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wallypat

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  1. wallypat

    Le glutathion

    LA MESURE DES LYMPHOCYTES T4 NE CONSTITUE PAS UN MARQUEUR FIABLE DE L'EVOLUTION VERS LE SIDA DECLARE : SEULE LA MESURE DU GLUTATHION CONSTITUE UN MARQUEUR FIABLE (ET EN OUTRE PRECIS) DE L'EVOLUTION VERS LE SIDA DECLARE (INDEPENDAMMENT DU NOMBRE DE LYMPHOCYTES T4) (Il ne s'agit pourtant que d'un résumé) ! I) RAPPEL DES FONDEMENTS MÊMES DE L'HYPOTHESE RETROVIRALE DU SIDA L'hypothèse rétrovirale du sida s'articule autour des dogmes suivants : 1) Le "VIH" causerait la destruction des lymphocytes T4, ce qui constituerait la voie royale vers le sida déclaré. 2) Le sida se traduirait par l'apparition de différentes infections opportunistes, telles que le sarcome de kaposi, la pneumocystose et d'autres maladies typiques du sida. Pour que ces affirmations puissent constituer une théorie valide de la pathogénèse du sida, il faut donc nécessairement : 1) Que le "VIH" soit simultanément nécessaire et suffisant pour provoquer la destruction des lymphocytes T4, 2) Que la baisse des lymphocytes T4 soit simultanément nécessaire et suffisant pour provoquer l'apparition des maladies caractéristiques du sida, et 3) Que tous les patients souffrant du sida soient infectés par le "VIH". Dans le cadre de ce post, nous examinerons uniquement le point de savoir si la baisse des lymphocytes T4 (à supposer d'ailleurs que cette baisse, telle qu'elle est actuellement mesurée, est vraiment réelle et ne serait pas au contraire apparente comme nous le verrons plus loin) est effectivement nécessaire et suffisante pour provoquer le sida. Et avant de procéder à l'analyse de ce point, je reproduis déjà ci-dessous le petit résumé que j'avais déjà reproduit dans ce post-ci : Comme nous l'avons plus haut, le sida est surtout dû à une exposition non maîtrisée par le séropositif à des oxydants azotés (et tout particulièrement le peroxynitrite qui constitue la forme la plus toxique d'oxydant azoté). Or il se fait que l'organisme humain n'a pas été particulièrement constitué pour combattre une telle forme de stress oxydatif azoté, en particulier lorsqu'elle devient si abondante. La seule protection antioxydante possible, quoique loin d'être parfaite, consiste dans les sélénoprotéines, et tout particulièrement le système glutathion/glutathion peroxydase/glutathion réductase. Mais à force d'accumulation de ces oxydants azotés, le niveau de glutathion baisse ... pour finir par aboutir au sida. Les données scientifiques reproduites ci-dessus et constatant que plus la carence en glutathion s'accentue, plus le séropositif évolue vers le sida, ne font donc que confirmer de façon surabondante les explications chimiques qui viennent juste d'être reproduites. Dès lors, une seule conclusion, limpide et aveuglante, ne peut s'imposer que dans l'esprit du lecteur : SEUL LA MESURE DU NIVEAU DE GLUTATHION CONSTITUE UN MARQUEUR FIABLE ET EN OUTRE PRECIS DE L'EVOLUTION EVENTUELLE VERS LE SIDA DECLARE ! CONCLUSION Ce post a vraisemblablement permis de définitivement résoudre l'énigme relatif au rapport qui aurait - éventuellement - pu exister entre la baisse (apparente) des lymphocytes T4 et l'évolution vers le sida. Il a en réalité permis d'arriver à la conclusion qu'à supposer même qu'une espèce de corrélation eût pu exister entre la baisse des lymphocytes T4 et l'évolution vers le sida, cette apparente et toute relative corrélation ne résulte que d'une mauvaise grille d'analyse, la baisse des lymphocytes T4 n'étant ni nécessaire ni suffisante pour causer le sida. En réalité, seule la mesure du niveau de glutathion permet de prédire efficacement si un séropositif évolue effectivement vers le stade du sida déclaré et, par conséquent, constitue un marqueur non seulement fiable mais également précis de cette évolution. Nous devons également arriver à la bien triste conclusion que hormis les quelques séropositifs dissidents de ce site faisant contrôler régulièrement leur niveau de glutathion, aucun séropositif de France n'est en réalité correctement suivi et le sida n'est pas prévenu de la façon la plus efficace et fiable possible, faute pour les "experts" "VIH" de contrôler le niveau de glutathion de leurs patients, seul marqueur réellement fiable et précis de l'évolution éventuelle vers le sida déclaré. PS : Il conviendrait que les dissidents fassent part de leur avis sur la démonstration expliquée dans le présent post car à défaut d'objection fondamentale, cela conduira forcément et naturellement à une profonde modification du Chapitre IV, D), 2) de la synthèse précisant - à tort - que le stress oxydatif provoque l'apoptose des lymphocytes T4 et que la mesure du nombre de ceux-ci serait un marqueur fiable de l'évolution vers le sida !
  2. Ces congrès internationaux sur le sida, où se réunissent des scientifiques imbus de leur personne, constituent non seulement une perte de temps mais aussi d'argent. Ce n'est que de la poudre aux yeux censée entériner encore davantage la bizarre croyance que le sida serait causé par un mystérieux rétrovirus dénommé "VIH". Ce n'est pas vraiment en lisant leurs comptes-rendus et en les répercutant dans la presse que l'on luttera efficacement contre le sida. Plus intéressant est plutôt ce discours d'un orateur à la session d'ouverture de ce congrès international et qui se demande pourquoi toute la communauté scientifique n'a pas été réellement invitée à ce congrès, à savoir les repenseurs du sida. Gageons qu'il ne fut pas vraiment applaudi mais plutôt hué ! Si l'on comprenait enfin que le sida nutrionnel n'est pas causé par un hypothétique rétrovirus "VIH" mais bien par la pauvreté et la malnutrition et que le sida "occidental" a essentiellement des causes toxiques et pharmacotoxiques, alors là, on lutterait vraiment efficacement contre le sida !
  3. Bien sûr que non. C'est bien pour cela que j'ai également précisé dans mon post : D'ailleurs, dans l'un des premiers posts de ce topic-ci (à savoir celui-ci), j'avais déjà résumé comment sont détectés les cas de sida en Afrique. Je ne vais bien sûr pas me répéter continuellement et complètement dans chacun de mes posts consacrés au sida africain ! Le lecteur est censé déjà le savoir s'il lit (et surtout retient) ce qui est écrit depuis le premier post de ce topic-ci).
  4. Il indique donc que cette évolution signifie la disparition de 6000000 de séropositifs. Que sont-ils devenus? Sont-ils tous morts? Sont-ils devenus séronégatifs? Tout de même, 800000 personnes qui seraient morts du Sida chaque année, cela devrait se voir dans les résultats des recensements. Voilà un très bel exemple du fait que la séropositivité est réversible ! Et ici, cela a concerné 6 millions d'ougandais. Ce n'est pas rien tout de même ! A partir du moment où l'on se rend compte que les tests dits "VIH" ne sont rien d'autre que des tests de stress oxydatif, lequel peut se manifester (et donc devenir positif) en raison d'innombrables facteurs, tels que la réaction particulièrement forte à des vaccinations effectuées sur des ougandais souffrant de malnutrition, la malaria, la tuberculose, la malnutrition et la pauvreté en général (qui feront donc réagir positivement les anticorps prétendument attribués au "VIH" alors que les anticorps en question n'ont aucune spécificité au "VIH" mais sont au contraire tous polyspécifiques), il est logique que ces réactions s'estompent avec les mois et les années lorsqu'il a été remédié aux facteurs en question, non en usant de drogues dites "antirétrovirales" mais bien en luttant contre la pauvreté et malnutrition, sources premières des facteurs en question (parfois, tout simplement le fait de guérir les maladies de nature à faire réagir positivement ces tests). Par conséquent, les anticorps détectés par ces tests de stress oxydatif appelés par erreur "VIH" diminuent et passent en dessous du fameux seuil au-delà duquel la personne testée est déclarée à tort "contaminée par le 'VIH'". Le lecteur aura à nouveau constaté qu'il n'y a pas d'épidémie de "VIH" en Afrique : il n'y a que des épidémies de test de stress oxydatif (et d'extrapolations statistiques et pour le moins acrobatiques à partir d'une série limitée de tests réellement effectués). Ce post sera utilement complété par la lecture des posts suivants (désolé si j'en oublie), et par exemple : - Post 1 - Post 2 - Post 3 - Post 4
  5. wallypat

    Le glutathion

    Juste déjà pour préciser que ce passage consacré aux cellules immunitaires de type TH1 que j'avais écrit dans le deuxième post de ce topic-ci est complètement FAUX ! Je tâcherai de m'expliquer bien davantage dans un prochain post consacré à l'absence de fiabilité de la mesure des lymphocytes T4 en tant que marqueur spécifique de l'évolution vers le sida déclaré.
  6. wallypat

    Oxyde nitrique

    Je ne sais pas s'il faut en rire ou en pleurer, mais lisez ce petit article en anglais consacré au rapport pouvant exister entre le crystal et le sida. Plutôt que de reconnaître que le crystal peut en soi causer le sida en raison de son effet de fort oxydant azoté, pour faire tenir envers et contre tous l'hypothèse rétrovirale, l'orthodoxie du sida a pondu un article où il est précisé que le crystal induirait des récepteurs sur les cellules immunitaires qui faciliteraient encore plus la "contamination" par le "VIH" (elle-même favorisée par le fait que les personnes consommant du crystal sont moins prudentes et utilisent moins souvent le préservatif). Franchement, question "stupidité", l'orthodoxie du sida ne cesse de se surpasser ! Et le pire, c'est que le monde entier avale de telles couleuvres !
  7. Cela bouge en Afrique du Sud ! En effet, c'est maintenant la Cour Suprême d'Afrique du Sud elle-même (!) qui analyse la validité de l'hypothèse rétrovirale du sida, suite à une action en justice entamée par la TAC, une organisation orthodoxe du sida, contre des dissidents du sida. Et cette action en justice a tout l'air de se retourner contre l'orthodoxie du sida. En tout cas, en attendant le verdict ultérieur, le lecteur intéressé pourra consulter entre autres les mémoires en défense déposés par deux des dissidents du sida poursuivis par la TAC, à savoir Anthony Brink et le Professeur Samuel Mhlongo . Le lecteur en connaîtra bien davantage en consultant le site suivant : Treatment Information Group.
  8. Il s'agit là de la fameuse "logique" circulaire de la "science" du sida rétroviral. Mais lorsqu'on analyse cela d'un peu plus près, on se rend compte que cette "logique" n'a finalement aucun fondement et ne repose sur aucune base solide, dès lors que l'on trouve le point faible. Que le lecteur lise par exemple la fin de ce post-ci et les trois exemples qui y sont cités, exemples qui constituent pourtant les fondements mêmes de l'hypothèse rétrovirale ! Mettre à néant ces trois exemples, c'est également mettre à néant l'hypothèse rétrovirale du sida.
  9. Oui, effectivement. La mortalité due à une pneumocystose paraît en effet être toujours plus élevée chez un séropositif que chez un séronégatif (ce qui en soi n'est pas forcément bien étonnant). Par exemple, cette étude-ci, parue en juillet dernier : Où l'on apprend que parmi les 58 sidéens admis pour cause de pneumocystose dans l'unité de soins intensifs de cet hôpital de 1996 à 2001, le taux de mortalité ne fut "que" de 25% pour ceux qui ont bénéficié des drogues dites "antirétrovirales" lors de cette hospitalisation alors qu'il fut de 63% pour ceux qui n'en ont pas bénéficié (on remarquera que ce taux de 63% est nettement plus élevé que le taux de 34% relevé dans la première étude : il faut en déduire que de (très) grandes améliorations doivent encore être apportées dans le management de cet hôpital-ci consacré au traitement des infections respiratoires en général). En conclusion, même si le taux de mortalité des sidéens en cas de pneumocystose est susceptible d'être très fort abaissé (plus de la moitié) en raison de facteurs sans rapport avec les drogues dites "antirétrovirales", il reste toutefois vivement recommandé de les administrer malgré tout * aux séropositifs faisant une pneumocystose puisque visiblement, elles permettent de réduite encore plus le taux de mortalité. Quant à savoir si après rétablissement, il convient encore de les poursuivre indéfiniment, on a déjà vu qu'il existe d'autres voies beaucoup moins coûteuses, efficaces chez bon nombre de séropositifs ... et surtout éminemment moins toxiques ! *Il faut cependant aussi très fortement relativiser l'intérêt de l'administration de drogues dites "antirétrovirales", même dans ces cas-là. Comme précisé dans cette étude, des cas de pneumocystose ont également été relevés peu après le début d'un traitement à base de drogues dites "antirétrovirales" (alors que "pourtant" le nombre de lymphocytes T4 augmentait et que la charge dite "virale" diminuait [encore un autre exemple montrant l'absence de fiabilité liée aux lymphocytes T4 [mon post à ce sujet devrait être prêt dans quelques jours d'ailleurs]). Plus que jamais, le recours aux drogues dites antirétrovirales doit absolument être proscrit, sauf en cas de réelle nécessité et à défaut d'autre solution ! PS : Je remercie Magnus pour l'article présisant que les quadri"thérapies" ne sont pas plus efficaces que les tri"thérapies". Très instructif ! Et une épine de plus dans le pied des négationnistes du stress oxydatif !
  10. wallypat

    Guérir le Sida!

    Evidemment, on comprend maintenant tout de suite la raison de cet article. Il faut en effet savoir que les antioxydants, dont font partie les vitamines, ne sont pas brevetables. Les industries pharmaceutiques, qui produisent des tas de médicaments, dont les drogues dites "antirétrovirales" sont de véritables "blockbusters" générant des centaines de millions de dollars de bénéfice par an (si pas plus), n'ont donc aucun intérêt à ce que l'on sache que dans bon nombre de cas, le recours judicieux et adapté à des antioxydants, beaucoup moins coûteux et non brevetables, peut produire les mêmes effets, et généralement sans autant d'effets secondaires que les drogues chimiques de Big Pharma. En d'autres termes, celle-ci n'a qu'un seul intérêt : dénigrer encore et toujours l'utilité des antioxydants, car l'usage généralisé de ceux-ci fera fondre leurs bénéfices comme neige au soleil ! Remarquons que l'article en question est généraliste et ne vise pas spécifiquement le cas du sida. Donc, peut-être que sur certains (rares) points, certains reproches adressés à l'encontre des antioxydants pourraient être - partiellement - fondés, et encore. Mais en matière de sida, ce syndrome est directement lié au stress oxydatif et au statut antioxydant. Dès lors, plus que dans bien d'autres maladies, le recours aux antioxydants est plus que jamais justifié en matière de sida et nous avons déjà vu qu'il existe de nombreuses études scientifiques qui l'ont démontré à multiples reprises (et qui continuent à le démontrer). En conclusion, la partie de cet article critiquant l'usage des antioxydants ne peut être considérée comme objective et n'a guère d'intérêt car émanant d'une journaliste se comportant en bonne porte-parole dévouée et servile de l'industrie pharmaceutique, laquelle a pour but de casser tout ce qui peut nuire à ces intérêts financiers. Et le cas des antioxydants non brevetables est un très bon exemple à cet égard ! Remarque : Il ne faut pas s'étonner de ne (quasiment) plus retrouver d'AZT dans les tri"thérapies". On en a déjà donné des raisons (entre autres : l'AZT est éminemment toxique). Mais il y en a aussi une autre : les brevets protégeant l'AZT ont expiré fin 2005 aux USA et début 2006 en Europe !
  11. Ci-dessous, le résumé d'une étude très intéressante parue en janvier de cette année et d'où il ressort que la pneumocystose est très loin d'être une maladie essentiellement réservée aux seuls séropositifs, comme le prétend - à tort - l'orthodoxie du sida : En effet, sur les 118 cas - prouvés - de pneumocystose relevés dans cette hôpital suédois de janvier 1991 à décembre 2001, 75% de ces cas se sont retrouvé ... chez des séronégatifs ! Et encore plus "étonnant" : 17% des patients ayant souffert d'une pneumocystose suivaient "pourtant" un traitement prophylactique. Lorsqu'on sait que le traitement "préventif" de choix de l'orthodoxie du sida pour la pneumocystose n'est rien d'autre que le Bactrim, dont on sait qu'il est pourtant de nature à causer sur le long terme le sida sur ordonnance, on ne s'en étonnera guère !
  12. wallypat

    Guérir le Sida!

    Qu'est-ce que l'orthodoxie du sida en sait ? En fait, l'orthodoxie du sida n'utilise pas l'alimentation comme moyen de guérir du sida mais bien comme moyen pour permettre aux sidéens nutritionnels de "tenir" jusqu'à ce que l'Etat africain en question arrive à gratter ses fonds de tiroir pour trouver les fonds nécessaires pour acquérir les si "bénéfiques" et surtout si coûteuses trithérapies. Vu la toxicité de celles-ci, il n'est pas étonnant que les sidéens nutritionnels finissent par mourir de ce qui est appelé "sida" "malgré" une bonne alimentation. Car les témoignages ne manquent pas qui prouvent qu'une alimentation correcte, avec de bonnes mesures d'hygiène, permet de guérir du sida. En d'autres termes, lutter contre la manultrition et la pauvreté permet de guérir le sida nutritionnel, et non les drogues dites "antirétrovirales". Que le lecteur lise par exemple les articles suivants pour s'en convaincre. 1) Tanzanie, région de la Kagera, épicentre du SIDA il y a 15 ans : Quen est-il aujourdhui ? 2) SIDA en Afrique. Une expérience de terrain en Tanzanie. 3) Le SIDA n'est pas une condamnation à mort. Et l'orthodoxie du sida prétend encore que les tri"thérapies" sont la solution pour le sida nutritionnel ? Tout simplement écoeurant ... et criminel !
  13. wallypat

    Le glutathion

    Une solution ne pourrait-elle pas consister à consulter le Conseil de l'Ordre des Médecins du "coin" pour demander les coordonnées des (rares, semble-t-il) médecins spécialisés en la matière ? Voilà qui n'est franchement pas encourageant ! Un autre témoignage précisait d'ailleurs que le médecin contacté n'était même pas en mesure d'écrire correctement le mot "glutathion" et qu'il avait dû consulter son dictionnaire. Véridique ! Pas étonnant que la plupart d'entre eux (si pas presque tous !) ne savent pas que cela se mesure, qu'il existe des valeurs de référence, et encore moins qu'il existe une relation étroite entre la baisse du niveau de glutathion et le risque de survenance du sida. Bref, tout reste encore à faire pour prévenir et traiter correctement le sida !
  14. wallypat

    Le glutathion

    PROPOSITION DE BILAN NUTRITIONNEL Vu les difficultés que cela semble susciter en France (ce qui ne me lasse pas de m'étonner d'ailleurs) et comme cela paraît assez urgent pour certains, je reproduis déjà ci-dessous l'intégralité des différentes mesures qui furent effectuées dans mon propre bilan nutritionnel (à faire à jeun, bien sûr) HEMATOLOGIE Hémoglobine Hématocrite Erythrocytes MCV MCHC MCH Leucocytes Formule Neutrophiles Lymphocytes Monocytes Eosinophiles Basophiles Plaquettes Réticulocytes Ferritine Transferrine TYPAGE LYMPHOCYTAIRE T3 (CD3+) B Lymphocytes (DR, CD19+) T4 (CD4+) T8 (CD8+) Rapport T4/T8 T4 (CD4+45R0+) Rapport T4M/T4 T8 (CD8+CD57-) T8 (CD8+CD57+) CD8+CD57-/CD8+CD57+ T activés NK1 (CD8-,CD57+) NK2 CD3+ (CD16+/CD56+) NK3 (CD3-,CD16+/CD56+) Lymphocytes (CD5) FONCTION RENALE Acide urique Urée Créatinine BIOCHIMIE DES GLUCIDES Glycémie à jeun EQUILIBRE HYDRO-MINERAL 25-hydroxy-Vitamines D BIOCHIMIE DES LIPIDES Triglycérides Cholestérol total Cholestérol HDL Cholestérol LDL (calculé) Indice athérogénique STATUT DES ACIDES GRAS LIES AUX PHOSPHOLIPIDES Acide Myristique Acide Palmitique Acide Stéarique Acide Pentadécylique Acide Palmitoléique Acide Cis-vaccénique Acode Oléique Acide Gadoléique Acide Transvaccénique Acide Elaïdique Acide Linoléique Acide Gammalinolénique Acide Dihomogammalinolénique Acide Arachidonique Acide Docosapenténoïque Acide Alphalinolénique Acide Eicosapentaénoïque Docosahexaénoïque Rapport W6/W3 (oméga 6/oméga 3) METABOLISME DES PROTEINES Protéines totales Albumine IgA IgG (Remarque : tant que cela ne revient pas dans la "norme", il y a très peu de chance de redevenir séronégatif) IgM Pre-albumine Orosomucoide Céruloplasmine Haptoglobine Alpha-1-antitrypsine Alpha-2-macroglobuline Fibronectine Complément C 3 Complément C 4 TESTS HEPATIQUES GOT GPT Bilirubine totale Bilirubine directe Bilirubine indirecte STATUT ANTIOXYDANT Test de résistance aux RO° (il s'agit du test biologique KRL : Potentiel de défense anti-radicalaire globale sur Sang total & Hématies) GPX mes. GPX SOD mes. SOD Glutathion réduit mes. Glutathion réduit Protéines SH Vitamine E Vitamine E/Chol Vitamine A Béta-Carotène Coenzyme Q10 (à ma demande expresse) Sélénium Zinc Cuivre TESTS INFLAMMAT. ET RHUMAT. Protéine C-Réactive MPX ENDOCRINOLOGIE TSH T4 libre Après toutes ces analyses, des profils (avec de très beaux schémas et tableaux colorés ! lol) furent ensuite établis : TEST BIOLOGIQUE KRL (potentiel de défense anti-radicalaire : déjà cité ci-dessus sous le point "Statut antioxydant") PROFIL PROTEIQUE PT : Protéines totales IgM : IgM IgG : IgG IgA : IgA C3 : Complément C3 C4 : Complément C4 FIBRO : Fibronectine FERI : Ferritine TF : Transferrine CERU : Céruloplasmine HAP : Haptoglobine ORO : Orosomucoïde A1T : Alpha-1 Antitrypsine CRP : CRP A2M : Alpha-2 Macroglobuline PRAL : Préalbumine ALB : Albumine RTA : Transferrine/Albumine RHO : Haptoglobine/Orosomucoïde RTO : Transferrine/Orosomucoïde BILAN NUTRITIONNEL ET ANTIRADICALAIRE AU : Acide urique HB : Hémoglobine BIT : Bilirubine totale GPX : Glutathion peroxydase SE : Sélénium SOD : Superoxyde dismutase ZN : Zinc CERU : Céruloplasmine FERI : Ferritine TRF : Transferrine CHOL : Cholestérol total HDL : HDL cholestérol LDL : LDL Cholestérol TG : Triglycérides HAP : Haptoglobine ORO : Orosomucoïde CRP : CRP MPX : Myéloperoxydase leucocyt PRE : Prealbumine ALB : Albumine STATUT DES ACIDES GRAS AGS Acide Myristique (Myr) Acide Palmitique (PaL) Acide Stéarique (AS) Acide Pentadécylique (Pent) AGMIS Acide Palmitoléique (PoL) Acide Cis-vaccénique (Vac) Acode Oléique (AO) Acide Gadoléique (Gad) AGT Acide Transvaccénique (T-Vac) Acide Elaïdique (El) Oméga 6 Acide Linoléique (LN) Acide Gammalinolénique (GLA) Acide Dihomogammalinolénique (DGLA) Acide Arachidonique (AA) Acide Docosapenténoïque (DPA) Oméga 3 Acide Alphalinolénique (LNA) Acide Eicosapentaénoïque (EPA) Docosahexaénoïque (DHA) Rapport Oméga 6 / Oméga 3 STATUT DE STRESS OXYDATIF Défenses antioxydantes VITA : Vitamine A VITE : Rapport vit E/Cholestérol total Q10 : Coenzyme Q10 AU : Acide urique SOD : Superoxyde dismutase GPX : Glutathion peroxydase GSH : Glutathion réduit PSH : Protéines SH SE : Sélénium ZN : Zinc Pro-oxydants en excès Cuivre Ferritine Transferrine TYPAGE LYMPHOCYTAIRE GB : Globules blancs PN : Polynucléaires neutrophiles LYM : Lymphocytes BT : B totaux (DR,CD19+) T3 : T3 (CD3+) TAC : T activés (CD3+,DR+) T4 : T4 (CD4+) T8 : T8 (CD8+) T4/T8 (CD4+/CD8+) T4M : T4 mémoires (CD4+,CD45RO+) T4M/T4 (CD4+,CD45RO+/CD4) T8C : T8 cytotoxiques (CD8+,CD57-) T8S : T8 suppresseurs (CD8+,CD57+) T8C/8S : T8C/T8S (CD8+, CD57-/CD8+, CD57+) NK1 : NK1 (CD8-,CD57+) NK2 : NK2 (CD3+, CD16+/CD56+) NK3 : NK3 (CD3-, CD16+/CD56+) Voilà. Comme précisé dans le titre de ce post, il s'agit d'une proposition de bilan nutritionnel. Si quelqu'un souhaite émettre des suggestions pour affiner cette proposition de bilan nutritionnel, en particulier dans l'optique "sida", qu'il n'hésite pas, je suis preneur ! Enfin, le coût brut de ces analyses facturé par le laboratoire s'est élevé à 236,02 EUR (en Belgique donc, en France, je ne sais pas). Après intervention de la sécurité sociale pour un montant de 83,45 EUR, j'ai donc encore dû payer de ma poche 152,57 EUR (sans compter les honoraires du médecin nutritionniste, bien sûr). C'est cher, bien sûr, mais au moins, je suis convaincu d'être bien mieux suivi que par les "experts" "VIH", quand bien même le médecin nutritionniste en question penserait encore que le sida est causé par le "VIH".
  15. Je résumerai donc ici ce que je tai expliqué hier en privé, à savoir : - quil y a toutes les raisons de penser que la baisse de tes lymphcocytes T4 nest pas la cause de ta maladie actuelle, mais bien sa conséquence (je suis en train danalyser actuellement la question des lymphocytes T4 et jai constaté, entre autres choses, que chez des séronégatifs, dinnombrables maladies causent des baisses très prononcées des lymphocytes [parfois largement même en dessous de 100 T4], la guérison entraînant corrélativement et progressivement le retour au niveau « normal » des lymphocytes T4 ; par ailleurs, des études effectuées dans des groupes à risque de sida, chez des personnes pas encore séropositives, les lymphocytes T4 commencent déjà à très fortement baisser, avant même quelles deviennent donc séropositives, ... et donc sans que le « VIH » ne soit nécessaire pour lexpliquer, les agents oxydants auxquels sont exposés lesdits groupes à risque de sida permettant déjà de lexpliquer) ; - que tu ne dois de toute façon pas abandonner les bras et que ce nest que partie remise : avant deffectuer une nouvelle tentative darrêt des trithérapies, fais cette fois-ci et préalablement un bilan nutritionnel approfondi (dont entre autres la mesure de ton niveau de glutathion), pour constater les carences que ce bilan ne manquera certainement pas de constater (ce ne sera dailleurs pas forcément et systématiquement une carence en glutathion). En tout état de cause, tâche de récupérer au plus vite et ne stresse pas trop. Dautres (mais pas tous avec succès, il est vrai) avant toi ont arrêté leurs trithérapies et y sont arrivés, parfois avec rechute des années plus tard (doù la nécessité de continuer à se faire régulièrement suivre et à faire un bilan nutritionnel tout aussi régulièrement).
  16. La publication de 1983 par laquelle un nouveau rétrovirus (ultérieurement dénommé "VIH") aurait été découvert est celle de Montagnier. Tu trouveras la mise à mort en règle de cette publication et donc de la prétendue découverte du "VIH" en lisant par exemple cet article (en français) du Perth Group, intitulé "Commentaire sur l'interview avec Montagnier par Djamel Tahi". Il est hallucinant que l'orthodoxie du sida fasse comme si ces critiques, rédhibitoires, n'existaient pas, à défaut de pouvoir les réfuter.
  17. Si on lit toute la synthèse collective, toutes les réfutations (ou presque) s'y trouvent déjà. Alors, en résumé et rapidement : Et l'esprit critique ? PS : Je ne constate finalement qu'une seule chose : les orthodoxes du sida, tels ceux du forum futura-sciences, viennent à peu près toujours avec les mêmes arguments. Qu'ils se donnent la peine de lire la synthèse, et on ne perdra plus de temps à répéter encore et encore les mêmes réfutations (restées elles-mêmes irréfutées, pour la plupart, si pas toutes, par l'orthodoxie du sida).
  18. Bonsoir Nagon, et sois le bienvenu. La dernière chose à faire est bien sûr d'arrêter les drogues dites "antirétrovirales" sans continuer à te faire suivre (mais ce n'est justement pas le cas pour toi, justement et heureusement). Mais bien plus que tes lymphocytes T4 (et ne parlons même pas de cette sottise de charge "virale"), fais-toi contrôler (très) régulièrement ton niveau de glutathion (et entre autres ton glutathion réduit), qui constitue à ce jour le seul réel marqueur pouvant prédire une évolution vers le sida, selon les preuves scientifiques fournies par le Perth Group lui-même, et essaie de faire en outre, plus ou moins régulièrement, un bilan nutritionnel (outre le niveau de glutathion à surveiller de toutes façons régulièrement). Cela te permettra ainsi de mettre toutes tes chances de ton côté pour éviter de devoir à nouveau recourir aux drogues dites "antirétrovirales". De manière générale, je t'invite à lire déjà attentivement le topic "Le glutathion" ainsi que le topic "Survivant" où tu trouveras le témoignage d'une autre personne ayant récemment arrêté ses drogues dites "antirétrovirales". Bonne chance en tout état de cause !
  19. wallypat

    Le glutathion

    Cela voulait en premier lieu dire arrêter définitivement de prendre du poppers ! Je ferai ma prise de sang (à jeun, bien sûr) fin octobre prochain et un mois plus tard, j'aurai le résultat complet de mon bilan nutritionnel. Comme heureusement pour moi, je n'ai jamais eu de sida en 6 ans (du moins officiels) de séropositivité, et comme je n'ai aucune envie de céder à la panique, j'estime que dans mon cas, faire un bilan nutritionnel tous les six mois est plus qu'assez. En revanche, pour ceux qui viennent d'arrêter les trithérapies (de façon plus ou moins contrôlée bien sûr), je pense qu'il serait à tout le moins judicieux de faire contrôler au moins le niveau de glutathion (en particulier, le glutathion réduit si je ne me trompe pas), bien plus souvent que tous les six mois ! Tous les deux ou trois mois par exemple ? Dans un prochain post, quand j'aurai le temps, je rédigerai un post où je reprendrai précisément tous les points qui furent analysés dans mon propre bilan nutritionnel (il y en a une centaine au moins). Mais pour le moment, je préfère me concentrer sur la question des lymphocytes T4, que j'estime tout simplement essentielle.
  20. wallypat

    Le glutathion

    Juste pour ajouter dans ce topic-ci que dans le cadre de mon propre bilan nutritionnel (que je relis), deux "sortes" de glutathion furent analysées : - le glutathion péroxydase (GPX) (où mon niveau était "normal", quoique extrêmement fort en bas de la fourchette "normale"), et - le glutathion réduit (GSH) (où mon niveau était un peu en dessous du niveau le plus bas "normal"). Et si je me rappelle bien, c'est tout particulièrement le glutathion réduit qui protège les cellules immunitaires contre le stress oxydatif (sauf erreur de ma part). Bref, pour ce qui me concerne, sans être catastrophiques, les valeurs obtenues sont loin d'être brillantes et il était donc grand temps que je réagisse de façon appropriée. Je ne donne pas les fourchettes "normales" de référence car ces fourchettes dépendent, me semble-t-il, entre autres de l'âge et du sexe.
  21. Evidemment, encore une fois. Tout le monde aura en effet compris que ce n'est pas le "VIH" qui se propage davantage chez les femmes et chez les hétérosexuels (non toxicomanes) que chez les gay et les toxicomanes, mais bien les tests appelés par erreur "VIH". Lorsqu'on sait à combien de stimuli (plus de 80) ces tests dits "VIH" peuvent réagir positivement, ces stimuli pouvant bien sûr également être présents chez les femmes et hétérosexuels (non toxicomanes), et sans que ces stimuli aient quelque rapport que ce soit avec le "VIH" (à supposer même que ce dernier aurait existé), il n'est dès lors pas étonnant que l'on trouve davantage de nos jours de séropositifs chez les femmes et les hétérosexuels (non toxicomanes), les tests appelés "VIH" connaissant à l'heure actuelle une épidémie au sein de cette population (et non le « VIH » bien sûr)!
  22. Bon, en attendant que j'analyse minutieusement le sujet des lymphocytes T4 sur base des nouveaux éléments que j'ai de prime abord trouvé, et que j'esquisse un post plus long à ce sujet (dans quelques semaines, si tout va bien), voilà déjà, quelques premières courtes et rapides (car sans références dans ce post-ci) réflexions sur le sujet (à considérer bien sûr comme un essai, pas comme une vérité de l'Evangile ! [lol]). D'abord, la phrase qui tue ! (lol) 1)La phrase qui tue ! "La mesure des lymphocytes T4 ne peut pas être un marqueur fiable de l'évolution vers le sida déclaré car elle n'est tout simplement pas un marqueur fiable d'une aggravation du stress oxydatif." (dont on sait qu'elle mènera au sida) ! 2) Premiers courts développements théoriques (pas encore d'applications pratiques dans le cadre de ce post-ci, quoiqu'on peut déjà en deviner quelques-uns) 1°) La baisse des lymphocytes T4 n'est pas un marqueur fiable de l'aggravation du stress oxydatif et, par conséquent, ne peut prédire de façon fiable l'évolution vers le stade du sida. Rappelons-nous en effet que le sida est caractérisé par une augmentation de plus en plus élevée des cellules immunitaires de type TH2 qui activent l'immunité par anticorps ou immunité humorale (lesquels anticorps augmentent tellement qu'ils dépassent finalement le seuil au-delà duquel on est déclaré séropositif), augmentation provoquée par l'organisme en vue de tenter de compenser la baisse de plus en plus élevée des cellules immunitaires de type TH1 ou immunité cellulaire, productrice de monoxyde d'azote (protégeant justement contre les maladies caractéristiques ou "exotiques" du sida), baisse provoquée par une hyperstimulation trop longue et/ou trop forte (ou stress oxydatif) de celles-ci. Tout cela est d'ailleurs depuis peu récemment admis par l'orthodoxie du sida (et a d'ailleurs été couronné par un Prix Nobel en 1998). La mesure des lymphocytes T4, et plus particulièrement la baisse de ceux-ci (telle qu'elle est mesurée) ne peut donc pas être un marqueur fiable de l'aggravation du stress oxydatif (et donc d'évolution vers le sida) : a) car la mesure de ces fameux lymphocytes T4 ne permet pas de faire la distinction entre les TH1 et les TH2 : contrairement à ce que je pensais, absolument rien ne prouve que les fameux 2 à 3% de lymphocytes T4 circulant dans le sang ne sont que les TH1 alors que les 97 à 98 autres % se trouvant dans les tissus ne seraient que les TH2 (en réalité, aussi bien dans les 2% de lymphocytes T4 se trouvant dans le sang que dans les 98% de lymphocytes T4 se trouvant dans les tissus, on retrouve tant les cellules immunitaires de type TH1 que les cellules immunitaires de type TH2, en sorte que le fameux argument de la dissidence du sida du rapport 2%/98% reste parfaitement valable, mais uniquement en tant que cet argument se rapporte au fait qu'une baisse des lymphocytes T4 ne peut prédire d'aucune façon le syndrome du sida), b) car la répartition des cellules immunitaires entre type TH1 et TH2 ne se retrouve pas uniquement dans les lymphocytes T4 mais également dans d'autres types de lymphocytes, tels que les presque tout aussi fameux lymphocytes T8 : par conséquent, mesurer uniquement les lymphocytes T4 ne permet toujours pas de dire s'il y a effectivement une baisse effective de cellules immunitaires de type TH1 (une bonne partie de ceux-ci pouvant parfaitement encore et entre autres se retrouver dans les lymphocytes T8), c) car le stress oxydatif s'attaque aux cellules immunitaires de type TH1, peu importe qu'elles soient des lymphocytes T4, T8, ... : la seule mesure des lymphocytes T4 ne peut donc servir de marqueur fiable ou même quelconque d'une aggravation du stress oxydatif, d) et car la baisse des lymphocytes T4 (provoquée par d'autres facteurs que le stress oxydatif) est compensée par une hausse des lymphocytes T8, la somme des deux restant grossièrement constante : on ne sait donc toujours pas si ce sont les cellules immunitaires de type TH1 qui sont attaquées par le stress oxydatif). En revanche, une baisse (parfois extrêmement profonde) des lymphocytes T4 est la marque d'autres événements pouvant fortement affecter l'organisme : maladies diverses, stress psychologique intense et répété, isolation sociale, infections virales et bactériennes diverses, variation journalière parfois extrêmement élevée, etc... La confusion d'où il est ressortit jusqu'à nos jours encore que la baisse des lymphocytes T4 serait la marque d'une évolution vers le sida résulte du fait que les différents événements cités ci-dessus (maladies, stress psychologique intense et répété, etc...) causant une baisse des lymphocytes T4 sont également de très mauvais augure, en sorte que la baisse des lymphocytes T4 a été interprétée comme un marqueur (et même comme le meilleur marqueur !) de l'évolution vers le stade du sida déclaré. Or il ne peut en être rien puisque nous venons de voir ci-dessus que la mesure des lymphocytes T4 ne permet pas de savoir si les cellules immunitaires de type TH1 sont effectivement en train de mourir. Cela explique qu'un nombre non négligeable de cas de sida peut se produire même avec un taux normal de lymphocytes T4 et qu'un nombre non négligeable de séropositifs ne font pas de sida malgré des taux extrêmement bas de lymphocytes T4 des années durant. En réalité, on ne devrait pas parler d'apoptose des lymphocytes T4 mais bien d'apoptose des cellules immunitaires de type TH1 (dont les lymphocytes T4 [mais pas eux uniquement, en outre] en comprennent). En d'autres termes, c'est la grille d'analyse qui est complètement mauvaise ! La baisse des lymphocytes T4 peut certes (assez souvent) être de mauvais pronostic, mais en soit, cette mesure ne détecte pas l'apoptose des cellules immunitaires de type TH1 et ne peut donc pas servir de marqueur prédictif d'évolution vers le sida. 2°) Seule la mesure du niveau de glutathion constitue un marqueur fiable d'évolution vers le sida Pourquoi ? Et ici, je n'envisagerai que le sida de type occidental (pas le sida "africain" ou de manière générale, du sida causé par la pauvreté, la manultrition, les maladies endémiques, etc... car ce sont des cas à part : leur relation avec le sida "traditionnel" est assez artificiel). Comme déjà signalé par Cheminot à plusieurs reprises, le sida "occidental" est surtout dû aux oxydants azotés (et tout particulièrement le peroxynitrite qui constitue la forme la plus toxique d'oxydant azoté). Or il se fait que l'organisme humain n'a pas été particulièrement constitué pour combattre une telle forme de stress oxydatif azotée, en particulier lorsqu'elle devient si abondante. La seule protection antioxydante possible, quoique loin d'être parfaite, consiste dans les sélénoprotéines, et tout particulièrement le système glutathion/glutathion peroxydase/glutathion réductase. Mais à force d'accumulation de ces oxydants azotés, le niveau de glutathion baisse ... pour finir par aboutir au sida. Toutes les études faites sur le rapport glutathion/sida (quoique éminemment moins nombreuses que sur les lymphocytes T4 : et c'est normal, puisque l'orthodoxie du sida reste encore convaincue que le sida a quelque rapport que ce soit avec les lymphocytes T4, alors qu'elle ferait bien mieux d'adopter une autre grille d'analyse, à savoir le rapport entre les cellules immunitaires de type TH1 et celles de type TH2, les lymphocytes T4 ne faisant que recouper, tout à fait partiellement et sans exclusivité, cette première grille d'analyse) arrivent à la conclusion et visiblement sans la moindre exception que le stade sida est caractérisé par une carence extrême en glutathion (et aussi en sélénium, ce qui est logique puisque le sélénium entre dans la composition de glutathion), seul antioxydant capable de lutter (quoique loin de l'être vraiment parfaitement) contre un excès d'oxydants azotés, les plus toxiques de tous étant les fameux péroxynitrites (pas étonnant dès lors que le premier groupe à risque de sida "occidental" reste les gay consommateurs entre autres de poppers puisque le poppers n'est déjà rien d'autre que du nitrite). 3) Conclusion Les considérations qui précèdent, fussent-elles établies sur le plan de l'explication théorique, paraissent donc de nature à définitivement prouver que la mesure des lymphocytes T4 ne peut en soi constituer un marqueur fiable de prédiction vers le sida, mais bien la mesure du niveau de glutathion (et uniquement le glutathion car seul le glutathion protège assez efficacement contre les oxydants azotés). Cette croyance que la mesure des lymphocytes T4 serait un marqueur fiable de prédiction du sida résulte de la constatation que généralement, il a été statistiquement constaté qu'une baisse des lymphocytes T4 est de mauvaise augure. Mais il s'agit-là d'une mauvaise grille d'analyse car en soi, la mesure de ces fameux lymphocytes T4 n'est pas un marqueur du tout d'une aggravation de stress oxydatif, cette mesure ne faisant pas la distinction entre les cellues immunitaires de type TH1 et de type TH2. PS : Cela me fait penser à une chose : outre le glutathion, ne pourrait-il pas y avoir un second marqueur fiable d'évolution vers le sida qui recouperait la grille d'analyse "glutathion", à savoir tout simplement la mesure chez la personne testée du rapport entre les cellules immunitaires de type TH1 et celles de type TH2 ? PS : Dans un bien plus long post ultérieur, je tâcherai de mettre en pratique, par des exemples, les considérations théoriques qui précèdent. Mais pour cela, je dois d'abord mieux analyser les éléments que j'ai pu retrouver, ce qui me prendra un peu de temps.
  23. wallypat

    Oxyde nitrique

    Bonjour Lasimar. Je me rappelle très bien qu'il y a quelques mois, dans le topic "Le VIH ne causerait pas le sida" (deuxième partie), tu nous avais précisé que tu prenais entre autres du fer comme complément alimentaire. N'as-tu pas envisagé que tes problèmes de santé, ou une partie de ceux-ci, puissent être la conséquence de cette consommation de fer ? Par ailleurs, quel fer consommes-tu ? Est-ce du fer chelaté ou non ? Peut-être devrais-tu envisager d'abandonner (si ce n'est déjà fait) cette consommation de fer (en particullier s'il n'est pas chelaté) et voir si cela va mieux ou non. Enfin, ce n'est qu'une suggestion car seul un bilan nutritionnel approfondi permettra de voir un peu plus clair.
  24. wallypat

    Oxyde nitrique

    Concernant cette "affaire" du fer, et du fer chelaté en particulier, voilà ce que j'ai pu trouver, tour particulièrement dans cet article-ci, datant de novembre 2000. Or, j'en prends justement des flavonoïdes (cela fait partie des remèdes de choix pour prévenir le sida), entre autres des extraits de pépins de pamplemousse (en cure) et du Padma 28 (tous les jours). Donc, de prime abord, vu que j'ai une carence en fer, il semble bien que je fais très bien de prendre du fer chelaté (et non des sels de fer). Et si, en plus, le fer chelaté inhiberait la synthèse de l'oxyde nitrique (comme hypothétisé dans les posts de Liane et de Cheminot qui précèdent), cela ne pourrait être que du tout bon pour moi vu tout l'oxyde nitrique que j'ai accumulé pendant 10 ans (poppers). Tout cela prouve combien il est absolument nécessaire de faire un bilan nutritionnel régulièrement, en particulier lorsqu'on prend divers compléments alimentaires. Et je suis bien curieux de connaître les prochains résultats du mien, du moins en novembre prochain.
  25. Bonsoir Psyence. Je dois finalement t'adresser un coup de chapeau sur le sujet de l'absence de fiabilité des lymphocytes T4 ! Pour quelqu'un qui dit ne pas encore savoir pour quelle thèse pencher (orthodoxie du sida ou dissidence du sida), tu défends en réalité très bien certains arguments de la dissidence, que, moi, j'avais depuis peu commencé à remettre en question (sans bien sûr que cela ait quelque incidence que ce soit sur le fait que le sida n'est pas causé par le "VIH"). En effet, comme tu n'arrêtais pas de remettre en question le bien-fondé de ne fût-ce que la fiabilité relative de la mesure des lymphocytes T4, j'ai été amené à faire des recherches complémentaires, plus approfondies et d'un premier examen, il paraît de plus en plus en ressortir que la mesure des lymphocytes T4 n'a aucune espèce de fiabilité pour prédire le sida (aussi étonnant que cela puisse paraître au premier abord, du moins pour moi) et que le seul, unique et bon marqueur prédictif de l'évolution vers le sida est ... le glutathion ! Si cela se confirme, cela signifierait donc que sur les 150.000 séropositifs que compterait la France, seuls les quelques dissidents de ONCT qui font contrôler leur taux de glutahion sont en réalité correctement suivis ! L'affirmation selon laquelle les lymphocytes T4 ne constituent pas un marqueur fiable du tout a d'autant plus de poids que l'on peut maintenant dire que le bon marqueur est en réalité la mesure du glutathion, et uniquement le glutathion d'ailleurs (il faut quand même reconnaître que simplement affirmer que la mesure des T4 n'est pas un marqueur fiable de prédiction du sida, sans dire quel serait alors le ou les autres bons marqueurs ne fait pas très sérieux, ce qui pourrait alors décrédibiliser la dissidence du sida !). Bon, je sais que tout cela n'est que de simples affirmations pour le moment mais j'espère que dans quelques semaines (quand j'aurai terminé les recherches en question), je serai en mesure de rédiger un post (bien) plus long pour expliquer cela. Visiblement, on pourrait prochainement et apparemment définitivement voir bien plus clair sur la question des lymphocytes T4 et cela, grâce au glutathion justement ! En tout cas, Psyence, merci pour ta ténacité sur le sujet (d'autant plus que cette absence quasiment totale de fiabilité des lymphocytes T4 ne fait que renforcer davantage, encore et toujours, l'explication du stress oxydatif comme cause du sida, comme j'espère le démontrer dans ce futur post)!
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