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wallypat

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  1. wallypat

    Guérir le Sida!

    Je pense que l'hypothèse retenue, en particulier par Cheminot, est le fait que contrairement à la plupart des personnes âgées, les sidéens ont ceci de commun d'avoir été exposés de façon excessive à des oxydants azotés (dont le prétendu "médicament" AZT est l'un des plus tristes exemples et explique pourquoi on a assisté à une hausse gigantesque des cas de sida à compter de son administration, d'où son surnom de "SIDA sur ordonnance"). Or le mécanisme d'action de l'oxyde nitrique explique justement l'apparition des maladies si particulières qualifiées de "sida" : sarcome de kaposi bien sûr, mais aussi les différentes autres maladies (pneumocystoses, candidoses tenaces et gravissimes, ...) favorisées par la modification de la balance TH1-TH2, modification elle-même due par un déficit de glutathion intracellullaire, déficit en glutathion dû lui-même au fait que l'organisme consomme de façon excessive le glutathion pour combattre les effets délétères des oxydants azotés. Il est dès lors souhaitable de lire le topic consacré au glutathion pour mieux comprendre. Ceci étant, on constate en outre chez la plupart des sidéens qu'ils paraissent généralement bien plus âgés qu'ils ne le sont en réalité, et cumulent ainsi tous les désavantages (ou presque) des oxydants en général.
  2. wallypat

    Guérir le Sida!

    D'autres pourront mieux expliquer que moi, mais cela signifie surtout que le déséquilibre oxydo-réducteur peut à la longue causer des dommages irréversibles à l'organisme, qui ne pourront - vraisemblablement - plus être réparés (dans l'état actuel des connaissances de la science, du moins), même en utilisant les meilleurs antioxydants. Cela peut entre autres expliquer pourquoi certains séropositifs peuvent tomber gravement malades bien des années plus tard. Comme expliqué par exemple dans cet article-ci :
  3. Lespérance de vie ne cesse de diminuer en Afrique parce que la pauvreté et la malnutrition ne font quaugmenter avec les années. Comme par hasard, le taux de sida est justement le plus élevé dans les pays les plus pauvres dAfrique. Pas besoin de « VIH » pour expliquer cela. Idem pour les maladies. Est-il besoin de rappeler quen Afrique, la cause principale du prétendu « sida » nest rien dautre ... que la tuberculose (de mémoire : +/- 60% des cas de sida africain) ! Maladie endémique ayant toujours existé en Afrique et emblématique par excellence de la pauvreté et de la malnutrition. Est-il besoin de rapppeler que les anticorps de la tuberculose (de même que dautres maladies traditionnelles dAfrique, telles que la malaria) ... sont parfaitement en mesure de faire réagir le test appelé par erreur « VIH » ? Dès lors que les cas de tuberculose augmentent de façon exponentielle en Afrique, pas étonnant que les cas de prétendu « sida » augmentent également an Afrique. Concernant lAfrique, merci de lire également le topic consacré au prétendu sida africain (auquel renvoit la synthèse), qui examine en long et en large cette question. Merci de lire la synthèse qui répond déjà pour lessentiel à toutes ces questions, et tout particulièrement les chapitres consacrés à la (prétendue) transmission sexuelle de la séropositivité, à la transmission sanguine de la séropositivité et aux traitements. De façon plus générale, est-il également besoin de rappeler que lon ne prouve réellement lexistence dun nouveau rétrovirus exogène que si et seulement si on parvient à lisoler au moins une fois chez ne fût-ce quun seul (prétendu) sidéen, en non en se basant sur des considérations telles que citées ci-dessus, lesquelles considérations (notamment épidémiologiques et thérapeutiques) peuvent être expliquées tout à fait autrement que par un rétrovirus « VIH », et bien souvent dune façon plus logique, lesquelles autres considérations ne sont au surplus que les seules admissibles faute de navoir jamais pu isoler un seul « VIH » chez ne fût-ce quun seul sidéen ?
  4. wallypat

    Le glutathion

    Deux très intéressantes études (en anglais, comme toujours), dont une très récente, qui n'étonneront aucun dissident du sida mais embarrasseront fortement l'orthodoxie du sida : - <a href='http://www.aidsmap.com/en/news/D7725125-BC68-4D69-AF2F-D7EB1CCA746F.asp' target='_blank'>http://www.aidsmap.com/en/news/D7725125-BC...7EB1CCA746F.asp</a> : la mesure des lymphocytes T4 n'est pas un marqueur fiable de l'évolution vers le sida ! (de la bouche même d'orthodoxes du sida !). Mais cela, on le savait depuis belle lurette ! Et comme la charge "virale" ne le constitue également pas, c'est à se demander comment les experts ès "VIH" peuvent prétendre bien soigner les séropositifs en s'attachant qu'à ces deux seuls (faux) marqueurs. - <a href='http://www.jimmunol.org/cgi/content/full/171/10/5107' target='_blank'>http://www.jimmunol.org/cgi/content/full/171/10/5107</a> : la mesure du niveau de glutathion intracellulaire constitue en revanche un marqueur fiable de l'évolution vers le sida, et la N-acétylcystéine paraît bien constituer la voie royale (et sans quasiment d'effets secondaires) pour faire remonter ce niveau de glutathion. Le niveau de glutathion est à ce point fondamental qu'il est suggéré qu'il soit précisé systématiquement dans les notices des "médicaments" "antirétroviraux" si ceux-ci n'ont pas pour effet de faire diminuer le niveau de glutatathion (ce qui est d'ailleurs souvent le cas, vu entre autres leur toxicité) ! Mon avis personnel : Plus que jamais, les "traitements" appelés à tort "antirétroviraux" doivent être utilisés en tout dernier recours.
  5. Merci beaucoup pour tous ces messages de soutien, que je découvre à l'instant. Mais je compte bien continuer à intervenir, mais certainement bien moins souvent qu'auparavant, et ce sera à l'avenir en priorité contre ceux qui auraient la bien vaine et téméraire prétention de déclarer que l'existence d'un rétrovirus exogène "VIH" aurait été prouvée et qu'il serait la cause du sida.
  6. Avant d'aller plus loin, Cléo, je t'invite vivement à lire par exemple ce long article de 80 pages datant de 1999 du Perth Group (avec bien sûr des références scientifiques à tire-larigot), article consacré justement au fonctionnement de l'AZT (soit exactement ce topic-ci) et d'où il ressort on ne peut plus clairement qu'il n'existe pas la moindre preuve que l'AZT aurait la capacité d'inhiber le "VIH". Quant aux "bienfaits" de l'AZT, merci de lire par exemple cette page-ci. Enfin, de façon plus générale, merci de nous prouver préalablement l'existence d'un rétrovirus exogène "VIH" qui aurait la fantasmagorique capacité d'avoir contaminé les séropositifs et les sidéens. Et concernant plus particulièrement la transcriptase inverse, merci de nous prouver que pour ce qui concerne les séropositifs et les sidéens, celle-ci aurait pour origine un mystérieux (et invisible, même chez un sidéen ayant une charge "virale" de plusieurs millions) rétrovirus exogène "VIH". PS : Je prends maintenant quelques jours de congé. Je n'aurai donc pas l'occasion de répondre rapidement. Mais je suis certain que d'autres ne manqueront pas de le faire, encore bien mieux que moi d'ailleurs.
  7. Bonsoir à tous également. Juste pour dire de ne pas s'étonner si mes interventions se feront plus rares, et ce pour une durée que je ne peux déterminer. Je traverse depuis peu ce que je qualifierais de "tsunami émotionnel et relationnel dévastateur" et je n'arrive vraiment pas à le gérer. Je viens en plus d'apprendre ce soir le décès (pas du sida mais bien un suicide) d'un ami séropositif qui m'est extrêmement proche, pour ne pas dire plus. Tout cela commence vraiment à faire beaucoup trop, même pour moi. Bref, pour le moment, je n'ai vraiment plus le temps de me consacrer autant à la dissidence du sida, voire même plus du tout, et je dois maintenant me consacrer à d'autres priorités. Mais j'interviendrai sans doute de temps en temps, du moins quand j'aurai un peu le moral. Amitiés à tous.
  8. Je pense que pour éviter d'alourdir encore plus la synthèse, il serait plus approprié que Patou (ou n'importe qui d'autre) insère un lien vers ce topic-ci depuis les topics sur doctissimo et sidaventure auxquels renvoit déjà la synthèse, les sujets étant tout simplement identiques si ce n'est le nom du site.
  9. Sauf erreur de ma part, cet article ne fait en définitive et essentiellement que confirmer une étude antérieure. La synthèse collective fait déjà mention de cette problématique et renvoie entre autres à ce post-ci de Cheminot.
  10. wallypat

    Guérir le Sida!

    Il a effectivement été démontré que les protéines de petit-lait sont bien de nature à faire augmenter le niveau de glutathion intracellulaire. On en a déjà brièvement parlé dans ce post-ci (lire plus particulièrement la fin de ce post, le point 9)).
  11. J'ai déjà lu une grande partie des témoignages des experts "VIH". Force est de constater qu'il n'y a pas grand chose de nouveau dans leur témoignage et qu'à peu près tout ce qu'ils disent a déjà été réfuté antérieurement... par le Perth Group en tout cas. Le gros problème, et c'est cette impression que j'ai depuis le début, c'est que pour des raisons de procédure, le contre-interrogatoire des "experts" ès "VIH" n'est pas mené par Eleni Papadopulos elle-même mais bien par un avocat qui ne dispose pas du centième des connaissances de celle-ci. Attention : je ne critique pas le boulot de l'avocat de la défense. Il fait un travail absolument remarquable pour quelqu'un qui n'a aucune formation en la matière. Ceci étant, il n'est pas assez incisif et ne parvient pas toujours à réfuter, comme aurait pu le faire le Perth Group. Le plus souvent, il n'arrive qu'à semer le doute. Ce n'est déjà pas si mal bien sûr, mais cela peut donner ainsi l'impression à certains observateurs (en ce compris sur ce forum-ci) qu'il y aurait des problèmes d'interprétation, ce qui laisserait encore la vie sauve à l'hypothèse rétrovirale. Voilà qui est extrêmement regrettable. Mais j'ai cru comprendre que pour la fin de ce mois, les parties doivent déposer leurs arguments et réfutations finaux. J'ose espérer que le Perth Group trouvera le temps de réfuter un par un, consciencieusement, les quelques rares arguments de l'orthodoxie du sida. En d'autres termes, qu'ils achèveront le travail commencé par l'avocat de la défense. Car le Perth Group peut faire bien mieux que l'avocat de la défense : clouer le bec définitivement à l'orthodoxie du sida. Il faudrait juste leur donner le temps de le faire. Car là, certaines réfutations ne sont rien d'autre que des remises en question, mais sans clore les questions. Ce qui me laisse un goût très désagréable d'inachevé. En tout cas, les témoignages de ces "experts" ès "VIH" m'ont convaincu encore plus (à supposer que cela eût pu encore été possible) que l'hypothèse rétrovirale du sida, c'est vraiment de la foutaise ! Et j'enrage que le monde ne l'ait pas encore compris. PS : N'oublions pas également que la question de l'existence du "VIH" (entre autres questions) est également examinée par la Cour Suprême sud-africaine.
  12. Juste pour signaler que ni Montagnier, ni Gallo n'ont prouvé qu'ils étaient en présence d'une particule transmissible, et encore moins d'une particule infectieuse. Ils ont déduit cela uniquement parce qu'après (beaucoup) d'efforts, ils sont arrivés à "transmettre" dans chaque culture une activité de transcriptase inverse. Ils en ont alors déduit qu'ils avaient bien transmis un rétrovirus de culture en culture. Gallo s'est bien gardé de préciser cette déduction dans son témoignage. Car on sait depuis longtemps que l'activité de transcriptase ne résulte pas forcément d'une enzyme et peut résulter par exemple des conditions de culture (usage d'oxydants multipliant démesurément l'activité de transcription inverse des polymérases cellulaires). Et à supposer même (ce qui ne fut pas le cas) qu'il avait été prouvé que cette activité de transcription inverse résultait d'une enzyme, il n'a jamais été prouvé que cette enzyme était bien le composant d'un rétrovirus "VIH" faute de purification et donc d'isolation de celui-ci. En d'autres termes, ni Montagnier ni Gallo n'ont prouvé qu'ils avaient bien transmis de culture en culture un rétrovirus exogène "VIH". Bref, pas de preuve d'existence du "VIH" faute d'isolation. PS : La transcriptase inverse existe bien sûr aussi dans les rétrovirus endogènes. Donc, oui, contrairement à ce que dit Gallo, cela aurait très bien pu être un rétrovirus endogène (à supposer d'avoir déjà pu prouver que c'était bien un rétrovirus, ce qui n'était déjà pas le cas) puisque Gallo n'a en réalité pas prouvé qu'ils transmettaient effectivement un rétrovirus (exogène) "VIH".
  13. wallypat

    Le glutathion

    Oui, effectivement : voir ici. Je reste toutefois dubitatif quant à sa réelle efficacité; en plus, garder un chewing-gum sous la langue (administration sublinguale), je ne trouve pas cela commode du tout. Et je trouve que c'est cher, très cher même. Bref, pour ma part, j'ai arrêté (depuis longtemps) d'utiliser le chewing-gum au glutathion et j'ai opté pour la N-acétylcystéine (avec vitamines C).
  14. Il me semble qu'on en a déjà parlé et que cette hypothèse reste toujours un non-événement car ne constituant qu'une application incomplète de la théorie du stress oxydatif comme cause du sida. La plupart des infections, si pas toutes, causent par nature du stress oxydatif. Donc, personnellement, je ne vois là rien de bien marquant. Comme par exemple cette citation datant pourtant déjà de 1974, d'où il paraît ressortir que par exemple les infections latentes au cytomégalovirus peuvent causer à la longue une immunodépression. Mullis n'a donc visiblement rien découvert de nouveau mais a au moins le mérite de remettre à l'avant des explications (parmi d'autres, mais ayant en commun le stress oxydatif) déjà existantes bien avant le sida, sans avoir besoin de venir avec je en sais quel rétrovirus exogène "VIH". Ou encore cet article écrit par un autre dissident en 1992 et qui rappelle quelques années avant Mullis les évidences - pourtant déjà bien connues - relevées par ce dernier: Bref, à mon avis, rien de bien révolutionnaire dans la théorie de Mullis.
  15. Mais à vrai dire, Delwere, je suis parfaitement daccord avec la plupart des contradictions que tu as relevées ! Et lhypothèse rétrovirale du sida constitue à cet égard une mine absolument inépuisable dincohérences, de contradictions et autres bizarreries. En revanche, je ne suis pas vraiment daccord avec cette contradiction particulière que tu as relevée et sur laquelle Aixur a insisté. Là, à tout le moins, il convient de sassurer préalablement des pourcentages de fiabilité effective selon le type de rapport sexuel. Alors, cest sans doute difficile à déterminer. Mais à supposer même que cela soit difficile à déterminer, cela implique déjà quon ne peut certainement pas conclure que les rapports anaux réceptifs protégés seraient plus dangereux que les rapports vaginaux non protégés, faute de pouvoir sappuyer sur des données fiables. Et jaime tout particulièrement cette remarque-ci de ta part : Effectivement, si on opte pour lhypothèse rétrovirale, cela me semble difficile à expliquer. Cest peut-être justement pour cette raison-là que je ne trouve pas de pourcentage de fiabilité en la matière et que la seule indication que je trouve généralement, cest que la fiabilité du préservatif serait moins élevée en cas de rapports anaux. Mais cette dernière remarque de lorthodoxie du sida ne constitue toujours pas une indication du pourcentage de fiabilité de lusage des préservatifs pour les seuls rapports anaux, et ne prouve pas que le pourcentage de fiabilité en cas de rapport anal serait moins élevé quen cas de rapport génital.
  16. Selon cette méta-analyse de 2002, le taux de fiabilité de protection du préservatif face au « VIH » est effectivement de 80% : Il est toutefois primordial de constater que ce pourcentage de fiabilité ne concerne que la (supposée) transmission hétérosexuelle de la séropositivité. En dautres termes, ce pourcentage de 80% ne peut pas être utilisé pour ce qui concerne la transmission sexuelle anale, comme la fait Delwere, ce qui est donc susceptible de remettre en question les conclusions qu'il a tirées. Je nai pas (encore ?! Peut-être que ce genre détudes na jamais été faite, en réalité ?!) retrouvé le pourcentage de fiabilité du préservatif contre le « VIH » dans le cadre des relations anales. La première idée qui viendrait en tête serait sans doute que ce pourcentage de fiabilité serait moins élevé (auquel cas la contradiction relevée par Delwere demeure) car il est bien connu que le préservatif a plus de risque de se déchirer lors des rapports anaux. Mais ce raisonnement ne me paraît pas valable car on compare cette fiabilité par rapport aux rapports génitaux : cest un peu comme comparer des pommes avec des poires. Pour évaluer cette fiabilité du préservatif contre le « VIH » en cas de rapports anaux, il faut bien sûr comparer avec des personnes pratiquant, sans préservatif, la sexualité anale uniquement (en dehors de tout rapport génital). Je ne dispose pas de chiffre à ce sujet mais jai de bonnes raisons de penser que cette fiabilité du préservatif (du moins, en terme de pourcentage) en cas de rapports anaux sera supérieure à celle en cas de rapports vaginaux : en effet, les deux types de rapports présentent les mêmes risques de (supposée) transmission du « VIH » (par exemple les MST et, de manière générale, toutes les circonstances pouvant positiver le test appelé par erreur "VIH") mais la réception anale présente en outre un facteur complémentaire pour le moins majeur de (supposée) transmission du « VIH », à savoir la réception anale du sperme lui-même (ce qui nest évidemment pas le cas pour les rapports génitaux). Or le préservatif protège par nature contre ce risque supplémentaire, absent lors des rapports génitaux. Par conséquent, dès lors que lon a de fortes raisons de penser que le pourcentage de fiabilité du préservatif contre le « VIH » en cas de rapports anaux est supérieur à celle en cas de rapports génitaux, il me paraît alors fort probable (essayons par exemple de faire le calcul avec 80% de fiabilité pour les rapports génitaux et 95% pour les rapports anaux, et voyons le résultat) que la contradiction relevée par Delwere disparaisse. Auquel cas, plus que jamais, lusage du préservatif simpose pour réduire les risques de (supposée) transmission sexuelle de la séropositivité en cas de relations anales.
  17. Excellent. Vraiment excellent. Grandiose même. Effectivement, pourquoi considérer que le rapport anal réceptif protégé est une pratique non dangereuse, alors que le rapport vaginal insertif non protégé est considéré comme une pratique à haut risque, vu que les probabilités de devenir séropositif sont plus importantes dans le premier cas ? Le genre de constatation qui va faire mal (... à l'hortodoxie). Très bien vu. Certes. Mais je pense toutefois quil y a une faiblesse dans le raisonnement - au surplus, très intéressant - de Delwere (si je puis me permettre). Pour arriver au paradoxe énoncé, Delwere a considéré comme point de départ que la fiabilité de lusage du préservatif est de 80%, quel que soit le type de relation sexuelle, vaginale ou anale, sauf erreur de ma part. Or, ce pourcentage ne me paraît pas exact et doit être affiné. Que lon opte pour la théorie - risible - du rétrovirus ou celle - plus sérieuse - de lexposition aux agents oxydants comme cause du sida, force est de constater que dans les deux théories, le rapport sexuel anal entraîne un risque de (supposée) transmission sexuelle de la séropositivité plus élevé, dans la théorie orthodoxe parce que le « VIH » pourrait plus facilement contaminer la personne réceptive en raison des parois plus fines de lanus (que dans le vagin), dans la théorie des agents oxydants car la réception anale de sperme est bien plus oxydante que la réception vaginale de sperme. Par conséquent, il faudrait faire ces calculs autrement : - Fiabilité de par exemple 99% du préservatif pour les rapports sexuels anaux ; - Fiabilité de par exemple 61% du préservatif pour les rapports sexuels vaginaux. Ce qui fait donc effectivement une moyenne de 80% de fiabilité du préservatif. Compte tenu de ces nouveaux chiffres de fiabilité, arrive-t-on toujours au même paradoxe ? Bref, il faudrait faire les calculs en tenant des chiffres de fiabilité pour les deux types de relations sexuelles. Je doute très fort que la fiabilité soit la même dans les deux cas.
  18. wallypat

    Le glutathion

    Si dans ton produit "Bétasélen" il y a 100 microgrammes de sélénium par comprimé, il y en a donc plus que dans la version "Sélénium-ACE" dont parle Viduité puisque là, il y aurait 75 microgrammes de sélénium par comprimé. Ceci étant, moi j'ai une version "Sélénium-ACE" où il est indiqué qu'il y a 100 microgrammes de sélénium (et pas 75 microgrammes) par comprimé. Bref, il s'agit de bien lire les notices.
  19. wallypat

    Le glutathion

    Cela signifie 100 microgrammes (pas 75 microgrammes).
  20. wallypat

    Le glutathion

    Voir la synthèse expliquant pourquoi les traitements appelés à tort « antirétroviraux » peuvent améliorer dans une - relative - mesure le métabolisme des sidéens, plus particulièrement le Chapitre VII : Traiter la séropositivité et le sida ---> Les tri- et autres multithérapies. Quant à savoir comment augmenter le taux de glutathion, des solutions sont suggérées dans le premier post même de ce topic. Personnellement, jutilise pour le moment la N-Acétylcystéine, la vitamine C et lacide R-lipoïque. Il va de soi que le but, à terme, est de réduire tout cela, voire même den supprimer.
  21. wallypat

    Le glutathion

    Je prends exactement le même sélénium, du laboratoire Merck, disponible dans n'importe quelle pharmacie (belge, en tout cas).
  22. wallypat

    Le glutathion

    Moi aussi je prends un complément alimentaire appelé « Sélénium-ACE » mais dans le mien, chaque comprimé comprend 100 microgrammes de sélénium et non 75. En tout cas, personnellement, je prends maintenant depuis plus de 5 ans 300 microgrammes de sélénium par jour, en deux ou trois fois, à loccasion des repas de la journée. Je ne sais pas ce que cela vaut (il y a certainement dautres séléniums de meilleure qualité), mais en tout cas, je nai visiblement jamais souffert de carence en sélénium, au contraire même. Si de prime abord 75 microgrammes par jour est peut-être suffisant, plusieurs études semblent avoir démontré quune consommation de 200 microgrammes de sélénium réduisait au moins de moitié le risque de survenance de cancer (chez des séronégatifs en tout cas). Mais là on séloigne, je crois, de plus en plus du sujet de ce topic, à savoir le glutathion.
  23. wallypat

    Le glutathion

    Je ne me lasserai jamais de la lenteur avec laquelle lorthodoxie du sida annonce ses prétendues « découvertes ». En effet, cest au moins depuis les années 90 (si pas depuis la fin des années 80, le Perth Group se demandant dès les années 80 ce quon attendait bien pour administrer des antioxydants aux séropositifs [plutôt que de lAZT]) que limportance tout simplement essentielle et fondamentale du sélénium pour lutter contre le sida a été soulignée. Personnellement, la première fois que jai entendu parler du sélénium, cétait justement dans une feuille de chou belge datant de décembre 2001 et que jai conservée jusquà ce jour. Il y était précisé que la consommation de sélénium réduisait par 20 ( !) le risque dévoluer le sida. Depuis la lecture de cette feuille de chou, jai consommé chaque jour du sélénium, ce qui peut très certainement expliquer - avec dautres facteurs - pourquoi en sept ans, je nai jamais évolué vers le sida, malgré une vie jusquil y a peu guère « vertueuse » (LOL). Bref, rien de nouveau de la part de lorthodoxie du sida.
  24. Euh ... Merci pour cette suggestion qui sapparente à un compliment, mais franchement, il y a des personnes mille fois plus compétentes que moi sur le sujet pour éventuellement prêter main forte au Perth Group, à commencer par certaines personnes sur ce forum même. Sans compter sur la question de la langue, et le fait que je suis juriste, pas avocat. Par ailleurs, je pense qu Eleni Papadopulos et Turner sont évidemment aidés par les 6 ou 7 autres membres du Perth Group et ne souhaitent pas forcément se faire aider ouvertement par dautres dissidents non membres de ce groupes, car ceux-ci peuvent avoir une opinion divergente à celle du Perth Group sur certains points, opinion divergente qui pourrait causer préjudice à la défense. Au sujet justement de la défense, jai lu dans une dépêche que le défendeur est en fait représenté par tout simplement lun des plus grands ténors du barreau australien (bref, l'un des meilleurs avocats du pays) et que pour loccasion (sans doute pour une question de prestige ? Lhomme qui a mis fin - avec le Perth Group - au mythe rétroviral du sida ?), il défend son client gratuitement. Si par extraordinaire le tribunal nacquitte pas le condamné, je ne pense pas un seul instant que ce sera la fin de la théorie du Perth Group, ni même de la dissidence du sida en général. Cela ne sera le cas que si et seulement si le jugement réfute réellement les objections du Perth Group (et bien sûr pas en se référant au « consensus » comme argument). Etant donné que lorthodoxie du sida ny est jamais arrivée jusquà ce jour, je ne vois pas comment elle réaliserait ce miracle aujourdhui. A défaut de réellement réfuter le Perth Group, ce jugement connaîtra vraisemblablement le même sort qua connu la Déclaration de Durban de 2000, laquelle était pourtant censée mettre un terme définitif à la dissidence du sida. On a pu constater quil nen fut rien et fut au contraire loccasion dun renouveau de la dissidence du sida et daccroître sa popularité. Je pense quun jugement de non-acquittement ne réfutant pas réellement les arguments du Perth Group connaîtra le même sort, ne fera quexacerber les tensions existant déjà entre les deux « camps » et rendra encore plus populaire la théorie du stress oxydatif chère au Perth Group. Bref, la dissidence du sida est gagnante dans tous les cas, à moins bien sûr que les arguments du Perth Group soient réfutés, ce qui me semble s'apparenter à une réelle gageure.
  25. Je me trompe peut-être mais il me semble avoir lu dans d'autres dépêches, qu'en fait Gallo ne se déplacerait pas jusqu'en Australie mais ferait "simplement" parvenir au tribunal australien une vidéo de son témoignage. Ceci étant, devoir faire intervenir d'une façon ou d'une autre des "pointures" genre Gallo et autres soi-disant "experts" ès "VIH" prouve à tout le moins déjà une chose, avant même d'examiner le fond même de l'affaire : l'existence d'un rétrovirus exogène "VIH" est tout ce qu'on veut, sauf l'évidence que l'on nous a fait croire pendant plus de 25 ans !
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