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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Bonjour Vladdy. Sois la ou le bienvenu. Je n'ai pas encore eu l'occasion d'examiner très attentivement le soi-disant cas des chimpanzés morts du sida, tellement les bourdes de l'orthodoxie du sida sont énormes et pullulent. Ceci étant, j'ai déjà lu des "choses" sur ce sujet, mais avant d'y venir, je me permets de suggérer de modifier déjà certaines des affirmations reprises dans ton post de départ. Effectivement, s'agissant d'une (très grosse) synthèse, il n'a pas encore été possible de parler de toutes les erreurs et tous les mensonges de l'orthodoxie du sida, tellement ils sont innombrables. Mais grâce à toi, il va être possible d'y remédier. Je t'en remercie. Il ne paraît pas possible de parler de transmission de virus car cela présuppose qu'un virus "VIH" ait déjà été isolé. Une telle preuve scientifique n'a jusqu'à ce jour jamais été rapportée de façon acceptable. Il s'agit d'un mythe de plus de l'orthodoxie du sida. Effectivement, l'orthodoxie du sida a trouvé ce qu'elle appelle du "VIH" en plus grand nombre dans les ganglions, mais ce qu'elle oublie de préciser, c'est 1) que la quantité retrouvée reste totalement insignifiante (même si c'est supérieur à ce que l'on trouve dans le sang) et 2) que ce n'est pas propre uniquement au seul supposé "VIH"; en effet, la plupart des virus "similaires" sont toujours en plus grand nombre dans les ganglions que dans le sang; à supposer même que le "VIH" existe, quod non, il n'échapperait pas à la règle. Pour qu'on y voie plus clair sur cette affaire de "VIH" dans les ganglions, je reproduis ci-dessous des passages tirés de cet article-ci : En d'autres termes, prétendre que le "VIH" se trouve dans les ganglions et y est abondant ne repose pas sur grand chose. Qu'en est-il des chimpanzés ? La question posée est donc que les singes à qui du "VIH" a été inoculé meurt du sida. Il n'est nullement remis en question par la dissidence du sida que les singes en question peuvent forcément devenir séropositifs (sans que cela soit la preuve qu'ils aient été contaminés par un rétrovirus dénommé "VIH"). En réalité, ton affirmation selon laquelle tous (si je t'ai bien compris) les singes à qui du "VIH" a été inoculé mourraient du sida me paraît reposer sur de mauvaises informations. 1) D'abord, tu dis toi-même que l'on injecte des séquences d'ARN ou d'ADN proviral. Or, la preuve n'a jamais apporté jusqu'à ce jour que cet ARN ou ADN proviral provient bien d'un rétrovirus appelé "VIH", faute d'isolation acceptable. Par conséquent, quand bien même tous les singes mourraient du sida, la preuve n'est toujours pas apportée que cela est dû au "VIH" et que ce rétrovirus existe bien chez le séropositif. Et comme le signale le post d'Aixur, une différence infime (ici, avec le supposé réel "VIH") permet déjà d'expliquer des résultats contradictoires. Or, dans ton exemple, on injecte de l'ARN, pas de (éventuel) rétrovirus purifé à partir directement du sang d'un malade. 2) Tu dis toi-même qu'il faut des groupes de contrôle. Mais justement, là est l'un des principaux problèmes. Concernant le "VIH" ou le "SIV" pour le singe, on ne trouve pas ou très peu de groupe de contrôle. 3) En réalité, les cas de sida chez les singes à qui on aurait transmis du "VIH" sont tellement rares qu'ils sont statistiquement insignifiants. Quand bien même ces cas sont rares, l'orthodoxie du sida prétend que ces morts du sida sont bien dus au "VIH" ou "SIV". C'est perdre de vue qu'en raison même de l'extrême peu fréquente apparition de cas de sida chez ces singes "contaminés" (et pas contaminés avec du rétrovirus provenant directement du malade en plus, rappelons le !), leurs maladies peuvent également s'expliquer par les conditions de (sur)vie des singes en question. En réalité, l'orthodoxie du sida a définitivement abandonné d'essayer de rendre les singes malades du sida. Quelques morceaux choisis. D'abord, dans La Réfutation de la Déclaration de Durban : Ou encore tout récemment sur www.rethninkingaids.com : D'abord l'assertion de l'orthodoxie du sida : Et maintenant la réfutation par les repenseurs du sida : Voilà. J'espère que tu ne croiras plus à cette autre sottise de l'orthodoxie du sida, à savoir que les singes à qui on inocule du "VIH" meurent du sida !
  2. Et pour les lecteurs soucieux d'analyser bien davantage l'origine cellulaire de chacune des dix protéines supposées à tort spécifiques du "VIH", je les invite à lire par exemple le début de cet article du Perth Group intitulé "IS A POSITIVE WESTERN BLOT PROOF OF HIV INFECTION ?". Cet article date certes de 1993 mais cela reste toujours valable. Je sais qu'il y a des articles encore plus récents qui le confirment également, mais là, je n'ai plus le temps de faire des recherches complémentaires. Et cet article est déjà suffisant en soi. CONCLUSION Le test d'anticorps appelé à tort "VIH" ou séropositivité n'est jamais le signe d'une infection au "VIH", non seulement parce que les anticorps détectés par ce test ne sont pas spécifiques aux seuls supposés antigènes du "VIH", mais aussi et SURTOUT parce qu'il n'a JAMAIS été démontré que les antigènes utilisés dans ce test proviennent bien d'un rétrovirus appelé "VIH" ! Par conséquent, comme cela été suggéré quelques posts plus haut, on pourrait effectivement rechercher et faire la liste des multiples infections virales, bactériennes, etc... qui seront reconnues par de mêmes anticorps que ceux de l'hypothétique "VIH", mais quoique cette entreprise sera assurément très utile, il n'empêche pas moins que cela n'exclura pas pour autant que dans certains cas (et pourquoi pas, même dans 99,5% des cas comme le prétend l'orthodoxie du sida), la réaction positive de ces anticorps en question puisse réellement et effectivement être la preuve d'une contamination par le "VIH" ou à tout le moins (dans l'hypothèse où le "VIH" existe en tant que rétrovirus endogène), que le sidéen subit un stress oxydatif à ce point élevé qu'il entraîne chez lui la production de rétrovirus endogènes appelés "VIH". Et c'est bien là qu'est tout le danger de la question posée par Nico111. LA SEULE FACON DE SURMONTER CE RISQUE EST DE RAPPELER QU'IL N'A JAMAIS ETE PROUVE QUE LES ANTIGENES UTILISES DANS LES TESTS DITS "VIH" PROVIENNENT BIEN D'UN RETROVIRUS ISOLE APPELE "VIH" ! PS : Par la même occasion, je crois que je réponds au souhait formulé par "Irewiss" pendant que je rédigeais justement ce post.
  3. Je pense en fait qu'Aixur se référait à la fraude virale de Lanka, mais là, on déborde largement du sujet de base.
  4. Viduité, tu mets justement le doigt là où cela fait mal (pour l'orthodoxie du sida). A défaut d'avoir pu isoler le "VIH", la présence de ces anticorps peuvent parfaitement s'expliquer par les plus de 70 facteurs (infections, etc...) susceptibles de rendre le test appelé par erreur "VIH" positif, facteurs auxquels sont tout particulièrement exposés les groupes à risque de sida. Le "VIH" n'est nullement nécessaire pour l'expliquer.
  5. Et bien, oui, c'est tout à fait exact selon les repenseurs du sida ! Les tests "VIH" ne sont JAMAIS la preuve d'une infection au "VIH". On trouvera toujours chez les séropos des facteurs autres que le supposé "VIH" pour expliquer la présence de ces anticorps (ou des autres soi-disant marqueurs du "VIH", tels que la charge dite "virale", l'ARN du "VIH", la P24, etc...). En réalité, a défaut d'avoir pu isoler le "VIH", l'orthodoxie du sida a en (très) gros repris les points communs (protéines, anticorps, ARN, etc...) qui revenaient le plus souvent chez les sidéens et ces points communs se sont traduits en le fantasmagorique "VIH". Tout cela est très très longuement explicité sur le site du Perth Group et aussi dans le BMJ Debate.
  6. Tu trouveras cet article sur le site du Perth Group, en cliquant ici. Notons la toute petite "réfutation" orthodoxe qui suit, laquelle consiste à dire que de toute façon, la présence du "VIH" est confirmée par la charge dite "virale", et dans les cas difficiles, par la recherche de l'ADN proviral et de l'antigène P24. Sauf que ces autres soi-disant marqueurs du "VIH" n'ont également aucune spécificité au "VIH" comme l'ont brillamment démontré les repenseurs du sida, et tout particulièrement le Perth Group. Le lecteur intéressé trouvera d'ailleurs sur leur site des articles bien plus complets confirmant que des tas d'infections (et pas que l'herpès) provoquent ces anticorps. Or, les groupes à risque de sida, sont justement ceux-là mêmes qui sont exposés à la présence de ces infections et, partant, anticorps. Le "VIH" est tout simplement inutile pour l'expliquer. Alors, quand en plus son isolation laisse à désirer ... !
  7. wallypat

    Guérir le Sida!

    J'ai trouvé intéressantes ces petites dépêches sur les propriétés de l'acide bétulinique contre le "VIH", quoique je ne suis évidemment pas convaincu par leur explication, à savoir que l'acide bétulinique agit comme "inhibiteur de maturation" (une nouvelle classe de drogues dites "antivirales") en décomposant la "protection" formée par les protéïnes autour du "virus". J'espère bien qu'il sera d'une réelle efficacité, mais ne pourrait-on pas éventuellement voir les choses d'un point de vue "dissident", même si cela peut s'avérer un peu déprimant ? 1) A toutes fins utiles, on trouvera dans ce document-ci, ce qui paraît bien être la composition chimique de l'acide bétulinique. 2) L'un des documents déjà cités par Liane de même que celui que je viens de citer précisent textuellement que l'acide bétulinique est cytotoxique. Sauf erreur de ma part, "cytotoxique" signifie bien que c'est nocif pour les cellules et peut donc les détruire (pourquoi pas en provoquant l'apoptose de certaines cellules). Alors, certes, il est précisé que c'est naturel et que cela ne provoquerait l'apoptose que des seules cellules cancéreuses (car à l'origine, l'acide bétulinique était visiblement utilisé afin de lutter contre certaines formes de cancer), mais je me demande bien si au bout de plusieurs années d'utilisation journalière (puisque les drogues dites "antivirales" sont censées devoir être consommées à vie et chaque jour) ou même auparavant, l'acide bétulinique ne provoquera pas en définitive l'apoptose d'autre chose que les cellules cancéreuses. Pourquoi pas l'apoptose des lymphocytes T4 ou que sais-je encore ? Car quand il est utilisé à des fins anticancéreuses, ce n'est pas censé être à vie, mais le temps de vaincre le cancer. Après tout, n'oublions pas que lorsque les premières trithérapies apparurent fin 95 - début 96, l'orthodoxie du sida clamait qu'elle avait vaincu le sida, mais on a vu les résultats (effets secondaires toujours plus importants chaque jour qui passe) deux, trois ans plus tard (sans toutefois nier leur réelle et parfois nécessaire utilité dans certains cas). Je ne veux pas être pessimiste, mais la prudence paraît clairement s'imposer. 3) Quant aux explications des propriétés de l'acide bétulinique pour lutter contre le sida, en faisant des recherches sur PubMed avec le mot "Betulinic acid", on trouve déjà de nombreuses explications sans qu'il soit nécessaire de passer par l'explication "orthodoxe"; et je présume que les dissidents scientifiques en trouveront également de bien meilleurs. Mais on peut déjà trouver les explications suivantes. * Par exemple, dans ce résumé d'un article scientifique paru en avril dernier, il est signalé que l'acide bétulinique a des propriétés anti-inflammatoires. Or, comme le sida peut être interprété justement comme le résultat d'un processus inflammatoire auto-immun, cela permet déjà d'expliquer partiellement l'efficacité de cet acide bétulinique. * Dans ce résumé d'un autre article scientifique paru l'an dernier, il est textuellement précisé que l'acide bétulinique a des propriétés antioxydantes, et on y apprend également, de même que dans ce résumé d'un autre article scientifique paru en mai dernier, que l'acide bétulinique a également des propriétés anti-bactériennes et antivirales (exactement comme certaines des drogues dites "antivirales" composant les trithérapies), antiseptiques, antimicrobiens, .... (et encore d'autres "anti" que je ne saurais traduire). Si l'on conjugue l'ensemble de toutes ces propriétés, il n'y a de prime abord pas de quoi s'étonner que l'acide bétulinique puisse lutter contre ce que l'orthodoxie du sida appelle le "VIH". Sinon, pour le reste, j'espère bien qu'il sera réellement efficace (car chaque mois, un nouveau médicament "miracle" est annoncé pour lutter contre le "VIH", donc prudence), mais je ne peux m'empêcher de m'inquiéter pour ces futurs (probables) effets secondaires.
  8. Je te remercie, Pikpikandré, pour tes précisions ! OK. Je supprime mon point D). Ceci étant, grâce à tes remarques, cela m'a fait rappeler un autre argument qui pourrait devenir le point D), à savoir que par nature, un rétrovirus est inoffensif, en ce sens qu'il ne provoque jamais la mort de la cellule-hôte. Avoir des anticorps contre ce présumé anticorps "VIH" ne saurait donc impliquer que cela soit le signe annonciateur d'un futur sida. Il est vrai que l'orthodoxie du sida prétend qu'il n'y aurait pas que le "VIH" qui ferait exception à ce principe d'inoffensivité des rétrovirus. Elle cite également d'autres exemples, en particulier chez les animaux, comme le rétrovirus "visna". Mais quand je lis Duesberg et même the Perth Group, ils disent tous les deux (mais pour des raisons différentes) qu'il n'a jamais été scientifiquement prouvé que les maladies attribuées à ces quelques autres rétrovirus qui seraient pathogènes sont vraiment causées par ceux-ci, pour Duesberg parce qu'il n'existe pas de rétrovirus lents, pour le Perth Group, parce que les rétrovirus en question ont tout du rétrovirus endogène. Merci encore !
  9. Yougo, J'ai peut-être été un peu fort parfois, mais je ne pense quand même pas avoir franchi les limites de la décence, ni réellement malmené le débat, ni même avoir été plus fort que toi. Et le cas échéant, je te présente mes excuses sur ce point. Quoique je pense que ma réaction était compréhensible au regard de certains de tes écrits, vu que tu as toi-même tenté de nous prendre de haut : Et en tout état de cause, tout comme tu as tenté de le faire, j'ai moi-même (avec Cheminot et Pikpikandré) apporté des arguments de nature à réfuter tes affirmations, et visiblement c'est bien pour cela que tu penses que je t'ai pris de haut. Les revues "exotiques" dont tu parles sont essentiellement des revues ou des articles "scientifiques", en particulier lorsque j'ai réfuté ton (visiblement) plus important argument tiré de la quantité importante d'anticorps, dont la gp 120. Je puis comprendre ton dépit (désolé si tu puisses maintenant penser que je te prenne de haut en disant cela) puisque tu ne parais pas en mesure de réfuter ma propre réfutation sur ce point. Consulter le site du "Perth Group" n'est pas voir le monde uniquement par le biais de Fox News ou du réseau Voltaire comme tu le dis, car il ne s'agit pas ici de "vulgaire" journalisme mais bien d'un débat scientifique. La théorie du "stress oxydatif" du Perth Group n'a pas été élaborée en faisant abstraction de ce que dit l'orthodoxie du sida. Elle a été élaborée en tenant compte justement de cette théorie "rétrovirale", et ce pour encore mieux en dénoncer les nombreuses faiblesses et illogismes. C'est de la science, pas du journalisme (éventuellement à sensation). En résumé, ce que je constate, c'est que tu déclares avoir analysé attentivement les deux thèses, mais que malgré tout, il y aurait quelque chose de plus logique, plus limpide dans la théorie rétrovirale, et que donc, tu continues à croire au "VIH". Pour ma part, je serais heureux de connaître ce qui est ce petit quelque chose de plus logique et plus limpide. A défaut de me l'expliquer, je suis bien forcé de continuer à croire que la théorie du stress oxydatif reste de loin la meilleure explication au sida. Oui, c'est vrai, tu as autre chose à faire que de chercher des arguments et contre-arguments, et, en définitive, tu te fies à nouveau aux paroles et écrits de tes maîtres. Tu utilises même le terme "confiance". En d'autres termes, et excuse moi si tu as l'impression que je te prends de nouveau de haut, tu rentres à nouveau dans le rang. En résumé, tu es intervenu sur ce forum, tu as fait part de tes arguments, on les a réfutés pour l'essentiel, mais tu continues malgré tout à te fier à l'orthodoxie car tu as "confiance". Désolé, mais pour moi, cela signifie clairement et plus que jamais que les repenseurs du sida ont bien raison. En tout état de cause, je te remercie vivement pour ton intervention sur ce forum-ci et la qualité des débats intervenus par la suite. Et je te remercie également pour ton remerciement de départ. Sans rancune.
  10. J'ai lu brièvement les deux références en question. Cela concerne une supposée mutation du gène CCR5 comme cause d'une immunité naturelle contre l'"infection" par le "VIH". Or, si tu lis ce post-ci publié quelques heures plus tôt à peine, il n'est nullement nécessaire d'être doté de ce gène "mutant" pour devenir un "survivant à long terme". Ne te laisse pas impressionner par le vocable "VIH". Au contraire, chaque fois que tu lis "VIH", pense au contraire "stress oxydatif", qui, lui, est une réalité scientifiquement prouvée, contrairement au "VIH". Alors, oui, peut-être que des mutations de gènes (tels que le CCR5) prédisposeraient à une certaine forme d'immunité naturelle contre ce que l'orthodoxie du sida appelle "VIH", mais en fait, compte tenu du fait qu'on ne sait pas si le "VIH" existe et qu'on a encore moins prouvé que celui-ci (à supposer bien sûr qu'il existe) causerait le sida, tu dois au contraire te dire que si un gène mutant protégerait d'une certaine façon contre le "VIH", cela signifie tout simplement que ce gène mutant protège d'une certaine façon contre le stress oxydatif (appelé "VIH" par l'orthodoxie du sida). On pourrait effectivement imaginer que certaines personnes soient génétiquement mieux programmées pour résister au stress oxydatif, ou, du moins, à certaines formes ou sources de celui-ci. Il ne faut pas chercher bien loin l'explication ! Pense toujours "stress oxydatif", et non "VIH" dont on ne sait s'il existe. Car le rôle causal du stress oxydatif dans la pathogenèse du "sida" est admis par Luc Montagnier lui-même, soit le co"découvreur" du "VIH". A cet égard, on a souvent cité sur ce forum le discours tenu par Montagnier au Parlement Européen le 8 décembre 2003. Mais entre-temps, j'ai retrouvé d'autres citations de Montagnier confirmant le rôle causal du stress oxydatif (et non du "VIH") dans la survenance des infections caractéristiques du "VIH". Tu trouveras certaines de ces citations dans ce document-ci. Quelques propos de la bouche même de Montagnier, pourtant co"découvreur" du "VIH" : Encore une fois, il ne précise pas ce qui cause ce stress oxydatif. Et très intéressant également, il précise que très peu de chercheurs montrent leur intérêt dans ce phénomène, malgré son rôle fondamental dans la maladie. Pas étonnant que des orthodoxes du sida font la grimace quand on prononce l'expression "stress oxydatif". Donc, Magnus, chaque fois que tu lis "VIH", pense chaque fois "stress oxydatif". Une fois sur deux, tu auras déjà immédiatement la réponse aux questions que tu te poserais, sans devoir chercher plus loin.
  11. Yougo, Concernant plus spécifiquement la gp 120 à laquelle tu tiens tant, regarde ci-dessous ce que j'ai trouvé par exemple dans cet article-ci. On voit très clairement que la GP 120 n'a aucune spécificité au "VIH", comme tu le prétends, et des tas d'autres infections, auxquelles sont exposés les groupes à risque de sida, développent de tels anticorps en quantité importante.
  12. YOUGO YOUGO REPONSE DE WALLYPAT Ce sont déjà les 2.400 signataires de cette pétition qui demandent depuis bientôt 15 ans la réévaluation de l'hypothèse "VIH" = Sida, et dont tu pourras toi-même constater que la plupart d'entre eux ont une solide formation scientifique et de tous horizons. Alors, tu me diras que 2.000 scientifiques ne font pas le poids face aux quelques dizaines de milliers d'autres scientifiques dans le monde qui croient en la causalité de l'hypothétique "VIH" dans la survenance du sida. Mais c'est bien là que tu as tout faux. Premièrement, ces 2.000 scientifiques ont, eux, déjà réellement réfléchi à la question. La plupart d'entre eux étaient pourtant de très chauds partisans de l'hypothèse rétrovirale. Ils ont toutefois dû se rendre à l'évidence une fois qu'ils se sont donné la peine d'examiner réellement le sujet, plutôt que se fier à la parole des "experts". Deuxièmement, parmi les dizaines de milliers d'autres scientifiques qui croient au "VIH", seulement une toute petite minorité travaille effectivement sur le "VIH" ou le sida. Par conséquent, l'opinion des dizaines de milliers d'autres scientifiques travaillant sur autre chose que le sida ne compte absolument pas car leur opinion se base uniquement sur ce que dit la petite minorité de scientifiques qui travaillent effectivement sur le "VIH". Troisièmement, même dans la petite minorité de scientifiques qui travaillent sur le "VIH" (et peut-être en fais-tu justement partie), bien peu ont une vue d'ensemble de ce dossier, contrairement aux signataires scientifiques de la pétition susdite. En effet, parmi cette petite minorité, la plupart d'entre eux travaillent sur des champs bien cloisonnés du "VIH", sans remettre en doute ce que disent les autres de cette petite minorité travaillant sur d'autres champs du "VIH". Par exemple, les chercheurs qui travaillent sur le soi-disant "génome" du "VIH" ne remettent pas en question l'origine des ADN sur lesquels ils travaillent. Autre exemple : les fabricants des tests Elisa et Western Blot ne se posent pas de questions sur l'origine des protéines sur lesquels ils travaillent pour mettre au point ces tests dits "VIH". Ils s'en posent d'autant moins qu'ils prennent soin de couvrir leur responsabilité (dans le futur) en précisant dans les notices explicatives de ces tests que dans l'état actuel de la science (de l'orthodoxie du sida), un test positif ne signifie pas pour autant que l'on a effectivement été "contaminé" par le "VIH". En réalité, cela démontre qu'ils ont des doutes justement. En d'autres termes, tu l'auras toi-même compris, les scientifiques qui étudient vraiment le "VIH" d'une façon globale ne sont pas vraiment plus nombreux que les plus de 2.000 signataires de la pétition. Et ils sont peut-être même en nombres bien inférieurs. Et bien sûr, cette extrême petite minorité de scientifique qui ont - peut-être - une vue globale du sujet ne se pose même pas la question de savoir si le "VIH" existe réellement, tant elle est liée aux intérêts pharmaceutiques, voires même politiques, économiques, etc... En conclusion, les plus de 2.OOO signataires de la pétition font bien le poids face aux très rares scientifiques qui travaillent effectivement sur le "VIH", et il ne servira donc à rien de dire que leur opinion vaudrait moins que les 99,90% d'autres scientifiques. Car les 2.000 en question ont réellement examiné le sujet, sans se baser uniquement sur les dires de leurs pairs. YOUGO [quote]Là où il faudrait surtout commencer à prendre conscience des choses, c'est que dans des pays comme le Botswana, le Malawi ou le Zimbabwe, plus du tiers des habitants sont séropositifs, causant une crise démographique et économique d'une gravité extrême : l'expérience de vie moyenne au Botswana est de 37 ans, alors que c'est un pays où les famines sont absentes, qui a pas connu de conflit depuis la bonne époque du Bechuanaland, il y a une bonne centaine d'années. Sans le VIH, l'espérance de vie serait de 55 ans. ...... Bref un pays qui court, comme pas mal d'autres dans le coin, à une catastrophe d'ampleur jamais conue depuis la Peste Noire (la grippe espagnole à côté c'est de la gnognotte, c'est comme un Mars, on le bouffe en deux secondes, ça fait du bien par où ça passe, et ça repart !)... YOUGO REPONSE DE WALLYPAT Là, tu te bases sur les ouï-dire des organisations internationales de "lutte" contre le sida, et entre autres sur leurs statistiques. La situation en réalité est bien différente. Les espérances de vie en question se basent sur des extrapolations, et très rarement sur des faits constatés sur le terrain. Dans les faits, on constate que le taux de croissance de la population est extrêmement élevé, malgré le "VIH". Si effectivement l'Afrique est un continent qui se meurt du sida, explique moi comment ce continent, qui comportait 400 millions d'habitants au commencement (1985) de la prétendue épidémie du "VIH", en compte au début 2005, 682 millions (hors Afrique du Nord), soit une augmentation de 70% en 20 ans ? Tu te laisses fort impressionner par le mot "sida". Quand tu vas sur place et que tu vois des africains atteints du sida, que constates-tu ? Ce sont des personnes atteintes de malaria, de lèpre, tuberculose, etc..., bref, des maladies endémiques qui existaient déjà avant la prétendue épidémie de sida. J'espère que tu te moques de moi quand tu dis que la situation économique s'améliore dans certains pays africains. On sait très bien que la situation économique de la plupart des pays africains s'empire chaque année, d'autant plus qu'on leur demande de gaspiller leurs déjà bien maigres ressources financières à l'achat de bien coûteuses drogues dites "antivirales". Alors, quant aux africains qui pourraient effectivement mourir du sida assez rapidement dans certains pays, il faudrait déjà voir s'ils sont sous "traitement" ou non. Pendant des années, le "traitement" de choix était l'AZT. On ne s'étonnera pas qu'on constate - éventuellement - une élévation du taux de mortalité chez certains africains ayant eu la "chance" de bénéficier de ce "traitement" de choix, vu la toxicité sans nom de l'AZT ! Quant à ceux qui ont la "chance" de bénéficier d'une tri"thérapie", pourtant toxique également, ils sont également assurés de mourir très rapidement. Par exemple, en Afrique du Sud, l'espérance de vie des "sidéens" ayant la "chance" de bénéficier de tels "médicaments" est de 4 ans ! Il ne faut pas vraiment chercher plus loin l'explication de l'- éventuelle - accélération du taux de mortalité chez certaines populations africaines. Voilà, je termine ici mes réfutations puisque tous tes arguments ont été passés en revue, en ce compris celui qui paraissait le meilleur de tous, à savoir le niveau important des anticorps supposés spécifiques du "VIH". Tout ce que je dois bien constater, c'est que tu as été bien incapable de prouver de quelque façon que ce soit que le sida est vraiment causé le "VIH" et que tout ce que tu as pu faire, c'est répéter les assertions habituelles de l'orthodoxie du sida.
  13. Simple question, ne faudrait-il justement pas commencer à se dire que si même sur ONCT c'est remis en cause alors c'est parce que il y a peut-être un petit détail qui cloche ? Si cela peut être remis en cause, même sur ONCT, c'est exactement pour les mêmes raisons qu'ailleurs, à savoir que même pour des personnes plus ouvertes que d'autres sur de "nouvelles" idées, elles ont bien du mal à admettre que la presse ait pu censurer l'existence de cette très imporante controverse scientifique depuis 20 ans. En revanche, si la presse faisait son boulot correctement, c'est-à-dire en faisant du vrai journalisme d'investigation et en comparant sans préjugés les thèses en présence, on n'en serait pas à la présente absurde situation, et bien peu de personnes (que ce soit sur ONCT ou ailleurs) seraient encore étonnés que l'on puisse remettre en question et sur des bases scientifiques extrêmement solides le fait que le sida n'est pas causé par le "VIH". Par ailleurs, cela me fait bien rire que tu invoques ONCT comme caution scientifique. C'est tout ce que tu as comme argument ?
  14. Tout à fait d'accord. Mais tu vas trop loin en sous-entendant pour autant que Duesberg n'est pas un gage de sérieux.
  15. Parce que l'explication du stress oxydatif avancée dès 1984 par le Perth Group et le fait que les prévisions découlant de cette théorie se sont réalisées jusqu'à ce jour (contrairement aux prévisions de la théorie rétrovirale du "VIH") est bien supérieure aux explications de Duesberg ou à celle de Chermann. Une bonne théorie est celle qui fait de bonnes prévisions et peut expliquer les faits; c'est justement le cas du stress oxydatif. Une mauvaise théorie est celle qui ne fait pas de bonnes prévisions et ne peut expliquer les faits qu'en recourant à des artifices et à des tas de suppositions; c'est le cas de la théorie du "VIH". Encore faut-il que tu te donnes la peine d'examiner sérieusement ce que disent le Perth Group et les autres repenseurs du sida (c'est-à-dire presque tous, Duesberg étant de plus en plus isolé) qui ont adopté également cette théorie, et si tu estimes qu'ils ont tort, que tu expliques pourquoi. Et cela, je ne l'ai pas (encore) lu dans tes posts.
  16. Sauf que la biologie a fait des progrès absolument considérables en 22 ans (comparables à ceux réalisés en mathématiques, où depuis 1960 on a fait davantage de découvertes majeures que depuis l'Antiquité). Donc si un truc clochait dans le procédé, je pense qu'on peut considérer comme certain qu'on serait revenu dessus. Et si les scientifiques considèrent effectivement comme préalable supposé que le SIDA est cuasé par le VIH, ils le font en connaissance de cause, en ayant compris le procédé : qui irait faire des recherches à un très haut niveau en n'étant même pas sûr d'avoir bien compris les bases ? Oui, on connaît cet "argument". Et je ne doute pas un instant que la science ait fait des progrès considérables, entre autres avec de nouvelles techniques de détection de virus, bactéries, rétrovirus, ... que sais-je encore. Sauf qu'avant d'avoir la prétention de détecter de façon indirecte le "VIH" avec ces nouvelles techniques (comme la PCR), ce qui est effectivement possible, il faut d'abord l'avoir isolé directement de façon "traditionnelle", soit de la façon déterminée par les rétrovirologues eux-mêmes du moins jusqu'à l'invention du "VIH" (voir par exemple ce post-ci), c'est-à-dire au microscope électronique. Si cela a été effectivement le cas, alors ces autres techniques, résultant des progrès de la biologie entre autres, ne pourront que confirmer l'existence réelle du "VIH". A défaut de cette confirmation préalable au microscope électronique, ces autres techniques ne permettent pas de confirmer l'existence du "VIH", faute d'isolation. Car les rétrovirus, tels que le "VIH", ne relèvent pas de notions cosmologiques, nucléaires ou ésotériques dont l'existence supposée ne pourrait être qu'inférée à partir d'observations indirectes (résultant des "progrès" que tu cites). Ce sont des particules que l'on peut voir, même si ce n'est pas à l'il nu. Comme Montagnier admet lui-même qu'il ne voit pas de particules ayant la morphologie d'un rétrovirus à la densité de 1,16g/ml au microscope électronique, le fait que l'orthodoxie du sida continue à prétendre que le "VIH" existe malgré tout ne repose sur absolument rien et est proprement ahurissant !
  17. En conclusion, ton affirmation relative à la naturelle immunisation de certaines personnes ne repose sur rien de scientifique. Juste un mythe de plus !
  18. Donc, désolé, on peut raisonnablement considérer que le "VIH" "découvert" par les équipes française, américaine et britannique était exactement le même. Et d'ailleurs, personne (à par toi, visiblement) ne le conteste encore de nos jours. Sauf qu'on n'en parle plus, car l'essentiel serait que le "VIH" aurait de toute façon bien été "isolé" (lol), quand bien même il s'agissait dans les trois cas, du même "exemplaire", et qu'il n'a pas été isolé à partir de trois sources différentes. Contrairement à ce que tu as affirmé, les deux équipes (et même trois en comptant l'équipe britannique) ne travaillaient pas sans lien, comme tu te complais à le croire. Le lien était que les trois équipes travaillaient effectivement sur le même échantillon ! PS : Le reste de mes réfutations à tes "arguments" suivra un peu plus tard.
  19. Oh, je ne fesais pas d'analogie entre ta thèse personelle et celle de Duesberg, je ne fesais que répondre à l'utilisation du nom de Duesberg comme gage de sérieux ... Même si je ne partage pas tous les points de vue de Duesberg, il me semble osé de ta part de sous-entendre que Duesberg n'est pas un gage de sérieux. Surtout lorsqu'on connaît sa carrière et ses nombreuses publications scientifiques. Gallo lui-même a reconnu (du moins, avant que Duesberg ne rue dans les brancards) que Duesberg en connaissait plus sur les rétrovirus que tous les autres rétrovirologues au monde, dont Gallo lui-même. Donc, désolé, Duesberg reste un gage de sérieux, quant bien même on n'approuverait pas toutes ses théories. Ce n'est quand même pas tout le monde qui siège à l'académie des sciences. Même ce minable Gallo n'a jamais eu droit à cet honneur, malgré sa pseudo "découverte" du "VIH" !
  20. Yougo, Je commencerai déjà par la gp120 (et de manière générale les protéines soi-disant spécifiques du "VIH"), le reste suivra, à moins que d'autres répondent. Si je suis ton argumentation, il est normal de trouver des anticorps anti-gp120 en petite quantité chez un individu séronégatif (je suis d'ailleurs d'accord), alors que chez un individu "contaminé" par le "VIH", la concentration en anticorps anti-gp 120 est importante et "durable". En réalité, je suis également tout à fait d'accord avec ton affirmation. MAIS ..... Mettons déjà tout d'abord de côté le côté "durable" de la concentration en anticorps. Sauf erreur de ma part, le sida est bien la seule maladie infectieuse au monde où il est nécessaire, du moins dans les pays occidentaux (car en Afrique, il n'est même pas nécessaire de faire le moindre test pour être déclaré séropositif [voir la définition de Bangui], ce qui est tout bonnement scandaleux) de répéter plusieurs tests avant d'être déclaré "contaminé" par le "VIH". Aux USA par exemple (page 14), il est nécessaire que le même échantillon de sang réagisse positivement quatre fois sur deux jours consécutifs au test Elisa et une fois au Western Blot pour que l'on soit déclaré "contaminé". Si le sida est une maladie infectieuse, il s'agit bien de la toute première maladie infectieuse au monde où il est nécessaire d'effectuer le test plusieurs fois pour vérifier que les anticorps du "VIH" sont bien présents. Si ces anticorps sont si spécifiques du "VIH", pour quelle raison doit-on faire cette analyse à cinq reprises, comme aux USA ? A ma connaissance, un tel procédé de détection multi répété n'existe pour aucune autre maladie infectieuse. Voilà qui est bien singulier pour le "VIH". Plus précisément, concernant le caractère "durable" des anticorps (dont la GP120) détectés par les tests des anticorps, comment le sais-tu ? Car tu sais très bien qu'une fois déclaré séropositif, on ne refait plus jamais les tests Elisa et Western Blot puisqu'on est considéré comme contaminé à vie. Qu'est ce qui te dit que ces anticorps subsistent encore ensuite ? Grâce aux autres mesures effectuées ensuite régulièrement, comme la charge dite "virale" ? Tu sais très bien bien que la notion de charge dite "virale" est également contestée par les repenseurs du sida et n'a aucune spécificité au "VIH". Mais comme je me concentre ici sur les protéines dites "spécifiques" du VIH, je n'en parlerai pas davantage pour ne pas alourdir ce post. Mais tout cela pour dire qu'après la supposé contamination, l'orthodoxie du sida ne dispose qu'aucune méthode scientifique fiable pour affirmer que ces protéines subsistent TOUJOURS de façon durable. Ceci étant, il est tout à fait exact que ces anticorps peuvent effectivement subsister de façon durable, et même jusqu'à la mort du sidéen, et cela s'explique pour les mêmes raisons que celles que j'expose ci-après concernant la question de la concentration importante en anticorps spécifiques du "VIH". Tu sais très certainement qu'il a été scientifiquement démontré que plus de 70 circonstances différentes, et tout particulièrement une multitude d'infections bactériennes et virales, peuvent rendre un test "VIH" positif. Je ne te ferai pas l'injure de les reproduire ci-dessous. Si tu ne t'en rappelles plus, je te prie de te reporter à ce document-ci où tu trouveras aux pages 11 à 13 l'énoncé de plus de 70 circonstances différentes pouvant rendre un test dit "VIH" positif. Tu ne pourras nier que ces 70 circonstances circonstances comprennent essentiellement différentes maladies virales et bactériennes et que par nature, ces différentes maladies virales et bactériennes entraîneront la production importante d'anticorps chez la personnes contaminé (par ces diverses infections). Or, ces anticorps en question, peuvent justement et notamment comprendre en grande quantité d'anticorps supposés "spécifiques du VIH" du "VIH". Or je ne te ferai pas l'injure de te rappeler également que les groupes dits à risque de sida sont ceux qui sont justement les plus exposés à ces multiples infections bactériennes et virales. Pensons aux gay qui ont des rapports réceptifs anaux non protégés et qui de ce fait, attrapent des tas de ces infections; idem par exemple pour les hémophiles (du moins, à l'époque où le sang n'était pas chauffé). Ces différents groupes à risque vont naturellement produire une quantité importante de ces anticorps. Dis moi, alors, comment peux-tu affirmer que ces anticorps, que l'on retrouve d'office en grande quantité pour ces diverses maladies bactériennes et virales, sont ceux du "VIH" ? La seule façon de pouvoir l'affirmer consiste à avoir l'étalon-or, à savoir le "VIH" isolé. Etant donné que cela n'a jamais pu être fait à ce jour (raison pour laquelle l'orthodoxie du sida prétend que le "VIH" a été isolé par d'autres façons, mais hélas pour elle, ces autres façons ne constituent aucune garantie que ce qui a été isolé est bien du "VIH"), comment peux-tu affirmer que ces anticorps, dont la GP 120, que l'on trouve de toute façon déjà en quantité importante, entre autres pour les raisons spécifiées ci-dessus, sont bien spécifiques du "VIH" ? Donc, oui, je suis d'accord avec toi que les séropositifs ont une quantité importante d'anticorps, dont de GP120, mais cela ne prouve absolument pas qu'ils ont été "contaminés" par le "VIH". L'apparition de ces différents anticorps peut déjà parfaitement s'expliquer par le style même de vie des séropositifs en question et à défaut d'avoir isolé correctement le "VIH" (ce que Montagnier a admis lui-même dès 1997, faute de purification : lis cette critique de l'interview de Montagnier), il est impossible pour toi de prétendre que ces anticorps que l'on retrouve en grande quantité chez les séropositifs, sont bien ceux du "VIH". En revanche, ces anticorps en grande quantité seront bien la preuve que le séropositif a un fort passé de stimulation antigénique (suis pas sûr que c'est comme cela qu'on dit, désolé), source de stress oxydatif, qui provoquera progressivera l'apoptose des lymphocytes T4 (et cela est admis par Montagnier lui-même). Quelques morceaux choisis prouvant que ces anticorps peuvent être trouvés en grande quantité chez les séropositifs en raison de diverses infections passées bactériennes et/ou virales (sans rapport avec du "VIH" donc) Par exemple ici : Et concernant plus spécifiquement la gp120, je t'invite à lire par exemple ce commentaire-ci, relatif à la bien hypothétique existence de la gp 120 chez le tout aussi hypothétique "VIH". Yougo, Je pense sincèrement que ton cas n'est pas désespéré. Tu as juste eu le tort de n'écouter que ce que tes maîtres t'ont appris en supposant que tout cela était exact. Si tu es réellement objectif et que tu as une certaine intégrité intellectuelle, je t'invite à consulter le site du Perth Group. Tu pourras de toi-même constater que tout ce qu'on t'a appris sur le sida est un fatras d'imbécilités. A toi d'avoir le courage intellectuel de procéder à cette analyse dite "alternative". En tout cas, ce qui est déjà sûr, c'est que ton argument principal, à savoir le haut niveau de certaines protéines supposées "spécifiques" du "VIH", dont la gp 120, ne tient pas, car ne prouvant en aucun cas que le séropositif au "VIH" a été "contaminé" par le "VIH". Je pense l'avoir démontré d'une façon irréfutable. Les groupes à risques de sida sont en effet déjà exposés de par leur style de vie à un haut niveau de tas d'anticorps. Nul besoin d'inventer le "VIH" pour l'expliquer ! Pour le reste de tes (accessoires) arguments, je te répondrai ultérieurement, à moins que d'autres l'aient fait. PS : Je viens de lire les réponses de Cheminot et de Pikpikandré, et je suis extrêmement déçu par ta réaction. Comme à l'accoutumée (pour l'orthodoxie du sida), tu ne trouves (presque) rien d'autre comme argument que celui du (pseudo) complot. Voilà qui est bien commode pour éviter le débat ! Alors, reste dans ton monde du "VIH" et fais comme si tout cela était vrai. C'est toujours plus facile que d'essayer de faire l'effort de voir la réalité en face. A moins bien sûr que tu aies des intérêts quelconques dans cette chimérique hypothèse du "VIH", auquel cas je "comprendrai" ton déni de réalité.
  21. Ne t'inquiète surtout pas, je ne manquerai pas de le faire, avec d'autres sur ce forum très certainement.
  22. Yougo, Te concernant plus particulièrement, je te répondrai ultérieurement, mais sache que je ne partage pas vraiment les thèses du Professeur Duesberg. Tu auras toi-même compris que pour Magnus, je ne faisais qu'un simple et très court aperçu historique de l'histoire des repenseurs du sida, pour souligner que Duesberg fut le tout premier scientifique de grande envergure à contester l'hypothèse rétrovirale du "VIH". Je ne sais pas où tu as été cherché le fait que je partagerais pour autant le point de vue du professeur Duesberg. Au contraire, si tu lis la synthèse collective sur le sujet, tu comprendrais que c'est plus particulièrement l'explication du stress oxydatif comme cause du sida qui est retenue, dont les théories du Professeur Duesberg ne constituent qu'une variante bien incomplète et ne permettent effectivement pas d'expliquer de bien nombreux cas de sida d'Afrique par exemple. Sur ce seul rare point, je suis bien d'accord avec toi. Quant au reste de tes affirmations, je répondrai un peu plus tard. Mais ce que je constate déjà, c'est que la plupart de tes affirmations ne sont pas prouvées et c'est à se demander pourquoi il faudrait bien y répondre (quoique je le ferai).
  23. Il faut clairement leur dire qu'ils sont effectivement morts du sida (aucun scientifique dissident ne nie cela, et ce serait d'ailleurs une absurdité de le nier) mais que cette mort n'est pas due au "VIH" mais bien à des facteurs toxiques (genre AZT, traitements reçus, drogues, etc...) et nutritionnels (surtout dans les pays sous-développés). L'expression "négationniste du sida" est fréquemment utilisée par l'orthodoxie du sida à l'encontre des repenseurs du sida, mais à tort. Il s'agit d'un abus "subtil" du langage qui suggère que les repenseurs du sida qui disent que l'existence du "VIH" n'a jamais été prouvée nieraient également que le sida existe, ce qui est FAUX bien sûr. Tu dois clairement leur dire que les repenseurs du sida ne nient nullement la réalité des maladies regroupées sous le vocable "sida" mais disent simplement et uniquement que le sida (qui est réel) n'est pas causé par le "VIH" et a au contraire des causes toxiques et nutritionnelles. Peut-être comprendront-ils enfin mieux !
  24. Très bonne question, Magnus ! Et c'est vrai qu'on est droit de se la poser. Mais les explications sont hélas multiples et aisées. Tu dois savoir que l'annonce de la "découverte" du "VIH" fut faite lors d'une célèbre conférence du 23 avril 1984, et à cette occasion, il fut déclaré que le "VIH" était la cause probable du sida. Quoiqu'on n'en était pas sûr à l'époque, cette explication comme cause du sida fut instantanément admise par la (presque) totalité communauté scientifique pour de multiples raisons trop longues à expliquer ici. Et évidemment depuis lors, toutes les recherches furent faites et tous les faits furent interprétés dans une seule perspective, à savoir que le sida est "évidemment" causé par le "VIH". Tu dois comprendre que quand une étude est analysée par les scientifiques, ils ont TOUJOURS comme présupposé préalable, et ce depuis 1984, que le sida est causé par le "VIH". Donc, chaque étude sera interprétée de cette façon-là et permettra ainsi de confirmer de plus en plus et a posteriori (pas a priori, justement !) par les "faits" (interprétés en fonction de la "contrainte" intellectuelle précitée du "VIH") ce qui n'était au départ qu'une simple hypothèse. C'est en procédant de cette façon que l'orthodoxie du sida aboutira à la conclusion légendaire que le "VIH" mute (pour expliquer entres autres l'impossibilité de mettre au point un vaccin ou l'inefficacité au bout d'un temps variable des tri"thérapies") ou que certaines prostituées sont naturellement "immunisées" (lol) contre le "VIH" ! Pendant trois ans, une incroyable campagne de désinformation fut menée à travers le monde en sorte que le monde entier fut convaincu que le sida était vraiment causé par le "VIH". Toutefois, début 1987, le professeur Duesberg publia dans la revue "Nature" un article dans lequel il démontra brillamment que le VIH (il croit encore en son existence, mais c'est bien l'un des rares repenseurs du sida à encore y croire; cela peut s'expliquer par sa formation, car il est rétrovirologue) ne pouvait être la cause du sida. Et d'ailleurs, jusqu'à ce jour, il n'a toujours pas changé d'avis, que du contraire même ! Il usa d'ailleurs de cette formule géniale : "Il n'y pas de rétrovirus lents, il n'a que des rétrovirologues lents (d'esprit) !". Le problème pour l'orthodoxie du sida, c'est que Duesberg n'était pas (et n'est toujours pas) n'importe qui. Il était en effet tout simplement considéré à l'époque comme LE PLUS GRAND RETROVIROLOGUE AU MONDE, CELUI QUI EN CONNAISSAIT LE PLUS SUR LES RETROVIRUS. Alors, quand quelqu'un de sa stature déclare que le sida n'est pas causé par le "VIH", c'est bien sûr catastrophique pour la communauté scientifique, et en particulier pour l'orthodoxie du sida. D'ailleurs, peu de temps après la publication de ce célèbre article, le Secrétaire d'Etat de la santé américain s'inquiéta des répercussions que pouvaient avoir cet article, dans un mémo : Donc, la communauté scientifique refusait (jusqu'il y a peu) de parler des questions bien embarrassantes posées par les repenseurs du sida essentiellement pour les motifs suivants : la santé publique, la réputation des hommes politiques et scientifiques et pour éviter d'être publiquement embarrassée. Tu comprendras dès lors, Magnus, que cette controverse quant à la cause du sida n'a jamais pu parvenir jusque dans la presse généraliste et qu'hormis la communauté scientifique, à peu près personne n'est au courant de cette controverse. Dès lors, quand tu dis à une personne (ou même sur ONCT) que le sida n'est pas causé par le "VIH", on te prendra pour un fou ! Alors que pourtant, cela est de plus en plus contesté dans la communauté scientifique, et ce depuis 1987 ! Bref, tout est bouché, surtout au niveau de la presse. Et tant que ce sujet ne sera pas débattu sur la place publique, il n'y a aucune raison de penser que l'orthodoxie scientifique du sida souhaitera débattre publiquement de ce sujet et tentera de réfuter (à supposer qu'elle y arrive) les arguments des repenseurs du sida, et donc d'être publiquement obligée de reconnaître que le sida n'est effectivement pas causé par le "VIH". Car les pressions sur l'orthodoxie du sida sont extrêmement fortes et puissantes, en commençant par l'industrie pharmaceutique qui gagne des dizaines de milliards de dollars par an sur le dos des sidéens (mal traités), à tel point que la communauté scientifique du "VIH" se porte actuellement en bon porte-parole des lobbies pharmaceutiques dont elle est le bien docile valet et dont les études sont financées par lesdits groupes de pression (qui noyautent au surplus les associations de "lutte" contre le sida, telles que ONUSIDA), forcément dans le sens profitable voulu par ceux-ci. Le jour où cela sera enfin publiquement connu, attends toi à - au moins - une chute vertigineuse des actions de multiples industries pharmaceutiques. Et l'orthodoxie du sida fut aidé grâce au succès surprise en 1996 de la lamivudine (qui fait partie des trithérapies) et qui fut à tort interprété comme la preuve que le sida est effectivement causé par le "VIH". C'était perdre de vue que la lamivudine est un très puissant antioxydant, raison suffisante pour déjà expliquer pourquoi les sidéens allaient (provisoirement) mieux en l'utilisant. Heureusement, il y eut internet, et depuis la fin des années 90 (et grâce entre autres à ONCT), le public prend peu à peu conscience que le sida n'est effectivement pas causé par le "VIH", à tel point que l'orthodoxie du sida se sentit réellement pour la première fois obligé de réagir en faisant en l'an 2000 la "Déclaration de Durban", qui est un catalogue de tous les dogmes en vigueur de l'hypothèse rétrovirale du sida. Malheureusement pour l'orthodoxie du sida, cette réfutation fut réfutée avec une grande facilité. Il s'agit de la Réfutation de la Déclaration de Durban, que tu trouveras au tout début de la synthèse collective. Et depuis lors, la controverse se fait de plus en plus publique, à tel point qu'en mars dernier, une revue généraliste américaine de gauche a - enfin - publié un article exposant la controverse. Mais il y a encore énormément de travail à faire avant que le monde entier prenne réellement conscience de l'existence de cette profonde controverse scientifique et de la bourde monumentale que constitue la théorie du "VIH" comme cause du sida. Si, toi, par exemple, tu en pouvais en parler autour de toi, cela ferait également avancer les choses !
  25. Alors, certes, ces protéines appelés "anticorps" par l'orthodoxie du sida ne protègent pas contre le sida mais sont malgré tout très puissants puisque le "VIH" est le plus souvent indétectable, même chez les patients en phase terminale. Pour une maladie qui est pourtant affirmée "infectieuse" par l'orthodoxie du sida, il faudra reconnaître que les anticorps en question ont une efficacité redoutable. Voilà qui fait pour le moins désordre. N'est-ce justement pas une preuve de plus que le sida n'est pas causé par le "VIH" (mais bien par autre "chose", la chose en question étant donc le stress oxydatif), contrairement à ce que cette "réfutation" prétend affirmer ? Cela saute aux yeux ! C) Il convient par ailleurs de ne pas perdre de vue que la croyance de l'orthodoxie du sida selon laquelle les anticorps du "VIH" ne protègent pas contre le sida est absolument critique et fondamentale dans leur théorie. Et il est bien sûr hors de question pour l'orthodoxie du sida de remettre cette croyance en question, ceci pour un certain nombre de raisons et entre autres : a) Si les anticorps du "VIH" doivent être considérés comme protecteurs, la valeur pronostique du test dit "VIH" disparaîtrait aussitôt. b) Si l'on envisageait d'autres facteurs de risques de santé comme cause du sida, tels que l'usage de drogues ou l'exposition à des produits sanguins, la valeur pronostique des tests "VIH" serait considérablement réduite, si pas complètement éliminée. Or les repenseurs du sida ont justement démontré que le sida a d'autres causes que le soi-disant "VIH", en commençant par la théorie même du stress oxydatif. c) Si la fiabilité des tests dits "VIH" était remise en question, telle que la possibilité que les anticorps du "VIH" puissent réagir avec d'autres conditions (par exemple des infections diverses, maladies auto-immunes, vaccinations ou même le fait d'être enceinte), il n'y aurait plus de possibilité de déclarer des personnes comme étant réellement séropositives au "VIH". Or cela a également été très abondamment constaté dans la littérature scientifique. d) La simple existence des "Survivants (ou plutôt "Résistants") à Long Terme", soit des personnes séropositives, qui ne consomment pas de drogues dites "antivirales", et qui restent en bonne santé après 10 ou 20 ans prouve déjà à elle seule que les anticorps du "VIH" ne sont nullement la garantie d'un futur sida déclaré, et par conséquent, l'industrie très lucrative des drogues dites "antivirales" sera mise en péril. e) Un autre exemple permet d'illustrer combien l'assertion selon laquelle les anticorps du "VIH" ne sont pas protecteurs du sida mais bien annonciateurs de celui-ci relève de l'illogisme le plus absurde. En effet, l'existence de personnes ayant des maladies définies comme étant du sida, telles que la tuberculose ou le sarcome de Kaposi, sans avoir un test "VIH" positif, peut être considéré comme la preuve que le "VIH" n'est pas nécessaire pour causer le sida. Par conséquent, il est nécessaire de donner la priorité au "VIH" sur toute autre possibilité pour faire tenir la théorie selon laquelle le "VIH" cause le sida. Un toxicomane séropositif devra donc être considéré comme protégé contre toutes les autres causes bien connues et documentées de la tuberculose (telles que la consommation de drogues, la malnutrition, ...) parce que la seule cause possible du sida qui puisse être acceptée dans la théorie orthodoxe est le "VIH". S'il était possible d'accepter que les maladies définies comme étant du sida ont d'autres causes en présence du "VIH", alors les drogues dites "antivirales" ne pourraient plus être prescrites jusqu'à ce que ces autres explications soient analysées et éliminées ! Cet exemple permet en outre d'illustrer le caractère tautologique de la théorie orthodoxe du sida. En d'autres termes, l'assertion de l'orthodoxie du sida selon laquelle les anticorps du "VIH" ne sont pas protecteurs contre le sida est très manifestement erronée, en ce sens qu'ils ne sont pas pour autant annonciateurs d'un sida dans le futur ! D) L'orthodoxie du sida a donc cité des exemples où malgré la présence d'anticorps, des maladies virales peuvent cependant se déclarer à nouveau ultérieurement. Et effectivement, il existe quelques maladies virales où les anticorps surgis suite à la première survenance de la maladie ne signifient pas "immunité" puisque le virus n'est pas neutralisé et peut à nouveau surgir ultérieurement. Ceci étant, dans chacun des cas cités par l'orthodoxie du sida et sauf erreur de ma part, la PREMIERE apparition de la maladie est toujours survenue AVANT la création des anticorps. Or, le sida (et sauf erreur de ma part toujours) est à ce jour la seule maladie à ce jour où l'apparition des anticorps précède la PREMIERE apparition de la maladie (le sida donc) puisque l'orthodoxie du sida affirme avec un bel allant et unanimement que la maladie ne se déclare généralement que dans environ 5 à 10 ans plus tard. Dès lors, l'assertion de l'orthodoxie du sida reproduite ci-dessus reste également complètement fausse de ce point de vue-là. EN CONCLUSION de tous les raisonnements qui précèdent, je pense avoir clairement démontré que cette affirmation de l'orthodoxie du sida est bel et bien une erreur, sans toutefois être un véritable mensonge contrairement à la quasi-totalité des autres affirmations figurant dans cette "réfutation" !
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