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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. En tout cas, ce n'est certainement pas impossible (voir la synthèse collective), quoique la tâche s'avère le plus souvent herculéenne, prend de nombreuses années, et implique visiblement un changement de vie assez radical. Mais il est clair que plus longtemps on a été exposé à de lourds facteurs immunodépressifs (en ce compris certaines drogues dites "antirétrovirales"), plus herculéenne s'avère la tâche ! Un bon marqueur à cet égard est la mesure des IgG. Le jour où cela rentrera dans la "norme", les chances d'être redevenu séronégatif seront déjà bien plus élevées (sans être garanties bien sûr).
  2. Oui, le pourcentage des cellules CD4+ par rapport au nombre total de lymphocytes CD4 par mm3 est un bien meilleur indicateur et bien plus révélateur que le simple décompte des lymphocytes T4 (lequel simple décompte présente une fiabilité inférieure, tout en restant fiable bien sûr). C'est ce qui est confirmé par exemple à la fin de ce document-ci : En d'autres termes, Survivor, depuis l'arrêt de ta trithérapie, les choses semblent aller bien mieux encore ! Mais il faudra bien sûr continuer à surveiller cela (avec un bilan nutritionnel approfondi, dont le bilan de stress oxydatif) régulièrement pour éviter le plus possible des épisodes "inopinés" et "inattendus" de sida déclaré. PS : Concernant les lymphocytes T3, je ne peux pas te dire grand chose. Ceci étant, dans le cadre du BMJ Debate qui a opposé durant deux ans repenseurs du sida et négationnistes du stress oxydatif, j'ai bien lu quelque chose sur ce point de la part du Perth Group. Si je retombe à nouveau dessus, je posterai les considérations en question. Ne perd en outre pas de vue que les drogues dites "antirétrovirales" faussent complètement le jeu et modifient (parfois dans le mauvais sens) de nombreux marqueurs (tels les différentes sortes de lymphocytes T), et parfois encore de nombreux mois, si pas années, après l'interruption de celles-ci.
  3. Il n'est pas nié (sauf par quelques-uns sur ce site, visiblement) que les trithérapies présentent des effets réellement positifs et ne doivent pas être systématiquement dénigrées. Mais le problème, ce sont leurs effets secondaires, tout aussi réels (et parfois ne se manifestant que bien des années plus tard). Je crois qu'il est quand même utile de rappeler qu'à ma connaissance, ce forum-ci est consacré essentiellement à la dissidence du sida, c'est-à-dire à la remise en cause du binôme "VIH-SIDA", et que ce n'est pas un forum consacré à des méthodes "miraculeuses" alternatives qui auraient la particularité de guérir du sida. A ma connaissance, aucun dissident sur ce forum n'a une formation de médecin et personne ne peut décemment prétendre (et encore moins prendre la responsabilité de prétendre) que dans chaque cas, la meilleure solution consisterait à arrêter les drogues dites "antirétrovirales" pour opter pour la voie des compléments alimentaires (ou d'autres voies, comme l'homéopathie). On n'est pas des guérisseurs, "juste" des personnes contestant de la façon la plus scientifique possible le fait que le sida serait causé par le "VIH". Concernant les remèdes, tout ce qu'on peut faire (je crois) sur ce point, c'est signaler l'existence de thérapies alternatives qui paraissent faire la preuve dans un bon nombre de cas. Pour le reste, chacun devra prendre ses propres responsabilités, en se faisant aider par de vrais professionnels, qu'ils soient dissidents ou non d'ailleurs. Qu'il suffise de lire ce topic-ci pour comprendre combien il peut être difficile d'arrêter de façon rationalisée une trithérapie ! En revanche, il est vrai qu'il est extrêmement frustrant de ne pas pouvoir trouver de ce côté-ci de l'Atlantique (hormis quelques très rares praticiens en Allemagne) des médecins qui puissent réellement assister les séropositifs dans cette voie-là. Aux USA, cela semble (un peu) moins compliqué de trouver de tels thérapeutes. Et bien sûr, ce n'est pas aux dissidents du sida qu'il faut en faire le reproche mais bien aux orthodoxes du sida qui font tout pour empêcher que le public soit informé qu'il existe depuis 20 ans un réel schisme, de plus en plus profond, dans le milieu scientifique quant à la détermination de la cause du sida. Ce faisant, l'orthodoxie du sida empêche que des médecins puissent se spécialiser dans les voies "non traditionnels" de traitement. Et quand quelques médecins courageux le font, ils sont poursuivis par leurs pairs ! Franchement, je ne saisis pas la question. A ma connaissance, à peu près aucun scientifique travaillant dans le domaine du sida, qu'il soit orthodoxe ou dissident d'ailleurs, est séropositif ou sidéen. Ce n'est pour cela qu'il n'est accordé aucun crédit à leurs écrits et/ou paroles, que du contraire même ! Mais sinon, oui je connais quand même pas mal de séropositifs qui vivent très mal la consommation des trithérapies, comme j'en connais qui les supportent (apparemment) assez bien. Et sinon, j'ai bien pour objectif de redevenir séronégatif, ce qui me paraît être la voie royale pour sortir définitivement de ce cauchemar de sida dit "rétroviral".
  4. 1) S'il y a bien une chose à laquelle tu ne dois accorder aucune espèce d'importance, c'est bien la charge dite "virale" obtenue grâce à la technique de la PCR (pourtant contestée par le propre inventeur nobélisé de la "PCR"). C'est bien simple, je te dirais carrément de ne pas faire mesurer ta charge dite "virale", car c'est parfaitement inutile. Il n'y aucune espèce de corrélation, même lâche (comme peut l'être la corrélation entre la séropositivité et le sida) entre la charge dite "virale" et l'évolution vers le sida (au mieux cette charge virale peut-elle - parfois - être le signe d'un déséquilibre quelconque de la santé). Mais bon, comme tu es obligé de passer par les "experts" orthodoxes en sida, tu ne peux pas faire autrement. Alors, autant ne pas accorder quelque crédit que ce soit aux résultats ultérieurs qui te seront annoncés quant à ta charge dite "virale". Faisons bref sur ce concept de la charge dite "virale". * Pour prétendre que la PCR aurait une quelconque spécificité pour le "VIH", il est absolument nécessaire : a) D'avoir la preuve que les primers utilisés proviennent bien de particules "VIH"; cette preuve n'existe cependant pas. b) A supposer même que cette preuve soit un jour apportée, il est en outre nécessaire de prouver par l'usage d'un étalon-or que la PCR n'amplifie que des séquences du "VIH" et rien d'autre. Or un tel étalon-or n'existe tout simplement pas, puisqu'il s'agit du "VIH" isolé/purifié. A défaut de ce seul étalon-or admissible, le prétendu étalon-or utilisé par l'orthodoxie du sida est ... les tests dits "VIH"! Or nous savons déjà que les tests dits "VIH" n'ont pas la moindre spécificité en la matière ! Et même utilisé avec ce (faux) étalon-or (soit le test dit "VIH"), on retrouve malgré tout des faux positifs et des faux négatifs dans 40 ... à 100% des cas (!) , et ce dans tous les laboratoires testés ! * Les résultats obtenus avec la PCR n'ont aucune reproductibilité ! Il suffit par exemple de lire ce slide pour le moins très éloquent ! Dans ces conditions, comment accorder une quelconque crédibilité à la charge dite "virale" et à la technique PCR qui permettrait de la calculer ? Comment est-il possible que des séropositifs puissent se mettre martel en tête lorsque la prétendue "charge virale" augmente ? En réalité, ce concept de charge dite "virale" a été inventé par les négationnistes du stress oxydatif : - pour faire croire que le sida est une maladie infectieuse dans laquelle le "VIH" n'arrêterait pas de se multiplier, - et pour faire croire que l'efficacité des drogues dites "antirétrovirales" se justifierait par le fait qu'elle inhiberait ce que ces négationnistes appellent "la réplication virale" du "VIH" ! 2) Au contraire de la charge dite "virale", qui, visiblement, ne doit mériter que notre seul dédain, il faut effectivement accorder la plus grande importance au résultat obtenu avec les lymphocytes T4. Ceci étant, même s'ils baissent de façon prononcée et surtout de façon durable, avant de (très) fortement s'inquiéter (même si effectivement, il ne faut pas faire l'autruche), il faut avant tout analyser le résultat de la mesure du taux de glutathion. C'est essentiellement sur base de ces deux éléments (T4 + glutathion) que l'on peut voir comment il faut réagir. 3) S'il s'avère qu'outre la baisse durable et continue des T4 (ou même si ceux-ci augmentent en réalité), le taux de glutathion continue également à diminuer, alors là, il y a motif à réelle (et très forte) inquiétude. Mais d'après ce que j'ai lu et comme expliqué dans ce post-ci, il y a encore une échappatoire possible aux drogues dites antivirales, à savoir une consommation massive de NAC durant les premières semaines (+ les autres moyens expliqués dans ce topic-ci). Si franchement, cela ne va toujours pas (en ce compris une hausse corrélative des T4), alors les trithérapies paraissent encore bien être la seule solution possible. 4) Comme expliqué dans d'autres posts, la mesure du taux de glutathion, c'est bien, mais ce n'est pas assez, même si cela reste fondamental. Il y a des tas d'autres éléments à mesurer dans un bilan nutritionnel. Plutôt que t'en remettre uniquement aux "experts" orthodoxes en sida, tu devrais essayer de trouver un médecin nutritionniste (orthomoléculaire) qui pourrait vraiment te suivre (à défaut de médecin vraiment spécialisés dans ces thérapies alternatives). 5) Comme ces derniers temps, je reçois beaucoup de messages et de demandes de conseil en privé, je rappelle encore et toujours que je ne suis pas médecin du tout, et que je me contente de résumer ce que j'ai lu ailleurs (le plus souvent en reproduisant les références en question). Ceci étant, j'espère sincèrement que cela marchera (mais on ne peut pas exclure que tu aies subi des dommages irréversibles et irréparables, malgré une prise de compléments alimentaires adaptés), mais il serait bon de te faire assister par un vrai nutritionniste spécialisé en la matière (encore faut-il en trouver un). Peut-être qu'à défaut, un naturopathe pourra faire l'affaire dans le pire des cas ? Et je te suggère de ne pas paniquer tout de suite si tu constates que tes T4 diminuent. Visiblement, ce n'est que si cette diminution est durable et corrélée avec une diminution tout aussi durable du glutathion qu'il faut alors de toute façon (très) fortement s'inquiéter. En tout état de cause, chacun prendra lui-même ses responsabilités, en soupesant les avantages et les inconvénients. Il me semble que les seules choses que les différents intervenants sur ce forum puissent faire sur ces sujets-là, c'est d'indiquer qu'il existe bien des voies alternatives. Mais quant à savoir comment les utiliser à bon escient, chacun prendra sa propre responsabilité, en se faisant aider par un professionnel. PS : Il ne me semble pas idiot de rappeler que si les lymphocytes T4 peuvent augmenter en prenant des drogues dites "antirétrovirales", c'est bien entendu en raison des propriétés fortement antioxydantes de certaines de celles-ci, mais également (et dans une mesure très difficile à quantifier, sinon impossible à quantifier) en raison de la toxicité de la plupart de ces drogues, un peu comme la toxicité de l'AZT en monothérapie a permis de faire augmenter (brièvement) les lymphocytes T4. Partant, une baisse des lymphocytes T4 pourrait au départ être interprétrée également comme une assez bonne nouvelle car cela pourrait prouver que l'organisme n'est plus confronté à autant de substances toxiques. Raison supplémentaire pour faire une mesure du glutathion (entre autres) pour y voir un peu plus clair.
  5. Je suis plus ou moins d'accord avec l'ensemble des considérations de Psyence sur l'homophobie et le racisme (ou plutôt, selon Psyence : leur absence d'homophobie et de racisme) des orthodoxes du sida. N'empêche (et sans vouloir discréditer les propos de Psyence qui me paraissent fondés, du moins dans une certaine mesure), quand bien même un bien plus grand nombre de cas dits de "sida" a été constaté dans les groupes à risque de sida, comment peut-on (on = orthodoxie du sida) justifier le fait que les causes d'erreurs soi-disant fréquentes dans les groupes non à risque de sida (soit 50%, ce qui est tout simplement gigantesque et justifie déjà à lui seul qu'aucune fiabilité ne puisse être accordée aux tests dits "VIH") seraient systématiquement absentes dans les groupes à risque de sida ? Car cela plaise ou non, et comme l'a déjà si bien dit Aixur antérieurement, il y a bien une "note de gueule" avant de passer un test dit "VIH". Si le médecin sait ou a des raisons de penser que la personne testée est dans un groupe à risque et que le test dit "VIH" se révèle positif, son sort est fait et il est déclaré "contaminé" par le "VIH" sans autre forme de procès. Le médecin ne va même pas se fatiguer et encore moins se poser la question de savoir si des causes d'"erreurs" ne pourraient pas se rencontrer dans son cas. Pourtant, ce n'est quand même pas parce qu'une personne est dans un groupe à risque et que les cas dits de "sida" sont bien plus importants dans lesdits groupes à risque que forcément et systématiquement, ces causes d'erreurs ne pourraient pas se retrouver également, quoique dans une proportion moindre, chez la personne faisant partie du groupe dit "à risque". Et à ma connaissance, je n'ai encore jamais lu (jusqu'à ce jour, du moins) le témoignage d'un gay, d'un toxicomane, d'un hémophile, etc... déclaré séropositif et dans lequel il serait précisé que le médecin "traitant" se serait inquiété du point de savoir si malgré tout (et malgré sa très mauvaise note de gueule), le résultat obtenu ne pourrait pas être le résultat d'une erreur. Bref, si la personne testée a une note de gueule négative (déjà le fait d'être un homme joue en sa défaveur), il y a déjà un préjugé négatif chez le médecin. Et il est d'ailleurs incroyable qu'un tel test qui se veut médical, scientifique et objectif puisse laisser la place à autant de subjectivité. Dès lors, il me paraît difficile de ne pas y voir malgré tout un relent homophobe ou raciste par exemple. Ceci étant, cette discussion reste assez théorique puisqu'elle présuppose que les tests dits "VIH" présenteraient déjà ne fût-ce qu'un soupçon de fiabilité quant à leur prétention à détecter, ne fût-ce que dans quelques cas, une contamination par le "VIH". Or nous savons qu'il n'en est strictement rien.
  6. Lymphocytopénie CD4 idiopathique Une expression bien compliquée qui constitue l'un des innombrables artifices (souvent magiques) utilisés par les négationnistes du stress oxydatif pour faire tenir cahin-caha l'hypothèse rétrovirale du sida. Plus particulièrement ici, cette expression a pour effet magique d'écarter les cas de sida sans "VIH", sans quoi ces cas, pourtant réels, porteraient un coup fatal supplémentaire à l'hypothèse rétrovirale du sida (puisque tout le monde sait bien qu'il n'y a pas de sida sans "VIH" ! lol C'est l'un des dogmes fondateurs de cette hypothèse pour le moins farfelue).
  7. wallypat

    Guérir le Sida!

    UN (TOUT) PETIT RESUME EN FRANCAIS DE CET INDISPENSABLE ARTICLE EN ANGLAIS (du Docteur Heinrich Kremer) 1) Il faut absolument se faire épauler par un praticien expérimenté dans l'administration de compléments alimentaires en vue de gérer la séropositivité et le sida. Bon, OK, mais cela relève du voeu pieux vu que les quelques rares praticiens en cette matière, du moins de ce côté de l'Atlantique, se trouvent essentiellement en Allemagne ! A défaut, le mieux à faire est sans doute de se référer à un médecin nutritionniste, si possible orthomoléculaire. 2) Il est en principe possible de surmonter un sida avéré en recourant aux compléments alimentaires (mais franchement, ce n'est pas donné !). Et si vraiment c'est l'extrême urgence, une question de vie ou de mort, les drogues dites "antirétrovirales" ne doivent être consommées que pour un temps extrêmement limité (et encore, il faut vraiment mieux l'éviter dans la mesure du possible), et en tout état de cause, la thérapie compensatrice naturelle doit être entamée en même temps (et de toute façon, aucune "thérapie" préventive genre "Bactrim" pour prévenir par exemple d'éventuelles pneumocystoses), déjà pour compenser les effets destructeurs des drogues dites "antirétrovirales". Les grandes lignes directrices de cette thérapie d'urgence (puisqu'on est alors en plein sida déclaré) sont les suivantes : - Durant les deux à quatre premières semaines, 5 grammes de glutathion (ceci étant, on a pourtant vu que cela n'était pas terriblement efficace) et 10 à 30 grammes de NAC doivent être pris chaque jour simultanément (en cas d'extrême urgence, on administrera du glutathion par voie intraveineuse). - Après ces deux à quatres premières semaines, il faudra prendre 5 à 10 grammes par jour de NAC, et ce pendant 6 mois. - On complétera tout cela avec de la glutamine. Pour autant que ce traitement soit fait sous la supervision d'experts en la matière, qui pourront l'adapter au cas par cas, ces traitements produiront de bien meilleurs et plus efficaces effets que les drogues dites "antirétrovirales", et bien entendu avec bien moins d'effets secondaires. 3) Les polyphénols sont absolument indispensables pour traiter le sida. On les retrouve dans la sylimarine (qui fait également augmenter le niveau de glutathion), et la curcumine entre autres. Ceci étant, le nec plus ultra paraît bien être le Padma 28, qui est également très efficace pour lutter contre l'hépatite C (et B). 4) Il faut se méfier d'un excès d'acide arachidonique, un oméga 6, qui favorise les inflammations et donc le sida. L'excès de cet acide arachidonique va favoriser un excès de TH2 au détriment des TH1, et donc le sida. Il ne faut donc pas trop consommer d'oméga 6. En revanche, une consommation accrue d'oméga 3 (tout particulièrement les huiles de poisson) favorisera les TH1, et donc amoindrira les risques de sida (voir aussi ici). On voit donc ici tout l'intérêt d'inclure dans son bilan nutritionnel un bilan de son statut en acides gras. 5) L'intérêt fondamental de l'acide alpha-lipoïque est réaffirmé, lequel protège les mitochondries et recycle le gluatathion oxydé. Ceci étant, comme précisé au milieu de ce post, il semble que l'acide naturel R-alpha-lipoïque soit bien plus efficace encore. 6) On constate presque toujours chez les séropositifs un début de déficience en coenzyme Q10. Il est nécessaire d'y remédier dès que possible car cette déficience s'accroîtra avec le temps et contribuera fortement au déclenchement du sida, cette coenzyme jouant un rôle fondamental dans la production d'énergie cellulaire (et donc dans la prévention du sida). D'où l'utilité de la mesurer dans un bilan nutritionnel. Comme je l'ai lu dans d'autres articles, la coenzyme Q 10 serait trois fois mieux assimilée par l'organisme si elle prise sur support lipidique. Et vu son prix, c'est bon de le savoir ! 7) La DHEA peut réduire les inflammations et faire régresser un état de sida (en conjonction avec tout ce qui précède, bien sûr). 8] Encore plus que tout ce qui précède (qui sont essentiellement des acides aminés), il faut manier avec la plus grande prudence encore la consommation de diverses vitamines et oligoéléments, tels que les vitamines A, C, E, les différents sous-types de vitamines B, le sélénium, zinc, cuivre, magnésium, ... Même si c'est loin d'être systématique ou même de constituer la majorité des cas, un mauvais usage de ceux-ci, et en particulier un surdosage, peuvent avoir des effets contre-productifs et même parfois accélérer l'évolution vers le sida ! 9) En application directe du point 8] qui précède, il ne faut JAMAIS se supplémenter en fer (contrairement à ce qu'affirment de nombreuses campagnes publicitaires), SAUF s'il y a une carence avérée en fer dans l'organisme. Dans le cas contraire, la supplémentation en fer aura un effet immunodépressif (+ des tas d'autres dommages insoupçonnés à l'organisme)! D'où l'utilité d'inclure également dans son bilan nutritionnel une analyse de son statut en fer. En revanche, en cas de carence avérée en fer, il faut y remédier par une supplémentation adéquate. Ceci étant, comme je l'ai lu en son temps dans un autre article, le seul bon fer à prendre en compléments alimentaires est le fer chelaté (et rien d'autre), semble-t-il. 10) De manière générale, j'ai déduit de la lecture de cet article : - que la maniement des acides aminés et des flavonoïdes en général est bien moins périlleux que le maniement des vitamines et des oligoéléments, - et que faire un bilan nutritionnel régulier constitue une réelle nécessité !
  8. wallypat

    Le glutathion

    Comme précisé dans cet article [page 8], la consommation d'un autre acide aminé (forcément sur un estomac vide, comme pour tous les acides aminés en général), à savoir la glutamine, est fortement de nature à augmenter la concentration en glutathion, en particulier lorsqu'on la prend avec la N-Acétylcystéine (NAC).
  9. Pour éviter que le lecteur de ce topic-ci ne reste sur sa faim, j'insère ce lien vers un autre post de Melloute placé dans un autre topic et dans lequel elle nous communique les facteurs immunodépressifs auxquels elle a été confrontée, sans le savoir et sans le vouloir, durant de nombreuses années, facteurs qui à eux seuls peuvent déjà expliquer pourquoi son test dit "VIH" a été déclaré positif il y a 14 ans et pourquoi elle a malheureusement fait des maladies qualifiées de "sida" 14 ans plus tard. Le lecteur constatera immédiatement que la cause des maladies en question n'a évidemment strictement rien à voir avec un rétrovirus lent dit "VIH", qui aurait eu les capacités magiques d'hiberner et de se réactiver 14 ans plus tard.
  10. Comme je pense l'avoir expliqué dans ce post-ci, être dissident du sida n'implique pas forcément que le recours aux drogues dites "antirétrovirales" doit systématiquement être proscrit. En revanche, si un dissident prétendait qu'il recourt aux drogues dites "antirétrovirales" parce que celles-ci combattraient le "rétrovirus VIH", alors là, je trouverais extrêmement difficile, et même impossible, de prétendre que la personne en question est bien un dissident du sida. J'espère sincèrement, Almavita, que cela continuera aussi bien à l'avenir. Mais sinon, n'oublie pas que les thérapies "alternatives" peuvent aussi marcher (mais pas toujours, tout comme les drogues dites "antirétrovirales" d'ailleurs).
  11. Je ne peux m'empêcher d'y voir un relent d'homophobie, de racisme et de xénophobie. En effet, comment l'orthodoxie du sida peut-elle considérer que les 50% d'"erreurs" qui pourraient se retrouver dans les groupes non à risque ne pourront en tout état de cause pas être retrouvés dans les groupes à risque (homosexuels, africains, etc...) ? Notons qu'en application de l'explication du stress oxydatif comme cause du sida, il n'y a en réalité pas de pourcentage d'erreur en matière de fiabilité des tests dits "VIH", ni de discrimination entre groupes à risque et non à risque (en ce sens, l'explication du stress oxydatif n'a pas de relent d'homophobie ou de racisme) : que l'on soit ou non dans un groupe à risque, la fiabilité est égale à 0% pour ce qui concerne une présumée contamination par le "VIH" mais est au contraire égale à 100% pour ce qui concerne le fait que la personne testée est actuellement confrontée (donc, lors du test) à différents facteurs immunodépressifs la prédisposant à faire un sida ultérieurement . Ce qui explique la corrélation certaine, mais très lâche, qui peut exister entre la séropositivité et le sida. J'ai (très) rapidement survolé cet article de Wikipédia et dans l'intérêt du lecteur, il me semble utile de pointer du doigt l'une de ses phrases, vraiment révélatrice de la mauvaise foi de l'orthodoxie du sida, à savoir celle-ci : Il est quand même hallucinant que Wikipédia écrive cela sans se poser de question. En effet, à ma connaissance, et sauf erreur de ma part (si quelqu'un peut donner un autre exemple, qu'il n'hésite pas, car je me trompe peut-être), à supposer que le sida soit effectivement une maladie infectieuse, il s'agit alors là de la toute première maladie infectieuse au monde où il est requis que le même test d'anticorps (Elisa et Western Blot, c'est kif-kif bourricot, avec la précision que le test d'anticorps "Western Blot" serait plus précis [sauf en Grande-Bretagne, "bizarrement"] lol) soit répété trois fois afin de savoir si les anticorps (dits "spécifiques" du "VIH") sont bien présents chez la personne testée ! Et on écrit cela sans coup férir ! Si ces tests dits "VIH" sont aussi spécifiques du "VIH", pourquoi est-il alors nécessaire de répéter ces tests à trois reprises (aux USA, c'est même à quatre reprises) sur le même échantillon de sang avant de pouvoir déclarer que quelqu'un a été contaminé par le "VIH" ? A ma connaissance, une telle répétition ne se produit pas avec d'autres maladies infectieuses bien connues. Et pour continuer à ridiculiser davantage ces tests dits "VIH" (à supposer que cela soit encore nécessaire), on rappellera que le test dit "VIH" est le premier test de l'histoire de la médecine où le résultat a une signification dans un pays ou même un laboratoire et une signification tout à fait opposée dans un autre pays ou même un autre laboratoire (il a été contaminé selon tel pays, mais il ne l'a pas été selon tel autre pays), un peu comme si dans un pays, il était affirmé sur base du même test et du même échantillon testé que tel patient a bien été contaminé par la syphilis, mais que dans un autre pays, ce même patient n'a pas été contaminé par la syphilis. Et ce qui est encore plus ahurissant et extraordinaire, c'est bien que ce fait ne paraît pas déranger les "experts" "VIH" ! PS : On rappellera à toutes fins utiles au lecteur que pour prouver que le test d'anticorps dit "VIH" est vraiment fiable et prouve par le seul fait de la détection des anticorps que la personne a bien été contaminée par un rétrovirus appelé "VIH" (et je suppose donc que les antigènes figurant dans ces tests sont bien ceux du "VIH", ce qui n'est pourtant déjà pas le cas) : - Il DOIT y avoir au moins une étude et quelques études confirmatives où la réaction antigène-anticorps a bien été comparée avec la présence ou l'absence du "VIH", c'est-à-dire avec l'isolation/purification du "VIH"; - Ces études doivent en outre inclure un nombre statistiquement significatif de patients ayant le sida et de patients qui n'ont pas le sida mais qui sont malades (c'est-à-dire de patients dont on sait, preuves à l'appui [soit l'isolation/purification du "VIH"], qu'ils ont été contaminés par le "VIH", mais les autres, quoique ayant les mêmes maladies [puisque les maladies du sida ne sont nullement spécifiques au sida, elles ne sont pas nouvelles], ne sont pas contaminés par le "VIH"); - Enfin, ces études doivent avoir été faites en double aveugle. Le lecteur s'en doute déjà, mais de telles études n'existent tout simplement pas, et il est dès lors ahurissant qu'il soit prétendu qu'un test dit "VIH" positif est le signe d'une infection par le "VIH" (et tout cela, sans même avoir abordé la question de l'origine des antigènes utilisés dans ces tests !). Ce n'est que si on fait abstraction de l'ensemble des éléments pour le moins basiques qui précèdent, c'est-à-dire uniquement si on ferme les yeux sur ces éléments basiques, qu'il redevient alors possible d'accorder quelque crédibilité à l'hypothèse rétrovirale du sida, ou plus spécifiquement ici, d'accorder quelque crédibilité à la fiabilité de ces tests appelés "VIH". Or il n'y a aucune raison de fermer les yeux sur ces points-là !
  12. wallypat

    Oxyde nitrique

    Dans ce post, j'avais émis l'hypothèse plus que vraisemblable que des facteurs immunodépressifs, non identifiés (car tu ne fais visiblement pas partie d'un groupe à risque de sida), t'avaient très progressivement amenée vers le stade du sida. Evidemment, là, tu nous as donnés la très vraisemblable explication sur un plateau. Tu sais maintenant pourquoi ton test "VIH" a viré au rouge il y a 14 ans, et pourquoi cela a pris "autant de temps" pour que tu fasses les gros ennuis de santé dont tu as parlé. Ce serait bien si tu pouvais nous préciser si après l'annonce de ta séropositivité, bien malgré toi bien sûr, tu as continué à prendre de la ventoline, des corticoïdes (diablement immunodépresseurs également) et des antibiotiques. Si c'est le cas, tu sais maintenant ce que tu dois faire pour éviter avec un maximum de chances que tu aies à nouveau de tels ennuis de santé. Evidemment, si la dissidence du sida avait pignon sur rue, tu aurais certainement pu éviter de tels problèmes de santé. Cordialement.
  13. Concernant le glutathion, ne perd pas de vue que consommer directement du glutathion ne sert quasiment rien. Il sera quasi intégralement décomposé par ton organisme par certaines enzymes, et ce avant même que ton organisme ait pu en retirer quelque bénéfice que ce soit. Dans ce post-ci, tu trouveras les meilleurs moyens (enfin, je crois) pour augmenter le niveau de glutathion. L'un des meilleurs moyens (à moins de disposer de la possibilité de s'injecter du glutathion par voie intraveineuse) consiste à prendre sur un estomac vide de la N-Acétylcystéine associée à la vitamine C (+ en même temps des bioflavonoïdes, qui permettent de mieux assimiler la vitamine C). Ceci étant, il faut généralement attendre 6 à 7 mois de prise quotidienne avant que les effets se fassent réellement sentir. En fait, quand j'examine ta liste des compléments alimentaires, tu prends déjà des tas de choses pouvant faire augmenter le glutathion (tels que la vitamine C, sylimarine, oméga 3, ...), sauf le plus important de tous, me semble-t-il, à savoir la N-acétylcystéine (NAC). Sinon, la liste de tes compléments alimentaires est tout simplement impressionnante, et à mon humble avis (n'étant pas médecin), ne peut se justifier que pour contrer autant que possible les effets secondaires des trithérapies. Si le bilan du stress oxydatif est essentiel, dans la mesure du possible, je te suggérerais de faire également un bilan nutritionnel sur d'autres points, par exemple le profil protéique (IgM, IgG, IgA, ferritine, etc...), un bilan nutritionnel proprement dit (acide urique, hémoglobine, sélénium, SOD, zinc, cholestérol, etc...), le statut des acides gras (saturés, monosaturés, polysaturés dont oméga 6 et oméga 3), etc... Car tout cela joue dans le sida. Et surtout, un tel bilan approfondi pourra peut-être aboutir à la conclusion que certains de tes compléments alimentaires ne doivent plus être utilisés (ou diminués) et/ou doivent être remplacés par d'autres. Je crois que cela permettra de mettre toutes tes chances de ton côté. Ah oui, je me permettrais également de te suggérer un test analysant ton potentiel de défense anti-radicalaire globale. Cela devrait te permettre de mieux analyser ta capacité de te défendre contre les inflammations en général, capacité qui évolue justement en fonction de ton profil nutritionnel. Bonne chance en tout état de cause !
  14. wallypat

    Guérir le Sida!

    J'ajoute ce lien (hélas en anglais) vers un chapitre traduit en anglais (depuis un ouvrage rédigé en allemand) résumant les thérapies naturelles permettant de contrôler de façon naturelle la séropositivité et même de surmonter des épisodes de sida déclaré, sans qu'il soit forcément nécessaire de recourir aux trithérapies. Les méthodes y préconisées résultent des travaux du Docteur Heinrich Kremer. Et cela est mis à jour au 24 mars dernier. Reste le problème fondamental : qui en France est en mesure d'appliquer les enseignements préconisés par ce praticien allemand ? Pour que cette réponse puisse un jour recevoir une réponse, il n'y a qu'une seule solution (apparemment) : faire comprendre que le sida n'est pas causé par le "VIH" ! Tel est l'obstacle majeur à surmonter.
  15. Au contraire, ces débats te concernent au premier chef, même s'ils peuvent te paraître peut-être très théoriques et abscons, mais ils ont justement pour objet de te démontrer, du moins pour ce qui me concerne, tu n'as jamais été contaminée par quelque "VIH" que ce soit. Cela te concerne à 100%, surtout que tu as déclaré dans tes premiers posts avoir des doutes. Sinon, pour le reste, oui, les trithérapies vont certainement remonter ton système immunitaire, mais pour ma part, je trouverais regrettable de ne pas tenter la voie des thérapies alternatives, beaucoup moins toxiques. Mais je reconnais que cette voie est coûteuse et pas aisée car il implique de se faire aider par des professionnels compétents, lesquels ne courent pas les rues, faute de pouvoir faire comprendre au monde, du moins pour le moment, que le sida n'est pas causé par le "VIH". Sinon, je me permets de te renvoyer au post que je t'ai personnellement consacré et sur lequel j'ai passé plus de trois heures, et sur la solution du bilan nutritionnel complet (avant d'éventuellement interrompre ta trithérapie).
  16. Bonjour Psyence. Mes propos discréditent peut-être les tiens, mais jamais je n'ai eu l'intention de les mépriser et encore moins de les dénigrer. Au contraire, dans mon dernier post, je précise même que j'ai compris que tu "joues" à l'avocat du diable. Peut-être as-tu eu cette impression parce que je pense avoir rappelé ce qui me paraît être des évidences (le "VIH" existe-t-il et si oui, par quel procédé raisonnablement acceptable cause-t-il l'apoptose des lymphocytes T4) ? Car finalement, nous sommes bien d'accord, en ce compris sur la méthode, je pense. Tu parles de méthode. Mais tu seras quand même d'accord avec moi qu'avant d'envisager sérieusement l'hypothèse rétrovirale, il faudrait déjà à tout le moins avoir prouvé (il me semble qu'il s'agit de la méthode de base de départ) de façon raisonnablement acceptable que 1) le "VIH" existe en tant que rétrovirus (qu'il soit endogène ou exogène), et 2) si le point 1) est prouvé de façon raisonnablement acceptable, par quel procédé il provoque l'apoptose des lymphocytes T4. A défaut, toute hypothèse devient concevable. Ce n'est que si on ferme les yeux (ce que je refuse de faire, et je ne vois d'ailleurs pas pourquoi je devrais le faire) sur ces deux points et que si on fait semblant de faire comme si ces deux points avaient été démontrés que l'hypothèse rétrovirale devient envisageable, et devient même quasi incontournable car si on commence à faire semblant sur ces deux points pourtant fondamentaux, on peut également continuer à faire semblant sur les points "accessoires" ultérieurs, en usant de tas d'autres artifices ("mutation", "hibernation", "réactivation", ...) . Et dans ces conditions, tout devient possible, en ce compris et surtout l'hypothèse rétrovirale du sida. Dans cette controverse scientifique, il est impossible de fermer les yeux sur ces deux points. Le problème, c'est que c'est exactement ce que fait l'orthodoxie du sida depuis plus de 20 ans, tout simplement parce que c'était la seule hypothèse existante. Il fallait bien s'en contenter et user d'artifices les plus divers pour tenter de faire tenir cette hypothèse de départ. Raison pour laquelle il est devenu quasiment impossible pour qui que ce soit d'envisager une autre hypothèse que celle du "VIH". Pourtant, peu de temps après l'invention du "VIH", la théorie du stress oxydatif fut élaborée mais fut superbement ignorée (et non "réfutée", et à ma connaissance, aucune scientifique n'a réussi à ce jour à relever cette gageure) car elle constitue une gigantesque claque au catalogue des différentes assertions de l'orthodoxie du sida. Dans cette théorie, les "basiques" sont démontrés : les sidéens sont exposés à des agents stressants, à des tas d'oxydants et ceux-ci provoquent l'apoptose des lymphocytes T4 (et l'apparition des débris cellulaires connus sous le nom de "VIH"). Je suis désolé si cela pourrait faire mal à lire mais ce sont là des évidences. Ce n'est qu'en ignorant cela (et je ne vois pas pourquoi je devrais le faire) que l'hypothèse rétrovirale peut commencer à avoir une apparence de fondement. Il ne me paraît possible de tourner l'exemple dans l'autre sens que si on démontre préalablement l'existence du "VIH" (soit "la cigarette" dans ton exemple). Il faut quand même bien comprendre que de règle, nous vivons dans un monde sans qu'il soit nécessaire de justifier la cause d'une maladie (ici : le sida) en invoquant l'existence d'un rétrovirus. Tout particulièrement lorsque des éléments préexistants (ici : le stress oxydatif) permettent déjà d'expliquer ce syndrome. Par conséquent, avant même de penser à l'hypothèse que le sida serait causé par un rétrovirus, la moindre des choses serait déjà de prouver préalablement que le "VIH" existe en tant rétrovirus provenant d'un réservoir de je ne sais quels singes d'Afrique et d'expliquer ensuite de façon raisonnablement acceptable comment ce rétrovirus, dont l'existence a été préalablement prouvée, provoque le sida. A défaut de remplir ces deux présupposés, manifestement, on perd son temps puisque nous avons déjà sous la main une théorie (celle du stress oxydatif) permettant d'expliquer le sida. En d'autres termes, il faut à tout le moins (je pense que l'on peut bien parler de méthode de base) être en présence d'une sérieuse apparence d'existence de "VIH". Il n'existe même pas une telle apparence (sauf l'apparence résultant d'un mythe perpétué à travers le temps). Ce n'est pas pour rien que je parle du "VIH" comme une religion. On est en arrivé à un stade où le "VIH" est considéré comme "Dieu". Pourtant, Dieu n'est pas scientifiquement prouvé mais des milliards de gens (dont je ne fais pas partie, ceci étant) seraient offusqués si l'on remettait en cause son existence. Pour ma part, je refuse d'appliquer cela au "VIH" car jusqu'à nouvel ordre, le "VIH" relève de la science, et non de la religion. L'orthodoxie du sida ne peut pas prouver que le "VIH" cause le sida parce qu'il y aurait d'autres facteurs "inconnus a priori" qui pourrait causer le sida mais bien parce que l'orthodoxie du sida n'est déjà pas en mesure de prouver de façon raisonnablement acceptable que le "VIH" existe. La circonstance qu'il y ait d'autres facteurs (variés comme le sont justement les sources du stress oxydatif) pouvant expliquer la survenance du sida, formant ensemble du stress oxydatif, ne fait que prouver de façon surabondante qu'effectivement le sida ne peut forcément pas être causé par le "VIH". Et par conséquent et comme déjà expliqué au début de ce post, ce n'est forcément pas aux dissidents de prouver que le sida n'est pas causé par le "VIH" mais bien logiquement à l'orthodoxie du sida de prouver : 1) que le "VIH" existe, 2) que le "VIH" est à tout le moins susceptible de causer le sida (au moins, dans un certain nombre de cas), 3) et que la théorie du stress oxydatif n'explique pas le sida. Tant que ces trois points n'auront pas été prouvés de façon raisonnablement acceptable, il me paraît tout simplement ahurissant que l'on puisse accorder quelque crédit que ce soit à l'hypothèse rétrovirale du sida. Or ce n'est que si on accorde quelque crédit à cette hypothèse, crédit qu'il n'est possible d'accorder que si on ferme les yeux sur les points évoqués ci-dessus (ce que je refuse de faire, et je me demande pourquoi je devrais le faire), que se posent en fin de compte les problèmes de méthodologie que tu as soulevés. Mais en réalité, on n'en est justement pas encore là, sauf erreur de ma part. Amicalement.
  17. Grande nouvelle ! Une sientifique de grand talent et de réputation internationale (et pas moins que cela !), à savoir Lynn Margulis (première épouse de Carl Sagan), auteur de la célèbre théorie "Théories Gaïa", membre de l'Académie américaine des Arts et des Sciences (soit un privilège extrêmement rare accordé aux plus grands scientifiques américains [même Gallo n'a pas eu droit à ce privilège, malgré sa "découverte" du "VIH]), s'est donnée la peine d'analyser les preuves de la soi-disant causalité du "VIH" avec le "SIDA" et a finalement et courageusement retourné sa veste ... pour rejoindre le camp des bien mésestimés repenseurs du sida. Voici ce qu'elle a récemment déclaré (ou écrit ? [pas clair car en anglais]) le 15 juillet dernier : Ce que je résume approximativement par : "Nous estimons que les preuves publiées dans les revues scientifiques peer-review selon lesquelles le "VIH" causerait le "SIDA" sont d'une effroyable et d'une déconcertante pauvreté. La censure moralisatrice, les astuces rhétoriques, les vexations offusquées, le prétendu consensus scientifique, les attaques ad hominem ou les éditoriaux journalistiques fanfaronnes ne changent strictement rien à ce fait. Le duo "VIH-SIDA" relève certainement du très bon marketing mais est-ce de la science pour autant ? NON." Dès lors, pourquoi devons-nous encore croire que le sida est causé par le "VIH" ?
  18. Bonsoir Psyence. Oui, j'avais bien commencé à comprendre que tu essaies tant bien que mal d'être objectif, et qu'à des fins scientifiques, tu "joues" à l'avocat du diable (à savoir, l'avocat de l'orthodoxie du sida). Forcément, moi, je joue à l'avocat des dissidents (lol). Mais il me semble qu'à chacun (ou presque) de tes posts, tu pèches par une erreur fondamentale, à savoir la fameuse méthodologie dont tu te fais l'infatigable apôtre. Tes arguments (le débat est rapidement clos, dialogue de sourd, ...) ne paraissent tenir que parce que tu parais accorder du crédit à l'hypothèse rétrovirale du sida. Dans un très récent post, j'avais pourtant déjà esquissé la réflexion suivante, à savoir que ta méthodologie repose sur l'idée que les dogmes de base de l'hypothèse rétrovirale seraient fondés ou du moins présenteraient une très sérieuse apparence de fondement, alors que ce n'est pas le cas. Et tant que ces dogmes n'auront pas été prouvés, je ne vois pas pourquoi il faudrait encore accorder une once de crédit à l'hypothèse rétrovirale, et aller encore plus loin dans le raisonnement rétroviral, et encore moins parler de méthologie pour comparer les deux hypothèses en question. Avant d'aller plus loin dans la comparaison avec l'hypothèse rétrovirale, il faudrait déjà que les "points basiques" de cette théorie soient déjà prouvés ou aient à tout le moins une sérieuse apparence de preuve. Si tel n'est pas le cas, la seule hypothèse sérieuse restante est l'explication du stress oxydatif comme cause du sida. Il est dès lors normal que forcément et comme tu le dis si bien Puisque justement, il ne reste plus d'autre hypothèse. "Réinterpréter" sur base de l'explication du stress oxydatif (ou de façon plus générale, sur base de facteurs immunodépressifs autres que le présumé "VIH") permet justement de confirmer encore davantage la validité de cette explication, en particulier lorsque cette explication permet d'expliquer (désolé pour la redondance) justement la situation lorsqu'on examine les "basiques" de l'hypothèse du stress oxydatif comme cause du sida. Mais parlons de la méthodologie. Pour quelles raisons pourrait-on parler d'un "cadre logique ouvert" ? Cela ne peut être possible que si les "basiques" de l'une des hypothèses sont déjà apparemment prouvés. Ce qui n'est déjà pas le cas. Parlons déjà des "basiques" de l'hypothèse rétrovirale. J'en ai déjà parlé dans ce post-ci. Avant de parler de méthodologie, il faudrait déjà : 1) Prouver que le "VIH" existe en tant que rétrovirus (et si un jour cette preuve est apportée, et seulement à ce moment-là, il faudra ensuite prouver pour quelle raison le "VIH" ne pourrait pas être endogène, en particulier lorsqu'il n'existe à ce jour aucun modèle animal du sida causé par le "VIH" [par exemple, les singes auxquels on a inoculé du "VIH" se meurent ... de vieillesse]). Donc, avant de parler de méthodologie, il faudrait déjà avoir commencé à prouver préalablement qu'il y a effectivement des raisons de penser que le "VIH" existe réellement en tant que rétrovirus. Je rappelle à cet égard qu'après (sérieuse) analyse des articles en question, les isolations de Montagnier en 1983 et de 1984 n'ont jamais pu prouver l'existence d'un rétrovirus "VIH" (entre autres : pas de purification [finalement admis par Montagnier en 1997, aussi bien pour sa propre isolation que pour celle de Gallo] et pas de photographies au microscope électronique de matériel purifié de "VIH"). Or c'est à partir de ces deux procédures d'"isolation" qu'est parti le mythe du "VIH". C'est à partir de ces deux "isolations" qu'ont été définis les protéines et le génome dits du "VIH". Or si ces deux isolations ne prouvent en réalité toujours pas l'existence du "VIH", pourquoi encore s'attarder sur cette hypothèse ? D'autant plus que l'existence (ultérieure) de présumés clones infectieux du "VIH" ne prouve toujours pas que le "VIH" existe. Donc, avant de passer à l'étape de la méthologie, il faudrait déjà avoir prouvé l'existence du "VIH". En revanche, dans l'explication du stress oxydatif, il est constaté (et cela ne peut être remis en question par l'orthodoxie du sida) que les groupes à risques de sida sont par essence confrontés systématiquement à une multitude d'agents oxydants. Cela est un fait basique, pas une hypothèse qui resterait à prouver. 2) A supposer même qu'il soit un jour prouvé que le "VIH" existe effectivement en tant que rétrovirus, il faudrait ensuite et en premier lieu expliquer comment le "VIH" tue les lymphocytes T4. On rappellera à cet égard que l'hypothèse rétrovirale a été inventée justement dans ce but-là. Or il n'a jamais été prouvé que le "VIH" provoque l'apoptose des lymphocytes T4. Au contraire, il "s'ennuie" en présence de ceux-ci. En revanche, lorsqu'on ajoute des agents oxydants, les lymphocytes T4 meurent, que ce soit en présence ou non du "VIH". C'est la preuve même que le sida est causé par le stress oxydatif, dont on vient de rappeler ci-dessus que les groupes dits à risque de sida sont systématiquement exposés à des agents oxydants (soit le stress oxydatif). 3) Où est le modèle animal rétroviral et infectieux du sida ? Et bien, il n'existe pas. En réalité, le seul modèle animal du sida qui existe est un modèle animal non infectieux, basé sur le stress oxydatif. Par exemple, on donne des drogues, de l'AZT, etc... à des animaux, et bien, ils développent du "VIH" et meurent du sida. Dans ces conditions, il me semble méthodologiquement rationnel de considérer que tant que les trois "basiques" qui précèdent n'auront pas été prouvés de façon à tout le moins raisonnable, il est inutile d'aller encore plus loin dans la réflexion et de tenter de comparer les deux hypothèses en question. Il ne reste plus comme hypothèse sérieuse celle du stress oxydatif en général et analyser quasi systématiquement les situations rencontrées sur base de ce dernier modèle, dont les trois "basiques" ont eux bien été prouvés, ne peut que permettre de confirmer encore davantage une hypothèse déjà corroborée antérieurement au regard des trois "basiques" qui précèdent. Et évidemment, comme les "basiques" de l'hypothèse rétrovirales ne sont même pas prouvées, il n'est nul besoin de s'avancer dans d'autres hypothèses, genre "cofacteurs". Il n'en reste qu'une seule, à savoir celle du stress oxydatif. Procéder autrement permettrait alors de donner une infinité de causes au sida. On pourrait par exemple prétendre que le sida est causé par des extraterrestres qui n'ont aucune sympathie pour les homosexuels, les toxicomanes, les hémophiles et les pauvres du tiers-monde, et s'offusquer ensuite que l'on se donne même pas la peine sur le plan méthodologique de comparer les deux hypothèses, à savoir l'hypothèse du stress oxydatif et l'hypothèse des extraterrestres qui causent le sida. Il semble pourtant clair qu'avant de s'intéresser plus loin sur l'hypothèse éventuelle des extraterrestres causant le sida, il faudrait déjà avoir prouvé de façon plus que raisonnable (ce qui n'a justement jamais été fait pour le "VIH") que 1) les extraterrestres existent et 2) comment les extraterrestres, à supposer qu'on ait de sérieuses raisons de croire qu'ils existent, provoquent l'apoptose des lymphocytes T4 des sidéens. A défaut d'avoir pu prouver de façon raisonnablement acceptable, ces deux éléments fondamentaux, sans lesquels cette hypothèse n'est même pas susceptible d'exister, il n'est bien sûr nul besoin de parler de méthodologie et d'envisager ne fût-ce que l'idée de continuer à aller plus loin dans la réflexion en comparant les deux hypothèses. Car si on faisait comme si les deux "basiques" de l'hypothèse extraterrestre du sida existaient raisonnablement, plus rien ne pourrait effectivement empêcher plus loin dans la réflexion de penser qu'effectivement, le sida est causé par les extraterrestres (en invoquant des tas d'artifices magiques, du genre "mutation", "migration", "hibernation" et "réactivation"). Avant d'aller plus loin dans la méthodologie, il faut avoir à tout le moins prouvé de façon raisonnable les "basiques" d'une hypothèse (il me paraît qu'il s'agit justement là de la "méthode de base", avant même d'être en mesure de parler ultérieurement de méthodologie plus avancée et plus "raffinée"). Si tel n'est pas le cas, le débat ne peut être que clos parce que les faits scientifiques sont là. En revanche, si on considère le "VIH" comme une religion (ce qu'il est devenu en réalité), et non plus comme une science, alors oui, tout est possible et on pourrait alors parler de méthodologie. C'est d'ailleurs sur base de ce genre d'argument que les théories créationnistes font à nouveau fureur. Or si on confond "religion" et "science", il n'est plus possible d'avoir un débat scientifique car en religion (comme en matière de "VIH"), tout devient par définition possible. Donc, pour éviter ce dérapage et avant de parler de méthodologie, que l'on prouve d'abord les "basiques de base" de l'hypothèse rétrovirale. Après seulement, il sera raisonnable de parler de méthodologie et d'envisager l'hypothèse rétrovirale comme une réelle possibilité à envisager, et de comparer les deux explications, à savoir l'hypothèse rétrovirale et l'hypothèse du stress oxydatif. En réalité, ces autres cas ne m'interrogent pas tout particulièrement. Je les ai cités : - pour éviter de devoir refaire éventuellement plus tard l'exercice pour les autres cas, - et car je me doute que pour bon nombre de lecteurs, ces autres cas pourraient apparemment constituer un élément de preuve en faveur de l'hypothèse rétrovirale du sida (mais comme expliqué dans mon post auquel tu te réfères, cette apparence n'est justifiée que parce qu'on oublie qu'il y a des tas d'autres facteurs d'immunodépression que le "VIH"). En réalité, le cas de "Melloute" est de prime abord moins facile à expliquer car dans son cas (du moins, à la lecture de ce qu'elle a écrit), il n'est même pas possible d'invoquer la consommation antérieure de drogues dites "antirétrovirales" et/ou la circonstance qu'elle a fait partie d'un groupe à risque de sida. Donc, c'est surtout son cas qui pourrait apparemment et éventuellement, mais à tort, remettre à mal l'hypothèse non rétrovirale du sida. Je pense avoir justement expliqué dans ce qui précède pourquoi le débat est apparemment fermé. A défaut, il faudra également envisager avec le plus grand des sérieux l'hypothèse du sida causé par les extraterrestres, ou n'importe quelle autre hypothèse. Avant de prétendre qu'un témoignage tend à prouver une hypothèse (ici, l'hypothèse rétrovirale), il faudrait déjà avoir prouvé préalablement que cette hypothèse présente à tout le moins une apparence de vraisemblance. Ce n'est justement pas le cas de l'hypothèse rétrovirale, même sur les "basiques" de base, en particulier lorsqu'on examine la facilité généralement assez déconcertante avec laquelle les arguments invoqués pour prouver les basiques de cette hypothèse sont réfutés. Il est normal qu'il soit "systématiquement réinterprété" ou "recontextualisé" sur base de la théorie du stress oxydatif puisque contrairement à l'hypothèse rétrovirale, les "basiques" de cette théorie ont à tout le moins été prouvés d'une façon plus que raisonnable dans les faits. Cet exemple concret est au contraire tout simplement excellent car il prouve combien l'hypothèse rétrovirale est absurde ! En effet, dans l'hypothèse rétrovirale, les négationnistes du stress oxydatif déclareront que le tabac (soit le "VIH") est toujours la cause du cancer du poumon, et que les autres facteurs, quoique que systématiquement présents dans les groupes à risque (de sida), ne pourraient pas expliquer la survenance du sida. Les repenseurs du sida, eux, démontrent non seulement que le tabac (soit "le VIH") n'existe pas, mais en plus que les autres facteurs, eux, permettent d'expliquer le cancer du poumon (soit "le sida"). Il me paraît extrêmement difficile et même impossible de parler de "négationnisme" car avant de parler de négationnisme de l'hypothèse rétrovirale, il faudrait déjà avoir prouvé que les basiques de l'hypothèse rétrovirale sont prouvés de façon apparemment raisonnable. Ce n'est pas le cas, en particulier lorsqu'on examine la facilité généralement assez déconcertante avec laquelle les arguments invoqués pour prouver les basiques de cette hypothèse sont réfutés. Par conséquence, à défaut d'apparence de preuve de ces basiques, il ne saurait être question de parler de "négationnisme" de l'hypothèse rétrovirale. Je ne peux parler que pour le sujet du sida, ne connaissant que fort peu les autres sujets abordés sur ONCT, mais il est normal que le débat soit apparemment orienté sur le sujet du sida ... vu que les basiques de base de l'hypothèse rétrovirale ne présentent même pas une apparence de vraisemblance. A défaut, parlons alors et également de l'hypothèse très sérieuse du sida causé par les extraterrestres. Amicalement.
  19. Bonjour Melloute, et sois la bienvenue sur ce forum. Et tu as très bien fait. Il est en effet peu probable (quoique pas impossible, il est vrai) que sous drogues dites "antirétrovirales", tu aies pu garder la même forme. Et malgré ce qui t'es arrivé, tu n'as à ce jour toujours aucune raison de croire à ces fadaises de rétrovirus "VIH", à moins de faire fi des multiples autres et réels (contrairement au "VIH") facteurs pouvant affaiblir l'immunité d'une personne, qu'elle soit séronégative ou séropositive, sans que ces facteurs aient quelque rapport que ce soit avec le "VIH". Il ne faut pas exagérer non plus, tu n'es pas Wonder Woman ! lol Comme n'importe qui, tu peux tomber gravement malade. Et visiblement, comme dans ton cas tu as persisté à ignorer continuellement les premiers très graves symptômes (diarrhées, candida, perte de 15 kg [forcément, avec des diarrhées à répétition...], etc...), tu as finalement été hospitalisée en extrême urgence et presque mourante. Note que si un séronégatif (et peut-être l'étais-tu en fait) avait réagi exactement comme toi, il aurait également été hospitalisé de toute urgence et presque mourant ... sans qu'il soit besoin du "VIH" pour l'expliquer. Alors pourquoi diable faudrait-il dans ton cas mettre cela sur le compte du "VIH" ? Ce dernier est parfaitement inutile pour l'expliquer. Effectivement, on peut avoir très peu ou plus de T4 du tout et tenir encore longtemps, parfois des années, sans développer des infections opportunistes. Ce qui explique pourquoi la baisse des T4 n'est pas suffisante (bien qu'elle soit un excellent critère, il est vrai) pour prédire à elle seule que l'on fera prochainement une maladie causée par cette baisse de régime du système immunitaire (cela me semble bien plus exact que de dire "sida", lequel syndrome ne fait que regrouper, d'une manière un peu artificielle, des maladies qui n'ont pourtant rien de nouveau). Il a cependant été démontré également qu'en fonction des individus, et après un temps variable en fonction des individus (parfois, des années plus tard), les maladies dites du "sida" finissent par apparaître si cette baisse des lymphocytes T4 n'est pas corrigée d'une façon ou d'une autre (raison pour laquelle je m'inquiète très fortement lorsque je lis certains autres témoignages de personnes ayant très peu de T4 depuis un certain temps; je leur recommanderais vivement, mais sans céder pour autant à la panique, de faire le plus rapidement possible un bilan nutritionnel complet pour voir ce qui ne va réellement pas dans leur organisme et pour y remédier avant que ne se déclare un nouvel épisode de sida déclaré). Alors, qu'est ce qui permet de prédire la survenance d'un sida ? Et bien, comme cela a déjà été précisé à multiples reprises, le niveau de glutathion, soit une mesure qui n'est effectivement (presque) jamais effectuée par les "experts" "VIH". Evidemment, à partir de ce moment-là, il n'y a plus lieu de s'étonner que tu fasses ensuite des diarrhées, des infections à candida, que tu perdes 15 kg ... et que tu finisses mourante à l'hôpital. Le "VIH" est inutile pour expliquer ces symptômes, la baisse du niveau de glutathion permet déjà de l'expliquer. Ce qui est revanche plus intéressant (que le pseudo "VIH") à relever, c'est pourquoi ton niveau de glutathion a finalement fort baissé. On ne peut qu'être réduit à de multiples explications tellement les facteurs expliquant cette baisse de glutathion peuvent être nombreux ... et peuvent passer inaperçus (mais si tu avais fait [mais vu l'omerta qui existe sur la dissidence du sida, bien peu de séropositifs en sont informés] un bilan nutritionnel régulièrement, portant entre autres sur le glutathion, cette baisse du niveau de glutathion ne serait pas passée inaperçue et tu aurais pu prendre à temps les mesures qui s'imposent pour le faire remonter de même que pour remédier aux très probables autres carences qui auraient été constatées) : cela pourrait très bien être des carences alimentaires insoupçonnées, une trop grande pratiques sportive, un empoisonnement par des bactéries (ayant contaminé par exemple l'eau que tu bois, pourquoi pas l'eau du robinet) ... ou même un très fort stress répété (et tes premiers ennuis de santé de santé de départ n'ont pu que l'accentuer d'ailleurs). Et encore des tas d'autres facteurs, tellement ils sont innombrables, et qui peuvent également affecter un séronégatif. Et d'ailleurs, la cryptosporidie dont tu parles n'a strictement rien de spécifique aux séropositifs comme nous allons le voir. Il est tout à fait possible que tu aies été contaminée par ce parasite l'année passée, ton organisme a tenté de le combattre, ce qui s'est d'abord traduit sans symptômes cliniques par une baisse des lymphocytes T4 (je rappelle à cet égard cet article déjà cité dans mon post précédent, d'où il ressort que ce n'est pas la baisse des lymphocytes T4 qui précède la maladie mais bien la maladie [ici, la contamination par la cryptosporidie] qui précède et qui cause la baisse des lymphocytes T4 [encore une fois, nul besoin de "VIH" pour l'expliquer][et dans le cas du sida en général, la maladie en question est le "stress oxydatif" préexistant avant le stade du sida et dont on sait déjà qu'il provoque la chute progressive des lymphocytes T4; nul besoin du "VIH" non plus pour l'expliquer]), mais par suite de vraisemblables autres cofacteurs (outre donc la crytosporidie), ta réserve en glutathion s'est finalement épuisée et cela s'est traduit en diverses maladies qualifiées de sida (n'oublions pas que le glutathion n'est pas qu'un "simple" antioxydant, il permet aussi à l'organisme de faire face à plus de 60.000 poisons ou toxines et de manière générale, l'organisme en a besoin en général pour stimuler le système immunitaire et pour lutter contre les maladies en général [ici, la cryptosporidie]). Bon, il serait maintenant plus que temps de voir ce qu'il en est réellement de la cryptosporidie. Et pour cela, je me suis basé sur ce document-ci où l'on apprend des tas de choses. On y apprend que dans les pays industrialisés, les taux d'infection varient entre 0,6 et 2%. Ceux-ci seraient-ils tous séropositifs ? Non, bien sûr. En revanche, il est forcément normal que ces taux d'infection soient naturellement plus élevés (3 à 20%) chez des sidéens qui sont par nature immunodéprimés par suite de leur exposition à une multitude de forts agents oxydants (stress oxydatif). On y apprend également que les contaminations sont tantôt sporadiques (manifestement, il s'agit ici du cas de Melloute), tantôt épidémiques. D'ailleurs, à la suite d'une contamination de réservoirs d'eau, dans le Milwaukee, aux USA, 403.000 personnes furent contaminés. Y a-t-il besoin de "VIH" pour l'expliquer ? Non, bien sûr. D'ailleurs, dans ce document-ci relatif à ces 403.000 contaminations dans le Milwaukee, on apprend qu'il y a eu de bien nombreux morts : Faudrait-il alors croire que les morts en question étaient séropositifs et qu'ils avaient été infectés, sans le savoir, par le "VIH", lequel a hiberné des années durant pour se réactiver, ô miracle, au moment de l'épidémie de cryptosporidie ? Non, bien sûr. En réalité, les personnes en question sont mortes parce que leur système immunitaire était fortement affaibli par suite d'une multitude de facteurs, et on peut se demander pourquoi certains de ces facteurs n'auraient pas pu être également être présents chez Melloute, et pourquoi ces facteurs devraient forcément être le "VIH" dans le cas de Melloute. On apprend également que la cryptosporidie peut être contractée à l'occasion de contaminations accidentelles de l'eau (de piscine également), des aliments, via des animaux (tels que le chat d'ailleurs ). Pour quelles raisons Melloute n'aurait-elle pas été exposée à certains de ces facteurs ? Alors, certes, il est également précisé : Il est logique que chez les personnes atteintes de sida, par suite de leur style de vie immunodépressif, fassent des cas graves et parfois mortels de crytosporidiose. Mais les sidéens ne sont pas les seules personnes à être exposées à des facteurs immunodépressifs. Pour quelle raison Melloute n'aurait-elle pas pu être également exposée à des facteurs immunodépressifs autres que ceux que l'on rencontre toujours dans les groupes dits "à risque de sida", tout comme par exemple ceux qui sont morts de l'épidémie du "Milwaukee" ? Que vient faire le "VIH" dans l'affaire ? Il n'est nul besoin de "VIH" pour expliquer ce qui est arrivé à Melloute. Et tu as très bien fait d'y recourir (tu n'avais d'ailleurs pas d'autre choix), pour le moment du moins. La trithérapie constitue la meilleure solution pour rebooster le système immunitaire le plus rapidement possible (il n'est dès lors pas étonnant que tes bilans sanguins s'améliorent), sans que cela ait quoi que ce soit à voir avec le "VIH". Et c'est justement parce que les quelques effets réellement positifs des trithérapies n'ont strictement rien à voir avec une contamination par le "VIH", que tu fais bien de dire : Et tu fais très bien d'y penser et de le faire le plus tôt possible, ne fût-ce que déjà pour éviter les multiples effets secondaires des trithérapies, à commencer par l'un de ses effets les plus pernicieux, à savoir et entre autres la toxicité mitochondriale de celles-ci, laquelle ne se manifeste que bien des années plus tard. Pas étonnant qu'ils disent cela. Ils ont été tellement endoctrinés dans la croyance que ta maladie est causée par le "VIH" qu'il ne leur est même plus intellectuellement possible de se demander si le sida ne serait en réalité pas le résultat de différences carences nutritionnelles et/ou toxiques (auxquelles il peut effectivement être remédié de façon imparfaite par les drogues dites "antirétrovirales"), lesquelles carences peuvent se traduire, mais par voie de conséquence (et non en tant que cause), par du "VIH" (peut-être qu'il sera un jour prouvé que le "VIH" est effectivement un rétrovirus, mais de toute façon endogène, produit par la maladie, et non cause de la maladie). Sur ce site-ci (hélas en anglais), tu pourras trouver de nombreux témoignages de ce genre. J'en ai encore résumé un pas plus tard qu'hier soir. Les "survivants à long terme" ont pour caractéristique commune de n'avoir jamais touché aux drogues dites "antirétrovirales", et quand ils ont été obligés de le faire (exactement comme toi), c'était juste le temps de se remettre d'une grave infection opportuniste, préférant recourir ensuite à des compléments alimentaires pour obtenir les mêmes effets sur le plus long terme (on ne peut toutefois exclure le cas des sidéens qui ont subi auparavant des dégâts apparemment irréversibles, auquel cas le recours plus ou moins permanent aux drogues dites "antirétrovirales" peut paraître plus ou moins inéluctable). Mais ne nous voilons pas la face : ci et là, on peut lire le témoignage de personnes qui ont arrêté les drogues dites "antirétrovirales", puis deux ans ou trois plus tard, refont un sida, reprennent des drogues dites "antirétrovirales", les arrêtent à nouveau au bout de quelques mois, pour devoir les reprendre à nouveau au bout de deux ans ou trois. Le gros problème, c'est qu'il n'y a pas ou très peu de médecins qui soient capables (ou pouvant le faire sans être poursuivi par l'orthodoxie médicale) de soigner sur base de méthodes alternatives. C'est un peu le règne de la débrouille, mais parfois, ce n'est pas assez, et finalement, la solution de facilité consiste encore à recourir aux drogues dites "antirétrovirales", malgré leurs effrayants effets secondaires. C'est pourquoi, pour ma part, avant d'arrêter ta trithérapie, je te recommande vivement de faire sans tarder et malgré son coût un bilan nutritionnel complet pour constater les différentes carences (et peut-être même des excès) que cet examen ne manquera pas de révéler. Mais comme les drogues dites "antirétrovirales" permettent de remédier imparfaitement à ces différentes carences, il est judicieux d'en refaire un nouveau après l'arrêt de celles-ci. Et idéalement, le recours à un nutrionniste orthomoléculaire paraît être le meilleur à cet égard. Les médecins nutritionnistes ne courent pas les rues, mais bon, ils existent tout de même. Et de toute façon, il n'y a pas vraiment le choix, visiblement, vu que la plupart des "experts" "VIH" ne jugent pas utile de faire ce genre de bilan, tellement ils sont obsédés par le "VIH". Je pense avoir clairement démontré qu'il n'y a aucune raison que tu changes d'opinion. Les récents événements t'ont certainement déstabilisée, mais il n'y aucune raison d'expliquer cela par le "VIH". Différents facteurs immunodépressifs peuvent expliquer ce qui t'est arrivé mais à défaut de pouvoir clairement les identifier (tout comme ces différents facteurs immunodépressifs ont pu exister chez ceux qui sont morts de la cryptosporidiose lors de l'épidémie du Milwaukee sans que cela doive être expliqué par du "VIH"), un bilan nutritionnel complet pourra, lui, constater le résultat de ces facteurs immunodépressifs, et sans doute mieux identifier ces facteurs immunodépressifs. En fait, je ne pense pas qu'il y a tricherie ou même complot. Il y a surtout erreurs d'interprétation de la part de l'orthodoxie du sida et refus par celle-ci de se remettre en question, d'autant plus que les drogues dites "antirétrovirales" ont montré une efficacité certaine, ce qui les pousse à persister dans leurs erreurs d'interprétation, pour le plus grand malheur des malades. En fait, c'est exact, mais dans le sens inverse : SIDA = HIV, c'est-à-dire que les différentes maladies englobées un peu artificiellement sous le vocable "sida" peuvent entraîner l'apparition de ce que les négationnistes du stress oxydatif appellent du "VIH". Comme expliqué ci-dessus, tôt ou tard (et parfois bien des années plus tard), l'absence des lymphocytes T4 se manifestera par l'apparition de maladies opportunistes, tout particulièrement lorsque la réserve en glutathion de l'organisme sera épuisée. Le sida peut se manifester même avec un niveau normal de T4 (dans 5% des cas, si je me rappelle bien); en revanche, le sida est toujours corrélée avec une baisse significative, durable et très forte du niveau de glutathion (voir aussi ici). Ce que tu dois surtout éviter de faire, c'est bien de céder à la psychose collective du "VIH", et de bien comprendre que ce qui t'es arrivé, peut être expliqué par des tas des facteurs autres que l'hypothétique "VIH". Ce qui t'est arrivé ne prouve en aucune façon que le "VIH" en est la cause. Seule les négationnistes du stress oxydatif veulent y croire car cela leur permet de ne pas se remettre en question.
  20. Franchement, je me demande vraiment en quoi les cas de Melloute, Pierrot, Dak'AZ ou encore Anarista mettraient apparemment "à mal" l'explication du stress oxydatif comme cause du sida. Car il me semble que les séropositifs (à supposer que Melloute l'était encore au bout de 14 ans, mais de cela elle ne pourrait en être sûre que si elle avait à nouveau fait un test dit "VIH"), tout comme les séronégatifs, ne sont pas des surhommes et ont également le "droit" d'être gravement malades au cours de leur vie. Il y a aussi des séronégatifs jeunes qui peuvent tomber gravement malades et même meurent. Pourquoi diable un survivant à long terme tel que Melloute (et je le répète, à supposer même qu'elle était encore effectivement séropositive) n'aurait pas également le droit de tomber gravement malade comme n'importe quel autre jeune séronégatif ? Car, en fait, le cas de Melloute n'a strictement rien d'exceptionnel ou d'étonnant comme je vais tâcher de l'expliquer - brièvement - dans un prochain post. En réalité, cette - fausse - impresssion selon laquelle ces différents cas mettraient "à mal" l'explication du stress oxydatif comme cause du sida résulte de la croyance populaire tellement bien ancrée dans l'esprit que le sida serait causé par le "VIH" que dès qu'un (peut-être anciennement) séropositif fait une grave maladie, hop, on ne réfléchit pas plus loin que le bout de son nez (je ne dis pas cela dans le sens péjoratif, je veux simplement dire que l'on prend l'explication apparemment la plus simple à sa disposition, à savoir le "VIH"), et c'est forcément le "VIH" qui en est la cause. Bah oui, nous "savons" bien que parmi les nombreuses propriétés magiques du "VIH" figure ses légendaires capacités d'hiberner et de se réactiver comme par enchantement au bout de 14 ans (dans ce cas-ci). C'est pourtant perdre complètement de vue que les causes d'immunodépression sont innombrables (lisez par exemple cet article-ci [hélas en anglais] qui relatent des tas de causes de baisse fortement prononcée des lymphocytes T4 [même largement en dessous de 100] chez des séronégatifs), sans qu'il soit besoin de faire intervenir le "VIH" pour l'expliquer (forcément, dans l'article cité, ils sont tous séronégatifs).
  21. Pour ce qui me concerne, je pense que l'on se trompe de débat en discutant du point de savoir si Pierrot a été atteint ou non d'une "pneumocystose". Le point essentiel me paraît tout simplement de constater qu'une pneumopathie en général (appelée ou non "pneumocystose" dans certains cas) est de bien sombre pronostic lorsqu'elle est diagnostiquée chez un séropositif (ou de façon générale, chez une personne immunodéprimée, par exemple par suite d'une chimiothérapie anticancéreuse), que chez une personne non immunodéprimée. La courte histoire du sida l'a largement démontré : on arrivait à en guérir certains par des moyens "traditionnels" (sans que ces moyens ne comportaient toutefois le recours aux antioxydants), mais la plupart d'entre eux refaisaient dans les mois qui suivaient une rechute encore bien plus grave et finissaient par mourir. Il fut ensuite constaté à partir de 1996 que les trithérapies permettaient largement d'améliorer le pronostic. Depuis lors, les trithérapies sont considérées comme LA solution. Depuis quelques années toutefois, l'orthodoxie du sida paraît admettre à mots couverts (et de façon plus ou moins honteuse) l'intérêt fondamental des antioxydants pour lutter contre le sida. Il est regrettable que ces "découvertes" n'aient pas eu lieu dans le sens inverse, car alors, le premier réflexe aurait plutôt été "antioxydants" et non "drogues dites antirétrovirales". Mais il faut dire que réfléchir dans cet ordre reviendrait pour l'orthodoxie du sida à admettre que le "VIH", à supposer même qu'il existe (quod non), n'a plus le premier rôle dans le déclenchement du sida. Or cela est bien sûr inadmissible. Par conséquent, le premier réflexe restera toujours "trithérapies" pour l'orthodoxie du sida, les antioxydants ne devant servir que de "second couteau" (mais à tort : lisez par exemple et parmi tant d'autres ce témoignage), non principalement pour lutter contre le sida mais bien surtout pour combattre dans une certaine mesure les effets secondaires des drogues dites "antirétrovirales", et ce pour cause de théorie à respecter.
  22. wallypat

    Guérir le Sida!

    Ce que je trouve également intéressant de noter dans les "recommandations" des négationnistes du stress oxydatif, c'est qu'ils conseillent (presque) toujours de prendre des compléments alimentaires en complément des drogues dites "antirétrovirales". Cela leur ferait vraiment trop mal d'admettre qu'il est généralement possible de soigner la séropositivité et le sida sans recourir à leurs tri"thérapies". A cet égard, j'ai encore lu ce soir un témoignage très révélateur (parmi tant d'autres) que l'on trouvera en anglais ici et en néerlandais ici. On y apprend donc qu'une femme séropositive (depuis fin 2002, visiblement) était sous drogues dites "antirétrovirales" depuis le 1er août 2003. Elle découvre la dissidence du sida en 2005 et arrête sa tri"thérapie" le 12 décembre 2005. Que se passe-t-il ? Trois mois plus tard, le 16 février 2006, elle apprend que ses lymphocytes T4 étaient passés de 356 (son niveau, déjà pas très élevé "malgré" sa trithérapie, avant l'arrêt de sa tri"thérapie") à 207, et que sa charge dite "virale" (mais je me demande bien pourquoi j'en parle, mais bon), qui était auparavant indétectable était passée à 75.000. Elle ne panique pas et à partir du 16 mai 2006, elle se met à consommer quotidiennement des compléments alimentaires, qui paraissent tout simplement être du jus d'herbe d'orge. 40 jours plus tard à peine (28 juin 2006), elle refait un contrôle : T4 à 413 (soit un niveau jamais atteint, même quand elle était sous tri"thérapie") et charge dite "virale" à nouveau indétectable ! Et tout cela, sans drogues dites "antirétrovirales". Tellement (apparemment) incroyable d'ailleurs que l'"expert" "VIH" en question avait même téléphoné à sa patiente pour que celle-ci lui confirme bien qu'elle n'avait pas recouru à nouveau à sa tri"thérapie". Il est tout simplement ahurissant que l'on continue à prétendre aux séropositifs que les drogues dites "antirétrovirales" seraient la seule solution et qu'on ne saurait pas s'en passer. Après quelques recherches, il s'avère que le jus d'herbe d'orge permet d'expliquer facilement ces "incroyables" résultats. En effet, le jus d'herbe d'orge est un aliment qui contient visiblement à un taux élevé une abondance de toutes les principales vitamines (A, B, C et E, mais pas la D toutefois), minéraux (dont du zinc), des antioxydants majeurs (tels que le sélénium et le SOD [dont a déjà parlé Liane]), plus de 200 enzymes différents, etc... Voilà un exemple (parmi tant d'autres) qui illustre le fait qu'en adaptant son alimentation, il paraît possible d'obtenir des résultats encore bien meilleurs qu'avec des drogues dites "antirétrovirales" (et sans qu'il soit donc nécessaire de forcément recourir à celles-ci).
  23. En cliquant ici, le lecteur trouvera une liste (en anglais) de références scientifiques confirmant que les drogues dites "antirétrovirales" sont hautement toxiques pour les mitochondries (et cela n'est pas causé que par l'AZT d'ailleurs) et provoquent de nombreuses (très graves) maladies, parfois mortelles.
  24. La toxicité mitochondriale constitue lun des effets secondaires les plus insidieux (car passant relativement inaperçue pendant un [assez grand] nombre dannées, la période variant en fonction des individus et de leur résistance) des drogues dites « antirétrovirales » mais aussi lun de ses effets les plus dramatiques et les plus irréversibles. Cet article-ci explique en résumé en quoi les dégâts mitochondriaux mènent aux diverses maladies du sida. Il n'est dès lors pas étonnant que les drogues dites « antirétrovirales » peuvent à terme et en fonction de la résistance de chaque individu provoquer le sida, quoique bien moins rapidement que lAZT en mono « thérapie », outre les cancers et à une multitude dautres maladies. La seule conclusion qui me paraît simposer, cest quil est impératif de sabstenir de consommer des drogues dites « antirétrovirales », à moins bien sûr quil y ait (extrême) urgence et pas dautres solutions apparentes. Et dans ces cas circonstanciés, une fois rétabli, et vu les effets toxiques de ces produits, il semble vivement recommandé de tenter ensuite de les remplacer par des compléments alimentaires adaptés, beaucoup moins toxiques (même sil paraît clair que cela ne soit pas systématiquement possible pour chaque personne concernée).
  25. Il me semble, Terry, quavant de faire mine de sétonner que des dissidents puissent ne pas être tous à 100% contre lusage des drogues dites « antirétrovirales » (du moins, dans certains cas circonstanciés), il faudrait dabord rappeler ce quest un dissident ou repenseur du sida. Je pense que la caractéristique la plus essentielle et commune à tous les repenseurs du sida est de contester le dogme selon lequel le sida serait causé par le « VIH ». Point barre. Cela nimplique pas forcément que la consommation de drogues dites « antivirales » doive forcément être proscrite en toutes circonstances, dautant plus que si elles sont effectivement extrêmement nocives, toxiques et parfois mortelles, il nempêche pas moins quelles sont toujours moins nocives et bien plus efficaces que lAZT en monothérapie, et cela est certainement le cas à (très) court terme. En outre, admettre que les drogues dites « antirétrovirales » peuvent effectivement soulager les sidéens nimplique de toutes façons pas que le sida est effectivement causé par le « VIH ». On a déjà démontré que les quelques (mais réels) effets positifs des drogues dites « antirétrovirales » sont expliqués par les puissantes et rapides propriétés antioxydantes des unes et les puissantes et rapides propriétés antibactériennes, antimycosiques, etc... des autres. Ce qui en revanche extrêmement critiquable, en particulier lorsquon constate leurs effrayants effets secondaires (qui parfois ne se manifestent que bien des années plus tard, et dont on ignore forcément et au surplus les effets sur le très long terme [mais on peut déjà être sûr que ces effets ne seront pas innocents]), cest de continuer à faire croire aux séropositifs, en particulier dans les pays occidentaux (car en Afrique et dans les pays sous-développés en général, le sida est par essence un syndrome nutritionnel et rarement un syndrome toxique ; dès lors, la solution consiste avant tout à lutter contre la malnutrition, et encore moins que dans les pays occidentaux à administrer des drogues dites « antirétrovirales »), que le recours aux drogues dites « antirétrovirales » serait la seule (et meilleure) solution, alors quil est - généralement - possible dobtenir les mêmes résultats en usant de compléments alimentaires adaptés (malgré les possibles effets secondaires de ceux-ci, quoique ceux-ci me paraissent bien moins fréquents et même carrément triviaux lorsquon les compare à ceux des drogues dites « antirétrovirales »), mais sur le moyen ou long terme (alors que les drogues dites « antirétrovirales » peuvent aboutir aux mêmes effets mais à très court terme). Il me semble que le recours aux drogues antirétrovirales doit en tout état de cause certainement simposer dans les cas urgents ou si manifestement lusage de compléments alimentaires ne permet pas ou plus déviter des épisodes de sida déclaré qui se manifestent avec de plus en plus de force. Dis-moi, Terry, quaurais-tu conseillé à Pierrot, à Anarista et à DakAZ au moment où ils se mouraient dune pneumocystose ? Si tu as une solution autre que les drogues dites « antirétrovirales » et les compléments alimentaires, je suis sûr que bon nombre de lecteurs, moi y compris dailleurs, seraient fort intéressés de la connaître. Merci davance. PS : Pour ma part, il me paraît certain que si les repenseurs du sida avaient accès à la presse et avaient mieux loccasion dexpliquer ce quest réellement le sida et les meilleurs façon dy remédier tout en évitant le plus possible le recours aux drogues dites « antirétrovirales », Pierrot, Anarista et DakAZ auraient pu être informés de la réelle utilité de faire un bilan nutritionnel détaillé et régulier, et ces bilans auraient plus que probablement pu constater entre autres que leur taux de glutathion diminuait progressivement, et ils auraient pu prendre les mesures nécessaires pour le faire augmenter à nouveau ou, du moins, tenter de le faire, et si tel avait été le cas, le risque de survenance dune pneumocystose aurait ainsi pu être fortement réduit. Et dailleurs, il ne me paraît toujours pas trop tard pour encore le faire (mais il me semble clair que plus on tarde à le faire, plus les risques augmentent quil ne soit plus possible à lavenir de se passer des drogues dites « antirétrovirales »). PS : Et plus longtemps on continuera à nier les quelques effets réellement positifs des drogues dites "antirétrovirales" (du moins, dans des cas limités), plus longtemps encore l'hypothèse rétrovirale du sida sera susceptible de continuer à avoir pignon sur rue.
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