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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Moi, en Belgique, j'ai tout "simplement" (car il m'a quand même fallu plusieurs semaines pour en retrouver un, heureusement et visiblement très compétent) été chez un médecin nutritionniste, qui, après m'avoir fait une prise de sang (carabinée), a demandé à un laboratoire de faire les analyses en question. Mais en France, cela paraît être la croix et la bannière à ce sujet, du moins d'après d'autres témoignages sur ce forum, d'autant plus que les "experts" "VIH" ne font pas ce genre d'analyses. N'empêche, il doit bien exister en France des médecins spécialisés en nutrition (si possible ortho-moléculaire), non ? Là, je ne sais pas trop ce qu'on peut faire. Des connaissances sous drogues dites "antivirales" (et les consommant toujours à ce jour, malgré mes avertissements) ont subi une ou plusieurs opérations chirurgicales pour y remédier dans une certaine mesure. Sinon, selon certains témoignages, les choses peuvent revenir progressivement en son pristin état naturellement en quelques années, mais d'après d'autres témoignages (dont celui de Terry, si je me rappelle bien), le retour à l'aspect physique antérieur ne paraît hélas pas se produire.
  2. Ci-dessous, les quelques effets secondaires possibles de la consommation d'oméga 3 (et qui confirment le risque d'hémorragie souligné par Aixur, mais visiblement ce risque n'apparaît réellement qu'en cas d'interaction avec des médicaments anticoagulants) :
  3. Terry, T'es-tu fait récemment un "check-up" complet ? Car il me semble avoir lu en son temps qu'une sinusite et/ou une otite qui traînent depuis des mois (et chez toi, cela fait déjà six mois, si j'ai bien compris) constituent en réalité une infection secondaire due à une infection primaire bactérienne ou virale, passée inaperçue ou à laquelle il n'a pas été prêté attention chez toi. Si cette infection primaire n'a pas été soignée (car justement pas encore détectée), cela pourrait expliquer pourquoi tu ne guéris toujours pas de ces sinusites/otites malgré tous les médicaments que tu prends depuis six mois. Entre-temps, pourquoi n'essaierais-tu pas l'EPP (extrait de pépins de pamplemousse) ? Il s'agit d'un antibiotique naturel, souvent aussi efficace si pas plus efficace que bon nombre d'antibiotiques "chimiques". Je pense que tu n'as pas encore essayé cela. Cela ne m'empêche toutefois pas de te suggérer malgré tout un "check-up" complet, quoique l'EPP pourrait bien soigner également l'éventuelle infection primaire.
  4. Pourrais-tu préciser les références scientifiques de cette assertion ? Car, par exemple, dans ce post-ci, je pense avoir démontré exactement le contraire de ce que tu affirmes !
  5. Peut-être, encore ne faut-il pas faire croire qu'il s'agit-là d'une généralité. Et pour ma part, j'ai pris des tas de compléments alimentaires pendant 10 ans (ne fût-ce que les compléments alimentaires pour sportifs), et je n'ai jamais rien eu. Par ailleurs, à supposer qu'ils puissent causer dans certains cas de tels désagréments, ce n'est qu'un "détail" par rapport à un "effet secondaire" de taille du sida, à savoir la mort ! Moi aussi, je persiste et signe, désolé. Si tu n'as rien trouvé, c'est parce que tu as décidé de ne rien trouver qui puisse malmener ta croyance. Car il ne faut pas chercher bien loin pour prouver l'utilité de ces produits (mais je suis d'accord avec toi, c'est cher, et cela est scandaleux) : - Par exemple, ici - Ou tu vas - par exemple - sur ce site-ci et tu tapes les noms des compléments alimentaires que tu détestes autant ..... et tu trouveras des dizaines, si pas des centaines d'articles démontrant les bienfaits de ces compléments (avec en fin des articles, les références scientifiques); - Ou mieux encore, tu vas sur pubmed, tu entres le nom des compléments alimentaires détestés (en anglais), et tu trouveras des articles scientifiques sur leurs bienfaits. Il ne faut pas plus de 15 secondes pour constater que ces compléments alimentaires ont prouvé leur utilité en matière de sida.
  6. C'est bien sûr toujours mieux que le recours aux drogues dites "antivirales". Mais il ne s'agit-là que d'"ordonnance" type, et plus que jamais, il faut les actualiser en fonction de ce que révéléra un bilan nutritionnel complet (lequel ne se limitera donc pas uniquement au statut du stress oxydatif). Par exemple, j'ai bien lu en son temps qu'un excès d'arginine favorisera plutôt l'apparition du sida; de même, trop de zinc est dangereux pour la santé. Donc, ces traitements alternatifs sont une (très) bonne solution (à mon avis), mais pour que cela soit réellement efficace, un bilan nutritionnel régulier me paraît devoir s'imposer (malgré son coût).
  7. Je ne sais évidemment pas de quoi tu souffres précisément, Lasimar, mais au moins, au vu du post qui précède et de celui-ci ou encore celui-ci, il ne faut pas chercher midi à quatorze heures pour savoir pourquoi ton test dit "VIH" a finalement pu se positiver. Etant donné que tu n'as pas utilisé régulièrement les préservatifs (et je ne vais certainement pas t'en faire le reproche, cela ne me paraît d'ailleurs pas être le but de ce forum), à la longue, tu as finalement développé des tas d'anticorps à des tas de choses (et entre autres CMV, chlamydia, gonorrhée, et certainement contre des tas d'autres choses [anticorps contre l'hépatite B par exemple ?] qui n'ont pas forcément été recherchées). Comme dans un précédent post, tu te déclares bien plus souvent actif que passif, forcément, cela a mis bien plus de temps que pour d'autres avant que ton test devienne positif (du fait entre autres des nombreux anticorps que tu as accumulé au cours des années), et ce même à supposer que tu ne consommes pas de poppers. D'autant plus que seules trois bandes à peine (sur les 10) ont réagi positivement. Ce qui ne me paraît pas beaucoup (ni même assez en Australie). Sinon, pour le reste, personnellement, je te conseillerais quand même de faire un bilan nutritionnel complet, malgré son coût. Peut-être constatera-t-il certaines carences (ou excès) et la correction ultérieure de celles-ci permettra peut-être de guérir les derniers symptômes dont tu souffres encore. Il me semble que tu n'as (presque) rien à perdre à essayer.
  8. J'ajoute ce lien : SYPHILIS: Is it a Mischievous Myth or a Malignant Monster. C'est un "petit" article en anglais de 80 pages sur le sujet de la syphilis et qui semble aller parfaitement dans le sens défendu par Aixur. Certes, cela date un peu (1962) mais ce qui y est expliqué reste toujours valable, du moins d'après le peu que j'ai déjà pu lire dans cet article. Franchement, je commence de plus en plus à me poser des questions, non sur la réalité des diverses maladies constitutives de (soi-disant) MST, mais bien sur leur réelle causalité avec les virus et autres bactéries soi-disant incriminés. Ce sujet mériterait vraiment d'être creusé.
  9. Je t'invite à lire le point B (solutions préconisées par la dissidence du sida) du Chapitre VII de la synthèse collective.
  10. En complément à tout ce que Liane a déjà écrit, j'ajouterais aussi que certaines drogues dites "antivirales" peuvent effectivement être efficaces (malgré ses innombrables effets secondaires, parfois mortels), sans que cela ait un rapport avec une quelconque diminution de la réplication dite "virale". Dès lors, en les interrompant, les infections dites "opportunistes" peuvent effectivement reprendre. Mais ce qui est scandaleux, c'est de faire croire aux gens que les tri"thérapies" sont la seule solution. C'est tout particulièrement vrai pour les cas de sida non occidentaux (soit la très grande majorité des cas), car là, à l'évidence, le test dit "VIH" réagit positivement en raison de facteurs liés à la pauvreté : famine, pénuries alimentaires, maladies endémiques, etc... La solution ne consiste dès lors pas à administrer des drogues dites "antivirales" mais bien à soigner ces diverses maladies, à procurer une bonne alimentation et de façon plus globale, à lutter contre la pauvreté (qui ne fait que s'accroître en plus dans ces pays-là, d'autant plus que leurs maigres ressources financières sont maintenant consacrées à l'achat de drogues dites "antirétrovirales", et non plus à lutter contre la pauvreté !). Ce n'est pas le sida qui cause la pauvreté (comme on le lit parfois, voire même souvent, dans la presse orthodoxe), c'est au contraire la pauvreté qui cause le sida !
  11. En cliquant ici par exemple, tu trouveras une "ordonnance" type pour une personne dite "séropositive" aymptomatique. Mais il ne s'agit-là que d'une voie générale. Je recommanderais un bilan nutritionnel complet malgré tout, pour mieux affiner la "prescription" et pour éviter de prendre des compléments alimentaires un peu n'importe comment. Car comme l'a dit Terry plusieurs fois, mal utilisés ou en excès, ces compléments alimentaires peuvent parfois faire du tort. Et quand je me rappelle de ton témoignage, encore plus que pour d'autres, je te conseillerais de faire un tel bilan. Car je pense que ta séropositivité (et je me permets de te rappeler qu'en Australie, tu serais considéré comme non "contaminé", vu que seules trois bandes sur les dix ont réagi dans ton cas; cela correspond à une réalité pourtant "scientifique") est chez toi un diagnostic de facilité, qui permet aux médecins de ne pas faire de recherches complémentaires. N'étant pas médecin, je ne sais dire de quoi tu souffres exactement (j'avais émis l'hypothèse éventuelle de l'infection par un mycoplasme, qui peut être transmissible sexuellement), mais à défaut de le savoir, un bilan nutritionnel permettra sans doute de voir un peu plus clair (ou un peu moins sombre). Il serait en fait intéressant de simplement demander au médecin ce qui suit : "Et si je n'avais pas été déclaré "séropo", quel serait le nom donné aux divers maux dont je souffre ? Quels en pourraient être les (autres [et seules vraies, en réalité]) causes ?" Alors là, à mon avis, tu sauras vraiment de quoi tu souffres réellement, ou du moins, tu seras plus susceptible d'approcher de la vérité. Ce n'est du moins que mon opinion.
  12. J'insère ce lien vers un récent post de Liane dont il ressort très clairement que c'est justement dans les pays africains où la pénurie alimentaire est la plus forte que le taux (présumé) de prévalence du soi-disant "VIH" est le plus élevé. Ce n'est bien entendu pas une coïncidence. Il a déjà été mentionné à moult reprises que la famine ou de manière générale les carences alimentaires suffisent déjà à expliquer qu'un test dit "VIH" devienne positif, sans qu'il soit nécessaire de faire intervenir un rétrovirus dénommé "VIH" pour l'expliquer. Encore une confirmation de plus de l'explication du stress oxydatif comme cause du sida !
  13. Oui, effectivement. Mais cela ne date cependant pas du début de ma consommation de poppers, mais bien depuis ma prime enfance. Mais le poppers n'a certainement pas amélioré la situation. Ce n'est que depuis que je fais de temps en temps une cure d'extraits de pépins de pamplemousse (depuis l'été passé) que je n'en ai (quasiment) plus. Mais je ne pense de toute façon pas que les antioxydants constituent un remède miracle contre les effets toxiques du poppers. Ils peuvent les retarder plus ou moins fortement à mon avis, mais certainement pas les empêcher à la longue, à moins sans doute de n'en prendre qu'à doses "homéopathiques", ce qui n'était certainement pas mon cas. Mais bon, maintenant, je compte bien tirer un trait définitif sur cela. Et je suis d'ailleurs curieux de voir lors de mon prochain bilan nutritionnel, soit dans quelques mois, si la suppression totale et définitive de poppers est déjà suffisante pour entraîner une hausse du glutathion réduit (car je suis juste en dessous de la limite "normale", et c'est entre autres cela qui m'a décidé à définitivement arrêter) et "accessoirement" une hausse de mes lymphocytes T4. Car ceux-ci n'ont jamais été très élevés depuis 2000, à savoir toujours entre 290 et en dessous de 450. On verra bien. J'applique enfin ce que je suis si prompt à conseiller aux autres. Personne n'est parfait ! lol
  14. Si tu trouves cela vraiment intéressant, oui, j'ai certes une formation scientifique puisque j'ai une formation de juriste (d'ailleurs précisé dans l'un de mes tout premiers posts sur ONCT). Alors, oui, cela n'a pas vraiment un rapport quelconque avec le sida, mais je crois pouvoir être en mesure d'affirmer que cette formation me permet d'appréciser à sa juste valeur une autre science, à savoir celle de la logique. Or ce qui m'a immédiatement attiré et même fasciné dans l'explication du stress oxydatif comme cause du sida (explication avancée pour la première fois par le Perth Group dès 1988, et même des années auparavant, mais ils n'arrivèrent à publier l'article scientifique en question qu'en 1988 : voir ici), c'est justement la logique de cette explication et la circonstance que cette explication, dans nombre de ses applications, frise carrément la perfection mathématique, exactement tout le contraire de l'hypothèse rétrovirale du sida. Et je pense réellement ce que je dis !
  15. Mais en fait, Terry, nous sommes tous les deux d'accord ! Effectivement, il n'est pas nécessaire d'être toxicomane pour avoir le sida. Lorsqu'on examine ne fût-ce que les principaux groupes à risque de sida (qui correspondent à une réalité), soit les homosexuels masculins, les toxicomanes et les hémophiles (du moins, avant que le sang ne soit chauffé), que constatons-nous ? Et bien, que ces groupes à risques sont exposés à des stresseurs chimiques (le plus souvent azotés) qui sont de puissants oxydants cellulaires : drogues illicites pour les toxicomanes, nitrites (poppers), sperme et MST [d'où l'utilité des préservatifs, même pour les repenseurs du sida, et certains, tels le Perth Group, vont même bien plus loin encore que les orthodoxes du sida, puisqu'ils déclarent que l'usage du préservatif ne doit pas s'imposer uniquement pour les seuls séropositifs mais bien également pour tous les personnes dites "séronégatives" ayant des rapports sexuels, en particulier anaux, avec d'autres personnes dites "séronégatives"] pour les homosexuels masculins et facteurs VIII (protéine de coagulation sanguine dont les hémophiles sont dépourvus) pour les hémophiles. Donc, oui, il n'est pas nécessaire d'être toxicomane pour avoir le sida. Terry Certaines personnes ont certainement et naturellement un système immunitaire plus performant que d'autres personnes (ce qui permet d'expliquer par exemple que certaines personnes puissent mieux supporter le poppers que d'autres), mais ce qu'on constate surtout, c'est qu'indépendamment de cela, toutes les personnes qui font un sida ont été et/ou sont exposés à de puissants stresseurs chimiques, le plus souvent azotés. Et parfois, ce stresseur chimique n'était rien d'autre que (par exemple) l'AZT en monothérapie alors que le sidéen en question avait au départ juste eu pour seul tort d'avoir réagi positivement à un test appelé "VIH", lequel, dans son principe même, devient positif par suite de facteurs n'ayant strictement aucun rapport avec une supposée contamination par le "VIH", facteurs au surplus innombrables. Et parfois, dans des cas extrêmes, le puissant stresseur chimique est tout simplement l'annonce de la séropositivité au "VIH" et les conséquences incalculables (entre autres au niveau chimique ----> augmentation du niveau de cortisol ---> baisse des lymphocytes T4 ---> sida, que le "traitement" à l'AZT n'a fait qu'aggraver) de cette annonce, très mal interprétée par l'orthodoxie du sida, amèneront "naturellement" (en ce sens que le "VIH" est inutile pour l'expliquer) au stade sida. Terry Sans le vouloir, Terry, tu vas dans le sens de la théorie du rétrovirus "lent" de l'orthodoxie du sida, soit la théorie du "VIH" ! lol Or, comme le dit le professeur Duesberg, il n'y a pas de rétrovirus lents, il n'y a que des rétrovirologues lents (d'esprit). Terry Oui, évidemment, mais heureusement pour l'humanité, les plus jeunes ont généralement vocation à survivre aux plus vieux. Ceci étant, lorsqu'on constate à partir du début des années 80, que de jeunes gay dans la vingtaine et trentaine, pourtant de solides gaillards en bonne santé, meurent ensuite en quelques mois d'infections "exotiques", il est difficile et même impossible de justifier cela par la considération que "de tout temps il y a eu des gens qui meurent plus jeunes que d autres et je pense que c est là le truc dans le sida !". L'orthodoxie du sida y a au contraire vu la marque d'un mystérieux rétrovirus exogène qui aurait été transmis par un singe d'Afrique (bien commode comme explication !), tandis que le Perth Group (entre autres) y a vu la marque d'un style de vie particulier que menaient ces jeunes gay et qu'avaient ceux-ci en commun. Et ce style de vie qu'ils avaient en commun permet déjà d'expliquer l'apparition de ces maladies "exotiques", le "VIH" étant inutile pour l'expliquer (encore une fois d'ailleurs). Terry "Systématiquement", je ne le pense certainement pas (je n'ai pas lu d'études scientifiques confirmant cela), mais il est vrai qu'après une chimiothérapie, certains des patients en question peuvent faire des maladies englobées sous le signe "sida". Mais il y a quand même une différence de taille entre les deux cas, à savoir que dans le cas de la chimio, les maladies en question résultent d'une détérioration moins profonde et plus ponctuelle de la personne que dans le cadre du sida. Certains font par exemple une tuberculose ou que sais-je encore, mais après le traitement "standard" (et pour autant qu'ils ne refassent plus de chimiothérapie), ils récupèrent et ne refont plus les maladies en question. Au début des années 80, les mêmes traitements "standard" furent appliqués aux sidéens, et qu'a-t-on constaté ? Certains mourraient malgré tout, d'autres guérissaient certes, mais contrairement aux personnes qui avaient été sous chimiothérapie, nombre d'entre eux refaisaient quelques mois plus tard la même maladie, et en outre dans une forme bien plus grave encore, et finalement, en mourraient. Alors, certes, nombre d'entre eux succombaient aux mêmes vices de départ (drogues, etc...) mais pour certains, ce reproche ne paraissait pas pouvoir leur être fait. Ce qui fait justement dire à certains repenseurs du sida que dans certains cas, ce stress oxydatif a pu causer des conséquences irréversibles. Il y a donc une très nette différence (en général, du moins) entre ceux qui font une maladie qualifiée de sida par suite d'une chimiothérapie, et ceux qui le font dans la forme "sida" "traditionnel" (lol). Dans le premier cas, les atteintes sont moins profondes et ont une causalité très bien définie et ponctuelle (chimiothérapie), dans le second cas, les atteintes (quoique se traduisant par la même maladie) sont bien plus profondes et résultent de causes bien plus large et sur une plus longue durée (style de vie). Un exemple parmi tant d'autres est celui du sarcome de kaposi. On a pu constater en son temps que des personnes prenant certains médicaments immunodépressifs pouvaient faire un sarcome de kaposi. Mais aussitôt qu'elles arrêtaient les médicaments en question, le sarcome régressait pour finalement disparaître. Rien de tel pour ceux (le plus souvent des gay consommateurs de drogues récréationnelles) faisant un sarcome de kaposi qualifié de sida : le simple fait d'arrêter la consommation de ces drogues-là ne suffit pas à faire régresser et encore moins à faire disparaître les sarcomes en question. Wallypat Terry Aixur Bon, maintenant que j'ai définitivement (enfin, je l'espère) arrêté de prendre du poppers depuis deux mois (et franchement, c'est dur, mais de moins en moins avec les semaines), oui, j'avoue (lol) : j'ai consommé régulièrement du poppers pendant 17 ans, et à fortes doses (je crois) au cours de ces dix dernières années. Mais avant de parler de mon cas (brièvement, car je n'ai aucune intention de m'étendre sur ma vie privée), je vais d'abord préciser ce que moi, j'ai constaté personnellement constaté dans le milieu gay (belge, du moins, mais cela me semble applicable également en France et partout ailleurs dans le monde), que je prétends très bien connaître. Alors, oui, effectivement, je connais quatre, cinq personnes que je revois un peu par hasard et assez régulièrement depuis 10 ans, qui consomment du poppers et qui ont l'air d'assez bien se porter (mais je parle pas souvent avec eux et donc, je ne peux pas certifier qu'ils se portent effectivement bien). Mais la plupart de ces personnes ont cependant ceci de commun (il peut y avoir des exceptions bien sûr, mais personnellement je n'en connais pas dans mon cercle d'amis) : 1) Ils sont essentiellement "actifs". Or, il y a une différence de taille entre un actif qui consomme du poppers et un passif qui le consomme : généralement, un actif consomme déjà beaucoup moins de poppers, il en prend un peu au début pour faciliter l'érection et ensuite un peu de temps en temps (et encore !); en revanche, un passif n'arrête pas (ou presque) d'en consommer, que ce soit au début, pendant ou à la fin. Je n'ai pas lu d'études sur le sujet (lol), c'est juste le résultat de 18 années d'observation sur le "terrain". Par ailleurs et par définition, ils ne risquent pas d'être exposés au stress oxydatif causé par la réception rectale du sperme. 2) Ils utilisent systématiquement le préservatif , en sorte qu'ils ont bien moins de risques d'être exposés à des MST de toutes sortes, sources de stress oxydatif, et à leurs traitements, également sources de stress oxydatif. Déjà, sur base de ces deux considérations-là, et en fonction en outre de la résistance de l'individu, on peut facilement comprendre qu'ils ne fassent (apparemment, car je ne leur pose la question bien sûr) pas de sida. Et dans mon propre cas ? Alors, certes, j'en ai consommé pendant 17 ans, sans sida quelconque (et je touche du bois). J'ai évidemment analysé mon propre cas, et cela peut s'expliquer très facilement. D'abord, de 1989 à mai 1996, je n'en consommais pas beaucoup (à mon sens), à savoir en moyenne 2 ou 3 petits flacons de 20cl par an. En revanche, et par suite de certaines circonstances sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai (très) fortement augmenté ma consommation de poppers pour atteindre dès 1997, la consommation moyenne d'un petit flacon de 20cl par week-end, soit finalement (et je trouve cela assez effrayant), un litre de poppers par an. En plus, il ne s'agissait pas du "mauvais" poppers de France, mais bien du "bon" et du "vrai" poppers, comme on en trouve aux USA. Evidemment, lorsque je découvre la dissidence du sida mi-2005, je me pose des questions sur mon propre état, mais je me dis que je dois être bien plus résistant que les autres puisqu'après 16 ans, je n'ai toujours rien (quoique je fus diagnostiqué "VIH+", à mon insu [ce test a été fait sans mon accord], début 2000; mais à mon avis, cela devait déjà être bien auparavant, car je n'avais plus fait aucun test depuis 1994), je continue de plus belle, tout en prenant davantage d'antioxydants et en diminuant un peu "par prudence" la consommation en question (un flacon de 20 cl tous les deux week-ends au lieu d'un week-end), d'autant plus que je passe depuis lors de plus en plus de temps à lire ce qu'écrit la dissidence du sida (qui est tout simplement pour moi le sujet le plus passionnant que je n'ai jamais lu) et de moins en moins de temps à des activités susceptibles de faciliter la consommation de poppers. Toutefois, lorsque je fais un bilan nutritionnel en avril dernier, quoique pas mauvais, il est constaté certaines anomalies (sur lesquels je ne m'étendrai pas également) qui ne figuraient pas un an plus tôt. Bien malgré moi et comme je crois comprendre de mieux en mieux ce qu'écrivent les repenseurs du sida, j'en ai déduit que je n'avais pas le choix et que je devais définitivement arrêter le poppers. En plus, cela faisait quasiment 10 ans tout juste que j'en consommais à hautes doses. C'était sans doute une date symbolique. Certes, j'ai fait une (légère) rechute (lol) deux semaines plus tard, mais là depuis deux mois, "je tiens le coup" (lol), mais franchement, cela a été très très dur au début. Bon, ceci étant, comment ai-je pu tenir 17 ans sans sida, tout en consommant autant de poppers ? J'ai évidemment beaucoup réfléchi à la question, et je pense que certains facteurs qui me sont strictement personnels peuvent l'expliquer. 1) De 1989 à 1996, il s'agissait à l'évidence d'une consommation "homéopathique" lorsqu'on la compare à celle allant de mai 1996 à début avril 2006. 2) Je n'ai jamais touché à rien d'autre, sauf une fois pour plusieurs autres "choses", mais juste pour constater que cela ne faisait visiblement aucun effet sur moi. 3) Je n'ai plus touché à l'alcool (pas même un seul verre) depuis 16 ans. Idem, jamais de vin (j'ai immédiatement la nausée). 4) Je ne bois jamais de café ou de thé. 5) Les assez rares fois où je suis malade (rhume, angine, etc...), je ne m'inquiète jamais et je ne panique jamais. Cela fut d'ailleurs également le cas lorsque j'ai eu une encéphalite (à cause de deux vaccinations : grippe + hépatite B) : je ne m'en suis jamais inquiété (sauf quand des proches m'ont fait part de leurs inquiétudes; moi, cela "m'amusait" presque), n'ai pris aucun traitement et j'en ai guéri spontanément. Ma confiance en la médecine orthodoxe a toujours été faible (même quand je fus déclaré "HIV+"), et évidemment, les choses ne sont pas améliorées depuis lors. 6) Jusqu'à ce que je tombe dans les griffes de l'orthodoxie du sida, je n'avais jamais pris d'antibiotiques de ma vie, sauf une seule fois, en 1994 (pour une grosse bronchite, me semble-t-il). 7) J'ai toujours tâché de manger chaque jour une quantité énorme de légumes et de fruits. 8] J'essaie dans toute la mesure du possible d'éviter la compagnie de gens stressants, car le stress est terriblement contagieux (or je le suis déjà assez moi-même). 9) J'essaie de toujours suffisamment dormir. 10) J'ai définitivement arrêté de fumer fin 1999. 11) Et c'est peut-être là l'un des éléments les plus importants, à partir de septembre 1996 (soit peu de temps après avoir commencé à consommer des grosses quantités de poppers), et jusqu'à ce jour d'ailleurs (quoique un peu moins depuis deux ans), je commence à faire du sport de façon intensive (5 à 10 heures par semaine). Mais en plus, et sans le savoir en fait, je prends des tas d'antioxydants. En effet, pour favoriser la musculation, je prends des tas de compléments alimentaires depuis 1996. Or, quand j'ai analysé, il y a quelques mois, la composition de ces compléments alimentaires pour sportifs (pas de stéroïdes bien sûr ou autres produits apparentés, lesquels sont susceptible de causer une immunodépression), j'ai pu constater qu'ils comprenaient des tas d'éléments conseillés par les repenseurs du sida : la "Whey" protéine (soit du petit lait, ce qui favorise fortement la production de glutathion), glutamine (pour récupérer après le sport; or, la glutamine favorise également la formation de glutathion), presque toutes les sortes de vitamines B, la vitamine C, magnésium, zinc, vitamine E, vitamine A, coenzyme Q10, L-Carnitine, ... Bref, sans le savoir, je prenais depuis 1996 la plupart des compléments alimentaires recommandés par les repenseurs du sida. 12) En 2001, je lis par hasard un article (forcément de l'orthodoxie du sida, à l'époque) précisant que les sidéens ont notamment pour caractéristique commune de souffrir d'une (très) forte carence en sélénium. Dès lors, depuis 2001, je prenais tous les jours du sélénium, du moins jusqu'à ce qu'il soit constaté en avril dernier, que j'en avais maintenant beaucoup trop au contraire ! Je crois que l'ensemble de ces éléments (et sans doute d'autres auxquels je ne pense pas) permettent d'expliquer pourquoi j'ai réussi à "survivre" (lol) au poppers pendant 17 ans. Mais bon, maintenant, je ne recommande à personne de faire la même chose que moi, et j'ai d'ailleurs moi-même arrêté de consommer du poppers. Et après deux mois, je constate déjà un changement auquel je ne m'attendais absolument pas : lorsque j'entre dans un endroit enfumé, je me mets quasi systématiquement à tousser pendant deux minutes ou trois (ce qui ne m'arrivait jamais), soit visiblement le temps nécessaire pour que mon corps s'habitue à l'atmosphère nocive en question ! En tout cas, je suis sûr d'une chose : je suis passé de justesse au travers du chas de l'aiguille (et j'espère qu'il n'est pas trop tard). Et ce n'est certainement pas grâce à l'orthodoxie du sida !
  16. wallypat

    Guérir le Sida!

    Intéressant le document cité. L'orthodoxie du sida en général (et non plus seulement Montagnier) met de plus en plus l'accent sur la nutrition pour traiter le sida ...... plus de quinze ans (voire même plus) après les repenseurs du sida ! Evidemment, quand on est en outre sous drogues dites "antirétrovirales", il serait bien naïf de croire que sur le long terme, le système immunitaire ou la santé puisse être restauré. Il est inutile d'invoquer comme prétexte un rétrovirus dénommé "VIH" pour l'expliquer, comme le fait l'orthodoxie du sida.
  17. Bonsoir survivor83, et sois le bienvenu. La, je dois faire vite, mais déjà quatre éléments. 1) Lis en cliquant sur ce lien (Breaking the Chains), les témoignages (en anglais) de quelques personnes qui ont arrêté les drogues dites "antivirales" et qui se portent plutôt bien, outre les témoignages sur ce forum-ci bien sûr. 2) Ne perd pas de vue que malgré un retour à une vie "saine et équilibrée", certains séropositifs refont malgré tout des épisodes de sida déclaré. C'est un risque à prendre, et tu ne le sauras qu'en arrêtant de consommer ces drogues dites "antivirales". 3) Ceci étant, il me paraît possible de diminuer (assez fortement) ce risque. Avant d'arrêter, je te conseillerais vivement et par prudence (et malgré son coût) de faire auparavant un bilan nutritionnel complet, et ce pour diminuer le plus possible le risque de faire à nouveau ultérieurement un nouvel épisode de sida déclaré. D'autant plus que je doute très fort qu'ils fassent ce genre d'analyse approfondie dans le protocole dont tu parles. En outre, je crains qu'une fois qu'ils auront constaté que tes lymphocytes T4 ont diminué (scénario visiblement courant et assez normal pourtant), cela soit interprété comme un échec et ils feront pression pour te remettre sous drogues dites "antivirales" même si tu n'es pas malade ! Un bilan nutritionnel complet (statut des antioxydants, glutathion, acides gras, etc...) permettra au contraire de mieux appréhender la situation. C'est du moins mon opinion. 4) J'attendrais de bien nombreux mois, si pas deux années ou trois avant de refaire un test dit "VIH". Les effets délétères de certaines des drogues dites "antivirales" ne peuvent pas disparaître du jour au lendemain (en espérant au surplus qu'ils n'aient pas causé de dégâts irréversibles ne pouvant plus être compensés par l'organisme). Mais en résumé, j'insiste pour ma part tout particulièrement sur le bilan nutritionnel complet, avant de prendre une décision aussi grave, quoique salvatrice, d'arrêter les tri"thérapies".
  18. Mais alors, modifions les messages de prévention, et disons à tout le monde que la meilleure façon de se protéger du sida, c'est encore de sniffer du poppers à tire-larigot et de s'injecter de l'héroïne. Cela ne cause évidemment pas le sida puisque nous avons sous la main un dissident du sida qui connaît des personnes ayant ce style de vie et qui se portent très bien ! Mais alors, les centaines d'études qui établissent depuis le début du 20ème siècle et de façon surabondante que la toxicomanie et l'usage de drogues provoquent à moyen ou long terme une immunodépression ne seraient donc que de fieffés mensonges ?! Nous aurions donc été trompés ? On nous cache tout, donc ? Les toxicomanes se portaient très bien, alors ? Y aurait-il un complot scientifique en vue de nous faire croire que la toxicomanie en générale est nocive, alors qu'en réalité, on s'en porterait que mieux avec ce style de vie ? Tout va bien dans le meilleur des mondes, alors ?! Plus sérieusement, moi aussi, je connais des gay consommateurs de litres de poppers par an et qui se portent très bien (apparemment), mais j'en connais infiniment plus qui se portent très mal et qui pour perpétuer les habitudes en question, sont "forcés" de consommer des tri"thérapies", lesquelles leur permettent de continuer en fait à mener ce style de vie, tout persuadés qu'ils sont en outre que tout cela, c'est la faute au (rétro)virus. Je connais aussi des gens qui fument depuis 40 ans, deux paquets par jour, et qui ne font pas de cancer de poumon pour autant et qui ne font pas plus de maladies qu'un non-fumeur. Ceci étant, on connaît aussi des tas d'autres fumeurs qui en fumant bien moins de cigarettes et sans attendre 40 ans, se meurent de cancers de poumon ou d'autres maladies manifestement liées à la consommation de tabac.
  19. wallypat

    Guérir le Sida!

    J'interviens juste pour dire qu'il ne peut s'agir de moi (à supposer que ...) puisque j'ai assez souvent précisé comme cela qu'avant de prendre ces compléments alimentaires, il est conseillé de faire auparavant un bilan nutritionnel pour constater ses carences (ou excès, mais cela est plutôt rare, car par définition et en principe [des exceptions peuvent exister bien sûr], une personne dite "séropositive" souffre de telles carences) éventuelles (mais fort probables par définition, car le stade sida est quasiment toujours précédé d'une forte déficience en antioxydants [entre autres] dans l'organisme du futur sidéen) pour y remédier. Quant au fait qu'ils peuvent avoir - parfois - des effets secondaires, bien entendu, ce n'est pas une nouveauté, mais si on se donne la peine de lire les - nombreuses - études scientifiques publiées sur ces compléments alimentaires (entre autres sur pubmed ou relatés par les repenseurs du sida eux-mêmes), le rapport bénéfice-risque penche sans le moindre doute en faveur de leur administration, en particulier quand on les compare avec les - bien plus fréquents et bien plus graves - effets secondaires des tri"thérapies". Et si un dissident est aussi bien contre les tri"thérapies" que contre les compléments alimentaires, il faudra me dire que conseiller alors à un séropositif qui se meurt d'une pneumocystose ou d'un sarcome de kaposi, par exemple ? La prière ? Faire l'autruche car cela passera "tout seul" ? En particulier, lorsque des études ont démontré que par exemple la prise de N-Acétyl cystéine permet de freiner le développement des sarcomes de kaposi, voire même parfois de les guérir ? Ou lorsque des études démontrent que l'on récupère bien plus rapidement d'une pneumocystose en recourant à des injections de glutathion par voie intraveineuse ? Ou que la prise de vitamines A diminue très fortement le risque qu'une femme séropositive donne naissance à un bébé lui-même séropositif ? Etc... Etc.... Etc... Etc... Etc... Pour ma part, je continuerai à en faire l'apologie, ciblée à tout le moins, - à moins qu'il soit un jour démontré que les différentes maladies définies sous le syndrome de "sida" se guérissent toutes seules et que les plusieurs dizaines, si pas centaines, d'études scientifiques ayant démontré l'efficacité de ces compléments alimentaires pour prévenir voire même parfois surmonter des épisodes de sida déclaré, sont juste le pur produit de mon imagination, - à moins qu'on me prouve qu'il n'y a jamais eu de morts de sida jusqu'à l'apparition de l'AZT (qui n'a fait qu'aggraver les choses) en 1987, - à moins qu'on me prouve qu'il n'y a jamais eu 25 millions de morts des diverses maladies définies sous le vocable "sida". Alors, oui, si un jour, quelqu'un arrive à relever cette gageure et à me prouver que tous ces morts ne sont que le pur produit de mon imagination, là seulement, je voudrai bien admettre que le sida est un concept virtuel. Mais on n'en est pas là pour le moment et on n'y sera d'ailleurs jamais. Et suggérer, même implicitement le contraire, c'est la meilleure façon qui soit pour perpétuer le mythe du rétrovirus tueur, et ne rend certainement pas service aux dissidents du sida. Car les malades de ce qui est qualifié "sida" existent, souffrent et meurent, sans que cela puisse systématiquement être mis sur le compte des tri"thérapies". Eventuellement prétendre le contraire sera considéré comme une insulte par ceux-ci. Telle est du moins mon opinion. Ceci n'empêche pas que pas mal de séropositifs peuvent parfaitement (sur)vivre sans utiliser de tels compléments. Mais il ne s'agit pas de généraliser son cas personnel à l'ensemble des personnes de la Terre diagnostiquées "HIV+". Il suffit par exemple de penser au cas récent de Pierrot et de sa pneumocystose (ou quoi que soit cette pneumocystose). C'est sûr qu'en France, tu en trouveras (presque) aucun. Et pour cause, vu que la France est fort en retard en matière de dissidence du sida. En revanche, aux USA par exemple, tu trouveras de très nombreux témoignages de ce genre en te rendant par exemple sur ce site-ci (sans compter les nombreuses études scientifiques qui le prouvent, du moins pour autant que l'on comprenne un peu l'anglais et qu'on se donne la peine de les chercher et de les lire).
  20. Concernant le virus de l'hépatite B, cela ne semble pas contesté (à moins de suivre les thèses de Lanka). En revanche, concernant le virus de l'hépatite C, c'est très fortement contesté. On en parle entres autres dans ce topic-ci, notamment à la fin de la première page.
  21. Personnellement, j'ai quand même de sérieux doutes, en ce sens qu'en principe, le cas du pseudo "VIH" ne peut être extrapolé à (presque) tous les autres virus et bactéries. J'ai fait une petite recherche (pas très longtemps, il est vrai) avec google, et d'après ce que j'ai pu constater, les réactions croisées ne sont visiblement pas un phénomène très très courant en médecine. Généralement, un anticorps réagit avec un antigène en particulier (cela semble être la règle) mais il arrive parfois qu'il y ait des réactions croisées. Et encore, quand il y a des réactions croisées, ce ne sont qu'avec un, deux, trois (et très rarement un peu plus) antigène(s) d'une bactérie ou d'un virus fort proche et de la même famille (sauf très rares exceptions, semble-t-il) de la bactérie ou du virus que l'on recherche au départ. Et en cas de réel doute, on fera une détection directe pour vérifier s'il y a bien eu une réaction croisée ou non. Et cela semble logique, car contrairement au pseudo "VIH", presque tous les autres virus et bactéries ont réellement été isolés : les scientifiques connaissent parfaitement ou presque la composition de chacun de ces virus ou bactéries et ont pu trouver par voie de conséquence les anticorps, généralement spécifiques. Le "VIH" est en revanche un cas exceptionnel, car là, le "VIH" n'a jamais été isolé de façon raisonnablement acceptable : les scientifiques n'ont jamais pu séquencer les antigènes du "VIH". Ceux-ci (au nombre de 10)ont été choisis (car choisis parmi une trentaine obtenue lors des tentatives - ratées - d'isolation du "VIH"), non parce qu'ils ont prouvé qu'ils provenaient d'un "VIH" qu'ils avaient isolé, "découpé" et séquencé, mais bien parce qu'ils réagissaient le mieux et le plus souvent avec les anticorps trouvés chez les malades du sida ou à risque de sida. Mais les antigènes en question du "VIH" peuvent provenir de tas d'autres bactéries ou virus, faute d'isolation réussie. Et mieux encore, les repenseurs du sida ont prouvé que les antigènes en question ne proviennent pas nécessairement d'autres virus ou bactéries (que le pseudo "VIH") mais peuvent au contraire avoir tout simplement une origine cellulaire (protéines provenant donc de débris cellulaires) ! Par conséquent, les anticorps du "VIH" (et contrairement aux autres bactéries ou virus) peuvent être non seulement des anticorps à toutes sortes de bactéries ou de virus ... ou même être des anticorps auto-immuns (je suis pas sûr que c'est bien comme cela qu'on le dit), c'est-à-dire dirigés contre leurs propres antigènes ou protéines en excès (à cause du stress oxydatif) ! Dès lors, absolument aucune spécificité ne peut être attribuée aux anticorps du "VIH", ce que démontre d'ailleurs la circonstance que plus de 70 (voire même 80, car cela augmente d'années en années) infections (et autres circonstances) peuvent rendre un test dit "VIH" positif. Et à ma connaissance, cela est particulier (presque) uniquement au "VIH". Donc, personnellement, je ne pense pas que l'on puisse avoir des doutes légitimes sur tous les autres tests d'anticorps car contrairement au "VIH", dans les autres cas (ou presque), les antigènes n'ont pas été choisis mais bien séquencés à partir d'un germe (généralement) très bien isolé, et car ceux-ci n'ont en outre pas spécialement une origine cellulaire. Alors, certes, il y aura parfois des réactions croisées, mais cela n'est vraiment pas si courant que cela. Et en cas de doute, les scientifiques chercheront à prouver l'infection ou non par d'autres méthodes dont ils savent qu'elles sont également spécifiques (quoique plus onéreuses) de l'infection soupçonnée (ce qui n'est cependant toujours pas le cas pour ce qui concerne le "VIH", que ce soit la recherche du "P24" ou la PCR par exemple). C'était juste l'opinion d'un profane, et l'avis d'un biologiste serait évidemment le bienvenu. PS : En passant, merci beaucoup pour la traduction que tu as faite de l'article sur la "charge dite virale" sur sidasante.com. Très intéressant ... et très utile !
  22. Voilà un - gigantesque - pavé de plus dans la mare de l'abracadabrantesque hypothèse du sida rétroviral, Cheminot ! Je vais toutefois profiter de ce post pour rappeler certains faits qui ont été établis par de nombreuses études et qui contredisent totalement la bizarre croyance selon laquelle la séropositivité est sexuellement transmissible. Dès lors que l'on tient compte du facteur "stress oxydatif" des personnes "contaminées", on constate que la plupart des études orthodoxes qui auraient prouvé la transmission sexuelle du "VIH" n'ont justement pas tenu de ce facteur, tellement les auteurs de ces études sont convaincus que le sida est causé par un rétrovirus sexuellement transmissible. Dès lors, pourquoi devraient-ils s'interroger sur l'idée même que la "transmission" de la séropositivité puisse avoir d'autres causes, réelles celles-là ? Et nous pouvons trouver l'un des meilleurs résumés de la relation de ces faits dans cet article-ci datant de 1999 et résumant d'ailleurs très bien l'hypothèse du stress oxydatif comme cause du sida.
  23. Didier, As-tu au moins fait l'effort de lire la synthèse collective avant d'écrire le post qui précède ? Merci.
  24. Pour les lecteurs débordés, qui ne souhaitent pas lire tout de suite le premier (très) long post de ce topic, et encore moins le long article scientifique anglais dont il est fait mention dans le post qui précède, le lecteur pourra alors commencer par lire par exemple ce post-ci (ainsi que les suivants, plus spécifiquement consacrés aux possibles faiblesses techniques inhérentes au Western Blot), lequel post constitue en quelque sorte la quintessence du premier (très) long post de ce topic-ci, tout en expliquant en quelques phrases à peine pour quelle raison un test positif aux tests appelés "VIH" n'est toutefois JAMAIS le signe que la personne séropositive aurait été contaminée par le bien mystérieux rétrovirus connu par l'orthodoxie du sida sous le nom peu flatteur de "VIH". Il n'empêche pas moins qu'un résultat positif à ce genre de test devra toujours être pris (très) au sérieux, mais pas pour les raisons avancées par l'orthodoxie du sida (à savoir "contamination" par le "VIH"). Mais tel n'est pas l'objet de ce topic-ci.
  25. Je partage ton opinion, Pikpikandré. Pas plus tard qu'il y a quelques jours, je suis par hasard tombé sur ce forum de discussion qui n'est pas vraiment consacré à la dissidence du sida. Or il se fait qu'un intervenant a copié sur ce forum-là certains posts parus sur ce forum-ci de ONCT ! Bref, ce forum-ci semble particulièrement lu !
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