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wallypat

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  1. wallypat

    Le glutathion

    Cela varie sans doute en fonction de l'âge et du sexe mais considérons que nous avons +/- le même âge. Voici les normes (en plus, les normes varient en fonction de l'unité retenue, donc cela va être très difficile de faire des comparaisons avec mon propre bilan si ce ne sont en plus pas les mêmes unités) que j'ai trouvées sur mon bilan : - Glutathion réduit (GSH) : 56-84 mg% G.R. (je ne sais pas ce que signifie cette unité, mais en tout cas, j"étais un peu en dessous de la limite "normale" inférieure : 54); - Glutathion peroxydase (GPX) (sans autre précision) : 59-116 U/g HB (j'étais à 76). Sinon, quelques autres mesures faites en matière de stress oxydatif : - Protéines SH : 396-734 micro mol/L (j'étais à 733); - Sélénium : 90-143 micro g/L (j'étais à 162); - SOD : 569-892 U/g Hb (j'étais à 953); - Coenzyme Q10 : 670-990 micro g/L (j'étais à 544); - Zinc : 84-135 micro g/dL (j'étais à 121); - Etc...
  2. wallypat

    Le glutathion

    A la fin de ce document-ci, on précise quelles analyses pourraient utilement être faites, entre autres en matière de glutathion : On y parle donc du niveau de glutathion dans le plasma et dans les T4.
  3. wallypat

    Le glutathion

    Si cela peut t'aider, Jeff, chez moi, en matière de glutathion, on a mesuré mon taux de glutathion peroxydase et de glutathion réduit. Lors de ma prochaine visite, et pour autant que cela soit possible, je demanderai aussi à ce qu'on calcule la rapport glutathion réduit/glutathion oxydé, et pour autant que cela ne soit pas trop coûteux, je demanderai à ce qu'on mesure mon niveau de glutathion intracellulaire, plus particulièrement au niveau des lymphocytes T4. Si jamais d'autres personnes ont des suggestions d'analyse en matière de glutathion, qu'elles n'hésitent pas bien sûr !
  4. wallypat

    Le glutathion

    Il est en tout cas à peu près certain que ces compléments n'ont pu que contribuer à faire augmenter le niveau de glutathion. Je les continuerais encore certainement. Oui, certainement !
  5. wallypat

    Le glutathion

    Pour ma part, j'aurais bien du mal à t'expliquer la différence. En tout cas, à ma connaissance, le Perth Group n'a pas défini une norme en deçà de laquelle il y aurait danger immédiat de sida. Seule la pratique (malheureusement quasiment absente, pour cause de dogme à respecter) devrait permettre de définir une norme. Ce qui a en revanche été constaté, c'est que le sida est lié à un fort déficit en glutathion. Ce n'est manifestement pas ton cas, visiblement. Cela ne signifiera cependant pas pour autant que tu ne risques pas ou plus de faire des maladies quelconques. Par ailleurs, et sans être alarmiste, il ne faut pas perdre de vue que le stress oxydatif peut causer des dommages irréversibles, et une fois que ceux-ci ont été faits, même un bon niveau de glutathion ne sera pas forcément de nature à empêcher un épisode de sida. Mais cela me paraît déjà une nécessité d'avoir un bon niveau de glutathion. De mémoire (mais je ne sais plus du tout où je l'ai lu), il me semble avoir lu qu'un séropositif pouvait avoir un niveau de glutathion (mais quel type, je ne sais plus) entre 30 et 50% inférieur au niveau normal, pendant des mois, sans faire de sida pour autant. En tout cas, tes résultats me paraissent bons, et visiblement meilleurs que les miens (quoique chez moi, c'était surtout le glutathion réduit qui fut mesuré). Ceci étant, si je me souviens bien, tu es maintenant momentanément sous trithérapie. Il s'agira maintenant de savoir comment ton glutathion évoluera après l'arrêt éventuel de celle-ci. En tout cas, après l'arrêt de celle-ci, je continuerais à prendre des compléments alimentaires censés faire augmenter le niveau de glutathion, car les drogues dites antirétrovirales peuvent influencer ce niveau, dans un sens comme dans un autre. En tout cas, il est vraiment dommage qu'il n'y ait pas en France de praticiens expérimentés en la matière car c'est vraiment le règne de la débrouille. Et c'est vraiment bien triste qu'il faille aller sur ONCT pour tenter de glaner çà et là quelques maigres informations sur le glutathion au niveau "médical" alors qu'on l'on devrait s'attendre à pouvoir se référer aux médecins sur ce sujet !
  6. Je ne pense pas qu'il y ait de contradiction. Voici ce qu'un féroce orthodoxe du sida a répondu (malheureusement en anglais) à cet argument, en des termes pour le moins cinglants : Le "VIH" (à supposer qu'il existe) est tellement petit qu'il faudrait la totalité du sang de 200 sidéens ayant une charge virale de plus d'un million (ce qui est en pratique impossible, bien sûr) pour espérer obtenir ne fût-ce qu'un seul millilitre de "VIH" ! Il s'ensuite que la culture de l'échantillon de sang est tout simplement indispensable et il n'y a donc de prime abord pas de contradiction entre le fait qu'on ne trouve pas de "VIH" dans le sang lui-même d'un sidéen mais bien dans la culture de ce même sang (et en fait, même dans la culture, on n'en trouve pas car au gradient de densité 1,16 mg/ml caractéristique des rétrovirus, on ne trouve déjà pas de particules ayant les caractéristiques morphologiques prétendument attribuées au "VIH"). C'est pourquoi je pense qu'Etienne de Harven va un peu trop loin dans ces exigences d'isolation. D'ailleurs, le Perth Group ne va pas aussi loin et admet que la culture puisse être nécessaire (comme le prétend l'orthodoxie du sida). En revanche, le Perth Group exige des cultures de contrôle pour éviter que le "VIH" (à supposer qu'il existe) ne soit confondu avec des rétrovirus ou à tout le moins des particules d'apparence rétrovirale pouvant résulter du fait même de la culture elle-même. Or ces cultures de contrôle sont comme "par hasard" rarissimes en matière de "VIH" !
  7. Il me semble logique que la dissidence nait jamais prouvé que le « VIH » nexiste pas. Premièrement et sauf erreur de ma part, il est quasiment impossible de prouver un fait négatif (ici : prouver que le « VIH » nexiste pas). Dès lors, dun point de vue purement théorique (ou presque), le « VIH » pourrait effectivement exister puisquil est impossible ou presque de prouver un fait négatif. Cest sur base de cette (quasi) impossibilité que lon pourrait par exemple affirmer que les martiens existent puisquil na pas été prouvé quils nexistent pas. Ce nest donc pas vraiment exagéré de faire un tout petit pas de plus et de dire que le sida est causé par les extraterrestres puisque cette hypothèse ne peut être exclue. Dune façon un peu moins osée, je pourrais peut-être également dire que le sida est causé par un virus, ou une bactérie, ou un germe quelconque. Ces différentes hypothèses sont tout à fait plausibles puisquil ne serait plus nécessaire de prouver que le virus, la bactérie ou le germe existe vraiment. Sa présumée existence serait déduite de labsence de preuve de sa non-existence ! Deuxièmement, la dissidence na pas à prouver que le « VIH » nexiste pas. Elle doit juste constater que son existence na pas été démontrée du tout. Il est vrai quil y a quelque temps, jai utilisé lexpression « de façon raisonnablement acceptable ». Mais depuis lors, jai continué à analyser les « isolations » en question, en lisant cette fois-ci les arguments du Perth Group et ma conclusion est devenue bien plus radicale : le « VIH » na pas été isolé le moins du monde, de quelque façon que ce soit. Il sagit tout simplement dun échec éclatant. Il ny a pas lombre dune preuve ou dun commencement de preuve. Il y a juste des indices et des marqueurs qui peuvent représenter un peu nimporte quoi, et qui ne représenteront un rétrovirus « VIH » que si et seulement si la science a comme préjugé que le « VIH » existe en tant que rétrovirus exogène contaminant des gens. Mais on ne saurait établir une science sur base de préjugés, dopinions, de suppositions ou présuppositions. Et pourtant lhypothèse rétrovirale du sida est fondée là-dessus. Je crois que les meilleures preuves que le « VIH » nexiste pas (qui, en théorie et sur le plan logique, pourrait effectivement exister) consistent à constater : - que le « VIH » na tout simplement jamais été isolé (cest pourtant le minimum déjà requis), - et quil existe une théorie (le stress oxydatif) qui permet déjà dexpliquer le sida sans « VIH ». Ces deux faits me paraissent plus que suffisants pour reléguer définitivement lhypothèse rétrovirale du sida au rang des plus grandes catastrophes scientifiques et médicales. De manière générale, la dissidence na nullement la tâche dapporter la preuve de quoi que ce soit, à savoir que le « VIH » existe. Cest au contraire uniquement à lorthodoxie du sida de prouver non seulement que le « VIH » existe mais également que le « VIH », par son existence, court-circuiterait la théorie du stress oxydatif comme cause du sida. Tant que ces deux preuves nauront pas été apportées, la seule conclusion raisonnable qui me vient à lesprit est dabandonner irrémédiablement lhypothèse rétrovirale du sida. Et après 25 ans de recherche, cela me semble non seulement évident mais aussi urgent. Et d'en revenir ainsi à l'explication qui avait eu cours dès le début de l'épidémie, à savoir l'hypothèse "style de vie" et qui tenait déjà très bien la route.
  8. Tout d'abord l'absence de preuve de l'existence du "VIH" ne prouve pas sa non-existence non plus ! C'est pourquoi ces disscussions, même théorique, présentent un certain intérêt ! Bien sûr que cela présente de l'intérêt ... mais pour autre chose que le "VIH" ! Car cet argument : Fait furieusement penser à l'argument de désespoir invoqué en dernier lieu par l'orthodoxie du sida, ne sachant plus quoi répondre aux acerbes critiques du Perth Group lors du débat qui a opposé pendant deux ans l'orthodoxie du sida et la dissidence du sida. Voir par exemple ici (en titre) : Soit : L'absence de preuve n'est pas la preuve de son absence. Fonder en définitive l'hypothèse rétrovirale du sida sur cet argument me semble particulièrement faiblard, pour ne pas dire plus encore. Avec ce genre d'argument, j'en reviens à cette autre cause tout à fait possible du sida, que j'avais brièvement et ironiquement défendue il y a quelques mois : les extraterrestres ! En effet, ce n'est pas parce qu'on ne peut pas prouver que les extraterrestres causent bien le sida que cela prouve pour autant que les extraterrestres ne causent effectivement pas le sida. ---> Sous-entendu : le sida est bien causé par les extraterrestres (et ce, par des mécanismes "qui restent à résoudre") ! Bref, tout cela pour dire qu'une science aussi établie que celle que serait le sida rétroviral ne peut avoir de fondations solides si elle est bâtie sur ce genre d'argument, qui me semble encore pire que les arguments tirés de suppositions. Et je rappellerai une énième fois que les rétrovirus ne relèvent pas de notions cosmologiques, nucléaires ou ésotériques dont l'existence supposée ne pourrait être qu'inférée à partir d'observations indirectes. Ce sont des particules que l'on peut voir (en tout cas au microscope électronique), même si ce n'est pas à l'œil nu. A défaut de pouvoir en voir, même chez des sidéens en phase terminale et ayant une charge virale astronomique, il faut avoir le courage d'en tirer toutes les conséquences, aussi pénibles soient-elles (pour l'orthodoxie du sida). A défaut, mon hypothèse du sida causé par les extraterrestres redevient tout aussi plausible et sérieuse que celle du rétrovirus.
  9. Juste pour dire que les considérations qui précèdent de nexus11 (et d'autres intervenants antérieurs) me paraissent très intéressantes sur le plan général, mais que sur le plan du "VIH" proprement dit, elles sont purement théoriques (quoique intéressantes, bien sûr) car il faut d'abord commencer à apporter la preuve que le "VIH" existe déjà en tant que rétrovirus exogène chez les sidéens et séropositifs. Cette preuve n'a jamais été apportée jusqu'à ce jour. Par conséquent, toute discussion sur le "Pourquoi le "VIH" est devenu pathogène" est purement théorique, et revient à discuter du sexe des anges (même si cela reste intéressant, bien sûr). Je précise cela pour éviter que le débat "dérape" et qu'on en vienne à parler du "VIH" comme s'il existait réellement en tant que rétrovirus exogène. Et je rappelle à toutes fins utiles que le "VIH" (ou "SIV" chez le singe) n'a d'ailleurs jamais été isolé chez le singe, ainsi qu'il ressort par exemple de cet article. Dès lors, faire des comparaisons entre le singe et l'homme sera également inutile, du moins du point de vue "VIH" ("SIV"). Il en va bien sûr autrement sur le point de savoir pourquoi les singes ne font pas de sida mais bien les hommes. Mais de telles explications ne nécessitent nullement le "VIH" (ou le "SIV" pour le singe).
  10. Pour ma part, je me permets de renvoyer à ce post-ci (si ce n'est que ce qui fait réagir les tests dits "VIH" ne sont apparemment pas toujours du stress oxydatif mais cela peut être d'autres choses également). On pourrait remonter à du sang congelé provenant de la préhistoire que cela ne prouvera toujours pas que le "VIH" existait déjà à l'époque, ni même à l'heure actuelle d'ailleurs. Les circonstances pouvant faire réagir positivement les tests dits "VIH" peuvent très bien exister (du moins, pour un certain nombre d'entre elles) depuis 1931, ou même bien auparavant. Une réaction avec des anticorps ne prouve pas l'existence du "VIH" s'il n'est déjà pas prouvé que les anticorps en question réagissent avec des antigènes d'un nouveau rétrovirus "VIH". Idem pour les tests génétiques. Bref, tout cela, c'est de la foutaise !
  11. wallypat

    SIDA 2006

    Personnellement, je n'ai rien vu de bien intéressant dans cette dépêche. Tout ce que je vois, c'est au mieux le voyage d'un rétrovirus présenté comme étant le "VIH" jusque dans une cellule. Sauf erreur de ma part, les rétrovirus ont tous la particularité d'infecter les cellules, sauf qu'il est affirmé que le "VIH"" aurait en plus la particularité de détruire les lymphocytes T4. Non seulement on sait déjà que cette particularité du "VIH" relève de la science-fiction, mais en plus l'expérience relatée dans cette dépêche n'avait en aucune façon cet objet. En d'autres termes, on a au mieux assister au voyage d'un rétrovirus jusque dans une cellule. La tromperie consiste à nous faire croire qu'il s'agit de "VIH". En outre, il est précisé dans l'article que pour déterminer ce voyage, ils ont marqué par fluorescence l'intégrase. Or, à ma connaissance, l'intégrase est une protéine caractéristique de tous les rétrovirus, et pas du seul "VIH" (à supposer même que ce dernier aurait existé), qui a pour objet (sauf erreur de ma part) d'intégrer la matériel génétique du rétrovirus dans la cellule infectée. Bref, il n'y a rien de bien spécifique ou incroyable dans cette dépêche, sauf de tenter de nous faire croire de cette façon qu'il s'agit de "VIH".
  12. wallypat

    Le glutathion

    Le grand avantage de la TMG (avec les vitamines B), c'est que c'est bien moins cher que la consommation de la SAMe elle-même. Ce n'est qu'en cas d'échec (ce qui peut arriver) de cette méthode moins coûteuse qu'il apparaît alors plus approprié de recourir directement à la consommation de la SAMe elle-même, plus coûteuse.
  13. wallypat

    L’acide valproïque

    Il semble par ailleurs ressortir de cette étude parue cette année que l'acide valproïque est une source de radicaux libres (stress oxydatif donc) et cause des dommages au foie ! Cela ne vous fait pas penser à d'autres "médicaments" ?
  14. wallypat

    Le glutathion

    Voilà. Tu trouveras ma réponse à la question posée dans ce post-ci, que j'ai préféré placer dans le topic "Oxyde nitrique" car il m'y semblait plus approprié.
  15. wallypat

    Oxyde nitrique

    LE SARCOME DE KAPOSI DES SEROPOSITIFS N'EST EN AUCUNE FACON CAUSE PAR UNE ESPECE PARTICULIERE DU VIRUS HUMAIN DE L'HERPES, A SAVOIR LE "HHV8", ET ENCORE MOINS PAR LE "VIH", MAIS BIEN PAR LE STRESS OXYDATIF REPRESENTE PAR LES NITRITES ET LA RECEPTION ANALE DU SPERME INTRODUCTION LASIMAR : Que plus personne ne vienne donc encore dire que le sarcome de kaposi serait causé par le "HHV8" ! Il n'y a tout simplement aucune preuve scientifiquement et raisonnablement acceptable à ce jour. En revanche, il y a pléthore de preuves en faveur des nitrites !
  16. Dans le même sens que Liane : Mais ces disparités n'apparaissent que dans les populations non ciblées, non à risque de sida.
  17. Personnellement, je suis d'accord. C'est bien pour cela que pour ma part, je recommande, entre autres, de faire un bilan nutritionnel approfondi et pas seulement limité à la question du stress oxydatif.
  18. Ca me semble certain également. Le séropositif peut continuer à prendre tous les suppléments, vitamines, antioxydants, etc... qu'il voudra, il ne faudra certainement pas espérer une amélioration durable de son état de santé s'il continue à s'exposer en même temps aux agents oxydants pouvant causer le sida, et ce d'autant plus s'il a déjà connu auparavant un premier épisode de sida. Il a d'ailleurs été constaté que les survivants à long terme sont avant tout ceux qui ont cessé de s'exposer à de tels agents oxydants, qui ont repris en quelque sorte une vie "saine et équilibrée" (je n'aime pas beaucoup l'expression mais au moins c'est clair).
  19. Faisant quelques recherches complémentaires sur le sujet, je suis tombé par exemple sur ce document, d'où il paraît clairement ressortir que par exemple les virus "Coxsackie" sont transmissibles via les matières fécales : Or ces virus-là font justement partie de la liste (reproduite un peu plus haut) des germes pouvant causer des rashs cutanés semblables à ceux dits de la "primo-infection VIH". Je crois que c'est intéressant à souligner. Je ne serais d'ailleurs pas étonné d'apprendre qu'il pourrait en être de même de certains autres germes repris dans cette liste.
  20. Merci pour ces précisions, Cheminot. Donc, oublions les matières fécales (et l'urine aussi, sans doute) comme source d'oxydants azotés. Mais sauf erreur de ma part, elles peuvent donc encore toujours rester une source de contamination par divers germes pathogènes.
  21. Je n'ai évidemment pas écrit cela pour faire de l'humour. Une recherche rapide de deux minutes sur internet permet de constater (on s'en serait douté, mais autant le confirmer encore) que les matières fécales contiennent des tas de microbes (et je ne vois pas pourquoi elles ne contiendraient justement pas celles que j'ai citées auparavant et pouvant causer les rash cutanés dits "spécifiques" d'une "primo-infection VIH"), dont certains pourraient très bien causer à mon sens ce qui est appelé à tort la "primo-infection VIH". Ici : Ou encore ici : Cet autre document non apprend même qu'un tiers des matières fécales n'est rien d'autre que des bactéries ! Comme précisé dans ce même document, c'est tellement bien connu que les matières fécales sont source de microbes les plus divers que des analyses médicales sont faites sur celles-ci pour découvrir d'éventuels germes pathogènes : Et cerise sur le gâteau, les matières fécales contiennent énormément d'azote ! Dès lors, pourquoi pas des oxydants azotés dans les matières fécales, dont Cheminot a souligné à multiples reprises l'importance en matière de sida ?! Enfin, l'urine contient aussi de nombreuses substances azotés : A la lecture de ce qui précède, on comprend encore mieux (à supposer que cela était encore nécessaire) pourquoi les homosexuels seraient apparemment plus exposés aux soi-disant "primo-infections VIH" après un rapport dit "non protégé" : - Exposition anale à des protéines étrangère, dont le sperme; - Exposition aux matières fécales (contenant des tas de protéines étrangères, des germes pathogènes les plus divers et des tas de substances azotées); - Exposition anale à l'urine (et entre autre à son caractère azoté). Plus que jamais, le "VIH" reste parfaitement inutile pour expliquer ce qui est appelé "primo-infection VIH" chez les homosexuels ayant eu un rapport dit à risque !
  22. Dans ce post-ci, j'ai énuméré des tas de germes (autres qu'angine, grippe, rhume, ...) qui peuvent déjà causer de telles éruptions cutanées. Je ne suis pas médecin mais je ne serais pas étonné d'apprendre que parmi ces germes, certains peuvent causer certains des autres symptômes. D'ailleurs, ma liste reprend justement le germe "purpura (rhumatoïde)" d'ailleurs mentionné plus haut par Cheminot lui-même. Au surplus, des maladies fourre-tout, genre syphilis, causent la plupart des symptômes cités. Tu prétends que les symptômes de la primo-infection seraient très spécifiques. Pourrais-tu donner des références d'orthodoxes du sida affirmant cela, sur base d'études scientifiques peer-review (et pas des "on-dit", "je pense", "mon expérience", "par ouï-dire"), quand bien même cela ne prouverait rien ? Car là, je n'ai que ta parole contre des dizaines de sites internet, pourtant très actualisés, qui disent exactement le contraire. Donc, je n'ai que ta parole. C'est bien peu pour fonder un fait. Car moi, les faits que je constate, c'est, outre ce que je lis sur les sites internet spécialisés en "VIH" et dans lesquels AUCUN confirme que les symptômes sont spécifiques au seul "VIH", que je connais au moins une centaine de séropos (je ne vais pas entrer dans les détails). Avec une vingtaine d'entre eux, j'ai eu l'occasion de parler des circonstances de leur séropositivité. Bien peu m'ont parlé de tes signes de primo-infection. En tout cas, moi, je ne les ai pas connus personnellement, hormis une encéphalite, mais plus de deux ans après l'annonce de ma séropositivité. Ah, merci pour ce passage ! Voilà qui va peut-être relancer le débat sur ce point et qui m'oppose à Psyence. Comme tu pourra le constater à la lecture de ce topic-là (pages 8 à 16), après quelques (très) grosses difficultés, j'ai admis qu'il n'y avait pas de corrélation, même lâche, entre séropositivité et sida, du moins certainement pas dans les groupes non à risque de sida. Cependant, le débat continue avec Psyence car je persiste à dire (tout comme toi visiblement, mais un peu autrement) que le fait qu'une personne d'un groupe à risque de sida (ou ayant du moins un style de vie à risque de sida) est déclarée séropositive est l'indice d'une propension certaine, quoique lâche, de ce séropositif à faire ultérieurement un sida, du moins si ce style de vie perdure. Cette corrélation, dans les groupes à risque de sida, entre séropositivité et sida est fort décriée par Psyence, et je ne comprends toujours pas pourquoi. Tu trouveras d'ailleurs mon dernier post sur ce sujet ici. Bienvenu au club ! Au moins, je ne me sens plus seul sur ce coup-là ! lol Evidemment qu'un stress oxydatif peut être transmis par le sang ou par voie sexuelle. Le Perth Group ne dit pas autre chose en parlant de l'exposition aux protéines étrangères. C'est tout particulièrement le cas par le sang ou dans le cadre de la sexualité anale réceptive. Toutefois, en cessant cette exposition (avant que ce stress oxydatif n'ait causé des dommages irréversibles) et pour autant qu'il n'y ait pas d'autres causes durables de stress oxydatif, c'est réversible. Qu'il suffise de citer le cas célèbre (en 1985) de cette femme qui redevint séronégative après avoir cessé de s'exposer aux protéines étrangères de son mari, réceptionnées à l'occasion de relations anales réceptives (cf ici): Par conséquent, l'usage des préservatifs reste indispensable et la synthèse le confirme expressément. Ce n'est en effet pas parce que le "VIH" n'existe pas que le préservatif ne servirait plus à rien. Et bien, tu viens de donner la raison probable : Comme déjà précisé dans un de mes précédents posts, on peut (heureusement, ce n'est pas une obligation !) attraper des tas de choses lors d'un rapport non protégé, en particulier anal, ou à l'occasion de ceux-ci. Certaines de ces choses peuvent même causer certains des symptômes qualifiés de "primo-infection VIH". Par ailleurs, et c'est tout particulièrement valable pour ceux qui pratiquent la sexualité anale (encore plus, si elle est réceptive), des symptômes pareils pourraient très bien être une allergie très forte au sperme d'une personne ou de manière générale à certaines protéines étrangères d'une personne. Le drame, c'est de t'avoir fait croire à l'époque que tu avais été "contaminé" par le "VIH", et te voilà pris dans un bien méchant engrenage, en commençant par l'effet nocebo qui induit lui-même un puissant stress oxydatif (voir par exemple ce post ou encore cet article par exemple) et, partant, lentement mais presque sûrement le sida ! Nul besoin d'invoquer je ne sais quel germe infectieux pour justifier cela ! Et voilà le soi-disant argument-massue de l'orthodoxie du sida (je sais que tu n'en es pas un, Jeff, mais cela y ressemble vachement !) Le fait de trouver des "ARN étranges" ne prouve en aucune façon qu'il s'agit de celui d'un rétrovirus, et encore moins d'un nouveau rétrovirus, ou d'un quelqu'autre germe d'ailleurs. Avant de déclarer que des ARN "étranges" soient représentatifs d'un nouveau rétrovirus appelé "VIH" (ou même de n'importe quoi d'autre), il est absolument NECESSAIRE d'avoir auparavant isolé le "VIH" lui-même ou le germe en question. Cela n'a jamais été fait et, partant, il est impossible de dire que l'ARN "étrange" est celui d'un nouveau rétrovirus. Ce qui s'est passé, c'est que lors des isolations de Montagnier en 1983 et de Gallo en 1984, il fut décrété qu'une partie de l'ARN retrouvé dans le gradient de densité spécifique des rétrovirus était celui d'un nouveau rétrovirus "VIH". A partir de là, le mal a été fait, et tout ARN (et son ADN proviral) ayant des points communs avec ces ARN de 1983 et 1984 et retrouvé chez des personnes faisant un sida est considéré comme celui d'une variante différente de "VIH", et tout cela étant soi-disant "confirmé" par la présence des anticorps dits "spécifiques" du "VIH". Avec en outre le problème que l'on trouve chez des sidéens des ARN de plus en plus éloignés, ce qui fait dire à l'orthodoxie du sida que le "VIH" peut muter jusqu'à près de 50% de son matériel génétique ! On rappellera à toutes fins utiles : - que l'on n'a jamais trouvé le "génome" "théorique" du "VIH" chez aucun malade du sida, - que l'on a jamais trouvé deux "génomes" identiques du "VIH", pas même chez le même malade, - que plus de 99,99% des "génomes" du "VIH" sont défectifs (un peu comme les rétrovirus endogènes, d'ailleurs). En définitive, ton argument de l'ARN "étrange" ne tient pas parce qu'il faut préalablement avoir fait la preuve qu'il est bien celui d'un rétrovirus, et même ici d'un nouveau rétrovirus. Et par ailleurs, il me paraît assez naïf de croire qu'un ARN "étrange" doive nécessairement être représentatif d'un rétrovirus exogène ou même d'un organisme exogène quelconque. Un ARN "étrange" peut en effet être le résultat de tas d'autres choses, bien plus probables d'ailleurs qu'un quelconque rétrovirus exogène : 1) Le génome d'un rétrovirus endogène. 2) Le génome d'un rétrovirus obtenu de novo par recombinaison génétique de séquences rétrovirales endogènes, de séquences rétrovirales et/ou cellulaires ou encore de gènes cellulaires non rétroviraux. 3) La conséquence d'un phénomène de transposition et/ou de restructuration de génomes, lequel peut mener à l'apparition de nouveaux génotypes ou phénotypes (comme ceux du fameux "VIH"). Ces restructurations peuvent résulter de chocs externes à l'organisme : toxicité, stress oxydatif, etc.... Tout cela est très bien résumé dans cette réponse du Perth Group En d'autres termes, Jeff-Lyon, ton argument de l'ARN "étrange" ne prouve en aucune façon l'existence du "VIH" ou de n'importe quel rétrovirus ou de n'importe quelle autre entité biologique. Pour me démontrer le contraire, il faudra d'abord m'isoler le "VIH" lui-même (ou cette autre entité biologique). Je rappelle encore ce que j'ai écrit à ce sujet dans un précédent post : Donc, où est donc cette isolation ? Or : pas d'isolation, pas de rétrovirus "VIH" (ou quoique ce soit d'autre), et ce par définition ! Moi, personnellement, je n'ai aucun problème avec cette hypothèse de protéines alloimmunes (sauf erreur de ma part, il peut également s'agir que de simples protéines étrangères [par exemple, dans du sang non chauffé] ou de sperme d'ailleurs, non ?). Cette hypothèse me semble parfaitement s'insérer dans la théorie du stress oxydatif comme cause du sida et je ne doute pas qu'elle puisse expliquer certains cas de séropositivité et de sida. Donc, oui, cela me semble parfaitement valable et en accord avec le stress oxydatif. Le Perth Group ne cesse en effet de dire que l'exposition répétée et durable à des protéines étrangères (en particulier via le sang ou lors des rapports anaux [ce dernier cas me semble d'ailleurs être celui de tes propres connaissances]) peut mener à la séropositivité et au sida. En revanche (mais peut-être que je me trompe, et peut-être que Cheminot peut me corriger si j'ai tort), je ne vois pas en quoi le cas des protéines alloimmunes devrait nécessairement conduire à une détérioration du système immunitaire irréversible (comme tu me sembles le laisser entendre, si je comprends bien), en particulier si le séropositif n'est plus exposé à ces protéines étrangères ou alloimmunes, ou à d'autres causes de fort stress oxydatif (en commençant d'ailleurs par l'effet nocebo lui-même). Cela peut expliquer certainement une séropositivité (avec ses symptômes de primo-infection) mais certainement pas le sida, à moins de continuer à être exposé à ces protéines ou à d'autres causes durables de stress oxydatif, en commençant tout particulièrement avec les oxydants azotés. Mais pour ce qui me concerne, cela ne peut qu'expliquer certains cas de séropositivité et de sida. Et de toutes façons, ces protéines alloimmunes n'ont toujours rien à voir avec du "VIH". Et suite à mes "discussions", parfois enflammés, avec Psyence, j'ai de plus en plus l'impression que le sida et la séropositivité est le résultat d'une combinaison variable de facteurs en fonction de chaque individu, sauf que certains de ces facteurs sont typiques et récurrents des groupes à risque de sida. Mais tous ces facteurs ont ceci de commun : ils causent un stress oxydatif durable menant au sida. Il n'est nul besoin de "VIH" ou de quoi que ce soit dans ce genre pour l'expliquer. L'ARN "étrange" peut être le résultat de ces combinaisons de facteurs. La circonstance que le supposé génome du "VIH" peut varier jusqu'à près de 50% ne fait que le prouver surabondamment. Pour moi, "VIH" entre parenthèse, cela me suffit amplement. Il ne paraît pas nécessaire de dire SO ou stress oxydatif vu que la séropositivité (contrairement au sida) n'est pas forcément systématiquement le résultat d'un stress oxydatif. Mais le problème, c'est que tel que tu as suggéré le problème, j'ai vraiment cru que je me trouvais devant un orthodoxe du sida faisant une sorte de coming out honteux ! lol Bref, cela m'a fait un peu sortir de mes gonds Effectivement qu'on ne la connaît pas (précisément) ... puisque cela peut être la conséquence d'une foule de choses ! Qu'il suffise de lire la liste des innombrables germes, microbes et autres virus pouvant déjà causer les rash cutanés (sans compter tout le reste) si soi-disant "caractéristiques" de la "primo-infection VIH". Le seul problème avec l'orthodoxie du sida, c'est ce que si elle a affaire à des jeunes hommes, non mariés, elle ne va pas se creuser la tête : elle fera un test "VIH" et si c'est positif, ton affaire est entendue. Et puis tu viens 15 ans plus tard sur ONCT faire croire que cela serait forcément la conséquence non du "VIH", mais d'un germe non identifié, alors que cette primo-infection peut être la conséquence de tas de choses, et pourquoi pas de protéines alloimmunes (parfaitement en accord avec la théorie du stress oxydatif comme cause du sida). On a déjà suffisamment souligné que le préservatif doit continuer à être utilisé. D'ailleurs, le Perth Group va encore plus loin que l'orthodoxie du sida elle-même puisqu'il préconise que même entre séronégatifs, le préservatif soit utilisé (pas uniquement entre séropositifs et séronégatifs donc). Car comme tu l'as toi-même précisé, le Perth Group a constaté que les rapports anaux non protégés sont source de stress oxydatif et peuvent causer la séropositivité. Finalement et sauf erreur de ma part, nos positions ne sont pas si éloignées que cela, elles sont peut-être mêmes strictement identiques ! Je me réjouis entre autres de tomber sur quelqu'un qui trouve évidente la corrélation lâche, quoique certaine, entre séropositivité et sida (du moins, dans les groupes à risque de sida). C'est sans doute le mot "agent" qui peut induire en erreur car cela fait penser à une cause unique à la séropositivité et au sida (sous-entendu, le "VIH" ou quelque chose dans ce genre) alors que des tas de facteurs peuvent y mener, en ce compris les protéines alloimmunes (mais pas uniquement, bien sûr) comme souligné par Cheminot. Outre sans doute cette croyance que les symptômes de la "primo-infection VIH" seraient si spécifiques (alors que tu n'es pas en mesure de donner des références de publications scientifiques étayant tes dires, si ce n'est ta bonne foi, celle de ton ami psy et le témoignage de certains de tes compagnons d'infortune). En tout cas, ce ne fut pas mon cas ni celui de bien d'autres séropositifs que je connais et ai connus. PS : De manière générale, toutes ces discussions commencent à me sembler de plus en plus théoriques. Car sur un plan pratique, ce qu'il importe de faire en premier lieu, c'est bien de faire contrôler régulièrement son taux de glutathion plasmatique et intracellulaire. Si cela diminue progressivement au cours des années, en cessant de s'exposer (à temps) aux causes probables de cette diminution de glutathion, on aura généralement trouvé ce qui cause chez le séropositif en question ce stress oxydatif (et aurait pu causer plus tard un sida). Ce qui est certain, c'est que dans aucun des cas, la cause sera trouvée dans le "VIH" ! A cet égard, je serais curieux de connaître tes prochains résultats de ton contrôle "glutathion" !
  23. Je me rends compte que dans le lien "VIH" donné par Jeff-Lyon, il y a également une photo d'"érosions buccales". Pour éviter toute équivoque à ce sujet, le lecteur est invité à lire par exemple ce document, où il constatera que les causes d'érosions buccales sont tout simplement innombrables. Lisez par exemple le "Tableau I" et vous constaterez que les causes d'érosions buccales recoupent bon nombre des causes de rash cutanés ! Mieux encore, concernant les érosions buccales "VIH" : Bref, non seulement ces érosions buccales n'ont aucune spécificité au "VIH" mais en plus elles sont exceptionnelles ! Mais où est donc la "primo-infection" spécifique du "VIH" ?
  24. Il est vrai que ces "boutons" impressionnent. De là à dire que ce serait à cause du "VIH" (ou de le laisser entendre), c'est aller bien vite en besogne et c'est supposer, un peu naïvement à mon avis, que seul le "VIH", à supposer qu'il eût pu exister, puisse causer cela. Ci-dessous, une liste non exhaustive de maladies (réelles, c'est-à-dire non "VIH") pouvant par exemple causer de tels rash cutanés (comme vu dans ton lien) et trouvé dans cet article-ci : N'importe quel lecteur aura naturellement compris à la lecture de ce qui précède que d'innombrables maladies peuvent se manifester par des rash cutanés tels que vu sur le lien "VIH" donné par Jeff-Lyon. Cela ne conduira pas forcément ensuite aux maladies proprement dites (exemple : toxoplasmose [5O% des français ont rencontré la toxoplasmose et ont des anticorps contre la toxoplasmose, sans faire la maladie pour autant] contractée à l'occasion d'un rapport un peu trop rapproché avec une autre personne : cela pourra se traduire par un tel rash cutané, mais pas par la maladie elle-même sauf si immunodépression ultérieure). Il n'est pas besoin d'être médecin pour savoir que bon nombre de ces (réels, contrairement au "VIH") germes, bactéries et autres virus peuvent être contractés justement à l'occasion d'un rapport un peu trop rapproché avec une autre, et même sans qu'il s'agisse nécessairement d'un rapport dit "non protégé" (que dire alors des homosexuels qui dans leurs pratiques sexuelles, sont exposés aux matières fécales du partenaire [on en trouve des tas de saletés là-dedans, sans vouloir faire un dessin !]). De même, bon nombre de ces germes peuvent causer les autres symptômes prétendument attribués à la "primo-infection VIH". Comme par exemple la mononucléose : En d'autres termes, il ressort manifestement de ce qui précède que les symptômes de la "primo-infection VIH" n'ont aucune spécificité au "VIH", à supposer même que ce dernier existât. C'est ce qui est confirmé d'ailleurs par bon nombre de soi-disant "experts" ès "VIH", tels cette organisation : Conclusion : je ne vois toujours rien qui irait à l'encontre de l'idée que la "primo-infection VIH" est bien un mythe. Certes, les symptômes sont là, mais absolument rien ne prouve que cela serait dû au "VIH". Qu'il suffise de lire la liste reproduite ci-dessus. Ce sont au contraire les germes cités ci-dessus qui peuvent rendre positif le test dit "VIH". Mais cela ne signifie en rien que c'est une "primo-infection VIH".
  25. Bonsoir Psyence. Je pense que l'on n'est pas si éloigné que cela d'un point de convergence mais qu'on a du mal à se comprendre, ou sans doute que j'ai bien du mal à te comprendre. Eh bien, non, je ne comprends toujours pas cette méthodologie élémentaire, en particulier cette notion d'exception valable pour une minorité de cas. Je prends un exemple : ce n'est pas la grande majorité des fumeurs qui fait un cancer du poumon mais bien une minorité. Pourtant, personne n'a eu à ce jour l'idée de remettre en question le lien tabac ---> cancer du poumon. Toujours très cordialement. Et je ne fais que donner ma humble opinion.
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