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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Mais est-ce vraiment sûr que cela serait dangereux pour l'orthodoxie du sida de ne rien trouver plus loin dans la supposée chaîne de contamination ? Je n'en suis pas sûr du tout. Si je me souviens bien (allez sur ce site par exemple), les partisans de la "logique" de Duesberg en matière de sida préconisent que l'on dépiste systématiquement la mère des personnes séropositives n'ayant pas eu spécialement de pratiques à risque de contamination. Les partisans en question sont tellement persuadés que le "VIH" existe et est inoffensif qu'ils sont intimement persuadés que l'on découvrirait que les mères en question sont également séropositives. Pour ma part, je ne demanderais pas mieux que l'on fasse systématiquement cet examen : s'il s'avère que les mères en question ne sont pas séropositives, ce qui sera le cas en fait, ce serait plutôt en faveur de l'hypothèse rétrovirale du sida, soit l'orthodoxie du sida, et pas du tout en faveur de l'hypothèse de Duesberg. En fait, ce serait très bien car la dissidence du sida ne devrait plus perdre son temps avec la "logique" de Duesberg et sera alors forcée d'opter pour la seule autre explication sérieuse restante mais également celle qui est véritablement dangereuse pour l'orthodoxie du sida, à savoir l'explication du Perth Group ! Donc, oui, je suis à 100% pour le dépistage des mères de séropositifs. Cela constituerait en effet un grand bond en avant pour la dissidence du sida, à savoir celle du Perth Group, et un bond de géant ... en arrière pour la "logique duesbergienne" !
  2. Ah Terry. Je ne me lasserai jamais de constater avec quelle facilité tu invoques toujours ton histoire personnelle pour balayer ainsi du revers de la main ce que des centaines d'études scientifiques ont pu constater quant aux bienfaits de certains compléments alimentaires, en tout cas chez les séropositifs. Je ne t'oblige évidemment pas à en prendre et n'oblige d'ailleurs personne, mais la circonstance que tu parais t'en sortir très bien sans complément quelconque n'implique pas comme conséquence scientifique que ce qui est valable pour toi ... est forcément valable pour tous les séropositifs ! Et encore moins que ton expérience personnelle prévaudrait sur les conclusions inverses d'innombrables études scientifiques. Tant mieux si tu t'en sors très bien comme cela, et je m'en réjouis, mais encore une fois, il ne s'agit pas de faire de ton cas personnel une généralité.
  3. Va dire cela à Pierrot, Anarista, DaK'az, Melloute et beaucoup d'autres sur ce site ... qui ont fini - presque - aux portes de la mort avec une pneumocystose !
  4. wallypat

    Le glutathion

    Mettons les choses au point une fois pour toute. Le lecteur intéressé trouvera ici les quelques effets secondaires possibles de la NAC. Le lecteur attentif sera frappé de constater que les effets secondaires en question se produisent en réalité très rarement, et que les effets secondaires les plus graves, déjà très rares, se produisent lorsque la NAC est administrée par la voie intraveineuse (autant dire que dans ce cas, le patient en question est en fait déjà hospitalisé et en bien piteux état). En d'autres termes, les effets positifs de la NAC surpassent de très très très loin ses quelques effets secondaires pour ainsi dire rarissimes. A supposer qu'une personne tombe malheureusement et vraiment par très grande malchance dans la catégorie "très rares effets secondaires", il y a bien sûr toujours la possibilité d'arrêter d'en prendre. En d'autres termes, la NAC (de même que des tas d'autres compléments alimentaires) est absolument inoffensive, sauf exceptions rarissimes (dans le cas de l'AZT, c'est en fait exactement le contraire !). Rejeter sans nuance et aussi catégoriquement le recours à la NAC (de même que des tas d'autres compléments alimentaires), c'est exactement comme si on disait aux gens en général de ne jamais manger d'agrumes sous prétexte que certaines personnes peuvent en être allergiques et en devenir très malades !
  5. wallypat

    Le glutathion

    Manifestement, tu n'as pas fait l'effort de lire ce topic-ci depuis le début. Je t'invite à le faire. Par ailleurs, tu te doutes bien que tes convictions sur le sujet ne font évidemment pas le poids face aux études scientifiques, dont plusieurs ont été reprises et largement commentées dans ce topic même. Enfin, un peu de sérieux : la NAC peut effectivement présenter - parfois - quelques effets secondaires, mais les mettre sur le même pied que les effets secondaires de l'AZT, c'est vraiment du n'importe quoi. A commencer par le fait que la NAC est un antioxydant, alors que l'AZT est exactement le contraire, à savoir un oxydant. Et aussi le fait que la NAC inhibe le "VIH", tandis que l'AZT fait proliférer le "VIH" !
  6. wallypat

    Le glutathion

    Aïe, Jeff ! J'espère que cela ira mieux maintenant. Pour une fois, je serais d'accord avec les conseils de Terry, mais pas pour les mêmes raisons. De prime abord, je conseillerais également de tout arrêter, du moins (très) momentanément, car ton corps me paraît avoir été clairement intoxiqué non seulement par les tri"thérapies" mais également par les antioxydants dans ce cas-ci. Je pense qu'à cause des effets secondaires des trithérapies, les antioxydants n'ont plus eu d'effets positifs, depuis une ou deux semaines au moins. Je crains que les principes actifs de tes différents antioxydants ont peut-être aggravé encore plus les effets secondaires déjà très graves dans ton cas de ta tri"thérapie". Bref, j'essaierais d'abord de me désintoxiquer de tout cela (antioxydants compris) pendant un certain temps. Je pense que ton corps a un besoin urgent de "souffler" maintenant. Ceci étant, pendant cet arrêt momentané, je continuerais certainement à surveiller le taux de glutathion et à (tenter de) faire un bilan nutritionnel approfondi, et en fonction des résultats obtenus, en particulier s'ils commencent à virer au rouge et que tu te sens mal, à prendre les mesures qui s'imposent. Mais je le redis encore, toi seul peux être à l'écoute de ton corps et savoir ce dont celui-ci a réellement besoin. Tiens nous au courant en tout état de cause.
  7. Oui, c'est exactement cela ! Le prétendu super rétrovirus "VIH" n'est rien d'autre que des marqueurs (protéines, anticorps, matériel génétique "atypique") résultant de ce stress oxydatif et de ces carences, lesquels marqueurs sont interprétés à tort comme étant la marque d'un rétrovirus "VIH", alors que ces marqueurs ne doivent être interprétés que pour ce qu'ils sont "au premier degré" : des protéines et du matériel génétique oxydés en raison de l'exposition du sujet à des agents oxydants, des anticorps contre de réelles infections ou même des auto-anticorps. En d'autres termes, le "VIH" ou plutôt ses marqueurs ne sont que la conséquence de la maladie, et nullement sa cause, celle-ci étant donc l'exposition durable du patient à de lourds et forts agents oxydants. La circonstance que Montagnier lui-même déclare à multiples reprises que l'apoptose des lymphocytes T4 est causée par le stress oxydatif le prouve surabondamment, pour autant que de besoin.
  8. L'explication est dans l'article lui-même : Rappelons-nous que de l'aveu même de l'orthodoxie du sida, il n'y a pas de "VIH" ou plutôt de marqueurs de "VIH" (vu que le "VIH" n'a jamais été isolé) sans oxydant. Dès lors que l'on analyse les effets d'un antioxydant comme la spiruline (riche en vitamines, etc...) sur des marqueurs résultant d'agents oxydants (ou de l'usage de mitogènes), il n'y a pas lieu de s'étonner que les marqueurs en question peuvent s'améliorer en diminuant, voire même en disparaissant. Par conséquent, par un raccourci pour le moins osé, l'orthodoxie du sida prétendra que la spiruline a un effet "antirétroviral" et "tue le sida" (du moins in vitro, mais "bizarrement" pas in vivo)... alors que ses bienfaits en matière de sida s'expliquent pour de toutes autres raisons, extrêmement simples : activité antioxydante, bon remède à la malnutrition (laquelle est source même d'immunodépression et "donc" de "sida"), lutte contre le candida albicans dont souffre la grande majorité des séropositifs et sidéens, etc... Il va de soi que le même raisonnement peut exactement être suivi pour d'autres plantes ou molécules quelconques ayant de prétendus effets "antirétroviraux".
  9. Je ne suis quà peine étonné du ton suffisant, frisant même larrogance, de cet orthodoxe du sida. Car tel est bien lune des caractéristiques des négationnistes du stress oxydatif. En d'autres termes, si ta méthode de PCR est si spécifique et si fiable pour détecter le "VIH", pourquoi la CDC recommande-t-elle vivement de ne PAS utiliser seuls les tests de détection génétique du "VIH" en lieu et place des tests d'anticorps, en tout cas chez les adultes, les adolescents et les enfants "infectés" par d'autres voies que la voie périnatale ? (ceci dit, en passant, on peut se demander, d'une part, comment la PCR qui est décrite comme si spécifique pour détecter les séquences spécifiques d'un rétrovirus exogène "VIH" ne devrait pas être utilisée chez les adultes, les adolescents et les enfants "infectés" via le sang, mais est en revanche recommandé et approuvé pour détecter la transmission verticale du "VIH" [?!], et, d'autre part, comment la PCR fait-elle la distinction entre les enfants "infectés" par voie périnatale et par les autres moyens [?!]). Enfin, de façon générale, rappelons que les tests génétiques, quels qu'ils soient, ne peuvent être utilisés pour prétendre isoler le "VIH" chez une personne que si et seulement si la preuve a préalablement été apportée que le matériel génétique détecté est bien originaire d'un rétrovirus "VIH". Or, en l'occurrence, cette preuve n'a jamais été apportée, les prétendues isolations de Montagnier et Gallo n'ayant pas apporté cette preuve !
  10. wallypat

    Le glutathion

    Repensant à ton cas, Jeff-Lyon, je me disais qu'il était peut-être plus prudent, non d'arrêter du jour au lendemain la trithérapie, mais bien de passer à une monothérapie à la lamivudine ou à l'emtricitabine (ce qui n'a rien de saugrenu visiblement : je connais au moins deux séropositifs qui sont sous une telle monothérapie depuis quelques années) vu que ces deux drogues "antirétrovirales" combattent efficacement les agents oxydants, tout en n'étant pas trop nocives (visiblement). Ensuite, les doses de lamivudine ou d'emtricitabine seraient progressivement réduites à néant, tout en augmentant corrélativement les antioxydants que tu prends déjà (quitte à diminuer ensuite ceux-ci si cela a l'air de fonctionner). C'est en tout cas mon idée actualisée sur le sujet. A toi de décider bien sûr.
  11. Le lecteur trouvera quelques exemples s'il se donne la peine de lire la synthèse collective, plus particulièrement le "Chapitre IV : Le sida est un syndrome toxique et nutritionnel", "D) Conséquences", "1) La séropositivité est réversible et donc guérissable", qui cite le cas de "Viduité" (déjà repris par Aixur) mais qui en cite également d'autres, scientifiquement constatés, entre autres : - les bébés nés séropositifs et devenant séronégatifs plus de neuf mois après leur naissance (59% des bébés en question redeviennent séronégatifs entre le 9ème et le 22ème mois) et donc longtemps après avoir perdu leurs anticorps maternels "VIH", ce qui implique que SOIT les bébés en question ont réussi à se débarrasser du "VIH" (hypothèse incompatible avec la théorie orthodoxe du sida), SOIT que les tests "VIH" n'ont aucune spécificité (= l'explication à retenir) : notons que ces constatations scientifiques ont été faites juste avant que les négationnistes du stress oxydatif eurent l'"ingénieuse" idée d'administrer le fabuleux "médicament" AZT aux bébés en question et à leurs mères, ce qui a depuis lors et jusqu'à ce jour faussé complètement les résultats; - les 4 à 6 millions d'ougandais forcément redevenus séronégatifs, faute d'avoir pu retrouver leurs tombes ! Notons qu'il serait en réalité possible de donner de bien nombreux autres exemples (et on en trouve ça et là sur des sites dissidents anglais), mais chacun sait que dans l'hypothèse rétrovirale du sida, une fois prétendument contaminé par le "VIH", on le serait à vie, en sorte qu'il ne serait plus nécessaire de refaire le test appelé par erreur "VIH" : ainsi, en procédant de cette habile façon, l'establishment du sida perpétue l'idée erronée que la séropositivité serait irréversible ! Oui, effectivement, c'est quand même gros que depuis 25 ans, il soit tranquillement affirmé par l'establishment du sida que le sida serait causé par le "VIH", tout en se gardant de "préciser" : - qu'ils n'ont jamais été en mesure d'isoler un seul prétendu "VIH" de ne fût-ce qu'un seul sidéen mourrant avec une charge "virale" astronomique, - que les photos du "VIH" présentées chaque jour dans la presse ne sont que des modèles informatiques de ce que devrait être le supposé "VIH" chez un sidéen, - que les très rares particules présentées à tort comme du "VIH" dans des cultures (en sorte que cela peut être encore n'importe quoi vu qu'il est impossible d'isoler un rétrovirus sur base de la seule morphologie) sont également retrouvées dans les cultures faites chez des personnes faisant les mêmes maladies, mais non causées chez eux par le prétendu "VIH" (ce fait a été constaté lors d'une des très rarissimes cultures de contrôle effectuées), - et que les rétrovirus avec lesquels ils travaillent réellement et présentés à tort comme étant du "VIH" ne sont que des artefacts créés de toutes pièces en laboratoire, mais JAMAIS obtenus à partir d'un seul sidéen, artefacts n'ayant au surplus jamais réussi à provoquer la destruction des lymphocytes T4 ! Et ce qui est encore plus gros, c'est que la presse se garde de répercuter de telles informations. C'est à se demander à quoi sert celle-ci, si ce n'est à formater les esprits !
  12. Voici ce qui semble être une très mauvaise nouvelle dans l'affaire australienne, évoquée il y a quelques semaines à peine dans ce topic-ci. En effet, selon cette dépêche, la Cour aurait refusé que le séropositif condamné en première instance puisse interjeter appel de sa condamnation. A la lecture de cette bien courte dépêche, il me paraît difficile de savoir réellement pourquoi. En tout cas, j'ai l'impression que si la procédure en appel est finalement rejetée, c'est pour une question de recevabilité de la demande, et non pour les questions de fond (soit l'essentiel) : dès lors que la demande paraît jugée irrecevable, il ne sert évidemment à rien de trancher les questions de fond. J'espère que prochainement, on en saura bien plus sur les raisons de ce refus.
  13. wallypat

    Guérir le Sida!

    Mais je peux également donner des références , plus spécialement pour les séropositifs, car les valeurs préconisées par le Linus Pauling Institute ne sont bien sûr destinées qu'aux seules personnes séronégatives. D'abord le site canadien "CATIE" (on trouvera à la fin de l'article en question toutes les références sur lesquelles ils se sont appuyés), dont on ne peut pas douter que leurs recommandations alimentaires à l'attention des séropositifs s'appuient sur des références scientifiques solides : Outre le fait certain qu'il est difficile de fixer le seuil maximal au-delà duquel la consommation de sélénium serait toxique, un autre point reste certain : les séropositifs doivent - en principe - en consommer plus que les séronégatifs car "par nature" ou presque, un séropositif et surtout un sidéen souffre quasi systématiquement d'une carence en sélénium. On ne s'étonnera donc pas que dans dans bon nombre d'études visant à analyser les effets thérapeutiques de la supplémentation chez les séropositifs en vitamines, minéraux, etc..., la dose prescrite de sélénium s'avère bien plus élevée que celle traditionnellement recommandée ... pour les séronégatifs ! Par exemple, dans cette très récente étude de 2005, le lecteur constatera à la page 2 que dans le cadre de l'essai portant sur 481 séropositifs asymptomatiques de Thaïlande, la dose journalière de sélénium s'est élevée à 400 mcg (par jour donc), pendant 48 semaines. On imagine facilement que pour des sidéens (et pas des séropositifs asymptomatiques comme cela fut le cas dans cette étude), la dose journalière aurait été bien plus élevée encore. Maintenant, je n'ai jamais voulu dire qu'un séropositif devrait consommer autant de sélénium ad vitam eternam. D'où l'utilité de faire un bilan de stress oxydatif régulier et à diminuer ensuite la supplémentation en sélénium s'il s'avère que l'on en a plus qu'assez dans l'organisme. Sinon, personnellement, j'ai la chance de ne pas avoir besoin de suivre le régime "Seignalet", mais il est vrai que le peu que j'ai pu lire à ce sujet me paraît très intéressant, comme par exemple dans ce topic-ci.
  14. Ce résumé me paraît également très intéressant pour cette autre raison : Sauf erreur de ma part, il me semble qu'il s'agit de l'un des tout premiers articles scientifiques déclarant expressément que le peroxynitrite peut causer l'apoptose des lymphocytes T. Auparavant, Cheminot avait relevé un article soulignant que le peroxynitrite pouvait causer l'apoptose des monocytes. Mais dans le résumé cette fois-ci cité, on parle bien des lymphocytes, et pas des monocytes. Cela me paraissait intéressant à relever également.
  15. Pourquoi ? Mais parce qu'il n'a pas été réellement isolé, pardi ! Tout va dans ce sens. Voyons ce que dit brièvement Eleni Papadopulos à ce sujet : En réalité, plus je lis, plus je constate que c'est l'existence même de la catégorie des lentivirus (= rétrovirus lents censés causer - parfois - des maladies bien des années plus tard; mais comme le dit très justement Peter Duesberg, il n'y a pas de rétrovirus lents, il n'y a que des rétrovirologues lents d'esprit !) qui est contestée ! Ainsi, il y a quelques mois à peine, j'ai pu lire un article en anglais où accessoirement au sujet principal traité (le "VIH" bien sûr), le Perth Group émettait les plus grandes réserves (pour ne pas dire plus) sur la réalité de l'existence d'un autre lentivirus très connu, à savoir le rétrovirus "visna" (supposé causer des maladies chez les ovins), entre autres pour des raisons identiques au "VIH". Mais comme ce sujet n'est pas aussi aigu que celui du "VIH", le Perth Group consacre tous ses efforts sur le prétendu "'VIH", et non sur les autres prétendus lentivirus que seraient le "HTLV-1" ou le "rétrovirus visna".
  16. wallypat

    Guérir le Sida!

    Effectivement, si j'ai écrit 800 mg, c'est une grosse erreur. C'est grand grand maximum 800 mcg, bien sûr. Je m'étonne que de nos jours, il soit encore possible d'accorder une once de crédibilité à cette notion de "AJR". Car les apports journaliers recommandés sont plutôt des apports de limite inférieure, en-dessous desquels on se trouve en situation de carence. Pour ne citer qu'un seul exemple, les 60 à 90 mg d'AJR recommandés pour la vitamine C garantissent essentiellement que la personne ne souffrira pas de scorbut. Dommage de n'utiliser la vitamine C que dans cette optique-là. Au surplus, cette notion d'AJR est établi par des scientifiques qui sont liés de près ou de loin à l'industrie pharmaceutique et qui n'ont donc aucun intérêt à relever l'AJR, en particulier si cette augmentation aurait pour effet de diminuer la fréquence du recours aux "médicaments" allopathiques. Je ne pense pas que ce forum-ci soit spécialement adapté à cette problématique mais dès lors que l'on se soustrait de la "sagesse scientifique conventionnelle", on découvre avec un certain étonnemment que de nombreuses études ont fait part de l'utilité non seulemement thérapeutique mais aussi préventive des vitamines, des oligoéléments et des minéraux consommés à des doses plus élevées que les sacro-saints AJR puisqu'on constate que les personnes se situant (en général sur de longues périodes) dans les tranches les plus élevées des apports, soit du fait d'habitudes alimentaires spécifiques soit grâce à la complémentation, bénéficient d'une diminution du risque de différentes pathologies dans des proportions souvent considérables. On constate que sauf exceptions, ces compléments alimentaires ne deviennent réellement toxiques qu'à des doses réellement astronomiques. Sur ce lien, outre les AJR (de bien peu d'utilité, en définitive), on trouvera les apports réellement efficients de certains vitamines, minéraux et autres oligoéléments, ainsi que les limites maximales. On constatera que généralement, les limites maximales sont largement bien plus élevées que les AJR. Concernant le sélénium, les séropositifs et encore plus les sidéens sont en état de forte carence en sélénium. Je pense donc qu'il serait pour le moins malvenu de ne leur recommander que le seul AJR en sélénium (55 mcg), d'autant plus qu'une très célèbre étude avait déjà constaté et vivement recommandé que les individus consomment en réalité chaque jour un minimum de 200 mcg de sélénium (c'est d'ailleurs la quantité que l'on retrouve dans bon nombre de multivitamines vendus), vu que cela réduirait, sur une longue période, les risques de cancer de plus de 60%. Et encore, il s'agit là de recommandations pour personnes séronégatives. Pour les personnes séropositives, c'est généralement plus élevé. Ainsi, cet orthodoxe du sida (parmi tant d'autres) recommande ce qui suit : Selon certains témoignages sur ce forum, l'examen est très cher effectivement et ce n'est pas remboursé du tout par la sécu : de mémoire, une personne avait témoigné du fait que le seul examen de son taux de glutathion (et encore, il ne s'agissait que de la mesure d'une seule forme de glutathion) lui avait coûté 38 EUR, sans intervention de la sécu. Et de manière générale, pouvoir faire des bilans de stress oxydatif, c'est vraiment la croix et la bannière selon certains témoignages, à moins d'avoir la chance d'habiter près d'un des très rares centres pouvant faire ce genre d'analyse, aux frais exclusifs du séropositif au surplus, semble-t-il.
  17. wallypat

    Guérir le Sida!

    Dans le même ordre d'idée, un guide de 60 pages sur des plantes médicinales utilisées par les séropositifs. Au risque de me répéter et surtout pour éviter que le lecteur ne se perde dans cette multitude d'informations, je rappelle à toutes fins utiles qu'il paraît clairement démontré que la première priorité des séropositifs est de faire remonter son niveau de glutathion et de combattre les agents oxydants auxquels ils sont exposés, ce que certaines plantes permettraient effectivement de faire.
  18. Entre autres parce que tout ce qui remettrait en question, un peu trop clairement, le binôme "VIH" - SIDA ne pourrait forcément pas être sérieux et ne mériterait donc pas la moindre attention, et encore moins la moindre publication officielle.
  19. Juste une toute petite suggestion de forme de rien du tout : il faudrait adapter la numérotation car il y a maintenant deux titres 2. Par la même occasion, peut-être peut-on également souligner les titres 3. et suivants (comme cela a été fait pour les titres 1. et 2.) ? Ce ne sont bien sûr que des remarques sur la forme car sur le fond, je n'ai évidemment rien à dire !
  20. On aurait vraiment fait mieux d'appeler ce topic : "Les théories les plus débiles et farfelues sur le sida" !
  21. Je reconnais que je n'ai pas été plus loin que le premier quart de l'article car à ce stade-là, on comprend tout de suite qu'il n'y a pas le moindre crédit à lui accorder. 1) Rappelons nous que nous avons déjà sous la main une théorie quasiment parfaite expliquant le sida (à savoir les agents oxydants causant le stress oxydatif), sans avoir besoin de faire intervenir un germe quel qu'il soit. Pourquoi dès lors chercher des explications ailleurs, et pire encore, pourquoi absolument vouloir faire intervenir un germe quelconque ? Le gros "désavantage" de la théorie du Perth Group, c'est que le malade est généralement seul responsable de son état, car dû généralement à son style de vie. On peut dès lors aisément comprendre que cela ne plaise pas à certaines personnes et qu'il est plus commode d'attribuer la responsabilité de son état à un germe quelconque : si ce n'est pas le "VIH", pourquoi ne pas attribuer la cause au HHV6 ? Ne nous gênons pas, tant qu'on y est. 2) Il n'y a pas une seule référence scientifique à cet article. Comment y accorder une once de crédit ? 3) Il y a même carrément des mensonges (au mieux des erreurs) éhontés manifestement destinés à faire passer la théorie du HHV6 (et encore, je n'ai lu que le premier quart de l'article !). Deux exemples parmi tant d'autres : Comme on l'a déjà signalé, si on entend par "sida" des maladies rares (pas les tuberculoses, herpès, diarrhées, etc...) devenues fréquentes chez les personnes séropositives, les cas de sida sans "VIH" sont extrêmement rarissimes. Et encore, ce n'est que parce que ces cas rarissimes ne réagissent pas aux tests d'anticorps. En revanche, le "VIH" (du moins dans l'optique orthodoxe du sida) peut être détecté d'autres façons, au surplus de façon bien plus directe et plus précise (du moins, sous l'optique orthodoxe du sida, pas sous l'optique du Perth Group bien sûr) d'ailleurs : culture, tests génétiques, ... Visiblement, cet auteur ne lit vraiment pas beaucoup la littérature orthodoxe et scientifique du sida ! Dès lors, encore une fois, comment accorder une once de crédibilité aux assertions de cet auteur ? Rien n'est plus faux. Toujours sous l'optique orthodoxe du sida, le sarcome de kaposi serait causé ou à tout le moins relié étroitement au HHV8, pas au HHV6. En outre, "association" ne rime pas avec "causalité". 4) L'auteur croit en l'existence du rétrovirus exogène "VIH". Voilà qui doit inspirer la plus grande méfiance à son égard. 5) On peut faire à l'encontre de la thèse du HHV6 les même critiques, peut-être même en pire, que celles faites à l'encontre du HHV8 et du sarcome de kaposi (lire ce post) : a) Le HHV6 a-t-il réellement été isolé ? J'en doute, en particulier quand je lis par exemple cet article où je constate que l'on prétend pouvoir isoler dorénavant de nouveaux germes à l'aide de la seule biologie moléculaire et que c'est justement grâce à ces techniques de biologie moléculaire, que les présumés virus HHV6, HHV7 et HHV8 ont été découverts. On rappellera à cet égard que le prétendu virus de l'hépatite C a également été "isolé" de cette façon-là. On peut dès lors tout simplement douter de l'existence même de cette présumée entité virale "HHV6". b) Si le HHV6 n'a pas été correctement isolé, par conséquent, les tests prétendant le détecter dans le cadre de certaines maladies ne sont pas fiables, que ce soit des tests d'anticorps ou des tests génétiques. c) A supposer même que le HHV6 existe réellement, et bien, le moins qu'on puisse dire, c'est que ce virus est fortement répandu : quasiment le monde entier en est porteur, et sans en être malade, heureusement d'ailleurs (la maladie constitue au contraire l'exception) ! Ainsi, avant même d'avoir 4 ans, 70% des enfants ont déjà été "contaminés" par le HHV6 : Voir aussi cet article : Franchement, si on supposait que le "VIH" et le "HHV6" existaient tous les deux, on devrait logiquement déduire que la corrélation avec le sida est bien plus étroite avec le "VIH" qu'avec le "HHV6". d) On peut se demander dans quelle mesure l'immunodépression ne serait pas en mesure de réactiver le virus HHV6 (à supposer qu'il existe bien sûr) endormi, donnant ainsi l'impression qu'il aurait un rôle causal, alors que c'est plutôt l'inverse : le HHV6 ne cause pas de quelque façon que ce soit le sida ou des maladies quelconques, mais c'est l'immunodépression qui réactive et provoque la visibilité du HHV6 ou à tout le moins l'apparition de séquences d'ADN prétendument attribuées à un supposé nouveau virus de l'herpès, le si mal nommé "HHV6". CONCLUSION Il me paraît logiquement impossible d'accorder un quelconque crédit à cet article. Il y a vraiment bien mieux à lire, me semble-t-il. Si je devais comparer cet "article" à la littérature de l'orthodoxie du sida, cette dernière me paraît solide comme du béton armé. Or, comme nous savons qu'il n'en est pourtant déjà strictement rien, nous pouvons que nous gausser des assertions figurant dans cet article. Telle est du moins mon opinion.
  22. Il est vrai qu’il est fait de plus en plus souvent grand cas par l’orthodoxie du sida du mythe des cellules quiescentes infectées par le « VIH », ce dont quasiment seul le « VIH » serait capable. Or, toujours selon l’orthodoxie du sida, les cellules quiescentes sont inactivées et les trithérapies ne seraient pas en mesure de tuer le « VIH » auraient trouvé refuge dans les cellules quiescentes. Ceci explique que « malgré » les traitements dits « antirétroviraux » (dont on a pourtant tout récemment souligné qu’ils ne peuvent de toute façon pas avoir d’effet antirétroviral, même dans les cellules « infectées » non quiescentes : lisez ce post par exemple), il y aurait toujours des réservoirs de « VIH » dans le corps du séropositif, empêchant ainsi l’éradication du « VIH ». Ce mythe a encore été rappelé récemment par les négationnistes du stress oxydatif, par exemple dans cet article-ci : Devons-nous nous émouvoir de cette affirmation ? Bien sûr que non. Y faut-il voir une preuve quelconque de l’existence du « VIH » et de ce que le sida serait causé par le « VIH » ? Bien sûr que non. Voyons maintenant cela d’un peu plus près. PREMIEREMENT Notons pour commencer, et d’ailleurs en supposant qu’il n’y ait pas d’autres explications possibles, que ce phénomène d’infection des cellules quiescentes par ce qui est appelé « VIH » n’a jamais pu être constaté qu’in vitro, et jamais, ô grand jamais, in vivo, c’est-à-dire chez un séropositif ou un sidéen, comme nous l’examinerons plus longuement ci-dessous. Et surtout, ce phénomène (et bien sûr, toujours en supposant qu’il n’y ait pas d’autres explications possibles) a été constaté avec un rétrovirus dont il est déclaré qu’il s’agit du « VIH » mais dont il n’a jamais été prouvé que c’est du « VIH ». Rappelons en effet que les rétrovirus en question ont été obtenus en infectant des cellules avec du matériel génétique prétendument attribué au « VIH ». En réalité, l’origine rétrovirale de ce matériel génétique n’a jamais été prouvée et à défaut de cette preuve, tout indique que ce matériel génétique a une origine tout simplement cellulaire. Pour plus de détails, lire entre autres ce post. En résumé, il s’agit sans doute d’un rétrovirus mais absolument aucune preuve n’est apportée tendant à démontrer que le rétrovirus en question est bien le « VIH ». Etant donné que cet artefact de rétrovirus (dont les négationnistes du stress oxydatif se servent ensuite comme lentivecteur) a peut-être effectivement la capacité d’infecter les cellules quiescentes, il est ainsi expliqué après coup que c’est entre autres à cause de cela que les drogues appelées à tort « antirétrovirales » ne seraient pas efficaces. L’orthodoxie du sida eût-elle créé en laboratoire un rétrovirus qui aurait eu la particularité de se loger dans le foie, il aurait alors été par exemple déclaré par l’orthodoxie du sida que les drogues « antirétrovirales » ne sont pas efficaces car le foie serait une usine à production de rétrovirus et comporte toujours un stock de « VIH ». Pour ma part, quand bien même cela ne change strictement rien au fait que le rétrovirus en question n’est pas le « VIH », j’émets la suggestion suivante (enfin, pour ce que cela vaut), et uniquement pour la théorie, pour expliquer que le rétrovirus en question, appelé à tort « VIH », soit en mesure d’infecter in vitro les cellules quiescentes. En effet, il semblerait qu’à peu près seul le « VIH » ait cette capacité. Mais ce qui est frappant aussi, c’est que le « VIH » est à peu près aussi le seul rétrovirus créé en laboratoire dont on peut être certain que l’origine n’est pas rétrovirale mais bien purement cellulaire. Dès lors, l’explication ne pourrait-elle pas éventuellement être le fait que les cellules quiescentes ne s’y trompent pas, ne se fient pas aux apparences et ont bien compris que le rétrovirus en question n’est finalement qu’une cellule artificiellement modifiée ? Dès lors, ne peut-on pas imaginer qu’un simple phénomène d’ « osmose » et/ou d’ « endocytose » puisse naturellement se produire entre ce rétrovirus en question et les cellules quiescentes ? Cette tentative d’explication (bien qu’il soit nullement nécessaire d’apporter quelque justification que ce soit à ce mythe d’infection des cellules quiescentes par le « VIH ») est peut-être hilarante, mais après tout, ce n’est pas plus hilarant que les nombreuses explications et autres excuses avancées par l’orthodoxie du sida dans le cadre de son hypothèse rétrovirale, et de toute façon, cela ne change strictement rien au fait qu’il n’existe aucune preuve que le rétrovirus en question est bien le « VIH ». Donc, en résumé, ce phénomène d’infection des cellules quiescentes n’a au mieux été constaté qu’in vitro, et encore avec des rétrovirus créés artificiellement en laboratoire avec du matériel génétique d’origine cellulaire et hautement stimulé et dont il n’y a aucune preuve qu’il s’agit bien du « VIH ». DEUXIEMEMENT Car comme déjà annoncé ci-dessus, ce phénomène d’infection des cellules quiescentes n’a JAMAIS été constaté in vivo, c’est-à-dire chez un séropositif ou sidéen. Et pour cause : le lecteur attentif de ce forum sait depuis longtemps déjà qu’aucun rétrovirus « VIH » n’a jamais pu être isolé chez un sidéen, même avec une charge « virale » astronomique. En d’autres termes, ce phénomène n’aurait pu avoir été éventuellement constaté qu’à l’aide de marqueurs. Mais ces marqueurs prouvent-ils effectivement l’infection de cellules quiescentes par le « VIH » ? La réponse est non, bien entendu. En effet, au cours du débat qui opposa récemment et pendant deux ans , l’orthodoxie du sida à la dissidence du sida, un féroce orthodoxe du sida, étant Tony Floyd cita cet article intitulé “Production of HIV-1 by resting memory T lymphocytes” pour tenter de prouver que les lymphocytes T4 quiescents de sidéens et séropositifs avaient été infectés par le « VIH ». Comme le lecteur s’en doute déjà, la réfutation qui en fut faite par le Perth Group fut comme à l’accoutumée particulièrement cinglante : Qu’apprenons-nous du passage reproduit ci-dessus ? Comme bien souvent avec les négationnistes du stress oxydatif, ceux-ci se contentent de citer les articles qui les arrangent, et encore, uniquement les résumés qui vont apparemment dans leur sens. Car, en l’occurrence, c’est avec un amusement pour le moins attristé que l’on constate que si cet orthodoxe du sida avait pris la peine de lire l’étude invoquée à l’appui de son affirmation, et pas seulement le résumé, il aurait alors pu constater que la prétendue infection des lymphocytes T4 quiescents par le « VIH » avait été constatée en détectant dans la culture la protéine gag P24, et ce en utilisant la technique « ELISA ». Comme le fait remarquer bien à propos le Perth Group, il y a - au moins - deux problèmes avec ce qui précède. 1) Dans l’étude invoquée par cet orthodoxe du sida, la présence de l’infection par le « VIH » est prétendue détectée par la réaction d’un antigène (la protéine gag P24) avec les anticorps retrouvés chez le malade, réaction dont il n’a pourtant jamais été prouvé qu’elle est spécifique d’ une éventuelle infection par le « VIH ». Et qu’ une telle réaction ne puisse pas être utilisée pour prouver une prétendue infection par le « VIH » a été clairement démontrée dans différentes études, dont une datant de 1992, où il fut clairement constaté que 82% (49 cas sur 60) des cultures d’échantillons de sang prélevées sur des personnes (présumées) non infectées mais ayant des résultats indéterminés aux tests d’anticorps et 100% (5 cas sur 5) de celles provenant d’échantillons de sang prélevées chez des donneurs de sang séronégatifs réagissaient positivement à la protéine P24 ! 2) Il n’y a tout simplement aucune preuve de ce que la protéine P24 serait une protéine du “VIH”, en sorte qu’il ne peut être affirmé que des cellules quiescentes auraient été infectées par le « VIH » via la détection de la protéine P24 chez celle-ci. En effet, en 1983, Montagnier a prétendu avoir prouvé que la P24 était la protéine principale du « VIH ». Toutefois, dans une interview que Montagnier donna en 1997, Montagnier reconnut lui-même que pour identifier les protéines d’un (prétendu) rétrovirus « VIH », il est nécessaire de purifier le rétrovirus. Or, dans cette même interview, Montagnier avoua et reconnut que même après un « effort de Romain », il ne put trouver dans le gradient sur lequel sédimentent les rétrovirus la moindre particule ayant la morphologie typique des rétrovirus. Par conséquent, même un étudiant un tant soit peu brillant doit nécessairement arriver à la conclusion que la protéine P24 ne peut être le constituant d’un rétrovirus « VIH » ou même de n’importe quel rétrovirus, faute justement de la moindre particule d’apparence rétrovirale retrouvée ! 3) Indépendamment de ce qui est déjà précisé ci-dessus, on rappellera à toutes fins utiles qu’il y a été démontré depuis des lustres que la protéine P24 a tout simplement une origine cellulaire. CONCLUSION L’infection des cellules quiescentes par le « VIH » n’est qu’un mythe de plus de l’orthodoxie du sida, non seulement in vivo, mais également in vitro puisque dans ce dernier cas, la preuve n’est pas apportée que le rétrovirus en question est bien le « VIH » !
  23. wallypat

    Guérir le Sida!

    Il me semble avoir lu, il na pas longtemps, que le virus de la variole génétiquement modifié est utilisé pour tenter dinduire une mutation du gène CCR5. Il a en effet été constaté que chez certains survivants à long terme (mais chez certains uniquement, pas chez tous les survivants à long terme, loin de là dailleurs : lisez ce post par exemple), le gène CCR5 aurait muté, ce qui permettrait dempêcher le « VIH » dinfecter trop rapidement les cellules immunitaires (lisez plutôt : ce qui permettrait dempêcher les agents oxydants de causer trop rapidement des dégâts aux cellules immunitaires). Au début, les négationnistes du stress oxydatif avaient émis lhypothèse que cette mutation serait due à une exposition lointaine et antérieure à la peste. Maintenant, ils sont davis que cette mutation résulterait dune résistance à la variole. Peut-être cette voie sera-t-elle un jour efficace, mais cela ne prouvera toujours pas que le sida est causé par le « VIH » !
  24. wallypat

    Guérir le Sida!

    Quand on examine les articles fanfarons consacrés à la technique du « VIH » contre « VIH », il me semble quil ny a pas lieu de sen ébahir le moins du monde. Premièrement, le titre « VIH » contre « VIH » est déjà trompeur. Il faudrait en effet plutôt dire : « Lentivecteur rétroviral présenté à tort et de façon abusive comme ayant pour origine un mystérieux rétrovirus exogène « VIH » contre certaines protéines et ARN anormaux provoqués par lexposition aux agents oxydants ». Voilà qui fait déjà beaucoup moins sexy ! LOL Car il ny a bien sûr déjà aucun rétrovirus « VIH » chez ne fût-ce quun seul sidéen ou séropositif. Et car le prétendu « VIH » utilisé nest en définitive et au mieux quun rétrovirus créé artificiellement en laboratoire à laide de matériel génétique prétendument attribué au « VIH », sur lequel lorthodoxie du sida a de ce chef accolé létiquette « VIH » et auquel elle a apporté des modifications génétiques, visiblement pour tenter dinhiber lapparition de protéines et de matériel génétique prétendument attribués au « VIH ». Deuxièmement, il ne sagissait que de la phase 1, destinée uniquement à vérifier lapparente innocuité des « médicaments » utilisés, et encore à court terme. Vraiment pas de quoi fouetter un chat bien sûr. Souvenons-nous en effet des biens nombreux vaccins curatifs antérieurs ayant passé le cap de la phase 1 ... et sétant cassé la gueule aux phases ultérieures, bien plus critiques et essentielles dailleurs. Troisièmement, les bonds de joie de lorthodoxie du sida paraissent finalement résulter du fait que chez certains des 5 cobayes séropositifs, la prétendue charge virale était restée stable ou avait même diminué et/ou du fait que les lymphocytes T4 étaient restés stables ou avaient même augmenté. Etant donné que nous savons depuis longtemps que ces deux marqueurs ne sont pas fiables en matière de sida, ce nest donc pas à laulne de ces deux marqueurs quil faut analyser la situation. Mille fois plus intéressant aurait été de connaître linfluence au niveau du glutathion. Quatrièmement, il ny avait pas de groupe de contrôle, cest-à-dire dautres séropositifs prenant au contraire un placebo (et un vrai placebo bien sûr : dans des études antérieures, dans les très rares fois où un placebo est utilisé, celui-ci est parfois ... lAZT !). Jaurais été curieux de voir si chez certains de ceux-ci, la prise de ce placebo naurait pas eu également pour effet de provoquer chez certains une diminution de la prétendue charge virale et une augmentation des lymphocytes T4 ! Mais sil y a une science où les placebo sont très rarement utilisés, cest justement et comme par hasard la prétendue « science » du sida rétroviral. Pour leur défense, il peut toutefois être affirmé quil ne sagissait que de la phase 1 et quà ce stade-là, le placebo na aucune utilité. Mais dun autre côté, lorthodoxie du sida aurait également dû préciser par honnêteté intellectuelle (mais bon, il ne faut plus en espérer de leur part) que la modification de ces deux prétendus marqueurs de lévolution vers le sida pourrait très bien résulter de la confiance mis en cette thérapie par les cinq cobayes en question ! Pour finir toutefois sur une note optimiste, je ne crois pas que lon puisse exclure que cette forme de thérapie puisse tôt ou tard aboutir à des vaccins curatifs réellement efficients car, finalement, la thérapie en question constitue en définitive à faire en sorte que certaines protéines particulières et certains ARN anormaux disparaissent, ceux-ci étant donc prétendument attribués au « VIH ». Mais ce faisant, en agissant ainsi, lorthodoxie du sida pourrait en définitive combattre en fait assez efficacement laction délétère des agents oxydants auxquels sont exposés les sidéens et qui causent justement lapparition de ces protéines et ARN anormaux prétendument attribués à un invisible rétrovirus « VIH ». Il sensuit que même en cas de réussite de ces nouvelles formes de thérapie, cela ne prouvera toujours pas que le sida est causé par le « VIH ». Pour le prouver, il ny a quune seule solution : isoler le « VIH » chez au moins un sidéen (non contaminé antérieurement par le prétendu « VIH » créé en laboratoire bien sûr, soyons prudents !).
  25. Compte tenu de la relative importance de ce topic-ci, la synthèse collective y renvoyant expressément, je reproduis ci-dessus quelques liens renvoyant à quelques posts ayant également traité du sujet de la prétendue « primo-infection » « VIH » mais dans dautres topics : - Premier lien ainsi que les quelques posts qui ont suivi, dont celui de Delwere et celui de Wallypat; - Deuxième lien.
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