Aller au contenu
forum sidasante

wallypat

Modérateurs
  • Compteur de contenus

    1 158
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Days Won

    1

Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. En tout état de cause, à supposer même que les symptômes dits de la "primo-infection" "VIH" auraient été causés par un "germe" quelconque, dont une liste relativement impressionnante a déjà été reprise dans ce topic-ci (l'hypothèse d'un germe quelconque est d'ailleurs tout ce qu'on veut, sauf une certitude : n'oublions pas par exemple les causes toxiques, parfois totalement insoupçonnées, de la séropositivité, d'autant plus que si on lit le tout premier post de Jeff-Lyon, le lecteur constatera de lui-même que les symptômes de la "primo-infection" "VIH" de l'ami en question ne sont parus que quelques semaines après le rapport à risque, et non dans les heures ou même les jours qui ont suivi [dans ces conditions, il me paraît difficile de prétendre que cette provisoire séropositivité serait forcément la conséquence de ce rapport à risque]; que dire par exemple et en outre des cas d'allergie au sperme), l'important est bien de signaler à l'ami en question que compte tenu de son mode de vie (brièvement relaté par Jeff-Lyon), il n'a aucune raison de penser que sa séropositivité aurait pu résulter de facteurs durables et que cela mènera tôt ou tard au sida. S'il pense néanmoins le contraire, tôt ou tard et l'effet nocebo aidant, cela pourra effectivement mener au sida, tout cela à cause d'une erreur diagnostique de taille, à savoir que la séropositivité serait, ne fût-ce que dans un seul cas, le signe d'une infection par un rétrovirus exogène "VIH". Par ailleurs, je me pose une question : la séropositivité est généralement le signe d'une déjà très forte oxydation du corps. A la longue, cette oxydation ne peut-elle pas mener à la création de protéines encore plus alloimmunes (entre autres dans le sperme), lesquelles pourraient causer une séropositivité (forcément provisoire) chez certains individus réceptionnant ces protéines étrangères ? Il ne s'agit bien entendu que d'une hypothèse de plus parmi la centaine d'autres pouvant déjà être retenues, toutes ces hypothèses ayant en commun la parfaite inutilité du "VIH" pour l'expliquer.
  2. Je suis d'avis que la réfutation de ce prétendu argument de l'orthodoxie du sida doit être axée simultanément sur les deux points suivants. Indépendamment des arguments déjà reproduits dans ce post et allant à l'encontre de l'affirmation de l'orthodoxie du sida selon laquelle l'efficacité des drogues anti-"VIH" seraient due à leurs prétendues propriétés antirétrovirales, il y a encore un argument supplémentaire qui peut être invoqué et qui a été mis en avant par le Perth Group, entre autres dans cette correspondance datant de 2000 et encore rappelé dans cette réponse-ci de 2006. En effet, même si le "VIH" existait réellement, la relative efficacité des drogues anti-"VIH" n'est en aucune façon due à leurs prétendues propriétés antirétrovirales pour la raison suivante. De par leur conception et en supposant uniquement pour les besoins du raisonnement que le "VIH" existe réellement, les inhibiteurs de la transcriptase inverse et les anti-protéases n'empêchent en aucune façon la transcription de l'ADN proviral en ARN. En d'autres termes, ces drogues n'empêchent pas que de nouveaux virions "VIH" soient formés à partir de cellules déjà infectées (par l'ADN proviral). En revanche, ces drogues empêchent que des cellules saines soient infectées par le "VIH", soit en empêchant que l'ARN viral soit trancrit en ADN proviral grâce à la transcriptase inverse (= les inhibiteurs de transcriptase inverse), soit en rendant les virions nouvellement produits non infectieux (= les anti-protéases). Etant donné que les cellules prétendument infectées (contenant donc l'ADN proviral) meurent en quelques jours (en moyenne, 1,6 jour) et que "grâce" à ces drogues, plus aucune infection n'a lieu, ces drogues doivent nécessairement provoquer une chute de l'ADN proviral (puisque les cellules prétendument infectées meurent en quelques jours). Ce qui signifie que la chute de la "charge virale" (= ARN de "VIH") est indirecte, puisque se produisant en conséquence de la baisse de l'ADN proviral. Ce qui signifie également que si ces drogues ont des propriétés dites "antirétrovirales", toute baisse de la charge virale (= ARN viral) doit nécessairement être précédée ou à tout le moins accompagnée par une baisse de l'ADN proviral, en raison de la conception même des inhibiteurs de la transcriptase inverse et des anti-protéases. Or ce n'est justement pas ce phénomème qui est constaté avec les trithérapies : la prétendue charge virale (ARN de "VIH") diminue tandis que l'on constate généralement, non une baisse, mais bien ... une hausse de l'ADN proviral dans la majorité des cas ! Ceci prouve bien que quand bien même le "VIH" existerait réellement, les relatifs bienfaits des trithérapies ne s'expliquent par leurs prétendues propriétés antirétrovirales puisque par définition, elles ont pour objectif de provoquer la baisse de l'ADN proviral et, par voie de conséquence, de l'ARN viral. Or il se fait qu'avec les trithérapies, la charge virale (= ARN) diminue certes (du moins assez généralement) mais sans que la cause de cette baisse (à savoir la baisse préalable de l'ADN proviral) recherchée par les trithérapies soient retrouvée. En d'autres termes, les drogues anti-"VIH" n'ont pas de propriété antirétrovirale et leurs relatifs bienfaits doivent par conséquent s'expliquer autrement que par leurs prétendues propriétés antirétrovirales, même si un rétrovirus "VIH" avait réellement existé !
  3. Et bien là, Psyence, je dis chapeau ! Car on n'aurait sans doute pas pu définir mieux encore ce qu'il y a lieu d'entendre par "isolation", quoique je pense que tu l'aies mentionné un peu "par hasard". ---> Traduction en matière de "VIH" : Observer dans l'océan (culture) quelque chose qui ressemble à un poisson (un rétrovirus), même si cela pourrait peut-être être un poisson (un rétrovirus), n'est pas la même chose que d'avoir le poisson (le rétrovirus) dans votre poële à frire, bien séparé de tout ce qu'il peut y avoir d'autre dans l'océan (culture) : seul le fait d'avoir le poisson (le rétrovirus) dans le poële à frire constituera une véritable isolation et permettra de s'assurer que ce qui apparaissait peut-être comme étant un poisson (un rétrovirus) dans l'océan (la culture) est bien un poisson (rétrovirus) ! Sous réserve de vérifier ensuite qu'il est bien capable de se répliquer. Sinon, pour la question des postulats de Koch, version technique moléculaire, peut-être ne parlons-nous pas de la même chose en fait car dans mon post, je m'étais juste attardé sur la question de l'isolation seulement. Ce que je voulais dire, c'est qu'il est impossible sur base d'une séquence nucléique d'avoir la preuve que la séquence en question est bien celle d'un nouveau rétrovirus, d'autant plus si la séquence en question est capable de muter au point que l'on connaît en matière de "VIH". Car le fait de trouver une séquence nucléique particulière (comme des ARN anormaux en matière de "VIH") peut recevoir plusieurs explications possibles, dont celle du rétrovirus ne constitue que l'une d'entre elles. Cette technique ne peut donc être utilisée que si et seulement si on a déjà eu au moins une première fois la preuve que la séquence nucléique en question est bien originaire d'un nouveau rétrovirus, c'est-à-dire que l'on a bien isolé un nouveau rétrovirus (cf ci-dessus : le poisson dans le poêle à frire). Une fois que l'on a réellement isolé le "VIH" (chose qui n'a jamais été faite, précision pour les nouveaux lecteurs éventuels), alors seulement on peut avoir la prétention de déduire ultérieurement que si on retrouve à nouveau la séquence nucléique en question, il s'agit bien de celle du nouveau rétrovirus "VIH". Et on peut même pousser l'exercice un peu plus loin (à ses risques et périls) et sur base d'"arbres généalogiques moléculaires", prétendre avoir isolé des formes mutées du "VIH" en retrouvant des séquences nucléiques mutées par rapport à la séquence dont on sait, preuve à l'appui, qu'il s'agissait bien de celle d'un nouveau rétrovirus exogène "VIH". Ce qui importe, c'est donc d'avoir "déjà" isolé une première fois le micro-organisme en question. Ce n'est qu'ensuite que les techniques moléculaires pourront être utilisées pour prétendre avoir isolé le "VIH" chez une personne. Concernant la logique de Duesberg confrontée aux postulats de Koch, version moléculaire, je dois reconnaître que la logique de Duesberg tient assez bien la route, et même très bien la route. Par exemple : "1. La séquence nucléique du micro-organisme doit être retrouvée dans la plupart des cas de la maladie." Or même avec la méthode du PCR, personne n'a jamais présenté la preuve de l'existence du génome entier du "VIH" dans ne serait-ce qu'une seule cellule d'un seul sidéen. Le "VIH" ne serait donc pas la cause du sida ?! "2. La séquence nucléique du micro-organisme ne doit pas être retrouvée (ou rarement) chez des individus indemnes." Or, si je me rappelle bien, 2% (au moins) du génome humain sont représentés par des séquences rétrovirales. D'un autre côté, l'orthodoxie du sida pourrait dire que cette particularité du génome humain est valable non seulement pour le "VIH" mais également pour d'autres rétrovirus en sorte que finalement, aucun rétrovirus n'aurait été isolé (comme le dirait Lanka) ?! "3. La séquence nucléique doit être détectée par hybrida­tion dans les zones pathologiques d'un tissu ou d'un organe" Les résultats furent justement négatifs, comme précisé dans ce slide. "4. Le nombre de copies de la séquence nucléique du pathogène doit varier parallèlement aux évolutions cli­niques, y compris sous traitement." Quand on pense au concept de la charge "virale", on voit tout de suite que ce quatrième postulat n'est pas rempli. "6. Ces résultats moléculaires doivent être reproductibles." Il est justement bien connu qu'en matière de "VIH", les résultats moléculaires ne sont pas reproductibles, parfois même au sein du même laboratoire. En réalité, il n'a jamais été possible de définir le "VIH" en termes moléculaires vu (entre autres) sa légendaire capacité de muter. Donc, très très rapidement analysé (par un profane comme moi bien sûr), je pense que la logique de Duesberg paraît parfaitement tenir le coup. Ceci étant, la non-réalisation de la plupart de ces six postulats me fait plutôt fort penser à la non-existence du micro-organisme en question, tout simplement.
  4. Bonsoir Axelwebb. J'espère que tu vas bien. Je ne sais pas où tu as lu cela, mais ce que je sais, c'est que des tas de clichés du "VIH" ont été prises par des scientifiques (je ne suis même pas sûr que Duesberg ait lui-même fait une tentative d'isolation du "VIH", je ne le crois pas en tout cas). Mais il s'agit chaque fois de clichés pris dans une culture, et comme expliqué ci-dessus, ce n'est en aucune façon la preuve de l'existence d'un rétrovirus, quel qu'il soit d'ailleurs. Au mieux s'agira-t-il de clichés de véritables rétrovirus fabriqués en laboratoire avec du matériel génétique et que l'on fait passer ensuite pour du "VIH". Mais il n'y a pas la moindre preuve que le matériel génétique utilisé en question est bien originaire d'un nouveau rétrovirus "VIH". Et compte tenu des conditions de fabrication de ces rétrovirus, on pourrait injecter à peu près n'importe quel matériel génétique que les cellules en question produiront effectivement des rétrovirus. D'ailleurs, le Perth Group pose aussi la question suivante : lorsqu'on a fabriqué les premiers clones dits du "VIH", où étaient donc les cultures de contrôle, c'est-à-dire qu'on utilisait exactement les mêmes procédés mais avec un autre matériel génétique que celui prétendument attribué au "VIH". En fait, il n'y a visiblement jamais eu de culture de contrôle lors de la confection de ces soi-disant clones du "VIH" !
  5. Il me semble que l'orthodoxie du sida a bien réussi à inoculer à des singes du matériel génétique (on ne peut donc pas faire plus pur) prétendument attribué au "VIH", mais que ceux-ci ne deviennent que très rarement malades. L'explication avancée par l'orthodoxie du sida est que les singes sont naturellement immunisés et qu'il n'est pas éthique d'inoculer du "VIH" à des être humains pour voir s'ils font un sida ou non. Dès lors que l'on admet que le "VIH" existe en tant que rétrovirus exogène, cette "excuse" de l'orthodoxie du sida paraît tout à fait plausible. Cela ne signifie donc pas pour autant que le "VIH" serait inoffensif, d'autant plus lorsque l'on constate que ceux faisant des maladies sont bien infectés par le "VIH" (mais je reconnais que le problème est particulièrement aigu du fait que ces mêmes maladies peuvent être causées par d'autres germes et autres causes; ceci étant, la circonstance que ces maladies puissent avoir une autre cause n'exclut pas pour autant que ces mêmes maladies ne puissent pas être causées par le "VIH" également, tout particulièrement lorsque l'on constate que depuis l'avènement du "VIH" (censé exister selon Duesberg), des maladies alors très rares sont devenus extrêmement courantes chez justement ceux qui sont "contaminés" par le "VIH" (ce qui ne signifie pas pour autant que ces maladies alors très rares ne puissent pas apparaître chez des séronégatifs chez qui on constate justement presque toujours des facteurs immunodépressifs déjà reconnus avant l'avènement du "VIH" [je n'envisage bien sûr que les maladies alors très rares avant le "VIH", pas la tuberculose, herpès, diarrhée, etc...). Par ailleurs, le site de Candide donne quelques cas où le troisième postulat de Koch a été rempli. Il est vrai que cela a été plus ou moins très bien réfuté par la dissidence du sida (en anglais) , mais pour cette réfutation, il a à nouveau été nécessaire de faire, en partie, appel à la logique du Perth Group. Oui, effectivement c'est très intéressant. Mais je n'ai plus le temps pour le moment d'analyser les techniques moléculaires en question. Juste déjà une remarque. Les six postulats en question supposent déjà que le micro-organisme ait déjà bien été identifié auparavant, ce qui n'est justement pas le cas en matière de "VIH". Par exemple, le premier postulat : "1. La séquence nucléique du micro-organisme doit être retrouvée dans la plupart des cas de la maladie". Avant de vérifier cela, il faut préalablement avoir prouvé auparavant que la séquence nucléique en question est bien originaire d'un nouveau rétrovirus "VIH". Dès lors que cette preuve n'a jamais été apportée, le fait de trouver la séquence nucléique en question dans la plupart des cas de la maladie ne prouvera pas que la maladie est bien causée par un rétrovirus "VIH". Ceci explique entre autres pourquoi aucun test génétique quelconque, aucune charge "virale", etc... ne prouvera jamais l'existence du "VIH" !
  6. Cela me paraît très intéressant, Liane. Ce passage prouve bien que la réaction de protéines avec des anticorps ne prouve en aucune façon que les protéines en question sont bien originaires d'un nouveau rétrovirus. Ce qui est incroyable dans le passage que tu as reproduit, c'est que Gallo le savait déjà suite à la bévue du HL23V, et pourtant, ce fut à nouveau l'un des arguments invoqués par Gallo (et Montagnier aussi) pour prouver l'existence d'un nouveau rétrovirus. Dès lors que l'on a constaté que les anticorps du "VIH" sont en fait polyspécifiques, c'est à se demander comment cet argument peut encore être invoqué par certains de nos jours.
  7. Mais je pense que l'orthodoxie du sida pourra à nouveau réfuter le fait que le "VIH" n'est pas isolé en abondance parce que justement, le "VIH" est très fragile et se décante très vite une fois prélevé du corps. Dans le corps, il est très abondant (les tests génétiques auraient l'avantage d'être prétendument quantitatives), mais une fois un échantillon prélevé, les millions de "VIH" prélevés meurent très vite. Raison pour laquelle le "VIH" n'arrive pas à être isolé en abondance. Maintenant, la dissidence du sida pourra ergoter sur cette réfutation de l'orthodoxie du sida, mais celle-ci pourra en faire de même, aboutissant ainsi au débat infini auquel on assiste depuis 25 ans. Et comme l'orthodoxie du sida paraît être en mesure de prouver relativement raisonnablement que les trois postulats de Koch sont bien réalisés, elle aura naturellement une longueur d'avance sur la logique de Duesberg et continuera encore longtemps à survivre, quitte à inventer des tas d'excuses (le "VIH" hiberne, mute, migre, se réactive, ...) que la réalisation apparente des trois postulats de Koch permet de rendre justement crédibles dès lors que l'on admet l'existence du "VIH" en tant que réel rétrovirus exogène. En réalité, le seul obstacle, c'est le "VIH" lui-même. Plutôt que de dire que le "VIH" existe réellement en tant que rétrovirus exogène, avec tous les problèmes que cela cause pour prouver que les postulats de Koch ne sont pas réunis, il serait bien plus expéditif et simple de dire que l'existence du "VIH" n'a pas été prouvée chez un seul sidéen ou séropositif. Et cela aurait l'avantage d'éviter des contradictions, comme j'ai encore pu le constater ce jour sur le site de la "Rethinkingaids.com". Ce site est avant tout axé sur la logique de Duesberg (quoique le président soit encore, je crois, de Harven, plutôt du côté du Perth Group), et pas celle du Perth Group. Or, sur le lien susmentionné, pour réfuter justement la prétendue réalisation des trois postulats de Koch, c'est avec un certain étonnement que je constate que la réfutation du deuxième postulat est basée ... sur la non-isolation du "VIH" ! A partir de ce moment, il devient alors aisément possible de réfuter les autres postulats de Koch. Si j'étais l'orthodoxie du sida et que je voulais réfuter à mon tour cette réfutation de la dissidence du sida (d'obédience "Duesbergienne"), je commencerais à dire que la réfutation apportée par la dissidence du sida au deuxième postulat est fausse car on ne peut pas prétendre, comme Duesberg, d'un côté que le "VIH" n'a pas été isolé, faute de purification (c'est bien cela la réfutation du deuxième postulat), et d'un autre côté dire que le "VIH" a effectivement été isolé en tant que rétrovirus exogène et entièrement purifié grâce à la technique du clonage (c'est exactement ce que Duesberg a dit en 1996 dans cet article publié dans Continuum et par lequel il réclamait le paiement de la récompense promise pour l'isolation du "VIH"). C'est tout simplement incohérent, et je suis désolé de le dire, au vu de cette incohérence, la logique de Duesberg ne paraît quelque peu névrotique (si je n'abuse pas trop du terme : les psy du forum feront leur commentaire, le cas échéant ! LOL). Dans ces conditions, il me paraît assez difficile de contrer l'orthodoxie du sida avec une telle logique, pour le moins assez incohérente et névrotique. Dès lors que l'orthodoxie du sida précise que la réfutation du deuxième postulat est fausse mais que ce deuxième postulat a au contraire bien été réalisé de l'aveu même de Duesberg (aveu pour le moins tapageur en 1996 puisqu'il réclame la récompense promise pour l'isolation du "VIH"), il deviendra alors relativement aisé pour l'orthodoxie de sida de prouver que les arguments invoqués par cette dissidence-là du sida à l'encontre des autres postulats de Koch ne sont finalement que de la poudre aux yeux. Et en définitive, les postulats de Koch paraissent bien réalisés et donc le "VIH" est bien la cause du sida. Reste bien sûr toute l'argumentation de la dissidence du sida sur des tas d'autres points, particulièrement bien fondée, mais l'orthodoxie du sida sera en mesure de l'intégrer assez facilement dans son hypothèse rétrovirale du sida, par exemple sous la forme de cofacteurs, au cas où ces d'arguments sont vraiment beaucoup trop pertinents (ce qui est le cas). En conclusion, je constate que probablement sans s'en rendre compte (cf la réfutation susdite du deuxième postulat de Koch), la logique de Duesberg ne tient qu'en faisant au moins partiellement appel à la logique du Perth Group, sur certains points, souvent essentiels. Par conséquent, au risque d'en froisser quelques-uns, la logique de Duesberg ne peut être considérée que comme une variante incomplète de la logique du Perth Group. Notons enfin, et cela constitue une cerise de taille sur le gâteau, que l'argument de la légendaire fragilité du "VIH", si elle peut être invoquée efficacement à l'encontre de la logique de Duesberg, ne peut en revanche pas l'être à l'encontre de la logique du Perth Group. Car pour le Perth Group, l'existence du "VIH" n'a tout simplement pas été prouvée, et il ne sert donc en rien d'invoquer la fragilité d'un rétrovirus dont l'existence n'est pas prouvée. Et plusieurs éléments permettent de le certifier, et tout particulièrement le premier qui suit : 1) Si le "VIH" est si fragile que ça, comment les hémophiles ont-ils été contaminés via le facteur VIII (même avant qu'on se mette à chauffer le sang) ? En effet, si le "VIH" est à ce point fragile qu'il ne survit pas aux termes des processus "habituels" (méthode des gradients de densité, par centrifugation) d'isolation, il ne peut par conséquent pas également survivre au processus de fabrication du facteur VIII : collecte de sang de différents donneurs, obtention du plasma à partir du sang collecté grâce justement à un processus de centrifugation (peut-être un peu moins avancé que la centrifugation utilisée pour les essais d'isolation du "VIH", n'empêche, cela reste un processus néfaste pour le "VIH", et cela sans oublier les processus suivants de fabrication du facteur VIII), refroidissement, décongélation, filtration, lyophilisation, séchage (or Montagnier lui-même dit que le séchage et l'entreposage du "VIH" finit par tuer le "VIH" en sorte qu'il faut produire "en masse" du "VIH" pour pouvoir l'analyser tant bien que mal), et enfin, entreprosage en tant que poudre à nouveau séchée pendant plusieurs mois avant utilisation (et pourtant, il est enseigné par l'orthodoxie du sida que le "VIH" meurt en quelques minutes une fois à l'extérieur du corps; or, ici, avec le facteur VIII, nous avons une poudre jaunâtre floconneuse et séchée depuis des mois au moment où il est utilisé : le "VIH" est censé être mort depuis bien longtemps déjà, et n'aurait jamais pu survivre à autant de traitements à lui infligés [sans compter d'autres arguments, en outre]). Or cet argument est bien sûr également valable à l'encontre de la logique de Duesberg. 2) Comment se fait-il que l'on n'arrive pas à isoler le "VIH" depuis, non le sang, mais bien le plasma ? Malgré sa légendaire fragilité, il doit être possible d'en trouver au moins quelques uns, au moins chez ceux ayant prétendument une charge virale astronomique (lire par exemple ce post). 3) Comment l'orthodoxie du sida a-t-elle pu infecter des cellules avec le matériel obtenu à la densité de 1,16 ml/ml, si ce matériel n'est justement pas infectueux en raison de sa fragilité ? 4) Toutes les composantes (protéines, ARN, ...) du prétendu rétrovirus exogène "VIH" peuvent avoir une toute autre origine qu'un rétrovirus, en commençant par l'origine cellulaire. Nul besoin d'un rétrovirus pour l'expliquer, au surplus si c'est un rétrovirus invisible ! LOL PS : Sinon, merci pour tes remerciements !
  8. Je suis d'accord. Et cela va bien dans le sens du Perth Group selon lequel la séropositivité n'est pas un phènomène sexuellement transmissible mais tout au plus un phénomène sexuellement acquis. On acquiert la séropositivité, mais on ne la transmet pas. En effet, rappelons que la propriété la plus principale et la plus absolument nécessaire des germes sexuellement transmissibles est leur bidirectionnalité. C'est-à-dire qu'ils sont transmissibles du partenaire passif (receveur de sperme) au partenaire actif (donneur de sperme) et vice versa. Toutes les MST sont par définition transmissibles dans les deux sens. Si tel n'est pas le cas, ce n'est pas une MST. Supposons par exemple que la syphilis ne soit transmissible que du donneur actif au donneur passif. Si la syphilis n'était sexuellement "transmissible" (il faut en fait dire "acquis" au lieu de "transmissible") que par le partenaire passif, comment diable le partenaire actif a-t-il pu avoir été contaminé par le germe de la syphilis ? Et comment la syphilis pourrait-elle faire 350 millions de contaminés par an (je l'ai lu tout récemment : statistiques en 2005 : cela pourrait déjà expliquer des dizaines de millions de cas de tests "VIH" positifs !) ou, de façon générale, se transmettre, puisque cette transmission est limitée aux rapports passif ? En fait, si une MST était uniquement unidirectionnelle, par définition, il n'y a pas de MST car il n'y a pas de mode de transmission du germe responsable. Or, en matière de "VIH", il a été constaté dès le début de l'"épidémie" que des huits actes sexuels possibles, la séropositivité n'est corrélée qu'avec un seul acte sexuel, à savoir la réception anale (+ la stimulation manuelle du rectum : le fist receveur donc). Etant donné que seul le partenaire passif peut devenir sexuellement séropositif, on est alors en droit de se demander : 1) Comment est-il possible de prétendre que la séropositivité puisse être sexuellement transmissible ? En effet, comment deviennent séropositifs les actifs ? On ne peut quand même pas imaginer que les actifs le soient tous devenus parce qu'ils ont reçu une transmission de sang, ou l'ont reçu de leurs parents à la naissance ou utilisent des drogues intraveineuses ?! Pour surmonter ces incohérences, il faut nécessairement aboutir à la conclusion que la séropositivité n'est pas un phénomène sexuellement transmissible, mais bien un phénomène que l'on acquiert (mais qui ne se transmet pas) par le biais d'une pratique sexuelle bien précise. 2) Comment est-il possible de prétendre que des dizaines de millions de gens ont été infectés de façon hétérosexuelle ? En effet, pourquoi le partenaire passif gay ne peut-il pas transmettre la séropositivité au partenaire actif gay, alors que la femme (passive, donc) hétérosexuelle pourrait infecter son partenaire masculin hétérosexuel (actif, donc) ? Il faut donc en conclure que la séropositivité n'a rien à voir avec une MST, un germe sexuellement transmissible mais n'est au contraire qu'un phénomène sexuellement acquis. Ainsi, tout le monde sera d'accord avec la circonstance que le fait d'être enceinte est un phénomène sexuellement acquis et n'est pas un phénomène sexuellement transmissible. C'est-à-dire que le partenaire actif peut rendre enceinte la partenaire passive, mais la partenaire passive ne pourra jamais rendre "enceint" le partenaire actif. Et bien, la séropositivité, ce n'est pas autre chose : ce n'est pas un phénomène sexuellement transmissible mais bien uniquement un phénomène sexuellement acquis ! Et donc, en aucune façon, une MST (d'autant plus que l'existence du "VIH" n'a pas été prouvée jusqu'à ce jour).
  9. Bien sûr que ces tests génétiques n'ont aucune spécificité au "VIH". Mais ne perd pas de vue qu'ici, uniquement pour les besoins du raisonnement, je suis parti de l'hypothèse de Duesberg selon laquelle le "VIH" existerait effectivement en tant que rétrovirus exogène mais serait inoffensif et passager. Il suffit de lire cet article de Duesberg. Dès lors que Peter Duesberg admet que le génome du "VIH" existe, forcément, les tests génétiques peuvent devenir "soudainement spécifique à un rétrovirus exogène pour ces cas là". Il s'agit de rester cohérent. Si Duesberg ne prétendait pas que le "VIH" existe et donc qu'il peut forcément être détecté avec des tests génétiques, je ne serais pas venu avec l'argument des tests génétiques, et je me contenterais de ce qui est précisé par exemple dans ce post-ci. Je suis d'accord ! Et cela permet de quand même terminer ce post sur une note concordante ! LOL
  10. Il me semble avoir déjà lu (j'en suis absolument sûr, mais je ne trouve plus les références; quelqu'un d'autre les trouvera peut-être) par exemple le cas de bébés nés séropositifs ... alors que les deux parents sont séronégatifs ! Si le "VIH" est effectivement un rétrovirus exogène transmissible horizontalement (= sexuellement) ou verticalement (mère ---> bébé), comment diable ces bébés sont-ils nés "contaminés" par le "VIH" ?
  11. Pas du tout, me semble-t-il. Cela pourrait tout simplement résulter du fait que la baisse des TH1 n'est exceptionnellement pas compensée chez certaines personnes par une hausse des TH2, et donc des anticorps. Le "VIH" n'a rien à y voir. J'ai parlé du "VIH" simplement parce que je partais de l'hypothèse de Duesberg selon laquelle le "VIH" existerait bien en tant que rétrovirus exogène, ce que je n'approuve évidemment pas. Et puis, indépendamment de ce qui précède, à partir du moment où le "VIH" n'est pas la cause de la maladie, mais au mieux un symptôme, par exemple sous la forme de production d'anticorps, on peut parfaitement imaginer une maladie sans l'un de ses symptômes les plus spécifiques, ici la production d'anticorps. C'est très rare, mais cela peut arriver. Il n'y a là rien de mystérieux. Et d'autres dissidents ont certainement d'autres explications, tout aussi plausibles, si pas bien meilleures, sans qu'il soit besoin de faire intervenir du "VIH" (en tant que rétrovirus exogène).
  12. Je crois qu'il ne sert à rien que je poursuive plus avant sur ce sujet car nous allons insensiblement et à nouveau arriver à la question maintes fois abordée de la relation certaine ou non entre séropositivité et sida. Concernant toutefois la question suivante : Après beaucoup de difficulté (et pour cause, c'est rarissime), j'ai pu trouvé deux publications traitant de cas (théoriques, en fait) de sida sans "VIH". Six cas et huit autres cas. On constatera que dans ces 14 cas, les tests d'anticorps sont restés effectivement négatifs mais le "VIH" fut quand même détecté dans ces 14 cas grâce entre autres aux tests génétiques (qui constituent des méthodes bien plus précises que les tests d'anticorps puisqu'ils sappliquent directement au sang des patients, évitant ainsi toutes les incertitudes qui planent autour des cultures cellulaires, et permettent en outre de détecter directement le "VIH", et non pas indirectement comme le sont les tests d'anticorps), la recherche des protéines spécifiques du "VIH", etc... A partir du moment où Duesberg admet que le "VIH" existe en tant que rétrovirus exogène, que celui-ci a donc un génome et qu'il peut donc forcément muter, je ne comprends pas que Duesberg puisse prétendre qu'il existe des cas de sida sans "VIH". Car cette affirmation me paraît uniquement basé sur l'absence des anticorps, laquelle absence peut résulter tout simplement d'un dysfonctionnement du système immunitaire ne produisant pas d'anticorps, cette affirmation faisant en outre et surtout fi des techniques de détection directe (au contraire des tests d'anticorps qui sont des tests de détection indirecte) du génome du "VIH" dont Duesberg admet pourtant l'existence. D'ailleurs, dans tous ces 14 cas, le "VIH" en question est un sous-type B de "VIH-1". Je m'interroge, mais bon, je n'insisterai pas davantage. Il y a bien mieux à faire.
  13. Je suis globalement daccord avec toi, du moins en tant que ces explications concerneraient les personnes non à risque de sida. Ceci étant, la question ici nest pas spécialement la relation entre anticorps et sida mais bien laffirmation de Duesberg selon laquelle le « VIH » existerait en tant que rétrovirus exogène. Et plus spécialement les trois postulats de Koch, dont la réalisation signifie que le germe, ici le « VIH », est bien la cause du sida, peu importe les pirouettes intellectuelles utilisées. Tel est objet de ces derniers posts : les postulats de Koch sont-il remplis ou non en suivant la logique de Duesberg ? En effet, comme il déclare que le « VIH » existe réellement en tant que rétrovirus exogène, comment fait-il pour prétendre que DANS TOUS LES CAS, le sida nest jamais causé par ce rétrovirus exogène ? Car chez nimporte quel sidéen, on détecte sans problème le « VIH » : anticorps, tests génétique, détection directe de protéines du « VIH », etc... Il en va dailleurs de même dans les rares cas de sida sans « VIH » (quon entend par là les maladies très rares avant lapparition du « VIH », genre pneumocystose [certainement pas la tuberculose] : on détecte le « VIH » grâce aux tests génétiques et à la détection directe des protéines du « VIH ». A partir du moment où même Duesberg admet que le génome du « VIH » existe, il doit admettre que les cas de sida sans « VIH » nexistent pas puisque le génome du « VIH » est détecté également dans ces cas-là. La seule particularité, cest quil sagit dune forme particulière de « VIH » ne produisant par des anticorps détectés par les tests danticorps (on modifie les tests d'anticorps et on détectera aussi le "VIH"). Nempêche, le « VIH » est bien présent, même dans ces cas. Dès lors quil admet que le « VIH » existe et que lon doit constater que le « VIH » est détecté chez nimporte quel sidéen (même dans les cas de sida sans « VIH »), comment Duesberg fait-il pour prétendre que le « VIH » ne puisse jamais être la cause du sida (jentends par là des maladies très rares auparavant, et certainement pas la tuberculose), alors que ces maladies très rares ne se produisent que chez les séronégatifs avec facteurs dimmunodépression reconnus ou, à défaut, chez justement les seuls sidéens contaminés par le « VIH », qui existe selon Duesberg ? Car je rappelle que selon le premier postulat de Koch, le germe (ici : le « VIH » qui existe selon Duesberg) doit être systématiquement présent chez le malade. Cest justement le cas chez les sidéens, du moins en supposant comme Duesberg que le « VIH » existe en tant que rétrovirus exogène, auquel cas il faut admettre que les tests, notamment génétique, peuvent effectivement détecter le « VIH ». Ce que je ne comprends en fait pas chez Duesberg, cest comment il fait pour prétendre que les trois postulats de Koch ne sont pas remplis. Telle est la question ici (et non la relation entre séropositivité et sida). Le premier postulat me semble en tout cas parfaitement rempli en tout état de cause, la fragilité du « VIH » étant une très bonne explication au fait quil est loin dêtre facile disoler le « VIH », même chez un sidéen en phase terminale. Au surplus, comme Duesberg admet lexistence du « VIH », les différentes tests génétiques (par exemple) permettent de prouver son existence chez tous les sidéens. A moins que par je ne sais quel miracle, Duesberg est capable de faire la différence entre un test génétique ayant détecté lARN du « VIH » et un test strictement identique où cette fois-ci, lARN en question ne serait pas celui du « VIH » mais des débris cellulaires ? Comment fait-il cette distinction ? Et pourquoi sagirait-il de débris cellulaires justement au moment du sida, et plus du « VIH » ? Je cherche juste à comprendre la logique de Duesberg, en supposant donc que le « VIH » existe.
  14. Il me semble que par ce passage, Duesberg reconnaît donc bel et bien que les sidéens ont la particularité davoir été contaminés par un rétrovirus exogène « VIH », quand bien même celui serait passager et disparaîtrait ensuite. En dautres termes, les sidéens ont la particularité davoir été contaminés auparavant par le « VIH », soit un rétrovirus exogène. Donc, pas de sida sans une contamination antérieure par le « VIH », quand bien même il disparaîtrait ensuite. Donc, pas de sida sans « VIH ». Par ailleurs, le « VIH » disparaît-il réellement ? En effet, quant au fait que le « VIH » ne serait pas isolé facilement chez les sidéens, ce nest pas parce quil nexiste plus chez les sidéens mais pour des tas de raisons tout à fait admissibles dès lors que lon admet lexistence du « VIH » en tant que rétrovirus exogène comme le fait Duesberg : Exemples - Le VIH se cache dans les ganglions pendant un certain temps, parfois des années, avant de causer les maladies en question. Or, dans les ganglions, il nest pas détectable avec les tests danticorps et les tests génétiques. - Le « VIH » est un rétrovirus extrêmement fragile. Une fois prélevé du corps, et malgré un luxe de précautions, il se détruit très vite. Cest pour cette raison-là que le « VIH » ne peut pas être isolé, et non parce quil est « passager ». Dailleurs, les tests danticorps et génétiques (dont Duesberg admet quils peuvent détecter une infection par le « VIH », puisque ne fût-ce que dans le passage reproduit, il dit lui-même que ce sont bien les anticorps du « VIH ») prouvent la contamination, toujours en cours (et non passagère) et en abondance des sidéens. En dautres termes, le premier postulat de Koch me paraît bien rempli. Le « VIH » est bien présent chez les sidéens et en abondance, comme les tests génétiques le prouvent. Sa rare isolation (puisque Duesberg admet que le « VIH » a été effectivement isolé) est due à sa légendaire fragilité et des tas de tests existent (dont Duesberg admet quils peuvent effectivement détecter une contamination par le « VIH ») pour prouver que les sidéens sont toujours contaminés par le « VIH ». En tout cas, il me semble qu'il y a pas mal d'incohérences chez Duesberg. Comme par exemple admettre d'un côté que des tests (en autres génétiques) peuvent détecter le "VIH" mais d'un autre côté prétendre que le "VIH" n'existe plus, nonobstant le fait que ces mêmes tests génétiques continuent à détecter le "VIH".
  15. Ah, oui, joubliais un point pour le moins fondamental, nen déplaise aux partisants de Duesberg. A partir du moment où on admet comme Duesberg que le « VIH » existe en tant que rétrovirus exogène et que les tests « VIH » et les tests génétiques peuvent réellement détecter une contamination par le « VIH », on na pas dautre choix que dadmettre que le « VIH » est un rétrovirus sexuellement transmissible, et, partant, par un jeu de mots à peine exagéré, que le « sida » est sexuellement transmissible. En effet, la circonstance que les taux de contamination soient très bas nempêche pas quil y ait bien contamination et donc que le « VIH » est sexuellement transmissible. La circonstance que les tests génétiques (dont Duesberg admet quils peuvent détecter le « VIH ») ont constaté dans un certain nombre de contaminations que le nouvellement contaminé a le même génotype de « VIH » que le contaminateur achève de le prouver surabondamment.
  16. Cest bien ce que Duesberg prétend. Ceci étant, et malgré le travail inestimable quil a pu faire dans lintérêt de la dissidence du sida, je ne peux mempêcher de me dire que Peter Duesberg fait preuve de nombreuses contorsions intellectuelles dans ses raisonnements. Duesberg reconnaît que le « VIH » existe et que les anticorps au "VIH" existent. Dans ces conditions, il me paraît très difficile de nier, comme le fait Duesberg, que le sida nest pas causé par le « VIH », au moins dans certains cas, cest-à-dire en faisant abstraction des faux positifs. Rappelons les trois postulats de Koch. 1) « On doit trouver le microbe en abondance chez tout patient souffrant de la maladie en cause et dans tous les tissus malades ». Cest bien le cas puisque Duesberg admet que quun test « VIH » positif peut être le signe dune infection par le « VIH » et que les anticorps détectés par ces tests peuvent être ceux du « VIH ». Certes, il peut y avoir de faux positifs résultant de nombreuses circonstances ; nempêche, en admettant que le « VIH » existe comme le fait Duesberg, il faut également reconnaître que dans un certain nombre de cas, les tests « VIH » et la charge virale positive peuvent bien être les preuves dune « contamination » par le « VIH ». 2) « Il faut isoler le microbe et le multiplier en laboratoire. » Il va de soi que ce deuxième postulat de Koch est rempli en se basant sur la logique de Duesberg vu que ce dernier admet lexistence du « VIH » en tant que rétrovirus exogène. Car cest exactement ce qui est fait avec les prétendus clones infectueux du « VIH », ce que Duesberg admet lui-même comme constituant la soi-disant preuve par excellence de lexistence du « VIH » chez les sidéens et séropositifs. 3) « Le microbe purifié doit à son tour provoquer la maladie lorsqu'on l'inocule à un autre patient. » Cest peut-être finalement sur ce troisième postulat quil peut être possible pour Duesberg de pinailler et déviter de justesse que le « VIH » soit la cause du sida. Mais cela ne me semble pas évident pour autant. Lorthodoxie du sida dispose de très bon arguments, entre autres que les singes sont génétiquement protégés contre les conséquences dune infection par le « VIH ». Par ailleurs, certaines personnes contaminées ont le même génotype de « VIH » que le présumé contaminateur et font finalement un sida. Dans ces conditions, il paraît extrêmement difficile de nier que le troisième postulat de Koch ne puisse pas être rempli. A la lecture de ce qui précède, et en suivant la supposée logique de Duesberg, il faut bien admettre quil est extrêmement difficile de prétendre que les postulats de Koch ne sont pas remplis et que le sida ne serait pas causé par le « VIH », au moins dans un certain nombre de cas. Certes, il utilise de nombreux arguments pour éviter ces conclusions, mais ces arguments me paraissent surtout être de nombreuses contorsions intellectuelles pour refuser dadmettre lévidence, à savoir que les trois postulats de Koch peuvent effectivement être remplis chez un certain nombre de sidéens , en particulier ceux des groupes à risque de sida. Invoquer lexistence de rarissimes cas de sida sans « VIH » ne change rien au fait que dans lécrasante majorité des cas, les postulats de Koch sont apparemment bel et bien remplis. En effet, hormis ces rarissimes cas, il ny a pas de sida sans « VIH », vu que Duesberg reconnaît que la séropositivité peut être le signe dune infection par le « VIH ». En dautres termes, le « VIH » est bien la cause du sida, en suivant les postulats de Koch. Alors, certes, on peut commencer à ergoter, pinailler, etc..., nempêche, lorthodoxie du sida peut encore très bien sen sortir et aisément continuer à prouver que les postulats de Koch sont bien remplis, en invoquant entre autres des tas dexcuses parfaitement admissibles à partir du moment où on admet lexistence du « VIH » en tant que rétrovirus exogène : il mute, il est fragile, etc... Tout ça pour dire quavec la logique de Duesberg, on doit se contenter au mieux de demi-vérités, en tout cas, tout à fait insuffisantes pour faire écrouler lestablishment du sida. Il ne pourra en être autrement quen se rendant à lévidence, à savoir que lexistence du « VIH » na pas été prouvé chez ne fût-ce quun seul sidéen, et que si un jour son existence est réellement prouvé, il sagira au mieux dun rétrovirus endogène. PS : Désolé de "jouer" pour une fois à l'avocat de l'orthodoxie du sida, mais c'est bien la conclusion à laquelle j'arrive en suivant la logique de Duesberg. Si quelqu'un peut réfuter ce raisonnement, qu'il n'hésite pas bien sûr !
  17. Juste pour signaler à toutes fins utiles qu'il n'y a pas de contradiction entre le post qui précède et qui peut justifier la nécessité de cultiver un échantillon de sang pour retrouver du "VIH" (du moins, s'il existait réellement) et ce post où l'on s'étonne de ne pas trouver du "VIH" directement (et sans culture) à partir du plasma d'un sidéen ayant une charge "virale" astronomique. En effet, sang et plasma ne sont pas les mêmes choses, et il est admis par la communauté scientifique (sauf visiblement pour ce qui concerne le "VIH", et on se demande bien pourquoi) qu'il doit être possible de trouver directement du "VIH" dans du plasma, contrairement au sang, car le plasma représente en fait la partie liquide du sang sans ces innombrables cellules (+/-45% du sang). En tout cas, c'est comme cela que je l'ai apparemment compris, et si on ne doit pas s'étonner de ne pas trouver du "VIH" directement à partir de sang, il faut en revanche être très étonné de ne pas en trouver à partir du plasma, comme expliqué dans cette réponse. Il faut dès lors en déduire que le "VIH" pourrait effectivement exister (puisqu'on ne peut pas prouver dans l'absolu qu'il n'existe nulle part dans le monde) ... mais de toute façon, si le "VIH" existe, ce n'est pas chez les sidéens et les séropositifs qu'on le trouvera puisque chez eux, c'est introuvable. Et ce n'est pas faute d'avoir essayé !
  18. Voilà un point sur lequel je suis d'accord. Alors un petit rappel de bon aloi. Les rétrovirus en général (je ne parle même pas du "VIH" en particulier) sont des particules dotées d'une enveloppe de protéines, ayant un diamètre de 100-120 nm (mais avec le "VIH", les diamètres peuvent désormais être beaucoup plus petits ou plus grands, du moins pour ce qui concerne le "VIH", comme par hasard !), des noyaux internes condensés, des surfaces cloutées, et ayant comme informations génétiques de l'ARN, à l'exclusion de tout ADN. Ils sont dotés d'une enzyme particulière, à savoir l'enzyme de transcriptase inverse, bourgeonnent et, surtout, sont capables de répliquer. Last but not least, les rétrovirus ont la particularité de devoir sédimenter à la densité de 1,16 mg/ml. Cette caractéristique fait partie de la définition même des rétrovirus. Et bien, je rappelle à toutes fins utiles aux lecteurs qu'en 1997, on a enfin appris de la bouche même de Montagnier que ni lui, ni Gallo n'ont trouvé de particules d'apparence rétrovirale dans le gradient de densité qui est pourtant spécifique aux rétrovirus, lors des prétendues "isolations" de 1983 et 1984. Alors, à moins que l'on ait changé entre-temps la définition des rétrovirus, si ni Montagnier ni Gallo n'ont trouvé de telles particules dans ce gradient de densité, c'est qu'il n'y avait pas de rétrovirus dans la culture (dont on rappellera qu'elle a été en outre hyperstimulée et aurait dû avoir pour effet de produire des tas de rétrovirus s'il y en avait réellement) vu que les rétrovirus ont par définition la caractéristique intrinsèque de sédimenter dans le gradient de 1,16 mg/ml. En d'autres termes, cet aveu de Montagnier aurait simplement dû signifier la fin immédiate de l'hypothèse rétrovirale du sida. Mais bon, 6 milliards de personnes avaient depuis lors vécu avec cette croyance pendant 16 ans en sorte que le mythe du "VIH" est finalement devenu une réalité ... à tout le moins virtuelle. Rappelons qu'à défaut de particules d'apparence rétrovirale dans le gradient de densité caractéristique des rétrovirus, les preuves de la prétendue isolation du "VIH" sont uniquement les trois suivantes, aussi bien chez Montagnier que chez Gallo : 1) Détection d'une activité de transcriptase inverse (ce n'est même pas l'enzyme en plus !) dans la culture et le gradient de densité 1,16 mg/ml. 2) Photographie de particules d'apparence rétrovirale dans la culture (et pas dans le gradient de densité 1,16 mg/ml, ce qui aurait alors pu constituer un début de preuve très solide, absolument nécessaire quoique tout à fait insuffisante). 3) Réaction d'antigènes (dont on ignore complètement l'origine mais dont il est présumé qu'ils ont pour origine un rétrovirus, et même un nouveau rétrovirus ! lol) avec des anticorps. Je me répète mais ce sont là (sauf erreur de ma part) les trois seules preuves fournies par Montagnier et Gallo pour prétendre avoir isolé un nouveau rétrovirus. Je n'entrerai pas dans les détails mais aucune de ces trois preuves, même rassemblées, ne prouve l'existence d'un rétrovirus quelconque, et encore moins l'existence d'un nouveau rétrovirus. C'est d'ailleurs tellement vrai que l'orthodoxie du sida n'invoque plus guère ces trois preuves pour prouver l'existence du "VIH" mais invoque au contraire la présumée existence des clones infectueux du "VIH" comme preuve de l'existence du "VIH", qui est devenu l'argument-phare de l'orthodoxie du sida. Mais même cet argument a été réfuté par le Perth Group dans ses moindres détails dans ce très très très long article de 1996 et dont on trouvera un bien maigre résumé en français dans ce post-ci. En résumé, il n'y a pas la moindre preuve admissible de l'existence d'un rétrovirus "VIH", chez ne fût-ce qu'un seul sidéen. Ce véritable "VIH", introuvable chez les sidéens, ne doit bien entendu pas être confondu avec les artefacts de "VIH" créés in vitro, en laboratoire et dont on se sert entre autres ensuite de lentivecteurs en y accolant d'une façon pour le moins présomptueuse l'étiquette "VIH", alors qu'ils n'ont JAMAIS été retrouvés in vivo chez ne fût-ce qu'un seul sidéen. Pourtant, ce sont bien ces artefacts-là qui sont présentés (entre autres par Peter Duesberg lui-même, mais on le comprendra, sa formation de rétrovirologue ne lui permet pas de distinguer objectivement le grain de l'ivraie) comme étant le "VIH" qui existerait chez les sidéens, quoique jamais retrouvé chez eux ! Si le "VIH" existait réellement : 1) Il doit forcément sédimenter à la densité caractéristique des rétrovirus, ce qui n'a jamais été le cas. 2) Il doit forcément pouvoir être retrouvé dans le plasma d'une personne ayant au moins une charge "virale" supérieur à un million, comme expliqué dans cette réponse ou encore dans celle-ci (le Perth Group ne faisant que reprendre les explications fournies par l'orthodoxie du sida pour d'autres rétrovirus ... réellement existants !). En l'occurrence, cela n'a jusqu'à ce jour jamais été possible de réaliser : - alors que de nombreux sidéens ont des charges "virales" supérieures à un million dans le plasma, - et que le "VIH" est censé être le rétrovirus le mieux connu, entre autres sur le plan de la morphologie, de toute l'histoire de la médecine. Comme le dit le Perth Group, il ne peut n'y avoir qu'une seule explication possible : on ne le trouve pas (malgré des efforts réellement titanesques accomplis par l'orthodoxie du sida pour le trouver !) dans le plasma des sidéens ayant une charge virale supérieure à un million ... simplement parce qu'il n'y en a pas à trouver ! Conclusion : le "VIH", cela reste toujours de la science-fiction ! Du moins, en tant que l'on l'entend comme étant un nouveau rétrovirus censé avoir contaminé les sidéens, ce qu'il est pourtant justement censé être (et non une création in vitro de laboratoire sur laquelle l'étiquette "VIH" a été accolée d'une façon pour le moins abusive). Et évidemment, étant donné qu'aucun "VIH" n'a été isolé, il n'y a pas lieu de perdre son temps pour savoir si un rétrovirus inexistant est inoffensif ou passager, et encore moins pour savoir si un rétrovirus inexistant peut causer les maladies englobées sous le vocable "sida".
  19. Je n'ai peut-être pas compris tout l'article en question, mais j'essaie encore de comprendre comment ils font pour savoir si une maladie est liée ou non au "VIH". J'ai cru comprendre qu'ils arrivent à cette conclusion parce que les T4 étaient au-dessus de 200 et la charge "virale" indétectable ?!? Autant dire que si c'est cela, c'est du grand n'importe quoi, me semble-t-il. Et d'ailleurs, si un tiers des décès n'est pas causé par le "VIH" (traduire par "agents oxydants") ou les trithérapies (il est précisé à la fin de l'article que c'est extrêmement rare : Ah bon ?! Comment ils font pour exclure cette hypothèse, si ce n'est dans le but de ne pas effrayer ces futurs consommateurs ?), qu'est-ce qui cause donc ces différentes maladies (il y a l'explication des hépatites B et C, mais cela ne peut pas expliquer toutes les maladies) ? Je crois qu'il aurait été intéressant que cet article le précise, me semble-t-il, puisque ces maladies sont censées ne pas avoir été causées par le "VIH". En outre, comment expliquer le taux de mortalité "non VIH" de ces séropositifs, taux de mortalité qui me paraît plus élevé que pour le restant de la population séronégative et d'âge comparable ? Enfin, concernant l'explication (partielle) des diagnostics tardifs, cette explication fournie par cet article ne signifie-t-elle pas justement que c'est lié au "VIH" (agents oxydants donc) ? Bref, cet article semble avoir été pondu pour glorifier implicitement les trithérapies et rassurer ces futurs consommateurs.
  20. Voilà qui prouve brillamment combien les drogues dites « antirétrovirales » doivent être utilisées en dernier recours et le moins longtemps possible. Toutes les maladies citées peuvent être reliées à celles-ci. Peut-être pas le suicide quoique ...
  21. Les preuves fournies par l'orthodoxies sont biaisée pour deux raisons très simple: a) - ces personnes ont été soumises à des causes toxiques (AZT entre autre) du fait de leur séropositivité. b) - la séropositivité n'est peut-être que co-incidente à la prise de substances toxiques dans ces catégories du fait que d'innombrables facteurs peuvent la provoquer. Quid de ceux qui sont morts avant 1987 et donc avant l'AZT ? Et pourquoi leur a-t-on donné de l'AZT, si ce n'est parce qu'ils allaient déjà mal auparavant ?
  22. Juste deux (petites) remarques. Je l'ai répété également, si sur le plan dialectique, ce raisonnement me paraît fondé, en revanche, sur le plan du discours scientifique, il appartient à celui qui avance une théorie ou une explication (ici : l'existence d'un rétrovirus "VIH") de la prouver. Il n'est pas possible en matière de discours scientifique de fonder une théorie en la basant uniquement sur le fait qu'il n'est pas possible de prouver qu'elle ne pourrait pas exister (ici : le "VIH" existe car on ne peut pas prouver qu'il n'existe pas). C'est bien en cela que je parle de la logique ou de l'argument "martien" (les martiens existent car on ne peut pas prouver qu'ils n'existent pas). A ma connaissance, aucune science n'a jamais pu être sérieusement élaborée en se fondant sur des arguments "martiens". Je ne vois qu'une seule exception, à savoir la théorie des atomes, des électrons, etc...dont l'existence ne peut pas être visualisée mais résulte - entre autres - du fait qu'on ne peut pas prouver que les atomes, les électrons, etc... n'existent pas. L'hypothèse rétrovirale du sida serait donc la deuxième exception. Cependant, il y a au moins deux différences de taille entre l'hypothèse rétrovirale et "l'hypothèse de l'atome", différences faisant en sorte que les arguments "martiens" ne sauraient être invoqués pour fonder la théorie du sida rétroviral : 1) Les rétrovirus ne sont pas des entités nucléaires, de l'ordre de l'atome. Ils sont tout simplement gigantesques comparés à un atome et ils doivent être visibles (au microscope électronique), même si ce n'est pas à l'oeil nu. Leur existence ne peut pas être inférée que d'observations indirectes (= preuves fournies par Montagnier en 1983 et Gallo en 1984), elle doit d'abord l'être parce que le "VIH" a bien été vu au microscope électronique. Cela n'a justement jamais été le cas. 2) Les atomes, les électrons, etc... ne peuvent être visualisés, certes, mais les prédictions faites sur base de leurs existences présumées ont été réalisées. En revanche, les prédictions faites sur la base de la théorie du rétrovirus "VIH" n'ont justement jamais été réalisées, au contraire des prédictions basées sur les agents oxydants comme cause du sida ! Conclusion : Je ne vois toujours pas comment il est possible d'accorder - objectivement - la moindre once de crédibilité à l'hypothèse rétrovirale du sida. La théorie du "VIH" relève toujours de la science-fiction, et il ne pourrait en être autrement que le jour où il sera possible de le visualiser réellement au microscope électronique.
  23. Il me semble qu'en examinant bien la situation, on se rend compte que ce qui est arrivé aux gay au début des années 80 (en fait, on trouvait déjà des cas de sarcome de kaposi chez eux à la fin des années 70, mais cela n'a pas été comptabilisé) ... est bien la seule chose de réellement de nouveau ! En effet, les maladies dont souffraient les toxicomanes n'avaient rien de nouveau pour eux. Quant aux hémophiles, c'est triste à dire, mais leur taux de mortalité a toujours été bien plus élevé que pour le restant de la population (même si elle n'a cessé de décroître à partir des années 70) et n'a commencé à augmenter à nouveau ... qu'à partir de la fin des années 80 (et non auparavant, c'est-à-dire malgré le "VIH"), soit en même temps que l'AZT était administré. Donc, en d'autres termes, la seule chose de réellement nouveau est la forte hausse du taux de mortalité chez les gay. Et les explications étaient pourtant déjà là, en commençant par l'usage du poppers et les nombreuses autres drogues consommées par ceux-ci. Tel était le NOUVEL agent responsable, il n'y avait qu'à voir la réalité en face. Mais les gay ne voulaient pas rien entendre au fait que c'était bien leur style de vie qui pouvait en être la cause, ni les rétrovirologues d'ailleurs. Dès 1982, l'hypothèse d'un mystérieux rétrovirus fut avancée; la peur et la propagande ont fait immédiaitement le reste pour aboutir au vocable "sida". Mais finalement, en fin de compte, ce mot "sida" ne devrait même pas exister. Il faudrait en réalité juste dire qu'il y avait une épidémie de drogues récréationnelles chez les gay causant (avec aussi d'autres facteurs bien sûr, en tout cas, chez certains) chez ceux-ci et à la longue des maladies particulières. Et on ne vivrait sans doute plus dans l'hystérie dans laquelle nous sommes actuellement. Serait-il possible de me donner un exemple de cas de "sida" qui ne soit pas causé par des agents oxydants ? Je ne dis pas que cela n'existe pas, mais si cela existe, j'aimerais bien qu'on m'en donne un (ou même des) exemple(s), auquel cas cela pourrait effectivement constituer un premier pas pour affirmer que le Perth Group (je ne parle pas des théories élaborées par d'autres dissidents, où là j'admets aisément que leurs théories ne sont pas forcément toujours consistantes avec les faits) n'aurait pas une théorie consistante avec les faits. Et surtout, cela permettrait d'étayer ton affirmation (j'exclus bien sûr les cas de sida "nutrionnel", qui ne font que regrouper des maladies qui ont toujours été largement endémiques et en aucune façon exceptionnelles). Merci.
  24. Je suis d'avis que la réfutation de ce prétendu argument de l'orthodoxie du sida doit être axée simultanément sur les deux points suivants. 1) Premier axe Exiger de l'orthodoxie du sida la preuve que les traitements en question ont un effet antirétroviral. Si cette preuve n'est pas rapportée, les traitements en question n'ont donc en réalité aucun effet antirétroviral et leur (relative) efficacité devra par conséquent s'expliquer autrement que par leur prétendue capacité à lutter contre un rétrovirus dénommé "VIH". En pratique, l'orthodoxie du sida dira que le caractère antirétroviral de ces traitements résulte du fait qu'ils font baisser la "charge virale". Pour réfuter cela, il convient alors d'exiger de l'orthodoxie du sida (car nous ne sommes pas dans une "logique martienne" : cf mes deux posts précédents) les références d'au moins une publication scientifique et de quelques études scientifique confirmatives apportant la preuve que : a) Charge virale = ARN de "VIH" ou ADN proviral de "VIH"; b) Les primers utilisés dans la PCR sont bien originaires d'un rétrovirus "VIH"; c) A supposer même que a) et b) ont bien été préalablement prouvés, la preuve que la PCR n'amplifie que l'ARN du "VIH" ou l'ADN proviral du "VIH" et rien d'autre. A défaut d'apporter ces preuves, ce qui sera le cas, les traitements en question n'ont forcément aucun effet antirétroviral. Et cerise sur le gâteau, on pourra invoquer la récente étude démontrant que la diminution de la prétendue charge virale n'a aucune fiabilité pronostique ! 2) Deuxième axe Mettre l'accent sur le fait que si les traitements en question n'ont pas d'effet antirétroviral (à défaut pour l'orthodoxie du sida d'avoir pu le prouver : cf le premier axe), en revanche on peut aisément prouver que certains de ces traitements (la lamivudine, l'emtricitabine, etc...) ont des effets fortement antioxydants (ce qui signifie qu'en pratique, il sera référé en premier lieu à ton article) et de nombreux effets anti-bactériens, anti-virales, anti-mycosiques, etc... (cf les nombreuses études l'ayant prouvé). Ce faisant, il sera ainsi démontré que le sida est forcément le résultat d'un déséquilibre oxydo-réducteur et peut normalement être prévenu et combattu grâce aux antioxydants (entre autres). "Accessoirement", il sera ainsi démontré d'une autre façon que le sida n'est pas causé par le "VIH" !
  25. Bonsoir Psyence. Merci pour l'accueil. Bye. Non seulement c'était de l'humour, mais surtout, c'était et cela reste un compliment (peut-être implicite) que je te faisais (et j'avais d'ailleurs commencé mon post par cela, car je me doutais bien que la suite n'aurait pas l'heur de t'agréer). Car je dois reconnaître que de manière générale, ce sont surtout tes posts qui me font le plus réfléchir (et parfois m'énerver), à tel point que j'en ai parfois réellement mal à la tête. Visiblement, ce n'est pas comme cela que tu l'avais pris. J'espère que maintenant, c'est plus clair ! Cordialement.
×
×
  • Créer...