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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. wallypat

    Guérir le Sida!

    Je me doutais bien que le régime que je préconise ne fonctionnerait pas forcément avec tous les séropositifs. Je le constate actuellement avec l'un de mes plus proches amis qui suit mon régime depuis maintenant un an. Et pourtant, son taux de glutathion continue à baisser, ainsi que ses T4; et sa charge dite "virale" ne fait qu'augmenter et dépasse maintenant le million. Certes, il n'est pas (encore) malade mais cela commence à devenir inquiétant. Sa séropositivité est en tout cas très vite expliquée. A la suite d'une dépression, il a consommé pour la première fois de sa vie et pendant deux mois, toutes les drogues nasales possibles et inimaginables. Après deux mois, il a cessé d'en consommer mais quelques mois plus tard, il refait un test "VIH" et le voilà devenu séropositif (c'était il y a deux ans et demi). Depuis lors, tous les marqueurs, en ce compris le glutathion, n'ont fait que se détériorer sans interruption, le régime que je préconise n'ayant eu pour effet que de ralentir cette détérioration. En désespoir de cause, on a décidé de diminuer le nombre d'antioxydants qu'il prend et pendant deux mois, il va se mettre à une cure de plasma marin de Quinton, avec de l'argent colloïdal (et MSM intégré). Nous verrons dans deux mois si les marqueurs se sont - enfin - amélioré (pour la première fois depuis l'annonce de sa séropositivité). Je signalerai en temps utile sur le forum si le plasma marin de Quinton et l'argent colloïdal ont eu quelque effet positif sur son organisme, du moins au niveau des marqueurs (glutathion et accessoirement T4 et charge "virale"). A défaut, j'ai bien peur qu'il devra se lancer dans les traitements dits "antirétroviraux".
  2. Les considérations qui précèdent me paraissent clairement démontrer que consommer des probiotiques quand on est séropositif n'est absolument pas superflu.
  3. Juste pour dire que je souscris entièrement à l'opinion de Cheminot, avec toutefois une toute petite différence de sensibilité sur un point de détail, en ce sens que comme le précise Cheminot, le "VIH" pourrait être une particule légèrement infectieuse, produite par un organisme malade (soit séropositif). Cependant, je suis le Perth Group en précisant que si cela pourrait être éventuellement une particule légèrement infectieuse, il n'a jamais été prouvé que les marqueurs du "VIH" retrouvés chez un séropositif soient le signe d'un rétrovirus, même endogène, produit par l'organisme malade d'un séropositif. Avant de se demander si le "VIH" pourrait être éventuellement un rétrovirus endogène produit "de dedans", il faut encore préalablement prouver que le "VIH" est un rétrovirus tout court. En tout cas, on ne peut pas se référer aux rétrovirus appelés bizarrement "VIH" (les prétendus clones du "VIH") sur lesquels travaillent les "experts" ès "VIH" vu qu'il n'a jamais été prouvé que ceux-ci soient des clones infectieux au sens même de la définition proposée par l'orthodoxie du sida la plus autorisée. On a déjà évoqué ce point à plusieurs reprises sur ce forum. A défaut d'avoir apporté la preuve que le "VIH" soit un rétrovirus, même endogène, on en est réduit à des hypothèses, dont l'une des plus sérieuses, à mon avis, est que le "VIH" pourrait "simplement" être des exosomes (ayant justement un caractère infectieux réduit), produits par la destruction des cellules exposées aux agents oxydants. Même si je souscris pour le reste entièrement au point de vue de Cheminot, notons qu'il ne s'agit pas d'une bonne nouvelle. En effet, si le sida avait réellement été causé par un rétrovirus exogène, on aurait pu espérer un rapide traitement. Mais comme l'a souligné bien à propos Cheminot, la séropositivité est le résultat, parfois irréversible, d'une(forte) détérioration métabolique de la santé du séropositif, quand bien même celle-ci se manifestera parfois par des maladies bien des années plus tard (comme l'exemple du diabète cité par Cheminot ou encore le fumeur qui a arrêté de fumer et qui fait quand même un cancer du poumon bien des années plus tard). En d'autres termes, le remède à la séropositivité est bien plus ardu à trouver (à supposer d'ailleurs qu'un tel remède puisse un jour être trouvé) que la simple recherche d'une substance supposée détruire un mythique rétrovirus "VIH" (ce que illustre d'ailleurs presque 30 années de recherche en la matière). Notons également qu'avec le bien triste décès de Maggiore, le nombre de séropositifs dissidents célèbres refusant jusqu'au boutiste le moindre traitement "antirétroviral" encore vivant ... ne se compte plus que sur quelques doigts ! En d'autres termes, quelles que soient les excuses invoquées par certains dissidents (tout et n'importe quoi peut expliquer leur décès ... sauf le sida !), le taux de mortalité de ce groupe particulier de population est extrêmement élevé et en caricaturant à peine, est plus élevé que ceux atteints par le virus Ebola par exemple. Personnellement, j'ose espérer que le traitement de choc que je suis actuellement (et qui à ma connaissance, n'est suivi par aucun autre dissident séropositif de longue date), qui a pour objet en définitive de faire stabiliser mon glutathion et de ralentir le plus possible le racourcissement des télomères de mes cellules, me permettra de passer entre les mailles du filet et me permettra de redevenir séronégatif. A défaut, j'espère que l'on trouvera des traitements "conventionnels" beaucoup moins toxiques que ceux actuels. Mais pour y arriver, il serait déjà utile que les scientifiques abandonnent l'hypothèse rétrovirale et se concentrent sur d'autres hypothèses, telles que le stress oxydatif, et avancent ainsi réellement sur le bon chemin et mettent au point de réels traitements efficaces et surtout éminemment moins toxiques. Je reste toutefois très optimiste avec mon traitement naturel actuel et ne manquerai pas de faire part ultérieurement sur ce forum de l'évolution de ma santé, absolument parfaite à l'heure actuelle (en particulier lorsque je la compare à la période de ma vie où j'étais séronégatif, ce qui est un comble !).
  4. Surtout dans la nourriture crue, raison pour laquelle j’essaie de manger cru le plus possible. Ceci étant, j’en prends également en gélules, en particulier quand je mange chaud, et également sur un ventre vide (dans ce dernier cas, pour qu’elles remplissent leur rôle métabolique, en particulier celui consistant à fractionner les protéines considérées comme étrangères par l’organisme. L’article de « Le nouvel homme » est très intéressant au sujet des enzymes. Je pense que la vitamine C de l’acérola est certainement la meilleure car une partie de celle-ci est naturelle, mais pour une question de coût, j’utilise personnellement l’Ester C (au surplus, plusieurs études antérieures paraissent avoir démontré que l’Ester C était mieux et plus longtemps absorbée par l’organisme que d’autres formes de vitamines C disponibles sur le marché).
  5. wallypat

    Guérir le Sida!

    Pour ceux qui souhaitent savoir quel est mon régime actuel quotidien, je me permets de renvoyer à ce post.
  6. Bon. Très vite le résumé de ce je prends. En résumé, j'ai pour objectif de faire en sorte que mon niveau de glutathion augmente (et/ou ne baisse plus) et de diminuer les phénomènes inflammatoires dans mon organisme. Pourquoi ? Si mon glutathion reste à un niveau élevé et si les phénomènes inflammatoires dans mon organisme deviennent virtuellement absents (ou presque), il est en théorie (du moins) quasiment impossible que je fasse plus tard une maladie qualifiée de sida, et même de façon générale, une maladie chronique en général. Et qui sait, redevenir un jour séronégatif (mais compte tenu de la durée de vie des anticorps, ce n'est certainement pas pour demain). Par conséquent, mon "régime" est axé principalement sur les quatre points suivants (notons qu'à mon avis, une personne séronégative aurait tout intérêt à suivre grosso le même "régime" car cela ne concerne pas que le sida mais bien les maladies en général et la qualité de vie en général, en ce compris son apparence personnelle [paraître jeune le plus longtemps possible]). Et si je suis le régime suivant, ce n'est pas par hasard mais bien la conséquence de la lecture de nombreux articles scientifiques. Et désolé pour la pub, mais j'achète presque tous mes compléments alimentaires sur le site www.supersmart.com (excepté par exemple le chlorumagène et l'astragale). 1) Le régime le plus riche possible en acides gras saturés (et accessoirement en acides gras monosaturés) et le plus pauvre possible en acides gras polyinsaturés. Je me permets de renvoyer au topic consacré à ce sujet. Notons qu'à cet effet, je tâche de manger le plus possible bio, et c'est presque exclusivement le cas pour la viande, les oeufs et les produits laitiers (ces derniers devant au surplus être exclusivement à base de lait cru) puisque c'est en particulier dans ces aliments-là que l'on retrouve le plus de pesticides, d'additifs, antibiotiques, vaccins, etc... Mais la plupart des légumes et des fruits que je mange sont aussi bio (mais je suis toutefois légèrement moins strict que pour la viande, etc...). Et même si on s'éloigne du sujet proprement dit, la quasi totalité des cosmétiques que j'utilise (mousse à raser, after shave, déodorant, beurre de karité, baume pour les lèvres, ..) sont également bio. Et bien sûr, pas d'aspartame et autres édulcorants (cela signifie que les seuls liquides bus sont de l'eau et des jus de légumes bio [le thé est également très bon pour la santé, en particulier le thé vert, mais je n'en bois pas car je n'ai jamais aimé cela]; en revanche, je ne bois plus de jus de fruit, même bio, car il y a beaucoup trop de sucre et de glucides en général [il vaut bien mieux consommer les fruits "nature"]). Notons que si j'ai faim, je consomme surtout des acides gras saturés et pas trop de protéines car l'organisme est capable de produire par différentes réactions enzymatiques des glucides à partir des protéines. J'ai par ailleurs affiné mon régime en supprimant le sucre en particulier (je fais toutefois quelques petites exceptions en ces périodes de fête) et les glucides en général (et tout particulièrement les féculents, les grains quels qu'ils soient et les produits à base de ceux-ci ---> donc, pas de pommes de terre [mais toutefois rarement, des frites bio de temps en temps, préparés dans l'huile de noix de coco], pas de pâtes, pas de pain, pas de riz [hormis de temps, du riz bio basmati], etc...). Ainsi, encore un récent article rappelle qu'il est quasiment impossible de développer une infection à candida (qui est d'ailleurs l'une des maladies phare du sida !) avec un régime sans sucre et pauvre en glucides. Sans blaguer, un tel régime rend virtuellement impossible le développement d'une des maladies caractéristiques du sida (et de la plupart des autres maladies, d'ailleurs), un tel régime rendant virtuellement impossible le développement des germes supposés les causes. Je suis toutefois obligé d'utiliser l'adverbe "virtuellement" puisqu'il n'existe à ma connaissance aucune scientifique sérieuse sur le sujet, les traitements "antirétroviraux" étant considérés comme la panacée ! LOL Enfin, je continue à affiner mon régime en essayant de manger le plus possible "cru" et le moins possible "cuit", entre autres en raison de l'absence des enzymes dans les aliments cuits (faites des recherches sur le "raw revolution" et vous comprendrez très vite pourquoi; voir aussi ci-dessous). 2) Pas mal de probiotiques chaque jour. Lisez par exemple ce post. 3) Les enzymes digestives, non seulement quand je consomme des aliments qui ont été cuits et qui ne sont donc pas crus mais également à jeun (par exemple quand je me lève et juste avant de me coucher). Et ce n'est pas par hasard, bien sûr. J'ai lu il y a quelques mois plusieurs articles anglais (mais que je ne les retrouve pas pour le moment) sur l'importance - fondamentale - des enzymes digestives. Il s'agissait d'articles généralistes, non consacrés au sida, mais j'en ai déduit que leur consommation est non seulement essentielle mais sans doute vitale en matière de séropositivité. Pourquoi ? Le pancréas produit naturellement les enzymes digestives. Ceux-ci remplissent deux fonctions principales : permettre la digestion des aliments et aider au bon fonctionnement de presque tous les organes de l'organisme. Le problème est que l'on consomme de plus en plus d'aliments cuits et de moins en moins crus en sorte que les enzymes sont utilisés quasi exclusivement pour la digestion et plus pour le reste. Au bout de quelques décennies (ou même bien avant l'écoulement de ce délai) de cette alimentation, le pancrés s'épuise (et se dilate de plus en plus à force de produire des enzymes digestives; d'ailleurs, à partir de 40 ans, la quasi-totalité de la population occidentale a un pancréas qui est déjà fortement dilaté) et finalement les enzymes digestives ne peuvent remplir leur rôle métabolique et ne servent plus qu'à tenter de digérer plus ou moins correctement les aliments cuits consommés. Or cela est bien dommage. Entre autres pour la raison suivante, tout particulièrement valable en matière de séropositivité. Il faut en effet se rappeler que l'une des caractéristiques fondamentales des séropositifs est que ceux-ci ont dans l'organisme une immensité de protéines qui sont considérées comme étrangères à l'organisme (d'ailleurs, généralement, la majorité des anticorps au "VIH" ne sont rien d'autres que des auto-anticorps dirigés contre les protéines produites par l'exposition aux agents oxydants, telles que les protéines cellulaires [les protéines du soi-disant "VIH"]), et à terme, cet accroissement de protéines considérées comme étrangères par l'organisme va aboutir à de plus en plus de phénomènes (auto-)inflammatoires, se traduisant entre autres par les maladies du sida (ce syndrome pouvant justement être considéré comme étant une maladie auto-immune, et non comme une maladie causée par le mythique "VIH"). Maintenant, ce qui est extrêmement intéressant, c'est que les enzymes digestives, du moins lorsqu'ils ne sont pas affectés à la digestion des aliments (donc, particulièrement lorsqu'on les prend sur un ventre vide), ont la particularité de détruire ces protéines étrangères et de diminuer ainsi les phénomènes inflammatoires. Il me semble dès lors raisonnable de penser que ces enzymes digestives pourraient donc diminuer le nombre de ces protéines étrangères de l'organisme du séropositif, diminuer ainsi les phénomènes inflammatoires et probablement également diminuer le nombre d'anticorps dirigés contre ces protéines étrangères (---> augmentation de la probabilité de redevenir à terme séronégatif !). A ma connaissance (mais je me trompe peut-être), il s'agit de la seule substance de l'organisme capable de digérer ces protéines étrangères. En revanche, jusqu'à ce jour et toujours sauf erreur de ma part, et malgré d'innombrables lectures consacrées au sujet du sida, je n'ai encore jamais lu la recommandation de la consommation d'enzymes digestives en matière de sida. Sans doute parce que les dissidents du sida ne se sont jamais interessés aux enzymes digestives, à tort à mon avis. Or cette consommation pourrait être absolument critique pour prévenir le sida. En tout cas, depuis deux mois, j'en consomme tous les jours et je verrai bien les résultats. 4) Enfin, la consommation de compléments alimentaires, en particulier d'antioxydants pour maintenir un niveau élevé de glutathion (étant d'ailleurs, l'un des très rares antioxydants capables de lutter contre les peroxynitrites, dont Cheminot a maintes fois prouvé le lien de causalité avec la survenance du sida). a) Tous les jours (les données qui suivent sont approximatives), soit la base : - N-acétylcystéine : 1800 mg/jour. - Ester C : 5 - 6 grammes par jour. - Sodium R-Lipoate : 600 mg par jour (fait fortement augmenter le glutathion, en ce compris dans le cerveau [c'est l'une des seules substances capables de le faire dans le cerveau], mais provoque parfois une diminution des vitamines B ---> necessité de prendre des multivitamines comprenant entre autres les diverses formes de vitamines B); permet de chélater de nombreux métaux lourds, en ce compris le mercure que l'on retrouve dans les almaganes dentaires ... et dans les vaccins (pour ceux qui ont eu la malchance d'en avoir pris) ! - Daily 3 (un complexe de différents antioxydants, vitamines et minéraux) : 3 fois par jour. - Sélénium : 400 microgrammes (en fait, je n'en prends que 200 microgrammes car le daily 3 en comprend déjà 200 microgrammes). - Chlorumagène. - Un peu de siliphos chaque jour (la sylimarine fait fortement augmenter le glutathion également). - Chlorophiline : mais là, c'est pour lutter contre les dizaines de carcinogènes que l'on trouve dans les aliments (et parfois même, quoique dans une moindre mesure, dans les aliments bio). - Extrait de thé vert et de cacao : j'ai découvert récemment qu'outre le glutathion, les catéchines (que l'on trouve surtout dans le thé vert et le cacao [du moins,le chocolat noir] ont la particularité rare et exceptionnelle de pouvoir lutter directement contre les peroxynitrites, nonobstant la circonstance qu'ils font augmenter également le glutathion. - Astragale : cette racine ralentit le raccourcissement (entre autres provoqués par le stress oxydatif !) des télomères des mitochondries. Or plus les télomères raccourcissent, plus on avance vers le stade sida ("accessoirement", plus les télomères raccourcissent, plus on vieillit !). b) En fonction des périodes et de mon humeur : - Ubiquinol : protège les mitochondries - L-proline et L-lysine : 500 mg par jour, pour prévenir (avec l'Ester C d'ailleurs) l'oxydation du cholestérol (phénomène qui doit toutefois déjà se produire rarement dans mon organisme compte tenu de mon "régime"). Rappelons que le cholestérol, non oxydé, est très bon pour la santé et est sans doute essentiel en matière de prévention du sida. - Transresvératrol : des centaines (sans exagérer) d'articles scientifiques ont montré ses bienfaits pour la santé en général; plus particulièrement, il ralentit la production de nombreuses molécules inflammatoires produites à partir du très très dangereux acide arachidonique (ce seul fait suffit déjà à expliquer les bienfaits du transresvératrol). - Dimagnesium malate : permet de chélater l'aluminium de l'organisme, en ce compris celui présent dans le cerveau (or l'aluminium présent dans le cerveau est clairement de plus en plus impliqué dans la survenance de la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson). En revanche, je ne consomme plus de jus de blé d'orge (cela me paraît de plus en plus être de l'arnaque car je n'ai trouvé quasiment trouvé aucun article scientifique étayant les différents et prétendus bienfaits qui lui sont attribués; au surplus, j'évite de près ou de loin les céréales en général, trop riches en glucides [par ailleurs, je me pose de plus en plus de question sur les bienfaits réels des fibres retrouvés dans les céréales contrairement aux fibres que l'on retrouve dans les fruits]) , ni de Padma 28 (que je trouve bien trop cher pour ce que c'est). Il va de soi qu'à terme, j'entends bien diminuer la consommation de certains de ces compléments. En revanche, je ne suis pas près d'arrêter les trois premiers points (acides gras saturés, probiotiques et enzymes digestives), outre la consommation d'un minimum quotidien de 5 à 6 grammes de vitamines C. Voilà. J'espère que cela pourra en aider quelques-uns. Je ne garantis évidemment pas que cela fonctionnera dans tous les cas, mais personnellement, si j'étais dans la situation où j'arrête les traitements bizarrement appelés "antirétroviraux", pour (fortement) augmenter mes chances de réussite, c'est ainsi que je ferais.
  7. Bonsoir Bamboo. Je n'ai pas trop le temps pour répondre en ce moment. Et d'ailleurs, il est impossible de donner des "recettes" bien strictes en la matière. Et je pense d'ailleurs qu'il serait présomptueux d'affirmer qu'il serait possible d'arrêter (même progressivement) dans tous les cas les traitements "antirétroviraux" sans que cela ait pour certains (du moins) des conséquences fâcheuses (ceci étant, des conséquences fâcheuses sont également monnaie courante pour ceux qui prennent les traitements conventionnels). Ce que j'essaierai de faire prochainement, c'est de faire un (réellement) petit résumé de ce que je prends personnellement. Mais si on lit les posts que j'ai écrits dans le topic "Guérir le sida", on devinera aisément ce que je prends personnellement (c'est d'ailleurs grosso modo la même chose que Piloulou). Me concernant, j'ai la chance de n'avoir jamais pris de ma vie quelque traitement "antirétroviral" que ce soit, quoique j'ai été déclaré "contaminé" (LOL) par le "VIH" il y a bientôt neuf ans. Dès lors, ma situation est malgré bien plus aisée que pour celui ou celle qui tente d'arrêter les traitements "antirétroviraux". Concernant le glutathion, même s'il n'est pas possible de faire un test de glutathion intracellulaire, le test "traditionnel" du glutathion sanguin reste toujours un test essentiel. S'il est constaté que le glutathion sanguin baisse, il y a quand même lieu de s'en inquiéter (peu importe l'évolution des T4 et de la charge "virale"). Quant à savoir où le faire, c'est un peu la débrouille. Personnellement, mon médecin nutritionniste a pu me le prescrire mais je ne compte plus le refaire avant 2010, tellement je ne me suis jamais senti aussi bien que maintenant (suite à mon régime à base d'acides gras saturés). D'autres arrivent à se le faire prescrire par leur médecin de famille (à supposer que celui-ci sache l'écrire correctement !). Dans tous les cas, ce test n'est apparemment jamais remboursé et il est assez coûteux. Les deux tests traditionnels de mesure de glutathion sont le glutathion peroxydase et le glutathion réduit (sauf erreur de ma part). A + PS : Entre-temps, il n'est pas inutile de relire sur ce sujet les trois topics clé : "Guérir le sida", "Le glutathion" et "Prévenir le sida grâce aux acides gras saturés".
  8. Pour ma part, je suis d'avis que le test du niveau de glutathion est le meilleur puisqu'il a déjà été montré sur ce forum que la mesure du glutathion est de loin le meilleur marqueur (bien mieux que les T4 et/ou la charge dite "virale") de l'évolution éventuelle vers le sida. Plus le niveau de glutathion baisse, plus on avance vers le stade sida, peu importe le niveau des T4 (et encore plus de la charge "virale"). En réalité, le meilleur test de glutathion est celui qui mesure le glutathion au niveau intracellulaire mais il paraît impossible d'effectuer ce test bien précis, si ce n'est au niveau de la recherche. Notons que certains traitements "antirétroviraux" sont à ce point toxiques qu'ils font baisser le niveau de glutathion, ce qui peut constituer une raison supplémentaire pour arrêter ceux-ci. Ou dirais-je plutôt : pour tenter d'arrêter ceux-ci. Ne perdons pas de vue qu'il n'est absolument pas sûr qu'à moyen ou sur le long terme, il puisse se passer définitivement de ceux-ci. Personnellement, je ne pense pas qu'il y a de "protocole" particulier en la matière (il est assez rare qu'un séropositif tente d'arrêter définitivement les traitements "antirétroviraux, il y a peu de témoignages à ce sujet, et il est donc très difficile de donner la meilleur façon de procéder) mais l'usage d'antioxidants ne pourra qu'aider en la matière. Qu'il soit en tout état de cause prudent en la matière. A ta liste de compléments alimentaires, j'ajouterais en tout état de cause les probiotiques. Cinq grammes de vitamine C par jour me paraît bien. Enfin, notons que pour certains dissidents, il paraît préférable d'arrêter (très) progressivement les "antirétroviraux". Je donnerais en principe également ce conseil.
  9. Juste pour dire que pour ma part, je suis plutôt - en gros - l'opinion de Nico sur le sujet (lequel peut à mon sens invoquer une littérature scientifique surabondante à l'appui de ces arguments, au contraire de certains autres intervenants qui me paraissent clamer des théories qui, malheureusement, ne sont pas appuyées, même partiellement, par la moindre publication scientifique) mais que j'insiste surtout sur l'importance fondamentale (et sans doute décisive dans bon nombre de cas) du terrain (ce que Nico paraît lui-même également admettre), peu importe par exemple le rôle dévolu aux microbes et aux virus. Ceci étant, je ne suis guère passionné par ce sujet (préférant me concentrer sur le sujet du terrain) mais tant mieux si d'autres personnes veulent développer ce débat. J'ajouterai toutefois un point fondamental : je ne pense vraiment pas qu'il faut invoquer le cas du "VIH" pour appuyer ou non les thèses avancées dans ce topic. Le "VIH" constitue un cas réellement particulier et d'ailleurs, l'écrasante majorité des dissidents du sida, du moins ceux qui ont une réelle compétence scientifique, ne remettent pas en cause (du moins, pas de façon générale) le fait que les microbes et les virus pourraient intervenir (du moins en partie) dans la chaîne causale menant aux maladies. Ce qui me paraît certain, c'est que la controverse du "VIH" (ainsi que quelques autres, comme le supposé virus de l'hépatite C) constituent des exceptions en la matière et je ne pense pas qu'il faut profiter de ces exceptions pour tout généraliser. En revanche, je me demande dans quelle mesure il ne serait pas possible de concilier, en tout cas en partie, le point de vue de Nico et de ses opposants en considérant par exemple que les virus ne sont pas en soi des causes de maladies mais peut-être des produits (conséquences) de maladies produits par l'organisme lui-même, lesquels produits peuvent ensuite acquérir une vie indépendante en soi (un peu comme les rétrovirus endogènes, ce qui est admis par la communauté scientifique, semble-t-il) et expliquer bon nombre des propos de Nico. Personnellement, je ne pense pas que j'interviendrai encore dans ce topic, préférant me concentrer sur la notion de terrain et de façon générale sur les remèdes naturels (et certainement pas les "remèdes" chimiques de Big Pharma, qui à mon sens doivent être rejetés en bloc, à quelques exceptions près) à apporter pour prévenir, adoucir ou même guérir certaines maladies. Car que celles-ci soient causées ou non par des microbes ou autres virus, je pense réellement qu'il faut travailler avant tout sur le terrain pour résoudre le problème de la maladie en général, plutôt que d'aborder le problème sous l'angle de "Quels antibiotiques sont les plus efficaces pour détruire tel ou tel microbe ?". Ainsi, bon nombre de maladies nocosomiales pourraient être évitées si on administrait aux personnes hospitalisées de solides doses de vitamines C ou d'extrait de pépins de pamplemousse plutôt que de mettre au point des antibiotiques causant à terme des résistances (réflexion qui me semble valable également pour les vaccins, lesquels ont permis à terme l'émergence de certains souches de microbes de plus en plus résisantes, comme dans le cas du bacille de Koch/tuberculose).
  10. Persponnellement, je pense de plus en plus que ce qui cause en premier lieu les "maladies" en général (je dirais plutôt "divers symptômes, le plus souvent d'origine inflammatoire, considérés comme des maladies"), ce ne sont pas les microbes, les virus, les substances toxiques, etc... mais bien en premier lieu la réaction personnelle de l'organisme en présence de ces microbes, les virus, les substances toxiques, etc... En fait, ce sujet a été abordé ci et là, brièvement, dans le topic consacré aux acides gras saturés où je pense avoir donné de très nombreux exemples montrant qu'un organisme à prédominance d'acides gras polyinsaturés réagira beaucoup plus et surtout beaucoup plus longtemps (et voire même pour le restant de sa vie) en présence de microbes, virus, etc..., et ce principalement en raison de l'extrême instabilité des acides gras polyinsaturés (et en particulier de l'acide arachidonique) qui, confrontés à n'importe quel élément stressant (tel qu'un microbe), se mettront à produire d'innombrables et dangereuses molécules inflammatoires, ce qui se traduira justement par de nombreux et divers symptômes (= les maladies). En revanche, si les cellules du corps humain sont surtout constituées d'acides gras saturés, éminemment plus stables que les acides gras polyinsaturés ou même monoinsaturés, celles-ci réagiront généralement bien moins longtemps en présence d'un agent stressant quelconque. Et cette différence de comportement des cellules du corps humain peut faire toute la différence entre l'apparition d'une maladie quelconque (cancer compris, bien sûr) ... ou son absence ! J'ai encore eu la confirmation de ce qui précède en lisant il y a quelques semaines un petit article anglais où des chercheurs reconnaissaient par exemple que ce qui cause les rhumes, ce ne sont pas les rhinovirus mais bien la réaction de l'organisme à la présence de ce virus.
  11. wallypat

    photos du vih

    J'avais oublié, mais le Perth Group a également répondu (en anglais, malheureusement) à la question (très courante, au surplus) de savoir ce que représenteraient les photographies au microscope électronique de l'hypothétique "VIH" : There are dozens of picture of HIV. If these are not a retrovirus what have we been looking at all these years ?
  12. wallypat

    photos du vih

    Cette problématique a déjà été abordée une multitude de fois sur ce forum et pour ma part, je ne vais plus me répéter aussi longuement sur le sujet. Ces photos peuvent représenter n’importe quoi. Il n’est pas possible d’isoler un rétrovirus et encore moins un supposé nouveau rétrovirus en faisant des photos de particules retrouvées dans une culture. Le sang des séropositifs comprend d’innombrables particules qui peuvent effectivement ressembler à des rétrovirus et dont le rôle et l’identité sont d’ailleurs le plus souvent inconnus et/ou purement conjoncturels. L’explication du rétrovirus est une explication … parmi de réellement milliers d’autres. En d’autres termes, pour prétendre que les particules vues sur ces photos représenteraient des « VIH », il faut (sans que ce soit suffisant) déjà prouver que de telles particules existent également dans le gradient de densité (et non dans une culture, où l’on peut retrouver des myriades d’autres particules qui peuvent avoir la morphologie des rétrovirus mais sans qu’elles soient pour autant des rétrovirus [c’est une explication parmi des milliers d’autres]) où sédimentent par définition les rétrovirus. De telles photos de ce gradient de densité n’ont jamais pu être publiées jusqu’à ce jour, du moins pas avec des particules ayant la morphologie de l’hypothétique « VIH », nonobstant le « travail de romain » effectué depuis plus de 25 ans par les « experts » ès « VIH » et les centaines de milliards de dollars à leur disposition pour leurs (prétendues) recherches. En d’autres termes, affirmer que les particules photographiées dans une culture, aussi belles soient ces images, sont du « VIH » est non seulement extrêmement présomptueux mais également une bêtise scientifique sans commune mesure.
  13. J’ai déjà eu l’occasion d’examiner le « dossier du lait ». A l’époque, je pensais sans doute assez naïvement que le lait était dans tous les cas mauvais pour la santé et devait être évité dans tous les cas. Je me suis mis aux laits végétaux et le moins qu’on puisse dire, c’est que ma santé ne s’était pas vraiment améliorée. Je me portais bien mieux en consommant des produits laitiers. Pourtant, j’avais par exemple lu le témoignage de femmes atteintes de cancer du sein et qui avaient guéri en quelques mois simplement en arrêtant la consommation de tout produit laitier. D’un autre côté, plusieurs études scientifiques, prudemment tues par les anti-lait de tout poil, montraient en revanche que la consommation de produits laitiers pouvait prévenir l’apparition de cancers, tels que le cancer du sein et de la prostate. Bref, il fallait manifestement nuancer les affirmations un peu trop péremptoires de chacun des deux camps. Pour tenter de voir plus clair (vu que les études scientifiques pouvaient prouver tout et son contraire), j’ai tenté d’examiner la situation sur le plan biochimique. Et que constate-t-on ? C’est que le lait et les produits laitiers en général ne sont (quasiment) jamais du lait cru mais bien du lait pasteurisé ou du lait UHT (et d’ailleurs, à ma connaissance, les études scientifiques brandies par les anti-lait ne fait que rarement la distinction entre les produits à base de lait cru et ceux à base de lait pasteurisé [remarquons que c’est ce même genre de « procédé scientifique », soit les études épidémiologiques, qui est utilisé pour prétendre que la consommation de viande rouge accroîtrait le risque de cancer !]), soit du lait qui a été chauffé, transformé ou modifié d’une façon ou d’une autre. De façon générale, les produits transformés en général, dont font forcément partie le lait pasteurisé, ne sont pas sains pour l’homme. La situation est d’autant plus grave pour le lait que sa pasteurisation entraîne la disparition de plus de 90% des enzymes nécessaires à sa digestion. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que plus de 20% de la population mondiale soit allergique au lait pasteurisé (dont fait manifestement partie cotedazur) et se porte bien mieux en cessant d’en consommer. En revanche, d’après ce que j’avais pu lire en son temps, ce pourcentage d’allergie au lait serait 100 fois inférieur (soit 0,2%) dès lors qu’il s’agirait de lait cru, et est donc tout à fait exceptionnel. Personnellement, je déconseille fortement, et cela vaut également pour ceux qui ne sont pas apparemment allergiques, la consommation de tout produit laitier en général dès lors que le lait a été pasteurisé. En revanche, je conseille très fortement la consommation des produits laitiers à base de lait cru. Au cours des siècles passés, la consommation de lait cru a été un gage de bonne santé pour ses consommateurs (surfer par exemple sur ce site, malheureusement en anglais). Les problèmes de santé attribués au lait depuis le siècle passé « coïncident » (comme par hasard !) avec la pasteurisation du lait. Pour ceux qui veulent des références scientifiques, ci-dessous deux documents, pour le moins imposants, qui montrent à l’aide de très nombreuses études scientifiques que la consommation de lait cru et des produits faits à l’aide de lait cru (beurre et fromage) est extrêmement bénéfique pour la santé et est même très souhaitable. Il faut toutefois admettre que ce n’est pas facile à trouver. http://www.realmilk.com/ResponsetoMarlerListofStudies_.pdf http://www.realmilk.com/MarlerResponsesummary.pdf Personnellement, je constate bien que ma santé s’est améliorée de façon vraiment formidable que depuis l’adoption de mon régime à base d’acides gras saturés, dont forcément les produits laitiers, à base de lait cru bien sûr, et depuis que j’ai fortement réduit ma consommation d’acides gras polyinsaturés (raison pour laquelle j’évite les laits végétaux ; je comprends toutefois aisément qu’une personne allergique au lait pasteurisé se sente bien mieux en remplaçant le lait pasteurisé par du lait végétal). A cet égard, il est intéressant de noter que la maladie de Crohn est une maladie fortement inflammatoire dans laquelle interviennent justement de façon prépondérante les acides gras polyinsaturés. En suivant le régime que je préconise (dont les principes sont fondés sur de réellement innombrables études scientifiques), il est peu probable qu’une personne puisse vivre une telle maladie, même si elle a été « contaminée » par la bactérie responsable. Notons enfin que les acides gras polyinsaturés interviennent de façon prépondérante dans les phénomènes allergiques et que ceux-ci deviendraient rares si l’on consommait le moins possible d’acides gras polyinsaturés. En application de ce principe, il est intéressant de noter que le webmaster de ce site anglais préconisant également la consommation la plus rare possible d’acides gras polyinsaturés était auparavant allergique au gluten, et ne pouvait par exemple pas consommer de pain. Deux ans après avoir débuté le régime que je préconise, il n’était plus allergique au gluten ! Ce qui n’a rien d’étonnant vu que son organisme « souffre » (prétendument) maintenant d’une carence en acides gras polyinsaturés. Enfin, ci-dessous quelques liens rétablissant la consommation de produits laitiers. Ce qui est assez étonnant, c’est que ces liens se réfèrent à des études se basant manifestement sur du lait pasteurisé (que je ne recommande cependant pas de consommer). Que dire si le lait avait été cru ! http://www.second-opinions.co.uk/skim-milk-cows.html http://www.second-opinions.co.uk/unhealthy-food.html http://www.second-opinions.co.uk/chd-milk.html
  14. Encore deux autres cas de séroréversion (séropositif devenant à nouveau séronégatif) : http://www.pubmedcentral.nih.gov/picrender...67&blobtype=pdf (notez que pour faire tenir coûte que coûte l'hypothèse rétrovirale du sida, les auteurs de cette étude sont arrivés à la conclusion que les toxicomanes en question auraient été ... de faux positifs ! LOL ) http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=7759723
  15. Bienvenu Cotedazur. Pourrais-tu donner davantage d'explication sur le passage cité ci-dessus, bien entendu à ta meilleure convenance. Merci !
  16. wallypat

    Guérir le Sida!

    Voici une récente dépêche très intéressante : http://www.naturalnews.com/024799.html Les "experts" ès "VIH" se montrent très enthousiastes à l'égard des racines de l'astragale. Et ils sont à ce point enthousiastes qu'ils envisagent même la possibilité que les racines d'astragale puissent remplacer les traitements dits "antirétroviraux" actuels, mais bien sûr sans les effets secondaires de ceux-ci ! En tout cas, les scientifiques paraissent avoir démontré que l'astragale diminue la vitesse avec laquelle les télomères raccourcissent. Voilà qui est extrêmement intéressant vu que le raccourcissement progressif des télomères est l'une des plus sérieuses théories avancées pour expliquer le phénomène de vieillissement. Or ce raccourcissement des télomères est un phénomène que l'on constate chez les séropositifs. Ce qui n'a rien d'étonnant puiqu'il a été scientifiquement prouvé, tant in vitro qu'in vivo que le stress oxydatif (qui est également invoqué pour expliquer le phénomène de vieillissement) provoque un tel phénomène de raccourcissement des télomères. Lisez par exemple cette article scientifique de 2004. Ce phénomène de raccourcissement des télomères pourrait à mon avis expliquer (avec d'autres raisons) pourquoi la séropositivité pourrait de façon irréversible provoquer à terme, parfois bien des années plus tard (il n'est pas rare de lire des témoignages de séropositifs dissidents qui ont mené 15 ans durant une vie "saine et équilibrée, consommé régulièrement des antioxydants, etc... et qui pourtant, 15 ou 20 années plus tard, se retrouvent avec une pneumocystose ou une toxoplasmose) les maladies typiques du sida, et bien sûr sans devoir invoquer l'excuse de quelque "VIH" que ce soit. Il me semble en effet avoir lu qu'avec le temps, les télomères raccourcissent de plus en plus à chaque division de cellules, et qu'après un cycle de 70 à 80 divisions cellulaires, et bien les cellules et leurs télomères sont complètement épuisées et ne sont plus en mesure de se défendre contre les infections. Dès lors qu'un séropositif dispose déjà de télomères plus courts que dans la moyenne et étant donné que ce phénomène est irréversible (à ma connaissance, je ne pense pas qu'il soit possible de rallonger les télomères, ou alors on aurait sans doute trouvé le secret de l'immortalité ou presque), il est plus disposé que d'autres personnes à vivre à terme diverses infections, dont entre autres celles du sida, vu que son "capital de départ" est déjà diminué. A cet égard, la plupart des traitements "antirétroviraux" sont génotoxiques et accélèrent le phénomène de raccourcissement des télomères (d'ailleurs, la plupart des séropositifs sous traitements "antirétroviraux" que je connais vieillissent très rapidement quand ils commencent ce genre de traitement), et rien que pour cette raison-là, il me paraît préférable d'éviter, dans la mesure du possible, le recours aux "antirétroviraux". Mais peut-être que certains "antirétroviraux" (comme la lamivudine peut-être ?) n'ont pas cet effet et au contraire retardent ce raccourcissement ? A vérifier, sans doute. Ce qui me paraît certain, c'est que les antioxydants vont freiner ce phénomène d'oxydation et donc également ce phénomène de raccourcissement des télomères. Et personnellement, je vais tâcher de me procurer ces racines d'astragale et voir quels sont les résultats sur moi. J'ai déjà pu constater qu'on pouvait s'en procurer sans difficulté sur internet (et pour pas très cher) mais je tâcherai d'abord de voir si j'en trouve dans mon magasin bio. Je suis en tout cas très curieux, d'autant plus que même l'orthodoxie du sida se montre (très) enthousiaste sur l'astragale (alors qu'en temps normal, elle ne jure que par les traitements "antirétroviraux" "chimiques").
  17. Cette question m'intéresse beaucoup car en faisant récemment mon test de cholestérol, j'ai demandé à mon médecin généraliste de faire les tests IgG, IgA et IgM. Malheureusement, avec les chiffres que j'ai, cela n'a rien à voir avec 1, 5 ou 15. Donc pour moi, c'est difficile de savoir si c'est beaucoup ou non. En tout cas, mes résultats sont les suivants (j'ai indiqué ensuite entre parenthèses les valeurs "normales" de référence mentionnées sur la feuille de résultat) : IgA : 303 (les valeurs "normales" de référence seraient 87-359 mg/dl) IgM : 205 (les valeurs "normales" de référence seraient 49-216 mg/dl) IgG : 2767 (les valeurs "normales" de référence seraient 710-1405 mg/dl) Donc, mes résultats sont "anormaux" uniquement pour ce qui concerne les IgG. Mais ne connaissant pas le sujet, je ne sais pas si 2767 est vraiment un peu élevé, fort élevé ou même démesurément élevé (c'est en tout cas presque le double de la valeur maximale "normale"). Force m'est de constater que ce nombre a augmenté vu qu'il y a un an, j'étais à 2476. Certes, tout va bien pour le reste mais je m'étonne (un peu) que ce nombre d'anticorps ait pu augmenter et n'ai au contraire pas (un peu) descendu. Et cela m'inquiète un peu quelque part car généralement, plus on avance dans le sida, plus le nombre d'anticorps augmente ! En revanche, mon test CRP (test inflammatoire) est très satisfaisant puisqu'il est inférieur à 0,2 mg/dl (valeur normale : <1 mg/dl).
  18. Afin de prévenir les "doublons", je ferme ce topic et renvois le lecteur intéressé vers ce topic déjà consacré à ce sujet.
  19. Ci et là sur le forum, on a déjà examiné (du moins en partie) la question du "CCR5". Par exemple dans ce post.
  20. Un point qui pourrait rassurer quelques lecteurs pour ce qui concerne le niveau de cholestérol. J'ai reçu il y a quelques jours le résultat de mes tests de cholestérol (le premier depuis un an). La question m'intéressait puisqu'en fonction des jours, mon alimentation comprend entre 60 à 75% d'acides gras (essentiellement et forcément saturés et monosaturés), et ce depuis plus d'un an maintenant, et bien souvent une très forte proportion de cholestérol (toutefois le moins possible oxydé). Et bien, mon cholestérol reste toujours en dessous de la limite maximale dite "normale", soit 190 (quoique ce chiffre ne veut pas dire grand chose). Quant au "mauvais" cholestérol, il est vrai que celui-ci a augmenté mais le "bon" cholestérol a quant à lui augmenté proportionnellement beaucoup plus que le "mauvais" cholestérol en sorte que le rapport "mauvais" et "bon" cholestérol s'est encore plus amélioré en un an ! Ces résultats paraissent bien confirmer qu'en cas d'apport extérieur considérable de cholestérol, le foie compense cet apport extérieur en produisant lui-même moins de cholestérol. En d'autres termes, je n'ai absolument aucune raison de ne pas continuer ce régime.
  21. D'après ce que j'ai pu lire en son temps, cette pratique est "à la mode" chez les gay américains. Une fois (prétendument) "infectés", ils ne devraient plus se retenir sexuellement parlant (lol). Personnellement, ce que je trouve triste dans l'affaire, c'est qu'aucun d'eux ne contracte de "VIH". En revanche, en essayant coûte que coûte de se faire (prétendument) "contaminer", ils adoptent des pratiques sexuelles qui auront pour effet d'augmenter les chances d'obtenir un test dit "VIH" positif. Comme par exemple la pratique sexuelle de la réception anale de sperme à répétition, sperme en outre déjà fortement oxydée puisque les "donneurs" sont déjà séropositifs. Si seulement ils savaient qu'il n'y avait pas de "VIH", cette "mode" des Bug Chasers prendrait fin. Ils comprendraient justement que c'est justement parce qu'ils ne se réfrènent plus sexuellement parlant et font tout et n'importe et quoi que non seulement ils deviennent séropositifs mais qu'en outre, ils le restent !
  22. wallypat

    Guérir le Sida!

    Nous savons qu’en matière de sida et de séropositivité, l’usage d’antioxydants est assurément utile, voire même absolument nécessaire. Parmi ceux-ci, on trouve entre autres la vitamine E et le sélénium. A cet égard, il est utile de lire cette instructive réfutation. Il faut en effet savoir qu’une organisation américaine de lutte contre le cancer (qu’il faudrait en réalité appeler « de défense du cancer » [lol] vu qu’elle fait tout ce qu’elle peut pour promouvoir l’utilisation toujours plus étendue des chimiothérapies et autres radiothérapies [qui, déjà par elles-mêmes, causent bien plus de cancers qu’elles n’en guérissent !], et dénigrer toute thérapie naturelle) a initié il y a plusieurs années une étude afin de savoir si la consommation de vitamine E et/ou de sélénium, le tout contre placebo, pouvait réduire le risque de survenance de prostate, comme le suggèrent d’ailleurs de nombreux naturopathes (quoique ces deux nutriments ne constituent certainement pas une solution suffisante par elle-même), sur base d’innombrables études scientifiques précédentes. Après quelques années, cette association de défense du cancer décide de suspendre l’étude en question car il s’avère que l’on constate aucune diminution des cas de cancer de prostate, et pire encore, dans le groupe ne prenant que la vitamine E, il semblerait qu’il y ait un peu plus de cancer de la prostate que dans le groupe placebo. Conclusion sous-jacente, qui n’étonnera personne sur ce forum : les vitamines seraient dangereuses pour la santé ! Tel est bien sûr la devise de Big Pharma, laquelle a déjà assuré un maximum de publicité à cette étude afin de décourager l’usage des vitamines … et promouvoir ces propres médicaments, antibiotiques et autres drogues dites « antirétrovirales ». L’étude citée ci-dessus, quoique parcellaire, constitue déjà une excellente réfutation. Alors en résumé : Cette étude a été faite de telle façon qu’il était certain qu’elle déboucherait en tout état de cause sur une conclusion négative pour les vitamines, ce qui n’est pas étonnant dès lors que cette étude est financée par une association directement liée aux entreprises pharmaceutiques et faisant la promotion des toxiques et dangereuses chimiothérapies. En effet, concernant la vitamine, on constate que la forme utilisée n’était pas une forme naturelle de vitamine E, et encore moins la forme naturelle de vitamine E connue pour ses puissantes propriétés anticancéreuses, mais bien une forme entièrement artificielle, synthétique, chimique et bon marché de la vitamine E, soit une forme de vitamine E qui n’apportera aucun « plus » à l’organisme et qui, au contraire, épuisera dans une certaine mesure l’organisme afin de (tenter de) l’assimiler. En d’autres termes, il ne fallait s’attendre à une quelconque diminution des cas de cancer de la prostate avec cette forme de vitamine E ! Au contraire, vu la très mauvaise qualité de cette forme de vitamine E, le risque de cancer de prostate pourrait au contraire être augmenté. Quant au sélénium, la forme administrée était en revanche la meilleure, mais deux problèmes se posent tout de même. Premièrement, la dose administrée quotidiennement n’était pas élevée. Deuxièmement et surtout, cette étude ne fait pas la distinction entre les personnes qui sont sous statines (soit le poison médicamenteux destiné à faire baisser [et on se demande pourquoi] le cholestérol, les personnes les prenant étant grosso modo du même groupe d’âge que ceux courant le risque le plus élevé de cancer de la prostate) et ceux qui ne le sont pas. Or les statines sont connues pour bloquer le mode d’action du sélénium, sans oublier que plusieurs études scientifiques ont récemment démontré que les statines, par elles-mêmes, accroissent le risque de cancer (par au moins deux mécanismes, à savoir que sur le long terme, les statines sont toxiques pour l’organisme, entre autres par la déplétion du coenzyme Q10 qu’elles causent, outre le fait que le cholestérol … protège du cancer, protection qui diminue à mesure que le cholestérol de l'organisme diminue !). Conclusion : plus que jamais, la consommation de vitamines et d’antioxydants s’impose. Encore s’agit-il de consommer les bonnes formes de vitamines (que l’on retrouve d’ailleurs rarement en pharmacie !).
  23. A ce sujet, le lecteur anglophone trouvera ici plusieurs piqûres de rappel du Perth Group datées du 28 octobre 2008, ridiculisant, s'il en était encore besoin, l'attribution de ce prix Nobel. Analysis and commentary on Montagnier's scientific publications in regard to the 2008 Nobel Prize in Medicine
  24. On a déjà parlé de cette problématique dans quelques posts de la première page de ce topic. L'affirmation du caractère prétendument essentiel a été réfutée dès 1948, dans une expérience où des rats privés d'acides oméga 3 et 6 virent les symptômes prétendument attribués à cette carence ... disparaître lorsqu'on leur administra des vitamines du groupe B, en particulier la vitamine B6 (dont plusieurs études ultérieures ont visiblement montré qu'elle était indispensable à la formation de la mead acid). On rappellera que la plupart des huiles végétales sont riches en vitamines et minéraux de toutes sortes en sorte que (et comme suggère cette étude de 1948, interprétée a posteriori car la mead acid ne fut découverte qu'en 1952) les symptômes prétendument attribués à une carence en acides gras polyinsaturés sont en fait des symptômes d'une carence en certaines vitamines, en particulier en vitamines B. On rappellera par exemple que les problèmes de peau et d'ongles causés par une carence en vitamines B6 sont fortement semblables et même identiques aux problèmes de peau et d'ongles prétendument attribués à une carence en acides gras polyinsaturés. Au surplus, comme signalé dans des posts antérieurs, à supposer même que la consommation d'oméga 3 et 6 serait essentielle à la santé (chose qui n'a pourtant jamais été prouvée sur un plan scientifique, in vivo), la quantité (supposée) nécessaire est à ce point basse que le régime préconisé dans ce topic suffit largement pour apporter cette quantité (fortement) minimale d'acides gras polyinsaturés (par exemple, l'huile de noix de coco, l'aliment le plus riche en acides gras saturés, comprend 1% d'acides gras polyinsaturés) car il est strictement impossible de ne pas consommer des acides gras polyinsaturés oméga 3 et 6, du moins à des quantités relativement infimes. Enfin, à la fin de ton post, tu reprends l'argument des (parfois "bonnes") prostaglandines (obtenues à partir de l'acide arachidonique) avancé par Mary Enig. Tu en trouveras une longue réfutation, en anglais, ici : http://groups.msn.com/TheScientificDebateF...678476707102118 En résumé, il est vrai que certaines prostaglandines obtenues à partir de l'acide arachidonique ont des propriétés anti-inflammatoires et effectuent certaines fonctions physiologiques dans l'organisme. Ceci ne prouve cependant pas qu'un organisme privé de telles prostaglandines n'est pas en mesure de remplir ces mêmes fonctions physiologiques par d'autres biais (comme celui de la mead acid, comme prouvé dans l'expérience précitée de 1948), et avec le net avantage de ne pas s'encombrer des extrêmement nombreuses et dangereuses prostaglandines inflammatoires produites également à partir de ce même acide arachidonique. Au surplus, comme signalé dans un précédent post, la mead acid possède par lui même des propriétés anti-inflammatoires, visiblement bien plus puissantes que les quelques (rares bénéfiques) prostaglandines anti-inflammatoires produites également à partir de l'acide arachidonique.
  25. Le régime préconisé dans ce topic a pour objet d'obtenir un corps ayant le moins possible d'acides gras polyinsaturés de type oméga 6 et 3, dont le plus dangereux est justement l'acide arachidonique, mentionné dans l'article anglais cité. Il n'est pas étonnant que la maladie d'Alzheimer connaisse depuis deux à trois décennies une augmentation toujours plus élevée vu que la consommation d'acides gras polyinsaturés continue toujours à s'élever. On a tellement diabolisé les acides gras saturés que sur les prétendus conseils des nutritionnistes, les gens se mettent à consommer à profusion des oméga 6 et 3... Les lecteurs de ce topic savent que cela ne constitue nullement une solution et aggrave ou même cause au contraire les problèmes de santé !
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