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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Oui, effectivement, j'ai utilisé le mauvais terme. En fait, je voulais dire "chrétien", et non "catholique". Lorsqu'on examine cette carte mondiale des religions, on constate bien que la religion musulmane est minoritaire en Afrique et se concentre essentiellement dans le nord de l'Afrique, le reste étant essentiellement chrétien.
  2. Je pense que dans ces pays-là (qui correspondent grosso modo à la partie Nord de l'Afrique, sauf erreur de ma part), ONUSIDA ne peut forcément faire que la promotion de l'usage du préservatif. En revanche, et toujours sauf erreur de ma part, l'Afrique centrale et du Sud est surtout catholique et non musulmane. C'est justement dans ces pays-là (qui sont également parmi les plus pauvres du monde, surtout dans l'Afrique Australe) que les taux de prévalence "VIH" sont les plus élevés. ONUSIDA y fera donc la propagande bien zélée du préservatif et de la circoncision.
  3. Cette question a déjà été analysée, entre autres dans ce post-ci. En loccurrence, le séronégatif en question a toutes les chances davoir un nombre de lymphocytes T4 en dessous de la norme, comme déjà expliqué dans diverses (mais rares) études effectuées sur des séronégatifs et relatées entre autres dans cet article-ci (en anglais). Pour le surplus, je me permets de renvoyer au très long post cité ci-dessus.
  4. Personnellement, je nen vois pas trop lintérêt vu que les considérations qui précèdent relatives à la charge « virale » existante chez les séronégatifs sont déjà admises et intégrées par lorthodoxie du sida elle-même. Cette expérience ne saurait donc émouvoir de quelque façon que ce soit lorthodoxie du sida. Quant à la question du génotype, ce nest finalement rien dautre que la question de lisolation du prétendu « VIH ».
  5. Cette expérience a déjà été faite quelques fois, entre autres aux USA, par la fondatrice de l'association www.aliveandwell.com, comme j'ai pu le lire il y a quelque temps. En l'occurrence, dans le prélèvement de sang séronégatif, on peut - parfois - trouver une charge "virale" plus élevée que dans le prélèvement de sang séropositif. D'ailleurs, il est vivement conseillé par les autorités orthodoxes elles-mêmes de ne pas diagnostiquer une "séropositivité" avec uniquement la charge "virale" vu qu'on en trouve aussi chez des séronégatifs. L'étalon-or (sic !) de la "confirmation" de la "contamination" par le "VIH" reste toujours le test dit "VIH", la charge virale ne pouvant servir qu'à "confirmer" la positivité d'un test "VIH", selon l'orthodoxie du sida.
  6. Nimporte quoi, à commencer par des débris cellulaires. Daprès ce que jai lu, les génotypes ne sont en définitive que des séquences génétiques. Cest exactement comme si tu faisais un procès en paternité contre une personne (ou « VIH ») avec des séquences génétiques dont on ignore si elles sont humaines (rétrovirales) et ne proviendraient pas dun singe par exemple, ou de nimporte quoi dautre. Oserais-tu faire un procès en paternité avec un tel matériel ? Certes, ces séquences génétiques pourraient être retrouvées contre le présumé père (ou « VIH ») mais cela ne sera jamais la preuve que cest bien réellement le père (ou « VIH » contaminateur) faute davoir déjà pu trouver préalablement que les séquences en question sont déjà bien dorigine humaine (ou celles dun rétrovirus exogène « VIH »). Cest pourtant ce que fait lorthodoxie du sida avec le « VIH », entre autres pour prouver la soi-disant transmission sexuelle de la séropositivité. Mais il ne pourra en être ainsi que si et seulement si il est déjà préalablement prouvé que les séquences en question sont bien originaires dun rétrovirus exogène « VIH ». A défaut de cette première preuve, un génotype de "VIH" identique entre un pseudo contaminateur et un pseudo contaminé au « VIH » par exemple ne pourra JAMAIS servir à prouver une quelconque transmission sexuelle du « VIH », ni bien sûr à prouver l'existence du "VIH".
  7. Parce que lorthodoxie du sida considère que les génomes de « VIH », obtenus par diverses techniques génétiques, sont bien réels et correspondent à de véritables rétrovirus « VIH ». Cest pourtant perdre complètement de vue que les tests génétiques ne peuvent être utilisés pour isoler le « VIH » que si et seulement si la preuve a déjà été faite que les génomes en question sont bien ceux de rétrovirus « VIH » retrouvés chez un sidéen, et pas dautres choses. En dautres termes, que si et seulement si le « VIH » a déjà été isolé une première fois chez un sidéen et que lon a ainsi prouvé son existence.
  8. Le Perth Group ne dispose certainement pas des moyens financiers de faire une telle tentative disolation, déjà que ses membres ont assez de mal à se procurer des ouvrages scientifiques. Tout largent de la recherche part dans le camp de lorthodoxie du sida. En outre et sans doute surtout, il nappartient pas au Perth Group ni à quelque dissident que ce soit de prouver que le « VIH » nexisterait pas. En effet, et comme cela a toujours été dusage en matière scientifique, la règle veut quil appartient à celui qui invoque une théorie, ici lhypothèse rétrovirale, den apporter la preuve, cest-à-dire disoler le « VIH » (tout comme depuis 1981, le Perth Group na cessé dapporter des preuves pour asseoir son explication du stress oxydatif comme cause du sida, preuves qui nont cessé de se multiplier jusquà nos jours, la meilleure dentre elles étant sans doute la circonstance que les prédictions fondées sur cette explication se sont entre-temps réalisées, contrairement aux prédictions de lhypothèse rétrovirale). La dissidence na quà constater que les preuves apportées par lorthodoxie du sida en vue de prouver lexistence du « VIH » sont tout simplement insuffisantes, peuvent sexpliquer autrement (tout particulièrement en application de la théorie du stress oxydatif) et ne prouvent pas une telle existence. Au surplus, de telles isolations ont déjà été tentées. Que lon pense aux « isolations » de Montagnier en 1983 et de Gallo en 1984. Lexamen attentif de ces deux tentatives disolation aboutit à la conclusion que ces deux « isolations », pourtant le résultat dun « Effort de Romains » (comme la dit Montagnier dans une célèbre interview de 1997), sont la démonstration même quaucun « VIH » na pu être isolé, les trois preuves apportées (particules dapparence rétrovirale dans une culture, transcriptase inverse et réaction - du moins, parfois - entre certaines protéines et certains anticorps présents chez les sidéens) nétant pas spécifiques des rétrovirus, et encore moins dun nouveau rétrovirus, et faute de pics de la moindre particule dapparence rétrovirale dans le gradient de densité 1,16 mg/ml spécifique des rétrovirus. Enfin, de manière générale, à quelques reprises, lorthodoxie du sida a tenté depuis lors disoler du « VIH » depuis le plasma de sidéens ayant pourtant une charge virale astronomique. Ce fut chaque fois et « bizarrement » un échec cuisant ! Bref, lhypothèse rétrovirale du sida aurait déjà dû être enterrée dès 1984, cest-à-dire en même temps que la prétendue isolation réalisée par Gallo !
  9. Il faudrait déjà avoir préalablement prouvé son existence. Serais-tu donc en mesure de relever cette gageure ? Si oui, merci de nous communiquer les références d'au moins un article scientifique ayant isolé un rétrovirus "VIH" chez ne fût-ce qu'un seul sidéen. Et je dis bien "isoler" ! Donc, pas des marqueurs, des indices, ou que sais-je encore, qui peuvent en fait représenter n'importe quoi ... faute d'une photographie au microscope électronique in vivo d'un nouveau rétrovirus "VIH" et vu que ces marqueurs, ces indices, etc... n'ont jamais été spécifiques des rétrovirus et encore moins d'un nouveau rétrovirus. On a déjà expliqué ces différents cas. Ceux-ci ne prouvent absolument rien. On n'isole pas un nouveau rétrovirus en se fondant sur les symptômes de différentes maladies, au surplus non nouvelles. Bien plus important encore, la positivité d'un test "VIH" n'est JAMAIS la preuve d'une contamination par le "VIH". D'innombrables facteurs peuvent les faire réagir positivement. Ces facteurs sont justement surabondants dans les groupes à risque de sida, en sorte que même chez eux (et je dirais même plus : surtout chez eux !), le "VIH" est parfaitement inutile pour expliquer le sida, en particulier lorsqu'on constate que le "VIH" n'a jamais été isolé chez un seul malade. Ces facteurs existaient également avant 1981 et il n'y a donc rien d'étonnant de constater que le sang conservé de certaines personnes ayant vécu avant 1981 puisse réagir positivement au test appelé par erreur "VIH", si justement ces personnes avaient été exposées à certains de ces facteurs. On pourrait remonter aussi loin que l'on veut, un résultat positif ne prouvera toujours pas que le "VIH" serait apparu avant 1981. Qui sait : peut-être que le sang d'une momie égyptienne réagira aussi positivement. Cela ne sera jamais la preuve qu'elle aurait été contaminée par le "VIH". Voire même le sang d'un homme de Cro-Magnon ... Je conclurai en rappelant que l'on ne déduit pas l'existence d'un nouveau rétrovirus exogène à partir de considérations historiques, économiques, épidémiologiques, sociales, touristiques, ... mais bien en premier lieu parce que ce nouveau rétrovirus a été isolé chez au moins un malade. Donc, pas d'isolation, pas de preuve de l'existence du "VIH". Toutes les autres considérations ne permettront jamais de remédier et de combler cette lacune qui est non seulement fondamentale mais surtout rédhibitoire de l'hypothèse rétrovirale elle-même, d'autant plus si ces considérations peuvent elles-mêmes être réfutées et/ou être expliquées autrement.
  10. Tu peux également lire ce post. Sinon, on ne trouve pas les sarcomes de kaposi que chez les seuls séropositifs gay consommateurs de drogues récréationnelles, tout particulièrement de poppers. On peut également en trouver dans d'autres secteurs de la population (séronégative), comme cela a toujours été le cas d'ailleurs : des personnes âgées, des personnes ayant subi une transplantation d'un organe, etc...., bref des personnes exposées à des facteurs immunodépressifs (vieillesse, médicaments donnés pour tolérer la transplantation, ...). Pour le reste, je te renvois tout particulièrement au post cité ci-dessus (et dont il est d'ailleurs fait référence dans la synthèse).
  11. Lire par exemple ce post, celui ou encore celui-ci. Comme je viens de la signaler ci-dessus, il faut en réalité faire beaucoup de recherches sur le sujet. Mais étant donné que tout l'argent disponible est consacré à la conception de présumés et bien coûteux "antirétroviraux", on ne paraît pas prêt à faire de réels pas de géant en la matière. La situation est d'autant plus compliquée que les agents oxydant paraissent être en mesure de causer des dommages irréversibles à l'organisme, ce qui pourrait peut-être (voire même très vraisemblablement) nécessiter la prise d'un traitement permanent, quel qu'il soit. Il semble en tout cas que revenir en arrière est plus difficile pour ceux qui ont déjà fait un sida digne de ce nom, du moins quand cela est possible. Bref, on est quand même dans un grand flou dans la matière, et la perpétuation de l'absurde hypothèse rétrovirale n'arrange certainement pas les choses.
  12. Jaimerais bien taider davantage mais je ne mestime pas compétent du tout, dautant plus que je ne souffre pas dhépatite C. Je voulais juste signaler lexistence de solutions alternatives, qui ne fonctionnent certainement pas à tous les coups, mais après tout, cest également la même chose de linterféron. Je te conseillerais de consulter par exemple un naturopathe. Il pourra très probablement bien mieux te conseiller sur le plan pratique.
  13. Toute personne prétendument "contaminée" par le tout aussi prétendu virus de l'hépatite C devrait sans doute s'intéresser de très près à cette petite étude datant de 1999 dont personne ne parle visiblement (et pour cause, cela est de nature à porter atteinte au fonds de commerce des hépatologues !), avant de se lancer dans l'aventure médicale de l'interféron (dont la médecine ne sait d'ailleurs toujours pas trop bien comment elle fonctionne contre le prétendu "VHC" !). A compléter d'ailleurs avec les informations retrouvées ici : Trois personnes atteintes de "VHC" étaient manifestement à un stade avancé de la cirrhose puisqu'elles étaient en attente urgente de la transplantation d'un foie. En l'occurrence, le médecin a tenté entre-temps le traitement suivant : sylimarine (300 mg trois fois par jour) + sélénium (200 mcg deux fois par jour) + acide alpha lipoïque (300 mg deux fois par jour). Il s'agissait là du traitement de base mais on y a ajouté des vitamines B et C. Au bout de cinq à huit mois de ce traitement, l'état de santé de leur foie s'est à ce point amélioré qu'ils purent à nouveau retravailler tellement ils se sentaient bien et ils purent même éviter la transplantation, celle-ci n'étant même plus nécessaire. On peut s'étonner que depuis 1999, il n'y ait pas eu d'études plus approfondies sur ce traitement. Mais est-ce si étonnant cela ? Car si des études de plus grande ampleur pouvaient confirmer le bien-fondé de ce traitement, ce serait tout simplement la faillite des traitements cent fois plus coûteux à base d'interféron ... et de bien nombreux hépatologues ! On remarquera que les trois substances principales utilisées ont la particularité de faire augmenter le niveau de glutathion au niveau du foie. Or il existe justement une corrélation extrêmement forte entre carence en glutathion et cirrhose du foie prétendument causée par le "VHC". Notons enfin que depuis 1999, la science a fait des progrès puisqu'il y a maintenant bien mieux que la sylimarine et l'acide alpha lipoïque : il s'agit respectivement du siliphos et de l'acide R-lipoïque.
  14. Cela ne fait aucun doute bien sûr. Ceci étant, lorsqu'on examine la "pensée" de l'orthodoxie du sida, les antioxydants sont bons, non pas à prévenir le sida, mais bien pour réduire les effets secondaires des trithérapies ! Malgré le peu que tu as dit, il y a visiblement déjà des choses très intéressantes. Tu précises que vous êtes un couple sérodiscordant depuis 20 ans. Cela signifierait donc que ton épouse aurait été déclarée "contaminée" par le "VIH" il y a 20 ans déjà mais qu'elle n'a fait un sida que tout récemment, soit 20 ans plus tard ?! Il est alors très clair qu'elle a très bien fait de ne pas prendre de traitement dit "préventif", dix ans auparavant. Reste qu'il faudrait maintenant savoir pourquoi après 20 ans, elle fait finalement un sida (et quelle maladie précisément d'ailleurs ?). Mais pour cela, on a besoin de beaucoup plus d'infos. Il en va également de même pour ce qui concerne ta prétendue contamination par le virus de l'hépatite C (ce qui n'enlève rien au fait que le foie peut effectivement être en assez mauvais état). A cet égard, je dois retrouver l'info, mais je me rappelle d'un article scientifique datant de 1999 où un traitement basé uniquement sur le sélénium + la sylimarine + l'acide alpha-lipoïque a fait des miracles chez des malades de l'hépatite C, à ce point malades d'ailleurs qu'ils nécessitaient une transplantation de foie (cirrhose en phase ultime). Après 5 à 8 mois de ce traitement (bien peu coûteux comparé à l'interféron et consorts, et bien sûr quasiment sans effets secondaires), ils évitèrent la transplantation, ils purent même recommencer à travailler, les marqueurs enzymatiques du foie étaient revenus à la normale et le foie était en bien meilleur état (disparition de la cirrhose). Lorsque je retomberai sur cet article scientifique (en anglais), je le signalerai.
  15. Evidemment, s'il y a urgence, ce que je ne pouvais pas savoir, il vaut d'abord mieux commencer à traiter par les moyens urgents, soit les traitements dits "antirétroviraux". J'avais juste espéré qu'elle soit au stade asymptomatique.
  16. Est-elle informée de l'existence depuis plus de 20 ans d'une très sérieuse dissidence du sida, qui ne fait que s'amplifier avec les années ? A-t-elle lu la synthèse ? Pourquoi estime-t-elle nécessaire de prendre ce traitement ? A-t-elle déjà été malade ou est-ce un traitement pris dans le soi-disant but de prévenir un futur sida ? A-t-elle été informée que des cas de sida peuvent parfaitement survenir peu de temps après le début d'une trithérapie par un séropositif asymptomatique ? Quelle est son histoire ? A quelle occasion sa séropositivité a-t-elle été découverte ? Mènerait-elle un style de vie immunodépressif ? Etc... Etc...
  17. Etant donné qu’à ce jour, il n’a jamais été possible d’isoler le moindre « VIH » d’un quelconque sidéen, sauf erreur de ma part, le « VIH » en question, manipulé en éprouvette, ne peut être que l’un des prétendus clones infectieux du « VIH », qui sont peut-être des rétrovirus, mais dont il n’a jamais été prouvé que c’est bien du « VIH », ni même d’ailleurs qu’ils sont infectieux au sens même de la définition proposée par l’orthodoxie du sida la plus autorisée (voir le débat qui a opposé pendant deux ans le Perth Group à l’orthodoxie du sida). Sinon, merci pour tes compliments pour le moins dithyrambiques !
  18. Merci beaucoup pour ce bien élogieux compliment ! Toutefois, afin de prévenir d'éventuels quiproquos ultérieurs, je tiens à rappeler que je n'ai aucune formation scientifique sur le sujet, contrairement à certains autres. En revanche, je suis pour le moins très concerné par le sujet et je tâche de lire et de comprendre avec mes propres mots ce que disent et écrivent sur le sujet des scientifiques, et puis de le répercuter sur ce forum.
  19. wallypat

    Conférence

    Je n'avais pas jugé bon de répondre jusqu'à maintenant car j'estimais que ma réponse aurait pu réfréner les élans plutôt que les encourager. J'avais envisagé de répondre en disant qu'en décembre 2003, une très importante conférence s'était déjà tenue sur le sujet au sein même du Parlement Européen, qu'il me paraissait difficile de faire mieux et que je ne voyais donc pas trop l'intérêt d'organiser une conférence d'une bien minime ampleur, avec une audience bien moindre et sans doute avec moins d'orateurs prestigieux que ceux de décembre 2003. Mais au vu des réponses déjà écrites, finalement, je ne suis pas si pessimiste que cela. Globalement, je partage les opinions de Psyence et de Delwere. Ceci étant, je tiens quand même à revenir très fortement sur l'affirmation selon laquelle le débat scientifique n'aurait mené à nulle part. Au contraire, et je m'excuse de devoir insister encore là-dessus, le débat scientifique a d'ores et déjà mené à la faillite complète et à l'écroulement total de l'hypothèse rétrovirale du sida, et très vraisemblablement au triomphe du modèle proposé par le Perth Group. Pour s'en convaincre, il suffit (mais il est bien triste de constater que ce sont des séropos qui font ce boulot, et bien peu de scientifiques orthodoxes du sida) de lire le récent débat scientifique qui a opposé pendant deux ans le Perth Group aux plus féroces des orthodoxes du sida (et pour ceux qui sont pressés, ils peuvent lire ce résumé) pour comprendre que l'hypothèse rétrovirale du sida a fait long feu. Après avoir lu cela, il est tout simplement impossible de décemment encore pouvoir affirmer sans peur du ridicule que le sida serait causé par le "VIH" ou même que l'existence du "VIH" aurait été prouvée. Et au sujet de cette existence, il n'est nullement exagéré de dire que les preuves de l'existence de Dieu sont infiniment plus solides que celles de l'existence du "VIH". Dès lors que l'existence de Dieu est pourtant remise en question par une partie importante de l'humanité, que penser alors de l'existence du "VIH" ? En deux ans, l'orthodoxie du sida ne fut pas en mesure de réfuter les principales critiques formulées par le Perth Group, rendant ainsi risible l'idée même que le sida puisse être causé par le "VIH". Des orthodoxes du sida qui suivaient ce débat sans intervenir, loin de venir en aide à leurs compagnons d'infortune (ce qui aurait pu mettre un frein aux critiques du Perth Group), n'ont eu de cesse de faire pression sur le British Medical Journal pour mettre fin à ce premier et historique débat scientifique, ce qu'ils sont finalement arrivés à faire au bout de deux ans. En d'autres termes, la seule solution trouvée par l'orthodoxie du sida ne fut pas de tenter de réfuter les arguments du Perth Group (faute d'y être arrivé), ce qui aurait constitué la voie royale pour mettre un hola sans doute définitif à la dissidence du sida, mais bien de censurer le débat. Ceci prouve à suffisance combien l'hypothèse rétrovirale du sida ne repose sur rien. Et très honnêtement, et contrairement à l'orthodoxie du sida, je n'ai pas constaté une seule fois que le Perth Group ait esquivé ne fût-ce qu'une seule question apparemment gênante de l'orthodoxie du sida. Le Perth Group s'en est chaque fois sorti, d'ailleurs sans trop de difficulté et bien souvent avec brio. En définitive, le seul moment où j'ai pu constater que le Perth Group se trouvait dans une - bien toute - relative difficulté, ce fut au moment de débattre de la variabilité génomique du supposé "VIH". Mais même sur ce point-là, le Perth Group s'en est également sorti, exceptionnellement sans éclat toutefois. Je ne suis également pas d'accord avec l'affirmation selon laquelle il serait suggéré (si j'ai bien compris) qu'il n'est pas possible de trancher la question au motif qu'il y aurait toujours un moyen d'utiliser les études qui étayent le point de vue considéré. A mon sens, cela n'est possible que si et seulement si les basiques du problème ne sont pas remis en question. Or la force des arguments du Perth Group, c'est de requestionner les basiques mêmes de l'hypothèse rétrovirale du sida, à savoir l'existence du "VIH" et le fait que le "VIH" causerait l'apoptose des lymphocytes T4. Dès lors que ces deux fondements mêmes de l'hypothèse rétrovirale n'ont pas été prouvés (et en deux ans, l'orthodoxie du sida ne fut pas en mesure de les prouver, malgré leur écrasante supériorité numérique sur les quelques membres du Perth Group), il ne peut plus y avoir d'études qui pourraient aller dans un sens ou dans un autre. Il y a en revanche deux certitudes : l'existence du "VIH" n'a jamais été prouvée chez un seul sidéen, et il n'a jamais été prouvé que l'apoptose des lymphocytes T4 est causée par le "VIH". Ces deux certitudes suffisent à elles seules à nier la moindre crédibilité à l'hypothèse rétrovirale du sida. Sinon, pour le reste, je suis globalement d'accord avec les considérations de Psyence et de Delwere. J'apprécie tout particulièrement l'idée de Psyence d'éviter les attaques frontales. C'est bien pour cela que je ne peux m'empêcher de m'énerver lorsque je lis des considérations du genre : trithérapie = mort. Car ce sont des considérations de ce genre qui nous ont certainement fait perdre quelques dissidents et nous ont empêché d'en gagner bien d'autres. Et j'ai constaté que sur des sites orthodoxes du sida, ce sont justement sur des considérations de ce genre que les orthodoxes du sida insistent pour discréditer auprès de leurs propres lecteurs la dissidence du sida. En revanche, je ne transigerai jamais sur le fait qu'il y aurait lieu d'aller mollo sur l'absence de preuve de l'existence du "VIH". Je reste persuadé qu'aussi dur soit-il de l'expliquer, c'est la façon la plus rapide d'en finir avec l'orthodoxie du sida, même si l'explication peut s'avérer, non pas ardue, mais assez longue à expliquer. Sinon, je reste finalement modérément optimiste, et ce grâce à internet. Je pense qu'internet est la voie royale pour continuer à faire connaître la dissidence du sida, d'autant plus que sur internet, l'orthodoxie du sida a perdu le débat depuis bien longtemps déjà. Si en revanche, l'orthodoxie du sida continue encore (mais pour combien de temps encore ?) à donner le change sur les autres modes de diffusion, ce n'est uniquement que parce que la dissidence du sida est continuellement censurée. Raison de plus pour continuer sur internet, à mon avis. Et puis, ne perdons pas de vue que la dissidence du sida de langue française a des années de retard sur celle de langue anglaise et peut même être qualifiée à ce stade-ci de "lilliputienne", ce qui donne ainsi l'impression, sans doute réelle, que l'on n'avance pas tant que cela. Et enfin, une suggestion. Peut-être serait-il intéressant de réétudier l'histoire et d'examiner comment on a pu passer du dogme de la terre plate autour de laquelle tournerait le soleil, à la constatation que la terre est ronde et tourne autour du soleil, et ce avant même que les premiers satellites soient envoyés dans l'espace. Ainsi nous pourrions nous mêmes nous en inspirer pour tenter d'accélérer encore plus le cours des choses.
  20. Malgré tout le respect que j'ai pour toi, je ne vais pas me répéter encore une fois sur le sujet et je renvois au post en question, qui me semble très clair. Ce qui me paraît intégriste et de nature à décrédibiliser complètement la dissidence du sida, c'est bien de continuer à nier, sans la moindre nuance, que les trithérapies n'ont pas permis de diminuer le taux de mortalité lié au sida, et ce malgré de nombreuses études scientifiques qui l'ont clairement montré (et dont j'en ai cité quelqu'uns dans le post en question, même s'il est vrai que certains peuvent être vertement critiqués sur certains points, en particulier l'étude disant que l'interromption de la trithérapie est plus dangereuse que sa continuation). Continuer à nier sans vergogne ce fait fera le lit de nos ennemis, à savoir les négationnistes du stress oxydatif. En revanche, admettre cette évidence mais en l'expliquant autrement que par une quelconque activité antirétrovirale ne pourra que renforcer la dissidence du sida en privant ainsi et une fois pour toute l'orthodoxie du sida de son argument le plus solide envers la dissidence du sida. Pour le reste, il me semble avoir déjà suffisamment prouvé comme cela que je ne suis pas du tout un chaud partisan des trithérapies et que je réserve celles-ci aux cas urgents et désespérés, et en plus, si possible à titre provisoire.
  21. Il est vrai que le "VIH" est considéré par la communauté scientifique comme étant un lentivirus. Il est toutefois bon de rappeler la méthode très "scientifique" utilisée pour parvenir à cette constatation. Les rétrovirus se divisent en trois sous-familles : les oncovirus, les lentivirus et les spumavirus. A leur tour, les oncovirus se subdivisent en particules de types B, C ou D. Ces distinctions sont censées être basées sur la morphologie et les formes de bourgeonnement (notons à toutes fins utiles que cela ne signifie pas pour autant qu'il soit possible d'isoler un nouveau rétrovirus sur base de la morphologie et/ou du bourgeonnement car on trouve dans les cultures des sidéens des tas de particules qui peuvent ressembler à certaines variétés de rétrovirus et qui peuvent bourgeonner ... mais qui ne sont pas pour autant des rétrovirus). En 1983, Montagnier déclara que les particules prétendument "VIH" retrouvées dans les cultures (rappelons encore une fois qu'il est pourtant impossible d'isoler un rétrovirus sur base de la morphologie, tout particulièrement dans une culture, et que les particules en question peuvent en réalité être n'importe quoi, faute de réelle isolation : en effet, les cultures de tissus provenant de sidéens contiennent une pléthore de particules ressemblant à des rétrovirus [particules rétrovirus-like] dont le diamètre va de 65 à 250 nm, qui ont des formes coniques ou allongées, avec des noyaux centrosymétriques ou tubulaires, ou même avec des noyaux doubles ou un mélange de noyaux; tout comme les diverses particules supposées être des particules "VIH", aucune de ces particules n'a jamais été purifiée ni caractérisée et, comme le "VIH", leur origine et leur rôle restent purement conjecturels) étaient morphologiquement de typiques rétrovirus de type C. En 1984, dans une autre prétendue isolation, Montagnier déclara que le "VIH" était morphologiquement semblable aux rétrovirus de type D. Quelques mois plus tard, dans une autre publication, Montagnier déclara que le "VIH" est morphologiquement semblable au rétrovirus EIAV, qui, lui, est un lentivirus ! En 1984, Gallo déclara que c'était une évidence que le "VIH" était une particule de type C, soit un oncovirus. Toutefois, en 1985, ce même Gallo déclara que le "VIH" ressemblait à s'y méprendre à une particule de type D ! D'autres chercheurs déclarèrent ensuite que le "VIH" montre les caractéristiques morphologiques des oncovirus de type C et D, et des lentivirus. Et d'autres chercheurs déclarèrent que le "VIH" était une particule de type B. En d'autres termes, si le "VIH" avait été un nouveau mammifère que l'on aurait découvert, celui-ci aurait en fait été un mammifère d'une nouvelle espèce étant à la fois homme, gorille et ourang-outang ! Finalement, ce ne fut que par consensus que la communauté scientifique décida de considérer le "VIH" comme un lentivirus, au motif que l'on avait constaté qu'il pouvait se passer plusieurs années entre la prétendue "contamination" par le "VIH" et le sida. Or, la désignation "lentivirus" est censée être une description morphologique, et non une désignation fonctionnelle ! Que penser finalement lorsqu'on se rend compte qu'en fait, la preuve n'a jamais été apportée jusqu'à ce jour que les particules retrouvées dans des cultures provenant de sidéens sont bien du "VIH" ! Ce qui bien sûr permet de mettre définitivement à mal la théorie selon laquelle le "VIH" serait la combinaison de je ne sais quels deux lentivirus. En revanche, le vaccin contre l'hépatite B est bien connu pour pouvoir - parfois - rendre positif le test appelé par erreur "VIH". Cela ne signifie évidemment pas pour autant que le vaccin contre l'hépatite B aurait contenu du "VIH". Mais sinon, très intéressant comme témoignage !
  22. Comme expliqué dans mon précédent post, je nexclus pas que lauto-vaccin puisse éventuellement avoir une portée thérapeutique mais limitée. Ce caractère limité sexplique par le fait quil ne fonctionne surtout que chez les séropositifs asymptomatiques, et visiblement pas chez les personnes malades. Dès lors, le passage éventuel à la séronégativité nest pas si étonnant que cela, à moins bien sûr de croire que la séropositivité est le signe dune infection par un rétrovirus « VIH ». Au surplus, ce caractère thérapeutique limité, prétendument basé sur le modèle rétroviral, peut sexpliquer tout à fait autrement, par exemple et peut-être par un effet antibiotique quelconque et/ou un effet de renforcement du système immunitaire. Pour ma part, je ne parlerai plus de ce sujet, faute de source scientifique réellement fiable. Le jour où une étude avec placebo sera réalisée (du moins, à supposer que cela soit réalisé un jour) avec cet auto-vaccin et à supposer que cette étude constate effectivement une certaine efficacité thérapeutique, il sera alors opportun den reparler. Mais déjà le simple fait que cet auto-vaccin ne soit réellement efficace que chez des séropos asymptomatiques me fait penser quau mieux (et encore), cet auto-vaccin a pour effet de stimuler le système immunitaire (exactement comme les auto-vaccins administrés aux animaux), ce qui peut plus facilement entraîner un retour à la séronégativité. Entre autres, en supprimant certaines infections, et pourquoi pas, justement celles qui ont causé la séropositivité. Lusage de cet auto-vaccin pourrait donc provoquer un passage à la séronégativité, entre autres par ce biais-là. Mais jestime que lon est en plein flou et même dans le néant absolu, faute détudes scientifiques. Et à ce jour, cest surtout la croyance que le sida est causé par le « VIH » qui donne une certaine crédibilité, du moins purement apparente, aux travaux du professeur Ngu, et absolument rien dautre, si ce nest sans doute une certaine naïveté, la peur de la population face à cette prétendue épidémie de "sida"... et un très bon plan marketing des autorités camerounaises.
  23. Bon. J'ai tâché de faire quelques recherches sur internet sur le Professeur Ngu. J'ai découvert avec stupéfaction (car je parlais justement il y a quelques jours de ce sujet, dans ce post-ci) qu'il prétend avoir mis au point un auto-vaccin contre le "VIH", lequel auto-vaccin est personnalisé chez chaque patient à partir de souches "virales" présentes chez le patient et aurait pour effet d'améliorer les marqueurs de l'"infection" par le "VIH", voire même de guérir du sida (on entend par "guérir" le passage à la séronégativité). L'analyse du très peu de choses que j'ai pu retrouver sur le sujet m'amène à conclure que le professeur en question est certainement sincèrement persuadé que l'amélioration des marqueurs de l'infection est due à son auto-vaccin, mais qu'en réalité, cette amélioration trouve ses causes dans bien d'autres choses, à commencer par l'effet placebo. A mon avis, le professeur Ngu ne mérite nullement les articles dithyrambiques qui lui sont consacrés, même si je ne doute pas un seul instant que le professeur en question n'est pas un charlatan ou de mauvaise foi. Car l'affirmation selon laquelle l'auto-vaccin serait la cause de l'amélioration, généralement des marqueurs de l'"infection" par le "VIH", ne repose sur pas grand chose, si pas sur rien du tout ! Voyons rapidement cela d'un peu plus près. 1) En faisant une recherche sur pubmed, je n'ai trouvé qu'un seul article scientifique, très ancien puisque datant de 1997 (un résumé en plus), consacré à l'auto-vaccin du professeur Ngu. On le retrouvera en cliquant ici. En définitive, on y apprend juste que l'auto-vaccin est préparé à partir des souches "virales" prélevées sur les patients. Et encore, tout cela est de la théorie, on ne sait strictement rien de l'effet réel de cet auto-vaccin. En d'autres termes, extrême pauvreté (un seul article, extrêmement théorique au surplus) des références scientifiques consacrées à l'auto-vaccin du professeur Ngu. On pourra certes arguer du fait qu'il ne dispose pas de beaucoup de fonds. N'empêche, il aurait au moins pu déjà faire, et cela ne coûte pas cher du tout, une étude avec placebo et double aveugle, même à une toute petite échelle. On en aurait alors eu le coeur net. Il est étonnant qu'après plus de 15 ans de cet auto-vaccin, ce professeur n'ait jamais réalisé ce genre d'étude, même à une petite échelle. Comme nous ne verrons ci-après, on a toutes les raisons de penser qu'avec un placebo, les patients obtiendraient les mêmes résultats. 2) En d'autres termes, pour tenter de se faire une opinion sur le sujet, on doit se contenter de dépêches et petits articles retrouvés sur le net, lesquels dépêches et articles disent invariablement les mêmes choses. Lisez par exemple (les passages reproduits ci-après proviennent de ces deux sources, à moins que je donne une autre source) : - http://www.kametrenaissance.com/Anomah-Ngu.html - http://www.liberte-freedom.net/article.php?id=35 On se rend compte que la prétendue efficacité de ces auto-vaccins est basée avant tout sur des déclarations, et avant tout celles du professeur lui-même. En d'autres termes, le traitement fonctionne avant tout chez les personnes qui ne sont pas ou pas trop malades et qui ont pour seul tort d'avoir réagi positivement, à la suite de divers facteurs, au test appelé par erreur "VIH". Evidemment, dans ces conditions, être nourri et soigné correctement tant physiquement que moralement dans la clinique de ce professeur suffit déjà en soi à expliquer, encore plus facilement (puisqu'en fait, les patients ne sont pas si malades que cela en réalité) la baisse de la charge virale, la hausse des lymphocytes T4 et un certain embonpoint, sans que cela doive s'expliquer par quelque auto-vaccin que ce soit. 5) En d'autres termes, maintenant qu'on a lu ce qui précède, on comprend tout de suite ce que sont en réalité les prétendus bienfaits attribués à cet auto-vaccin. Des camerounais, encore en bonne santé et pas trop malades (voire pas malades du tout), pensent agir comme il faut en faisant un test "VIH". Certains se découvrent "contaminés" par le "VIH", quoiqu'ils soient encore pour la plupart en bonne santé (rappelons encore que les personnes de race noire ont sept fois plus d'anticorps que les personnes de race blanche, ce qui augmente encore plus le risque d'être déclaré séropositif). Le choc de cette nouvelle et la propagande aidant provoqueront sans trop de difficulté un effet nocebo chez ces tout nouveaux séropositifs, avec fort risque de baisse corrélative des lymphocytes T4 et hausse de la prétendue charge "virale". Ils reprennent toutefois espoir et ont à nouveau le moral car ils entendent ensuite qu'un professeur aurait soigné voire même guéri des sidéens (ou disons plutôt des séropositifs encore en assez bonne santé, et dont les lymphocytes T4 augmenteraient en raison du prétendu auto-vaccin). L'effet placebo causé par l'auto-vaccin aidant, soignés et bien nourris dans la clinique du professeur, le moral des patients augmente. Par exemple, le simple fait de savoir que la prétendue charge virale a nettement baissé peut réduire les problèmes émotionnels et psychologiques tels que l'inquiétude et la dépression qui peuvent être graves chez les gens diagnostiqués positifs au "VIH". De même, augmenter le bien-être psychologique et émotionnel peut favoriser divers comportements de santé tels que l'exercice, la bonne nutrition, le soin médical amélioré, et le fait de prendre soin de soi. Dans ces conditions, pas étonnant que les lymphocytes T4 puissent augmenter et la charge "virale" baisser. Nul besoin d'un auto-vaccin pour expliquer cela. Mais à cause de la psychose et d'une certaine naïveté, tout cela est mis sur le compte de l'auto-vaccin. 6) Ne perdons également pas de vue que les patients en question n'ont pas la "chance" d'être sous drogues antirétrovirales. Or, en matière de sida nutritionnel, on peut réellement se demander à quoi celles-ci pourraient bien servir ... sauf à empoisonner encore plus les séropositifs africains, avec encore bien moins d'effets positifs que pour le sida occidental. Pas étonnant que les patients en question aillent plutôt mieux, d'autant plus si en plus leur séropositivité vient d'être découverte et qu'ils ne sont pas si malades que cela en fait ! 7) En conclusion, on peut dire qu'il n'y a vraiment pas beaucoup de raison de parler des prétendues bénéfices cliniques de l'auto-vaccin de ce professeur : pas la moindre étude scientifique, et encore moins des études scientifiques contre placebo, et que des témoignages prétendant attribuer l'amélioration des marqueurs sur le compte de l'auto-vaccin mais qui font fi de toutes les autres variables : soins nutritionnels, cliniques, psychologiques et effet placebo lié à l'auto-vaccin. 8] Je ne puis toutefois pas exclure que l'auto-vaccin en question puisse malgré tout jouer un rôle bénifique sur le plan clinique, non lié à un effet placebo, mais n'ayant toutefois aucun rapport avec une "contamination" par le "VIH". En effet, les auto-vaccins sont surtout utilisés en médecine vétérinaire, en remplacement des antibiotiques. En d'autres termes, les auto-vaccins peuvent avoir les mêmes effets que des antibiotiques (voyez par exemple cette liste impressionnante de maladies pouvant être prévenues chez les animaux grâce aux auto-vaccins). Or on sait très bien que la suppression des infections entraîne corrélativement une diminution de la prétendue charge virale et une augmentation des lymphocytes T4. Il n'y a là vraiment rien de bien fabuleux. En l'occurrence, l'auto-vaccin est personnalisé chez chaque vaccin à partir des prétendues souches "virales" retrouvées chez le patient. Mais nous savons tous déjà qu'il y a bien une chose dont on est sûr, c'est bien que les séquences d'ARN ou d'ADN utilisées ne sont pas ceux d'un rétrovirus "VIH". Ces séquences, partielles, peuvent parfaitement être celles de différents germes infectant les séropositifs africains, dont il est bien connu qu'ils sont porteurs de tas de bactéries, virus et autres germes. On pourrait dès lors imaginer que l'auto-vaccin en question les protège, en tout cas en partie, contre ces mêmes bactéries, virus et autres germes, dont ils sont porteurs, entraînant ainsi la baisse de la prétendue charge virale et une hausse des lymphocytes T4. EN CONCLUSION Beaucoup de bruit pour rien avec ce prétendu vaccin curatif contre le sida ! Et beaucoup de poudre aux yeux, quand bien même ce professeur serait très probablement de bonne foi.
  24. Je profite du passage cité ci-dessus pour signaler que mon médecin nutritionniste (et homéopathe à ses heures également) m'a vivement recommandé de faire des auto-vaccins. J'avoue ne pas très bien comprendre quel est le but poursuivi par les auto-vaccins. De toute façon, je devrai en reparler la prochaine fois avec mon médecin nutritionniste mais j'essaie de glaner des informations sur le sujet. Mon médecin m'a recommandé l'examen de ce site sur le sujet (ce sont d'ailleurs eux qui feront les auto-vaccins en question, du moins si j'accepte) mais je ne comprends strictement rien à l'allemand ! Et je ne trouve pas grand chose d'autre sur le sujet sur internet, sauf en tant que les auto-vaccins concerneraient la médecine ... vétérinaire ! Quelqu'un saurait-il quelque chose sur le sujet ? D'après ce que mon médecin m'a dit, on prélèverait dans mes selles les bactéries pathogènes qui s'y trouvent, puis on ferait des auto-vaccins contre celles-ci, à des doses très fortement diluées (presque homéopathiques). Il faudrait que je me "pique" tous les 28 jours et devrais faire cela à vie. C'est une technique (interdite en France) qui existe depuis la fin du 19ème siècle mais qui est tombée en désuétude à partir du milieu du 20ème en raison du succès des antibiotiques, mais qui reconnaît depuis quelque temps un fort regain d'intérêt en raison des échecs de plus en plus répétés des antibiotiques. La technique des auto-vaccins fonctionnerait plus ou moins sur le même principe que les probiotiques, mais ce serait encore bien mieux que les probiotiques. Je dois reconnaître que je m'en méfie beaucoup mais sans doute parce que je n'ai pas beaucoup d'infos sur le sujet. Mais déjà considérer les bactéries comme pathogènes par nature, cela m'inspire la plus grande méfiance (pour ma part, je pense de plus en plus que certaines bactéries et autres germes peuvent effectivement être pathogènes mais uniquement s'ils sont en mesure de profiter d'une faiblesse du "terrain" : l'inflammation, non endiguée ou prévenue par le terrain, causée par ces germes provoquera alors les symptômes de la maladie [hypothèse à creuser bien sûr]) . Et d'ailleurs, pourquoi faire des auto-vaccins (renouvelés tous les 18 mois sur base d'une nouvelle analyse de selles) contre des bactéries pathogènes retrouvées dans mes selles ... et dont je ne suis quand même pas malade ? Ceci étant, ce n'est pas cher du tout (100 EUR à peine pour 12 mois d'auto-vaccins, soit un auto-vaccin par mois). Et ce serait peut-être dommage de se priver d'une médecine alternative vieille de plus d'un siècle. Mais d'un autre côté, je ne peux m'ôter de la tête ce message - terrifiant - d'Anthea, où l'on constate qu'elle a commencé à avoir à nouveau de sérieux problèmes de santé après une auto-vaccination. Ceci étant, mon parcours médical n'a strictement rien à voir avec celui d'Anthea et mon médecin nutritionniste m'assure qu'à l'examen de mon très bon bilan nutritionnel, ce serait le moment idéal, mon organisme étant extrêmement fort pour le moment. Bref, je suis un peu perdu et tout avis sera le bienvenu. Il est vraiment dommage que je ne sois pas en mesure de comprendre le site cité ci-dessus qui m'a été communiqué par mon médecin nutritionniste. Il y a au moins une chose qui est sûre : l'auto-vaccination n'a strictement rien à voir avec la vaccination classique, ce qui est rassurant. Ceci étant, n'y aurait-il pas non plus dans les auto-vaccins de l'aluminium, du mercure et que sais-je d'autres comme saleté ? Si c'est bien le cas, je serai encore bien moins chaud pour tenter cette technique, d'autant plus que ce serait tous les mois que je m'injecterais ces saletés !
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