ de l'épidémie aux USA, depuis les viles de New York et de San Francisco. Or, c'est faux également. Des cas de sarcomes de kaposi furent déjà diagnostiqués chez des gay américains consommateurs de drogues récréationnelles trois années auparavant. C'est ce que rappelle Duesberg : En d'autres termes, cette épidémie soi-disant due à un virus est purement articificielle et résulte d'une centralisation administrative de certaines données. Il y avait en revanche une épidémie de consommation de nitrites dès la fin des années 70, comme précisé dans le premier passage reproduit ci-dessus. Par la suite, les multiples et extrêmement larges élargissements de la définition de sida (avec l'épidémie des tests appelés par erreur "VIH") ont pu donner l'impression que le sida était devenu une épidémie incontrôlable. N'oublions par ailleurs pas qu'il n'a jamais pu être démontré par l'orthodoxie du sida que les premiers 100 gays sidéens (de New-York et San Francisco) avaient eu des relations sexuelles entre eux. En revanche, ils avaient tous pour point commun d'avoir consommé de larges quantités de poppers (et des tas d'autres drogues) dès la fin des années 70. Enfin et peut-être surtout, l'orthodoxie du sida estime que la période de latence du sida est de 10 ans environ. Il faut donc en déduire que globalement, les premières "contaminations" chez les gay auraient daté du début des années 70. Etant donné que les premières campagne de safe sex n'ont débuté qu'en 1985, il est par conséquent strictement inconcevable de penser qu'à supposer même que le "VIH" existe, celui-ci ait pu rester cantonné pendant 10 années environ dans les seuls groupes dits à risque jusqu'au début des années 80 ! En d'autres termes, si le sida était effectivement une maladie contagieuse, sexuellement transmissible par le biais d'un rétrovirus, nous aurions dû assister au début des années 80 à une épidémie hétérosexuelle de sida, et non à une (toute petite) épidémie homosexuelle de sida, ne touchant au surplus en tant que gay que les seuls gay toxicomanes !
  25. wallypat

    Le glutathion

    Pour commencer à compléter le sujet, je reproduis déjà ci-dessous un passage tiré du fameux BMJ Debate, datant du 7 septembre 2004, et dont la paternité revient au Perth Group : Quand on lit les premières considérations de ce post, on comprend maintenant aisément pourquoi la supplémentation en glutathion permet de prévenir efficacement de prévenir la pneumocystose. Notons enfin que les TH1 dont il est question dans le passage cité ci-dessus et que le glutathion fait "augmenter" sont justement ceux qui reviennent des tissus (où ils étaient des TH2) dans le sang (où ils deviennent des TH1). Or les seuls lymphocytes T4 mesurés sont justement les 2 à 3 % des T4 globaux circulant dans le sang. En d'autres termes, le maître mot en matière de sida n'est pas "lymphocytes T4" mais bien "Glutathion" ! Les lymphocytes T4 ne viennent - éventuellement - qu'en deuxième rang dans les priorités d'examen et de facteurs prédictifs.
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