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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Ce n'est pas nouveau : on sait déjà que tout cela peut entraîner des effets secondaires, les pires et les plus mortels de tous étant, et de très très loin, ceux liés à la consommation de drogues dites "antirétrovirales". Mais allons à lessentiel, Terry, car tu ne me parais pas répondre à la question fondamentale suivante et que tout le monde se pose certainement. Quaurais-tu alors conseillé à Anarista de faire au moment (soit en juin dernier) où il était en train de se mourir dune pneumocystose, avec des lymphocytes T4 en chute libre (au nombre de 22) ? * Etant entendu que selon toi, les drogues dites « antirétrovirales » (et même divers compléments alimentaires, plantes médicinales et autres huiles essentielles) doivent en tout état de cause toujours être exclues, même à (très) court terme, * Et étant entendu que ton conseil ne doit pas être considéré comme dangereux (faute de quoi les reproches faits par Anarista dans le premier post de ce topic-ci pourraient effectivement être fondés ... mais tout particulièrement à ton égard), cest-à-dire que ton ou tes conseils impliquent tout autant de chance de survie quen recourant aux drogues dites « antivirales » et autres compléments alimentaires ? Je te remercie davance pour ta réponse.
  2. Merci pour cet article. Et je constate en plus que le site (http://hivnotaids.homestead.com/) d'où provient cet article comporte également d'autres articles tout aussi intéressants et très récents en plus. Je viens d'ailleurs d'ajouter une référence à ce site dans la synthèse collective.
  3. Je relis le dernier post que jai écris dans ce topic-ci et je constate quil y a au moins une imprécision et surtout une erreur, à corriger en faveur des repenseurs du sida en plus. Il sagit du passage suivant : Ce qui me paraît certainement exact, cest de dire que la spécificité du Western Blot na jamais été établie jusquà ce jour en utilisant le seul étalon-or possible, à savoir le « VIH », cest-à-dire en comparant les résultats obtenus avec des personnes, dont on sait, preuve à lappui, quils ont été contaminés ou non par le « VIH ». Pour y remédier, jai précisé que lorthodoxie du sida établit la spécificité du Western Blot en comparant les résultats obtenus avec les sidéens (dont lorthodoxie du sida a présumé (mais non prouvé) quils avaient été contaminés par le « VIH »), mais jai oublié de préciser (doù limprécision) que cest également en comparant les résultats obtenus avec les donneurs de sang sains (ou plutôt : présumés non contaminés car présumés ne faisant pas de maladies qualifiées de sida [cela en fait des présomptions pour une science qui se veut pourtant clairement établie depuis plus de 20 ans !]). Bien entendu, utiliser les sidéens comme étalon-or ne prouve toujours pas quils ont été contaminés par le « VIH » et fait en outre fi de la circonstance (pourtant bien constatée, contrairement à la présomption que les sidéens auraient été contaminés par le « VIH ») que les sidéens ont ceci de commun davoir été exposés à une multitude dagents oxydants (drogues, sperme, MST, facteur VIII, malnutrition, etc...) qui permettent déjà dexpliquer à eux seuls quils fassent des maladies qualifiées de sida. En dautres termes, la spécificité de 99,5% tant vantée par les négationnistes du stress oxydatif ne peut pas signifier quil y a 99,5% de « chance » que le séropositif a été « contaminé » par le « VIH » mais bien uniquement quil y a 99,5% de chance quil fasse un jour un sida (dont il nest pas prouvé quil est causé par le « VIH », mais dont il est en revanche prouvé que les malades faisant ce syndrome ont ceci de commun davoir été et dêtre encore exposés à de forts agents oxydants, soit le stress oxydatif) sil continue à être exposé à des facteurs toxiques et de malnutrition (en se basant donc sur lexplication du stress oxydatif comme cause du sida). En dautres termes, cette spécificité du Western Blot est appréciée, non au regard du « VIH », mais bien au regard du sida, ce qui ne prouve toujours pas que le sida est causé par le « VIH » et donc que la séropositivité est effectivement le signe dune infection par le « VIH ». Mais même là, jai encore été un peu trop « sympa » à légard de lorthodoxie du sida puisque jai prétendu que cette spécificité sappréciait par rapport au sida (mais de toute façon pas par rapport à une contamination par le « VIH »). Et là, je pense avoir commis une erreur. En effet, les maladies indicatives du sida (et dont souffrent ceux qualifiés de « sidéens ») ne sont elles-même pas spécifiques du sida puisquelles existaient déjà avant lapparition du « sida ». Donc, la spécifité de 99,5% du Western Blot ne peut même pas être retenue pour prédire un sida, mais tout au plus une maladie qui pourrait - éventuellement - être artificiellement qualifiée de sida. En réalité, tout cela démontre labsurde tautologie de la « science » du sida, par exemple - Tuberculose + Western Blot négatif = tuberculose - Tuberculose + Western Blot positif = sida (et non plus tuberculose, quoiquil sagisse pourtant de la même maladie sur le plan clinique). Or on vient juste de voir que la spécificité du Western Blot ne peut même pas sapprécier au regard du sida puisque les maladies indicatives du sida (ici : la tuberculose) ne sont pas spécifiques du sida ! En dautres termes, on tourne en rond ! Mais en conclusion, on pourrait quand même dire que la séropositivité ne peut être que le signe dune propension à développer éventuellement et ultérieurement certaines maladies non nouvelles et qualifiées artificiellement de « sida » grâce à la tautologie susdite, ici spécifiquement favorisées par le déséquilibre oxydo-réducteur existant chez le séropositif lorsquil a passé le test. Doù lutilité certaine de passer le test actuellement appelé « VIH » dans cette optique de test prédictif, mais non dans une optique de détection dune hypothétique contamination par le « VIH ». Lévolution de cette propension sera évaluée grâce à un bilan nutritionnel régulier, lequel bilan pourra inclure bien sûr et entre autres la mesure des lymphocytes T4. Cette propension disparaîtra à partir du moment où le test dit "VIH" redevient à nouveau négatif (et, éventuellement, pour autant que la propension intervenue entre-temps n'ait pas causé des dommages susceptibles d'être irréversibles et de ne se manifester qu'ultérieurement).
  4. Je pense quil y a de bien nombreuses explications. 1) Quand je relis le passage en question, je constate que cette étude a été publiée (et non faite) en 1988 (soit : Epidemiology, clinical features, and prognostic factors of paediatric HIV infection. Italian Multicentre Study. Lancet 1988;ii:1043-6). Comme cette étude a été faite sur une période dau moins 22 mois avant son analyse et finalement sa publication en 1988, et que lAZT na commencé à être commercialisé que dans le courant de lannée 1987, et dans un premier temps, uniquement pour ceux qui étaient malades, on en déduit logiquement que ces bébés nont jamais « bénéficié » de traitements toxiques, comme lAZT. Or, à lheure actuelle, tous les sidéens (depuis 1987) et tous les séropositifs (bébés compris, bien sûr), même non malades, mais ne satisfaisant pas aux soi-disant marqueurs des lymphocytes T4 et de la charge virale (depuis la fin des années 80), sont sous drogues dites antivirales (sauf les séropositifs dissidents ou non dissidents mais soi-disant « inconscients »). Il va alors de soi que ceux-là, cest-à-dire presque tous les séropositifs, nont plus aucune chance de redevenir séronégatifs comme cela pouvait être plus facilement possible au début de l « épidémie », lorsque les séropositifs navaient pas la « chance » de bénéficier de tels traitements. Cela est bien sûr valable non seulement pour les pays occidentaux ou sous-développées où lon a la « chance » de bénéficier de ces traitements mais également pour les pays sous-développés où les habitants nont pas cette « chance ». En effet, dans ce dernier cas, si on ne remédie pas le problème de malnutrition, les maladies endémiques, etc..., les séropositifs en question ont bien peu de chance de redevenir séronégatifs. En revanche, sils ont à nouveau loccasion de se nourrir correctement et si on les soigne pour leurs maladies, ils redeviennent séronégatifs. Sur www.sidasante.com, tu peux trouver des témoignages de ce genre (et de mémoire, entre autres du médecin belge Deru qui a fait plusieurs longs séjours dans des pays africains "ravagés" par le sida). Bref, les bébés en question sont devenus naturellement séronégatifs, entre autres parce quils ont été soignés (du moins, quand ils étaient malades) par des médicaments non ou peu toxiques et parce quils ont été nourris correctement (voir également immédiatement ci-dessous concernant la correcte alimentation du bébé). 2) Contrairement aux adultes, les bébés se nourrissent grâce au lait maternel, soit ce quil y a de mieux pour améliorer leur santé (voir la synthèse collective sur la transmission verticale et le point concernant lallaitement). On peut raisonnablement penser quà époque, les mères en question navaient pas encore été influencées par les campagnes de propagande visant à interdire lallaitement maternel au profit du lait industriel (alors que lorthodoxie du sida vient justement dadmettre tout récemment que cela était une erreur [dénoncée depuis plus de 15 ans par les repenseurs du sida, comme quoi les faits leur donnent finalement toujours raison] : voir la synthèse collective, même point que celui cité ci-dessus). 3) Les bébés ne sont guère sujets à leffet nocebo, contrairement aux adultes. Si lon dit à un bébé quil est séropositif, je doute quil comprenne et quil sen inquiète, comme le ferait au contraire un adulte. 4) A lheure actuelle (et depuis bien longtemps déjà), même les séropos survivants à long terme, non consommateurs de drogues dites « antivirales » et ayant repris une vie « saine et équilibrée », nont généralement plus loccasion de refaire objectivement un nouveau test dit « VIH » puisque pour les « experts » « VIH », ils seraient « contaminés » à vie. Si malgré tout ce test est refait et que le premier résultat savère négatif, les « experts » en question « déduisent » que cest une erreur « technique ». Alors ils referont le test, même sil faut attendre la troisième ou la quatrième fois pour que le test devienne positif. Alors, le résultat est considéré comme « normal » et "bon" (je suis d'ailleurs certain davoir lu un témoignage de ce genre dans un post dil y a deux ans dans le topic « première partie » « Le « VIH » ne causerait pas le sida, de « Kinipou », je crois bien, mais je ne suis plus sûr si cest bien de lui). Si par aventure, malgré plusieurs « essais », le test reste obstinément négatif (ou douteux), il sera affirmé par lorthodoxie du sida que le « VIH » a migré (lune des quatre fameuses propriétés magiques du « VIH ») dans les ganglions où il est indétectable par les tests dits « VIH », et que de toute façon, la charge dite « virale » confirme quil est toujours « contaminé » ; cest pourtant complètement perdre de vue que la charge dite « virale » ne prouve également jamais que lon a été contaminé par un rétrovirus dénommé « VIH » et qu'on peut détecter une charge dite "virale" chez une personne séronégative. En réalité, pour sen sortir, le survivant à long terme doit généralement faire un test anonyme. Mais sil savère négatif (et on peut trouver plusieurs témoignages de ce genre sur le net), il sera affirmé que ce nest pas une preuve de la séroréversion parce que le test est anonyme ! En outre, nombre de survivants à long terme ont compris quils devaient séchapper de ce milieu médical mortifère et, partant, ne jugent pas utiles ou nécessaires de refaire un test dit « VIH ». Il est dès lors loin dêtre certain quils soient en réalité encore séropositifs. Nonobstant ces premières explications, une chose reste certaine et fondamentale, et est en soi suffisante pour complètement ridiculiser lhypothèse rétrovirale du sida : les bébés en question redeviennent séronégatifs pour avoir perdu leurs propres anticorps, ce qui est tout simplement incompatible avec lhypothèse rétrovirale du sida. Quant à savoir pourquoi il y a maintenant (du moins apparemment) peu de cas de séroréversion, je viens de donner ci-dessus quelques éléments dexplication. Et on peut dailleurs ajouter une autre explication, à savoir la croyance du monde entier que le séropositif a été « contaminé » par un rétrovirus et que lon ne pourrait plus rien y faire, si ce nest consommer des drogues qui empêcheraient la soi-disant réplication virale. Evidemment, là, cela devient (presque complètement) fichu pour redevenir séronégatif (quoique Viduité a prouvé que le contraire reste possible, du moins après bien des années de cessation de ces « traitements »). PS : Je ne crois pas quà lheure actuelle, la séroréversion (et jentends donc par là, la perte des propres anticorps du bébé contre le « VIH », et non la perte des anticorps contre le « VIH » hérités de la mère durant la gestation) des bébés nés séropositifs est quasi systématique. Létude mentionnée ci-dessus date manifestement de (juste) avant lépoque où lon a commencé à administrer des drogues dites « antivirales » aux bébés. Or ladministration de ces drogues aux bébés fausse complètement les résultats. La meilleur façon pour tenter d'y voir plus clair est justement de se référer aux études (et ici, il ny en a quune seule de réelle ampleur, et heureusement, elle a été faite avant la période des drogues dites "antivirales") qui ont été faites avant ladministration de ces drogues aux bébés séropositifs. Mais comme je lai dit, le point le plus fondamental est bien que les bébés deviennent séronégatifs en perdant leurs propres anticorps contre le « VIH », ce qui est incompatible avec lhypothèse rétrovirale du sida, mais en revanche très logique en appliquant lexplication du stress oxydatif comme cause du sida (laquelle explication implique que la séropositivité puisse effectivement être réversible).
  5. Je suis aussi d'accord avec toi en fait, mais moi, personnellement, je suis plutôt du genre à sortir immédiatement, et dès que c'est possible, l'artillerie lourde pour en finir tout aussitôt. Par "artillerie lourde", j'entends par là des arguments massues de nature à mettre directement K.-O. un orthodoxe du sida, du moins quand cela s'avère possible. Cela présente le net avantage de couper court à tout débat, qui, s'il se prolongeait, aurait pu éventuellement et plus facilement donner l'impression à un lecteur que finalement, les arguments de l'orthodoxie du sida ne sont peut-être pas si idiots que cela. Cela permet également de donner au lecteur la sensation que décidément, les repenseurs du sida ont bien raison (ce qui est sûr pour moi, mais pas pour le lecteur lambda) puisqu'ils sont capables de réfuter aussi rapidement et aussi facilement des arguments de l'orthodoxie du sida. Ce n'est que mon avis, bien sûr. Mais prenons justement l'exemple des tests dits "VIH". On pourrait effectivement commencer par souligner les contradictions, les phrases orientées et/ou à double sens, etc... comme tu le fais très bien à mon sens, mais je crois qu'en procédant ainsi, un lecteur lambda pourrait avoir plutôt tendance à penser que les tests ne sont effectivement pas spécifiques à 100% mais qu'ils le sont bien à 99,5% (chiffre qui semble actuellement avancé par l'orthodoxie du sida pour ce qui concerne la fiabilité des tests dits "VIH"). Or tel n'est justement pas le but recherché. En revanche, si on commence d'abord à sortir l'artillerie lourde, comme par exemple : - il n'a jamais été prouvé que les antigènes utilisés dans ces tests proviennent d'un rétrovirus isolé et appelé "VIH" et, par conséquent, même si les anticorps de la personne testée réagissent, cela ne sera forcément jamais la preuve d'une infection par le "VIH", - la présence d'un tel nombre d'anticorps chez la personne qui a été déclarée séropositive peut toujours être expliquée par autre chose que le "VIH", - la spécificité de 99,5% ne signifie pas que vous avez 99,5% de "chance" d'avoir été contaminé par le "VIH", mais bien 99,5% de chance d'être dans un groupe à risque de sida si vous continuez à vivre de cette façon (au motif que la spécificité de ces tests n'a jamais été vérifiée par rapport à l'étalon-or qu'est le "VIH" lui-même, mais bien par rapport un autre étalon-or que seraient les sidéens ou les personnes ayant un fort risque de sida; or ces étalons-or ne le sont que parce qu'il a été supposé [et non "prouvé"] qu'ils ont été contaminés par le "VIH"), je pense que cela donnera ainsi au lecteur la nette sensation, non pas que les tests dits "VIH" sont quand même spécifiques à 99,5% mais bien qu'ils n'ont effectivement aucune spécificité du tout. Au pire, on poursuivra sur la question de l'isolation, ratée, du "VIH". Et ensuite seulement, et comme tu viens de le faire dans ton post, on pourra poursuivre, mais à titre "folklorique" (façon de parler, bien sûr) sur les incohérences, les contradictions, etc..., ce qui permettra de mieux convaincre encore le lecteur qu'effectivement, ces tests "VIH" n'ont vraiment aucune spécificité du tout. Et si moi, personnellement, je préfère agir de la sorte, ce n'est pas de gaieté de coeur, mais bien par nécessité. En effet, quand je constate que des journaux américains à très large diffusion nationale débattent ouvertement et très sérieusement de la "nécessité" de forcer tout le monde de 13 à 84 ans à passer le test dit "VIH" et de forcer tous les séropos à consommer des drogues dites "antivirales" et d'enfermer (comme dans un camp de concentration) ceux qui ne le veulent pas et de les forcer, par la force, à prendre ces drogues dites "antivirales" (c'est extrêmement sérieux ce que je dis là, je ne blague pas du tout), pour moi, cela signifie que l'on est déjà en quasi état de guerre. Alors, l'Europe a peut-être quelques années de retard sur les USA, mais je crains que l'hystérie du "VIH" atteigne actuellement de tels sommets que cette nouvelle "tendance" de l'orthodoxie du sida américaine arrive très rapidement en Europe. Bref, pour moi, il y a maintenant une véritable urgence à ce que la dissidence du sida se fasse connaître le plus rapidement possible et si pour cela, il est possible de sortir l'artillerie lourde (intellectuellement parlant bien sûr, quoique l'orthodoxie du sida paraît maintenant s'engager sur la voie de la coercition ou, en tout cas, l'envisage très sérieusement), je ne vais pas me priver.
  6. DES MILLIERS DE CAS - SCIENTIFIQUEMENT PROUVES - DE SEROREVERSION CHAQUE ANNEE ! Je ne pensais pas si bien dire (et dailleurs, jadapterai très rapidement la synthèse collective pour le signaler, tellement ce point est pour le moins fondamental et porte un nouveau coup fatal à lhypothèse rétrovirale du sida [à supposer quà ce stade-ci, il était encore nécessaire de démontrer linanité de cette chimérique hypothèse.]) ! En effet, hier soir, réfléchissant à cette question de la transmission verticale du « VIH », javais - très logiquement - pressenti (mais sans en être encore parfaitement certain, comme je le suis maintenant) que ces bébés qui devenaient séronégatifs bien des mois après leur naissance ne se débarrassaient en fait plus des anticorps reçus de leur mère pendant la gestation mais bien en réalité de leurs propres anticorps ! En dautres termes, quil sagissait en réalité dauthentiques cas de séroréversion. Maintenant, jen ai la confirmation définitive de ce que javais pressenti. En effet, continuant aujourdhui ma lecture du BMJ Debate, qui a opposé pendant deux ans repenseurs du sida et négationnistes du stress oxydatif, et le hasard faisant vraiment bien les choses, je suis tombé sur ceci (et on sen doute déjà, cest de la plume du Perth Group): Quapprenons-nous du passage cité ci-dessus ? Et bien, des choses absolument stupéfiantes, dont toutes les mères séropositives devraient être informées, ainsi que toutes les personnes séropositives en général ! A peine une seule étude scientifique détaillée (du moins, lorsque le passage ci-dessus fut écrit en mars 2004 ; peut-être y en a-t-il eu dautres depuis lors, mais jen doute, car ce genre détudes va à lencontre de lhypothèse rétrovirale du sida [encore une fois, dailleurs !]) fut consacrée à létude sur le long terme de la perte des anticorps « VIH » par les bébés nés séropositifs. On y apprend quenviron 23% des bébés nés séropositifs redeviennent séronégatifs entre la naissance et le neuvième mois, et quenviron 59% des bébés nés séropositifs (soit un nombre autrement bien plus important) ne redeviennent séronégatifs quentre le 9ème et le 22ème mois (on peut forcément supposer quun certain nombre de bébés, quoique forcément bien moindre [18%], redeviennent également séronégatifs après 22 mois, mais létude nallait pas au-delà visiblement). Or, avant linvention du « VIH », il était admis par la communauté scientifique que les anticorps maternels (quels quils soient) ne subsistaient plus chez le bébé au-delà de neuf mois grand maximum. Evidemment, cela fait désordre dans lhypothèse rétrovirale du sida puisque quand on est déclaré séropositif, cela serait pour la vie (il sagit de lun des dogmes fondateurs de cette bien curieuse hypothèse). Par conséquent, pour (tenter de) faire tenir coûte que coûte leur hypothèse, les négationnistes du stress oxydatif ont prétendu que les anticorps du « VIH », eux, pouvaient persister pendant des années encore ! Evidemment, il sagit dune assertion pour le moins délirante. Pourquoi les anticorps du « VIH », et uniquement ceux du « VIH », reçus par le bébé durant la gestation persisteraient encore au-delà de neuf mois, et pas tous les autres anticorps reçus de la mère ? Bien entendu, on peut déjà remettre en soi cette affirmation des négationnistes du stress oxydatif car cela va à lencontre de ce que la communauté scientifique savait depuis des décennies sur le sujet et car cette affirmation na été émise que parce que ces négationnistes partent de lhypothèse, non prouvée, que la séropositivité serait acquise à vie. Evidemment, comme cette hypothèse déternité de la séropositivité a été considérée, à tort, comme un fait, forcément, les négationnistes ont dû prétendre que les anticorps maternels contre le « VIH » pouvaient subsister bien au-delà de neuf mois. Ceci étant, depuis lexpérience scientifique de 1993 relatée dans le passage reproduit ci-dessus, à supposer même que lon pouvait accorder quelque crédit à cette péremptoire assertion des négationnistes du stress oxydatif, il ne peut maintenant plus avoir le moindre doute quant au fait que les anticorps maternels contre le « VIH », tout comme les autres anticorps maternels en réalité, sont déjà quasiment inexistants au bout de six mois. UNE SEULE CONCLUSION SIMPOSE DEMBLEE : LES BEBES NES SEROPOSITIFS QUI DEVIENNENT SERONEGATIFS APRES PLUS DE NEUF MOIS NE LE DEVIENNENT QUE PARCE QUILS PERDENT LEURS PROPRES ANTICORPS CONTRE LHYPOTHETIQUE « VIH » (et non parce qu'ils perdraient encore les anticorps maternels) ! PAR CONSEQUENT, IL SAGIT MANIFESTEMENT DUNE MULTITUDE DE CAS DE SEROREVERSION SCIENTIFIQUEMENT DEMONTRES ET DE LA PREUVE PAR EXCELLENCE QUE LA SEROPOSITIVITE EST REVERSIBLE ! Et évidemment, si des personnes séropositives sont capables de devenir séronégatives entre le 9ème et le 22ème mois de leur existence en perdant leurs propres anticorps contre lhypothétique « VIH », il ny aucune raison de ne pas considérer que les 18% restants de bébés (100% - 23% - 59%) ne pourraient pas le devenir également après 22 mois. Et évidemment, il ny également aucune raison de ne pas penser que les personnes devenues séropositives durant leur vie ne pourraient à nouveau pas redevenir séronégatives ultérieurement. Cette affaire de bébés nés séropositifs prouve définitivement que la séropositivité est réversible par essence, et de façon surabondante, que les tests dits « VIH » nont aucune spécificité et ne sont effectivement jamais la preuve dune « contamination » par le « VIH » (puisque la séropositivité est réversible, ce qui va justement à lencontre de labracadabrante hypothèse rétrovirale du sida !). Dorénavant, lorsque des négationnistes du stress oxydatif demanderont que vous leur apportiez des preuves que la séropositivité est effectivement réversible, outre les témoignages que lon peut retrouver ci et là, vous pourrez ajouter les cas scientifiquement prouvés et ne pouvant souffrir de la moindre contestation des bébés qui deviennent séronégatifs après plus de neuf mois ! Et ces cas sont extrêmement nombreux : le titre du présent post parle de milliers de bébés par an mais je ne crois pas que lon mentirait en disant que cela sapplique en réalité à des dizaines de milliers de bébés par an !
  7. Outre ce que Cheminot a déjà précisé, j'ajouterais les quelques considérations suivantes. 1) La "réussite" présumée de l'administration de l'AZT et/ou de la Névirapine aux femmes enceintes se mesure, non pas par les symptômes cliniques de maladies que les enfants à naître pourront avoir après leur naissance, mais bien par un seul marqueur, lors de la naissance, à savoir si le bébé naît ou non "séropositivement". S'il naît séronégatif, ce serait un succès, s'il naît séropositif, ce serait un échec. C'est perdre de vue que la plupart des bébés ne font que recevoir les anticorps de la mère (non pas des anticorps contre le mythique "VIH" bien sûr, mais bien contre des tas d'autres d'infections), et que la majorité des bébés perdront les anticorps en question reçus de la mère et redeviendront séronégatifs. Dans un nombre non négligeable de cas, cette séroréversion aura lieu bien des mois après la naissance : dans 10,2% des cas, la séroréversion intervient entre le 15ème et le 18ème mois, et dans 2,5% des cas, la séroréversion intervient même après 18 mois. Tout cela a encore été confirmé très récemment. En réalité, et sauf erreur de ma part, et je crois que c'est très intéressant à noter, quand un bébé redevient séronégatif après 15 mois ou même bien après 18 mois, il y a tout lieu de penser qu'après un tel laps de temps, ce n'est pas des anticorps de sa mère dont le bébé s'est débarrassé mais bien de ses propres anticorps (car il me semble qu'il est affirmé par les négationnistes du stress oxydatif que le bébé perd généralement les anticorps de la mère au bout de trois à six mois, et au grand plus tard après 10 mois)! Ce qui est logique puisque la séropositivité est réversible, du moins si l'on s'y prend à temps. Quid du bébé resté apparemment définitivement séropositif ? Cela n'est bien entendu pas le résultat d'une infection par le "VIH" mais bien le résultat de la (très) mauvaise santé de la mère, laquelle s'est finalement répercutée sur le bébé pendant la gestation. Evidemment, cette mauvaise santé de la mère (parfois acquise par le bébé définitivement et qui peut donc se traduire par un test dit "VIH" positif) peut également tout simplement résulter de l'usage par la mère de l'AZT et/ou de la Névirapine, dont l'extrême toxicité n'est plus à démontrer. C'est vraiment à se demander comment les négationnistes du stress oxydatif peuvent faire la promotion de tels "médicaments" ! NB : Les négationnistes du stress oxydatif diront qu'ils peuvent faire la différence entre la séropositivité résultant des anticorps de la mère et celle résultant des anticorps du bébé, et ce grâce à la mesure de la charge dite "virale". Evidemment, cette affirmation est fausse, ne fût-ce que déjà au regard des deux considérations suivantes (sans compter de multiples autres, mais tel n'est pas l'objet de ce post) : - On attend toujours la preuve que "charge virale" = "ARN d'un rétrovirus appelé "VIH". - On se demande comment il est possible de diagnostiquer une "infection" par le "VIH" chez le bébé grâce à la charge dite "virale" et sa méthode PCR alors que les officiels de l'hypothèse rétrovirale déclarent unanimement que la PCR est totalement insuffisante pour diagnostiquer à elle seule une "contamination" par le "VIH" (la preuve ultime serait apportée grâce au test dit "VIH", dont on sait pourtant qu'il n'est JAMAIS la preuve d'une infection par le "VIH"). Il est dès lors absolument ahurissant que d'un autre côté, les négationnistes du stress oxydatif prétendent pouvoir diagnostiquer une telle "contamination" chez le bébé grâce à cette seule méthode ! 2) Ces différentes études ne suivent pas l'état de santé dans les années qui suivent des bébés nés séronégatifs et il n'y a que d'extrêmement rares études approfondies qui dévoilent les conséquences à long terme de l'exposition des bébés à l'AZT et/ou la Névirapine pendant la gestation. Encore une fois, c'est à très court terme (résultat peu après la naissance du test dit "VIH") que la pseudo efficacité de ces drogues antivirales sur la soi-disant transmission "VIH" mère-enfant est mesurée, et en plus au regard d'un seul marqueur (le test dit "VIH") dont on sait qu'il n'est jamais le signe d'une infection par le "VIH" (mais bien le signe d'une mauvaise santé), tellement les négationnistes du stress oxydatif sont obsédés par le "VIH" ! Quand à la santé proprement dite du bébé, et bien, les négationnistes du stress oxydatif paraissent s'en ficher éperdument ! Et pourtant, il y a quand même de très rares (et pour cause !) études qui prouvent que des bébés qui naissent séronégatifs "grâce" aux drogues dites "antivirales" peuvent faire diverses maladies, dont certaines auraient été qualifiées de sida si ces bébés avaient été testés positifs au test dit "VIH" (et ce, sans même compter les effets à moyen ou long terme de l'exposition de ces bébés à ces drogues dites "antivirales", dont on n'en saura probablement jamais rien mais dont on ne peut douter). C'est ce que précise entre autres cet article scientifique : 3) Il convient de signaler au lecteur qu'il y a des moyens beaucoup moins toxiques pour réduire très fortement ce que les négationnistes du stress oxydatif appellent "la transmission verticale du VIH". Il s'agit entre autres de la vitamine A et des antioxydants. C'est ce qu'a confirmé le Perth Group dans cette monographie (pages 100 et suivants), et cela a d'ailleurs encore été confirmé très récemment par le RethinkingAids Group. L'usage de ces compléments alimentaires présente bien sûr des avantages supplémentaires incomparables par rapport à l'AZT et la Névirapine : non seulement ils ne sont pas aussi toxiques (ou même peut-être pas toxiques du tout) que ces drogues dites "antivirales", mais en plus elles apportent des bienfaits bien plus larges pour la santé en général de la mère et du bébé à naître, qui ne se limitent pas uniquement à la supposée transmission verticale du "VIH". Alors, peut-être que dans certaines études (mais je n'en suis même pas sûr, car les études sur les "bienfaits" supposés de l'AZT et de la Névirapine sont vraiment du grand n'importe quoi), il pourrait apparaître qu'avec l'AZT et/ou la Névirapine, la supposée transmission verticale serait encore moindre, mais a) Il faut déjà voir si cette différence est statistiquement significative et confirmée par des études ultérieures (et de cela, j'en doute très fort), mais de toutes façons, b) C'est toujours perdre de vue que la majorité des bébés redeviennent ultérieurement séronégatifs, même (ou plutôt : surtout) en l'absence d'AZT et/ou de Névirapine, c) Et c'est toujours perdre de vue également que les bébés nés séronégatifs "grâce" à l'AZT et/ou la Névirapine peuvent être en mauvaise santé et mourir rapidement, malgré leur séronégativité ! En résumé, le lecteur aura compris que la dernière chose que la mère enceinte doit faire, tant pour elle que pour son futur bébé, c'est bien de consommer ces drogues dites "antivirales" ! Son bébé lui en sera plus tard très reconnaissant !
  8. Confier sa santé au médecin ? Uniquement en dernier recours, sinon on va encore plus mal ! Une anecdote à ce sujet. Un membre assez proche de ma famille, une femme de 62 ans, qui passe ces soirées et ces week-ends à travailler d'arrache-pied, des heures durant, dans son (très) grand jardin. Après des années à se consacrer autant à un tel hobby, les conséquences se font quand même progressivement sentir. Elle n'a plus 20 ans tout de même. L'une de ces conséquences, c'est un début de (très) fort arthrose aux mains. En octobre dernier, elle n'arrivait plus à fermer ces deux mains ou à soulever des objets un peu lourds, cela lui fait très mal. Elle va chez son médecin généraliste, qui a pourtant fait 10 ans d'études, et qui lui dit que l'on ne peut plus faire grand chose. "C'est l'âge, Madame". Mais elle lui propose toutefois des anti-inflammatoires, ce serait la seule solution. Heureusement pour elle, elle refuse momentanément cette "solution" et dit qu'elle continuera comme cela. Je la rencontre quelques jours plus tard (c'était donc en octobre dernier) et me raconte ses problèmes de main. Moi je lui dis que j'ai justement lu récemment que l'association de deux substances naturelles, à savoir la chondroïtine et la glucosamine, favorise la lubrification naturelle du cartilage, et que cela pourrait peut-être (fort) la soulager, voire même la guérir dans une assez forte mesure (malgré son âge), et naturellement en plus. Et je lui suggère d'aller à la pharmacie pour acheter cette association de substances et d'en faire une cure de trois mois (à répéter au moins une fois par an). Et que se passe-t-il ? Deux semaines plus tard, elle est à nouveau capable de refermer complètement ses deux mains, et deux mois plus tard, elle n'éprouve plus la moindre douleur aux mains ! Et maintenant, neuf mois plus tard, et alors qu'elle n'a fait qu'une cure de trois mois, elle n'a toujours pas mal aux mains (quoiqu'elles restent légèrement déformées), et ce malgré ses heures et heures de travail dans son jardin. Et dire que la solution "idéale" qui lui fut proposée par la médecine était les "anti-inflammatoires" ! Dix ans de médecine pour proposer cela ! Mais ce n'est pas tout. En mars dernier, elle a de plus en plus mal à l'un de ses talons. Elle va chez son médecin généraliste (toujours le même, d'ailleurs), qui lui prescrit pommades et autres "médicaments" chimiques. Pendant quelques jours, la douleur s'atténue, mais ensuite, cela s'empire. Elle ne peut plus marcher que sur une seule jambe, et quand elle se lève le matin, me disait-elle, elle ne pouvait la première heure que sauter sur une jambe, tellement cela lui fait mal. Elle va à nouveau chez son médecin généraliste (gaspiller son argent, en fait) qui lui dit que ce sont les muscles, certains doivent être fort froissés du fait de ses longues heures de travail quotidiennes dans son jardin, et il lui conseille d'aller chez un ostéopathe (moi je me dis que ce médecin aurait déjà fait mieux de lui conseiller cela dès le premier rendez-vous, mais bon). Elle prend un rendez-vous chez un ostéopathe, mais visiblement impressionnée par mon conseil d'il y a quelques mois sur la glucosamine et la chondroïtine (où l'on voit par ailleurs tout l'intérêt de la médecine nutritionniste orthomoléculaire, comme je le propose en matière de sida), elle me contacte pour me raconter ses nouveaux déboires. Moi, je lui dis que je ne suis pas médecin, mais que j'ai un très gros ouvrage sur l'aromathérapie (lol). Peut-être vais-je y trouver quelque chose. Je lui conseille dès lors d'appliquer sur son talon, trois fois par jour, quelques gouttes d'une espèce particulière de l'huile essentielle "Gaulthérie" , mélangée avec de l'huile végétale de "macadamia", mais de prendre conseil de toute façon chez son pharmacien. Elle suit mon conseil et que se passe-t-il ? Une heure après avoir appliqué ces deux huiles essentielles, la douleur s'atténue déjà très fortement. Le lendemain, elle remarche à nouveau, quoiqu'elle ait encore un peu mal. Deux jours plus tard, la douleur a définitivement disparu et elle remarche comme auparavant (et annule son rendez-vous chez l'ostéopathe). Et pourtant, durant les deux semaines qui ont précédé, c'était un calvaire pour elle de marcher, la médecine traditionnelle ayant été incapable de la soigner. Je lui ai toutefois conseillé de moins se fatiguer dans son jardin, elle n'en fait rien, mais trois mois plus tard, elle n'éprouve toujours aucune douleur dans son talon, alors qu'elle n'avait utilisé ces deux huiles essentielles que pendant quatre jours. Alors, confier sa santé au médecin ? Non, certainement pas, hormis sans doute dans les cas extrêmement graves et urgents !
  9. Et ce triomphe, à tout le moins sur le plan scientifique (mais quand diable cela sera-t-il enfin révélé au grand jour ?), des repenseurs du sida sur les négationnistes du stress oxydatif comme cause du sida, est maintenant définitif ! En effet, que lit-on sur le site de ces négationnistes du stress oxydatif (www.aidstruth.org), anciennement appelés "orthodoxes du sida" ? On peut retrouver la réfutation en question de la "réfutation" des négationnistes du stress oxydatif en cliquant ici. Il s'agit donc d'un document scientifique de 95 pages, qui est assurément appelé à servir de référence à l'avenir, et qui réfute les 56 erreurs prétendument relevées dans l'article journalistique de Celia Farber. Les négationnistes du stress oxydatif ont donc déclaré avoir pris connaissance de la réfutation précitée des repenseurs du sida et prétendent la réfuter à leur tour avec cet "argument", à savoir que la réfutation des repenseurs du sida serait superficielle et stupide, et qu'ils ne se donneront même pas la peine de la réfuter à leur tour ! On peut les comprendre ceci étant : ils sont tout juste capables de s'en prendre à une journaliste (Celia Farber) qui fait son travail avec une très haute conscience professionnelle, mais dès lors qu'il s'agit de s'en prendre à des scientifiques compétents, tels que ceux du Rethinkingaids, alors là, ces négationnistes battent immédiatement en retraite ! En d'autres termes et en réalité, n'importe quel lecteur objectif l'aura immédiatement compris, "LES NEGATIONNISTES DU STRESS OXYDATIF COMME CAUSE DU SIDA SONT BIEN INCAPABLES DE REFUTER LES ARGUMENTS DES REPENSEURS DU SIDA !", même les arguments (un peu moins solides) qui ne relèvent pas strictement de l'explication du stress oxydatif. Vu la victoire scientifique des repenseurs du sida sur les négationnistes du stress oxydatif, il est tout simplement ahurissant que certains, comme à la fin de ce post-ci, nous enjoignent de nous taire !
  10. Anarista, Pourrais-tu argumenter STP ? J'ai voulu être compréhensif dans mes posts précédents car je comprends ton désarroi, mais là, j'estime que tu as dépassé les bornes. Mais je te comprends encore : c'est plus facile de prétendre rejeter la faute sur les repenseurs du sida, qui, eux, essaient d'expliquer vaille que vaille au monde les erreurs gigantesques d'interprétation commises (au départ, certainement involontairement) depuis 25 ans par l'orthodoxie du sida.
  11. Bonjour Psyence. Très intéressantes, tes réflexions (du moins, à mon avis). Mais il me semble que tu as tort. Tu opposes les deux thèses en présence en supposant que chacune des deux thèses repose sur une prémisse qui serait à prouver. Alors que la prémisse de l'application de l'hypothèse rétrovirale au cas d'Anarista est non prouvée ou à tout le moins douteuse, tandis que la prémisse de l'application de la théorie du stress oxydatif au cas d'Anarista n'est pas douteuse mais est au contraire prouvée par de nombreuses études scientifiques (comme nous allons - très brièvement - le voir). Si tel est effectivement le cas, seule ma thèse est valable. Reprenons. J'espère maintenant sincèrement que sa multi"thérapie" actuelle va vraiment l'aider cette fois-ci, et cela est d'autant plus probable qu'il sort d'une (visiblement) terrifiante pneumocystose. A peu près n'importe quoi le soulagera maintenant (un effet placebo va manifestement également jouer en sa faveur vu sa très récente pneumocystose). Bref, tout cela pour dire que les déboires d'Anarista ont commencé avec la consommation de drogues dites "antivirales". Il se portait visiblement très bien, mais victime de la doctrine "Frappez vite, frappez fort", il est entré dans un cercle vicieux dont il n'arrive maintenant plus à se dépêtrer, et dont la voie de "salut" paraît être - hélas - le retour à la prise de drogues dites "antivirales". Et son bien légitime désespoir transparaît dans presque tous ces posts relatifs au sida. Dès lors, Psyence, il ne saurait y avoir un problème de choix entre les deux thèses en présence, du moins lorsqu'on analyse sérieusement la situation. Anarista est la victime de la psychose rétrovirale du sida. Sa colère, sa rage, sa haine doivent être dirigées contre ceux qui ont prétendu le soigner et qui l'ont en fait empoisonné, soit l'orthodoxie du sida, et non contre les repenseurs du sida. Et c'est justement pour éviter de nouveaux cas de ce genre qu'il est impératif de faire connaître et triompher l'explication du stress oxydatif comme cause du sida, et ce dans l'intérêt même des malades et des futurs victimes de ces psychose et hystérie collectives. PS : Normalement, je ne serai plus connecté avant un jour ou deux.
  12. Cher Anarista, Ton témoignage est pour le moins touchant et je ne peux que m'associer à ta douleur. Tes critiques sur www.sidasante.com sont effectivement justifiées, du moins en partie. Ce site, je le considère comme la seule bibliothèque en langue française sur la dissidence du sida en général, cest-à-dire que tu y trouveras des articles émanant de plusieurs camps différents de la dissidence du sida, parfois des plus loufoques aux plus sérieux et pertinents (comme ceux du Perth Group, de Duesberg, des praticiens allemands, etc...). Effectivement, sur ce site, quand tu consultes danciens articles, en particulier datant davant 1996, tu trouveras des articles parlant de complots, maladies imaginaires, etc... Je ne leur jette pas pour autant la pierre car sans eux, nous en serions encore tous à croire que le sida est causé par un rétrovirus (du moins, en France). En revanche, si tu consultes la partie « livrets » de ce site, tu constateras que cette partie du site regroupe uniquement des articles à portée essentiellement scientifique (à lexception sans doute de celui du regretté Mark Griffiths), et je te mets au défi de me dire où il est précisé que le sida est nié (à lexception peut-être de larticle précité de Griffiths, mais je le rappelle, cet article na pas une vocation scientifique contrairement aux autres de la section « Livrets »). Par ailleurs et surtout, puisque tu critiques les dissidents de ONCT, si tu te donnes réellement la peine de lire ce que nous écrivons, et entre autres la synthèse collective, où est-il précisé que nous nions la réalité des diverses maladies regroupées sous le vocable sida ? Dis moi : où ? Car la synthèse collective, par exemple, précise bien que le sida est un syndrome toxique et nutritionnel. Appelles-tu cela « nier la maladie » ? Ne confond pas les dissidents farfelus, qui sont fort nombreux, et les repenseurs très sérieux, tels que ceux du Perth Group. Et visiblement, sur ONCT, la majorité dentre nous penche du côté des thèses (très) sérieuses, à savoir celles du Perth Group. Nous ne sommes pas des « négationnistes ». Nous (hormis peut-être quelques très rares exceptions) ne nions pas la réalité et surtout pas lextrême gravité de ces maladies. Très loin de là. Nous disons que le sida, dont les maladies existent réellement, a une toute autre cause. Tout au mieux pourrais-tu - peut-être - dire que les repenseurs du sida sont des négationnistes du « VIH ». Mais même là, je tarrête. Car ce quon dit, cest juste quil na pas été prouvé que le « VIH » existe. Et tant que son existence na pas été prouvée, il ny a aucune raison dattribuer la causalité du sida à un « VIH » dont on ne sait même pas sil existe, en particulier lorsquil y a déjà une explication, à savoir celle du stress oxydatif, qui permet dexpliquer la quasi totalité (si pas la totalité) des multiples manifestations du sida et tout ce qui lentoure. Il nest par ailleurs pas nié que le « VIH » pourrait effectivement exister en tant que rétrovirus (dont la preuve reste cependant toujours à apporter à ce jour), mais endogène, ce qui fait toute la différence entre cause et conséquence du sida. Te concernant plus particulièrement, je constate que tu aurais été « contaminé » en 1983, et que malgré ton passé de toxicomane , tu as été un survivant à long terme pendant 13 ans, puisque tu ne fus « forcé » à prendre ta tri « thérapie » quen 1996 (je présume que tu n'as jamais consommé d'AZT en monothérapie). Il est à cet égard extrêmement regrettable que tu aies consommé ces tri « thérapies » pendant 5 ans (il aurait été nettement préférable de tenter la voie des antioxydants avant de consommer ce genre de tri « thérapie », mais tu nas forcément pas pu être informé à lépoque de ces autres possibilités vu le black-out sur le sujet dans la presse ; et cela, tu peux également le reprocher à lorthodoxie du sida) car elles sont bien connues pour leurs terribles effets secondaires délétères, parfois irrémédiablement irréversibles. Et manifestement, cest hélas ton cas. Ce nest pas pour rien quelles sont également appelées « drogues » (dites antivirales). En fonction des personnes, ces « médicaments » peuvent plus ou moins rapidement causer des dégâts irréversibles que plus rien ne peut aider à surmonter ..... si ce nest, dans une relative mesure, la poursuite de la consommation de ces multi « thérapies » elles-mêmes, qui deviennent forcément de nouvelles drogues. Ce nest quand même pas pour rien que régulièrement, je mets en garde sur la poursuite sur le moyen ou long terme de la consommation de ces tri « thérapies ». Tu ne las manifestement pas compris, tu te trompes de cible. Ce nest pas contre les dissidents du sida que tu dois diriger ta rage, mais bien contre lorthodoxie du sida. Cest elle qui ta empoisonné par leurs tri « thérapies » mais tu refuses de ladmettre, malgré les références scientifiques absolument innombrables qui prouvent que ces « médicaments » peuvent eux-même causer les diverses maladies qualifiées de sida, sans compter dinnombrables dautres. Le pire, cest quen dirigeant ta rage contre nous, tu ne taides pas toi-même. Car si personnellement je me bats autant en faveur de la dissidence du sida, cest également dans un but « égoïste », à savoir que lon donne enfin des fonds aux repenseurs du sida pour quils développent des médicaments beaucoup plus efficaces encore et surtout beaucoup moins nocifs que les drogues dites « antivirales », et ce ouvertement sur la base de leur explication du stress oxydatif comme cause du sida. Cela paraît tout à fait possible, encore faut-il faire comprendre aux gens que lhypothèse du sida rétroviral est une voie de garage. Mais je comprends ta situation : maintenant, ta seule possibilité de survivre est de recourir aux drogues de tes empoisonneurs. Ceux-ci tont empoisonné, et le pire dans ton cas, cest que tu dois maintenant les remercier, car sans eux, tu ne tiendrais plus le coup. Ton bien triste témoignage illustre combien il faut continuer à faire connaître coûte que coûte la dissidence du sida, dans lintérêt même des (futurs) malades et pour leur faire éviter autant que possible la répétition du pathétique scénario que tu as enduré. Crois- moi, je compatis réellement pour toi et je suis très attristé. Et je continuerai à faire connaître dans la mesure de mes faibles moyens la dissidence du sida, dautant plus quaprès avoir analysé ce sujet pendant un an, je nai rien trouvé, et je dis bien « RIEN » » trouvé qui contredit lhypothèse chère au Perth Group du stress oxydatif (qui peut causer des dégâts irréversibles, comme cest visiblement ton cas, sauf quici, les dégâts en question ont été manifestement causés par les drogues dites « antivirales ») comme cause du sida, et au contraire, des dizaines déléments à lencontre de lhypothèse du « VIH » comme cause du sida. Malheureusement pour toi, tu es lillustration parfaite des crimes commis depuis plus de vingt ans par lorthodoxie du sida. Et la seule raisonnable possibilité pour toi de ten sortir avec le moins de dommage possible, cest de faire triompher la dissidence du sida, ou du moins, lhypothèse du stress oxydatif comme cause du sida, ce qui permettra daugmenter nettement les chances de développer à lavenir de nouveaux médicaments beaucoup moins toxiques, qui, espérons le, permettront peut-être de corriger les dégâts irréversibles entre-temps causés par les multi « thérapies », un peu comme la lamivudine a pu servir dantipoison à lAZT à partir de 1996. QUE TON TEMOIGNAGE SOIT UN EXEMPLE POUR NOUS TOUS DU DUR COMBAT A ENCORE MENER ! Très tristement. Wallypat
  13. Dans l'article que tu cites, il est fait mention des tests Western Blot. Donc, manifestement, au lieu de rechercher les anticorps présumés du pseudo "VIH" dans le sang, les "experts" "VIH" vont maintenant les rechercher dans l'urine. Evidemment, cela ne change toujours rien au fait que les anticorps en question, qu'ils soient recherchés dans le sang ou l'urine, ne constituent toujours pas la preuve d'une soi-disant contamination par le "VIH". Ce qui est en revanche certain, c'est qu'on urinera de moins en moins souvent tranquille !
  14. Je ne suis pas tout a fait d'accord! Il y a des recherches qui montrent que le sperme contient des agents très toxiques et que les tissus vaginaux sont conçu pour résister à la toxisité du sperme mais pas les tissues anaux. Le reste est très intéressant (la synthèse). Mais en fait, Delwere, je pense que nous sommes tous les deux daccord. Le sperme est suffisamment toxique pour lanus (mais pas pour le vagin) que pour engendrer un stress oxydatif suffisamment élevé que pour créer lapparition, même chez des individus tous les deux séronégatifs, de ce que lorthodoxie du sida appelle le « VIH » et, partant, rendre le test dit « VIH » positif, sans que cela ait bien sûr quelque rapport que ce soit avec une contamination par le « VIH ». Mais si je me rappelle bien, Cheminot avait également montré (et je pense que le post en question figure dans la synthèse collective) que cet effet immunodépressif était transitoire. Tout ceci fait dire au Perth Group (mais cest bien lun des rarissimes points sur lesquels je ne suis absolument pas daccord avec eux) que lusage du préservatif serait impératif pour les rapports anaux même entre personnes séronégatives. En dautres termes, le Perth Group fait une apologie du safe sex bien au-delà même de ce qui est « recommandé » par lorthodoxie du sida, cette dernière préconisant lusage du préservatif uniquement en cas de relations sexuelles avec les personnes séropositives. Mais pour ma part, je ne suis pas daccord. Certes, cela contribue sans doute à créer un stress oxydatif (transitoire) mais je ne pense pas un seul instant que ce seul fait est suffisant pour causer le sida. En autres, parce que : - lhomosexualité a toujours existé mais les premiers cas de sida ne sont apparus chez les gay quen 1978 (pas en 1981 comme le prétend lorthodoxie du sida, car on peut trouver des premiers cas de sarcome de kaposi chez des gay, consommateurs de poppers, dès 1978 [lu, avec références, dans larticle de Duesberg sur les causes chimiques du sida]), qui avaient la particularité dêtre consommateurs de drogues récréationnelles, davoir une vie sexuelle assez « hard » et dêtre exposés à des MST à répétition; - chez des couples gay « fidèles » (je n'ai pourtant pas envie de faire de la morale), séronégatifs (ou ignorant en fait quils sont de temps en temps séropositifs), je ne pense pas quil y ait des cas de sida (à moins bien sûr quils soient exposés à dautres causes de sida). Personnellement, je ne pense pas quil y ait lieu de saventurer davantage sur ce terrain, très glissant, car cela me paraît relever davantage de la « morale » que de la science. Par ailleurs, jai déjà eu des échanges de posts très durs sur ce sujet avec Terry. Je ne changerai davis que si lon me démontre, preuves scientifiques à lappui, que ce seul facteur est suffisant pour causer le sida. Et je ne crois pas quune telle preuve scientifique existe à ce jour.
  15. Je te propose de lire avant tout la synthèse collective sur le sujet, il me semble quil y a déjà un chapitre assez étoffé sur le sujet (voir le Chapitre IV : Le sida est un syndrome toxique, puis le point D) Conséquences, et enfin le point 3) « La séropositivité nest pas sexuellement transmissible »). Alors, en très court résumé, pour prouver la transmission dune MST (ici, le supposé « VIH »), quels sont les deux conditions minimales, mais non suffisantes, à remplir ? 1) Prouver que les sécrétions sexuelles comportent déjà du « VIH ». A cet égard, même chez des personnes qui auraient ce quon appelle une charge dite virale élevée, on nen trouve pas systématiquement (loin de là, dailleurs). Et quand on en trouve, cest uniquement en petite quantité (et lorthodoxie du sida saccorde à dire que ce nest pas suffisant pour infecter qui que ce soit). Et encore, que trouve-t-on en petite quantité ? Pas du soi-disant ARN du « VIH » mais bien de lADN du soi-disant « VIH ». Or lorthodoxie du sida admet que lADN du VIH nest pas infectieux. Cest lARN du VIH qui est (ou plutôt : serait) infectieux. Bref, cette première condition est loin dêtre remplie et on peut de se demander déjà comment on peut même envisager que le « VIH », à supposer même quil existe, puisse être sexuellement transmissible. Pourtant, lorthodoxie prétend que la séropositivité est sexuellement transmissible, mais que « le mécanisme reste à élucider » (lol), car les études épidémiologiques le « prouvent ». 2) Effectivement, la deuxième condition à remplir concerne les études épidémiologiques. Celles-ci doivent prouver (mais cest très mal parti vu quon ne trouve pas de « VIH » infectieux dans les sécrétions sexuelles, du moins quand on trouve quelque chose) la transmission de la séropositivité. Mais bien sûr, ces études ne doivent pas être faites nimporte comment (ce qui est justement le cas de la plupart de ces études), sinon, tu pourrais aussi arriver à prouver quun cancer du poumon, par exemple, est aussi sexuellement transmissible. En effet, pour que des études puissent prouver que la séropositivité est sexuellement transmissible, il faut à tout le moins que les conditions suivantes soient simultanément remplies, faute de quoi la preuve de cette transmission sexuelle ne peut être apportée : - létude doit être prospective, cest-à-dire suivie à travers le temps ; - les tests utilisés pour prouver la séropositivité doivent avoir été prouvés spécifiques (or, cette condition nest déjà jamais remplie puisquon a déjà vu que les tests dits « VIH » ne sont JAMAIS le signe dune infection par le « VIH ») ; - ces études doivent porter sur un nombre statistiquement important de personnes ; - les résultats doivent être statistiquement significatifs (ce nest jamais le cas, mais pour la relation anale réceptive que tu cites dans tes chiffres ; les chiffres restent insignifiants) et doivent exclure toute autre possibilité de mode de « contamination ». A ce jour, une seule étude sest approchée le plus près possible de ces conditions (et encore !), il sagit de létude Padian, sur la transmission hétérosexuelle de la séropositivité (voir la synthèse collective). Le volet prospectif de cette étude na prouvé quune seule chose : la séropositivité nest pas sexuellement transmissible, personne nayant été « contaminé ». En réalité, il ressort des études faites sur le sujet que la seule possibilité de « transmission » sexuelle est la réception anale réceptive (être passif), quoique cela ne fasse pas plaisir à lire pour certains sur ce forum. En revanche, la réception anale insertive (être actif) ne provoque pas la transmission de la séropositivité. En dautres termes, le « VIH », à supposer même quil existe, est la première MST humaine au monde qui serait, non transmise, mais bien uniquement acquise (par le passif), et encore, uniquement par la voie anale ! Cest une incohérence totale car par définition, une MST est transmissible dans les deux sens. Donc, au mieux, la séropositivité au "VIH" est sexuellement acquise (comme le fait d'être enceinte), mais non transmise; et encore, uniquement au niveau des rapports sexuels anaux. Et les études démontrent que cela na rien à voir avec un rétrovirus quelconque, mais avec le simple fait de la pratique anale réceptive non protégée (ce dont parle la plupart de tes chiffres), qui par ce seul fait (outre la réception anale du sperme), cela peut suffire à rendre - momentanément (il suffit de passer le test au mauvais moment) - le test dit « VIH » positif, sans bien sûr que cela ait quelque rapport que ce soit avec une contamination par le "VIH". Cela explique pourquoi les chiffres de transmission les plus « élevés » (mais en soi, cela reste encore statistiquement insignifiant) concernent la réception anale réceptive. Quand aux chiffres encore plus bas pour les autres modes de relations sexuelles, elles représentent un bruit de fond encore plus statistiquement insignifiant pour prouver quoique ce soit, en particulier lorsque lon sait que les tests dits « VIH » nont déjà en eux-mêmes AUCUNE spécificité. Des tas dautres explications (réception anale réceptive par la femme, usage de drogues, MST, etc...) permettent dexpliquer ces chiffres (insignifiants, rappelons le). Mais en aucune façon, la sexualié anale réceptive ne peut, à mon sens, causer le sida. Lhistoire de lhomosexualité le prouve, me semble-t-il. Mais avec lusage de drogues et de MST, évidemment, là, les choses vont devenir bien plus graves. Pour le reste, je tinvite à lire tous les points de la synthèse collective sur le sujet. Et tu peux oublier tous les chiffres que tu cites : ils sont basés sur la présomption, pourtant non prouvée, que la séropositivité serait sexuellement transmissible. Je pourrais te faire le même genre de chiffres en partant par exemple de lhypothèse que le cancer du sein est sexuellement transmissible (avec par exemple, la « preuve » que le cancer du sein est plus facilement transmissible dans les relations saphiques, encore plus quand les femmes sont ménopausées). Or, avant daccorder quelque crédit que ce soit à ces chiffres, il faudrait déjà avoir fait la preuve que la séropositivité est effectivement sexuellement transmissible. A ce jour, cette preuve na jamais été apportée, et même des orthodoxes du sida commencent ouvertement à se poser la question (lire la synthèse collective).
  16. Et encore une confirmation de plus (après le Swaziland et le Zimbabwe, comme déjà signalé par Liane) que les taux de prévalence de sida (ou le soi-disant "VIH" comme s'évertue à le prétendre l'orthodoxie du sida) les plus élevés du monde ..... se trouvent dans les pays les plus pauvres du monde ! Cela confine pourtant à la logique mathématique ! Ici, il s'agit du Lesotho :
  17. Je rejoins tout à fait l'analyse d'Aixur. J'ajouterais par ailleurs que l'un des gros problèmes avec ce genre de (dés)information, c'est qu'on ne sait quasiment jamais de quoi les gens meurent réellement, les journalistes usant de formules elliptiques pour (dés)informer les lecteurs. En effet, que lit-on dans la presse ? On lit presque toujours qu'untel est mort du sida, unetelle est morte du sida, et ici, 47 enfants sont morts du sida, morts "bien entendu" causés par le "virus du sida". En d'autres termes, on ne sait tout simplement pas de quoi tous ces pauvres gens sont morts ! Ne perdons pas de vue que le vocable "sida" regroupe un ensemble très disparate de maladies (en particulier, dès qu'il s'agit du sida "non occidental"), en aucune façon nouvelles, qui existaient déjà bien avant que naissent l'hystérie et la psychose collectives du sida. Bref, de quoi sont morts ces 47 enfants ? Etait-ce par exemple la tuberculose (ce qui ne serait pas étonnant vu que l'hôpital en question paraît être un véritable cloaque nauséabond) ? Etait-ce une forme grave d'hépatite A ou B, dont les anticorps sont tout à fait susceptibles de rendre positif le test appelé par erreur "VIH" ? Etc ... Etc... En d'autres termes, on ne saura probablement jamais de quoi ces enfants sont réellement morts, faute de savoir de quelles maladies ils sont morts (le mot "sida" n'ayant en soi aucune signification). Et par conséquent, on ne pourra que se répandre en conjectures plus ou moins probables quant aux causes réelles de ces morts. La seule certitude absolue que l'on peut réellement avoir à 100%, c'est bien qu'ils ne sont pas morts à cause d'un rétrovirus dénommé "VIH" ! Par ailleurs et peut-être surtout, vu le tollé que cette affaire a causé dans le monde, on peut être quasiment certain que de "généreux donateurs", tels Bill Gates, Bono, et consorts se sont cotisé pour financer l'administration de drogues dites "antivirales" à ces pauvres enfants, "pour leur bien", n'est-ce pas. Evidemment, comme l'a dit Aixur, pas étonnant que ces enfants puissent mourir au bout de 2, 4, 6, 8 ... ans !
  18. Au fait "survivor83", Comment as-tu eu vent de la dissidence du sida ? Cela pourrait être intéressant à savoir.
  19. Il me semble que le sujet a déjà été abordé. Il suffit de cliquer par exemple ici et ici.
  20. Pour ce qui me concerne, le débat est mort-né avant même d'avoir commencé. Lorthodoxie du sida pourra inventer tous les tests danticorps quil voudra (dits de deuxième ou troisième génération par exemple, avec des antigènes synthétiques, recombinants, etc... ou avec dautres noms aussi « pompeux » [lol] lun que lautre), le problème est toujours le même : quel est lorigine des antigènes utilisés dans les tests dits « VIH » ? Où est la preuve que les antigènes en question sont bien ceux dun rétrovirus appelé « VIH », en particulier lorsque les repenseurs du sida ont fait la démonstration que ces antigènes peuvent navoir quune origine simplement cellulaire (cest-à-dire provenant du séropo lui-même, et non dun germe exogène) ? Voyez par exemple ici. Partant, le fait dêtre positif au test dit « VIH » ne sera jamais la preuve dune infection au « VIH », faute davoir pu prouver que le « VIH » existe en tant que rétrovirus et, partant, davoir pu prouver que les antigènes (quels quils soient) utilisés dans les tests danticorps (quels quils soient) sont bien ceux dun rétrovirus dénommé « VIH ». La circonstance que la présence des nombreux anticorps (réagissant avec les antigènes présents dans les tests dits « VIH ») présents chez le sidéen ou chez la personne à risque de sida peut trouver plus de 80 explications différentes, dont un bon nombre sont justement systématiquement présent dans les groupes dits à risque de sida, achève de le prouver de façon surabondante. Pour ne citer quune seule de ces 80 explications, dans ce brillant article, le Perth Group a clairement fait la preuve que les anticorps à de nombreux infections mycosiques (telles que les fameuses infections à candida albicans) réagissent avec les antigènes présents dans les tests dits « VIH ». Dans ces conditions, le « VIH » est tout simplement inutile pour expliquer la présence de ces anticorps, en particulier lorsque lon sait (comme précisé dans larticle) que 90% des séropos ont déjà de telles infections mycosiques. Et que ces anticorps soient présents en grand nombre (contrairement aux séronégatifs) sexpliquent tout simplement parce que les organismes des séropos en question sont bien plus « oxydés » que ceux des séronégatifs pour avoir été (et continuer à être) exposés à une foultitude de sources de fort stress oxydatif. En dautres termes, le « VIH » ne sert à rien, sauf à faire peur ! Maintenant, il ne fait aucune doute quil existe une corrélation entre le fait dêtre positif au test appelé « VIH » et lévolution vers le sida déclaré. Mais si cette corrélation (qui na donc rien à voir avec une « contamination » par le mythique « VIH ») est certaine, elle est en revanche lâche. En prenant les mesures qui simposent (ne plus sexposer à de telles sources de stress oxydatif, etc...) et pour autant que lon ne sy prenne pas trop tard, il est possible de renverser la situation. Les survivants à long terme sont là pour le prouver. En revanche, en continuant à faire croire que la séropositivité est la « preuve » dune infection par un rétrovirus aussi sournois que délétère et que tôt ou tard, cela aboutira au sida, alors, oui, la prédiction aura toutes les chances de se réaliser, faute pour le séropo davoir pris les mesures qui simposent ! Viendrait-il idée à un médecin de dire à un patient qui a trop de cholestérol quil fera tôt ou tard une affection coronarienne ? Non, bien sûr, pour autant que le patient prenne les mesures qui simposent. Le sida, ce nest pas autre chose, mais sur un autre plan. Mais continuer en revanche à faire croire au séropo quil a été contaminé par un rétrovirus capable de provoquer dinnombrables maladies (dont certaines nont au surplus aucun rapport avec une immunodépression [ce qui est un comble !], telles que le sarcome de Kaposi par exemple) est tout simplement criminel car cette affirmation, non prouvée, facilitera lavènement du stade du sida déclaré et, par conséquent, la réalisation du sombre prognostic de l »expert » « VIH ». De là à dire que les mots du médecin tuent le patient, il ny a quun pas ... que je franchis (très) aisément ! PS : Si lorthodoxie du sida veut essayer de mimpressionner (dans une toute relative mesure) au lieu de faire des « améliorations » de tests dits « VIH », elle ferait dabord mieux de prouver que le « VIH » existe bien en tant que rétrovirus. Mais ce miracle nen sera de toutes façons pas un car il lui appartiendra de prouver par la même occasion un autre point, sans lequel lhypothèse rétrovirale ne tient de toute façon pas, à savoir prouver que le « VIH » nest effectivement pas un rétrovirus endogène. Or vu la masse de connaissance amassée par les repenseurs, tout indique que si le « VIH » existe en tant que rétrovirus, celui-ci est forcément endogène, ne fût-ce quen raison de la circonstance que le « VIH » est incapable de provoquer lapoptose des lymphocytes T4 ... à moins dajouter au « VIH » des agents mitogènes ou dautres « produits » sources de stress oxydatif. Ceci constitue dailleurs une preuve que le « VIH » en lui-même, à supposer même quil existe en tant que rétrovirus, ne provoque pas de stress oxydatif (et dailleurs, Montagnier lui-même sest bien gardé daffirmer une telle ineptie, se contentant de préciser que le stress oxydatif [sans en préciser les sources, et pour cause] provoque lapoptose des lymphocytes T4) !
  21. Il me semble également clair que quand on est - exceptionnellement - forcé dêtre sous drogues dites « antivirales », le recours à certains compléments alimentaires permettra de mieux supporter celles-ci, et de pallier, quoique dans une relative mesure, certains de leurs délétères effets. Mais il me paraît vain de croire que sur le long terme, ces compléments alimentaires pourraient neutraliser leurs effets toxiques vu la puissance sans nom de ceux-ci, et ce même sil est vrai que certaines personnes « paraissent » mieux les supporter que bon nombre dautres qui nont hélas pas cette « chance » (et même celles qui semblent mieux les supporter que dautres ne doivent pas crier victoire trop vite [sans vouloir jouer les oiseaux de mauvaise augure] : de nombreux cas existent de personnes sous drogues dites « antivirales » qui bien des années plus tard, « tout à coup », se mettent à attraper des « tas de choses », bien entendu le plus souvent mis sur le compte du « VIH » pour permettre à l'orthodoxie du sida de se dédouaner de toute responsabilité ; par ailleurs, ne perdons pas de vue que les études de phase 3 sur les effets à long terme des drogues dites « antivirales » ont lieu en ce moment même, cest-à-dire sur les séropos qui les consomment depuis des années, qui ne sont en réalité rien dautres que les sujets dexpérience des laboratoires pharmaceutiques). Pour ne citer quun exemple, je connaissais une personne qui fut lune des toutes premières à bénéficier des trithérapies (cétait donc en 1996), alors quelle avait auparavant été empoisonnée par lAZT. Il ne lui restait plus que quelques jours à vivre. Les trithérapies lui ont réellement sauvé la vie, et nous savons déjà pourquoi. Bref, il a réellement connu leffet « Lazare » des trithérapies. Je fais sa connaissance en août 2005 et lui parle de la dissidence du sida. Il ne mécoute (cest déjà ça) que dun air (très) distrait. Je lui dis quil doit sérieusement envisager darrêter ou à tout le moins suspendre la consommation ses drogues dites « antivirales ». Il me répond que non car cela lui a sauvé la vie (certes, cest vrai) et quil a très peu deffets secondaires en presque 10 ans : pas de lipodystrophie, « uniquement » quelques dégâts (épisodiques) genre diarrhées, nausées ..... et destruction progressive du foie ! Bref, « tout va bien » ou presque. En novembre dernier, il mannonce quil a « subitement » eu une arthrite : il ne sait plus marcher et fera un séjour de deux mois en hôpital dans datroces douleurs et souffrances et dans le plus profond désarroi psychique, les « experts » « VIH » faisant toutes les recherches possibles et inimaginables pour tenter de trouver la cause de cette arthrite. Mais bon dieu, il ne faut pas chercher midi à quatorze heures, les drogues dites « antivirales » produisent ce genre deffets à long terme. En février dernier, il mapprend que les « experts » « VIH » lavaient autorisé à rentrer chez lui, mais que son arthrite allait à peine moins mal et que des infirmières devaient venir tous les jours chez lui pour soccuper de lui. Je nai plus jamais eu de nouvelles de lui depuis lors, et je crains donc maintenant quil soit passé de vie à trépas (mais je nen suis toutefois pas sûr car il vit [ou vivait] en France). Parmi les innombrables effets toxiques des drogues dites « antivirales », il ne convient de ne pas de perdre de vue que nombre dentre elles ont - entre autres - pour effet de causer des dégâts irréversibles aux mitochondries et à lADN. Des compléments alimentaires, tels que lacide alpha lipoïque, permettront sans doute damoindrir ces dommages-là, mais ce nest cependant pas la panacée. Dautant plus que lorganisme humain essaie de lui-même de réparer cahin-caha de tels dégâts à lADN en utilisant lARN et la transcriptase inverse, ce qui (entre autres) permettra dexpliquer que la charge dite « virale » puisse diminuer (quoique cela est bien loin dêtre systématique), lARN utilisé pour réparer les dégâts de lADN diminuant. Et cest pourtant cela qui est interprété comme une éclatante victoire par lorthodoxie du sida ! Tout cela pour dire : oui aux compléments alimentaires pour remédier vaille que vaille aux effets délétères des drogues dites « antivirales », non à la poursuite effrénée et sans fin de la consommation des drogues dites « antivirales ». Il est de lintérêt même du séropo quil fasse la tentative dinterrompre de telles trithérapies. Et il doit bien comprendre quil ny a pas de « VIH » qui muterait en labsence de telles trithérapies, il ny a que des germes opportunistes qui mutent et qui deviennent résistants à de telles trithérapies. Et quil ne perde pas de vue que pas mal de séropos meurent « daller bien », cest-à-dire en ayant une charge dite « virale » indétectable et beaucoup de lymphocytes T4. Comme quoi ces soi-disant marqueurs « ultimes » du sida ne sont en aucune façon un gage de réussite !
  22. wallypat

    Le glutathion

    Pour augmenter le niveau du glutathion réduit, on ajoutera également le recours aux oméga 3, comme expliqué à la fin de ce post-ci, quoiqu'il ne s'agit de prime abord pas de la solution la plus efficace (comme le recours à un mélange simultané de NAC, vitamines C et bioflavonoïdes [ces derniers permettant à l'organisme de mieux assimiler les vitamines C prises en même temps]).
  23. Pierrot Compte tenu de ce qui précède (dont entre autres le précédent post que j'ai écris dans ce topic-ci) et de tout ce qui a déjà été dit à ce sujet dans ce forum, tu comprendras que je ne puis marquer mon accord. Les trithérapies représent la solution de facilité et à court terme quand il y a urgence, mais sur le moyen ou long terme, d'autres solutions existent, même s'il est vrai que cela ne marche pas systématiquement chez tout le monde pour autant. Mais il est vrai que cela demande de prendre sur soi.
  24. Dans le cadre du BMJ debate, la question fut également posée par le Perth Group. A cet égard, un orthodoxe du sida (Christopher Noble) donna au Perth Group une liste de tests dits "VIH" basés justement sur des antigènes dits mutés du "VIH". Mais après analyse des références données par Christopher Noble, le Perth Group n'a pu que constater que tous les tests (alternatifs) en question : - ne sont pas des tests dits de "confirmation" (Western Blot) mais bien uniquement des tests Elisa (or même l'orthodoxie du sida [à l'exception de la Grande-Bretagne] admet qu'un [ou même plusieurs] test Elisa positif ne suffit pas à prouver une "infection" par le "VIH"), - et ne sont pas utilisés dans la pratique clinique (et donc, a fortiori, uniquement à des fins de "recherche") ! C'est ce qui est expliqué ici : Et toutes ces constatations sans même tenir compte du fait définitivement le plus important : il n'a jamais été prouvé que les antigènes en question (et le fait de les remplacer par des protéines de synthèse, recombinantes, etc... ne change toujours rien au problème) proviennent bien d'un "VIH" purifié, en sorte que les antigènes en question peuvent avoir une origine parfaitement non-(rétro)virale ou même simplement cellulaire, comme démontré à multiples reprises par le Perth Group.
  25. Bonjour DaK'AZ. Vu l'urgence et la gravité de la situation (deux toxoplasmoses et une mycobactérie, si j'ai bien compris), je comprends que tu aies eu recours pour le moment aux trithérapies. Mais je te conseillerais pour ma part de non seulement faire mesurer des T4 (comme tu l'as fait), mais également et surtout faire mesurer à tout le moins ton taux de glutathion (et de manière générale de faire un bilan nutritionnel; encore faut-il trouver un médecin apte à faire de telles analyses). Je ne serais pas étonné d'apprendre ensuite que tu souffres d'un fort déficit en glutathion (et certainement en autres oligoéléments, tels que peut-être le sélénium). Ce déficit en glutathion permet d'expliquer pourquoi tu n'as plus de T4 du tout. En revanche, faire remonter le taux de glutathion est susceptible de faire remonter par la même occasion des T4 sans devoir faire appel aux trithérapies, quoique ce résultat est visiblement un peu moins garanti si on a déjà eu auparavant plusieurs cas de sida déclaré, comme dans ton cas. Dans ce post-ci, tu trouveras des moyens assez simples et plutôt naturels pour faire remonter sur le long terme ta concentration en glutathion réduit. Quant aux autres carences que ce bilan nutritionnel constatera, le médecin pourra bien mieux que moi t'expliquer comment faire pour y remédier. Je ne peux pas te garantir que cela pourra te permettre de te passer à moyen ou long terme des trithérapies, et en plus, c'est une solution hélas assez coûteuse, mais il s'agit d'une voie à ne pas négliger et certainement à essayer. Bon courage, en tout état de cause.
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