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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Il fut un temps prétendu, ou à tout le moins suggéré, que le stress psychologique pouvait causer des maladies caractéristiques du sida, sans qu'il soit besoin d'expliquer cela par la théorie du stress oxydatif. Toutefois, il me semble que dans ce post, j'avais déjà expliqué en quoi le stress psychologique, l'effet nocebo, etc... peuvent causer le stress oxydatif et, partant, le sida. Depuis lors, j'ai eu une confirmation de plus, à supposer que cela était encore nécessaire. Le lecteur est en effet invité à lire cet article datant de décembre 2004 où les auteurs confirment que le stress psychologique élevé peut mener à un profond stress oxydatif, en autres par le biais du raccourcissement des télomères. Dès lors, et suite aux critiques particulièrement injustes dont j'ai fait récemment l'objet (voir ce topic), je me permets d'insister pour poser à nouveau la question suivante et qui fâchera peut-être (mais à mon sens, il est grand temps de crever l'abscès) : Si le sida (je dis bien "sida", pas "séropositivité") n'est pas causé par le stress oxydatif, les éventuels contestataires peuvent-ils me dire ce qui cause en réalité le sida, m'en fournir les preuves et me décrire en outre la pathogenèse du sida à partir de cette cause, et ce avec autant de détails que ceux donnés pour le stress oxydatif comme cause du sida ? Merci d'avance.
  2. Jeff-Lyon Excuse moi, Jeff-Lyon, mais visiblement tu n'as pas lu et/ou compris les posts auxquels je t'ai renvoyé. Je n'ai JAMAIS nié que des personnes dites comme faisant une "primo-infection" au "VIH" font une réaction immunitaire violente. Je n'ai JAMAIS nié que ces symptômes puissent être dus à un agent pathogène et contagieux, qui puisse rendre positif le test dit "VIH". Ce que je dis, c'est que je n'ai AUCUNE preuve que cette réaction immunitaire forte soit le résultat d'une contamination par le "VIH". D'une part, parce que son existence n'a jamais été prouvée chez un seul sidéen (si tu prétends que le "VIH" existe en tant que rétrovirus exogène ou sous quelque forme que ce soit, merci de me donner tes arguments et en particulier la procédure de son isolation), d'autre part parce qu'au moins 80 circonstances peuvent rendre positif le test appelé par erreur "VIH". Hello, les lecteurs, reveillez-vous un peu ! Dois-je rappeler les 80 circonstances en question ? Bon nombre de ces circonstances peuvent être acquis par une relation sexuelle dite "non protégée" ou à ces occasions-là. Par exemple, une mononucléose peut être acquise simplement avec un baiser profond et peut provoquer des symptômes dits de "primo-infection au VIH". De même, le simple fait de recevoir des protéines étrangères peut provoquer des symptômes de ce genre. C'est encore plus facile lors des pénétrations anales réceptives. Sans compter sur les effets du sperme réceptionné dans le rectum. Comme si cela ne suffisait pas, on constate depuis quelques années une augmentation des "séroconversions" chez les hétérosexuels. Cela n'est évidemment pas un hasard. La terreur sur le sujet est à ce point gigantesque que même les hétéros commencent à se faire de plus en plus régulièrement des tests dits "VIH" après un rapport à risque. Vu que presque n'importe quoi peut rendre ces tests positifs, il n'est pas étonnant que de plus en plus d'hétéros fassent aussi des "primo-infections VIH", non pas parce qu'ils ont été exposés au "VIH" mais bien parce qu'ils multiplient les tests dits "VIH" ! Donc, excusez-moi tous, mais CESSEZ de dire ou de laisser entendre que les symptômes de la primo-infection seraient ceux d'une contamination par le "VIH". Vous ne m'en fournissez pas la moindre preuve. On peut attraper n'importe quoi à l'occasion d'une relation sexuelle non protégée, et pas seulement de (vraies) MST au sens strict du terme. Dans tout ce qui a été écrit précédemment, je n'ai rien lu qui prouverait que les symptômes en question seraient ceux d'une contamination par le "VIH" et pas ceux d'une grippe, d'une mononucléose, d'une hépatite, d'une forme particulière d'herpès, et de façon générale d'un microbe quelconque. Cela est d'autant plus frappant que l'orthodoxie du sida dit elle-même que les symptômes de la "primo-infection au VIH" n'ont rien de spécifique au "VIH" et sont communs à des tas d'autres maladies. Ils ne seront considérés comme étant ceux de la "primo-infection" au "VIH" qu'a posteriori, si le test dit "VIH" réagira positivement. Or nous savons depuis des lustres qu'un test dit "VIH" n'est JAMAIS le signe d'une infection par le "VIH" et qu'une multitude de circonstances peuvent les faire réagir positivement, sans avoir besoin de "VIH" pour l'expliquer. Donc, si le test ne réagit pas, les symptômes en question n'étaient pas ceux d'une "primo-infection au VIH". En revanche, si le test réagit positivement, ces (exactement) mêmes symptômes seraient ceux d'une "primo-infection par le VIH". En d'autres termes, la question n'est même pas de savoir si les symptômes en question sont bien ceux d'une "primo-infection au VIH", mais bien : "Quelle est donc la spécificité des tests dits "VIH"". Donc, avant de parler de primo-infection, commençons d'abord à voir quelle est la spécificité de ces tests et examinons le point de savoir si ceux-ci peuvent, ne fût-ce que dans un seul cas, détecter une contamination par le "VIH". En quoi cela serait la preuve que la séropositivité est le résultat d'une contamination par le "VIH" ? Par ailleurs, et en n'exagérant même pas, j'ignorais jusqu'à ce jour que sur les 50 millions d'habitants de France, dont je présume qu'il y en a au moins 35 millions qui ont régulièrement des relations sexuelles, il n'y en avait que plus ou moins 7.000 qui font chaque année des rhumes, des angines, des grippes, des mononucléoses, etc..., bref, qui tombent malades comme des chiens une à quatre semaine après avoir eu une relation sexuelle non protégée (à supposer d'ailleurs que seule la relation sexuelle aurait pu causer de tels symptômes, sans oublier les innombrables autres causes : drogues, intoxication alimentaire, pollution, fatigue, etc...)? Pour ne prendre que mon propre cas, je suis diagnostiqué séropo début 2000, à cause d'un test fait à mon insu (par mon ancien médecin généraliste). Et d'ailleurs en colère par le procédé utilisé, j'ai refusé de me faire suivre, du moins jusqu'en octobre 2002 où je commence à faire une encéphalite, se traduisant par une perte de l'audition (je ne l'ai su que trois semaines plus tard alors que j'avais spontanément guéri, et selon le docteur "VIH" lui-même, cela n'était pas dû au "VIH" mais à des causes "inconnues", que pour ma part j'attribue au vaccin contre la grippe et l'hépatite B). Ne sachant pas d'où venait cette perte d'audition et m'étant gardé de dire que j'avais été diagnostiqué séropositif début 2000, l'hôpital m'a fait des tas d'examen, et comme c'est l'habitude (en tout cas, en Belgique), un test dit "VIH" à mon insu. Il s'avéra positif et il me fut déclaré que j'avais sans doute fait une "primo-infection VIH". Et je me souviens très bien que dans les cinq jours précédant cette perte d'audition, j'avais eu des relations non protégées. En revanche, trois à quatre semaines auparavant, j'avais fait un vaccin contre la grippe et un deuxième rappel du vaccin contre l'hépatite B. Compte tenu de tout ce qui précède, il ne m'est jamais venu à l'esprit que cette encéphalite était les symptômes d'une primo-infection. Et si je suis manifestement toujours resté séropositif, c'est à cause de mon (ancien) mode de vie. Je ne vais pas rejeter la faute sur un rétrovirus "VIH" mais bien sur mon style de vie. Je suis seul responsable de ce qui m'est arrivé, et je trouverais particulièrement lâche de ma part de fuir mes responsabilités et de mettre ma situation sur le compte du "VIH" au lieu de mon style de vie (poppers, etc...). Premièrement, il ne s'agit pas de "mon" affirmation mais bien de celle trouvée dans cet article déjà cité dans un post auquel j'avais renvoyé : Je ne vois pas en quoi je devrais accorder plus de fiabilité aux déclarations du "psy d'une association privée pour les personnes malades du SIDA" qu'à ce qui figure dans le passage reproduit. En fait, le pourcentage de la (supposée) primo-infection est tout simplement inconnu ! Deuxièmement, même si le pourcentage de primo-infections symptomatiques serait, non pas de 5%, non pas de 20%, non pas de 80%, mais bien de 100%, cela ne prouvera de toute façon pas que cela est bien une conséquence d'une contamination par le "VIH". Et je crois utile de reproduire la suite de cet article, que personne ne semble avoir lu ... ou du moins sans en avoir tiré les conséquences. Dites-moi, est-ce que seul le "VIH", à supposer qu'il existât, produit ces symptômes "typiques" ? lol Ah bon, il n'est pas possible de différencier les symptômes d'une "primo-infection au VIH" avec ceux d'un simple rhume ou d'une angine ?! Et on persiste dans ce forum-ci à prétendre qu'il y aurait une "étonnante" corrélation entre ces symptômes et une supposée "primo-infection VIH" ?! Juste après dans l'article, on précise comment on finit par savoir s'il s'agissait d'une primo-infection ou non : Des tas de "choses" peuvent provoquer une lente détérioration de nos antioxydants, à commencer par le style de vie. En d'autres termes, cette lente détérioration n'est pas nécessairement due à un agent infectieux. Ce qui est de toute façon certain, c'est que cela n'est pas dû au "VIH" faute d'avoir prouvé son existence. Moi, je suis tout à fait partant pour garder un esprit ouvert et impartial. Mais avant de commencer à envisager sérieusement la piste d'un virus endémique, la moindre des choses serait déjà de l'isoler, chose qui n'a jamais pu être faite. Dès lors, pourquoi perdre son temps à envisager cette hypothèse alors que celle du stress oxydatif permet déjà d'expliquer, quasi parfaitement le phénomène du sida. Je reconnais que ces discussions me rendent complètement dingue et hors de moi. Elles prouvent à suffisance combien l'idée vicieuse et malsaine d'un rétrovirus responsable d'une façon ou d'une autre du sida a pénétré les esprits, même des dissidents. La plupart de ces derniers n'arrivent même plus à imaginer un monde sans "VIH" et se sentent obligés de lui attribuer un rôle quelconque, fût-il de second couteau. Il serait peut-être temps de rappeler encore et encore et encore que l'hypothèse du rétrovirus résulte des soi-disant "isolations" de Montagnier et Gallo, que tout ce qu'on a appris à ce sujet, jusque dans ces moindre détails, part de ces deux "isolations". Dès lors que l'on constate qu'il ne fait aucune doute que ni Montagnier, ni Gallo n'ont isolé le moins du monde le moindre rétrovirus, pas même endogène, chez un sidéen, il n'y a pas d'autre choix que de rejeter toute théorie du sida qui attribuerait un rôle quelconque, même de second couteau, à un rétrovirus. Pour envisager le cas contraire, la moindre des choses serait de prouver l'existence de ce rétrovirus, fût-il chez un sidéen ayant des charges virale astronomiques. En d'autres termes, et excusez mon insistance, il n'y a pas d'autre choix que d'opter pour la théorie du stress oxydatif comme cause du sida car il s'agit de la seule théorie, scientifique du moins, ne faisant pas intervenir un rétrovirus, même à titre de second couteau. Aucune autre théorie ne peut tenir la route car il convient préalablement d'avoir prouvé l'existence d'un rétrovirus. Maintenant, on ne peut exclure l'hypothèse du rétrovirus endogène, produit par l'organisme malade de stress oxydatif. Mais le "VIH" est censé être un rétrovirus exogène, essentiellement transmissible par voie sexuelle. En outre, dans l'hypothèse même du rétrovirus endogène, la cause première du sida reste toujours le stress oxydatif. Moi, j'estime qu'il faut être sacrément prétentieux, comme l'est l'orthodoxie du sida, pour prétendre qu'un rétrovirus exogène "VIH" existerait .... alors qu'aucune preuve de son existence chez les sidéens n'existe. Mais je reconnais qu'il est quasiment impossible de penser autrement vu tout le matraquage médiatique, journalistique, publicitaire, etc... qu'il y a sur le sujet depuis 25 ans et qu'il est quasiment impossible de ne pas penser un seul instant que le "VIH" ne puisse pas exister. Tout devient pourtant si simple et logique dès lors que l'on raisonne sans "VIH". Donc, j'ai à tout le moins une conviction pure en la matière, à savoir que l'existence du "VIH" n'a jamais été prouvée. C'est donc sans la moindre prétention mais au contraire avec la plus grande certitude que je continuerai à affirmer que le sida est causé par le stress oxydatif, faute d'autre théorie raisonnable sous la main et faute d'avoir prouvé l'existence d'un rétrovirus "VIH", quel qu'il soit et quelle que soit sa forme ("agent infectieux de type rétroviral qui transcripte un code erroné directement ds l'ADN de nos cellules souches"). Il me semble que la théorie du stress oxydatif comme cause du sida ne dit pas autre chose, sauf avec plus de détails. Là, j'avoue ne pas comprendre du tout, mais cela est peut-être (ou même certainement) dû à un manque de connaissance. En quoi le "VIH" serait-il maîtrisé ? On sait au moins depuis 1935 que les anticorps ne sont pas forcément protecteurs d'une infection mais ne peuvent au contraire qu'être révélateurs d'une infection. Par ailleurs, à supposer même que le "VIH" puisse exister mais qu'il soit réduit "quasi" (pourquoi "quasi") néant par notre immunité, comment fait-il pour causer plus de trente maladies ? Par ailleurs, tu cites l'exemple de l'hépatite B et de ses antigènes. Une telle comparaison n'est nullement possible vu pour le "VIH". En effet, avant de prétendre que tel antigène serait celui du "VIH", la moindre des choses serait déjà d'isoler le "VIH" lui-même (chose qui a en revanche été faite pour l'hépatite B) afin de vérifier quels sont ses antigènes (ou protéines). Je pense que ces différents passages ("quasi" réduit à néant, détection d'un rétrovirus par des antigènes dont on ne sait pourtant pas s'ils proviennent bien d'un rétrovirus, etc...) illustrent l'extrême difficulté à envisager, même chez les dissidents, une théorie du sida sans "VIH" sous une forme quelconque. Il suffit pourtant de supprimer le mot "VIH" et tout devient limpide. Est-il par ailleurs besoin de rappeler que les rétrovirus, tels qu'est censé l'être le "VIH", ne relèvent pas de notions cosmologiques, nucléaires ou ésotériques (par exemple : "quasi" réduit à néant) dont l'existence supposée ne pourrait être qu'inférée à partir d'observations indirectes (exemple : via des antigènes, dont on n'a pourtant pas la preuve qu'ils sont bien ceux d'un nouveau rétrovirus). Ce sont des particules que l'on peut voir (au microscope électronique), même si ce n'est pas à l'œil nu ! Etant donné qu'il n'a jamais été possible de voir du "VIH" à partir d'un prélèvement effectuée chez un sidéen, même ayant des charges virales astronomiques, il me paraît tout simplement ahurissant d'attribuer un rôle quelconque, même de second couteau, à un rétrovirus dont on ne sait même pas s'il existe, et de laisser entendre que le sida puisse être causé, même de très loin ou indirectement, par le "VIH. Delwere Ah bon ? Je viens d'apprendre que ce sujet me dérange ! Ce qui me dérange en fait, c'est que des dissidents attribuent les symptômes de la "primo-infection VIH" au "VIH" ... sans la moindre preuve, si ce n'est en se fondant sur les résultats des tests d'anticorps, de la P24, des tests génétiques, etc... Alors là, cela me dérange effectivement ... vu que l'on ne m'a jamais prouvé que ces tests auraient une quelconque spécificité au "VIH". "MERDE", alors ! Combien de fois ai-je déjà dit que le sida est le résultat du stress oxydatif (et jusqu'à ce jour et sauf erreur de ma part, personne sur ce forum n'a pu réfuter cette affirmation) ? En revanche, les tests positifs d'anticorps peuvent être le résultat d'une foule de choses, dont le stress oxydatif, mais pas uniquement bien sûr. Dois-je reproduire à nouveau la liste des (au moins) 80 facteurs pouvant rendre positifs les tests dits "VIH", liste que j'ai déjà citée à d'innombrables reprises ? Donc, je ne vois pas en quoi cela me poserait un problème qu'une personne soit déclarée, momentanément, séropositive après un contact avec un agent infectieux quelconque ou même de simples protéines étrangères. Je n'ai d'ailleurs pas dit autre chose dans mes précédents post (grippe, mononucléose, etc..). Visiblement, soit on ne se donne pas la peine de me lire attentivement, soit on ne veut y lire que ce qui arrange la thèse du lecteur. Comme je l'ai expliqué plus haut, même si les primo-infections symptomatiques seraient au nombre de 100%, cela ne prouve en aucune façon que c'est le résultat d'une contamination par le "VIH". La théorie de Duesberg présuppose déjà que le "VIH" existe en tant que rétrovirus exogène. Par conséquent, aurais-tu l'amabilité de me donner déjà une étude qui aurait isolé le "VIH" ? A défaut, l'hypothèse du "VIH", quelle qu'elle soit, ne peut relever que d'un très mauvais film fantastique ou de science-fiction ! Et cela n'est pas nié par le Perth Group, non plus. C'est exactement le contraire. N'ai-je pas dit plusieurs fois que les "primo-infections" peuvent être le résultat d'une contamination par n'importe quel agent pathogène, et pas spécialement le "VIH" ? Sans compter que ces symptômes peuvent aussi être le résultat d'une foule d'autres choses qu'un quelconque agent pathogène. En fait, Delwere, tu vois des problèmes tout simplement inexistants dans la théorie du stress oxydatif (contrairement à Psyence, me semble-t-il)! Et contrairement à ce que tu as fait croire, je n'ai aucun problème avec les "primo-infections VIH". En fait, c'est bon nombre d'autres dissidents qui voient un problème dans les "primo-infections" et qui l'attribuent au "VIH". Je trouve dès lors particulièrement ironique de dire ensuite que c'est moi qui aurais un problème avec les primo-infections ! Et d'ailleurs, je repose la question : COMMENT FAITES-VOUS, VOUS LES DISSIDENTS ATTACHES ENCORE AU "VIH", POUR DISTINGUER LES SYMPTÃ"MES D'UNE "PRIMO-INFECTION VIH" AVEC LES SYMPTÃ"MES IDENTIQUES D'UNE AUTRE PRIMO-INFECTION ? Merci de me répondre de façon convaincante et argumentée à cette question, faute de quoi cela en est forcément terminé du mythe de la "primo-infection VIH" ! Ah, il y a vraiment des jours où je me sens bien seul sur ce forum !
  3. A mon avis, il n'y a pas de supposition concernant les TH2, ni de problèmes fondamentaux, et encore moins de contradictions. Il s'agit d'un fait résultant de la constatation que la balance TH1/TH2 est gouvernée le glutathion. Que les T4 soient généralement extrêmement bas, voire même parfois inexistants en cas de sida déclaré alors que les TH2 (dont une partie est regroupée sous les T4 justement) sont censés pulluler chez le sidéen, n'a rien strictement rien d'étonnant. Comme déjà expliqué dans ce post: Comme justement expliqué dans ce post précité, la chute apparente des lymphocytes T4 est compensée par une hausse tout aussi apparente des lymphocytes T8. Ce changement des capacités de liaison des lymphocytes avec les anticorps T4 et T8 est d'ailleurs connu depuis les années 70, mais superbement et délibérément ignoré par l'orthodoxie du sida pour cause de dogme à respecter !
  4. Alors, en vitesse, car à peu près tout se trouve déjà dans la synthèse. Le fait de montrer dans une culture non purifiée des particules ayant les caractéristiques morphologiques prétendument attribuées au "VIH" ne prouve en aucune façon que c'est du "VIH" car il existe d'innombrables particules d'apparence rétrovirale (et certaines ne sont que purement cellulaires d'ailleurs) ressemblant à des rétrovirus ... mais qui ne sont pas des rétrovirus (entre autres parce qu'elles n'ont pas les propriétés biochimiques des rétrovirus et ne sont pas capables de répliquer). Il est tout simplement impossible de prétendre sur la foi d'images de cultures non purifiées que l'on se trouve en présence du "VIH" car cela peut encore être n'importe quoi. En fait, les images de cultures non purifiées ne nous font pas avancer d'un seul iota dans la procédure d'isolation du "VIH". Il serait en revanche bien plus intéressant de montrer des images de particules ressemblant à du "VIH" dans le gradient de densité 1,16 mg/ml caractéristique des rétrovirus. Alors, là, on commencerait déjà à avancer. Mais ce n'est qu'un début. En effet, pour prétendre que telle image représente du "VIH", il est déjà absolument nécessaire mais non suffisant de publier auparavant de telles images du gradient de densité avec des particules ayant les particularités morphologiques prétendument attribuées au "VIH" (cela n'a JAMAIS été fait, sauf en 1997 mais les très rares particules trouvées sur la bande en question n'avaient pas les caractéristiques morphologiques prétendument attribuées au "VIH"). Mais il sera ensuite nécessaire, mais ce n'est toujours pas suffisant, de prouver que les particules en question peuvent se reproduire. Pour le surplus, lire également cet excellent article de Stefan Lanka.
  5. Pour ma part, et pour éviter de me répéter, je renvois à ce post ainsi qu'à celui-ci. Les primo-infections ne prouvent strictement rien du tout, et certainement pas que l'on a été contaminé par le "VIH". Elles prouvent uniquement et au mieux que la personne en question a été exposée à un germe quelconque, peut-être suffisamment puissant en fonction de la résistance de l'individu que pour rendre positif le test appelé par erreur "VIH" (à supposer en outre que cette séropositivité soit due à cela et n'était en fait pas déjà préexistante). Qu'une personne fasse ce qui est appelé à tort "une primo-infection" au "VIH" après une relation dite "à risque" n'a strictement rien d'étonnant, en particulier lorsque la personne en question n'est pas habituée à ce genre de relation dite "à risque". Ces contacts extrêmemement rapprochés sont l'occasion de transmettre au partenaire des tas de microbes, virus et autres germes, et pas forcément de façon strictement sexuelle : grippe, mononucléose, une forme virulente d'herpès, une forme d'hépatite, des mycobactéries, etc... (et on pourrait en citer des dizaines d'autres). Si le partenaire soi-disant contaminé supporte mal le germe transmis d'une façon ou l'autre (cela peut être par un simple baiser profond par exemple), il fera de gros symptômes assimilés à tort comme étant une "primo-infection" par le "VIH". Ces gros symptômes pourront se traduire par des charges dites "virales" élevées (il n'est pas rare de trouver par exemple des charges "virales" astronomiques chez des séronégatifs faisant par exemple une grippe ou une mononucléose), des anticorps en surnombre (rappelons que les anticorps au supposé "VIH" n'ont aucune spécificité) ou même la détection de la tristement célèbre protéine P24 (laquelle n'est aucunement spécifique à l'hypothétique "VIH"). Plutôt que de se focaliser sur la présumée primo-infection, je pense qu'il vaut mieux se concentrer sur le style de vie de la personne déclarée à tort "séropositive au VIH". La primo-infection n'est rien d'autre que de la foutaise pour faire accréditer l'idée de l'existence d'un "VIH". Que fait-on alors des milliers d'autres bactéries, virus et autres germes (non spécialement recherchés lors des analyses médicales car trop nombreus et car le "VIH" est la solution de facilité pour expliquer "tout cela") pouvant être transmis à l'occasion d'un rapport dit "à risque" (et pas forcément par le biais de la relation sexuelle proprement dite, il peut simplement s'agir d'un contact un peu trop rapproché) et pouvant causer les symptômes prétendument attribués au "VIH" ??? Au moins, ceux-là existent réellement et il n'est par conséquent nul besoin d'inventer la "primo-infection" au "VIH" pour expliquer les symptômes en question !
  6. Compte tenu de tes posts antérieurs, peux-tu alors dire ce qui cause ce "stress oxydant comme source de l'immuno-dépression et des maladies conséquentes", étant entendu que le "ce qui" en question doit systématiquement causer le stress oxydatif d'après tes propres critères, comme reproduit ci-dessous : Personnellement, je ne dis pas cela du tout. Je dis juste que ceux qui sont séropositifs du fait de leur style de vie représentative de celui des groupes à risque de sida ont une plus forte propension à développer dans l'avenir des maladies particulières, du moins si ce style de vie perdure. Cette propension, quoique lâche, devient certaine dès lors que l'on constate que sur le plan de la pathogenèse, la science arrive à expliquer comment certains éléments de ce style de vie font naître et développer certaines de ces maladies. Voilà. J'espère que cette nouvelle intervention te permettra encore plus de clarifier cc genre de problème ! lol
  7. N'ayons alors pas peur de suivre ce raisonnement jusqu'au bout et prenons par exemple les cas suivants. On prend des gay consommateurs de poppers et des gay non-consommateurs de poppers et l'on pratique des tests "HIV", puis on compare et on constate qu'il y a énormément plus de séropositifs chez les gay consommateurs de poppers. Mais cela ne prouve pas qu'il y a forcément causalité entre le fait de consommer du poppers et la séroposititivé, car cela peut-être le fait que d'une coïncidence entre deux choses fréquentes. Autre exemple : on compare la qualité de vie des héroïnomanes et des non-héroïnomanes et on constate que le groupe des héroïnoimanes font proportionnellement plus de maladies graves que les non-héroïnomanes. Cependant, ce genre d'étude ne pourrait pas prouver que l'héroïne constitue un facteur fortement aggravant de mauvaise santé car, par exemple, les héroïnomanes ont également la propriété de souffrir de malnutrition ou du moins de très mal se nourrir. La cause essentielle de leurs problèmes de santé ne serait donc peut-être pas l'héroïne mais la malnutrition. Conclusion : La consommation de poppers ne constitue pas un facteur contribuant à la séropositivité et on peut continuer à en consommer sans crainte de séropositivité ?! Vive la consommation d'héroïne ?! En réalité et sauf erreur de ma part, je pense que l'argument invoqué, du moins si j'ai bien compris, consiste à dire que l'association épidémiologique n'est pas nécessairement la preuve de son lien de causalité. Je suis 100% d'accord avec cet argument. Par exemple, l'orthodoxie du sida précise que sauf cas extrêmement rarissimes, il n'y a pas de sida sans "VIH". Cette association épidémiologique serait donc la preuve que le sida est causé par le "VIH". Evidemment, il n'en est rien car l'association épidémiologique n'est pas la preuve de son lien de causalité. Mais je pense que cet argument n'est recevable que s'il n'est pas scientifiquement possible d'expliquer ou du moins s'il n'existe pas une façon raisonnablement scientifique d'expliquer la cause de l'un par l'autre, en d'autres termes la pathogenèse de l'un par l'autre (c'est par exemple justement le cas pour le "VIH"; après 25 ans de "recherche", l'orthodoxie du sida reste incapable d'expliquer la pathogenèse du sida qui serait causé par le "VIH", en sorte qu'une éventuelle association épidémiologique "VIH" et sida ne sera pas vraiment de nature à prouver quoi que ce soit). Par exemple, on pourrait prendre des gay roux et des gay non roux, pratiquer des tests dits "VIH", on compare et on constate qu'il y a énormément plus de séropositifs chez les gay roux que les gay non roux. Il me semble clair que dans ce cas, il n'est pas raisonnablement acceptable de dire que le fait d'être un gay roux accroît les risques de devenir séropositif, même si des milliers d'études devaient le "confirmer". Il me semble en effet extrêmement difficile d'expliquer en quoi le fait d'être roux pourrait avoir une incidence dans la survenance de la séropositivité, dans la pathogenèse de celle-ci. Et on peut citer des millions d'autres exemples de ce genre : cuisiner entre 16 heures et 18 heures multiplierait par trois le fait de devenir séropositif, regarder la télévision 5 heures par jour accroîtrait par dix le risque de devenir séropositif, etc... Sur un tout autre plan, on pourrait sur base de telles associations épidémiologiques prétendre que les oiseaux migrateurs provoquent l'hiver car à l'approche de l'hiver, on constate que les oiseaux commencent à migrer. En revanche, on peut plus que raisonnablement scientifiquement expliquer que la cigarette est une source d'oxydants azotés. Dès lors, si des études constatent une corrélation, fût-elle lâche, entre tabac et séropositivité, ces études ne peuvent que très raisonnablement confirmer cette corrélation déjà établie préalablement au niveau de la pathogenèse (ce qui n'est déjà pas le cas avec les gay roux ou avec les oiseaux migrant à l'approche de l'hiver), quand bien même il est plus que vraisemblablement impossible de supprimer des sujets étudiés les autres causes de séropositivité. Affirmer le contraire reviendrait en définitive à dire que rien n'est vraiment de nature à causer la séropositivité. En d'autres termes, l'association épidémiologique ne permet en principe pas à elle seule d'établir un lien de causalité entre deux éléments, mais elle peut en revanche confirmer surabondamment un lien déjà plus que vraisemblablement établi auparavant de façon scientifique, en particulier au niveau de la pathogenèse, entre ces deux éléments. Or, l'orthodoxie du sida fait exactement le contraire, du moins dans l'optique de l'hypothèse rétrovirale. Elle n'a jamais pensé que le fait de fumer augmenterait le risque d'être "contaminé" par le "VIH" (chose pourtante évidente dans l'optique "stress oxydatif"). Elle fait des études et constate cette association épidémiologique. Ce n'est alors qu'à ce moment-là qu'elle essaie d'expliquer la pathogenèse d'une façon scientifique (sous l'optique rétrovirale donc). Or, dans le stress oxydatif comme cause du sida, c'est exactement le chemin inverse : la pathogenèse tabac-séropositivité est scientifiquement établie (du moins, en tant que facteur contribuant à la séropositivité) et les études constatant une telle association épidémiologique ne peuvent que confirmer surabondamment une telle corrélation, déjà établie auparavant (c'est la même chose avec la séropositivité chez les groupes à risque de sida et la corrélation lâche vers le sida : les études paraissant constater cette lâche corrélation ne font que confirmer la pathogenèse déjà antérieurement expliquée, à savoir que l'être humain n'est pas fait pour vivre constamment en état d'hypergammaglobulinémie [taux élevé d'anticorps]). Tel me semble être le cas de la cigarette qui ne peut que constituer un facteur aggravant le risque de survenance de séropositivité. Tel me paraît être aussi le cas du poppers. Dans ces deux cas, la pathogenèse probable entre cigarette ou poppers et séropositivité est clairement établie d'une façon scientifique, avant même la confirmation surabondante par les études épidémiologiques. Je ne puis donc qu'être 100% d'accord avec Delwere lorsqu'il écrit : Je n'aurai en revanche pas été d'accord avec Delwere s'il avait écrit "le sida" au lieu de "la séropositivité" car dans ce cas, je lui aurais demandé quelles sont les causes autres que le stress oxydatif pouvant causer le sida, sans que ces autres causes constituent par eux-mêmes des sources de stress oxydatif et/ou contribuent au stress oxydatif. En d'autres termes, je lui aurais demandé ce qui cause l'apoptose des cellules immunitaires chez les sidéens si ce n'est pas le stress oxydatif.
  8. Faisant des recherches sur la "contamination" (expérimentale) des singes par du "VIH", je suis tombé sur cet article scientifique datant de 2000 , lequel précise entre autres la procédure, ahurissante, utilisée pour "isoler" le "VIH" chez les singes "infectés" : En d'autres termes, le prélèvement effectué sur le singe est cocultivé avec des cellules "CEM", en plus à deux reprises. Or, ces cellules sont connues pour être porteuses chroniques de rétrovirus. Comme si cela ne suffisait pas, cette coculture est stimulée avec différentes sortes de facteurs de croissance. Dans ces conditions, ce qui serait réellement étonnant, c'est que l'on ne trouve pas de rétrovirus, quel qu'il soit ! Mais il y a encore bien pire : les chercheurs en question ne font visiblement même pas l'effort de rechercher l'hypothétique "VIH" au microscope électronique puisque le fait de détecter une activité de transcriptase inverse suffirait amplement à prouver l'existence du "VIH". Pour ma part, dans des conditions pareilles, il me semble stupéfiant de prétendre avoir "isolé" le "VIH" chez ces singes ! Le lecteur aura compris que la procédure utilisée n'a rien à voir avec une quelconque isolation.
  9. wallypat

    Oxyde nitrique

    La fumée de cigarette est également une source extrêmement importante d'oxyde nitrique et augmente d'ailleurs le risque de séropositivité de 60 à 300% (en fonction des études) !
  10. Question d'autant plus intéressante, me semble-il, que l'article en question précise entre autres : CQFD.
  11. Je crois que cet interview fait référence à un documentaire fait en 1996 pour la chaîne ARTE et dont le lecteur trouvera le synopsis en cliquant ici. Il est à cet égard intéressant de voir comment l'orthodoxie du sida, en la personne de Luc Montagnier, "répond" aux critiques et aux questions posées dans ce documentaire : Sans commentaire !
  12. Juste pour préciser qu'il peut arriver que chez certains séropositifs, l'hypothétique "primo-infection" se caractérise, non pas par une baisse des lymphocytes T4, mais bien par une augmentation de ceux-ci, comme précisé par exemple dans cet article du Perth Group : En d'autres termes, chez certains individus, la "contamination" par le "VIH" serait un bon moyen ... d'augmenter ses lymphocytes T4 ! Sinon, concernant le sujet de l'hypothétique "primo-infection", je tenais juste à préciser à toutes fins utiles et pour éviter toute équivoque que si les considérations reprises dans les posts qui précèdent sont assurément très intéressantes, il n'empêche pas moins qu'elles sont purement "théoriques", du moins dans le sens où elles ne prouvent en aucune façon que la "primo-infection" existe, que le "VIH" existe ou encore que le sida est causé par le "VIH". Sinon, oui, c'est intéressant de savoir comment l'orthodoxie du sida procède pour pondre des chiffres pareils.
  13. A mon sens, il n'y a aucun doute que l'usage du préservatif a permis et permet de réduire fortement les cas de séropositivité. D'innombrables études l'ont clairement démontré Je me suis déjà expliqué là-dessus dans ce post-ci, et plus particulièrement dans la deuxième partie de ce post intitulée "La réfutation du deuxième argument de Candide". Quoique je rédigerais maintenant un peu autrement cette deuxième partie du post, je pense qu'elle énumère clairement les raisons principales pour lesquelles le safe sex a permis de réduire très fortement les cas de séropositivité, sans que cela ait quelque rapport que ce soit avec un rétrovirus "VIH".
  14. Concernant ce mythe de la primo-infection par le "VIH", certaines personnes "bien placées" disent que la primo-infection ne pourrait même n'intervenir que dans 5% des cas ! Comme par exemple dans cet article-ci : En réalité, il me semble que la question de la primo-infection est prise à l'envers (par l'orthodoxie du sida bien sûr). Plutôt que d'affirmer que la (supposée) "contamination" par le "VIH" se manifesterait par des symptômes, les plus divers au surplus, il faudrait plutôt dire que les symptômes en question sont en réalité ceux de réelles infections bactériennes, virales, etc..., et que si ces réelles infections sont suffisamment aiguës, elles peuvent tout simplement rendre positif le test de stress oxydatif appelé par erreur "VIH" (cette explication, qui me semble évidente dès lors qu'il est constaté que l'existence du "VIH" n'a jamais été prouvé jusqu'à ce jour, permet en outre d'expliquer pourquoi la (supposée) "contamination" par le "VIH" se manifeste finalement si rarement par des symptômes quelconques [or, sauf erreur de ma part, généralement la plupart des infections virales se manifestent lors de la primo-infection par divers symptômes généralement identiques [soit tout le contraire du "VIH"], et en outre, avec une fréquence plus élevée que le supposé "VIH"]). On sait en effet depuis longtemps que par exemple les infections virales aiguës peuvent faire réagir positivement ces tests dits "VIH", comme précisé entre autres dans cet article : Pour le surplus, je me permets de renvoyer à ce post-ci.
  15. Et comme je pense que tu l'as déjà signalé il n'y a pas longtemps, une réduction de 80% sur un risque relevant déjà de la théorie (1 sur 1111 dans le sens homme ---> femme et 1 sur 8888 dans le sens femme ---> homme), cela ne signifie tout simplement rien ! C'est donc à se demander comment ces chercheurs ont fait pour calculer ce pourcentage de réduction des risques. Ce que cette étude allemande, soulignée par Cheminot en son temps, ne peut que confirmer surabondamment. N'oublions par ailleurs pas les dangers que peut provoquer l'usage de certains préservatifs et lubrifiants, notamment le cancer, voire dans des cas extrêmes le sida. Qu'il suffise de lire cet article pour le moins édifiant ! Ceci étant, les préservatifs restent malgré tout indispensables pour se protéger contre les (vraies) MST et, partant, contre des risques de séropositivité. Mais compte tenu de l'article cité ci-avant, il est vivement recommandé de bien choisir la marque de préservatif ainsi que l'éventuel lubrifiant utilisé. Sinon, gare aux séropositivités inattendues pouvant résulter (en particulier pour le partenaire receveur) du safe sex (je sais, c'est un peu provocant, mais cet article que j'ai découvert tout récemment, me paraît aller dans ce sens) !
  16. wallypat

    Guérir le Sida!

    Pour ce qui me concerne, hormis en tant que l'article recommande l'emploi des antioxydants (et encore, c'est surtout pour remédier partiellement aux effets secondaires des drogues dites "antirétrovirales" qui seraient toujours indispensables et auraient montré leurs "incroyables" bienfaits), cet article n'est qu'une suite de désinformations ! Et d'ailleurs, Delwere, tu en as souligné deux de taille. Je pense que cela n'a jamais été aussi clair, c'est bien le stress oxydatif qui cause le "VIH", et non l'inverse ! Si cela n'est pas correct, prouvez-moi alors le contraire, bien entendu en commençant par me prouver l'existence du "VIH" en tant que rétrovirus exogène chez les séropositifs et les sidéens !
  17. Ce qui est piquant dans ce lien, c'est que ces orthodoxes du sida se gardent bien de parler du volet prospectif (ils n'en parlent pas une seule fois !) de l'étude Padian, et ne s'attardent que sur le volet transversal de l'étude Padian. Ne me demander pas quelle est la différence précise entre une étude prospective et une étude transversale car j'essaie encore de bien la saisir (mais si quelqu'un peut m'expliquer clairement cette différence, merci d'avance), mais de l'avis des scientifiques non impliqués dans l'affaire du sida, seules les études prospectives ont une fiabilité nettement supérieure et pourraient raisonnablement prouver une éventuelle transmission sexuelle (ici : de la séropositivité). Mais l'un des problèmes fondamentaux, c'est que les études prospectives sont excessivement rares ! Or, le volet prospectif de l'étude Padian a constaté une probabilité de transmission égale ... à zéro pour cent, c'est-à-dire que le volet prospectif, bien plus fiable que les études transversales de l'avis général des scientifiques, a prouvé une absence de transmission de la séropositivité. Aucun orthodoxe du sida ne soufflera mot de ce volet prospectif, trop gênant pour le dogme de la transmission sexuelle de la séropositivité, mais préférera au contraire se fonder sur le volet transversal, qui aurait démontré une (extrêmement voire même homéopathique) faible probabilité de transmission. Alors, certes, de plus en plus de participants s'adonnaient au safe sex avec les années. Ainsi, dans l'étude prospective, qui dura quant à elle 6 ans (mais tous les couples ne furent pas suivis pendant six ans mais durant un nombre inférieur d'année car certains couples entrèrent dans l'étude après le début de cette étude), au cours des années, de plus en plus de couples sérodiscordants se mirent à utiliser de plus en plus souvent et même systématiquement des préservatifs. Cette tendance n'a fait que s'accentuer d'année en année car à chacune de leurs visites (tous les six mois), les couples recevaient des cours super intensifs sur le safe sex et étaient vivement invités à recourir systématiquement à l'usage du préservatif. Au bout des six ans de l'étude, il n'y avait néanmoins que 75% des couples (on paraît ignorer le pourcentage au départ de l'étude, mais il est forcément largement inférieur) qui recouraient systématiquement au préservatif, contrairement aux 25 autres pour cent. Et pourtant, malgré tout ce qui précède, il n'y eut aucun cas de (supposée) transmission sexuelle de la séropositivité durant les six années que dura cette étude prospective. Evidemment, le site auquel renvoit le lien reproduit ci-dessus ne va pas y prêter la moindre allusion ! Sinon, une bonne piqûre de rappel. Tout ce qu'il y a sur ce blog, c'est une énumération ennuyeuse d'articles antérieurs où la transmission sexuelle de la séropositivité est tout simplement présupposée. En fait, à ma connaissance, l'orthodoxie du sida ne s'est tout simplement jamais posée la question de savoir si la séropositivité est vraiment sexuellement transmissible; depuis le début, cela a été considéré comme un fait établi. Au début des années 80, elle a élaboré l'hypothèse du rétrovirus sexuellement transmissible, et la circonstance que Montagnier en 1983 et Gallo 1984 auraient effectivement isolé un nouveau rétrovirus "VIH" a ipso facto validé leur hypothèse, et depuis lors, la moindre étude relative à la transmission sexuelle de la séropositivité est interprétée comme prouvant la transmission sexuelle. L'orthodoxie du sida ne s'est jamais posée de question là-dessus, les seules questions qu'elle se pose sur le sujet, c'est ce qui accroît ou réduit la probabilité de transmission. Et bien sûr, comme annoncé au début de ce post, nul mot sur ce blog du volet prospectif de l'étude Padian, ce qui n'a rien d'étonnant ! En réalité, je pense que la plupart des orthodoxes du sida se sont contenté de lire le résumé de l'étude, lequel résumé ne porte que sur le volet transversal, ce qui les arrange très bien !
  18. La version la plus complète que j'ai pu trouver fait (quand même) huit pages : http://aje.oxfordjournals.org/cgi/reprint/146/4/350 En fait, je me demande si ce n'est pas l'article lui-même, dans son intégralité (ou presque).
  19. Je pense qu'il est effectivement possible de créer en laboratoire des germes, éventuellement infectueux, transmissibles par la voie de l'éternuement. A l'heure actuelle, en laboratoire, on peut faire tout et n'importe quoi. En revanche, ce qui est certainement impossible, est que le germe en question soit du "VIH" qui aurait été muté en laboratoire. Avant de déclarer qu'il s'agit d'un "VIH" muté, il faudrait déjà avoir prouvé que l'on a bien travaillé sur des clones du "VIH" (chose qui n'a jamais été prouvée jusqu'à ce jour : lire par exemple ce post-ci). Donc, au mieux, les chercheurs ont peut-être effectivement travaillé sur des rétrovirus créés en laboratoire avec du matériel génétique déclaré être celui du "VIH" (mais cela n'a jamais été prouvé) et sur lesquels l'étiquette "VIH" a été collée (ce qui est toujours efficace pour impressionner), et peut-être les ont-ils modifiés génétiquement et tripotés de je ne sais quelle façon, mais à ce jour, il n'a jamais été prouvé qu'il s'agit bien d'un rétrovirus exogène dit "VIH" présent chez les sidéens et séropositifs. Il ne faut par ailleurs pas perdre de vue que contrairement à n'importe quel autre germe ou microbe, les rétrovirus ont la particularité toute spécifique de pouvoir surgir du néant, de façon endogène, c'est-à-dire de surgir de cellules hautement stimulées, par exemple par des mitogènes, des agents oxydants, etc... Et comme "par hasard", pour faire apparaître ce qui est appelé "VIH", la stimulation de ces cellules est justement TOUJOURS nécessaire. En résumé, oui, de tels germes transmissibles par éternuement pourraient bien exister, ils pourraient même provenir de je ne sais quelle mutation de rétrovirus provoquée en laboratoire ... mais ce qui est certain, c'est que ce n'est de toute façon pas du "VIH", qu'il soit muté ou non d'ailleurs !
  20. Bonsoir Psyence. Effectivement, j'avais commencé et puis je me suis dit que j'allais encore passer des heures sur ce sujet, et qu'ensuite tu trouverais d'autres arguments, que je devrais ensuite réfuter, etc... Bref, je crains que l'on pourrait continuer ainsi pendant des semaines et qu'on continuerait toujours chacun à penser que l'on a raison. Donc, en définitive, je me suis dit que je ferais plutôt mieux de consacrer mon énergie à d'autres aspects du thème "sida", et je crois que ce sera plus utile d'ailleurs. En définitive, peut-être nous opposons-nous pour des détails somme toute assez relatifs, puisque tu sembles maintenant de plus en plus admettre (mais peut-être m'avance-je encore un peu trop) que le sida n'est pas causé par le "VIH" et que le stress oxydatif serait effectivement sa cause, avec quelques modifications à ta sauce de l'explication originale formulée par le Perth Group. Et puis, j'avoue que ce débat paraît être allé tellement loin que cela commence à dépasser mon entendement ! Donc, je vais plutôt me consacrer à des thématiques un peu moins compliquées, tout en gardant un oeil sur le sujet en cas de survenance de nouveaux éléments allant dans mon sens ... ou, pourquoi pas, dans ton sens !
  21. Les derniers posts qui précèdent illustrent toute lambiguïté des trithérapies. Malgré les innombrables défauts des trithérapies, (à commencer par leurs effets secondaires parfois mortels), il faut quand même admettre quelles permettent de lutter contre le stress oxydatif dont souffrent les sidéens. Dès lors, elles contribuent généralement à prévenir le stade sida. Cest lune des raisons (avec de nombreuses autres bien sûr, comme par exemple la diminution de la dose dAZT dès 1993) qui explique laccentuation (dès le début 1996) de la baisse de la mortalité en cas de sida, baisse déjà entamée dès 1993 (entre autres, en raison de la diminution de la dose dAZT). Raison pour laquelle je disais quil nest pas étonnant que sur les 90.000 séropositifs suivis, peu fasse de sida (quoique dans larticle, si je me souviens bien, 20.000 faisaient quand même un sida : toxicité des trithérapies, « résistance » aux trithérapies, etc...) puisquils sont presque tous sous trithérapie et/ou traitements (lesquels, je ne le sais pas précisément). Dun autre côté, jai publié il y a quelques semaines un lien faisant référence à un article scientifique aboutissant que les trithérapies nont pas réduit le taux de mortalité. Il sagit bien sûr du taux de mortalité depuis 1996 (date dapparition des trithérapies), lequel taux na pas diminué depuis 1996. Mais bien sûr , ce taux de mortalité de 1996 (et donc toujours le même en 2006) est toujours inférieur aux taux de mortalité qui existaient avant 1996 (et en ce sens, les trithérapies sont relativement bénéfiques). Enfin, les trithérapies sont terriblement toxiques (cf certainement une grande partie des 20.000 cas cités ci-dessus), et chez certaines séropositifs (heureusement , pas chez la majorité dentre eux), elles peuvent causer la mort, parfois en causant une maladie caractéristique du sida. Cest tout le paradoxe des trithérapies, mais à lheure actuelle, leurs bénéfices dépassent leurs inconvéniensts, du moins en se plaçant uniquement sur le plan du taux de survie (pour le reste, cest très douteux, pour ne pas dire moins). Ce que de nombreux dissidents disent en revanche, cest que les trithérapies pourraient en réalité souvent être inutiles car des compléments alimentaires pourraient permettre darriver au même résultat, du moins assez souvent. En dautres termes, les trithérapies seraient une bonne chose mais à très court terme et en cas durgence. Ma réponse à Psyence plus tard durant ce week-end.
  22. Bonjour Delwere. J'espère sincèrement que tu te trompes, car cela signifierait qu'au bout de 15,20 ou 25 ans, le taux de mortalité du sida augmenterait à nouveau en flèche. Mais voilà qui démontrerait de façon encore plus éclatante la corrélation, quoique lâche, entre séropositivité et sida, et le fait que les trithérapies constitueraient une parenthèse faussant la lâche corrélation entre séropositivité et sida (quoique dans un autre côté, les trithérapies peuvent aussi amener un séropositif du côté "obscur" (lol) de la séropositivité, à savoir la catégorie sida "occidental" avec durable style de vie à risque). Voilà. Cela, c'était en attendant de trouver le temps nécessaire pour répondre méticuleusement à Psyence (durant ce week-end, si tout va bien).
  23. Psyence Bien sûr que j'adhère à la plupart des analyses de Psyence exposées dans son dernier post, surtout qu'elles reflètent presque fidèlement la théorie du stress oxydatif chère au Perth Group. Sauf que moi, je préciserais en outre que pour les personnes ayant un style durable de vie à risque de sida, la séropositivité est la marque d'une propension à développer certaines maladies particulières dans le futur (tout comme il existe d'autres propensions de ce type existant alors chez les séronégatifs, comme la chimiothérapie). Je ne vois toujours rien qui va à l'encontre de cette affirmation. Sauf peut-être le souci d'absolument nier cet corrélation évidente dans ces cas-là, mais pour une raison qui m'échappe toujours.
  24. Cela va me prendre un temps fou pour répondre à tout cela. Mais il y a déjà un point de base dans ton post qui est fondamental. Si on nest déjà pas daccord là-dessus, il est normal que nous pensons tous les deux que nous avons raison. Et si on nest déjà pas daccord là-dessus, il ne sert tout simplement à rien daller plus loin dans le débat, faute daccord sur ce point de base. Mais avant de parler de ce point, je rappelle brièvement ma position. Par sida, jentends par là des maladies très spécifiques (exit tuberculose, diarrhées, herpès, etc...) qui étaient extrêmement rares avant lavènement, non du « VIH » bien sûr, mais bien avant lavènement de la présence de nombreux anticorps causant ce qui est appelé maintenant la séropositivité. Jai cité quelques-unes de ces maladies dans mon précédent post : pneumocystoses, toxoplasmoses cérébrales, cryptoccoses, rétinites à cytomégalovirus, ... Ce document, très parlant à mon avis, cite de nombreuses études montrant que ces maladies étaient extrêmement rares dans les pays occidentaux (je parlerai donc de sida de type « occidental » par opposition au sida « nutritionnel », et pour lequel , après bien des difficultés, jai admis que la séropositivité nest pas la marque dune propension à développer certaines maladies particulières). Ce document précise entre autres que les séropositifs (type « occidental » donc) ont plus de mille fois plus de chance de développer ces très rares maladies, que des personnes séronégatives (et ajoutons pour être plus précis : qui ne sont pas en outre exposés à des causes dimmunodépression ayant existé avant même 1981 et qui pouvaient déjà causer ces rares maladies : par exemple chimiothérapies anti-cancéreuse, corticostéroïdes, médicaments anti-rejet, ...) Evidemment, si on exige que cette corrélation doit être systématique, alors forcément, il ny aura jamais corrélation ou propension ! Or, moi, je ne vois pas pourquoi la corrélation doit être systématique entre séropositivité et maladies opportunistes doit être systématique pour affirmer que cette corrélation existe. Et il me semble que cette exigence de corrélation systématique dépasse très largement le domaine du sida, mais concerne la médecine en général. Si le caractère systématique est exigé, il ny a quune seule conclusion à tirer : fermons les facultés de médecine et mettons tous les médecins (ou presque) au chômage. A ma connaissance, et parmi des centaines dexemples, les corrélations ne sont pas systématiques dans les cas suivants : - Cigarette et cancer du poumon ; - UV et cancer de la peau ; - Cholestérol et cardiopathie ; - Virus de la grippe et la grippe (on peut être porteur du virus sans faire la maladie) ; - De manière générale, toutes les maladies attribuées à un germe infectieux quelconque : on peut être porteur du germe infectieux en question mais on ne fera pas nécessairement la maladie. Dans aucun des cas qui précèdent, la corrélation nest systématique. Pourtant, il ne vient lidée à personne (sauf à quelques uns, comme Lanka ... et Aixur ! lol) de nier lexistence de cette corrélation, quoique lâche, et même dy voir parfois une relation de cause à effet. Par conséquent, je ne vois pas pourquoi en matière de séropositivité (type « occidental » bien sûr), cette corrélation devrait tout à coup être systématique alors que lon nexige pas cela pour tous les exemples que jai cités. Cela il faudra me lexpliquer. A moins que cette exigence a été introduite uniquement parce quil a été décidé quil fallait coûte que coûte nier dans tous les cas, sans la moindre exception, que la séropositivité puisse parfois être le signe dune propension à développer certaines maladies ?
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