wallypat
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"Isolation of the virus itself is going to be the single most important discovery that will allow us to develop a vaccine, if a vaccine is ever developed," said Adriano Boasso, immunologist and AIDS researcher at Imperial College in London.
Alors là! Ils sont tous devenus des adeptes du groupe de Perth! Ils ne se rendent même pas compte de ce qu'ils disent, ces immunologistes, et ce que sous-entend cette simple phrase!!
Très bien vu, Cheminot !
Et ce qui me sidère également est le journaliste retranscrit les propos de ce chercheur ... sans se poser de questions (au sujet justement de cette prétendue isolation du "VIH") et sans esprit critique. Bref, il s'agit encore d'une nouvelle illustration de la faillite du quatrième pouvoir censé pourtant nous protéger !
Le travail du journaliste actuel se réduit à un simple boulot de scribe, de courroie de transmission de (pseudo) informations communiquées par les pouvoirs en place.
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Pour ma part, je me permets de renvoyer à ce post que j'avais écrit une demi-heure avant que le sujet ne soit lancé ici.
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La consécration du summum de la bêtise scientifique
Montagnier reçoit en 2008 le prix Nobel de médecine pour avoir "découvert" le prétendu rétrovirus "HIV" en 1983.
Il est certain que le comité attribuant les prix Nobel n'ont jamais lu les écrits du Perth Group, qui n'ont jamais pu être réfutés (en tout cas pas pour ce qui concerne la prétendue isolation du "VIH") jusqu'à ce jour dans ne fût-ce qu'un seul article scientifique publié dans une revue scientifique peer review.
On rappellera qu'en 1983, Montagnier n'a jamais découvert et encore moins isolé un nouveau rétrovirus "VIH" mais bien uniquement découvert l'apparition de marqueurs dans une culture qui ont été interprétés comme étant le signe d'une infection rétrovirale par un nouveau rétrovirus.
La preuve n'a pourtant jamais été faite à ce jour que ces marqueurs étaient spécifiques d'un rétrovirus, et encore moins d'un nouveau rétrovirus.
Pour plus d'infos sur la prétendue découverte du "VIH" par Montagnier en 1983, lisez cette critique dévastatrice faite par le Perth Group.
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Ce que tu évoques là est spécifique à la B12 ? Car si je mets une recherche sur vitamine C cyanocobalamine... ça ne donne rien, le terme est lié à la B12 il me semble.
C'est bien ce que j'ai écrit dans mon post, il me semble.
Je parle bien de la vitamine B12 dans mon post, pas de la vitamine C.
Donc comment savoir ce qu'il en est de la qualité d'autres compléments ?Comme je l'ai pourtant déjà écrit, le test de la vitamine B12 constitue un truc pour commencer à avoir une idée de la qualité des vitamines et autres nutriments proposés par le site en question. Si déjà le site en question ne propose que la mauvaise forme de vitamine B12, c'est-à-dire celle très bon marché et pas vraiment biodisponible, on a de réelles raisons de penser que ce site en fait autant pour la plupart des autres produits qu'il vend, et se soucie avant tout de maximiser ses bénéfices plutôt que la santé de ses clients.
Bien sûr, il peut y avoir des exceptions. Mais franchement, je serais déjà inquiet quant à la qualité des produits proposés si le site en question n'est même pas capable de vendre une bonne forme de vitamine B12, étant au surplus une vitamine essentielle pour l'organisme. Peut-on réellement espérer que la qualité de nutriments moins essentiels pour la santé sera meilleure (ou plutôt "moins mauvaise" puique la forme de vitamine B12 proposée à la vente est déjà mauvaise) ? Personnellement, j'en doute et je chercherais par prudence ailleurs.
Maintenant, libre à chacun d'utiliser ou non ce "truc".
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Un bon truc pour savoir si les compliments nutritionnels utilisés sont réellement de bonne qualité!
Nous savons depuis plusieurs années déjà qu'il est vivement conseillé aux séropositifs de consommer des antioxydants, outre certainement un bon complexe de multivitamines vu que de nombreuses études scientifiques ont montré que l'un des préalables à l'obtention d'un test dit "VIH" positif n'est bien entendu pas une chimérique contamination par un tout aussi chimérique rétrovirus "VIH" mais bien entre autres un déficit déjà prononcé en antioxydants et autres nutriments essentiels pour l'organisme.
Mais où s'en procurer ? Et surtout, comment s'assurer que le produit vendu est réellement de bonne qualité ?
Pour ma part, je déconseille de s'en procurer dans quelque grande surface que ce soit car c'est l'assurance (quasi) certaine que non seulement ils sont de mauvaise qualité mais qu'en outre, loin d'améliorer un tant soit peu votre santé en vous procurant de l'énergie, ils vont au contraire l'aggraver en puisant chez son consommateur l'énergie nécessaire à la (mauvaise) utilisation par l'organisme des formes de vitamines retrouvées dans le produit en question (voir le "truc" ci-dessous). Avez-vous en effet déjà remarqué que certains utilisateurs se sentent au contraire fatigués après avoir consommé certains compléments vitaminés ? Et bien, l'une des raisons est que les vitamines en question sont de mauvaise qualité et peu ou pas biodisponibles (mais il peut y avoir d'autres raisons comme par exemple le fait que le consommateur n'ait pas réellement besoin des vitamines ou nutriments en question).
De même, j'éviterais ceux vendus en pharmacie car d'après ce que j'ai pu lire, leur qualité est loin d'être exceptionnel et ce sont souvent les formes bon marché (et peu biodisponibles) qui sont vendues. Après tout, c'est assez logique : si Big Pharma veut continuer à vendre ses "médicaments" et autres "antibiotiques", elle n'a pas vraiment intérêt à ce que ses (futures) malades potentiels se mettent à consommer des vitamines et nutriments de qualité, faute de quoi c'est leur chiffre d'affaire qui s'écroulera (un exemple typique : des dizaines de milliards de dollars sont dépensés chaque année pour la recherche contre le cancer et Big Pharma ne se prive pas de signaler tout "progrès" en la matière; en revanche, Big Pharma se garde bien de signaler que parexemple, la consommation de vitamine D [extrêmement bon marché] à des doses [2000 UI par jour] bien plus élevées que l'apport journalier dit "recommandé" [soit 200 à 400 UI par jour] permet de réduire le risque de certains cancers très courants [comme le cancer du sein et de la prostate] ... de 77% !).
En revanche, dans les magasins bio, les chances sont déjà plus élevées de trouver de bon complexes de vitamines.
Ceci étant, c'est très probablement sur des sites de vente en ligne que l'on trouvera les meilleurs produits au meilleur prix vu que les fabricants en ligne ont des coûts de fonctionnement bien moins élevés (pas de chaînes de distribution à créer, pas de commission à payer au magasin bio, etc...).
Mais bon, comment savoir si le site en question vend réellement de bon produits, de bonne qualité et se soucie réellement de la santé des consommateurs ?
Et bien, il y a un truc assez simple, certainement fiable dans plus de 90% des cas.
Examiner le catalogue des produits vendus sur le site ou par le fabricant, et examiner la forme de vitamine B12 qu'il vend, que ce soit seul ou dans un complexe de multivitamines (un bon complexe de vitamines doit nécessairement comprendre un spectre complet des vitamines B, dont la vitamine B12 [et bon nombre de séropositifs sont carencés en vitamines B12]).
Si vous lisez que la forme de vitamine B12 proposée (en priorité ou pire encore, uniquement) par le fabricant est la "cyanocobalamine", et bien, c'est bien simple, il est vivement conseillé de n'acheter aucun complément nutritionnel, aucun antioxydant ou que ce soit en général provenant de ce commerçant. Vous avez en effet la (quasi) assurance que ce fabricant se fout complètement de la santé du consommateur et que tout ce qui l'intéresse, c'est de se faire (beaucoup) de pognon sur le dos du consommateur. En effet, la "cyanocobalamine" est la forme de vitamine B12 extrêmement bon marché (mais quand même vendu chère), qui ressemble le moins à la forme de vitamine B12 que l'on retrouve naturellement dans l'organisme. Loin de procurer de l'énergie à vos cellules, la transformation vaille que vaille par l'organisme de cette forme de vitamine B12 pour la rendre biodisponible exigera au contraire que vous puisiez en vous de l'énergie ! Bref, tout le contraire du but recherché !
En revanche, si vous lisez que la forme de vitamine B12 utilisée en priorité sur le site est la "hydroxocobalamine" ou mieux encore la "méthylcobalamine", vous avez de très réelles raisons de penser que le fabricant en question est des plus sérieux et que les produits qu'il vend en général sont de bonne qualité (même s'ils peuvent être plus chers). En effet, ces deux autres formes de vitamine B12, et en particulier la deuxième (méthylcobalamine, qui est la forme coenzymée de la vitamine B12), sont quant à elles réellement biodisponibles, extrêmement semblables à la forme de vitamine B12 retrouvée naturellement dans l'organisme et immédiatement utilisables par l'organisme, qui en tire directement de l'énergie (au lieu de s'épuiser à tenter d'utiliser la mauvaise forme de vitamine B12). Si vous constatez que c'est l'une de ses deux formes qui est utilisée pour fabriquer la vitamine B12, il y a de très sérieuses raisons de penser que ce fabricant est réellemen sérieux et se soucie de la qualité de ses produits car ces deux formes de vitamine B12 sont bien plus chères que la forme bon marché "cyanocobalamine". Vous pouvez par conséquent raisonnablement penser que les autres produits vendus sont également de bonne qualité et à forte biodisponibilité.
L'air de rien, vous constaterez qu'en appliquant ce "truc", plus de 70 à 80% des fabricants de vitamines et autres nutriments sont de véritables escrocs qui ne cherchent qu'à s'enrichir sur le dos des consommateurs ... et qu'il échet donc de soigneusement éviter !
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EN PRATIQUE, QUE PEUT-ON CONSOMMER ET QUE NE DOIT-ON PAS CONSOMMER DANS LE CADRE DU REGIME PRECONISE DANS CE TOPIC ?
Je vais noter ci-dessous, sans véritable ordre, des éléments de réponse. Notez toutefois que je peux éventuellement me tromper (un peu) pour quelques rares aliments. Que l'on n'hésite pas à me corriger, le cas échéant, cela me sera utile également.
On ne parlera donc ici principalement que des acides gras ou lipides, et non du problème de la consommation des glucides (et en particulier du sucre), ce qui constitue un tout autre (ample) sujet.
Rappelons nous que ce l'on cherche en particulier par notre alimentation, c'est d'éviter le plus possible les acides gras polyinsaturés (qu'il s'agisse des oméga 6 ou oméga 3 d'ailleurs), et de consommer le plus possible d'acides gras saturés, de préférence non ou pas trop transformés.
Concernant les acides gras monosaturés (soit les oméga 9, comme ceux retrouvés en majorité dans l'huile d'olive), leur consommation est relativement neutre et ne pose pas trop de problème (et en tout cas, infiniment moins de problèmes pour la santé que les acides gras polyinsaturé). D'ailleurs, il est impossible d'éviter la consommation des acides gras monosaturés car les aliments riches (plus de 50%) en acides gras saturés comprennent également beaucoup d'acides gras monosaturés, tels que le beurre et le fromage. En outre, il n'est pas conseillé d'éviter les acides gras monosaturés puisque c'est à partir d'eux que l'organisme fabriquera le fameux "mead acid", c'est-à-dire un acide gras polyinsaturé produit par l'organisme lui-même lorsqu'il n'a presque plus d'oméga 6 et 3 (provenant forcément d'apports nutritionnels extérieurs) mais beaucoup plus stable sur le plan moléculaire que justement les oméga 6 et 3.
On rappellera qu'il ne s'agit pas d'éviter en toute circonstance la consommation des acides gras polyinsaturés oméga 6 et 3 (c'est strictement impossible, presque tous les aliments en comprennent, à consommer par l'huile de noix de coco lui-même qui comprend 1% d'acides gras polyinsaturés oméga 6) mais bien de consommer les aliments qui n'en contiennent qu'une quantité marginale ou très marginale (2, 3, 4 ou 5% maximum du total des acides gras, dans la mesure du possible).
Notons qu'il existe encore un quatrième type d'acides gras, à savoir les acides gras transaturés et qui doivent bien entendu être complètement évités; tous les nutritionnistes sont au mieux d'accord sur ce point là, et nous n'en parlerons plus.
Avant d'aborder le sujet de plein pied, j'invite le lecteur à s'aider de ce site-ci. Ce site reprend les principaux aliments existants et donnent justement et entre autres la composition en acides gras saturés, monosaturés et polyinsaturés de ceux-ci. Je puis confirmer que les compositions données sont presque toujours fiables. Pour les puristes et scientifiques, il y a également ce site anglais, bien plus complet et précis.
On rappellera également que la consommation d'acides gras saturés implique le plus souvent la consommation de fortes quantités de cholestérol (à moins de n'avoir pour seule source d'acides gras saturés que l'huile de noix de coco, ce que je ne conseille pas). Mais comme on le sait déjà, loin d'être un problème, le cholestérol est au contraire la solution à bien des maux (rappelons encore qu'environ 75% du cholestérol ne provient pas d'apport extérieur mais est produit par son propre foie). Le seul cholestérol dangereux pour la santé est le cholestérol oxydé, et ce risque est nettement plus élevé dès lors que la consommation de produits riches en cholestérol se réalise concomitamment avec des acides gras polyinsaturés, ceux-ci favorisant de façon exponentielle le phénomène d'oxydation (et donc le risque de consommation de cholestérol oxydé). Le problème est donc le cholestérol oxydé et non le "mauvais" (LDL) ou le "bon" cholestérol (HDL). D'ailleurs plusieurs études ont confirmé de façon concordante que les personnes ayant peu de "mauvais" cholestérol ont bien plus de risque de souffrir plus tard de la maladie de Parkinson.
* Les seules huiles végétales admissibles sont par ordre décroissant de préférence : l'huile de noix de coco, l'huile d'olive et l'huile de palme. Elles doivent bien sûr être toutes (extra) vierges. La vraie huile vierge de noix de coco sent la noix de coco. Si ce n'est pas le cas, ce n'est en aucun doute de l'huile vierge de noix de coco.
Comme déjà expliqué, la consommation d'huile de noix de coco, même en dehors de tout repas, est fortement conseillée. En matière de sida, les séropositifs qui se portaient mieux en consommaient au moins 4 cuillères à soupe par jour. Personnellement, j'en consomme maintenant 9 à 10 cuillères par jour mais cela est dû au fait que j'ai réduit très fortement ma consommation en glucides de tout genre (ce qui constitue encore un tout autre débat).
Je le répète encore, toutes les autres huiles végétales sans exception (huile de tournesol, de lin, de noix, etc...., toutes les autres sans la moindre exception aucune !) doivent être proscrites. Même si elles sont vierges, elles restent toutefois aussi délétères pour l'organisme, car vierges ou non, elles comportent beaucoup trop d'acides gras polyinsaturés (en tout cas, cela n'a plus rien à voir avec une quantité marginale).
* Ceci implique que si vous achetez des aliments préparés, il faut examiner leurs ingrédients. Si vous lisez que ceux-ci comprennent de l'huile végétale sans autre précision, ne les consommer surtout pas : il n'y a quasiment aucune chance qu'il s'agisse de l'huile de noix de coco ou à la rigueur de l'huile de palme. En revanche, s'il est précisé que l'huile en question est de l'huile de noix de coco (ce qui est tout à fait exceptionnel; on en trouve toutefois assez souvent dans la composition de certaines crèmes glacées), alors vous ne devez pas nécessairement éviter cet aliment préparé.
Prenez par exemple le chocolat à tartiner ou les "corn flakes". Et bien, lorsque vous examinerez les ingrédients, vous constaterez qu'ils comprennent presque tous de l'huile végétale, fût-elle à titre marginal. Et bien, il faut simplement tous les éviter. De même, concernant le pain, c'est bien simple, je n'en pas trouvé un seul qui ne comportait pas pour ingrédient de l'huile végétale. Ce que je faisais alors à l'époque, c'était de consommer celui qui comportait manifestement une quantité marginale d'huile végétale, comme le pain de seigle. Ceci étant, ce problème ne se pose plus vu que je ne consomme maintenant plus de pain du tout car j'évite le plus possible les glucides (et ne parlons même pas des corn flakes !). Au surplus, je doute de plus en plus que les céréales et les fibres en général (à l'exception toutefois des fibres que l'on trouve dans les fruits) soient réellement bons pour la santé. Au contraire, de plus en plus études scientifiques (prudemment tues par les nutritionnistes orthodoxes) tendent à démontrer que les céréales (maïs compris) et fibres favorisent l'apparition du cancer, entre autres le cancer du colon. Lisez par exemple ce petit résumé ou encore celui-ci.
* Ceci implique également que lorsqu'on consomme des salades, comme assaisonnement seuls l'huile d'olive et le vinaigre (et éventuellement le sel [quoique ... vu que l'on trouve déjà à profusion du sel ajouté dans bon nombre d'aliments], les épices et aromates, etc...) sont autorisés et même recommandés. Il faut en revanche bannir toutes les vinaigrettes et autres sauces salade vu leur richesse en huiles végétales et autres acides gras polyinsaturés.
* De même, presque toutes les sauces destinés pour les frites (mayonnaise, andalouse, tartare, etc...) sont à bannir vu également leur richesse en huiles végétales et autres acides gras polyinsaturés. A cet égard, les seules sauces qui à ce jour ont pu encore trouver grâce à mes yeux sont les sauces "Belgian pickles" (qui ne comportent qu'une quantité tout à fait marginale d'acides gras polyinsaturés et pas d'huile végétale) ... et le ketch up, que j'évite toutefois car trop riche en glucides. On l'aura compris, quand je mange (rarement) des frites, c'est forcément avec de la sauce pickles.
Au sujet des frites justement, n'allez jamais les consommer dans les fast food ou même ailleurs car elles sont (presque) toujours cuites dans des huiles végétales traditionnelles ! L'idéal serait de les consommer frites dans de l'huile de noix de coco ou bien meilleures encore, du moins pour le goût, cuites dans la graisse de boeuf (mais n'en abusez certainement pas vu que cette cuisson dans la graisse de boeuf va provoquer l'apparition de beaucoup de cholestérol oxydé !).
* Il va bien entendu de soi qu'il faut éviter comme la peste les margarines et autres minarines, extrêmement riches en huiles végétales et acides gras polyinsaturés (et autres produits chimiques et cancérigènes), et qui constituent rien de moins que de véritables bombes atomiques oxydatives ! Lisez par exemple cet article, où vous trouverez la composition des margarines (et comparez la avec celle du beurre, mille fois plus naturelle et d'une richesse incroyable en matière de vitamines et autres nutriments). Il faut vraiment être complètement dérangé de l'esprit pour oser en consommer !
* En application de ce qui précède, à peu près tous les produits boulangers et pâtissiers doivent être évités car ils comprennent généralement comme ingrédients des huiles végétales, sans compter sur le fait qu'une grande majorités de ces produits comprennent de bonnes doses d'acides gras transaturés.
* De même, il faut éviter n'importe quel lait végétal, qui comporte toujours assez bien d'acides gras polyinsaturés.
* Il n'y a bien sûr pas que le problème des huiles végétales (mais il s'agit certainement d'un problème fondamental : presque tous les aliments transformés [en ce compris les produits "bio"] ont de l'huile végétale comme ingrédient; ce seul fait suffit déjà pour bannir la consommation d'aliments transformés [mais il existe également de nombreux autres arguments qui justifient la proscription de tels aliments]; presonnellement, j'essaie toujours de ne consommer que des aliments les moins transformés possible) . Il faut également éviter les aliments riches en acides gras polyinsaturés.
A cet égard, le boeuf, le mouton, l'agneau comportant une majorité d'acides gras saturés et une quantité marginale d'acides gras polyinsaturés peuvent certainement être consommés. Il en va de même du blanc de poulet et du filet de dinde. En revanche, la consommation de la viande de porc, et par conséquent de l'essentiel de la charcuterie, doit absolument être proscrite. Il faut en effet signaler que si au début du siècle dernier, la viande de porc ne comportait qu'au maximum 8% en moyenne d'acides gras polyinsaturés (ce qui en soit était déjà énorme, en sorte qu'il ne valait déjà mieux ne pas en consommer), elle en comporte actuellement plus de 30% ! Ce qui me fait dire qu'il s'agit de la plus mauvaise viande à consommer (outre le fait que le porc est sans très certainement l'animal qui subit le plus de vaccinations, à qui on fait consommer le plus d'antibiotiques et autres aliments chimiques ... qui finiront par se retrouver chez le consommateur !) et qui fait pourtant dire à la plupart des nombreux nutritionnistes orthodoxes qu'il s'agirait au contraire de l'une des viandes la plus saine à consommer car entre autres riche en acides gras polyinsaturés (sous prétexte que ceux-ci font baisse le cholestérol). Il convient en effet de signaler qu'il y a quelques décennies, les fermiers donnaient de l'huile de noix de coco aux porcs dans l'espoir de les faire grossir. Ce fut exactement le contraire qui se produisit : les porcs maigrissaient ! Ensuite et jusqu'à nos jours, les fermiers leur ont fait consommer (entre autres) les huiles végétales "traditionnelles" et ont pu constater avec satisfaction qu'ils grossissaient (de plus en plus d'études démontrent que les acides gras polyinsaturés font grossir; on comprendra dès lors que les consommateurs de "Mac Donald" et autres "Quick" par exemple ont tendance à grossir et à devenir obèses vu que les produits offerts par ces enseignes sont riches, non pas d'acides gras saturés comme il est affirmé, mais bien d'acides gras polyinsaturés, sans compter évidemment les glucides et produits sucrés qu'on y trouve). Ce faisant, les porcs consommant de plus en plus d'acides gras polyinsaturés, leur viande est également devenue de plus en plus polyinsaturée.
A ce sujet, j'ai pu constater une évolution en ce qui me concerne. Avant de suivre ce régime, je consommais volontiers beaucoup de charcuterie. J'ai évidemment arrêté depuis lors. Il y a quelques semaines toutefois, invité chez des amis, il m'a entre autres été proposé de consommer une tranche de jambon de la marque qui était alors ma favorite et dont je raffolais littéralement. Pour ne pas vexer mes hôtes, j'ai commencé à manger deux bouts ... et j'ai dû arrêter. Pourquoi ? Parce qu'elle ne me goûtait absolument pas. Non pas que la charcuterie n'était pas fraîche mais bien parce que mon organisme est visiblement maintenant devenu (encore mieux) capable de sentir et de repérer les aliments riches en acides gras polyinsaturés !
Attention à la cuisson de la viande : il y a en effet là un risque élevé de forte oxydation du cholestérol contenu dans la viande. Par conséquent, pour réduire ce risque à un minimum acceptable, il est conseillé de cuire à feu doux (ne grillez surtout pas la viande ---> il vaut mieux éviter les barbecues, aussi bons soient-ils) et bien sûr avec de l'huile de noix de coco (et éventuellement avec ajout d'huile d'olive extra vierge), et non avec d'autres huiles végétales vu que celles-ci, riches en acides gras polyinsaturés, font augmenter de façon réellement exponentielle le phénomène d'oxydation du cholestérol contenu dans la viande. Par ailleurs, la consommation concomitante d'aliments riches en antioxydants, tels que les fruits et les légumes, permettra de se protéger contre le cholestérol oxydé produit par la cuisson, dès lors que l'oxydation n'a pu atteindre un niveau élevé en raison d'une cuisson à feu doux et avec de l'huile de noix de coco.
* Il faut bien sûr éviter les poissons gras, car riches en acides gras polyinsaturés oméga 3, tels que le saumon et les sardines. D'ailleurs, depuis mon enfance, je n'ai tout simplement (presque) jamais consommé de poissons gras, je n'ai jamais aimé cela et ils ne m'ont toujours inspiré que dégoût. Il faut croire que dès mon enfance, mon corps sentait instinctivement (du moins, dans une certaine mesure puisqu'auparavant, je consommais quand même assez bien de porc) qu'il n'avait absolument pas besoin de consommer des oméga 3 de ces poissons.
On peut donc certainement consommer des poissons non gras, et personnellement, je mange assez bien de truites et de cabillaud. Quant au thon, j'en raffole beaucoup mais forcément, je ne consomme que le thon au naturel (surtout pas le thon rouge extrêment riche en acides gras oméga 3 !), conservé dans de l'eau (surtout pas dans l'huile d'olive car il ne faut pas rêver, les fabricants n'utilisent certainement pas de l'huile d'olive extra vierge !).Au surplus, plusieurs études scientifiques ont montré de manière concordante que c'est uniquement dans le thon au naturel que la quantité de mercure est insignifiante. En revanche, cette quantité de mercure est autrement plus élevée dans les autres variétés de thon, comme le thon rouge.
* La consommation d'oeufs (bien sûr non enrichis d'oméga 3) est tout à fait conseillée. Ceci étant, en raison du problèm du cholestérol oxydé, je ne consomme que rarement des oeufs à la coque ou sur le plat mais plutôt des oeufs durs. En effet, le phénomène d'oxydation exige de l'oxygène. Or en faisant bouillir les oeufs dans de l'eau, les oeufs sont protégés de l'oxygène ambiant (affirmation à faire vérifier toutefois par un spécialiste car je n'en suis pas tout à fait sûr). Mais peu importe, la consommation d'oeufs doit certainement être encouragée vu leur richesse exceptionnelles en nutriments en toute sorte (d'ailleurs, le régime végétarien est considéré comme pas (trop) dangereux que pour autant que les végétariens consomment régulièrement des oeufs).
* Sauf erreur de ma part, les légumes ne posent pas le moindre problème au niveau de la problématique des acides gras polyinsaturés et peuvent être consommés à volonté ... à l'exception notable du soja et de tous ses dérivés, dont la consommation est extrêmement dangereuse pour la santé (lisez par exemple ceci ou encore ceci).
* De même, tous les fruits sans exception peuvent être consommés sans modération. Ceci étant, je n'abuserai certainement pas des noix, noisettes, cacahuètes, etc... fort riches en oméga 3 (certains diront que les noix et noisettes sont riches en vitamines et antioxydants [tout comme d'ailleurs les huiles végétales] mais personnellement, j'estime nettement préférable de trouver ces vitamines et antioxydants dans des aliments qui ne comprennent qu'une quantité marginale d'acides gras polyinsaturés]). Là aussi, je dois constater quelque chose de bien remarquable : j'ai toujours adoré manger à profusion toutes sortes de fruits ... à l'exception justement de ces noix, noisettes, cacahuètes, ... que je n'ai jamais aimé consommer. Sans doute que là aussi, mon corps ressentait la présence d'une trop forte présence d'acides gras polyinsaturés oméga 3 dans ces fruits là.
* La consommation d'acides gras saturés est donc fortement encouragée, en particulier ceux à chaînes courtes et moyennes. Pourquoi ? Parce que ces acides gras saturés-là sont directement utilisés par l'organisme et immédiatement convertis en énergie (ce qui n'est pas toujours le cas des acides gras saturés à chaînes longues que l'on trouve dans la viande; ce qui ne constitue toutefois pas une bonne excuse pour refuser de consommer la viande [à moins que ce soit pour des raisons philosphiques, ce que je respecte bien sûr] : j'ai assez lu d'articles scientifiques pour maintenant comprendre que ce qui cause l'obésité et le surpoids en général, ce n'est pas la consommation d'acides gras saturés, même à chaînes longues, mais bien la consommation conjointe d'acides gras polyinsaturés et des glucides en général et du sucre en particulier, un mélange détonant que l'on trouve tout particulièrement dans les fast food !).
On trouve surtout les acides gras saturés à chaînes courtes et moyennes dans les aliments suivants, et leur consommation est donc extrêmement encouragée :
- L'huile de noix de coco (extra) vierge.
- Le beurre (bien sûr, sans oméga 3 ajouté !): à cet égard, quoiqu'il soit en moyenne trois fois plus cher, je conseille vivement de ne consommer que du lait cru vu les dangers pour la santé du lait pasteurisé et des produits qui en sont tirés; on n'en trouve que dans les bons magasins bio. Personnellement, je consomme environ 5O grammes de beurre au lait cru par jour.
- Le fromage : de même, consommez en priorité du fromage au lait cru (et là, le lecteur n'aura aucune excuse vu qu'on en trouve sans trop de problème dans certaines grandes surfaces). Personnellement, j'en consomme entre 200 et 300 grammes par jour.
Bien sûr, il ne faut pas chauffer/cuire le beurre et le fromage pour cause du problème de cholestérol oxydé (mais bon, de temps en temps, je me prépare une omelette au fromage malgré tout !). En revanche, laisser fondre du beurre et/ou du fromage râpé sur des pâtes bien chaudes ne devrait guère poser de problème au niveau du cholestéol oxydé.
Voilà. Je crois qu'on a fait là un rapide tour de la question. Mais n'hésitez pas à apporter des éléments d'information complémentaire sur la composition en acides gras des aliments.
L' attention du lecteur est attirée sur la circonstance que s'il commence à adopter ce genre d'alimentation, très riche en calorie, il devra malgré tout diminuer la consommation des aliments neutres sur le plan des acides gras mais riche en glucides sous peine de courir le risque de grossir. Ce risque est toutefois à relativiser. Premièrement et par exemple, l'huile de noix de coco est connue pour accroître le métabolisme de son consommateur et donc pour sa propension à le faire maigrir. Deuxièmement, le critère "calorie" n'est guère pertinent quant au risque de grossir.
Examinez par exemple cette étude.
En l'occurrence, trois groupes de personnes ont suivi trois régimes différents : un régime avec peu de lipides (+/-2.000 calories par jour), le régime méditerranéen (+/-2.000 calories par jour) et le régime riche en lipides et pauvre en glucides (+/-2.850 calories par jour !). Et devinez quoi : quel groupe a perdu le plus de poids, et en outre de façon plus durable ? Et bien, le groupe qui consommait en moyenne 2.850 calories par jour, soit le groupe qui consommait à profusion des lipides et peu de glucides ! Cela s'explique aisément. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, les graisses consommées sont rapidement utilisées par l'organisme (d'autant plus qu'avec un apport faible de glucides, l'organisme n'a pas d'autre choix que de consommer la graisse stockée dans l'organisme pour produire de l'énergie) alors que l'organisme humain stocke et transforme quasi immédiatement en graisse les glucides, dès lors que l'apport de ceux-ci est un peu trop élevé (ce qui est presque toujours le cas dès lors que les nutritionnistes recommandent de trouver ses calories dans 50-60% de glucides [chez moi, c'est maximum 10-15%]).
Quoiqu'il s'agisse d'un tout autre sujet, j'ai affiné le régime que je préconise dans ce topic en consommant le moins possible de glucides et en remplaçant donc cette diminution par une consommation encore plus élevée d'acides gras saturés (soit la consommation que l'on trouve dans la plupart des peuplades traditionnelles à l'écart de la "civilisation" et qui souffrent quasiment jamais des maux occidentaux : problèmes cardiovasculaires, cancers, maladies chroniques et/ou dégénératives, etc..). Ceci implique donc que je ne consomme plus de pain (mais bon, vu les dangers pour la santé des céréales, ce n'est vraiment pas une grande perte), mais également plus de pommes de terre (quoique de temps en temps, je me permets de consommer un petit cornet de frites sauce pickles. Et j'ai fortement diminué la consommation de pâtes et autre spaghetti. Quant au riz, comme j'aime malgré tout cela, j'en consomme toutefois régulièrement, quoique moins qu'auparavant. Evidemment, j'ai banni la farine et tout produit comportant cet ingrédient.
Il y a a maintenant assez d'études scientifiques qui montrent le danger pour l'organisme d'une consommation un peu trop élevée de non seulement les sucres (en particulier) mais également des glucides en général, et qui tout comme les acides gras polyinsaturés (et l'acide arachidonique en particulier) provoquent de nombreux et dangereux phénomènes inflammatoires (pour être honnête, il faut toutefois signaler que toutes ces études scientifiques pèchent par un défaut majeur : le danger de la consommation de sucre et de la consommation excessive de glucides a forcément et par définition toujours été constaté sur des personnes consommant les fameux acides gras polyinsaturés oméga 6 et 3 puisque presque tout le monde dans le monde occidental en consomme ! Or, bon nombre des réactions biochimiques causées par la consommation de sucres et de glucides ne deviennent réellement délétères qu'en raison de leur conjonction ... avec la consommation des acides gras polyinsaturés (comme par exemple le phénomène de glycation que l'on retrouve dans le diabète) ! Par conséquent, on peut raisonnablement penser que les dangers de la consommation de sucre et d'une consommation excessive de glucides seront bien moins prononcés si la personne qui en consomme a adopté un régime pauvre en acides gras polyinsaturés ! Ceci étant, vu les bienfaits supplémentaires que je constate sur moi-même suite à ma [forte] diminution de consommation de glucides, je persévère malgré tout dans cette voie, d'autant plus que ce régime est suivi sans effort particulier : les calories "perdues" en raison d'une diminution de la consommation de glucides est remplacée par une consommation accrue d'acides gras saturés (lesquels ne sont pas stockés dans l'organisme mais au contraire rapidement utilisés). Or les acides gras saturés sont connus pour procurer rapidement une sensation de satiété et l'on n'éprouve plus la sensation ou le besoin de manger avant plusieurs heures ou moins (en revanche, manger des pâtes et deux heures plus tard, vous avez de nouveau envie de manger !).
Lisez par exemple les sites suivants :
http://www.second-opinions.co.uk/low-carb_index.html
http://www.low-carb.org.uk/main.htm
http://articles.mercola.com/sites/articles....aspx?source=nl
Il est vrai que le régime fondé sur un maximum de lipides et un minimum de glucides (régime dans le cadre duquel on n'a jamais faim en principe, contrairement aux régimes fondés sur la proscription des lipides) a été et continue toujours à être critiqué par les nutritionnistes orthodoxes. Pourtant, l'essentiel si pas la totalité de ces critiques a été de nombreuses fois réfutée (lisez par exemple cette réfutation rédigée en termes relativement simples).
Ceci étant, on constate de temps en temps que des personnes suivant un régime pauvre en glucides et riche en lipides tombent parfois gravement malades, ce qui permet de justifier a posteriori certaines des critiques émises à l'encontre de ce régime. Mais il y a une raison très simple à ces "ratés" : il remplace la consommation des glucides par davantage de lipides certes, mais donc également et assez souvent par ... davantage d'acides gras polyinsaturés (ce qu'on essaie justement d'éviter dans le cadre de ce topic) ! Alors qu'il faudrait en fait la compenser par davantage d'acides gras saturés (et monosaturés).
En définitive, je pense que le meilleur régime nutritionnel (et cela est valable non seulement en matière de sida mais également dans le cadre de la prévention de presque toutes les maladies au monde) consiste à adopter bien sûr une alimentation riche en acides gras saturés (et monosaturés) et pauvre bien sûr en acides gras polyinsaturés mais également pauvre en glucides en général (le sucre devant tout simplement être définitivement banni, sauf cas tout à fait exceptionnel), étant entendu que la baisse de la consommation de glucides doit être compensée, non bien sûr par une consommation accrue d'acides gras polyinsaturés (comme le font certains adeptes du régime pauvre en glucides), mais bien naturellement par une consommation plus élevée d'acides gras saturés (et monosaturés).
Ceci ne signifie pas, je crois, qu'il faille absolument renoncer pour toujours à la consommation d'aliments riches en glucides. Comme je l'ai précisé, il m'arrive de temps en temps (un jour sur deux ou trois) de consommer par exemple des pâtes ou du riz (mais toujours dans une moindre proportion qu'auparavant). Mais pour éviter que mon organisme s'habitue à nouveau à fonctionner sous le régime "glucides", je fais en sorte ed consommer ces formes de glucides qu'au cours de l'un des trois repas de la journée (pour moi, c'est toujours le soir) et pendant une durée maximale de 45 minutes, étant précisé que cette consommation de glucides reste moins importante qu'auparavant et est noyée avec la consommation concomitante d'acides gras saturés et de protéines (je mange également les fruits à ce moment-là), et ce de façon à éviter que le taux de mon insuline (servant justement à transformer les glucides dans mon organisme, entre autres en graisse) n'augmente pas beaucoup et reste malgré tout relativement stable (ce qui implique entre autres que lorsque par exemple on m'offre des pralines [du moins, après m'être assuré qu'elles ne comportent pas des huiles végétales ou des acides gras polyinsaturés comme ingrédients], je me garde d'en manger mais comme j'adore cela, j'en conserve quelques-uns mais ne les mange qu'au cours de ces fameuses 45 minutes, et certainement pas en cours de la journée !). Et le moins qu'on puisse dire, c'est que cela marche puisque je continue à perdre régulièrement de la graisse (et peu de muscles puisque je continue toujours à pouvoir soulever les mêmes poids, et même parfois plus, dans ma salle de fitness !), en particulier la graisse que j'ai toujours eu un peu en trop au niveau de l'abdomen (et comme commence à l'attraper la plupart des hommes après 30 et surtout 40 ans : forcément, après 40 ans de consommation de glucides, cela n'a rien d'étonnant).
Si toutefois vous craquez (ce qui m'arrive de temps en temps quand je suis en "mauvaise" compagnie : invité chez des amis par exemple), il est cependant clair qu'il vaut mieux craquer pour une crème glacée, riche en glucides, que pour une sauce mayonnaise, forcément riche en acides gras polyinsaturés. Comme on l'aura compris, le mal absolu, ce ne sont pas les glucides mais bien les acides gras polyinsaturés !
Illustration
Ainsi, mon petit déjeuner et parfois le déjeuner devient par exemple le suivant : cinq à dix centilitres maximum d'un jus de fruit assez pauvre en glucides (4 grammes de glucides pour 100 grammes de jus de fruit) dilués dans beaucoup d'eau, plusieurs cuillères à soupe d'huile de noix de coco et de beurre au lait cru, avec beaucoup de fromage au lait cru et une assez bonne quantité de filet de poulet (toutefois pauvre en lipides car il peut quand même y avoir pas mal d'acides gras polyinsaturés dans le poulet en général [mais il y en a peu dans le filet de poulet ou de dinde] et/viande de boeuf, et aussi des oeufs durs (parfois sur le plat ou omelettes). Et je me permets même une petite "folie" : une demi-cuillère à café (ou même parfois, folie suprême : une entière cuillère à café) de miel non chauffé (mais pas plus, car le miel est extrêmement riche en glucides; si jamais j'en veux plus, et bien j'en consommerai lors de ces fameuses "45 minutes"). Et croyez moi, après des déjeuners de ce genre, on n'a plus faim des heures durant ... et on perd du poids (sous forme de graisse principalement !). Et bien sûr, le soir je me permets beaucoup plus de glucides (quoique bien moins qu'auparavant) : surtout sous la forme de légumes (pas trop riche en glucides) et de fruits, mais parfois aussi sous forme de pâtes et de riz (voir même rarement des frites). Et tout cela, sans le moindre effort et souvent même avec grand plaisir !
Mais bon, personne ne doit être aussi spartiate que moi (quoique je suive ce régime sans réel effort ou contrainte; au bout de quelques jours, on a vite l'impression que ce "régime" est le plus naturel qu'il soit, d'autant plus que sur le plan scientifique, c'est - semble-t-il - le régime le plus sain et "scientifique" qu'il soit pour prévenir justement le sida et les maladies en général, comme précisé dans le titre de ce topic !) . Comme on le sait déjà, le plus important, c'est d'éviter le plus possible (et quasiment comme la peste) les acides gras polyinsaturés et de privilégier les acides gras saturés (et monosaturés oméga 9) En tout cas, ce point-là ne fait certainement plus l'ombre d'un doute pour ce qui me concerne !
PS : Ce sera sans doute mon dernier message avant quelque temps puisque je pars sous peu en vacances et que je n'ai pas l'intention de me rendre bien souvent dans quelque cybercafé que ce soit !
PS : Je pense encore à une chose. Certains lecteurs se demanderont sans doute comment il se fait que je ne sois pas effrayé à l'idée de consommer de la viande rouge (quoique je n'en mange pas tous les jours, mais tout de même un jour sur deux en moyenne) telle que la viande de boeuf alors que quelques études scientifiques auraient démontré que la consommation de viande rouge augmenterait le risque de cancer, tel que le cancer de colon, et que par conséquent il faudrait en consommer au maximum une fois par semaine maximum (étant entendu que les six autres jours de la semaine, il faudrait consommer de la volaille et du poisson [de préférence bien gras ! LOL]), comme le prétend l'écrasante majorité des nutritionnistes.
Il y a une raison extrêmement simple à cela : cela n'a jamais été prouvé ! On a déjà évoqué cette problématique dans des posts antérieurs, et ci-dessous quelques éléments rappelés d'explications (parmi bien d'autres).
a) Premièrement, la prétendue science de la nutrition actuelle est fondée entre autres sur un dogme fondamental (qui n'a pourtant jamais été prouvé) : les acides gras saturés sont mauvais pour la santé et causent les maladies cardiovasculaires et le cancer (et on fait mine d'oublier les millénaires de l'histoire humaine qui nous précèdent et au cours de laquelle l'homme a toujours mangé régulièrement mangé de la viande rouge sans pour autant connaître l'explosion actuelle des maladies cardiovasculaires et des cancers). En d'autres termes, les nutritionnistes tenteront coûte que coûte et pour cause de dogme à respecter à interpréter les études scientifiques (qui sont d'ailleurs presque toujours des études épidémiologiques, soit des études où par excellence on peut parfaitement tout dire et son contraire à ce genre d'étude) de façon à respecter ce dogme.
b) Deuxièmement, toutes les études sur ce sujet ne sont nullement arrivés à la même conclusion, et démontrent parfaitement le contraire. Lisez par exemple cet article, qui cite par exemple une étude qui arrive à la conclusion que la consommation de viande réduit par exemple le risque de cancer de pancréas (l'un des plus mortels au surplus). En réalité, les quelques études qui auraient démontré un lien entre la consommation de viande rouge et l'apparition du cancer sont le plus souvent celles qui portaient sur la consommation de viande rouge ... dont on avait préalablement retiré le plus possible ... de graisses !
c) Troisièmement, comme par exemple brillamment démontré dans ce petit résumé qui décortique l'une des études type de ce genre, il y a tellement de variables à prendre en considération qu'il est tout simplement impossible d'affirmer que la consommation de viande rouge provoque le cancer, en particulier celui du colon. Au surplus, quand on décortique ce genre d'étude, on constate que la consommation de viande rouge a tendance ... à prévenir le cancer du colon dans certains pays ou dans certains groupes de personnes !
d) Quatrièmement, outre les variables cités dans l'article mentionné ci-dessus sub c), il existe d'autres variables qui ne sont pas prises en considération dans ce genre d'études (qui, je le rappelle, ne prouvent de toute façon pas que la consommation de viande rouge provoque le cancer, en particulier le cancer du colon; c'est d'autant plus logique que c'est surtout dans la viande rouge que l'on trouve par exemple l'acide linoléique conjugué (CLA), bien connu du monde scientifique pour prévenir le cancer !). Ainsi, la viande est-elle cuite à feux doux ou non ? Est-elle fumée ? Quelle huile végétale est utilisée (déjà la circonstance que la viande est presque toujours cuite avec de la margarine et/ou des huiles végétales "tradionnelles" suffit à invalider n'importe quelle étude consacrée à la supposée relation entre la consommation de viande rouge et l'apparition du cancer) ? Les personnes consommant de la viande rouge ont-elles ou non également une alimentation riche en antioxydants ? Etc... Etc...
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Le glutathion
dans Sujets clés
Un renvoi vers cet article qui a déjà été évoqué dans ce post et qui montre le lien de causalité spécifique qui existe entre une déficience en glutathion intracellulaire (ce qui est justement le cas chez les séropositifs et encore plus chez les sidéens) et l'apoptose (mort programmée) des cellules concernées (comme c'est justement le cas également chez les séropositifs et encore plus chez les sidéens).
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Un petit article intéressant mais en anglais datant du 3 septembre dernier : Oxidative Stress: Mechanism Of Cell Death Clarified
Entre autres le passage suivant :
Pharmacological and reverse genetic analyses showed that lipid peroxides in GPx4-depleted cells do not appear by coincidence, but accumulate due to increased activity of a specific enzyme of the arachidonic acid metabolism, the 12/15-lipoxygenase.Ces mêmes scientifiques ont en effet découvert que ce phénomène de stress oxydatif ne se produit pas par hasard ... mais bien en raison de l'augmentation de l'activité d'une enzyme liée au métabolisme de .... de ..... devinez ..... de ..... l'acide arachidonique !
Ceci constitue donc une nouvelle confirmation de ce que pour prévenir le sida (et d'ailleurs également l'écrasante majorité des maladies actuelles), il vaut mieux avoir le moins possible d'acide arachidonique dans son organisme. En d'autres termes, à cet effet, il convient donc d'avoir une alimentation la plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés et la plus riche possible en acides gras saturés. Et voilà, la boucle est bouclée. CQFD !
On constatera que l'apparition du sida à la fin des années 70 coïncide justement avec l'émergence de la première génération complète de jeunes gens (les sidéens de l'époque avaient surtout entre 25 et 35 ans) ayant depuis leur naissance une alimentation riche en acides gras polyinsaturés, la consommation de ceux-ci ayant commencé à augmenter de façon exponentielle à partir des années 50, sous prétexte que ceux-ci font baisser le cholestérol. Il n'est dès lors pas étonnant que le sida était inexistant avant la fin des années 70 (cela n'a évidemment strictement rien à voir avec l'apparition d'un hypothétique rétrovirus "VIH" ou soi-disant apparenté provenant de je ne sais quel singe du fin fond de la brousse africaine qui aurait mordu à la fin des années 70 un touriste gay, qui aurait ensuite prétendument contaminé les gay des grandes métropoles états-uniennes [présenté ainsi, c'est quand même ridicule et complètement risible comme explication, non ?]), étant entendu que d'autres facteurs, bien connus des dissidents du sida, sont également apparus à partir de la fin des années 70 et ont conjointement (avec donc une alimentation de plus en plus riche en acides gras polyinsaturés) contribué à l'émergence de sida : poppers, drogues, utilisation abusive de "médicaments" (justement fort utilisés par les groupes à risque de sida) à base d'oxydants azotés, etc...
PS : Suite à quelques messages personnels reçus, j'essaierai dans les prochaines semaines, non pas de donner des recettes de cuisine respectant le régime préconisé dans ce topic (je suis un bien piètre cuisinier et chacun cuisinera en fonction de ses talents et envies), mais bien de résumer la liste des aliments qui ne doivent en tout état de cause pas être consommés et de ceux qu'il faudrait consommer en priorité en vue de suivre le régime préconisé dans ce topic. Mais l'air de rien, tout cela a déjà été précisé au travers de divers posts de ce topic-ci, à tout le moins en filigrane.
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Que pensez-vous de cette nouvelle largement diffusée sur internet, notamment ?
Absolument rien.
Après tout, ce n'est que l'énième découverte "fondamentale" et "décisive" faite par l'establishment du sida en 25 ans de sida et devant aboutir à une avancée soi-disant "décisive". Et on sait qu'en plus de 25 ans de sida et après plusieurs dizaines (et je n'exagère pas) de découvertes "fondamentales" et "décisives" en matière de sida, l'hypothèse rétrovirale du sida a guéri à ce jour ...0,000000000 séropositif !
Pas étonnant dès lors qu'ils travaillent sur un rétrovirus prétendument appelé "VIH" mais dont il n'a jamais été prouvé qu'il s'agissait bien du "VIH" !
Ils feraient bien mieux de travailler sur base d'une autre théorie que celle basée sur le chimérique "VIH" s'ils veulent vraiment aider les séropositifs. Cela fait plus de 25 ans qu'ils tournent en rond !
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(Nico111 @ Mardi 26 Août 2008 15h13)
(d'ailleurs pourquoi personne pas même le groupe Perth ne démontre pas cela, il serait simple d'essayer et de le publier sur leur site, pourquoi n'y a t'il aucune expérience rien de concret, ils critiquent et c'est un premier pas mais pourquoi aucune démonstration alors qu'il suffit de manips n'ayant rien de spécial, ça me démangerait de les faire si je pouvais).
Cette critique a effectivement parfois été faite antérieurement à l'encontre du Perth Group. Ceux-ci s'en sont déjà expliqué, par exemple dans cet article-ci, l'une des raisons principales étant la circonstance que le Perth Group ne dispose pas de la moindre source de financement (contrairement à l'orthodoxie du sida qui dispose de centaines de millions de dollars et qui "pourtant" ne fait ce genre d'expérience, ou plutôt n'ose pas faire ce genre d'expérience). Ce ne sont que des particuliers comme tout un chacun, et personnellement, j'estime que leur travail gigantesque en la matière relève non seulement du bénévolat et même plus : de l'apostolat ! LOL:
9. You said: "But the denialists don't publish any of their own work. They simply criticize, ignorantly, the work of scientists who do."Our publications contain a lot of original ideas and work. Although it is not necessary for us to perform experiments based on our ideas, we would have preferred to do them. However, due to lack of funds we have been unable to perform our original experiments. Science has progressed on the basis of new ideas and theories being presented many times by either one person or a group of people and then experiments being carried out by either another person or group of people. In fact, some of the most important progressions in science were based on ideas of people who never performed the experiments themselves.
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Pour autant que cette huile de noix de coco soit vierge (peu importe qu’elle soit vierge ou extra vierge [en Belgique, on l’appelle « extra » vierge]), bio et surtout qu’elle sente réellement la noix de coco (si elle ne sent pas la noix de coco, ne la consommez surtout pas), elle peut parfaitement être consommée sans problème et devrait constituer l’idéal des huiles de noix de coco. L’odeur est réellement l’un des critères les plus importants pour discerner les bonnes des mauvaises huiles de noix de coco.
Attention : personnellement, ce n’est pas toujours facile d’en consommer à la « petite cuillère », son goût étant assez « particulier ». En tout cas, je suis incapable d’en manger quand l’huile de noix de coco est liquide (à moins de la mélanger avec de la nourriture), soit à partir de 25 degrés environ.
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Personnellement, je ne connais pas cette marque d’huile de noix de coco. Mais une chose est absolument certaine : si l’huile en question ne sent pas (assez fortement d’ailleurs) la noix de coco, ce n’est en aucune façon de l’huile extra vierge. Une huile extra vierge de noix de coco est caractérisée par son odeur caractéristique de noix de coco, d’ailleurs souvent prononcée.
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Ci-dessous, un autre site très intéressant (mais en anglais) sur l'huile de noix de coco :
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Dans cette page
Merci pour ce site ! Je ne connaissais pas encore ce site-là sur l'huile de noix de coco.
Je vais d'ailleurs le mentionner dans le topic consacré à l'huile de noix de coco.
Pour le reste, je suis tout à fait d'accord avec tes observations. Mais tant que c'est possible (et comme tu le dis toi-même), je préfère éviter le moindre traitement, quel qu'il soit et même s'il est naturel, car user d'un traitement, c'est déjà une forme d'échec dans la gestion de sa santé (c'est du moins mon opinion).
J'essaie de faire en sorte que mon corps puisse guérir de lui-même, sans traitement quel qu'il soit. Et visiblement, avec le régime que je préconise, cela marche réellement.
Ceci étant, cela semble aller encore mieux (je n'ai jamais été aussi en forme de toute ma vie, je pète d'énergie au travail et je n'ai plus besoin que de 6 heures de sommeil par jour) depuis quelques semaines, soit depuis que j'ai réduit ma consommation de glucides à +/-60 grammes par jour maximum (sauf quand je suis invité ou dois aller au restaurant, car dans ce genre de circonstance, il est souvent très difficile de ne pas consommer beaucoup de glucides).
A l'heure actuelle, environ 75% de mes calories proviennent des acides gras (dont bien sûr un maximum d'acides gras saturés et un montant le plus symbolique possible en acides gras polyinsaturés), 15% des protéines et environ 10% maximum des glucides. Depuis que j'ai "amélioré" le régime que je préconise en réduisant très fortement ma consommation de glucides (et celle de sucre est maintenant équivalente à quasiment zéro), je n'ai jamais eu autant d'énergie qu'auparavant (et c'était déjà exceptionnel auparavant depuis que j'avais adopté le régime riche en acides gras saturés et pauvre en acides gras polyinsaturés). Un problème de santé (c'était sans doute le dernier) est maintenant réglé. Je souffrais auparavant d'une gingivité (légère). Suite au régime que je préconise depuis maintenant un an, mon problème de gingivite s'était déjà (très) considérablement réduit mais toutefois, de temps en temps, mes gencives saignaient un peu quand je me brossais les dents. Mais depuis que j'ai réduit ma consommation de glucides en général, je n'ai plus le moindre problème de gingivite du tout !
C'est bien simple, à l'heure actuelle, je me demande bien de quel problème de santé, aussi mineur soit-il, je pourrais encore souffrir ! Et cerise sur le gâteau, quoique je n'ai jamais été gros, je suis - enfin - en train de perdre les quelques kilos que j'ai toujours eu en trop au niveau du ventre (et ce depuis mon enfance), en sorte que l'objectif d'avoir des abdominaux en forme de tablettes de chocolat est sur le point d'être obtenu !
En tout état de cause, ma santé est certainement bien meilleure maintenant qu'elle ne l'était quand j'avais 20 ou même 30 ans. Et d'ailleurs, ayant bientôt 40 ans, je n'ai toujours pas la moindre ride au visage (et je n'ai jamais utilisé le moindre produit de "beauté" de toute ma vie, pas même de l'huile de noix de coco sur le visage) et on me donne sans problème au moins dix ans de moins. Bref, c'est plus que jamais ce régime que je recommande.
Bien entendu, le "test" suprême consistera à obtenir un test dit "VIH" négatif. Et je pense de plus en plus que j'y arriverai, même si par prudence j'attendrai au moins deux ans avant de le refaire. Car comme l'avait signalé à très juste titre un autre intervenant dans un autre post, la durée de vie des anticorps est extrêmement élevée.
PS : Quand j'aurai le temps, je donnerai les références de plusieurs sites et d'articles scientifiques d'où il ressort à l'évidence, qu'il vaut mieux pour sa santé réduire le plus possible la consommation de glucides en général (et bien sûr, cela est encore plus valable pour le sucre en général). Mais bien entendu, avant toute chose, la première chose à faire est de réduire le plus possible sa consommation en acides gras polyinsaturés et de consommer surtout les acides gras sous la forme d'acides gras saturés à chaînes courtes.
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Deux autres changements remarquables suite à ce régime, riche en acides gras saturés et (très) pauvre en acides gras polyinsaturés.
1) Depuis mai dernier, je ne dois plus utiliser de shampooing anti-pellicules, n'ayant plus jamais de pellicules. Alors que depuis mon adolescence, il était absolument nécessaire que j'utilise un tel shampooing au moins une fois par semaine !
2) Durant l'été, il m'arrivait de temps en temps (mais moins souvent depuis je prenais diverses vitamines) de souffir de mycoses aux pieds. Si j'avais le malheur de frotter ne fût-ce qu'un peu, c'était l'assurance de la disparition de la couche épidermique, de la propagation de l'infection, avec la chair à vif. Avec ensuite des traitements (à base d'extrait de pépins de pamplemousse) qui pouvaient durer dans le pire des cas une à deux semaines.
La situation a bien changé cet été après un an de ce régime.
En effet, je sens parfois les mycoses à mes pieds mais uniquement si je pense à frotter entre les orteils (auparavant, je pouvais les sentir sans même frotter entre les orteils, et franchement, ce n'était pas agréable du tout ! LOL). Mais là où cela devient terriblement intéressant, c'est que même en frottant deux ou trois minutes durant entre les orteils, la couche épidermique reste malgré tout intacte. Il faut vraiment que je le fasse exprès pour que des crevasses éventuelles apparaissent entre les orteils (alors qu'auparavant, en 10 ou 15 secondes, j'étais assuré de détruire la peau entre mes orteilles, les mycoses s'en donnant ensuite à coeur joie). Et bien, même dans ce cas, sans le moindre traitement, un jour ou deux plus tard, les crevasses qui n'ont pu apparaître entre les orteils, non en raison des mycoses elles-mêmes (elles ne provoquent manifestement plus le moindre symptôme à mes pieds) mais bien parce que j'avais frotté de façon dégénérée et carrément parce que j'avais retiré l'épiderme entre les orteils avec mes doigts, ... se referment tout aussi solidement qu'auparavant, sans la moindre infection, les champignons ne profitant jamais de la situation pour proliférer.
L'année passée encore, ce scénario aurait relevé de la science-fiction et je n'aurai pas pu échapper aux traitements, fussent-ils naturels.
Voilà qui me rassure pour l'avenir vu que la plupart des maladies "classiques" du sida sont surtout celles causées par des mycoses et autres champignons.
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Sauf erreur de ma part, il me semble que le débat entre Nico111 et Aixur ne porte que sur le seul point principal suivant : la technique PCR, pour laquelle un prix Nobel a été décerné dans les années 90 et utilisée chaque jour par des dizaines de milliers de laboratoires de par le monde, est-elle une technique scientifique valide ?
Personnellement, il me semble que l’on peut parfaitement être un dissident du sida et estimer, comme moi d’ailleurs (et je n’ai guère doute à ce sujet en lisant les arguments et réfutations de Nico) que la PCR est une technique scientifique qui n’a plus à faire ses preuves. Et je le pense d’autant plus que la technique de la PCR a été validée plusieurs années avant que l’establishment du sida n’ait eu l’idée d’employer cette technique en matière de « VIH », en particulier en matière de comptabilisation de la charge dite « virale », domaine d’application de la PCR qui a toujours été contesté par les dissidents du sida, en compris le propre inventeur de la PCR.
Dès lors que la validité de la PCR a été éprouvée bien des années avant qu’elle ne soit utilisée en matière de « VIH », il me paraît que l’opinion de Nico au sujet du « VIH » est sans intérêt, du moins pour ce qui concerne la validité de la PCR.
Ceci étant, lorsque je lis bien Nico, je pense – mais je ne peux certainement pas parler en son nom – qu’il commence à être d’avis que le « VIH » serait un rétrovirus endogène (et donc non exogène). Et partant de ce présupposé, peut-être dans certains posts explique-t-il la technique de la PCR en se référant à un « VIH » qui serait un rétrovirus endogène, chose qui après tout est concevable … mais reste à prouver !
Ma position sur le sujet est bien connue : j’admets bien volontiers que la PCR peut certainement être utilisée pour détecter du matériel génétique. Mais il n’a jamais été prouvé que les acides nucléiques détectés par la PCR représentent des (petits) fragments d’un rétrovirus « VIH », qu’il soit exogène ou endogène. Car pour prétendre cela, les deux preuves suffisantes doivent au moins été préalablement apportées (chose qui n’a jamais été faite, justement) :
1) Il faut préalablement avoir prouvé que le matériel génétique a pour origine un rétrovirus (exogène ou endogène) « VIH ». En d’autres termes, il faut d’abord avoir pu obtenir d’un malade du « VIH » isolé, c’est-à-dire purifié de tout contaminant (à commencer par les protéines cellulaires et l’ARN cellulaire). A défaut de n’avoir jamais pu isoler le « VIH », il est impossible de prétendre que les acides nucléiques détectés par la PCR auraient pour origine un mystérieux rétrovirus « VIH ». Au mieux, la détection de ce matériel génétique pourra-t-il signifier – parfois – que la personne présentera une prédisposition particulière à développer ultérieurement des maladies qualifiées de sida, ce qui ne signifie cependant pas que celles-ci soient causées par un rétrovirus « VIH ».
2) Par ailleurs, l’exigence d’un « VIH » isolé est également nécessaire pour une autre raison, à savoir servir d’étalon-or ! En effet, l’exigence de l’étalon-or (à savoir que l’on sait, preuves réelles [= isolation] à l’appui, que les personnes testées ont bien été « contaminées » par le « VIH » ou au contraire ne l’ont pas été) est absolument nécessaire afin de s’assurer que la technique de la PCR n’amplifie que les séquences attribuées au « VIH » et non pas à autre chose.
Dès lors que ces deux preuves n’ont JAMAIS été apportées, il est vain de prétendre que les acides nucléiques détectés avec la technique de la PCR seraient des constituants du « VIH ». Peut-être s’agit-il de débris cellulaires mais en tout cas, la preuve n’a jamais été apportée qu’il s’agit d’acides nucléique constituant un rétrovirus «VIH».
Ceci étant, la circonstance qu’il n’a jamais été prouvé que cela soit du « VIH » ne signifie pas pour autant que la PCR ne serait pas une technique validée pour détecter et amplifier du matériel génétique, et en ce sens, je rejoins Nico à 100%.
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(Nico111 @ Vendredi 15 Août 2008 10h08)
Pour moi la charge virale se mesure sur le plasma or le plasma c'est le sang total moins les cellules.
Ah, oui, c'est vrai, j'avais complètement oublié !
Raison pour laquelle dans les passages que j'ai cités ci-dessus, ils ne parlent pas de "cellule" mais bien uniquement d'ARN cellulaire ou gène cellulaire par exemple.
Merci encore pour ce rappel.
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Et Wallypat, par rapport à cet huile de noix de coco, ou plutôt l'élimination de l'excès d'acide arachidonique (c'est bien ça? je ne vérifie pas pour une fois), je me suis demandé s'il n'y a pas des compléments alimentaires, ou bien plus simplement des aliments, qui peuvent favoriser l'élimination ? Du genre choux, piments, ail ? J'ai cherché (un peu) mais pour l'instant je n'ai rien trouvé.
Tu trouveras donc une brève réponse à la question posée dans ce post-ci.
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Bon, je vais tâcher de répondre dans ce topic-ci (qui me semble plus approprié) à la question posée par "brume de l'abro" dans la deuxième partie de ce post.
Et Wallypat, par rapport à cet huile de noix de coco, ou plutôt l'élimination de l'excès d'acide arachidonique (c'est bien ça? je ne vérifie pas pour une fois), je me suis demandé s'il n'y a pas des compléments alimentaires, ou bien plus simplement des aliments, qui peuvent favoriser l'élimination ? Du genre choux, piments, ail ? J'ai cherché (un peu) mais pour l'instant je n'ai rien trouvé.D'abord, l'oméga 6 de base (qui est donc un acide gras polyinsaturé, comme les oméga 3 d'ailleurs) est l'acide linoléique, que l'on trouve essentiellement dans le règne végétal, et à profusion dans presque toutes les huiles végétales. L'organisme humain va les transformer en des formes de plus en plus élaborées d'acides gras polyinsaturés oméga 6, à savoir : acide gamma-linolénique ---> acide-dihommo-gamma-linolénique ---> acide arachidonique. Ces différentes formes d'oméga 6, non seulement sont produites par l'organisme humain, mais en plus peuvent être retrouvées directement dans l'alimentation. Ainsi l'acide gamma-linolénique existe également en tant que tel dans l'huile de bourrache et d'onagre. De même, l'acide arachidonique est-il retrouvé directement dans les produits d'origine animale : viande, oeufs, etc... La circonstance que cet acide arachidonique est retrouvé directement dans les produits animaux ne justifie cependant pas qu'il faille devenir végétarien, bien loin de là (d'ailleurs, les végétariens souffrent autant de maladies cardio-vasculaires en général ou de cancers en général que ceux qui ne sont pas végétariens). Pourquoi ? Parce que dans un certain nombre de produits animaux, le montant d'acide arachidonique est tout simplement marginal, comme par exemple dans la viande de boeuf ou même les oeufs (en revanche, je déconseille vivement la viande de porc et donc également la charcuterie, devenues de plus en plus riche en acide arachidonique et autres acides gras polyinsaturés oméga 6, qui seront ensuite transformés en partie en acides arachidonique), et sera bien moindre que l'acide arachidonique qui sera produit à partir de l'acide linoléique retrouvé entre autres (et en très grande quantité) dans les prétendues "bonnes" huiles végétales.
Là où cela devient particulièrement intéressant, c'est que l'organisme humain va ensuite transformer l'acide arachidonique (mais également l'oméga 6 du stade antérieur, à savoir l'acide-dihommo-gamma-linolénique) en de multiples sortes et abondantes eicosanoïdes dont un très grand nombre est extrêmement nocif pour la santé et qui vont tantôt provoquer tantôt aggraver fortement la plupart des maladies de notre temps (maladies cardiovasculaire, cancers, etc...), soit le phénomène général d'inflammation : un très nombre de prostaglandines, thromboxanes, leucotriènes, etc...
Etant donné qu'il n'a jamais été prouvé que les oméga 6 (et aussi les oméga 3) et, partant, l'acide arachidonique, seraient essentiels à la santé (et à supposer même que ceux-ci soient même essentiels, ce serait alors un montant à ce point ridiculement bas que même une alimentation extrêmement pauvre en acides gras polyinsaturés et riche en acides gras saturés suffirait pour atteindre ce minimum hypothétique; d'ailleurs, il est impossible de ne pas consommer d'acides gras polyinsaturés car ceux-ci sont presque partout : même l'huile de noix de coco, qui est pourtant l'aliment comprenant le plus d'acides gras saturés [92%], comporte 1% d'acides gras polyinsaturés; l'idéal, c'est d'en avoir le moins possible), vu les dangers causés à l'organisme par les oméga 6 (et aussi les oméga 3) en général et les différents métabolites produits à partir de l'acide arachidonique en particulier, l'idéal est de faire en sorte que l'organisme en ait le moins possible.
Pour ce faire, la meilleur méthode consiste à adopter une alimentation la plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés et le plus riche possible en acides gras saturés (entre autres, car l'organisme a absolument besoin d'acides gras pour vivre et car les acides gras saturés, non seulement protègent contre l'oxydation [et ne l'aggravent donc pas contrairement pas aux acides gras polyinsaturés], mais en outre et peut-être surtout restent stables dans l'organisme et ne produisent pas, contrairement aux acides gras polyinsaturés [très instables], les dangereux métabolites cités ci-dessus), surtout à chaînes courtes et moyenne : l'huile de noix de coco, beurre fait à partir de lait cru ou fromage fait à partir du lait cru (vu les dangers pour la santé du lait pasteurisé). En procédant ainsi, sur le moyen et surtout long terme, le corps contiendra de moins en moins d'oméga 6 et produira donc de moins en moins de ces dangereux métabolites.
Ceci étant, les acides gras polyinsaturés étant malgré tout nécessaires pour d'innombrables réactions chimiques dans l'organisme, ce dernier, en l'absence d'apport autre que marginal en oméga 6 et oméga 3, produira son propre acide gras polyinsaturé, à savoir un oméga 9 (acide gras monoinsaturé, comme on le retrouve dans l'huile d'olive) appelé en anglais la "mead acid" (et dont la production dans l'organisme est justement le signe d'une "carence" [entre guillemets, car il n'a jamais été prouvé que les oméga 6 et 3 seraient essentiels pour l'organisme] en acides gras polyinsaturés omaga 6 et 3. Contrairement aux oméga 6 et oméga 3, la mead acid constitue un acide gras polyinsaturé beaucoup plus stable que les oméga 6 et 3, mais qui reste toutefois quelque peu instable puisqu'il peut également donner naissance à différents métabolites (mais en nombre bien moins élevé et bien moins dangereux que ceux produits à partir des oméga 6 et 3).
Plus haut dans ce topic, j'ai cité différentes études montrant les multiples avantages d'un organisme pourvu de la mead acid plutôt que des oméga 6 et 3. De façon général, en présence d'agents stressants quelconque (virus, bactéries, produits toxiques telles que la cigarette, etc...), l'organisme pourvu de la mead acid va réagir de façon bien plus violente mais aussi bien plus courte et rapide que si l'organisme était constitué d'oméga 6 et 3. En définitive, le phénomène inflammatoire sera intense mais très court. Avec les oméga 6 et 3, le phénomène inflammatoire sera le plus souvent moins violent mais surtout sera chronique, ce qui favorisera (comme on le constate depuis plusieurs décennies déjà) l'émergence des fameuses maladies chroniques de notre temps : maladies cardiovasculaires et cancers par exemple, lesquels ne se réalisent généralement pas en quelques jours mais bien en plusieurs années au moins. En d'autres termes, la mead acid pourra donner naissance à des métabolites provoquant une réaction rapide et plus violente de l'organisme mais également une guérison très rapide (et sans qu'il faille s'absenter du travail pour cause de maladie), tandis que les acides gras polyinsaturés provenant de l'extérieur (oméga 6 et 3) donneront naissance aux dangereux métabolites cités ci-dessus (diverses prostaglandines, thromboxanes, etc..) dont les effets sont moins forts que ceux causés par la mead acid mais qui ont fortement tendance à perdurer dans le temps et bien souvent à ne plus jamais cesser : les maladies chroniques ou dont l'évolution dans le temps continue (cancer par exemple).
J'ai récemment eu l'occasion de le constater par moi-même. Auparavant, en cas de grosse chaleur, j'avais assez souvent des boutons de fièvres, qui se développaient un peu partout sur le visage, et je devais au minimum attendre entre 5 et 10 jours avant qu'une croûte ne commence à se former. Or, il y a deux semaines, et pour la première fois seulement depuis l'été dernier (à cette époque de l'année, j'aurais déjà dû en avoir deux ou trois poussées), j'ai eu une crise de boutons de fièvre, mais l'évolution a été entièrement différente. En effet, en fin d'après-midi, j'ai senti en dessous de mon menton, des tas de picotements et j'ai pu constater que de très nombreux (plus nombreux que par le passé) petits boutons de fièvre apparaissaient mais sur un espace bien plus petit que par le passé. Mais ce qui est encore plus nouveau, c'est que trois heures plus tard à peine (et non 5 à 10 jours plus tard), la croûte était déjà formée ! En d'autres termes, mon organisme a réagi d'une façon plus violente qu'auparavant mais aussi d'une façon beaucoup plus courte. Bref, pas de maladies chroniques, comme y contribuent fortement les très instables, oxydables et dangereux oméga 6 et 3. Bien sûr, il ne s'agissait ici que d'un problème mineur, à savoir des boutons de fièvre, mais imaginez le résultat pour des affections bien plus graves que ceux-ci, telles que le cancer et bien sûr le sida. D'ailleurs, sur d'autres forums (mais en anglais), j'ai lu des témoignages du même genre de personnes adoptant le même régime que moi. Ainsi, quelqu'un ayant contracté un rhume, avait des symtpômes assez forts les premières heures mais le lendemain, il était déjà complètement guéri (et non pas une semaine plus tard !). Etc...
Personnellement, il n'y a pas photo. Je préfère avoir une réaction forte avec une guérison quasi immédiate qu'une réaction faible traînant en longueur, parfois la vie durant.
Maintenant, pour répondre plus précisément à la question de "brume de l'abro", une fois qu'on a ingéré des oméga 6, et bien, c'est dans l'organisme. Il n'y a pas de produits miracles qui les feront disparaître. Seul un régime pauvre en acides gras poyinsaturés privera progressivement l'organisme de ceux-ci.
Ceci étant, il y a bien quelques produits naturels, tels que le célèbre flavonoïde "resvératrol" (que l'on retrouve dans le vin par exemple), qui inhibent dans une certaine mesure la production des dangereux métabolites produits à partir de l'acide arachidonique par exemple. Mais cette inhibition n'est qu'imparfaite et ne concerne que quelques formes de ces métabolites, et encore, rien ne garantit que cela soit le cas sur le long terme. Par ailleurs, les oméga 6 en général et l'acide arachidonique en particulier sont toujours dans l'organisme et restent dangereux pour l'organisme, même si grâce au resvératrol, ils ne produisent peut-être plus autant de dangereux et instables métabolites ci-dessus. Notons que de plus en plus de nouveaux médicaments utilisés dans la médecine orthodoxe ne sont rien d'autre que des molécules (anti-inflammatoires) fonctionnant en empêchant, de façon ciblée, la production des métabolites produits à partir des oméga 6 et de l'acide arachidonique, parce que justement ces différents métabolites causent et/ou aggravent la plupart des maladies de notre temps.
Il n'est dès lors pas étonnant de constater qu'au cours des dernières décennies, et plus précisément depuis les années 30, les maladies cardio-vasculaires et les cancers (pour ne citer que ceux-là mais vous pouvez ajouter presque toutes les autres maladies, telles que la sclérose en plaque comme on l'a vu dans un autre topic) ont augmenté de façon exponentielle ... en même temps que la consommation d'acides gras saturés diminuait (entre autres pour cause du dogme du cholestérol causant les maladies cardiovasculaires, chose qui n'a pourtant jamais été prouvée [excepté bien sûr le problème du cholestérol oxydé] et que la consommation des huiles végétales (faisant légèrement diminuer le cholestérol ... comme le font d'ailleurs la plupart des produits toxiques pour l'organisme !) et autres aliments riches en oméga 6 augmentait de façon exponentielle !
En conclusion, le plus simple à faire est d'adopter une alimentation comme l'avait les anciens, à savoir une alimentation pauvre en acides gras polyinsaturés (et en glucides, en particulier le sucre) et riche en acides gras saturés (mais rarement oxydé pour ce qui concerne le cholestérol). Si vraiment il n'est pas possible de faire autrement, alors le resvératrol pourrait être une (demi-)solution, mais de toute façon extrêmement imparfaite et certainement pas recommandé lorsqu'on la compare à la solution que je propose (à savoir peu d'acides gras polyinsaturés et un maximum d'acides gras saturés, à chaînes courtes et moyennes).
La morale de l'affaire est peut-être que l'on a troqué les décès causés il y a un siècle surtout par les maladies infectieuses (et devenus rares, non grâce aux vaccins, mais bien grâce à l'hygiène et à une nutrition abondante) contre les décès et maladies causés essentiellement par une nutrition devenue totalement inadaptée. En ayant une nutrition telle que je la recommande, en tout cas sur le plan des acides gras (mais indépendamment de cela, je recommanderais également et vivement de réduire la consommation des glucides en général, en commençant par le sucre, impliquées dans divers maladies également; mais il s'agit là d'un tout autre sujet), et vu que les maladies infectieuses sont maintenant devenues rares (sauf cas de résistance et mutation causés entre autres par les antibiotiques et autres vaccins), je pense réellement que l'on augmente, non seulement de beaucoup, mais bien également de façon (largement) exponentionelle, les chances de vivre vieux, en bonne santé et sans maladies chroniques et autres maladies classiques de notre temps. On ne deviendra toutefois pas immortel, bien sûr ! LOL
En d'autres termes, et entre autres à cause des "conseils" des nutritionnistes, au cours de ces derniers décennies, on a troqué la consommation des acides gras saturés contre la consommation des acides gras polyinsaturés et des glucides (pensez aux épidémies, toujours croissantes, de diabète de type 2 et d'obésité, quasi inexistante par le passé) ... alors que c'est exactement l'inverse qu'il aurait fallu faire !
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Bon retour parmi nous, Nico.
Au moins, grâce à tes observations, nous pourrons mieux apprécier le bien-fondé ou non des théories avancées par Aixur, bien entendu de façon constructive et dans le respect de chacun.
Il y a toutefois quelque chose que je ne comprends pas dans les explications de Nico. C'est ceci :
Seul bémol, lors des PCR charge virales on exclu les cellules donc l'ARN du VIH présent dans ces cellules n'entre pas en compte.Si je comprends bien Nico, cela signifierait donc que la PCR utilisée en matière de "VIH" ne détecterait pas l'ARN présent dans les cellules ?!
Mais alors, cela semble aller à l'encontre de ce que disent certains auteurs, dont certains sont pourtant très compétents et même rétrovirologues. A moins que j'ai mal compris ?!
http://www.sidasante...t_positives.htm :
Si les analyses de charge virale mesurent généralement l'ARN des cellules humaines normales et d'autres microbes et l'attribuent de manière erronée au VIHhttp://www.sidasante...rale_et_pcr.htm :
* Les cellules humaines normales contiennent des centaines ou des milliers de séquences ressemblant à des retrovirus, c'est à dire, des petits bouts d'ADN qui correspondent à une petite partie du génome supposé du VIH ou d'autres retrovirus. Et, puisque la PCR amplifie souvent juste une petite partie du génome entier de la chose qu'on recherche (quelle qu'elle soit), comment savoir que ce que la PCR trouve n'est pas une séquence d'un gène cellulaire normal qui correspond juste par hasard à celle qui est supposée pour le VIH ?http://www.sidasante...ience/15ans.htm :
Immédiatement après la publication des rapports de WEI et HO en janvier 1995 (45,46), dans lesquels ils ont émis l'hypothèse que le VIH multiplie à des vitesses folles, détruisant un nombre similaire de cellules CD4 helper, on a introduit des tests quantitatifs basés sur la méthode de multiplication génétique PCR, et l'on est venu à présumer la présence d'un grand nombre de VIH dans le système sanguin. Il était déjà bien reconnu parmi les scientifiques VIH que la soi-disant charge virale, i.e. la mesure de la "charge virale", ne peut constituer une preuve du génome virale entier ni de virus intacts (50). La "charge virale" ne mesure que de courts composants de la substance messagère ARN attribués au VIH. Puisque la génome du VIH per se n'a jamais pu être décrit, il est impossible de désigner ces fragments d'ARN comme viraux. Quand on regarde les archives des caractéristiques présumés du VIH, on peut conclure que tous les composants - les protéines et la substance génétique - qui ont été attribués au "VIH" sont d'origine purement cellulaire (3-7). Par conséquent, les résultats de la "charge virale" ne peuvent avoir qu'une portée indirecte, par exemple, la mesure d'une augmentation ou d'une diminution de l'ARN cellulaire, telle on observe dans des conditions cataboliques de désintégration cellulaire et en diminution dans des conditions anaboliques. Cependant, ces résultats ne peuvent être considérés comme cliniquement révélateurs puisque, en dehors de l'insuffisance technique, des analyses de contrôle sur des individus définis comme non-positifs et sains ainsi que des malades n'ont jamais été publiés. -
Résultats :
06/2007 : Cd4 : ? et CV: 136
08/2007 : Cd4 : 440 et CV 60
11/2007 : Cd4 : 500 et CV indetectable
01/2008 : Cd4 : 722 et idem
04/2008 : Cd4 : 724 et idem
Je trouve ces résultats très encourageants (quoiqu'on verrait sans doute plus clair encore si tu avais pu faire une mesure de ton glutathion) !
Peut-être te sera-t-il possible à l'avenir de continuer à réduire progressivement tes traitements "antirétroviraux" ? Mais si tu le fais, je te conseillerais (et peut-être peux-tu déjà le faire dès maintenant) de prendre au moins chaque jour 3 à 4 cuillères à soupe d'huile de noix de coco extra vierge. Et bien sûr, de continuer à réduire le plus possible la consommation d'aliments riches en acides gras polyinsaturés, à commencer par éviter absolument presque toutes les huiles végétales (excepté et dans l'ordre décroissant de préférence l'huile de noix de coco, l'huile de palme et l'huile d'olive, étant entendu que toutes ces trois huiles doivent être extra vierge).
A toi de voir, bien sûr.
Mais bravo encore pour les résultats !
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Ton raisonnement semble logique. Mais il y a un truc qui le rend faux. Le test de cd4 mesure en fait la quantité de particules de la taille des cd4 sans spécificité. Tout ce qui a la taille des cd4 sera inclu dans le résultat. Et les cd4 sont des grosses particules. Bref, ça mesure le taux de grosses particules dans le sang. Tandis que les tests d'anticorps et de charge virale mesurent le taux de petites particules. Or, ces deux taux vont en sens opposé. S'il y a beaucoup de grosses particules, il y aura peu de petites particules, et inversement. Donc si le test de cd4 donne un résultat élevé, ça veut dire à l'inverse que la charge virale sera basse, et surtout, que le test d'anticorps réagira négatif.
Te serait-il possible de bien vouloir fournir aux lecteurs les références de ne fût-ce qu’un seul article scientifique (et si possible de quelques études confirmatives) appuyant tes dires ?
Car à défaut, malgré le respect que je peux avoir pour toi, il m’est évidemment impossible d’accorder le moindre crédit à ces affirmations.
Pour ma part, je préfère me référer à des années et même pour certains points, à des décennies de pratique et de confirmation scientifiques établies par des centaines voire même des milliers d’articles scientifiques, ce qui fera d’ailleurs ma force lorsque je dois me confronter à un orthodoxe du sida (je m’appuie sur les mêmes outils scientifiques de l’orthodoxe du sida et je ne remets pas tout ou presque en question).
1) Pour ne prendre déjà que l’exemple des tests de T4, j’ai déjà lu à plusieurs reprises que presque tous ces tests ne mesurent déjà pas les T4 et encore moins les particules de la taille des T4 mais bien les anticorps, quelque soit leur taille, se liant aux T4. Et on sait depuis 1975 (expérience de Fauci), et cela a été confirmé à plusieurs reprises, qu’en présence d’agents oxydants, les anticorps spécifiques des T4 changent de récepteurs et se mettent à se lier aux T8 au lieu de T4. Tout cela a non seulement été constaté in vitro mais également in vivo comme chez les séropositifs par exemple, puisqu’à mesure qu’ils avancent dans le stade sida, plus le nombre (apparent) des T4 diminue et le nombre (apparent) des T8 augmente. Quoique ces tests ne sont certainement pas fiables quant à leur prétention à détecter le nombre réel des T4 (et sur ce point, je te rejoins bien, Aixur) vu qu’il s’agit d’un problème d’anticorps changeant de récepteurs en présence d’agents oxydants et se mettant à se lier aux T8 (alors que les T4 n’ont dans les faits peut-être pas diminuer), le rapport T4/T8, fut-il apparent, constitue malgré tout un bon marqueur de l’évolution vers le stade sida car il est un marqueur de l’évolution vers le stade sida. Peu importe que ce test mesurerait des grosses particules ou non (et je me demande même s’il y aurait un quelconque intérêt scientifique à cette mesure), ces tests ont malgré tout montré leur fiabilité prédictive sur ce plan-là.
Ceci étant, la circonstance que les tests T4 ne mesurent réellement pas le nombre de T4 prouve déjà en soi (et sur ce point, je te rejoins également) que la chute – apparente - des T4 n’a pas grand chose à voir avec une évolution vers le stade sida. Comme on l’a déjà vu plusieurs fois, le meilleur marqueur reste la mesure du niveau de glutathion intracellulaire.
2) Concernant la charge « virale » en matière de sida, les dissidents comme le Perth Group ont montré depuis bien longtemps déjà que ces bouts de matériel génétique prétendument attribués au « VIH » constituent pour la plupart des débris de matériel cellulaire (raison pour laquelle on peut en trouver également chez des séronégatifs), particules cellulaires détruits par l’exposition aux agents oxydants (mon régime ayant pour effet direct de réduire de façon drastique l’oxydation dans mon corps, il est d’ailleurs logique que ma charge « virale » ait baissé d’une façon aussi rapide et drastique [ce qui montre accessoirement qu’il n’est pas nécessaire d’utiliser des traitements « antirétroviraux » toxiques à cet effet, et dont c’est d’ailleurs généralement le bien seul effet commun à ceux-ci]). Dès lors que cet ARN provient essentiellement de particules cellulaires qui n’existent plus, je me demande bien comme la technique de la charge « virale » en matière de sida pourrait par inadvertance (ou même toujours) mesurer des particules quelles qu’elles soient, qu’elles soient de petite taille ou même grande taille.
Par ailleurs, je n’irai pas à l’encontre de bientôt vingt années de technique de la PCR, éprouvée par des milliers d’articles scientifiques (comme l’a d’ailleurs souligné en son temps Nico111, dont je regrette d’ailleurs la rareté des interventions), et qui ont tous pour point commun de détecter, non des particules quelles qu’elles soient, mais bien du matériel génétique (ARN ou ADN). En revanche, je ne suis évidemment pas d’accord avec leur interprétation (du moins, en matière de sida) selon laquelle les bouts de matériel génétique détectés par la technique de la PCR seraient du « VIH ».
3) Enfin, concernant les tests d’anticorps « VIH », peu importe que ces tests fonctionneraient en détectant des petites particules (aurais-tu ne fût-ce qu’une seule référence scientifique sur ce point ?), en bientôt 25 ans, ces tests sont, comme l’affirme l’orthodoxie du sida, devenus de plus en plus fiables, non pas bien sûr quant à leur prétention à détecter une infection par le chimérique « VIH » mais bien quant à leur prétention à détecter les personnes (et certainement dans les groupes à risque de sida) ayant une propension à développer ultérieurement, parfois 15 ou 20 ans plus tard (d’ailleurs, c’est incroyable le nombre de témoignages que j’ai lus ces derniers mois sur « AIDSMythExposed » de séropositifs tombant – « enfin » - malades 15 à 20 années après leur diagnostic de maladies rarissimes chez les séronégatifs et donc spécifiques du sida), peu importe que les anticorps réagissant avec les antigènes (et peu importe également l’origine de ceux-ci, ce qui compte, c’est leur fiabilité prédictive) utilisés dans les tests « VIH » seraient éventuellement de petite taille.
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Juste pour dire que je partage entièrement l'avis de "Jibrail". Et d'ailleurs, pour aller dans son sens, fin de l'année passée, soit la dernière fois que j'avais vu le médecin "VIH", il fut (très) surpris de constater que ma soi-disant charge "virale" avait baissé (suite à mon régime à base d'acides gras saturés et très pauvre en acides gras polyinsaturés) d'une façon drastique puisque après 3 à 4 mois, ma charge "virale" avait baissé à +/-700 (je ne connais plus le chiffre exact). Trois à quatre mois auparavant, j'étais encore à +/-40.000-50.000.
En revanche, le nombre de mes anticorps étaient toujours très largement au-dessus de la limite maximale normale, soit comme pour tout séropositif (je n'ai pas encore lu un seul article scientifique ayant pu constater le cas - forcément exceptionnel - d'un séropositif ayant un nombre d'anticorps dans la limite "normale"), en sorte que je n'ai évidemment pas perdu mon temps à refaire le test "VIH". J'espère toutefois que d'ici quelques années, le nombre de mes anticorps aura suffisamment baissé en sorte que le test "VIH" sera redevenu négatif.
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Posté(e)
J'ai bien lu ton message mais ayant beaucoup de travail pour le moment, je ne peux pas y répondre immédiatement. Je tâcherai de le faire dès que possible.
En tout cas, pour ce qui concerne le ghee (dont je n'ai découvert l'existence qu'aujourd'hui, grâce à ton post), je déconseille absolument sa consommation, en particulier lorsqu'on examine les processus de transformation nécessaires en vue de l'obtenir à partir du beurre. Je ne suis en tout état de cause pas du tout étonné que la personne en question ait eu de graves problèmes cardiaques et cela pourrait être effectivement expliqué par sa (très) forte consommation de ghee. Mais lorsqu'on examine attentivement la question, on constate que cela n'a strictement rien à voir avec un problème causé par une soi-disant trop forte consommation d'acides gras saturés. J'essaierai de répondre plus longuement au travers d'un post ultérieur.