Aller au contenu
forum sidasante

wallypat

Modérateurs
  • Compteur de contenus

    1 158
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Days Won

    1

Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Je te remercie pour ta contribution ... qui prouve que tu n'as rien lu de la synthèse collective, du moins les points concernant l'isolation et les tests dits "VIH", étape NECESSAIRE pour tous ceux qui n'ont jamais entendu parler des arguments de la dissidence du sida et/ou qui ne les ont pas compris, ce qui semble manifestement ton cas. En effet, ton expérience ne prouvera rien car il présuppose que les tests dits "VIH" auraient déjà la prétention de détecter la "contamination" par le "VIH" ne fût-ce que déjà dans un cas. Je t'invite à lire au moins le Chapitre III de la synthèse. Si après l'avoir lu, tu es en mesure de me dire en quoi les tests dits "VIH" sont la preuve d'une infection par le "VIH", je serai très heureux de connaître tes arguments. Car à défaut d'apporter cette ou ces preuves, le résultat de ton expérience projetée aura autant d'intérêt que de constater que trois mois après un rapport à risque avec une personne ayant un cancer de poumon, la personne ayant pris ce risque a également un cancer de poumon et d'y voir là la preuve d'une transmission sexuelle du cancer de poumon. Alors que d'autres explications (tout comme ces nombreuses autres explications existent également en matière de "VIH") tombent sous le sens, par exemple le fait qu'ils étaient tous les deux des fumeurs. Il n'y a en effet pas de corrélation et encore moins une relation de cause à effet mais uniquement coïncidence entre la relation sexuelle dite à risque (de cancer de poumon/de séropositivité; avec une exception, mais je ne vais pas rentrer dans les détails) et l'apparition du cancer du poumon. Alors, tu me diras que oui, cela peut n'être qu'une coïncidence que pour autant que des "coïncidences" de ce genre soient rares, car si cette coïncidence est au contraire fréquente (et pour autant que les tests dits "VIH" ont effectivement la prétention de détecter une "contamination" par le "VIH" ne fût-ce que dans au moins un seul cas, ce qui n'est pourtant déjà jamais le cas), il devient alors quasiment impossible de parler de coïncidence. Mais c'est justement là le problème : à supposer même que la transmission sexuelle de la séropositivité soit une possibilité envisageable, il est constaté que le risque de supposée transmission de la séropositivité (je dis "séropositivité" car avant de parler d'une éventuelle transmission sexuelle de "VIH", il faudrait déjà préalablement prouver que le "VIH" existe; en revanche, le fait que des personnes puissent réagir positivement à un test dit "VIH" n'ayant pas la moindre spécificité au "VIH" est bien un fait, raison pour laquelle j'utilise le terme "séropositivité", non en tant qu'elle signifierait "contamination par le 'VIH'" mais bien résultat positif à ce test dit "VIH" n'ayant pas la moindre spécificté) est grosso modo de 1 sur 1111 pour le rapport homme-femme et d'environ de 1 sur 8888 de femme à homme (voir la synthèse : Chapitre IV, D) Conséquences, 3) 3) La séropositivité n'étant pas sexuellement transmissible, le SIDA ne peut en aucune façon être une MST, a) Les taux officiels de la (bien hypothétique) transmission sexuelle de la séropositivité entre sérodiscordants). En d'autres termes, à supposer que l'on tombe sur l'un de ces rares (vu les statistiques précitées, émanant au surplus des instances gouvernementales elles-mêmes, on ne peut trouver mieux et plus sérieux comme référence) cas de supposée transmission sexuelle de la séropositivité, il ne faudra y voir qu'une coïncidence, et cette explication de la "coïncidence" ne peut devenir qu'une certitude lorsqu'on a constaté que les tests dits "VIH" n'ont rien de spécifiques au "VIH" et que leur positivité peut s'expliquer par plusieurs dizaines de facteurs différents. Enfin, quant au fait que la supposée transmission sexuelle de la séropositivité est beaucoup plus élevée (grosso modo de 1 "chance" sur 200" à 1 "chance" sur 50 en cas de pénétration anale réceptive) tout en restant toutefois toujours insignifiant aux probabilités de transmission de (vraies) MST, cela est simplement expliqué par le fait que les ceux adoptant des pratiques sexuelles dites "risquées", telles que justement la pénétration anale réceptive, sont bien plus exposés (= les groupes à risque de sida) que les autres groupes de la population aux dizaines de différents facteurs pouvant rendre les tests dits "VIH" positif. Je te souhaite une bonne lecture préalable et attentive de la synthèse afin que tu puisses ensuite et éventuellement contribuer réellement et efficacement au débat. Je t'en remercie d'avance. Cordialement.
  2. Bonjour, Psyence. Juste pour te dire que je te répondrai dès que possible. Comme toujours, "à cause" de tes questions, j'ai dû mieux analyser encore mieux les problèmes de ces différentes "isolations". Je suis arrivé à la conclusion qu'il y avait quelques (grosses) erreurs (désolé) sur certains points dans mes deux posts qui précèdent, erreurs qui justifient tes interrogations. Mais maintenant, je crois pouvoir dire que j'ai enfin vraiment compris les problèmes en question avec ces différentes "isolations" et je n'ai maintenant plus aucun doute (ou plutôt, mon absence de doute n'a fait que se renforcer) quant au fait que le "VIH" n'a jamais été isolé et quant au fait que la méthode aboutissant à la purification est vraiment infaillible et efficace pour détecter des rétrovirus (à moins d'invoquer la légendaire fragilité du "VIH"). Je tâcherai de rédiger un post moins long et plus clair pour expliquer cela et j'espère que tu arriveras également à la conclusion qu'effectivement, il n'y aucune raison de croire que le "VIH" a été isolé et existe, alors que la méthode utilisée AURAIT DÛ faire apparaître le "VIH" (à moins d'invoquer la légendaire fragilité du "VIH"). En plus, toutes les références seront en français (je crois), donc tu pourras très bien vérifier par toi-même. Concernant tes présuppositions sur la façon de travailler de Montagnier et Gallo, et bien tu constateras prochainement, qu'effectivement, ils ont bâclé leur travail, ce qui est consternant. Ce laissez-aller de leur part ne peut se justifier que par leur forte croyance antérieure en l'existence d'un nouveau rétrovirus (le "VIH") et leur souci d'interpréter tous les résultats ultérieurs obtenus comme la preuve de l'existence d'un rétrovirus, alors que les résultats ne sont pas spécifiques des rétrovirus (même s'ils leur sont caractéristiques, certes, mais bien loin d'être spécifiques uniquement aux seuls rétrovirus, loin de là d'ailleurs). Un peu de patience ... et vraiment curieux de lire tes réfutations éventuelles ! Cordialement.
  3. Bonsoir Psyence. Cette fois-ci, je dois vraiment faire très vite, à tel point que j'avoue que je n'ai pas eu le temps de lire chaque mot de tes posts avec toute l'attention qu'il mérite cependant. Mais déjà deux remarques. 1) La purification réussie est uniquement celle où on ne voit que(ou presque) des particules d'apparence rétrovirale. Ce n'est qu'à partir de ce moment-là que l'on peut commencer à penser que peut-être ce sont des rétrovirus. On ne le saura ultérieurement qu'en faisant ensuite les étapes ultérieures. Ceci implique qu'il soit nécessaire de continuer à purifier et repurifier (cela peut prendre des semaines !) et repurifier jusqu'à ce qu'on trouve que des particules d'apparence rétrovirale sur la bande 1,16 mg/ml. Ce que reproche le Perth Group, c'est bien que l'on n'a pas été jusqu'au terme de ce processus de purification. Ils ont bien essayé mais ils n'ont pas trouvé que (ou presque) des particules d'apparence rétrovirale. Mais Montagnier et Gallo étaient si sûr que la culture en comprenait (voir le contexte de l'époque) qu'ils ont poursuivi les autres étapes de l'isolation et interprété tous les résultats en question comme si cela était dû à un rétrovirus. Et d'ailleurs, en 1997, Montagnier lui-même a finalement reconnu qu'il n'avait pas purifié. Cette technique n'a absolument rien d'approximatif (et je le rappelle encore, ce n'est pas une exigence du Perth Group mais des meilleurs rétrovirologues au monde) comme tu le prétends. La purification, poussée jusqu'à son terme, est la SEULE technique qui permet d'aboutir à l'apparition de particules d'apparence rétrovirale sur la fameuse bande. Cette purification est nécessaire pour débarrasser la bande en question des innombrables impuretés qui s'y trouvent également. S'il y a effectivement des tas de rétrovirus infectieux qui se multiplient, on DOIT ne trouver que des particules d'apparence rétrovirale après ce long processus de purification, à supposer qu'un tel rétrovirus existe. Il n'y a pas d'autre alternative. Si on ne trouve même pas de particules d'apparence rétrovirale après un tel et parfois très long processus de purification, il n'y a qu'une seule explication possible : il n'y a pas de rétrovirus. Aucune rhétorique au monde ne peut changer cet état de fait constaté par les rétrovirologues dès avant même le milieu du 20ème siècle. En d'autres termes, si le "VIH" existait en tant que rétrovirus, en poursuivant la purification jusqu'à son terme, on DOIT ne trouver que (presque) des particules d'apparence rétrovirale, tout particulièrement lorsque le rétrovirus en question est infectieux. Cela ne fut jamais fait en 1983 et 1984. A défaut d'avoir réellement tenté de purifier, il est tout simplement impossible de savoir si les manifestations constatées ensuite sont bien dus à un nouveau rétrovirus. En 1997, pour la première fois, une vraie tentative purification poussée fut faite; ce fut un échec car on ne trouva que des contaminants, et bien peu de particules d'apparence rétrovirale. L'excuse invoquée (depuis toujours et ce, jusqu'à nos jours [et pour cause, la purification DEVANT aboutir à l'apparition de particules n'ayant qu'une apparence rétrovirale, ce qu'aucun rétrovirologue n'ignore]) est le fait que le rétrovirus "VIH" serait trop fragile pour résister à un tel processus de purification. C'est en fait le même genre d'argument que "Les martiens existent puisqu'il n'a pas été prouvé qu'ils n'existaient pas". Ceci étant, moi je dis ensuite ceci : si le "VIH" est si fragile, à tel point qu'il est détruit par le processus de purification, alors diable, comment les hémophiles ont-ils été contaminés par du "VIH" ... puisque le processus de fabrication du facteur VIII est autrement plus traumatisant pour le "VIH" que même un très long processus de purification ? 2) Dans ce cas, on laisse tout tomber et lon va se faire un barbecue ?!! En fait, ces tests d'anticorps génétiques (PCR) sont TRES précis et TRES valables pour autant que l'on ait eu auparavant la preuve que ce qui est analysé est bien déjà spécifique d'un rétrovirus, chose que l'on ne peut savoir qu'en usant de la technique utilisée par Montagnier et Gallo, ou plutôt prétendument utilisée par Montagnier et Gallo ("prétendument" car ils n'ont déjà pas purifié, sans oublier l'absence de cultures de contrôle valables). Mais, en l'occurrence, ces techniques n'ont aucune espèce de validité parce qu'il n'a jamais été démontré que ce qui est "isolé" par ces techniques d'"isolation" est bien originaire d'un rétrovirus, et encore moins d'un nouveau rétrovirus. S'il avait été prouvé en 1984 que ce qui a été "isolé" était bien un nouveau rétrovirus, alors ces techniques plus rapides sont parfaitement valables et plus rapides non seulement pour détecter du "VIH" mais également des variantes génétiques différentes du "VIH" (génotypes, ...). Mais comme on n'a même pas la preuve que ce qui fut déjà isolé en 1984 est bien un rétrovirus, on ne peut évidemment pas déduire que des formes "mutantes" découvertes ultérieurement de ce qui fut "isolé" en 1984 est également du "VIH". Cordialement PS : Il ne t'est jamais arrivé de penser que Papadopulos avait également raison en matière d'isolation ? PS : Les rétrovirologues savent très bien que la purification DOIT aboutir à l'apparition que (ou presque) de particules d'apparence rétrovirale. C'est bien pour cela que l'excuse de la légendaire fragilité du "VIH" est traditionnellement invoquée par l'orthodoxie du sida pour surmonter cet écueil.
  4. Et sinon, est-ce que tu vas mieux ? L'orthodoxie du sida a-t-elle enfin pu donner un nom aux maux dont tu as souffert (ou souffres encore) ?
  5. Pour ce qui me concerne, je ne pense vraiment pas que c'est un détail. Continuer à défendre la logique de Duesberg en matière de dissidence du sida, comme le font encore de nombreux dissidents américains (mais heureusement, les partisans de Duesberg paraissent diminuer d'années en années, au profit du Perth Group), va permettre à l'orthodoxie du sida de subsister encore de nombreuses années. Certes, Duesberg a fait beaucoup pour la dissidence du sida et cela est inestimable. N'empêche, il a fait son temps. En affirmant que le "VIH" est effectivement un rétrovirus exogène mais qu'il serait inoffensif et passager (sic !) et donc que les anticorps au "VIH" existent, il n'y a pas d'autre choix que d'aboutir à la conclusion que les postulats de Koch sont bien remplis et que, partant, le VIH est bien la cause du sida. Duesberg peut user de toutes les contorsions intellectuelles qu'il veut mais la corrélation entre "VIH" et sida est certaine. En effet, - étant donné qu'il affirme que le "VIH" existe en tant que rétrovirus exogène, - et étant donné que la corrélation entre "VIH" et sida est certaine, Une seule conclusion logique s'impose : le "VIH" n'est pas un rétrovirus inoffensif et passager mais est au contraire pathogène. Bref, en suivant la "logique" de Duesberg, le "VIH" est bien la cause du sida ! L'orthodoxie du sida le sait très bien, et c'est pourquoi elle s'en prend surtout à la "logique" de Duesberg, et non à celle du Perth Group. La logique de Duesberg permet encore à l'orthodoxie du sida de survivre, et n'est pas si terrifiante que cela pour elle, contrairement à la logique du stress oxydatif !
  6. Je ne suis pas d'accord. Les "antirétroviraux" ont tantôt des propriétés antioxydantes, tantôt des propriétés antibactériennes, tantôt des propriétés antimycosiques, etc... Les "antirétroviraux" peuvent donc être utiles pour les sidéens en raison de ces propriétés-là (mais non en raison de leurs soi-disant propriétés antirétrovirales), mais je réserverais l'usage de ceux-ci aux cas graves et devant être traités de toute urgence. Prenons le cas des antiprotéases. Il est affirmé que les antiprotéases vont avoir la propriété de détruire les protéases du "VIH". En réalité, les antiprotéases vont surtout détruire les protéases ... des germes sources des infections caractéristiques du sida ! D'où les propriétés antibiotiques, antivirales, antibactériennes, anti-tout ou presque des antirétroviraux. La (relative) efficacité des antiprotéases n'a donc évidemment rien à voir avec ses supposées propriétés antirétrovirales, on s'en serait douté. Ces antiprotéases vont toutefois également détruire les protéases du corps humain, d'où leurs effrayants effets secondaires très handicapants, parfois mortels.
  7. Il me semble clair que la réponse est assurément positive (sans vouloir faire de jeu de mots ! lol), du moins si le ou la partenaire pratique la sexualité anale réceptive. En effet, si déjà du sperme "séronégatif" est en mesure de causer une séropositivité chez le receveur en raison de son caractère naturellement oxydant, il va de soi que si le sperme est en plus "séropositif", cela signifie que le sperme est encore plus oxydé qu'en temps normal et donc, que le risque de séropositivité est encore plus élevé chez le partenaire receveur !
  8. J'espère donc avoir bien fait comprendre dans mon post précédent que contrairement à ce que déclare de façon très éhontée l'orthodoxie du sida, il ne s'agit nullement de la méthode d'isolation du Perth Group ! Et bien entendu, des rétrovirus ont été isolés avec cette méthode, préconisée non par le Perth Group mais bien par les meilleurs rétrovirologues au monde eux-mêmes. Des rétrovirus animaux ont ainsi bien été isolés de cette façon-là, c'est-à-dire avec purification. Voyez par exemple ici et là. Il est par ailleurs cocasse de rappeler le sort qui fut réservé au premier rétrovirus humain "isolé" par Gallo lui-même d'ailleurs. En effet, les preuves de son isolation étaient bien meilleures (et de très loin d'ailleurs) que celles fournies pour le "VIH". Et pourtant, quelques années plus tard, malgré la circonstance que ces preuves étaient bien meilleures que celles du "VIH", plus personne, pas même Gallo, ne pense que c'était bien un rétrovirus humain exogène. Dès lors que les preuves de l'isolation du "VIH" sont encore bien plus mauvaises que celles du soi-disant premier rétrovirus humain, il est tout simplement ahurissant que l'orthodoxie du sida continue à postuler l'existence du "VIH" ! Tout cela est résumé dans cet article-ci : Imaginez maintenant que ce premier rétrovirus humain ne soit rien d'autre que le "VIH" et vous comprendrez tout de suite l'absurdité dans laquelle nous vivons depuis 25 ans déjà !
  9. Bonsoir Psyence. Cordialement. PS : Je n'aurai sans doute plus beaucoup de temps pour intervenir, du moins certainement pas beaucoup de temps avant vendredi prochain.
  10. Autre preuve, issue dun raisonnement logique, du fait que la pénétration anale réceptive est à elle seule suffisante que pour causer la séropositivité (mais pas forcément chez tous les concernés, bien sûr) ou, à défaut, UNE PREUVE COMPLEMENTAIRE QUE LE SIDA NEST PAS CAUSE PAR LE « VIH » ! 1) Etant donné que lorthodoxie du sida, se fondant sur une interprétation de faits constatés depuis le début de l « épidémie » de sida, considère que la séropositivité est une MST, 2) Etant donné quil est universellement admis que la transmission sexuelle dune MST suppose nécessairement et par définition la présence du germe infectieux dans les sécrétions sexuelles, étant ici le sperme, 3) Etant donné quil ne peut être contesté que le vecteur de cette séropositivité est le sperme à lui tout seul, à lexclusion de tout autre facteur, le sperme étant censé contenir du « VIH » infectieux, 4) Etant donné quil est universellement admis, car constaté dans les faits depuis le début de l « épidémie », que la pénétration anale réceptive constitue lun des facteurs les plus majeurs dacquisition de la séropositivité, 5) Etant donné que ce facteur dacquisition de la séropositivité est si majeur que lorthodoxie du sida a été contrainte dexpliquer la préférence 100 fois supérieure (du moins dans les pays développés, car « bizarrement » dans les pays sous-développés, le « VIH » na pas cette préférence) du « VIH » pour la sexualité anale réceptive par la circonstance que les parois de lanus sont un tout petit peu plus fines que ceux du vagin (de deux ou trois millimètres, je crois, si pas moins [et que le monde entier ait avalé cette explication est tout simplement ahurissant !]), 6) Et étant donné que la présupposée transmission sexuelle de la séropositivité est constatée de façon quasi universelle par le biais des tests dits « VIH », MAIS a) Etant donné quil na jamais été prouvé que les tests dits « VIH », servant à prouver cette supposée transmission sexuelle de la séropositivité, puissent être la preuve dune « contamination » par le « VIH », b) Etant donné quil ne peut être contesté que le sperme est à tout le moins un agent oxydant, c) Etant donné que la pénétration anale réceptive reste toujours un facteur majeur dacquisition de la séropositivité, car même sans « VIH » existant, le test se révèle positif, d) Et étant donné que le vecteur de cette forme particulière dacquisition de la séropositivité reste toujours le sperme, même sans « VIH », Il sensuit que le sperme est en lui-même suffisamment oxydant que pour causer, via la réception anale réceptive, la séropositivité. Et étant donné 1) Que la réception anale de sperme résulte forcément de la pratique sexuelle de la pénétration anale réceptive, 2) Et quil est universellement admis que la cause précède nécessairement la conséquence, Il sensuit que la pénétration anale réceptive ne peut quêtre une cause majeure dacquisition, par elle seule, de la séropositivité. Sauf erreur de ma part, pour réfuter efficacement ce raisonnement, il faut nécessairement : SOIT Revenir à la case départ, cest-à-dire prouver que la positivité au test « VIH » est effectivement la preuve dune infection par le « VIH », cest-à-dire en revenir aux basiques; à défaut de pouvoir rapporter cette preuve, et suite au raisonnement logique qui précède, il ne pourra quêtre conclu que la pénétration anale réceptive est en elle-même suffisante pour causer la séropositivité. SOIT supposer que lhypothèse rétrovirale nest pas exacte (car mon raisonnement part du principe que l'hypothèse rétrovirale est bien exacte). Alors, il faudra - peut-être - prouver autrement, et comme jai commencé à le faire, que la réception anale de sperme est bien une cause suffisante par elle-même de séropositivité. Mais ce faisant, il aura été démontré que le sida nest pas causé par le « VIH » ! Il me semble quil y a là un paradoxe, mais dans les deux cas, je suis gagnant ! A méditer, je crois.
  11. Essayons dêtre un peu plus clair encore. Voici les facteurs de risque de conversion relevés dans cette fameuse étude par lorthodoxie du sida elle-même : A) C'est sur ce point la que je ne suis pas d'accrords et qui justifie la distinction que je fais. B) Par cette remarques tu commences à comprendre le fondement de ma distinction qui dit qu'une "séropositivité est acquise lorsque la seule cessation des facteurs de stress oxydant n'entraîne aucune seroconversion." Lorsqu'elle entraîne une séroconversion systématique après cessation du facteur imliqué et qu'en plus il est démontré qu'il est impossible par ce même facteur qu'elle deviennent une séropositivité acquise alors elle n'est pas représentative du SIDA. Pour ma part, je men tiendrai aux faits bruts suivants qui ont été constatés : il existe une corrélation certaine entre séropositivité et sida et cest bien pour cela que je dis que la séropositivité nest pas en soi une bonne chose. Et il a été visiblement constaté que ceux qui ne font pas de sida sont visiblement uniquement ceux qui ont cessé de sexposer à des agents oxydants et ont repris une vie « saine et équilibrée ». On peut supposer quils sont en fait devenus séronégatifs. Maintenant, pour en avoir le cur net, il faudrait faire des tests de séropositivité régulièrement sur les personnes en question. Mais tant que le dogme « VIH = SIDA » prévaudra, ce genre dexamens réguliers nest pas prêt dêtre effectué.
  12. Bon, Ok, pénétration anale réceptive et réception anale de sperme, ce n'est effectivement pas strictement la même chose, quoique la première suppose par principe la seconde. Alors, ne compliquons pas les choses, contentons-nous pour le moment du caractère oxydant de la réception anale du sperme. 1) Concernant le sperme lui-même (indépendamment du lieu de réception, vagin ou anal), il ne peut scientifiquement être contesté que c'est bien un oxydant. Je te renvois à des posts de Cheminot où il énumère les preuves scientifiques du caractère oxydant du sperme : * Premier post de Cheminot * Deuxième post de Cheminot 2) Qui dit oxydant, dit forcément effet immunodépressif. Le sperme aura donc forcément un effet immunodépressif dans le vagin (puisque tu te posais la question dans ton dernier post), et cela coule de source puisque cet effet immunodépressif est naturellement (dans le sens : prévu par la nature) nécessaire pour permettre ne fût-ce que la nidation. Mais il s'agit bien entendu d'un très léger effet immunodépressif prévu par "Dame Nature", et ne peut en soi causer la séropositivité, et encore moins de maladies (à moins bien sûr qu'il y ait des MST ou que sais-je d'autres, bien sûr, mais là, ce n'est plus du tout le même sujet). 3) Ce à quoi je veux en venir, c'est te prouver que la réception anale du sperme a en revanche un effet immunodépressif bien plus élevé que ce qui est prévu par "Dame Nature" pour le vagin, un effet immunodépressif suffisamment élevé en tout cas pour provoquer chez certaines (pas forcément chez toutes les personnes bien sûr), non le sida (je ne crois pas un seul instant que ce seul facteur puisse causer à lui tout seul le sida) mais bien la séropositivité (qui serait forcément réversible en cas de cessation de l'exposition au sperme par voie anale, et à supposer que c'était bien le seul facteur causant cette séropositivité). [NB : J'avoue avoir bien du mal à comprendre à tout le moins l'utilité de ta distinction entre 1) séropositivité permanente du à une exposition répétée d'un facteur de stress oxydant, séropositivité qui disparaît avec la dissipation du facteur en question après quelque temps, et 2) séropositivité permanente qui a lieu même lors de la dissipation des facteurs de stress oxydant. Ce qui me semble certain, c'est que la séropositivité en soi n'est déjà pas une bonne chose, qu'elle soit irréversible ou non. Mais est-ce toujours réversible ou non, je n'en sais rien, des études complémentaires [qui ont peu de chance d'être réalisées tant que le dogme "VIH = SIDA" prévaudra] devront être faites. Mais ce qui me semble également certain sur cet autre point, c'est que tant que l'on ne cesse pas de s'exposer aux agents oxydants ayant causé la séropositivité, on n'augmente certainement pas ses chances de repasser à la séronégativité, ce que tout séropositif doit de toute façon déjà savoir en premier lieu]. Peut-être peut-on imaginer que les cas de séropositivité irréversible même après cessation de l'exposition aux agents oxydants [mais est-ce que cela existe ? Des études devraient être faites] pourraient correspondre à un état de dégâts devenus maintenant irréversible causé précédemment durant l'exposition à ces agents oxydants ?]. Je suis d'accord avec toi que pour en avoir le coeur définitivement net, il faudrait par exemple faire des études (qui n'ont jamais été faites visiblement, encore faut-il que la science pense déjà à faire des études grandeur nature, ce qui suppose préalablement que le dogme "VIH = SIDA" soit relégué dans la catégorie de la plus grande catastrophe médicale de tous les temps, faute de quoi peu de scientifiques penseront à faire des études sur le sujet) où on comparerait un groupe d'homosexuels exposé au seul facteur oxydant que serait la réception anale du sperme (à l'exception de tout autre agent oxydant) et un groupe d'homosexuels n'ayant jamais pratiqué de toute leur vie la réception anale du sperme et n'étant en outre jamais exposé à d'autres agents oxydants. Ce genre d'études n'a visiblement jamais pu être faite car cela suppose déjà que l'on pense à faire ce genre d'études, que l'on aille au-delà des préjugés moraux (genre, l'homosexualité serait donc "malsaine") et surtout car je doute très fort que l'on trouve un nombre statistiquement significatif d'homosexuels remplissant ces conditions, en particulier dans la deuxième catégorie (jamais de réception anale de sperme et jamais d'exposition à d'autres agents oxydants). Cependant, la circonstance que ce genre d'étude n'a pas été effectué ou ne pourrait pas être effectué (fut-il également pour des raisons morales, mais je pense que les ligues intégristes catholiques seraient certainement disposées à financer ce genre d'études) ne peut en revanche constituer la preuve que la réception anale n'aurait pas un effet immunodépressif bien plus élevé que la réception vaginale du sperme. Faute de temps, je te communiquerai dans quelques jours d'autres très solides indications (elles seront presque toutes en anglais; je ne pourrai pas toutes les traduire car moi-même, j'ai bien du mal à comprendre tous les mots sicentifiques utilisés, mais je tâcherai de faire chaque fois un résumé) du caractère bien plus immunodépressif de la réception anale du sperme que la réception vaginale du sperme, à tel point qu'il peut causer, non le sida, mais bien la séropositivité. Mais en attendant, voilà déjà deux autres éléments à retenir. Premièrement, dans cet article , le Perth Group a déjà précisé ceci : Il y est donc précisé que 19% (c'est encore bien plus que les 13% que j'avais retenu à l'origine) des femmes d'hommes séropositifs sont devenus séropositives. Je ne peux hélas pas pour le moment retomber sur l'analyse plus détaillée de cette étude, mais il a bien été constaté que la majorité des femmes qui étaient devenues séropositives étaient justement celles ... qui pratiquaient la réception anale réceptive (et les auteurs supposent nécessairement réception anale du sperme) ! Et il s'agissait bien entendu d'un critère décisif car : - celles qui étaient restées séronégatives ne pratiquaient pas la sexualité anale réceptive (avec réception anale de sperme, donc) et n'étaient pas exposées à d'autres facteurs immunodépressifs, - et car parmi celles devenues séropositives, une partie d'entre elles n'avait été exposée qu'à ce seul facteur immunodépressif (à l'exclusion d'autres comme les drogues, les MST, ...). En d'autres termes, il ne sert à rien d'invoquer l'affirmation de Delwere car elle va manifestement plutôt dans mon sens, et non dans le tien. Les autres preuves dans quelques jours. Merci pour ta patience.
  13. Il me semble en outre avoir lu il y a quelques semaines que les manifestations organisées par le TAC en Afrique du Sud étaient bien loin d'être spontanées, en ce sens que la majorité des participants étaient rétribués de diverses façons par le TAC pour grossir le rang des manifestants ! Pour ma part, j'ai l'impression que le TAC est en fait aux abois. Voir ici.
  14. Bonsoir Psyence. Je ne peux qu'applaudir à nouveau à ton dernier post ! Juste une petite remarque et une petite rectification (si je peux me permettre). Cette citation est une remise en question de la théorie virale qui préconise dans son optique de se protéger avec un préservatif pour ne pas contaminer autrui et répendre l'infection. Je sais pas exactement à quel texte tu fais référence, mais s'il s'agit de l'étude qui démontre que le préservatif a des trous mircroscopiques bien plus gros de la taille du virus, il semblerait normal qu'il n'ait aucun effet protecteur. En fait, le lien en question ne fait pas référence à la problématique des trous dans les capotes (d'ailleurs, la synthèse n'en parle pas du tout car il me semble que cet argument a déjà été réfuté antérieurement) mais à ce post-ci.
  15. Bonsoir Tom. Très bien. Alors crevons labcès. Peux-tu mexpliquer en quoi la positivité au test dit « VIH » est la preuve dune infection par le « VIH » ? Cordialement.
  16. J'aime bien te lire, Delwere, car je suis souvent d'accord avec toi, mais pas toujours, comme pour ce qui suit. Cet article cite justement le cas des maladies auto-immunes et des dégâts irréversibles causés par le stress oxydatif. Or le sida peut justement être considéré comme une maladie auto-immune. Il s'ensuit donc qu'effectivement, l'abondance de glutathion ne pourra effectivement pas systématiquement résoudre le problème du sida, ce qui est nullement nié par la dissidence du sida. Mais si déjà il y a un problème avec le glutathion, c'est évidemment très mal parti ! lol PS : Désolé, Psyence, mais je n'aurai pas le temps de te répondre, du moins cette fois-ci. Mais je tâcherai de te répondre dès que j'ai un peu le temps (sans doute ce week-end).
  17. Il est parfaitement admis par les tenants du stress oxydatif comme cause du sida que les facteurs pyschologiques et sociaux peuvent aggraver le stress oxydatif (les passages reproduits ci-dessus permettent de l'expliquer). Mais ils n'insistent pas là-dessus en premier lieu car cela agit surtout en tant que facteur aggravant de stress oxydatif. Il est devenu maintenant exceptionnel que ce seul facteur puisse causer à lui tout seul le sida, surtout que le sida "se banalise" de plus en plus. Mais cela n'était pas rare au cours des premières années de la psychose du sida. Le lecteur trouvera des cas exceptionnels de ce genre en lisant par exemple cet article. Le facteur psychologique (ou également "effet nocebo") est parfaitement intégré dans l'explication du stress oxydatif et cette théorie reste donc complète pour l'expliquer. Mais il n'y est pas insisté outre mesure car il agit surtout à titre de facteur aggravant. En tout cas, des justifications scientifiques existent pour expliquer les cas de sida par suite de stress pyschologique et l'intégration de ce dernier dans la théorie du stress oxydatif. La théorie du stress oxydatif ne saurait être incomplète de ce chef, en tout état de cause.
  18. Cela signifie que seul le partenaire passif peut "acquérir" la maladie... Et ce meme si le partenaire actif n'est pas porteur. Cette question résulte justement du fait que tu crois encore que les tests dits "VIH" ont la prétention de détecter une contamination par le "VIH" et qu'il faudrait donc raisonner en termes de "porteur" ou "non porteur" de "VIH". Alors que si tu lis préalablement le chapitre de départ consacré entre autres à la critique des tests dits "VIH", tu constaterais que les anticorps détectés par les tests "VIH" n'ont rien de spécifiques au "VIH" (à suppose même que ce dernier existe) mais sont au contraire polyspécifiques. En l'occurence, tu trouveras ici plus de 70 facteurs scientifiquement reconnus (en fait plus, la liste s'allongeant d'année en année) ayant la propriété de produire de tels anticorps à si un grand nombre qu'ils excéderont le fameux seuil au-delà duquel une personne est déclarée "contaminée" par le "VIH". On comprend dès lors que les anticorps en question, attribués spécifiquement à tort au seul "VIH", apparaissent à la suite d'un déséquilibre oxydoréducteur, causé par la conjonction de plusieurs de ces facteurs. Il n'y a dès lors plus lieu de raisonner en termes de supposée "transmission" ou de "porteur" de "VIH" mais bien en termes de déséquilibre "chimique" provoqués par ces facteurs (et il se fait que justement, les groupes à risques de sida sont systématiquement exposés à ces facteurs, ce qui rend le "VIH" inutile justement pour expliquer l'apparition de ces anticorps prétendument attribués [et en plus, de manière spécifique, ce qui est un comble !] au "VIH"). Certains de ces facteurs (dont aucun n'a aucun rapport avec un supposé "VIH") ont justement un rapport avec certaines pratiques sexuelles, en particulier le rapport anal réceptif. A supposer que seul ce facteur-là causerait éventuellement (car cela n'est systématique, cela dépend aussi de la résistance individuelle, de son statut antioxydant, etc...) la séropositivité (mais ce n'est pas le cas, il y en a plus de 70 autres, au moins), alors seul le passif (homme ou femme d'ailleurs; on constate en effet que la transmission hétérosexuelle de la séropositivité homme ---> femme se rencontre justement essentiellement chez les femmes pratiquant la réception anale réceptive) pratiquant la réception anale réceptive est susceptible de devenir séropositif. Mais l'actif peut devenir également séropositif car les facteurs pouvant causer la séropositivité ne se résument pas à la sexualité anale réceptive : les (vraies) MST, la consommation de drogues récréationnelles, ... peuvent causer la séropositivité non seulement chez le passif mais également chez l'actif bien sûr. Et évidemment le partenaire passif peut devenir séropositif même si le partenaire actif n'est pas séropositif vu que la séropositivité ne trouve pas sa cause dans un rétrovirus mais dans plus de 70 facteurs différents. Par exemple, le simple fait de recevoir du sperme "séronégatif" dans l'anus est susceptible de provoquer - temporairement - l'apparition des fameux anticorps dits "spécifiques" du "VIH" (voir par exemple ici). C'est pour cela que le Perth Group est encore de plus ardents défenseurs du safe sex que l'orthodoxie du sida elle-même puisqu'il préconise l'usage du préservatif pour les rapports anaux même entre séronégatifs !
  19. Si tu n'en as jamais entendu parler, c'est en premier lieu parce que la presse n'en a jamais parlé (et n'en parle toujours pas, mais cela commence tout doucement en changer [pas en France, ceci étant]) et de manière générale, parce qu'aucun scientifique orthodoxe du sida n'en parle. Et c'est d'autant plus difficile à savoir en France que tout cela (ou presque) est en anglais ! Pourtant, la contestation de l'hypothèse rétrovirale existe depuis plus de 20 ans et ne cesse d'augmenter. Tu dois surtout remercier "internet" car c'est avant tout grâce cela que l'on commence - enfin - à apprendre qu'il existe un véritable schisme scientifique sur le sujet, et ce depuis même qu'il a été supposé (mais jamais prouvé) que le sida serait causé par un rétrovirus, mais l'orthodoxie du sida se garde bien de le faire savoir pour des tas de raisons (intérêts financiers, sociaux, politiques, pharmaceutiques, .... et moralisateurs; et aussi, parce que le public serait trop "bête" pour comprendre). J'ai été aussi très surpris quand j'ai découvert cela il y a un an. Encore plus surpris lorsque j'ai découvert que la dissidence du sida émane de scientifiques qui n'ont rien de farfelu (comme je l'avais moi-même pensé au départ) et qui ont même sacrifié leurs carrières pour avoir défendu une opinion au dogme "VIH = SIDA = MORT". Je ne peux donc que me réjouir que tu écrives également : Or c'est bien là que le bât blesse. Avant de nous demander d'expliquer ce qui cause vraiment le sida (et auparavant, la séropositivité), il faut d'abord préalablement vérifier si ce qui t'a été inculqué par la propagande orthodoxe du sida depuis plus de 20 ans est bien exact. Et c'est cela qui fait la force des arguments des dissidents du sida, car avant d'expliquer ce qui cause le sida, ils commencent tout d'abord à montrer que les "faits" en question n'ont jamais été prouvés par l'orthodoxie du sida. La répétition de suppositions et de croyances pendant plus de 20 ans ne permet pas de transformer pour autant en faits les suppositions et les croyances en question. C'est bien pour cela qu'à au moins deux reprises, je t'ai précisé qu'avant de t'interroger sur la supposée transmission sexuelle de la séropositivité, il faut déjà préalablement s'assurer que les tests dits "VIH" ont bien la prétention de détecter une quelconque "contamination" par le "VIH". Si tu pars de la supposition que les tests dits "VIH" ont effectivement cette prétention, alors à peu près tout ce qu'on te dira ne prouvera (presque) rien car tu considères comme un fait l'affirmation selon laquelle ces tests auraient effectivement la prétention de détecter une telle "contamination" par le "VIH". Ce n'est donc pas pour rien que la synthèse débute d'abord sur les critiques de l'isolation, des tests dits "VIH" et de la charge virale, car si ces trois points étaient effectivement exacts, la suite, soit le stress oxydatif comme cause du sida, serait moins pertinente, voire même beaucoup moins pertinente.
  20. Cette phrase signifie que le préservatif est un facteur de risque. Et moi, j'avoue avoir du mal à comprendre. En attendant de répondre au reste (pas le temps, en ce moment), je réponds déjà au point reproduit ci-dessus. IL FAUT BIEN ENTENDU LIRE LE POST AUQUEL SE REFERE LA PHRASE CITEE CI-DESSUS (ce nest quune synthèse) ! Et lon constatera tout de suite que le post a pour objet de montrer que le préservatif ne constitue pas la soi-disant protection absolue contre le tout aussi soi-disant « VIH », et que croire en sa protection soi-disant absolue peut très bien avoir pour effet daugmenter les cas de séropositivité. Ce post a pour objet de démontrer ce paradoxe. Par ailleurs, la synthèse précise EXPRESSEMENT que le préservatif reste INDISPENSABLE, mais pour de toutes autres raisons quune supposée contamination par le « VIH : Chapitre IV, D) Conséquences, 3), e). PS : Pour éviter déventuels autres malentendus de ce type, je me propose de modifier prochainement la phrase en question par « Le préservatif ne constitue évidemment pas la soi-disant protection absolue contre la séropositivité ».
  21. Pour ma part, je ne parlerai pas de « contagion » ou de « transmission » sexuelle de la séropositivité car la transmission suppose une bidirectionnalité, totalement absente en matière de séropositivité « VIH ». Une transmission sexuelle dune séropositivité suppose que celle-ci puisse être passée aussi bien du partenaire actif au partenaire passif que du partenaire passif au partenaire actif. En loccurrence, il y a au mieux acquisition (et non transmission) de la séropositivité, cest-à-dire acquisition de certains facteurs pouvant rendre le test dit « VIH » positif (et dont la continuation de lexposition à ces facteurs sera de nature à causer une déplétion progressive et de plus en plus forte en glutathion). Certains de ces facteurs peuvent justement être acquis (et non transmis) à loccasion de rapports sexuels, et non par le fait même du rapport sexuel (à lexception dun seul type de rapport sexuel particulier), ce qui a induit lorthodoxie du sida en erreur et lui a fait croire que la séropositivité puisse être sexuellement transmissible. Que lon pense à la consommation de drogues récréationnelles (genre poppers), à lacquisition de MST ou à la réception anale de sperme, parfaitement de nature à rendre le test dit « VIH » positif. Le seul type de rapport sexuel pouvant causer de par lui-même, non une transmission de la séropositivité, mais bien une acquisition de séropositivité, est le rapport anal réceptif. Quil suffise de lire ce que disait Gallo lui-même en 1984 : Et de nombreuses autres études arrivent à la conclusion que cest bien le seul type de rapport sexuel pouvant entraîner une acquisition de séropositivité. Et je dis bien « acquisition » car pour parler de transmission sexuelle, il faudrait alors quil soit également constaté que le rapport anal insertif soit également par lui-même source de séropositivité. En outre, cette acquisition ne suffit pas en elle-même, seule une répétition fréquente de rapports anaux réceptifs peut aboutir à une acquisition de la séropositivité (ce qui est incompatible avec lidée dune contamination avec un « rétrovirus », où une seule fois suffirait ! lol). En dautres termes, la séropositivité est au pire sexuellement "acquise", mais non sexuellement « transmise ». Mais cette seule forme dacquisition sexuelle de la séropositivité nest bien sûr que lune des causes parmi tant dautres dacquisition de la séropositivité. Et de façon générale, avant de parler dune éventuelle « transmission » sexuelle de la séropositivité, il me semble que les études qui prouveraient cela doivent à tout le moins remplir les conditions suivantes (faute de quoi à peu près nimporte quelle maladie pourra être considérée comme sexuellement transmissible dès lors que lon a ce préjugé en tête [préjugé qu'ont justement en tête les orthodoxes du sida]) : - il faut avoir préalablement prouvé que les tests utilisés pour détecter une « contamination » par le « VIH » sont bien spécifiques ; - les études en question doivent porter sur un nombre de personnes statistiquement significatif ; - les résultats obtenus doivent être statistiquement significatifs (lire à ce sujet le post qui précède de Cheminot concernant les statistiques de "contamination"); - ces mêmes résultats doivent exclure toute autre possible voie de « contamination » ou du moins d'explication d'apparition de cette séropositivité. Et il y a bien entendu déjà une condition qui nest jamais remplie dans aucune de ces études qui auraient « prouvé » la transmission sexuelle de la séropositivité, à savoir la fiabilité du test dit « VIH » dont il est prétendu, à tort, quil serait en mesure de diagnostiquer une « contamination » par le « VIH ». Et si ce test nest déjà pas en soi fiable, aucune étude ne sera en mesure de prouver une quelconque transmission sexuelle de la séropositivité. On ne peut évidemment pas prouver une supposée transmission sexuelle en se basant sur des tests qui nont aucune spécificité au « VIH », à supposer même que ce dernier existe. Et si ces tests ne sont pas spécifiques, forcément l'une des autres conditions précitées n'est également plus remplie, à savoir celle qui exclut toute autre possibilité d'explication d'apparition de cette séropositivité.
  22. Une corrélation existe certainement entre le fait d'être déclaré séropositif (c'est-à-dire souffrir d'un fort stress oxydatif, et non "contaminé" par le "VIH") et le sida. Mais cette corrélation est lâche. Et cette corrélation ne prouve toujours pas que cela serait dû à un nouveau rétrovirus dénommé "VIH". Car le glutathion est le seul antioxydant qui peut protéger, quoique assez imparfaitement, contre le stress oxydatif dérivé des oxydants azotés, et en particulier contre le peroxynitrite (l'une des formes les plus "hard" d'oxydant azoté, si pas la plus hard). Lire la synthèse pour le surplus.
  23. C'est juste un effet d'annonce de l'orthodoxie du sida pour obtenir de nouveaux crédits pour faire vivre l'orthodoxie du sida. Des dizaines de vaccins ont déjà été produits et ce sont TOUS révélés être un échec. Il ne faut évidemment pas rêver d'un vaccin (du moins, préventif) ... contre un rétrovirus dont il n'a jamais été prouvé qu'il existe !
  24. Mais les repenseurs du sida s'intéressent bien davantage aux oxydants azotés dans le déclenchement de la séropositivité et du sida, et ces oxydants-là ne paraissent pas prêter autant d'attention que ceux dérivés de l'oxygène. Voir la synthèse pour le reste. Mais si l'apoptose est causé par le stress oxydatif (de l'aveu même d'une partie de l'orthodoxie du sida), comment ne pas réduire justement le sida au résultat d'un stress oxydatif résultant d'un excès non contrôlé d'oxydants azotés, lorsqu'on constate justement que les séropositifs sont justement exposés à de tels agents oxydants ? Le "VIH" devient donc inutile pour expliquer le sida, sauf pour embrouiller les esprits et perpétuer un dogme. Voir la synthèse pour le reste.
  25. Si j'ai effectivement écrit cela, c'est bien une erreur de ma part, Psyence. Je voulais plutôt dire "A.D.N. proviral". PS : De manière générale, je voulais juste préciser (mais cela ne te concerne pas spécialement, Psyence, mais bien n'importe quel lecteur) que je ne suis pas infaillible; je suis juste humain ! lol Ce serait bien présomptueux de ma part de penser le contraire ! D'ailleurs, quand je relis d'anciens posts, je me rends compte que j'ai en écrit des énormités ! J'ai toutefois l'impression que cela diminue de mois en mois. Et j'essaie de m'améliorer chaque jour. Je suis en tout cas sûr d'une chose : le sida n'est pas causé par le "VIH" ! J'en ai déjà assez lu en un an pour ne plus en douter une seule seconde. Et je me demande même comment il est possible d'accorder encore en 2006 une once de crédibilité à l'hypothèse rétrovirale du sida. Et de toute façon, une autre chose est également certaine à mes yeux : j'écris dix fois mois (pour ne pas dire plus) de stupidité que les "experts" orthodoxes en "VIH", aussi multidiplômés soient-ils ! Et leurs stupidités à eux ont déjà provoqué des millions de morts.
×
×
  • Créer...