wallypat
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Tout ce qui a été posté par wallypat
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Je ne sais pas de quels antioxydants tu parles, mais pour ma part, jutilise la N-acétylcystéine, la vitamine C (à fortes doses : 5 grammes par jour en moyenne) et lacide R-lipoic acide. Diverses études ont clairement démontré que ces trois antioxydants sont très utiles en matière de sida et en tout cas, cela fonctionne (très) bien chez moi. Maintenant, sur ce site-là, on peut aussi trouver de (nombreux) autres antioxydants. Peut-être sont-ils utiles aussi en matière de sida, mais je nen sais strictement rien, comparé aux trois autres que jutilise. En tout cas, pour combattre les oxydants azotés, parmi les produits naturels, la N-acétylcystéine (utilisée conjointement avec la vitamine C) paraît mériter la palme dor. Pour le surplus, jinvite le lecteur à lire lentièreté des topics "Guérir le sida" et "Le glutathion", où tout cela a déjà été longuement et minutieusement analysé, me semble-t-il.
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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 3/3
wallypat a répondu à un(e) sujet de Schnappi dans Sujets clés
Bonsoir Seva. Juste un petit mot pour dire que je compatis réellement mais que je crains que tu sois l'une des très nombreuses et malheureuses victimes de l'hypothèse rétrovirale du sida. J'ai bien peur que l'establishment du sida t'ai salement amochée avec leurs traitements "antirétroviraux" et personnellement, malgré ma notoire opposition à ceux-ci, je ne vois pas très bien ce que tu pourrais faire d'autre, si ce n'est maintenant de continuer avec leurs traitements "antirétroviraux", lesquels ont quand même montré leur (relative) utilité dans les cas très difficiles. Maintenant, si quelqu'un d'autre a autre chose a proposé à Seva, qu'il n'hésite pas. Tout ce que j'espère, c'est qu'un jour ou l'autre, l'establishment du sida paiera au centuple le mal qu'ils t'ont fait ainsi qu'à tous les sidéens et de manière générale à tous ceux qui ont cru avoir été contaminés par un imaginaire rétrovirus "VIH". -
On peut trouver aussi des infos en anglais sur le triphala ici, et on peut aussi l'acheter (en français) sur ce site-ci, déjà cité à de nombreuses reprises.
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La recherche s'intéresse aux séropositifs
wallypat a répondu à un(e) sujet de Gosseyn dans Traitements
Je suis pour ma part pessimiste vu que ces recherches sont effectuées sous laulne de la prétendue infection rétrovirale « VIH » et que les prétendues « découvertes » seront étudiées sous cet angle. Autant dire que lon nest pas près de faire rapidement des pas de géant. Or on gagnerait bien du temps si la situation des survivants à long terme était analysée sous langle du stress oxydatif. Au sujet du prétendu pourcentage de 1% de survivants à long terme au bout de dix ans (sans consommation de tri « thérapie »), il y a beaucoup de choses (négatives) à en dire. Premièrement, par divers posts antérieurs, Delwere, je crois, avait déjà démontré que ce pourcentage était bien en dessous de la réalité. Deuxièmement et sans doute surtout, à supposer même que ce pourcentage soit exact, lentière responsabilité de ce très faible pourcentage revient entièrement, non à je ne sais quel rétrovirus lent (LOL) « VIH », mais bien à ces criminels notoires que sont les tenants de lhypothèse rétrovirale. Il ne faut en effet pas perdre de vue que les drogues appelées à tort « antirétrovirales » ne sont plus guère administrées lorsque le séropositif est malade mais bien parce que sa (prétendue) charge virale est trop haute et/ou ses T4 trop bas. Or on sait depuis belle lurette que ces deux marqueurs ne prédisent pas de façon fiable la survenance dun sida quelconque. Seule la mesure du glutathion intracellulaire (et du glutathion réduit) constitue des marqueurs fiables. En dautres termes, la prise des drogues dites « antirétro-virales » débute pour de mauvaises raisons, même en supposant que le « VIH » avait existé, ce qui nest pourtant déjà pas le cas. Mais là où cela devient tragi-comique, cest que bon nombre des drogues dites « antirétrovirales » causent, elles, une déplétion en glutathion de lorganisme. Cet effet négatif est masqué entre autres par le fait que ces mêmes drogues dites « antirétrovirales » ont également pour effet déradiquer la plupart des germes responsables des infections opportunistes du sida, ce qui contribue à donner la sensation au patient (ou disons plutôt « cobaye ») quil va mieux. Mais en fait, en consommant les drogues dites antirétrovirales, il vient dentrer dans un cercle tout à la fois vicieux et infernal (diminution du glutathion ... pour sauvegarder des marqueurs [T4 et charge « virale »] ... non fiables pour prédire le sida ! LOL) dont il aura bien du mal à se défaire, si ce nest déjà pas trop tard à ce moment-là. Pas étonnant que dans ces conditions, le pourcentage de 1%, à supposer même quil soit exact, ne puisse pas augmenter. Et quand je prends mon propre exemple, jai de quoi sourire. Après bientôt sept ans (du moins, officiellement), mes T4 avaient baissé jusquà à 188 (ou 178, je ne sais plus). Jaurais dû donc et soi-disant « logiquement » commencer des drogues dites « antirétrovirales ». Toutefois, six mois plus tard, après avoir suivi les recommandations de la dissidence et avoir pris des antioxydants, mes T4 étaient remontés à 688, niveau que je navais dailleurs jamais atteint en 7 ans de « suivi » médical. Il est toutefois vrai que jai lavantage de navoir jamais fait de sida auparavant ni navoir jamais consommé auparavant de drogues dites « antirétrovirales ». En tout état de cause, honte à tous les orthodoxes du sida (que je maudis au passage) et à tous ceux qui défendent lhypothèse rétrovirale en répercutant, tels un perroquet (une pensée à cet égard aux associations de défense du sida telles quAct Up et consorts), les élucubrations, jusqu'à ce jour toujours non prouvées, des tenants de cette hypothèse, tout particulièrement de ceux qui se sont autoproclamés experts patentés ès « VIH ». -
De toute façon, je ne peux pas mempêcher de minterroger sur la pertinence de telles démarches. En effet, tant que lon naura pas prouvé que les antigènes utilisés dans les tests « VIH » ont pour origine un rétrovirus « VIH » et tant que lon naura pas contrôlé par le biais du seul étalon-or valide, à savoir le « VIH » lui-même, que les anticorps font bien réagir le test « VIH » parce que la personne a bien été « contaminée » par le « VIH », on aura beau publier les procédures les plus récentes ou les protocoles les plus récents, on aura beau publier des millions de protocoles relatifs au bon usage du test « VIH », à défaut de navoir jamais apporté la preuve susdite et à défaut de navoir jamais fait le contrôle susvanté, aucun test « VIH » positif ne prouvera que la personne testée a bien été « contaminée » par un rétrovirus « VIH ». Au mieux (et encore), un test « VIH » positif sera un test médical pouvant éventuellement indiquer une propension à développer ultérieurement et éventuellement des maladies particulières, mais jamais, ô grand jamais, un tel test sera la preuve dune contamination par un nouveau rétrovirus « VIH ». Et tous les protocoles du monde, même les plus récents (et même ceux du futur, dailleurs), ne changeront rien à cette constatation !
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Failles dans la méthode d'isolement des virus
wallypat a répondu à un(e) sujet de aixur dans Isolement du "VIH"
Je me permets de ne pas être d'accord. Une particule d'"apparence rétrovirale" est une particule dont la morphologie est très bien connue des rétrovirologues (du moins, jusqu'au "VIH" où là, le rétrovirus peut être presque n'importe quoi du point de la taille et de la morphologie) : il s'agit de particules ayant un diamètre de 100-120 nm, des noyaux internes condensés et des surfaces cloutées. Dès lors que l'on se trouve en présence de telles particules dans le gradient de densité 1,16 mg/ml (obtenu à partir de cultures de cellules présumées avoir été spécialement infectées par le nouveau rétrovirus, étant donc les T4 en matière de "VIH"), on se trouve alors en présence de particules d'apparence rétrovirale, lesquelles peuvent effectivement être n'importe quoi, à commencer effectivement par des débris cellulaires. Elles ne recevront le titre tant convoité de rétrovirus que si et seulement si ces particules d'apparence rétrovirale ont non seulement les caractéristiques biochimiques des rétrovirus (transcriptase inverse par exemple) mais surtout sont capables de se reproduire. Pour des exemples d'isolation de réels rétrovirus par la méthode des gradients de densité, voir par exemple ici ou ici, où l'on constate que les débris cellulaires ne sont pas légion. "Toujours, toujours plein de débris cellulaires", là aussi, je ne suis pas d'accord. Je viens de citer ci-dessus deux exemples où ce n'est justement pas le cas. Ceci étant, il est vrai qu'il peut arriver de trouver - parfois - pas mal de débris cellulaires. Mais à partir du moment où l'on trouve déjà des particules d'apparence rétrovirale dans une culture même impure, les techniques de clonage permettront encore une fois de s'assurer que l'on est bien en présence d'un rétrovirus. Et le Perth Group est d'ailleurs conscient de ces difficultés. C'est d'ailleurs pour cela que le Perth Group a d'ailleurs demandé dans le fameux débat les ayant opposés à l'orthodoxie du sida de déjà leur fournir ne fût-ce qu'une photographie fût-elle impure (c'est-à-dire avec une multitude de débris cellulaires) du "VIH", où tout le moins de particules ayant ses prétendues caractéristiques morphologiques. Mais même cela, l'orthodoxie du sida ne peut pas fournir. En effet, en matière de "VIH", même dans un gradient de densité "impur", avec une - réelle - multitude de débris cellulaires (voir les fameuses publications de 1997), on ne trouve même pas la moindre particule ayant à tout le moins les caractéristiques morphologiques prétendument attribuées au "VIH". Dans ces conditions, pas la peine de perdre son temps avec le clonage puisque même en piochant au hasard, il ne sera pas possible de prétendre qu'une partie du matériel génétique trouvé dans ce gradient de densité a peut-être pour origine un nouveau rétrovirus ... puisqu'on ne trouve même pas la moindre particule d'apparence rétrovirale ayant les caractéristiques morphologiques prétendument attribuées au "VIH". La circonstance qu'il n'a jamais été prouvé que les clones infectieux du "VIH" sont réellement infectieux ne fait que prouver cela de façon surabondante. Là, tu va à l'encontre de ce que professe Etienne de Harven (que tu cites pourtant assez souvent) puisqu'il dit lui-même que si le "VIH" existait vraiment, on devrait sans problème le trouver directement à partir du plasma d'une personne ayant une charge dite "virale" astronomique (comme on a pu le faire avec d'autres réels rétrovirus, sans ajout de coculture et de mitogènes), comme expliqué par exemple ici. Il est admis par les rétrovirologues qu'à tout le moins dans le plasma (soit la partie liquide du sang), avec une charge dite "virale" astronomique, si le "VIH" existe, il doit être - très facilement - visible, donc sans ajout de cocultures ou de mitogènes. Il est dès lors hallucinant que l'on n'ait jamais vu de "VIH" dans de telles circonstances. Et encore plus hallucinant que l'on continue à prétendre que le sida serait causé par un rétrovirus ! Lire par exemple cette réponse ou encore celle-ci. Effectivement, comme l'a dit le Perth Group dans cet article de 1996 : "NO ISOLATION, NO CLONING". Telle est d'ailleurs la définition de clonage des rétrovirus selon le Perth Group. Ceci étant, pour prouver leur bonne foi et leur esprit d'ouverture (alors qu'ils n'en avaient nullement l'obligation), au cours du débat qui les a opposés pendant deux ans à l'orthodoxie du sida, le Perth Group a abaissé ses "prétentions" au minimum absolu, à savoir prouver que les prétendus clones infectieux du "VIH" sont déjà bien infectieux. C'est déjà la moindre des choses. Ce n'est que si ces clones sont réellement infectieux que se pose la question de savoir si c'est bien du "VIH" et qu'on retombe donc dans la définition ci-dessus du clonage. Etant donné que ce caractère infectieux n'a jamais été prouvé, en se basant sur la définition proposée par l'orthodoxie du sida elle-même, il ne sert même plus à rien de se demander si c'est du "VIH". En revanche, si ce caractère infectieux avait été prouvé, les choses sont plus compliquées pour les dissidents car les chances d'obtenir un rétrovirus infectieux avec plus de 9000 paires de bases (je crois) sont de 1 sur des milliards (je crois aussi). Cela laisse peu de place au hasard, et il devient alors beaucoup moins facile de prétendre que le "VIH" n'existerait pas en tant que rétrovirus. Si en plus, on avait trouvé (ce qui n'a jamais été le cas) dans le gradient de densité, même impur, des particules ayant les caractéristiques morphologiques attribués au "VIH" et qu'en plus les techniques de clonage de contrôle s'avèrent négatives, je crois alors que prétendre que le "VIH" n'est pas un rétrovirus relève très fortement de la mauvaise foi. Mais ce n'est pas le cas ici car : a) Le caractère infectieux de ces prétendus clones n'a jamais été prouvé; b) Pas de particules ayant les caractéristiques morphologiques attribués au "VIH" dans le gradient de densité (fut-il impur ou même très fortement impur) dans lequel sédimentent par définition les rétrovirus; c) Inexistence (à tout le moins en matière de "VIH") de "clonage de contrôle", c'est-à-dire que des cultures de contrôle sont absolument nécessaires (cela relève de l'essence même de l'isolation du présumé "VIH" et de l'administration de son caractère infectieux), à tout le moins pour les cellules transfectés avec l'ADN du supposé "VIH", lorsque l'on tente de cloner un rétrovirus. La seule différence avec la culture de contrôle sera que dans celle-ci, on doit utiliser d'autres gènes que dans la culture transfectée avec le supposé ADN proviral du "VIH". Ceci donc, parce que dans les conditions utilisées en matière de "VIH" (entre autres, présence d'inducteurs d'activation cellulaire), le simple fait de transfecter peut aboutir à l'apparition de rétrovirus (endogènes, donc). -
C'est également la vitamine C que j'utilise mais je ne suis malheureusement pas en mesure de répondre à ta question, le flacon ne précisant pas ce qu'il y a dans ces 187 mg. Je présume qu'il s'agit d'additifs "quelconques".
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Failles dans la méthode d'isolement des virus
wallypat a répondu à un(e) sujet de aixur dans Isolement du "VIH"
Daprès ce que jai lu sur le sujet, lorsquon se trouve réellement en présence dun rétrovirus, avec la fameuse méthode du gradient de densité, on obtient une écrasante majorité de particules dapparence rétrovirale. Il y aura bien sûr toujours des débris cellulaires, mais ils seront normalement minimes par rapport au reste des (innombrables) particules dapparence rétrovirale retrouvées dans le gradient de densité inhérent aux rétrovirus. Ce fait présente dautant moins de doute dès lors que lon ajoute à la culture testée des tas de mitogènes et oxydants (comme cest systématiquement le cas en matière de « VIH ») qui feront pulluler les rétrovirus, du moins sil y en a réellement dans la culture. Il ne faut tout de même pas perdre de vue que sil y a réellement des rétrovirus dans la culture, en train de pulluler avec tous les mitogènes ajoutés, ils DOIVENT apparaître dans le gradient de densité des rétrovirus, et ce de façon écrasante. Ce nest quà titre normalement accessoire que des débris cellulaires seront présents dans ce gradient de densité. De toute façon, je suis davis que les arguments invoqués par le dissident auquel se réfère Aixur sont éculés depuis belle lurette et ont été réfutés depuis bien longtemps déjà par lorthodoxie du sida, que je rejoins sur ce point. En effet, le clonage permettra disoler de la façon la plus purifiée possible un nouveau rétrovirus, et ce sera ultra pur puisquil ny aura que le matériel génétique supposé attribué au nouveau rétrovirus. Mais encore faut-il quà tout le moins, les deux préalables suivants aient été à tout le moins remplis, ce qui na jamais été le cas pour le « VIH » : a) On retrouve dans le gradient de densité (obtenu à partir de cultures provenant de malades supposés infectés par le « VIH ») des particules dapparence rétrovirale dotées des particularités morphologiques prétendument attribuées au « VIH » (cela na jamais été le cas jusquà ce jour). b) Lorsque lon fait les tentatives de clonages, des clonages de « vérification » (cloner exactement de la même façon [oxydants, etc...], mais avec du matériel génétique non supposé attribué au « VIH ») (cela na jamais été le cas jusquà ce jour). Par ailleurs, à supposer même que les deux points qui précèdent aient été remplis, ce qui nest pourtant déjà pas le cas, étant donné quil est très bizarrement prétendu que le sida serait causé par un rétrovirus « VIH » infectieux, il appartiendra de prouver que le rétrovirus obtenu par clonage est bien infectieux. Comme rappelé dans mon post précédent écrit dans ce topic-ci, même lorthodoxie du sida la plus autorisée na jamais apportée cette preuve jusquà ce jour. Conclusion : Lhypothèse rétrovirale du sida constitue vraisemblablement la plus grande catastrophe scientifique et médicale de tous les temps ! -
Walli, n'as tu pas déjà fait effectué ce test ? Maintenant je me pose la question suivante : en fait que vont m'apporter les résultats de ce test KRL ? Serais-je ainsi aiguillée pour savoir quels compléments prendre ? Daprès ce que jai compris, il existe quasiment dinnombrables tests analysant létat de son stress oxydatif. Donc, ce test-là, je ne lai vraisemblablement pas fait. Et peut-être que mon médecin nutritionniste me dira dailleurs quil ne sert à rien que je le fasse vu les autres tests quil ma fait auparavant. Et dailleurs, je ne suis pas pressé de le revoir. Pour le reste, nétant pas médecin, je ne mestime pas compétent pour répondre. Il est en revanche certain quil est capital de trouver un médecin compétent en la matière, et visiblement, ce nest pas facile. Lire par exemple ce topic pour tenter de trouver des adresses de prime abord valables.
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Oui, ce test semble utile et intéressant dans le contexte du sida causé, non par je ne sais quel chimérique rétrovirus "VIH", mais par un déséquilibre oxydoréducteur. Merci pour l'info. J'ai entre autres trouvé ce petit article sur ce test : La prochaine fois que je verrai mon médecin nutritionniste, je lui demanderai s'il ne peut pas me prescrire ce test.
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Cheminot pourra sans doute en dire plus mais sur le plan de la chimie et à moins de remettre en question les fondements mêmes de la chimie, la lamivudime possède une activité fortement antioxydante (comme il l'a déjà expliqué dans cet article-ci), tout particulièrement chez les personnes souffrant d'un stress oxydatif sévère (si j'ai bonne mémoire), laquelle activité antioxydante peut parfaitement se faire sentir sans qu'il ait été besoin d'avoir été intoxiqué auparavant par l'AZT (qu'il suffise de penser à la lamivudine en monothérapie). Que la lamivudine puisse avoir des effets secondaires (mais beaucoup moins que pour la plupart des autres drogues dites "antirétrovirales"; il semblerait en fait qu'il s'agit de la drogue "antirétrovirale" présentant le moins d'effets secondaires) ne signifie pas à mon sens que tout à coup, la lamivudine n'aurait plus d'activité antioxydante, et ce au mépris des lois les plus basiques de la chimie. A mon avis, il peut y avoir beaucoup d'explication à l'apparition d'effets secondaires de la lamivudine : 1) Outre son effet antioxydant, la lamivudine a en outre des effets antibiotiques. Il me semble qu'il y a déjà eu plusieurs articles scientifiques l'ayant démontré. 2) L'activité antioxydante de la lamivudine est à ce point puissante (comme cela a déjà été démontré par Cheminot) qu'elle provoque des effets secondaires. Tout comme un excès d'oxydants, un excès d'antioxydants n'est pas bon pour l'organisme non plus et cela se traduira par des effets secondaires. 3) Je ne doute pas un instant que la lamivudine ait un effet inhibiteur de l'activité de transcriptase inverse : cette diminution a maintes fois été démontrée. L'erreur, tragique, c'est de nous avoir fait croire que cet effet inhibiteur serait exercé sur la transcriptase inverse d'un hypothétique rétrovirus "VIH". Or on sait que la transcriptase inverse est quasiment un phénomène chimique banal qui n'est en rien exclusif aux rétrovirus. Dès lors que la lamivudine possède un effet inhibiteur sur la transcriptase inverse, il va de soi que cet effet inhibiteur peut aller à l'encontre de phénomènes chimiques indispensables dans l'organisme humain impliquant la transcriptase inverse et, partant, causer des effets secondaires du fait de l'inhibition de cette activité de transcriptase inverse. En d'autres termes, personnellement, je ne vois rien qui puisse remettre en question l'activité antioxydante de la lamivudine ou 3TC. Je présume que Cheminot pourra en dire plus à l'occasion.
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Nouvelles Découvertes
wallypat a répondu à un(e) sujet de delwere dans Sida et séropositivité : causes, facteurs, « transmission », agents oxydants et stress oxydatif…
A partir du moment où lexistence du « VIH » na jamais été prouvée jusquà ce jour, aucun dissident du sida na lobligation, même morale, de venir expliquer comment un rétrovirus « VIH » aurait la miraculeuse capacité dattaquer les T4 de lintestin dès la prétendue primo-infection par le « VIH ». Encore une fois, on ne peut déduire l'existence d'un nouveau rétrovirus (ici : le prétendu "VIH") que si et seulement si il a été isolé. Maintenant, à titre purement superfétatoire et pour être agréable, et quoique lon nen ait nullement lobligation, pas même morale, on peut donner des explications, dont la suivante me semble la plus probable. Chacun sait que le premier endroit de lorganisme où seffectuent les toutes premières réactions de défense immunitaire contre un agent pathogène quelconque est justement les intestins, lesquels constituent la première ligne de défense de lorganisme. Ce nest dailleurs pas pour rien que lon est invité à consommer régulièrement des probiotiques. Il va de soi quà supposer même que le « VIH » aurait existé, celui-ci nest certainement pas le seul germe pathogène au monde (ou de façon la seule chose au monde) de nature à attaquer le système immunitaire au moment de la prétendue primo-infection, et à causer, le cas échéant, une baisse des T4 de lintestin (qui se défend justement contre la primo-infection). Dès lors que la primo-infection « VIH » nest rien dautre quun (mauvais) mythe digne du père Fouettard, il y a très logiquement lieu de penser quune personne souffrant dune primo-infection dite « VIH » souffre en fait dune infection quelconque (si ce nest que cela ne peut de toute façon pas être du « VIH ») et évidemment, il ny a pas de raison de croire que cette infection quelconque (ou nimporte quoi dautre dailleurs : drogues, oxydants azotés en général, ...) ne serait pas en mesure dattaquer le système immunitaire et de causer une baisse des T4 se trouvant dans lintestin (premier organe de défense de lorganisme contre un pathogène quelconque). Etant donné que les intestins constituent la première ligne de défense de lorganisme, il est dune logique éclatante que lors de la prétendue et bien hypothétique primo-infection « VIH », les T4 se trouvant dans les intestins soient les premiers à souffrir. Il nest nul besoin de « VIH » pour expliquer cela ! En dautres termes, une immensité de choses différentes peuvent causer la baisse des T4 dans lintestin au moment de la primo-infection dite « VIH ». Sauf une seule, justement : lhypothétique « VIH » ! Il est hallucinant de constater que les scientifiques ont complètement oublié quil ny a pas que le « VIH » dans le monde qui puisse causer une baisse des T4 dans les intestins ! Au surplus, il est également constaté quil nest même pas besoin de forcément venir avec le stress oxydatif comme explication. Quelques concepts pour le moins enfantins permettent déjà de lexpliquer, sans nul besoin de « VIH » (terme auquel je deviens dailleurs de plus en plus allergique avec les semaines). -
Me concernant, je ne sais absolument pas si c'était le n°1 ou le n°2, mes résultats ne le précisant pas. En revanche, les résultats étaient dans la norme. Ce qui est par ailleurs quasiment certain, c'est que le meilleur marqueur prédictif (de sida) n'est pas en premier lieu le glutathion peroxydase mais bien le glutathion intracellulaire. Malheureusement, ce genre de mesure ne serait fait à l'heure actuelle qu'au niveau de la recherche, dixit mon médecin nutritionniste. Donc, il faut bien se contenter des autres mesures de glutathion, lesquelles restent de toute façon plus fiables que la mesure des T4 (et ne parlons même pas de la charge "virale"), mais moins fiables que le glutathion intracellulaire, semble-t-il.
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A défaut de pouvoir obtenir une ordonnance d'un médecin, y aurait-il un site internet quelconque (et fiable quant à la qualité du produit) où l'on pourrait commander librement de l'hydrate de chloral depuis la Nouvelle Zélande ou l'Australie ? Merci.
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Bonsoir Survivor83. Merci pour le mail que tu m'as envoyé en privé. Juste pour dire que le Nexus n°49 de mars-avril 2007 comporte un dossier de six pages (que je n'ai pas encore lu, faute de temps) consacré à André Gernez. Ce dossier est surtout consacré à la "théorie cellulaire" d'André Gernez. Toutefois, il est déjà annoncé que le prochain numéro de Nexus (soit le n°50 de mai-juin 2007) comprendra un dossier consacré uniquement à la "Prévention active" selon André Gernez. Je présume que cela traitera justement de l'hydrate de chloral et de la prévention du cancer. Et j'espère qu'ils donneront des tuyaux pour savoir comment s'en procurer. Voilà, je crois que tu trouveras des réponses aux questions posées dans ces deux numéros de Nexus, outre ce topic-ci. Juste par curiosité, qu'entends-tu par "purifier le sang" ? Purifier de quoi ? Des oxydants (azotés) ? Cela serait un peu trop facile. Mais cela m'intéresse car j'ai justement de l'hélichryse, sauf que je m'en servais jusque là pour soigner très rapidement et efficacement les contusions, hématomes, entorses, ...
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Et pour en venir précisément au "VIH", ne penses-tu pas que l'hypothèse rétrovirale du sida est justement (pour reprendre certains de tes termes) : - "tout et n'importe quoi" - "discours parfois meurtriers!" - "inepsies" ? Avant de répondre, merci de bien vouloir lire la synthèse, à moins que tu l'aies déjà fait, bien sûr. Sinon, pour la question de la fièvre, j'évite de me prononcer pour ma part (et je laisse ce soin à d'autres personnes), mais je tenais à éviter que ton post soit interprété comme signifiant également et à tout le moins implicitement que nous raconterions n'importe quoi sur le sujet du sida précisément. A moins bien sûr que tu disposes d'arguments dont nous n'aurions étonnamment pas eu connaissance en plusieurs années de ce forum.
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Failles dans la méthode d'isolement des virus
wallypat a répondu à un(e) sujet de aixur dans Isolement du "VIH"
Je pense quand même que oui. Dès lors que les particules d'apparence rétrovirale sont majoritaires et que les débris cellulaires sont minimes, je pense que l'on retrouvera des protéines et du matériel génétique particuliers bien plus souvent que le reste. On pourra dès lors raisonnablement considérer que ces protéines et cet ARN qui sont retrouvés plus souvent que le reste sont bien les constituants du rétrovirus. Au surplus, on pourra s'en assurer avec les techniques de clonages qui seront effectuées en se basant sur les présumés protéines et ARN du rétrovirus, et s'assurer ensuite que le rétrovirus obtenu avec la technique du clonage (à supposer que l'on obtienne des rétrovirus viables) est bien infectieux. On rappellera à tous fins utiles que l'orthodoxie du sida, même la plus autorisée, n'a jamais pu prouver au Perth Group que ce qu'elle appelle à tort "clones infectieux du 'VIH'" (dont seuls quelques rares exemplaires sont au surplus "viables") sont bien infectieux, comme (très courtement) résumé (hélas en anglais) dans cette réponse du Perth Group : Grâce aux techniques de clonage, on pourra certainement s'assurer que l'on a bien les mêmes particules. En plus, si on a 100% de particules d'apparence rétrovirale apparemment identiques dans le gradient de densité auquel sédimentent par définition les rétrovirus et qu'en plus, cela a été obtenu à partir des cellules supposées infectées par le rétrovirus, sans même les techniques de clonage, on peut raisonnablement considérer que l'on a bien affaire aux mêmes particules. Mais la technique de clonage permettra vraisemblablement et encore une fois de s'en assurer sans le moindre doute. -
Juste pour dire que si quelquun veut faire part de ses considérations sur le glutathion, il me paraît souhaitable den faire part dans le topic sur le glutathion, plutôt que dans ce topic-ci consacré en priorité aux adresses où lon peut faire des bilans nutritionnels et de stress oxydatif. Quant aux considérations sur la façon de traiter et de soigner, il me semble quil y a des topics plus appropriés que celui-ci, comme le topic « Guérir le sida », pour ne citer que celui-là. Merci et bon week-end à tous.
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Une adresse peut-être intéressante pour obtenir les coordonnées d'un docteur en médecine orthomoléculaire ou à tout le moins spécialiste en matière de nutrition : L'institut Européen de Diététique et Micronutrition. Je ne sais pas ce que cela vaut mais il n'est pas interdit d'essayer, en tout cas.
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Failles dans la méthode d'isolement des virus
wallypat a répondu à un(e) sujet de aixur dans Isolement du "VIH"
Ces questions expliquent parfaitement pourquoi lisolation implique nécessairement la purification, comme déjà expliqué dans la deuxième partie de ce post-ci , et doù il ressort quà défaut de purification, non seulement il nest pas possible de savoir si on a vraiment affaire à un rétrovirus quelconque et, partant, encore moins de savoir quelles protéines et quel ARN sont les constituants de cet hypothétique rétrovirus. En revanche, si lon obtient un gradient de densité (1,16 mg/ml) avec une majorité écrasante de particules dapparence rétrovirale, on pourra alors plus que vraisemblablement affirmer que les protéines et lARN retrouvé dans ce gradient de densité sont bien les constituants de cette particule dapparence rétrovirale (je nutilise pas le terme « rétrovirus » car à ce stade-là, on ne peut pas encore savoir si ces particules ont la faculté de répliquer et sont donc des rétrovirus). Dès lors, pas de purification, pas disolation, et donc impossibilité de savoir quelles protéines et quel ARN sont les constituants dun rétrovirus (lui-même hypothétique faute de purification et donc disolation : il ne sert donc à rien de se demander quel pourcentage de protéines ou dARN sont les constituants du rétrovirus ... puisque lon ne sait même pas sil y a bien un rétrovirus quelconque dans la culture en question !). Doù les questions dAixur. Rappelons quen matière de « VIH », le matériel récolté dans le gradient de densité caractéristique des rétrovirus ne fut publié quune seule fois, à savoir en 1997 (alors que cela aurait dû déjà être fait en 1983 et 1984, lors des prétendues isolations du "VIH" par Montagnier et Gallo !), et que même en cherchant beaucoup, on ny a même pas trouvé de particules ayant la morphologie prétendument attribuée au « VIH » ! Et à supposer même que cela aurait été le cas, cela aurait de toute façon été totalement insuffisant pour prouver que lon se trouvait bien en présence dun rétrovirus quelconque. -
Juste pour préciser que si le (petit) article auquel tu te réfères n'a pas été publié, en revanche, le Perth Group est arrivé à publier au moins une vingtaine d'articles scientifiques, parfois très longs. On peut retrouver l'ensemble de ces articles en cliquant ici. Certains de ces articles publiés sont justement relatifs à la question de la prétendue isolation du "VIH" et sont suffisants à eux seuls pour ridiculiser à tout jamais l'hypothèse rétrovirale du sida. Le Perth Group attend les hypothétiques réfutations depuis des lustres ! Sans doute et entre autres parce qu'ils interprètent les données obtenues comme prouvant que le rétrovirus "VIH" existe réellement. Je pense que tout comme "Monsieur tout le monde", les rétrovirologues ont été et continuent à être tout particulièrement subjugués par l'énorme pouvoir des photographies. Il y a des photos montrant des particules dans des cultures qui ressemblent à un rétrovirus et il y a une activité de transcriptase inverse dans ces mêmes cultures. Il est dès lors vraisemblable que mentalement les rétrovirologues relient particules, transcriptase inverse, protéines, anticorps et matériel génétique un peu particulier pour en faire une évidence et se persuader ainsi en l'existence d'un nouveau rétrovirus "VIH", sans pourtant n'avoir jamais apporté la preuve que l'ensemble de ce matériel a bien pour origine un nouveau rétrovirus "VIH". Mais là, cette auto-persuasion ne relève pas de la science mais bien de la religion, voire même du fanatisme !
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Les statistiques africaines bidon sur le sida
wallypat a répondu à un(e) sujet de ben93 dans Statistiques et épidémiologie
Trouvé ici : Lorsque lon sait : - que lépidémie du prétendu sida sévit justement en majorité en Afrique subsaharienne, - que le paludisme (malaria) constitue avec la tuberculose lécrasante majorité des prétendus cas de sida, - quil y a donc entre 240 et 400 millions de malades de la malaria en Afrique subsaharienne, soit un nombre éminemment plus élevé (sans même tenir compte par exemple des cas de tuberculose, encore bien plus élevés que ceux de malaria) que celui des cas de sida, - que les anticorps de la malaria peuvent faire réagir positivement le test appelé par erreur « VIH », On est en droit de se demander comment on peut encore affirmer quil y a en Afrique subsaharienne une épidémie de sida, au surplus causée par le « VIH » ?! -
Juste pour préciser que tant Montagnier (en 1983) que Gallo (en 1984) ont déclaré avoir suivi la méthode habituelle (et ayant fait ces preuves jusqualors) disolation des rétrovirus, étant justement la méthode qui était la norme des rétrovirologues de lépoque et étant aussi celle à laquelle se réfère le Perth Group. Malgré ces imperfections, cette méthode était la plus à même disoler un réel rétrovirus, soit une particule dapparence rétrovirale ayant la capacité de répliquer. Ce nest donc pas pour « emm..der » le peuple que le Perth Group se réfère à cette méthode. Lorsquon examine attentivement ces deux prétendues isolations, on constate que la méthode en question ne fut pas suivie à la lettre, contrairement à ce quont prétendu Montagnier et Gallo, et ce sur les deux points les plus essentiels, sans lesquels aucune isolation ne peut être invoquée : 1) Aucune photographie du gradient de densité 1,16 mg/ml auquel sédimentent nécessairement et par définition les rétrovirus. Or sans cette photographie, il ny a tout simplement aucun commencement de preuve disolation dun nouveau rétrovirus (quand bien même des milliers de photographies de particules dapparence rétrovirale dans la culture ont été prises = toutes les photos du prétendu « VIH » jusquà ce jour !), en sorte que les trois prétendues preuves énumérées dans mon précédent post ne peuvent pas constituer la preuve, ni même un commencement de preuve, dune quelconque isolation dun nouveau rétrovirus. 2) Il y avait certes quelques cultures de contrôle mais elles nétaient pas adaptées et rigoureuses. En raison déjà de ces deux points, il est pour le moins très présomptueux, comme le fait lorthodoxie du sida, de prétendre que Montagnier et Gallo auraient isolé un nouveau rétrovirus « VIH ». Rappelons encore une dernière fois quil ny a pas de rétrovirus sans réplication. Dès lors, quelle que soit la définition retenue pour le terme « isolation » dun rétrovirus, lisolation pour être valable doit prouver que lon se trouve en présence dune particule dapparence rétrovirale ayant la capacité de répliquer. Or seule la méthode prétendument attribuée au Perth Group (qui était en fait la méthode utilisée par tout rétrovirologue digne de ce nom dès le début des années 70) est de nature à apporter cette preuve (du moins, si le « VIH » existait réellement). En revanche, les trois (et d'ailleurs seules) preuves énumérées dans mon précédent post n'apportent en aucune façon cette preuve, déjà à défaut des points 1) et 2) énumérés ci-dessus. Conclusion : Les considérations du Perth Group (et d'Etienne de Harven d'ailleurs) sur la prétendue isolation du "VIH" restent on ne peut plus pertinentes et assassines de toute l'hypothèse rétrovirale du sida.
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Là il y a un grand problème. Car la notion d'isolation n'est pas définie de la même façon chez tout le monde. Gallo, Fauci et al. pour eux il n'y a aucun doute, le VIH a été isolé! Pour le perth group, Kremer, Lanka, de Herven et al. le VIH n'a pas été proprement isolé. Pour Gallol, Fauci et al. Il existe des tonnes de photos au microscope electronique du VIH, pour le perth group, Kremer, Lanka, de Herven et al. il y'en a aucune! Il y a-t-il donc une dissidence dans le domaine d'isolation des rétrovirus ainsi que dans la photographie de ceux-ci? (à la quelle Duesberg, Millus et leurs partisants n'appartiennent pas). Il me semble que la réponse est oui. Mais là il y a moins de places pour les hypothèses. C'est plutôt une grande partie de toute la théorie rétrovirale qui soit en question. Le fait que l'isolation soit définie de façon différente prouve de façon pour le moins éclatante que le "VIH" n'a justement jamais été isolé en tant que rétrovirus. Car indépendamment de leurs caractéristiques morphologiques et chimiques, un rétrovirus est une particule capable de se répliquer et de faire des copies d'elles-mêmes. Je le répète encore, pour ceux qui visiblement n'ont pas encore compris sur ce forum : PAS DE REPLICATION, PAS DE RETROVIRUS ! Cela fait partie de la définition même de rétrovirus. Il n'y a pas matière à discussion sur le sujet. Désolé, mais c'est comme ça. Et c'est un point très important que personne, en particulier sur ce forum, ne peut se permettre d'ignorer. Et c'est bien parce qu'on fait mine de l'oublier qu'apparaissent des notions différentes d'isolation. Dès lors que tu déclares : Aurais-tu l'amabilité de me donner les références d'au moins un article scientifique ayant prouvé que les sidéens et les séropositifs ont été contaminés par des particules d'apparence rétrovirale ayant la capacité de se répliquer ? A défaut de me donner cette référence, désolé, le "VIH" n'a jamais été isolé, compte tenu de la définition même de rétrovirus (capacité de répliquer). Et donc le Perth Group est parfaitement convaincant sur le sujet. Et je me demande dès lors sur quoi tu te bases pour prétendre ou, à tout le moins, laisser entendre que le "VIH" aurait été isolé en tant que rétrovirus, c'est-à-dire ayant la capacité de se répliquer (je ne parle évidemment pas des rétrovirus créés en laboratoire et présentés à tort comme étant du "VIH"). On ne va pas refaire le débat encore une fois, mais je rappellerai encore une énième fois (et j'avoue que pour ma part, cela devient terriblement lassant de répéter une énième fois les mêmes arguments, sans que l'on ait jamais été capable de les réfuter) que la prétendue isolation du "VIH", aussi bien par Montagnier et par Gallo, est déduite uniquement des trois "preuves" suivantes : 1) Photographie de particules d'apparence rétrovirale dans la culture (et pas dans le gradient de densité 1,16 mg/ml, ce qui aurait alors pu constituer un début de preuve très solide, absolument nécessaire quoique tout à fait insuffisante) Est-il encore besoin de rappeler une énième fois qu'il est tout simplement impossible d'isoler un nouveau rétrovirus en se basant uniquement sur des photographies au microscope électronique, et pire encore, de photographies prises dans une culture, et toujours pire encore, dans une coculture, et comme si cela ne suffisait pas, stimulée par des agents oxydants, et péché absolu, sans véritable culture de contrôle ? Est-il encore nécessaire que je reproduise ci-dessous les quelques considérations suivantes ? Comme le rappelle le Perth Group : En d’autres termes, il n’est pas possible de prétendre isoler sur la base de la morphologie un nouveau rétrovirus « VIH » dans une culture de cellules provenant de sidéens vu que l’on retrouve dans de telles cultures (comme dans la publication de 2006) une pléthore de particules d’apparence rétrovirale mais qui ne sont pas des rétrovirus pour autant. L’explication du rétrovirus n’est qu’une explication parmi tant d’autres, et il faut bien d’autres preuves pour prétendre que les particules vues dans ces cultures sont bien des rétrovirus. Il y a même bien pire que cela vu qu’il est déjà arrivé de trouver des particules d’apparence rétrovirale, non seulement dans des cultures, mais aussi dans le gradient de densité 1,16 mg/ml, ce qui constituerait alors une preuve extrêmement solide que ces particules sont bien des rétrovirus. Et pourtant, les particules en question n’étaient quand même pas des rétrovirus car elles n’étaient pas capables de se répliquer. Il me semble d’autant plus incompréhensible de prétendre ou à tout le moins laisser sous-entendre (en tout cas, c’est ainsi que je l’ai compris) qu’il soit possible d’isoler dans une culture un nouveau rétrovirus « VIH » en se basant sur la morphologie alors qu’en matière de « VIH », il n’a jamais été possible de faire apparaître des particules prétendues être du « VIH » sans faire appel à de multiples oxydants et mitogènes. Or il est bien connu du monde scientifique que ces agents de stimulation des cultures ont la particularité de faire apparaître des rétrovirus (endogènes) même s’il n’y avait pas de rétrovirus au départ dans la culture. En d’autres termes, non seulement la morphologie ne suffit absolument pas pour isoler un nouveau rétrovirus, mais en outre l’usage de cultures de contrôle est tout simplement nécessaire en la matière pour prétendre avoir isolé un nouveau rétrovirus. Cela relève de la quintessence même d’une tentative d’isolation d’un nouveau rétrovirus. Or les cultures de contrôle sont virtuellement absentes en matière de « VIH ». Et il est intéressant de noter que dans la seule étude faite in vivo jusqu’à ce jour sur le « VIH », avec des cultures de contrôle réellement adaptés, on a trouvé exactement les mêmes particules présentées comme du « VIH » aussi bien dans la culture prétendument infectée que dans celle non infectée, comme l’explique le Perth Group : En d’autres termes, il est tout simplement impossible de prétendre avoir isolé un nouveau rétrovirus en se basant sur la morphologie, aussi convaincantes et belles que soient les images, comme celles de la "fameuse" publication de 2006. Notons que cette seule étude avec de réelles cultures de contrôle à tous les stades de l'étude fut menée au tout début de l’ère du sida, à savoir en 1988. Vu le résultat désastreux obtenu pour l’orthodoxie du sida, on comprend aisément que celle-ci n’ait plus souhaité refaire de culture de contrôle aussi complètes, et que de manière générale, les cultures de contrôle en général soient virtuellement absentes en matière de « VIH ». En conclusion de ce point, je reste toujours ahuri lorsqu'on vient me dire que le "VIH" aurait été isolé (en tant que rétrovirus) parce qu'il existe des milliers de photographies au microscope électronique. Mais non, désolé, les photos n'ont jamais prouvé le moins du monde que l'on se trouve en présence d'un rétrovirus quelqu'il soit, quand bien même les particules d'apparence rétrovirale bourgeonnent. On n'a en réalité toujours pas avancé d'un iota dans une quelconque isolation. 2) Détection d'une activité de transcriptase inverse dans la culture et le gradient de densité 1,16 mg/ml On en a déjà parlé des milliers de fois. Une activité de transcriptase inverse, si elle est caractéristique des rétrovirus, n'est en revanche en aucune façon spécifique des rétrovirus. Lire par exemple ce post. Et comme si cela ne suffisait pas, non seulement cette activité de transcriptase inverse n'est en aucune façon spécifique des rétrovirus mais pire que tout, ni Montagnier, ni Gallo n'ont prouvé que cette activité de transcriptase inverse provenait bien d'une enzyme (et encore moins d'une enzyme faisant partie d'un nouveau rétrovirus "VIH"). Tout semble indiquer que cette activité provenait des polymérases cellulaires (pas besoin de rétrovirus quels qu'ils soient, du matériel "bêtement" cellulaire suffit), dont l'activité de transcriptase inverse est justement multipliée des millions de fois (et rendue détectable) par l'emploi d'agents oxydants ... comme c'est par hasard systématiquement le cas en matière de "VIH". 3) Réaction d'antigènes (dont on ignore complètement l'origine mais dont il est présumé qu'ils ont pour origine un rétrovirus, et même un nouveau rétrovirus ! lol) avec des anticorps (Notons pour la petite histoire que c'est sur base de cette troisième prétendue "preuve" que se fonde le prétendu caractère exogène du tout aussi prétendu rétrovirus "VIH"). Le Perth Group a démontré à d'innombrables reprises que de telles réactions ne peuvent pas prouver l'existence d'un nouveau rétrovirus. Et c'est encore bien pire que cela, même si on supposait qu'il y aurait dans la culture, avec tout le reste, un véritable nouveau rétrovirus "VIH" comme expliqué dans cet article-ci : C'est justement parce que ces trois preuves sont considérées comme suffisantes et parce qu'on paraît oublier que les rétrovirus sont avant tout des particules capables de répliquer que certains, comme Delwere visiblement, prétendent que le "VIH" aurait été correctement isolé. A la lecture de ce qui précède, on aura compris qu'il n'est strictement rien. Car ces trois preuves ne suffisent absolument pas et ne peuvent prouver l'existence d'un nouveau rétrovirus "VIH" que si et seulement si il a d'abord été prouvé qu'ils ont pour origine des particules dotées d'une enveloppe de protéines, ayant un diamètre de 100-120 nm (mais avec le "VIH", les diamètres peuvent désormais être beaucoup plus petits ou plus grands, du moins pour ce qui concerne le "VIH", comme par hasard !), des noyaux internes condensés, des surfaces cloutées, et ayant comme informations génétiques de l'ARN, à l'exclusion de tout ADN, dotées d'une enzyme particulière, à savoir l'enzyme de transcriptase inverse, bourgeonnent et, surtout, sont capables de répliquer et sédimentent à la densité de 1,16 mg/ml (cette caractéristique fait partie de la définition même des rétrovirus). A défaut d'avoir préalablement prouvé cela (à tout le moins la capacité de répliquer et de faire des copies d'elles-mêmes, à partir du sang d'un sidéen [je ne parle à nouveau pas des rétrovirus appelés à tort "VIH" et créés en laboratoire]), les trois preuves en question ne prouvent en aucune façon qu'un nouveau rétrovirus "VIH" aurait été isolé chez un sidéen quel qu'il soit, car elles peuvent recevoir de nombreuses autres explications, beaucoup plus cohérentes au surplus, étant celles du Perth Group. En revanche, si cette preuve avait été apportée (ce que demande le Perth Group depuis 25 ans !), alors effectivement, ces trois preuves auraient plus que vraisemblablement pu prouver qu'un nouveau rétrovirus "VIH" avait effectivement été isolé. Mais cette preuve n'a jamais été apportée. En conclusion, l'existence du "VIH" n'a jamais été prouvée en tant que rétrovirus, exogène ou endogène d'ailleurs. Rappelons pour finir que la prétendue preuve de la réplication découle aussi bien chez Montagnier que chez Gallo uniquement du seul fait qu'une activité de transcriptase inverse a été transmise de culture en culture. Encore une fois, à défaut d'avoir pu préalablement prouvé que cette activité de transcriptase inverse était due à une particule à tout le moins d'apparence rétrovirale, cette prétendue transmission de transcriptase inverse ne saurait évidemment pas prouver que l'on se trouvait effectivement en présence d'une particule rétrovirale, c'est-à-dire ayant la capacité de répliquer. En réalité, ce qui s'est passé, c'est que Montagnier et Gallo ont chaque fois créé les conditions d'apparition (et certainement pas de transmission) de l'activité de transcriptase inverse dans chacune des cultures ! Mais il n'est nul besoin d'un rétrovirus pour expliquer cette apparition. Enfin, certains pourront s'étonner qu'on en revient encore et toujours aux prétendues isolations de Montagnier et Gallo, soit en 1983 et 1984 respectivement. C'est tout simplement dû au fait que tout ce qu'on nous en enseigne encore de nos jours sur le "VIH", jusque dans ses moindres détails (ou presque), découle de ces deux prétendues isolations, lesquelles n'ont tout simplement plus jamais été refaites de façon aussi "complètes" (quoiqu'elles n'étaient déjà pas complètes à l'époque). Dès lors qu'il est constaté que ni Montagnier ni Gallo n'ont isolé quelque rétrovirus "VIH" que ce soit, il n'y a plus d'autre choix que de considérer l'hypothèse rétrovirale du sida comme la plus grande catastrophe scientifique et médicale de tous les temps ! En conclusion, Delwere, à moins de me communiquer les références demandées au début de ce post, merci d'alors admettre que le "VIH" n'a effectivement jamais été isolé en tant que particule ayant la capacité de se répliquer (soit en tant que rétrovirus) et donc d'admettre que le Perth Group est au contraire très convaincant sur le sujet de l'isolation !
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Juste pour préciser qu’en matière de “VIH”, la recherche des anticorps a une fiabilité de 0%. Peu importe le problème du cut off, et à supposer même (ce qui n’est pourtant pas le cas) qu’il aurait été prouvé que les antigènes utilisés sont bien ceux d’un rétrovirus « VIH », il échet de se rappeler que les séropositifs et les sidéens sont médicalement connus pour être tout particulièrement bourrés d’une pléthore d’anticorps de toutes sortes, contre des tas de maladies, virus, bactéries, oxydants, etc... C'est une caractéristique retrouvée chez quasiment tous les sidéens, si pas tous, et à des taux sans commune mesure avec la population "normale". Dès lors, comme le rappelle le Perth Group : - Etant donné que la plupart de ces anticorps réagissent avec les prétendus antigènes du « VIH », - Et étant donné que même les anticorps monoclonaux peuvent réagir avec ces mêmes prétendus antigènes (dans plusieurs articles, le Perth Group a donné les références de cette dernière assertion), Il s’ensuit qu’avant de prétendre qu’un test « VIH » positif est la preuve d’une infection par le « VIH », il est absolument nécessaire d’avoir préalablement vérifié la fiabilité de ce test, c’est-à-dire avoir vérifié qu’un test « VIH » positif chez la personne testée est bien la preuve que cette personne a bien été contaminée par un rétrovirus « VIH ». En d’autres termes, pour s’assurer que le test « VIH » est fiable, il faut préalablement s’assurer sur un premier échantillon test que l’on a bien isolé un rétrovirus « VIH » chez chacune des personnes testée « VIH positif ». En l’occurrence, cette isolation n’a jamais été réussie jusqu’à ce jour. Tout ce qui a pu être (prétendument) « isolé », ce sont des antigènes quelque peu « particuliers », une myriade d’anticorps qui réagissent avec ces antigènes et du matériel génétique « particulier ». Ceci étant, jusqu’à ce jour, la preuve n’a jamais été apportée que ces antigènes et ce matériel génétique ont pour origine un rétrovirus (qui serait au surplus sexuellement transmissible ! LOL), exogène ou endogène d’ailleurs, ni même qu’ils aient pour origine une microvésicule quelconque. A défaut d’avoir pu prouver l’origine rétrovirale (exogène ou endogène d’ailleurs) de ce matériel, l’hypothèse rétrovirale du sida ne peut au mieux qu’être une hypothèse. Mais en réalité, cette hypothèse doit tout simplement être rejetée faute de n’avoir jamais pu isoler le moindre « VIH » chez n’importe quel sidéen, après plus de 25 ans de sida et malgré des centaines de milliards de dollars dépensés. Conclusion : La fiabilité du test « VIH » quant à sa prétention à détecter une prétendue contamination par le « VIH » est de 0% ! Ceci ne signifie pas qu’un test « VIH » positif ne pourrait pas avoir - parfois - une (faible) valeur prédictive d’apparition ultérieure de sida, mais là, il s’agit d’un tout autre débat, sans rapport avec l’existence d’un rétrovirus « VIH ».