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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Très intéressant cela. En effet, la baisse des lymphocytes T4 (outre la hausse de la charge dite "virale") après arrêt des trithérapies est interprétée par l'orthodoxie du sida comme constituant un "échec" (même quand on n'est pas cliniquement malade), ce qui justifierait la reprise immédiate des trithérapies. Heureusement pour toi, tu es visiblement suivi par un médecin qui voit un peu plus loin que l'orthodoxie du sida et qui dit : Une chose est absolument certaine, c'est que cela ne doit pas t'atteindre moralement vu que jusqu'à ce jour, il n'a jamais été prouvé que la "charge virale" = ARN du "VIH". En d'autres termes, ce qui compte, c'est avant tout le glutathion et les lymphocytes T4. La charge dite "virale", on s'en f..t ! Quant à savoir pourquoi le chiffre de la charge dite "virale" augmente, je ne peux pas te donner d'explications absolues, tellement ce concept ne représente pas grand chose. Mais peut-être peut-on imaginer que celle-ci remonte car tu n'en as plus besoin pour réparer les dégâts causés à l'ADN par les drogues dites "antirétrovirales", et maintenant le métabolisme de ton corps essaie de s'équilibrer à nouveau. Il est bien sûr tout à fait possible qu'avec les années, la charge dite "virale" diminue à nouveau à mesure que ton organisme s'auto-répare (tant bien que mal) face à l'ancienne toxicité des drogues dites "antirétrovirales". Mais ce qui compte avant tout, c'est de continuer à faire contrôler régulièrement ton taux de glutathion et de lymphocytes T4, et si possible de faire en outre régulièrement un bilan nutritionnel approfondi pour prévenir d'éventuelles (mauvaises) surprises. En tout cas, cela me semble la façon la plus appropriée d'agir pour éviter autant que possible de devoir à nouveau recourir aux drogues dites "antirétrovirales". Tiens nous informés en tout état de cause !
  2. wallypat

    Le glutathion

    En cliquant ici, le lecteur trouvera le témoignage de Patou2407, qui dévoile le résultat de sa première analyse de glutathion.
  3. Très bonne nouvelle ! Avec en plus des T4 à un niveau "normal" (selon les "normes" en vigueur, soit au-dessus de 500) ! Ce qui paraît logique, la hausse du niveau de glutathion étant de nature à entraîner corrélativement (mais probablement avec un peu de retard) la hausse des lymphocytes T4 (tous autres facteurs restant inchangés bien sûr, vu que la variation des lymphocytes T4 peut dépendre d'autres facteurs également). Etant donné que tu parais avoir presque atteint la limite supérieure de la "norme", de prime abord, tu pourrais arrêter complètement ta supplémentation en sélénium et en NAC (et très certainement déjà la réduire; attention à l'excès de sélénium !), mais seul un médecin nutritionniste compétent pourra te le confirmer (idéalement après avoir fait un bilan nutritionnel complet). Ceci étant, on a toujours parlé de carence en glutathion, mais je me demande si un excès de glutathion ne pourrait pas non plus avoir des effets secondaires, mais lesquels ? Ce serait intéressant de faire des recherches là-dessus. Au fait, avant que tu consommes du sélénium et surtout de la NAC, tes T4 étaient à combien (juste par "curiosité") ?
  4. wallypat

    Oxyde nitrique

    Oops ! J'espère que tu te trompes car mon bilan nutrionnel avait révélé une assez forte carence en fer et je dois maintenant faire une cure de fer chelaté, justement (conseil de mon médecin nutritionniste). Et il me semble avoir lu qu'il ne fallait jamais prendre de fer en complément alimentaire sauf en cas de carence avérée. Et dans ce dernier cas, le seul fer à consommer en complément devrait être justement du fer chelaté car dans ces circonstances-là (carence donc), il n'est pas prooxydant. Si tu ne te trompes pas, je suis en train de m'empoisonner là ! lol Cela ne répond pas à la question que tu poses bien sûr, mais là, je m'interroge sur ma propre santé. Je vais quand même faire des recherches complémentaires à ce sujet, à moins que tu trouves autre chose.
  5. Oui, c'est certainement une bonne idée. Ceci étant, s'il y a certainement une corrélation forte entre la chute du glutathion et celle des lymphocytes T4, cette corrélation reste un peu lâche vu que des tas de facteurs peuvent influencer dans une certaine mesure aussi bien à la hausse qu'à la baisse les lymphocytes T4. En revanche, on a déjà vu que le sida est, semble-t-il, systématiquement caractérisé par une baisse du niveau de glutathion. Ce qui est également admis par les scientifiques orthodoxes du sida, mais n'a pas encore été porté clairement et visiblement à la connaissance des praticiens orthodoxe du sida, quand on lit le témoignage de Survivor83. Ce genre de témoignage pourrait donc s'avérer très intéressant. Et je suis impatient d'en lire.
  6. C'est sûr que cela pourrait être intéressant ! Et c'est certainement plus sensé que d'attendre sans rien faire, en croisant les doigts que tout aille mieux grâce à je ne sais quelle providence divine, comme le suggèrent certains. Alors là, tu es certainement entre de bonnes mains ! Il doit y avoir de nombreux lecteurs, dont moi d'ailleurs, qui doivent t'envier d'être apparemment aussi bien suivi. Et c'est là un gage supplémentaire de probabilité de réussite d'arrêt des drogues dites "antirétrovirales" !
  7. Survivor, Wally saura certainement mieux te répondre que moi. Merci, Liane, pour le compliment sous-entendu que tu me fais. Mais je pense que tu me prêtes des qualités que je n'ai absolument pas. Je vais me permettre de rappeler à nouveau ci-dessous ce que j'ai déjà écrit il y a quelques jours dans ce post-ci, à savoir : Je rappelle donc à nouveau, pour que les choses soient bien claires (du moins, à mon égard), que je ne suis pas médecin. Je suis juste quelqu'un d'extrêmement intéressé par la dissidence du sida, que j'étudie durant mes rares temps libres. J'avoue être assez mal à l'aise (voire même très mal à l'aise) lorsqu'on me demande (même en privé) des renseignements un peu trop précis en matière de "traitement". Cela témoigne sans doute d'une certaine confiance en moi et j'en suis bien sûr flatté. Mais je répète donc que si j'interviens sur ce forum-ci, c'est essentiellement pour prouver que le sida n'est pas causé par le "VIH", et tout ce qui peut tourner autour de ce sujet, c'est-à-dire et entre autres signaler qu'il paraît exister d'autres voies de traitements pouvant être très efficaces, telles que la voie des antioxydants, et j'essaie d'étayer cela par des publications scientifiques (ce que je pense justement avoir assez souvent fait). Que Survivor83 ne m'en veuille pas trop si je suis incapable de répondre précisément à ses questions. En revanche, je te renvois tout spécialement à cet article-ci, où l'on précise les "doses" qui ont été utilisées pour la NAC entre autres. Les effets de la NAC paraissent donc être réellement efficaces, selon cet article (et des tas d'autres d'ailleurs cités sur ce forum), mais cela peut prendre plusieurs mois avant que les effets se fassent sentir. Ceci étant, à la lecture du nouveau témoignage, très intéressant, de survivor83, c'est quand même incroyable qu'une seule mesure du glutathion par an soit autorisée, alors que nous avons reproduit plusieurs articles précisant que le glutathion est tout simplement essentiel en matière de sida ! Faut-il y voir la main du sida business et de ses trithérapies, la prise de NAC étant évidemment beaucoup moins coûteuse que les trithérapies ? Survivor 83, si je puis me permettre, essaie de rechercher un médecin ou n'importe quel autre professionnel en médecine (ce que je ne suis pas) qui puisse te suivre réellement (vu que ton médecin "VIH" ne paraît pas trop disposer à te faire des bilans nutritionnels approfondis et régulièrement). Il doit quand même être possible de trouver des médecins ou même simplement des professionnels (naturopathe expérimenté peut-être ?) qui pourront t'aider à faire de réels bilans nutritionnels réguliers, à la bonne fréquence (de prime abord, il me paraît prudent de faire cela très régulièrement après un arrêt de trithérapie). Ceci étant, je suis de tout coeur avec toi, survivor83, et tiens nous informés de l'évolution de ta santé. Mais bien sûr, fais toi suivre par des personnes qui s'y connaissent en bilan nutritionnel, en stress oxydatif et médecine en général. Cela me paraît être le conseil de bon sens.
  8. La capote reste indispensable, ne fût-ce déjà que pour éviter la propagation de (vraies) MST. J'insiste à nouveau sur cela pour bien préciser que les repenseurs scientifiques du sida font également et clairement la promotion de l'usage de la capote, tout comme l'orthodoxie du sida. Qu'il n'y ait pas de méprise à ce sujet. Pour le reste, je t'invite à lire la synthèse pour toute autre question. Bonne soirée.
  9. Un bémol de taille quand même, et lis la synthèse à ce sujet. Les tests dits "VIH" n'ont aucune fiabilté (0%) pour détecter une "contamination" par le "VIH" mais ont en revanche une fiabilité de 100% pour affirmer que la personne testée séropositive est actuellement confrontée à des facteurs immunodépressifs (sources de stress oxydatif, donc) la prédisposant ultérieurement au sida si elle ne cesse pas de s'exposer à ces facteurs immunodépressifs. Il y a donc une corrélation certaine, quoique lâche, entre la séropositivité et le sida. Ces tests sont donc assurément utiles pour savoir si la personne testée souffre actuellement d'un fort stress oxydatif. Evidemment, à l'heure actuelle, ce n'est pas du tout comme cela que ce test est interprété alors que ces tests pourraient assurément être fort utiles s'ils étaient interprétés dans l'optique du stress oxydatif (réversible si l'on ne s'y prend pas trop tard), et donc en dehors de toute l'hystérie actuelle sur le sujet.
  10. Oui, effectivement, c'est d'ailleurs bon de le rappeler dans ce topic clé de ce forum. C'est pourquoi je renvois sur ce point précis le lecteur à ton post du 12 juin dernier où tu avais expliqué cela, références scientifiques en plus.
  11. Je suppose, Ocho, que ta question présuppose l'hypothèse où soit ta compagne, soit toi êtes séropositif, sinon je ne vois pas très bien où est le problème. Je t'invite alors à lire la synthèse collective (Chapitre IV, D), 3)) où tu constateras que le sida n'a strictement rien à voir avec une MST, même si c'est ainsi que cela nous est présenté depuis 25 ans. Si jamais il s'avère ensuite (mais statistiquement, c'est statistiquement insignifiant et ne saurait constituer une preuve quelconque : voir le Chapitre précité) que l'autre partenaire devient séropositif, ce n'est évidemment pas parce que la séropositivité est sexuellement transmissible mais bien parce que l'autre partenaire a également été confronté par la suite à de forts facteurs immunodépressifs (la relation sexuelle n'a strictement rien à voir avec cela; c'est au mieux une coïncidence, même pas une corrélation, et encore moins une relation de cause à effet : si tu veux y voir la preuve que ce serait malgré sexuellement transmissible, tu devras également admettre que par exemple, le cancer du poumon est sexuellement transmissible parce qu'après avoir eu des relations sexuelles non protégées avec ta compagne, atteinte d'un cancer du poumon, tu es également atteint d'un cancer du poumon [on expliquera plutôt cela, par exemple parce que vous fumez tous les deux, tout simplement !]; évidemment, c'est stupide de penser cela, et le sida ... c'est bien cela !). Tout cela, je pense, est très bien expliqué via la synthèse.
  12. Schnappi, Aucun dissident sérieux nie le fait que les maladies qualifiées de sida existent et sont extrêmement graves. La meilleure façon de s'en protéger consiste à ne pas ou plus s'exposer à de forts facteurs immunodépressifs (comme je viens de le rappeler il y a quelques minutes à peine à David 13). Par conséquent, l'usage du préservatif reste NECESSAIRE, même si la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible, non parce qu'il empêcherait la transmission d'un rétrovirus appelé "VIH" mais bien déjà parce qu'il empêche la transmission de vraies MST (syphilis et autres), dont la répétion de la contamination (ainsi que la répétition de leurs traitements, quoique nécessaires bien sûr) constitue de lourds facteurs immunodépressifs. "Accessoirement", ces MST peuvent rendre par elles-même le test appelé "VIH" positif, entre autres en raison du stress oxydatif causé par ces (vraies) MST et des anticorps à ces MST pouvant également rendre positif ledit test appelé "VIH". C'est d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle à l'occasion de tests dits "VIH", on détecte souvent par la même occasion de (vraies) MST. L'orthodoxie du sida en a déduit que les MST faciliteraient la transmission du "VIH" ... alors que ce sont plutôt les MST qui ont la propriété de rendre les tests "VIH" positifs ! Sinon, je comprends que tu n'aies pas le temps, ni la patience de lire la synthèse, en particulier si tu ne te sens pas particulièrement concerné par le problème. Mais si tu en connais qui sont réellement concernés par le problème, il serait franchement utile de leur faire comprendre que si la préservatif DOIT être utilisé, il ne constitue absolument pas la protection ultime contre le sida (comme ne cesse de le proclamer l'orthodoxie du sida) car le préservatif ne protège évidemment pas contre tous les facteurs immunodépressifs auxquels peuvent être exposés les (futurs) séropositifs (drogues récréationnelles par exemple). Et tant que ce message ne passera pas, le sida ne sera pas prêt d'être éradiqué ! Cordialement.
  13. wallypat

    Oxyde nitrique

    Bonjour David13, et sois le bienvenu. La question n'est pas tant de savoir si tu pourrais espérer être redevenu séronégatif presque trois ans plus tard, mais bien pour quelle raison ton test s'est révélé positif il y a trois ans. Par exemple, supposons que tu sois gay, as-tu été confronté (et as-tu continué à l'être depuis ce test) aux facteurs immunodépressifs suivants très courants chez les gay, à savoir et par exemple : inhalation de nitrite (en particulier poppers), autres drogues (Viagra compris), sperme, MST et autres infections (et donc thérapies anti-infectieuses également immunodépressives, quoique indispensables), malnutrition, etc... Si c'est le cas, il convient tout d'abord pour toi de cesser de t'exposer à de telles sources de stress oxydatif, faute de quoi la situation ne pourra que s'aggraver (dans des délais variables, en fonction de la résistance de chaque individu). Es-tu (poli)toxicomane ou l'as tu été ? En résumé, tu dois examiner à quels facteurs immunodépressifs tu as été et continues éventuellement à être confronté. Et parfois, tout particulièrement lorsqu'on n'est pas dans un groupe à risque (je ne sais pas si c'est ton cas justement), il n'est pas toujours évident de les trouver. Qu'on se souvienne du cas récent de Melloute, où les facteurs immunodépressifs en question ... se sont révélé en définitive être plus que vraisemblablement ses traitements contre l'asthme ! (ventoline, corticoïdes, antibiotiques, ...) Or les traitements en question, sur le long terme, sont de nature à causer la séropositivité et plus tard un épisode de sida déclaré (comme expliqué dans ce topic-ci). Nul besoin de "VIH" pour l'expliquer d'ailleurs.
  14. Bonjour Reekaym et Schnappi. Je peux comprendre vos irritations mais à la place de Diamant bleue, j'aurais également réagi exactement de la même façon. Vous vous contentez de répétez les sempiternelles affirmations de l'orthodoxie du sida sans même vous donner la peine de lire ne fût-ce que la synthèse. Je sais, quoiqu'il s'agit d'une synthèse, c'est très long à lire. Mais pour éviter de nous faire perdre notre temps avec des affirmations déjà citées et réfutées auparavant, je vous invite à prendre le temps nécessaire de lire cette synthèse, même si cela vous prendra des jours entiers (au moins). Lorsqu'après avoir lu réellement cette synthèse, vous estimez que vous n'êtes pas d'accord avec telle ou telle réfutation, je vous invite précisément à nous dire sur quel point précisément et pourquoi tout aussi précisément. Ce n'est que de cette façon-là que le débat sera constructif. Je vous en remercie d'avance, et ce dans l'intérêt même des éventuels futurs débats avec vous.
  15. Bonsoir Psyence. En réalité, je crois que nous sommes tous les deux d'accord. Il est presque drôle de constater qu'apparemment, je suis pour une fois du côté orthodoxe du sida et toi, apparemment, du côté dissident ! lol Les statistiques en question se réfèrent à l'histoire "naturelle" du "VIH", c'est-à-dire de 1981 à 1987, avant l'administration de l'AZT, de même qu'en Afrique, avant que les premiers africains aient eu la "chance" de bénéficier de l'AZT, soit bien plus tard encore qu'en 1987. Et je pense que sur le point des lymphocytes T4, orthodoxes et dissidents du sida sont d'accord pour constater que la chute des lymphocytes T4 est globalement prédictive d'une évolution vers le sida. Cela a été constaté avant même que l'AZT été administré aux sidéens et aux séropositifs. Ils ne sont en revanche pas d'accord sur la cause de la baisse des T4. Pour l'orthodoxie du sida, ce serait dû à l'action sournoise d'un rétrovirus, tandis que pour les tenants de l'explication du stress oxydatif, c'est dû à de multiples facteurs immunodépressifs auxquels sont confrontés les sidéens, facteurs rendant en soi parfaitement inutile de faire intervenir en plus un mystérieux "VIH" pour l'expliquer. Ceci étant, et comme expliqué dans mon précédent post, la baisse des lymphocytes T4 n'est pas un facteur très fortement fiable (en sorte que je pense te rejoindre dans ton opinion), et je pense t'avoir cité une référence précisant que le glutathion était un bien meilleur facteur. Il est d'ailleurs de plus en plus admis par l'orthodoxie du sida elle-même que la baisse du glutathion est tout simplement inhérente à l'état de sida, sauf que l'orthodoxie du sida essaie tant bien que mal de relier cela au "VIH". Comme je viens de le préciser, tout cela avait déjà été constaté lors de l'histoire "naturelle" du "VIH", c'est-à-dire avant même que l'AZT vienne complètement fausser (et aggraver) la donne. Evidemment, l'AZT n'a pu que faire aggraver la situation. En tout cas, je suis ravi de lire que tu admets que l'AZT n'a pu que causer la chute des lymphocytes T4 (ce qui est pourtant encore contesté par pas mal d'orthodoxes du sida). Une interprétation, peut-être, mais qui s'insère très bien dans les statistiques de prédiction de l'histoire naturelle du "VIH". DaK'AZ a eu la chance de figurer dans la catégorie (très réduite) de ceux qui font un sida bien des années plus tard. Mais je suis d'accord avec toi : la mesure des T4 n'est pas fiable, seule la mesure du glutathion chez DaK'AZ aurait certainement pu mieux prédire s'il était sur le point de faire prochainement un sida. Je ne peux pas comme cela tout de suite te donner une suite de multiples références, mais je peux déjà tout de suite de donner ce que je crois être la meilleure référence qui soit, à savoir le Prix Nobel ! En effet, ceux qui ont démontré ce mécanisme en 1987 (sous l'effet du monoxyde d'azote justement; or, on n'a jamais cessé d'insister sur le rôle du monoxyde d'azote et des oxydants azotés en général dans le déclenchement du sida) ont finalement obtenu le Prix Nobel pour cette découverte, mais en 1998. Ce qui prouve combien a été lente l'acceptation des mécanismes d'action du monoxyde d'azote sur les TH1 et les TH2 par la communauté scientifique. Ceci étant, la circonstance que ce phénomène a été finalement couronné par un Prix Nobel prouve à suffisance que cela n'est plus contesté et est admis par la communauté scientifique. Tout cela est entre autres expliqué dans cet article-ci : Tout cela me fait penser par ailleurs à autre chose. Pendant 22 ans et jusqu'à septembre 2003 (date où est paru cet article scientifique où l'orthodoxie du sida a changé complètement de fusil d'épaule pour déclarer que le "VIH" provoque l'apoptose des lymphoctes T4, non plus en détruisant directement les lymphocytes T4, mais bien en hyperstimulant le système immunitaire [notons que c'est exactement ce que fait le stress oxydatif, sauf que pour cause de dogme à respecter, le stress oxydatif est ici appelé "VIH" !]), l'orthodoxie du sida n'a cessé de marteler pendant 22 ans (mais sans l'avoir prouvé justement) que le "VIH" détruisait directement les lymphocytes T4. Or, si comme l'affirmait l'orthodoxie du sida, le "VIH" détruisait réellement les lymphocytes T4, les anticorps produits par les TH2 (soit l'un des types de lymphocytes T4) ne devraient pas cesser ... de diminuer ! Or, c'est exactement l'inverse qui est constaté puisque les anticorps produits par les TH2 ne cessent pas d'augmenter avec l'aggravation de la maladie ! On comprend dès lors aisément que 22 ans plus tard, l'orthodoxie a bien été forcé d'hypothétiser une nouvelle explication à cette apoptose des lymphocytes T4, sauf que cette nouvelle hypothèse fait furieusement penser à un stress oxydatif qui ne veut pas dire son nom ! Je te propose une autre interprétation qui permettra de mettre fin à l'apparent dilemme résultant de l'interprétation alternative que tu proposes. En effet, l'absence de lymphocytes T4 dans le sang (soit plus précisément les TH1) n'implique ni une immunité défaillante, ni une immunité non nécessaire, mais bien : - une immunité défaillante uniquement pour ce qui concerne les germes intracellulaires contre lesquels l'organisme se défend à l'aide des TH1 (justement absents dans le sang) qui produisent du monoxyde d'azote pour se défendre contre lesdits germes intracellulaires, - et une immunité forte par anticorps (les TH2 dans les tissus, qui ne font qu'augmenter avec la progression de la maladie). Il se fait justement que les maladies caractéristiques du sida, qualifiées en son temps et très justement par Diamant bleue de maladies "exotiques", sont justement celles causées par ces germes intracellulaires et contre lesquels le sidéen ne peut justement plus se protéger puisque les TH1 sont absents. En revanche, le sidéen continue à pouvoir se défendre contre les autres maladies habituelles (il ne meurt pas de grippe, etc... mais uniquement de maladies "exotiques") vu que son immunité par la production d'anticorps (TH2) fonctionne, et même de mieux en mieux puisque la production de l'immunité par anticorps ne cesse d'augmenter. Il est donc en réalité inexact d'affirmer que le sida est un syndrome d'immunodéficience. Il s'agit au mieux d'un syndrome d'immunodéficience à l'égard uniquement des germes contre lesquels le sidéens ne peut se protéger que grâce au monoxyde d'azote produit par les TH1. Et quel est le rapport avec le glutathion, vas-tu peut-être demander ? Et bien, le glutathion est l'antioxydant par excellence qui protège (entre autres) contre le stress oxydatif. Mais si ce stress oxydatif devient exagéré et perdure, le glutathion finit par s'épuiser, ne pouvant plus empêcher l'hyperstimulation des TH1 provoquée par un surcroît de stress oxydatif (dont tout particulièrement le monoxyde d'azote), lesquels finissent par mourir d'épuisement et se suicident (= l'apoptose), l'organisme tentant de compenser cela par une hyperstimulation de l'immunité des anticorps (lesquels se multiplient justement à un tel point que le test dit "VIH" finit par se révéler positif en réagissant avec les anticorps en question qui ne cesse de se multiplier justement en réaction à ce stress oxydatif). Je pense que l'explication est limpide. Et comme en plus, il y a un prix Nobel qui confirme cela ... lol Amicalement PS : Par suite de circonstances indépendantes de ma volonté (rien n'a voir avec ma santé, qui va très bien, rassurez-vous), à mon très grand regret, je ne pense pas que je pourrai intervenir aussi souvent qu'auparavant sur le forum, et ce pendant un certain temps, temps que je ne peux pas quantifier pour le moment. Mais cela est provisoire, bien entendu.
  16. Bonjour, Psyence. Je serais pour ma part heureux si tu pouvais réellement me donner des exemples de causalité circulaire dans l'explication du stress oxydatif comme cause du sida, et des exemples qui seraient en plus tout aussi aveuglants que les trois cités dans mon post précédent. Si de tels exemples aussi criants devaient exister dans l'explication du stress oxydatif, il devrait être possible de les relever aussi facilement que les trois exemples que j'ai cités pour l'hypothèse rétrovirale, d'autant plus que le (très) gros Chapitre IV (entre autres) de la synthèse collective est consacré quasi exclusivement à l'explication du stress oxydatif comme cause du sida. A défaut, il faudra bien admettre que la "science" du sida rétroviral, à supposer que l'on puisse encore parler de science dans ce cas-là, est particulièrement faiblarde (pour ne pas moins dire) puisque les trois exemples que je t'ai cités de raisonnement circulaire dans l'hypothèse rétrovirale se trouvent être ... les fondements mêmes de cette hypothèse (protéines et anticorps du "VIH", séropositivité et sida, ...) ! Comment dès lors envisager un seul instant cette hypothèse comme présentant ne fût-ce qu'un soupçon de crédibilité ? Encore une fois, ce n'est que si on ferme les yeux sur ces points-là que l'hypothèse rétrovirale redevient à nouveau crédible et qu'il pourrait devenir - peut-être - possible de douter de l'explication du stress oxydatif comme cause du sida. Si je suis d'accord avec Terry quant au fait que les maladies est l'une des circonstances pouvant expliquer la chute des lymphocytes T4, je ne suis en revanche pas du tout d'accord avec lui quant au fait que ce ne serait pas un témoin fiable (quoique concernant la seule question des lymphocytes T4, il y a visiblement un bien meilleur indicateur que le simple décompte des lymphocytes T4, à savoir le pourcentage des lymphocytes T4 par rapport au nombre total de lymphocytes ). Je n'arrive plus à retomber sur l'article en question, mais j'ai bien lu en son temps (et je cite cela de mémoire) que lorsqu'un séropo a continuellement moins de 100T4, statistiquement : - 90% feront un sida endéans l'année; - 95% feront un sida endéans les deux ans; - 97% feront un sida endéans les trois ans; - 98% feront un sida endéans les quatre ans; - etc... (Ceci explique que certaines personnes [mais de plus en plus rares avec les années] peuvent vivre avec très peu de T4 des années durant, mais tôt ou tard, elles sont rattrapées par le sida [qu'il suffise de penser au cas de DaK'AZ qui a déclaré avoir vécu des années durant avec très peu de T4 sans faire de sida]). C'est bien pour cela que je prends dorénavant une assez forte distance avec cet argument phare de bon nombre de dissidents du sida, que tu as justement cité : Argument disant en gros que les lymphocytes T4 circulant dans le sang ne représente que 2 à 3% du total des lymphocytes T4, et argument auquel j'avais moi-même souscrit à l'origine ..... du moins jusqu'à ce je découvre entre autres les statistiques précitées, que le Perth Group, à l'origine de l'explication du stress oxydatif comme cause du sida, n'avais visiblement jamais invoqué cet argument, contrairement à de bien autres repenseurs du sida, et que j'approfondisse par moi-même ce sujet. La faiblesse de cet argument souvent invoquée par les dissidents (mais pas par le Perth Group) et qui finalement les dessert (comme quoi, je peux également être critique envers certains arguments des repenseurs du sida, du moins lorsque je l'estime justifié) résulte, je pense du moins, du fait que les lymphocytes T4 migrant vers les tissus (sous l'effet du stress oxydatif, justement) sont des TH2 qui vont activer l'immunité par anticorps, alors que les T4 subsistant dans le sang ne sont pas les mêmes que ceux migrant dans le tissu, puisqu'il s'agit des TH1 qui vont activer l'immunité en produisant non des anticorps mais bien du monoxyde d'azote, qui permet justement de tuer les différents germes sources des maladies caractéristiques du sida. En d'autres termes, cet argument de la dissidence ne me paraît donc pas très convaincant (et j'apporterai d'ailleurs un bémol à cet argument en faisant une mention dans la synthèse collective), pour ne pas moins dire, en particulier au regard des statistiques reproduites ci-dessus de mémoire. Il ressort de ce qui précède que la baisse des lymphocytes T4 est un critère assez fiable de pronostic d'évolution vers le sida. Mais cette fiabilité est bien loin d'être absolue car (et entre autres) : 1) Cela peut durer des années avant que le sida se déclare (cf. les statistiques susdites), et 2) Comme tu poses toi-même la question : Et de mémoire, il s'avère que 3 à 5% des séropositifs peuvent faire un sida malgré un taux "normal" de lymphocytes, soit plus de 500. Donc, la baisse des lymphocytes T4, provoquée par le stress oxydatif (cf. déclaration de Montagnier) est un marqueur fiable mais bien loin d'être absolu, comme je viens de l'expliquer. Alors, quel est le ou les marqueurs fiables d'évolution vers le sida ? Et bien, c'est la mesure du glutathion. On en a déjà parlé à plusieurs reprises. Qu'il suffise par exemple de lire ce post-ci. Il a en effet été constaté à moult reprises que les sidéens avaient des taux extrêmement réduits de glutathion (et en d'autres antioxydants). Ce taux réduit de glutathion favorise également la baisse des lymphocytes T4 mais des tas d'autres facteurs peuvent jouer sur la baisse ou la hausse des lymphocytes T4. Ce qui explique que l'on peut voir dans 3 à 5% des cas des cas de sida malgré un taux "normal" de lymphocytes T4. En conclusion, la mesure des lymphocytes T4 est un marqueur prédictif assez fiable mais les négationnistes du stress oxydatif ont bien tort de se focaliser là-dessus. Ils feraient mieux de mesurer en premier lieu le taux de glutathion ! Amicalement.
  17. Concernant toujours l'hépatite C, j'ajoute ci-dessous trois liens d'où il ressort clairement que le virus de l'hépatite C est bel et bien un mythe (tout comme le "VIH" donc), mais pas bien sûr les maladies dont souffrent les personnes prétendument contaminées par le virus de l'hépatite C. Ces liens sont hélas en anglais mais on ne peut pas faire autrement vu qu'en France, c'est la "sagesse conventionnelle" qui prévaut, sans que (presque) personne ne se pose de questions sur le sujet : - Premier lien; - Deuxième lien; - Troisième lien. Notons que ces trois liens renvoient eux-mêmes à divers autres liens. On y apprend des tas de choses (dont ne seront bien sûr pas étonnés les familiers de la dissidence du sida), comme par exemple ce qui suit. 1) Le soi-disant virus de l'hépatite C n'a aucune espèce de ressemblance avec les virus de l'hépatite A et de l'hépatite B, ce qui n'a jamais cessé d'étonner les hépatologues orthodoxes (sans pour autant qu'ils se remettent en question). 2) Jusqu'à ce jour, personne n'a réussi à isoler et purifier le prétendu virus, à le cultiver, à l'injecter chez un animal et à causer des maladies. 3) Les scientifiques orthodoxes de l'hépatite C ne savent toujours pas comment ce virus (très lent, comme le supposé rétrovirus "VIH") cause les dommages qui lui sont attribués. 4) La recherche d'un vaccin contre le présumé virus de l'hépatite C s'est révélée être un cuisant échec, malgré des dizaines de millions de dollars investis (en pure perte). 5) Les séquences génétiques du prétendu virus de l'hépatite C se trouvent également dans l'ADN humain. 6) Adopter un style de vie "sain et équilibré" empêche généralement la survenance des maladies prétendument attribuées au virus de l'hépatite C. 7) Ceux qui font les maladies attribuées au prétendu virus de l'hépatite C ont ceci de commun d'avoir été exposés durablement à des sources importantes de toxicité : drogues (récréationnelles), alcool, abus de médicaments (il y a des centaines et des centaines de médicaments qui peuvent à la longue causer des dommages au foie et, ce faisant, induire l'apparition de protéines et de matériel génétique prétendument attribués au virus de l'hépatite C), exposition à des pesticides, etc... Un exemple flagrant est celui des égyptiens. En effet, environ 24% de la population égyptienne sont déclarés porteurs du virus de l'hépatite C. Or, il se fait que des études ont constaté que la plupart de ceux-ci avaient reçu antérieurement un traitement contre une maladie endémique causé par le "schistosomiasis" (je ne connais pas la traduction anglaise), qui comportait 10 à 12 injections d'un certain médicament chimique (qui a donc causé des dommages au foie et, partant, l'apparition du prétendu virus de l'hépatite C). 8] Des thérapies alternatives ont donné des résultats spectaculaires (= disparition des cirrhoses) chez des personnes atteintes de formes ultimes de cirrhose, à tel point qu'elles étaient en attente d'une transplantation de foie : a) Doses massives de vitamines C. b) Prise de trois compléments alimentaires : sylimarine + sélénium + acide alpha lipoïque. Voilà. Difficile de croire encore en l'existence du virus de l'hépatite C ! Je dirais même plus : impossible d'y croire encore !
  18. Nous revenons à la problématique de la "poule et l'oeuf" : - est-ce que c'est la venue d'une maladie qui provoque une chute des TCD4 ou c'est la chute des TCD4 qui provoque la venue d'une maladie ? Même en partant de ce point de départ, à partir duquel tu parais vouloir introduire une problématique là où il ne me paraît pas y en avoir en fait (sans vouloir te discréditer bien sûr), à supposer que la chute des T4 provoque les maladies du sida (et non l'inverse), il serait alors utile de préciser ce qui provoque au départ la chute des T4, puis les maladies. En réalité, il n'y a pas de problème d'"oeuf" et de "poule" en matière en sida. Ils ont tous les deux raisons, car les deux effets se conjuguent. En effet, le stress oxydatif entraînera l'apoptose des lymphocytes T4 et l'apparition progressive de diverses maladies, celles-ci accélérant encore davantage et dans des mesures variables la chute des lymphocytes T4. Vu que l'hypothèse du "VIH causant le sida" ne remplit pas les postulats de Koch (voir la synthèse) et qu'en outre, le modèle animal infectieux s'est révélé être un échec retentissant, il ne reste plus que la première proposition, à savoir que c'est le sida qui cause le "VIH". En fait (et sauf erreur de ma part), le concept de charge dite "virale" a avant tout été inventé - pour faire croire que le sida est une maladie infectieuse dans laquelle le "VIH" n'arrêterait pas de se multiplier, - et pour faire croire que l'efficacité des drogues dites "antirétrovirales" se justifierait par le fait qu'elles inhiberaient ce que l'orthodoxie du sida appelle "la réplication virale" du "VIH" (alors que ce sont avant tout les propriétés chimiques de certaines drogues dites "antirétrovirales" qui l'expliquent, et ce en droite ligne de l'explication du stress oxydatif, comme l'a tout particulièrement bien expliqué Cheminot). Nonobstant ce qui précède, il ne sert à rien d'aller davantage plus loin dans cette réflexion puisqu'avant de s'intéresser davantage sur le concept de charge dite "virale" du "VIH", il FAUT déjà avoir à tout le moins prouvé : - que les primers utilisés dans la technique du PCR proviennent bien de particules "VIH", et - que la PCR n'amplifie que des séquences du "VIH" et rien d'autre. On attend toujours ces preuves (lire le débat sur le BMJ Debate). En réalité, une fois que l'on démonte les tout premiers faits supposés établis (par exemple ci-dessus, le concept de charge virale), il n'y a plus guère de problème de causalité circulaire. Ce n'est que si on ferme à nouveau les yeux sur ces premiers faits supposés établis que des problèmes de causalité circulaire peuvent surgir. Ceci étant et de manière générale, JE TE PORTE AUX NUES POUR NOMBRE DE CONSIDERATIONS FIGURANT DANS TON POST, dont certaines que je viens pourtant juste de critiquer, soit de manière générale sur cette logique circulaire sans laquelle la farfelue science du sida rétroviral ne saurait exister, car peut-être sans le vouloir et s'en t'en rendre compte, tu soulèves différentes absurdités de l'hypothèse rétrovirale. Je ne puis qu'applaudir ! Je te cite quelques exemples. 1) Les protéines de l'hypothétique "VIH" n'ont été choisies que parce qu'elles réagissaient le mieux aux anticorps présents chez les sidéens. Mais en même temps, les anticorps de l'hypothétique "VIH" n'ont été choisis que parce qu'ils réagissaient le mieux aux protéines de l'hypothétique "VIH". Et c'est sur cette "logique" circulaire, pourtant qualifiée de scientifique, qu'ont été conçus les tests qui vous condamnent à mort, à savoir les tests dits "VIH"! 2) Un exemple de mesure (et de logique circulaire par la même occasion) censé valider l'hypothèse rétrovirale. Pour prouver la soi-disant existence de la "contamination" par le "VIH" chez une personne testée, différentes mesures ont été inventées par les négationnistes du stress oxydatif, à savoir et entre autres : - les tests dits "VIH"; - la charge dite "virale"; - la détection directe de la protéine P24 (par exemple); - la culture du "VIH". Même si dans certains très rares (selon l'orthodoxie du sida) cas, il peut exister un doute qu'une personne puisse être contaminée au regard d'une seule de ces mesures (tout particulièrement les tests dits "VIH" qui constitueraient la voie royale de détection qu'une pseudo contamination par le "VIH"), l'orthodoxie du sida prétend que dans le pire des cas, les autres mesures ne pourront que "confirmer" la "contamination" par le "VIH". Et évidemment, comme presque toujours, ces quatre mesures se révèlent positives, celles-ci ne pourraient donc que prouver de façon surabondante que la personne testée a bien été contaminée par le "VIH". Sauf un petit "détail" : aucune de ces mesures ne prouve en soi une quelconque contamination par le "VIH" ! Le fait que ces quatre mesures se révèlent conjointement positives ne prouvent dès lors toujours pas que la personne en question a bien été contaminée par le "VIH" ! Pour ceux qui n'ont pas compris, je prends l'exemple suivant. Un hold-up est commis dans une banque par quatre voleurs (soit les quatres mesures du "VIH"). Les quatre voleurs conviennent entre eux de se servir d'alibi et de prétendre qu'ils étaient ensemble ailleurs lors du hold-up. Interrogés par la police, chacun des quatre voleurs déclare qu'il était ailleurs avec les trois autres. Ces quatre témoignages tendent donc "à prouver" qu'effectivement, ils n'étaient pas présents dans la banque lors du hold-up. Et pourtant, ces quatre confirmations ne prouvent pas en soit que le hold-up n'a pas été effectivement commis par eux. Il ne s'agit en réalité là que de quatre apparences de preuve de non-culpabilité, mais non d'une preuve quelconque de non-culpabilité. Et bien, la "science" du sida rétroviral, ce n'est pas autre chose ! 3) Mais l'exemple suivant tient carrément le pompon ! Et pour faire rapide et simple, je le reprend textuellement de la Réfutation de la Déclaration de Durban : Pour mieux comprendre cette tautologie fondatrice de la "science" du sida rétroviral, il faut rappeler que la fiabilité des tests de séropositivité n'est pas mesurée par rapport au "VIH" (auquel cas, la corrélation expliquée ci-dessus ne serait plus ridicule) mais bien par rapport ... à des maladies qualifiées de sida car retrouvées dans les personnes dites à risque de sida ! En d'autres termes, la séropositivité est définie par rapport au sida ... et le fait qu'une personne est déclarée séropositive sera donc justement la "preuve" qu'elle fera bien plus tard un sida. En d'autres termes, c'est une logique circulaire, et c'est cela qui fait pourtant la science qualifiée de sérieuse de "sida rétroviral" ! Evidemment, tout cela ne serait plus ridicule si la fiabilité des tests de séropositivité se mesurait, non par rapport aux personnes des groupes à risque qualifiés de sidéens, mais bien par rapport au "VIH". Encore bravo pour ces considérations, Psyence !
  19. Et bien, je ne puis qu'être d'accord avec toi puisque je l'ai moi-même (à nouveau) précisé dans un post datant de quelques jours à peine, à savoir : La synthèse collective précise d'ailleurs qu'il n'y a nul besoin de "VIH" pour expliquer la chute progressive et parfois très lente des lymphocytes T4 et énumère un tas de facteurs, dont les maladies justement, qui expliquent cette baisse progressive (mais pas forcément irréversible) des lymphocytes T4. Et il est exact que la chute des lymphocytes T4 ne permet pas à elle seule de prédire efficacement la survenance d'un épisode de sida déclaré. Le meilleur marqueur prédictif est à cet égard la mesure du glutathion, qui n'est pourtant (presque) jamais mesurée par les négationnistes du stress oxydatif. On en a déjà parlé (voir la synthèse collective). N'empêche, même si la baisse continue et durable des lymphocytes T4 chez un séropositif ne peut pas justifier à elle seule la précipitation avec laquelle un séropositif est "invité" à croquer des drogues dites "antirétrovirales", on constate une corrélation certaine quoique (un peu) lâche entre la baisse des T4 et la survenance du sida. Raison pour laquelle il faut affiner ces résultats, en premier lieu en mesurant le glutathion. Et même si le résultat de cette dernière mesure s'avère catastrophique, il y a encore des possibilités d'éviter les drogues dites "antirétrovirales", en commençant par la prise (plus ou moins massive dans ce cas de figure) de N-Acétylcystéine (NAC). Si malgré tout, cela ne s'améliore toujours pas, alors, les drogues dites "antirétrovirales" constituent de prime abord la seule solution, certainement à court terme du moins.
  20. Concernant les propos de Terry, quoique partiellement fondés, j'estime qu'il y a lieu de fortement les relativiser. Je me permets à cet égard de renvoyer à ce post et entre autres, à la méta-analyse de 2002 dont il y est question.
  21. N'empêche, les faits sont là. Statistiquement, plus les T4 baissent, plus le risque d'évolution vers le sida s'aggrave. Alors, effectivement, on peut parfois tenir très longtemps sans sida avec pas ou très peu de T4, mais c'est très risqué quand même. Tu n'as qu'à te souvenir du cas de Dak'AZ, qui a vécu de nombreuses années avec des 3 ou 4 T4, mais qui fut malgré tout malheureusement rattrapé par le sida.
  22. Mais je suis d'accord avec toi, Irewiss. Encore faut-il que ce soit un doute raisonnable. Et pour que l'hypothèse rétrovirale présente encore une quelconque crédibilité, que l'on me prouve préalablement les éléments basiques dont j'ai parlé dans mes posts échangés avec Psyence. Mais il est vrai qu'on a si longtemps vécu avec l'hypothèse rétrovirale du sida que même quand on met bien l'accent sur ce qui ne va déjà pas dès le départ dans l'hypothèse rétrovirale, on a malgré tout encore bien du mal à ne pas accorder ne fût-ce qu'un soupçon de crédibilité à cette hypothèse. Effectivement, on voit bien que tu n'as pas encore eu l'occasion de lire tout ce qui s'est dit sur le sujet des thérapies alternatives. Je t'invite à lire la synthèse collective, plus particulièrement le chapitre consacré aux solutions proposées par la dissidence du sida. Pas plus tard qu'en juin dernier, une étude scientifique (parmi tant d'autres) a encore confirmé la réelle efficacité de la NAC (parmi d'autres compléments alimentaires) pour lutter contre le sida, confirmant ainsi d'anciennes études antérieures. Clique par exemple ici où une étude (de juin 2006 donc) confirme à nouveau que la NAC a la faculté d'inhiber certaines protéines (prétendument attribuées au "VIH") qui s'expriment sous l'effet du stress oxydatif, ici la "GP 120" et "Tat". Et pourtant, on sait déjà cela ... depuis la fin des années 80 ! Pour le surplus, je ne suis pas systématiquement opposé aux drogues dites "antirétrovirales", comme je l'ai encore rappelé ce jour dans ce post-ci. Mais je trouve en revanche dommage de ne pas essayer la voie des antioxydants (parmi d'autres compléments alimentaires), beaucoup moins toxiques et très efficaces comme l'ont démontré de nombreuses études scientifiques (voir la synthèse).
  23. Ah, mais je suis tout à fait d'accord avec le cas de Viduité. Mais visiblement, Viduité n'a pas été confronté aux facteurs "traditionnels" des groupes à risque : à la lecture de son témoignage, il y a en réalité toutes les raisons de penser que c'est sa réaction à la fièvre typhoïde et les traitements donnés à cette occasion-là qui ont permis de rendre le test dit "VIH" positif. Bref, et de prime abord, pas grand chose à voir avec de durables et profonds facteurs immunodépressifs. Quant aux drogues dites "antirétrovirales", si je me rappelle bien, il n'en a pris que durant 1 an ou deux (si pas moins même); il refit un test deux ou trois ans plus tard qui ne se révéla pas séronégatif mais douteux, et ce ne fut que bien des années plus tard (en 2006 donc) qu'il fut officiellement déclaré séronégatif. Bref, l'exemple de Viduité est certainement un très bon exemple mais je ne crois pas qu'il s'agit de l'exemple d'un séropositif qui fut confronté à de durables et profonds facteurs immunodépressifs, comme le sont généralement les séropos des groupes à risque. Et c'est surtout à ceux-là (dont je fais partie) que je pensais quand j'ai parlé de tâche "herculéenne" (lol). Ceci étant, l'exemple de Viduité prouve bien que l'on peut redevenir séronégatif, et c'est finalement l'essentiel.
  24. Tes propos sont IRRESPONSABLES, Terry. C'est à cause de propos de ce genre que certains intervenants (qu'il suffise de lire les propos d'Anarista pour s'en convaincre) viennent ensuite se plaindre que les dissidents sont dangereux. A cause de tes propos, tu peux être sûr que l'hypothèse rétrovirale aura encore un très long avenir devant lui, et je ne te remercie pas pour cela. Je commence à connaître tes arguments à cet égard, presque toujours les mêmes : ils consistent toujours à préciser que les effets secondaires des drogues dites "antirétrovirales" sont débilitants, parfois mortels et peuvent même causer le sida. C'est exact, mais c'est perdre complètement de vue que de façon globale, les effets bénéfiques des drogues dites antirétrovirales surpassent en moyenne leurs (effrayants) effets secondaires. Je ne pensais pas que je me transformerais un jour en apologiste des drogues dites "antirétrovirales" mais pour l'occasion, tes propos ont permis de réaliser ce miracle. Je t'invite à cet égard à analyser cette méta-analyse de 2002 et à nous faire part de tes commentaires éclairés. Il en ressort globalement que les bénéfices des drogues dites "antirétrovirales" surpassent de loin leurs risques. Ou en d'autres termes, que globalement, les sidéens consommant ces drogues dites "antirétrovirales" se portent bien mieux ... et évitent la mort ! Donc, cessons de condammner sans cesse et sans la moindre nuance les tri et autres multithérapies. Ce que moi je dis en revanche, c'est qu'il est généralement possible d'obtenir les mêmes effets que les drogues dites "antirétrovirales" (mais pas aussi rapidement que celles-ci) en usant de compléments alimentaires adaptés, ayant beaucoup moins d'effets secondaires, et ce sous la supervision de professionnels (introuvables en France, ceci étant). J'ai déjà cité de nombreux références scientifiques le confirmant (il n'y a qu'à lire la synthèse collective pour en trouver quelques-unes). Donc, arrêtons une fois pour toute de condamner sans la moindre distinction les trithérapies. A défaut, l'hypothèse rétrovirale du sida continuera encore à prévaloir très longtemps, pour le plus grand malheur des sidéens d'ailleurs. Tout cela n'est bien sûr valable que pour le sida "occidental", car pour le sida "africain", par exemple, l'utilisation de drogues dites "antirétrovirales" me paraît bien plus injustifiable encore. J'espère sincèrement pour toi que tu ne feras jamais une toxoplasmose. Avant l'avènement de ce qui est appelé "sida", les toxoplasmoses étaient tout simplement rarissimes et aboutissaient presque toujours à la mort en soignant "classiquement" (comme tu le dis si bien) ! Ce pronostic, presque toujours mortel, n'a été modifié que grâce à la venue des trithérapies.
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