Aller au contenu
forum sidasante

wallypat

Modérateurs
  • Compteur de contenus

    1 158
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Days Won

    1

Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Juste une petite réflexion inspirée de la lecture d'un forum de discussion anglais de dissidence du sida et relative au fait que le stress oxydatif peut causer des dommages irréversibles, parfois bien des années plus tard. En effet, en plus de deux ans de dissidence de sida, j'ai pu constater que pas mal de dissidents sont parfois assez ou même très impressionnés (je l'ai été moi-même à mes "débuts") par le fait - inquiétant, il est vrai (et c'est valable pour moi aussi), mais pas pour autant nébuleux - que des séropositifs, même après avoir cessé de s'exposer (parfois pendant plus de dix ou même quinze ans) à des agents oxydants favorisant l'apparition de maladies qualifiées de "sida", après avoir eu une vie "saine et équilibrée", après avoir consommé par exemple des antioxydants des années durant, et bien, dix ou quinze ans plus tard, ils font une maladie qualifiée de "sida" alors qu'ils n'avaient auparavant jamais fait de "sida". Notons que dans ces témoignages, on n'a aucune raison de croire que ceux-ci étaient entre-temps redevenus séronégatifs; que du contraire même, ces témoignages étant souvent invoqués pour tenter de discréditer la dissidence du sida, ou plus précisément la partie de la dissidence défendant l'idée que l'existence du "VIH" en tant que rétrovirus exogène aurait été prouvée mais qu'il serait inoffensif (ce qui va - apparemment - à l'encontre de ces témoignages). Certains dissidents (et/ou aspirants dissidents LOL) sont tellement impressionnés par de tels faits que : - soit ils cherchent à vérifier la véracité de ces témoignages et les nient (quoique je ne doute pas que certains témoignages, mais pas tous, sont bien des affabulations pour tenter de discréditer la dissidence), - soit dépensent une énergie gigantesque et parfois étonnante (à mes yeux, du moins) pour tenter de justifier (par exemple, leur engagement dans la "cause" les a terriblement affaiblis) ces cas de sida apparemment incompréhensibles (quoique j'admets que certaines des justifications invoquées me paraissent bien fondées, mais je doute fort qu'elles puissent justifier l'ensemble de ces cas de "sida" "incompréhensibles" [à tout le moins, dans l'hypothèse du "VIH" inexistant mais inoffensif]), - soit essaient de prouver qu'il ne s'agissait pas de l'une des maladies qualifiées de "sida" (quoique je ne doute également pas que dans certains cas, mais pas tous, cela soit effectivement le cas), - soit carrément essaient de prouver coûte que coûte que ces cas de "sida" "inexpliqués" seraient dus en réalité au fait qu'ils auraient à nouveau consommé du poppers et/ou d'autres drogues, - soit pire encore, se disent que finalement les dissidents (sans faire de distinction dans les courants de pensée) ont tort et adhèrent à nouveau à l'hypothèse rétrovirale du sida, nonobstant la circonstance que l'incongruité de cette hypothèse ait été démontrée à moult reprises. Il faut dire que ce fut la stratégie (que pour ma part je n'estime pas terriblement efficace et impressionnante, en particulier face à l'orthodoxie du sida) qui fut récemment utilisée sur ce forum anglais pour tenter de justifier la mort d'une liste assez impressionnante de dissidents du sida séropositifs, en moyenne entre 30 et 50 ans, militants de longue date et n'ayant jamais fait usage de drogues "antirétrovirales", ainsi que pour justifer le taux de mortalité extrêmement élevé de ceux-ci par rapport à la population séronégative en général de la même tranche d'âge. Et bien, sur ce forum anglais, un dissident eut cette réflexion que j'estime brillante car tellement simple et frappante (en tout cas, à mon égard, elle a fait mouche) que je me demande même pourquoi elle ne l'a encore - visiblement (mais je me trompe peut-être; si c'est le cas, qu'on n'hésite pas à le signaler) - jamais été faite sur ce forum-ci. En effet, il précisa que des fumeurs arrêtent bien de fumer et bien des années plus tard, ils font quand même un cancer du poumon. De même, des alcooliques qui arrêtent de boire peuvent malgré tout et bien des années plus tard faire une cirrhose du foie. Et pourtant, personne n'a jamais eu l'idée de justifier ces cas de cancers de poumon et de cirrhose de foie par je ne sais quel hypothétique rétrovirus qui aurait hiberné pendant quinze ans pour ensuite causer ces maladies-là. Cette explication, par comparaison, me semble très bonne et surtout frappante (d'autant plus que le stress oxydatif joue également un rôle déterminant en matière de cancer et de cirrhose du foie !), pour autant, bien entendu, que l'hypothèse du rétrovirus "VIH" existant mais inoffensif soit rejetée et que l'on admette que l'exposition aux agents oxydants joue un rôle causal à tout le moins déterminant, si pas décisif, dans la survenance du "sida". Plus que jamais, il n'y a donc aucune raison de se laisser impressionner par ces témoignages. Ceci ne signifie bien entendu pas que je ne suis pas (très) inquiet par ces cas de sida "postposés" dans le temps chez des personnes restées séropositives malgré toutes les mesures prises. Loin de là d'ailleurs, puisque je suis également exposé à ce risque. Et je suis d'ailleurs tellement soucieux de ces cas particuliers de sida que depuis maintenant trois mois, j'explore de nouvelles pistes thérapeutiques, étant de plus en plus persuadé que si la solution des antioxydants est probablement l'une des meilleures, si pas la meilleure, et sauvera de nombreux séropositifs, elle ne sera pas nécessairement suffisante pour chaque séropositif (même ceux qui comme moi n'ont jamais fait de "sida") et que d'autres thérapies doivent être appliquées pour éviter le recours aux toxiques drogues "antirétrovirales". Dès que je serai suffisamment avancé dans ces nouvelles recherches et réflexions (j'espère que cela sera le cas dans quelques semaines), je ne manquerai pas d'en faire part.
  2. Voilà une nouvelle bien rafraîchissante et réconfortante ! Si même en France l'orthodoxie du sida commence à mettre en garde ses ouailles contre les "méchants" dissidents du sida et tente de les maintenir dans le "droit chemin", pour moi, cela signifie très clairement que même en France, la pensée dissidente commence à faire son chemin ! En outre, toute publicité, même négative de la part des tenants de l'hypothèse rétrovirale, permettra aux séropositifs d'être informés de l'existence d'une dissidence en la matière et certains ne manqueront pas de s'informer et de se faire leur propre opinion. Voilà qui ne peut que nous encourager à continuer de plus belle. Merci Olivier92 pour cette excellente nouvelle !
  3. Merci Diamant bleue, Aixur, Ecliptux et tous les autres pour le gigantesque travail accompli ! Il aurait été dommage que la dissidence de langue française régresse en raison de la fermeture de ONCT. Pour ma part et pour le moment, je ne détecte aucun bug. Je ne manquerai pas de le signaler si cela devait être le cas.
  4. Super et merci Aixur, Ecliptux et tous les autres ! Cela fonctionne ! Bon, je me lance. Il serait au contraire temps qu'ils aient le courage de remettre leurs convictions « scientifiques » en question, ce que même les meilleurs scientifiques font de temps en temps, et non à continuer à s'accrocher jusqu'au bout à un dogme pseudo scientifique, à savoir l'hypothèse rétrovirale du sida. En conclusion, on constatera aisément que c'est en vain que l'on trouvera dans cet article un début de réfutation aux thèses scientifiques du Perth Group !
  5. Tu poses une question bien difficile. De prime abord, si on est à nouveau redevenu séronégatif, la consommation de NAC me paraît moins justifiée. Dans le cas contraire, et en particulier si on est sous traitements "antirétroviraux", il me semble que continuer à prendre de la NAC est une très bonne idée, voire même une nécessité car le glutathion (plus facilement formé à partir de la NAC justement) constituera un rempart (toutefois le plus souvent imparfait) à la toxicité bien connue des "antirétroviraux". En tout cas, je trouve que c'est une excellente idée d'arrêter progressivement les antirétroviraux comme tu le fais, à savoir ne pas en prendre un jour par semaine, ensuite deux jours par semaine, et ainsi de suite. Cela me semble une excellente idée (je n'y avais jamais pensé) et j'espère que cela fonctionnera. Tiens nous informés.
  6. wallypat

    Guérir le Sida!

    Voici le résumé (en anglais) d'une très intéressante étude, d'où il ressort très clairement que comparées aux femmes séronégatives (qui ont servi de contrôle dans l'étude), les femmes séropositives souffrent de carences en diverses vitamines et oligoéléments. Dans cette étude, ces carences sont clairement associées à une probabilité accrue d'apparition de diverses maladies dites du "sida" (candidose, infections bactériennes du vagin, ...). Evidemment, en raison du mythique "VIH", ces carences ne sont pas considérées comme des causes du sida mais bien comme des "cofacteurs". En tout état de cause, cette étude prouve encore une fois que mesurer ses T4 (et sa prétendue charge "virale") est totalement insuffisant pour suivre efficacement et sur le plan médical les personnes prétendument contaminées par le "VIH". Et souligne encore une fois la nécessité de faire un bilan nutritionnel régulièrement.
  7. C'est toujours très délicat de donner des conseils en cette matière. Seule la personne concernée doit décider en pleine connaissance de cause. Ceci étant, y a-t-il vraiment le feu au lac ? Après tout, tes T4 sont à 196, ce qui me semble très honorable. D'autant plus qu'un tel chiffre, un peu faible (j'étais moi-même à 178 il y a un an, avant de passer fin de l'année passée à 668), peut s'expliquer par tes nombreux problèmes de santé antérieurs et actuels. Ce sont plutôt ceux-ci qui ont causé la baisse de tes T4, et non l'inverse. Quant à la charge bizarrement appelée "virale", il est inutile de perdre son temps avec cela. Reste qu'on est dans le flou. Pour tenter d'interpréter de tels résultats, il serait, me semble-t-il, très judicieux de faire un bilan nutritionnel (malheureusement coûteux) ou, à tout le moins, un bilan de ton stress oxydatif. A défaut de tels bilans, c'est vraiment avancer dans l'inconnu. Bref, c'est vraiment très difficile de donner des conseils +/- éclairés en la matière. Mais de prime abord (mais c'est à toi de voir), il ne me semble pas extrêmement urgent d'user des traitements bizarrement appelés "antirétroviraux" et peut-être ferais-tu bien d'user des voies dites "alternatives" (antioxydants, phytothérapie, oligoéléments, aromathérapie, ...). Evidemment, si ton état de santé devait subitement s'aggraver de façon durable, là, je crois qu'il serait effectivement souhaitable de prendre les traitements dits "antirétroviraux" sans plus tarder. Enfin, c'est évidemment à toi de décider et de prendre tes responsabilités.
  8. wallypat

    homéopathie et sida

    Personnellement, je ne pense pas que l'homéopathie soit le remède miracle et systématique à l'ensemble des maladies artificiellement regroupées sous le vocable "sida" et serait en mesure de soigner tous les gens prétendument "contaminés" par le "VIH", et en ce sens, mais uniquement en ce sens-là, je rejoins l'opinion de La loutre. Ceci étant, lorsque l'on voit ce qu'on appelle pudiquement "les effets secondaires" (qui peuvent passer complètement inaperçus des années durant, tels que les atteintes hépatiques et les cancers les plus divers) des traitements dénommés à tort "antirétroviraux", il va de soi que quasiment n'importe quoi est mieux que ceux-ci. Donc, on peut aisément comprendre que des séropositifs et sidéens préfèrent recourir à l'homéopathie qu'à la toxicité des traitements dits "antirétroviraux". Et s'ils se sentent mieux ou même guérissent grâce à l'homéopathie comme on peut le lire ci ou là dans certains témoignages, on ne peut que les encourager à persévérer dans cette voie (qui n'est évidemment pas la seule, pensons par exemple à la voie des antioxydants).
  9. Personnellement, je ne peux m'empêcher de m'interroger sur lutilité de cette démarche vu que jusquà ce jour, il na jamais été prouvé de quelque façon que ce soit (voir la synthèse collective) que : 1) Le « VIH » existe, et 2) Le « VIH » serait sexuellement transmissible. Au surplus, en suivant l'hypothèse rétrovirale, il sera toujours possible de relier la prétendue contamination à la tout aussi prétendue transmission sexuelle. N'a-t-on par exemple pas lu des témoignages de parents en pleurs, séronégatifs, déclarant que leur bébé était séropositif et que l'explication avancée par l'orthodoxie du sida est ... qu'il a été abusé sexuellement ?! Et si on tombe sur un adulte dont il est sûr qu'il a toujours utilisé le préservatif, il sera alors déclaré qu'il est tombé dans la catégorie rarissime des personnes "contaminées" en raison d'une fellation ou d'un cunnilingus non "protégé". Plus intéressant, me semble-t-il, serait de se demander ce qui dans son style de vie aurait pu positiver le test appelé à tort « VIH ». A cet effet, il serait utile de lire lintégralité de la synthèse collective. Sinon, sur ce forum, on peut trouver ci et là des témoignages de personnes prétendument « contaminées » de façon (hétéro)sexuelle. Lire par exemple ce topic d'où il résulte en définitive que la personne en question a été déclarée « contaminée » par le « VIH » non en raison dune quelconque transmission hétérosexuelle de je ne sais quel mythique rétrovirus « VIH » ... mais bien en raison de lusage dun bronchodilatateur pour asthmatique ! Evidemment, si on suit labracadabrante hypothèse rétrovirale, la situation de cette personne naurait pu que saggraver davantage encore puisquelle aurait perpétuellement continué à ignorer la cause réelle (et vraisemblable) de sa séropositivité.
  10. Pour ce qui me concerne, il va de soi que l'explication aux conclusions de cette étude relevée par Liane est assez évidente, dès lors que l'on sait que l'existence du "VIH" n'a jamais été prouvée. Au contraire des bébés allaités exclusivement au sein, ceux "bénéficiant" d'un allaitement mixte (lait industriel) courent un risque plus élevé de subir des infections variées. Qui dit infections variées dit production d'un plus grand nombre d'anticorps, et, par conséquent, plus grand risque d'un test d'anticorps "VIH" positif. On comprendra tout de suite que cela n'a évidemment aucun rapport quelconque avec je ne sais quel rétrovirus "VIH". Ce sont ces diverses infections, favorisées par l'allaitement au lait industriel, qui seront susceptibles de faire réagir plus facilement les anticorps aux antigènes utilisés dans les tests "VIH" (dont on rappellera une énième fois qu'il n'a jamais été prouvé qu'ils sont les constituants d'un rétrovirus exogène "VIH", et dont il n'a jamais été prouvé que les anticorps réagissent avec une infection par le "VIH" [en revanche, il a déjà été prouvé à de multiples reprises que ces anticorps réagissent avec de tas de VRAIES infections, autre que l'hypothétique "VIH"]). Malheureusement pour le bébé en question, il sera pris dans l'engrenage fatal : il sera déclaré contaminé par le "VIH", avec ensuite une prétendue confirmation grâce à la charge virale, etc... Cette situation est d'autant plus malheureuse et dramatique que comme signalé déjà dans ce post, la seule étude faite avant la "redécouverte" de l'AZT avait clairement établi qu’environ 23% des bébés nés séropositifs redeviennent séronégatifs entre la naissance et le neuvième mois, et qu’environ 59% des bébés nés séropositifs (soit un nombre autrement bien plus important) redeviennent séronégatifs entre le 9ème et le 22ème mois (on peut forcément supposer qu’un certain nombre de bébés, quoique forcément bien moindre [18%], redeviennent également séronégatifs après 22 mois, mais l’étude n’allait pas au-delà visiblement). Certes, cette étude concernait les bébés nés séropositifs mais il n'y a aucune raison de penser que cela ne serait pas également pas le cas pour les bébés prétendument contaminés par le "VIH" peu après la naissance, en raison - soi-disant - de l'allaitement. En résumé, l'étude citée par Liane n'est qu'un bien triste exemple supplémentaire de l'argent gaspillé dans cette chimérique hypothèse rétrovirale du sida. Or, faites sauter le verrou du "VIH", et les explications aux phénomènes constatés deviennent évidentes, sans devoir user des tours de passe-passe abracadabrantesques de l'orthodoxie du sida.
  11. wallypat

    La méthode PCR

    Pour ma part, je ne remets nullement en question la technique du PCR, et en ce sens, je rejoins donc Nico111. Ceci étant, cette technique ne peut être utilisée pour prétendre détecter une prétendue contamination par le "VIH", au moins pour les deux raisons suivantes. 1) Il faut préalablement avoir prouvé que le matériel génétique utilisé par la technique "PCR" est bien originaire d'un rétrovirus "VIH". Cette preuve n'a jamais été apportée jusqu'à ce jour. Au contraire, ce qui s'est passé, c'est qu'au cours des prétendues isolations de Montagnier en 1983 et de Gallo en 1984, du matériel génétique particulier a été découvert (étant justement celui utilisé par la technique du PCR) et a été prétendument attribué à un rétrovirus "VIH" en se fondant sur trois prétendues "preuves". Or l'analyse de ces trois "preuves" permet de constater que non seulement elles ne sont pas spécifiques des rétrovirus, et encore moins d'un nouveau rétrovirus "VIH", mais pire encore, qu'elles sont affreusement banales et communes (activité de transcriptase inverse, photographies de particules d'apparence rétrovirale dans des cultures [et non dans le gradient de densité spécifique des rétrovirus, soit le gradient 1,16 mg/ml], réaction d'anticorps avec des antigènes dont l'origine est inconnue). Par conséquent, la circonstance que la PCR puisse réagir positivement ne prouvera en aucune façon que la personne en question a été contaminée par le mythique rétrovirus "VIH" (au mieux, cela pourra-t-il prédire dans certains cas une prédisposition future à développer des maladies particulières, mais il n'y a nul besoin de "VIH" pour l'expliquer). Ce qu'il aurait fallu faire, et c'est justement ce que l'orthodoxie du sida n'a jamais pu faire, c'est isoler à partir d'un malade du sida le supposé rétrovirus "VIH" lui-même de tous les contaminants, prouver qu'il est capable de répliquer, et ensuite seulement déterminer son matériel génétique après l'avoir "mis en pièces" et séquencé. Alors là, l'orthodoxie du sida pourrait affirmer qu'elle a bien isolé un nouveau rétrovirus "VIH" à partir d'un sidéen. Or, c'est le "raisonnement" inverse qui a été suivi : découverte de matériel génétique particulier et attribution de ce matériel (sur base de preuves en réalité inexistantes) à un nouveau rétrovirus "VIH" pourtant jamais isolé à partir de ne fût-ce qu'un seul malade de sida. 2) Pire encore, à supposer même que l'existence du "VIH" aurait pu avoir été prouvée, la découverte de ce matériel génétique particulier chez un malade ne prouvera cependant pas qu'il a été contaminé par le "VIH". Il faut en effet s'assurer de la fiabilité de la technique du PCR en la matière. Or pour s'assurer de cette fiabilité, il faut par définition comparer le résultat obtenu par la technique PCR avec le seul étalon-or admissible, à savoir le "VIH" lui-même, ce qui permettra de s'assurer que la technique utilisée de PCR n'amplifie chez la personne testée que des séquences du "VIH" et rien d'autre. Le "VIH" n'ayant jamais été isolé, un tel étalon-or n'existe pas et il est donc impossible de prétendre que la technique PCR aurait une quelconque fiabilité à détecter une infection par le très hypothétique "VIH". A cet égard, il est cocasse de noter que la très orthodoxe CDC américaine (que l'on ne peut certainement pas accuser de complaisance à l'égard de la dissidence du sida) déclare elle-même que la PCR ne peut pas être utilisée seule pour détecter une prétendue infection par le "VIH". Elle déclare au contraire que la prétendue contamination par le "VIH" doit d'abord être "confirmée" (LOL) par le test d'anticorps "VIH". Ce n'est que si ce (prétendu) test d'anticorps est positif que la technique PCR pourra être utilisée ensuite pour "confirmer" (LOL) l'infection par le "VIH" et mesure ensuite la prétendue "charge virale" (LOL), l'orthodoxie du sida faisant le pari que dans ce cas de figure, la technique PCR ne ferait qu'amplifier le matériel génétique prétendument attribué au "VIH". Une exception est toutefois prévue par l'orthodoxie du sida, en ce sens que la détection d'une infection par le "VIH" peut et même doit être détectée par la seule technique du PCR (sans donc faire nécessairement et préalablement appel à la technique des tests d'anticorps) chez (et uniquement) les enfants infectés par la voie périnatale (le test des anticorps n'est pas fiable car il pourrait détecter les anticorps produits par l'organisme de la mère, et non par le bébé, par forcément "contaminé" donc). Il faudra cependant m'expliquer d'une part, comment la PCR qui est décrite comme spécifique pour détecter les séquences spécifiques d'un rétrovirus exogène "VIH" ne devrait pas être utilisée seule chez les adultes, les adolescents et les enfants "infectés" via le sang, mais est en revanche recommandé et approuvé pour détecter à elle seule la transmission verticale du "VIH" [?!], et, d'autre part, comment la PCR fait-elle la distinction entre les enfants "infectés" par voie périnatale et par les autres moyens [?!] Ces incohérences résultent justement du fait que le seul étalon-or admissible, à savoir le "VIH" lui-même, n'a jamais été isolé. Conclusion : A défaut de n'avoir jamais pu isoler le "VIH" à partir de ne fût-ce qu'un seul sidéen, la technique du PCR, seule ou avec d'autres techniques, ne saurait être utilisée pour détecter une prétendue contamination par le "VIH", et un résultat positif obtenu par cette technique ne sera donc JAMAIS la preuve d'une contamination par le "VIH" !
  12. Il y a quelques mois, via ce site-ci, le président de cette association visant à faire renverser le mythe du sida rétroviral (et dont le Perth Group est d'ailleurs membre, sauf erreur de ma part) a fait justement un appel en ce sens, et a d'ailleurs reçu des fonds (quelques milliers de dollars, chiffre que je cite de mémoire) qui ont été reversés à l'équipe défendant ce séropositif. On peut supposer que dans quelques mois ou dans un an, un nouvel appel de ce genre sera à nouveau fait. Si c'est le cas, je ne manquerai pas de le signaler sur ce site-ci.
  13. Bonjour Patou. Je suis vraiment désolé de ce qui t'arrive (mais on le sentait déjà venir dans tes posts précédents). Pour une fois, je serais d'accord avec l'orthodoxie du sida et je te conseillerais de reprendre sans tarder les traitements dits "antirétroviraux". Et j'exigerais bien sûr qu'il n'y ait pas d'AZT dans ce traitement. Comme je crois te l'avoir dit dans un précédent post, tu es assurément une victime type de l'hypothèse rétrovirale du sida. J'espère sincèrement que tu te sentiras mieux après avoir commencé les traitements en question. Porte toi bien.
  14. Tu peux immédiatement oublier la référence à ton père car 80 à 90% des hommes de plus de 80-85 ans ont un cancer de la prostate. Si ce n'est qu'à cet âge-là, ce cancer évolue généralement si lentement qu'on n'a pas le temps d'en mourir (sauf exception, comme ton père). En tout cas, je n'ai jamais entendu parler d'un facteur héréditaire à propos du cancer de la prostate (mais je me trompe peut-être).
  15. Tout d'abord, je t'invite premièrement à lire les différents articles (avec de nombreuses références scientifiques) figurant sur sur cette page-ci; cela devrait te permettre de voir plus clair, et de comprendre la suite du post. Ensuite, je ne paniquerais certainement pas, en particulier lorsque l'on sait maintenant que le dosage du PSA n'est tout simplement pas (très) fiable. On sait maintenant depuis plusieurs années que de façon tout simplement générale, des hommes ont des cancers de la prostate alors que leur taux de PSA est bas, et même normal (!) depuis plusieurs années, tandis que d'autres ont un taux de PSA très élevé des années durant sans avoir de cancer de la prostate. Personnellement, je n'ai pas l'intention de passer ce genre de test-là (PSA, donc). Ceci étant, il est absolument certain qu'à ton âge, tu dois commencer à prendre des compléments alimentaires bien spécifiques pour prévenir le plus possible le risque de maladies liées à l'âge, dont le cancer de la prostate. Concernant le cancer de la prostate, j'ai lu récemment (mais pas le temps de retrouver l'article) que le lycopène ne serait pas si utile que cela pour prévenir et encore moins combattre un cancer de la prostate. En revanche, je te conseillerais vivement les compléments suivants, les plus efficaces contre le risque de cancer de prostate. 1) Le sélénium, oligoélément quasiment indispensable contre les cancers en général, et en particulier contre le cancer de la prostate. Je préconiserais 200 microgrammes par jour, mais comme tu n'en as sans doute jamais pris auparavant, je proposerais 300-400 microgrammes par jour durant le premier mois; ensuite, passer à 200 microgrammes par jour. 2) Si tu lis bien les articles référencés dans l'article cité au début de ce post, les produits (naturels) de loin le plus efficace (sur le plan scientifique et dans les faits) pour protéger la prostate sont les deux suivants : le Palmier scie et le Pygeum Africanum, avec de l'huile de pépins de courge qui permet d'amplifier de façon synergique les deux premiers produits cités (en revanche, utilisé seul, l'huile de pépins de courge n'aura qu'un effet assez marginal). Tu peux trouver ces trois produits en un en cliquant ici; pour ma part, je n'hésiterais pas à en prendre deux par jour (un le matin, l'autre le soir). 3) De façon générale, je te conseille de prendre une formulation antioxydante puissante, de nature à retarder au maximum les différentes maladies et autres ennuis de santé liés à l'âge. Cela ne peut d'ailleurs qu'être du tout bon également pour la prostate. 4) Enfin, et non le moindre, je t'invite à réduire de façon drastique, voire même supprimer la consommation des laitages (lait, yaourts, fromages, chocolat au lait) mais également les produits à base un tant soit peu de lait (viennoiseries, tarte, certaines sauces, etc...). Toujours plus d'études (parfois contradictoires, il est vrai) paraissent clairement démontrer un lien entre laitage et cancer, tout particulièrement le cancer du sein et le cancer de la prostate. Lire par exemple (et entre autres) ce petit article. Evidemment, de nombreux autres sites, inféodés de près ou de loin à l'industrie pharmaceutique ou laitière, te diront que "ce n'est pas vrai" ! LOL Mais à ta place, je ne prendrais pas le moindre risque et je cesserai sans tarder la consommation de produits laitiers. Du calcium, tu pourras en trouver dans d'autres aliments (par exemple, le chou) et qui sera surtout bien plus assimilable que le calcium du lait. Je ne te garantis pas que tu n'auras jamais de cancer de la prostate, mais ce qui est certain, c'est qu'en procédant ainsi, tu réduiras d'une façon très conséquente le risque de survenance de cancer de la prostate (ou même empêcher son aggravation, voire parfois le faire régresser); éventuellement, cela fera réduire ton taux de PSA (quoique que cette mesure n'est pas vraiment fort fiable).
  16. Heureusement, on apprend dans cette dépêche (en anglais) que le séropositif en question exercera un recours contre cette décision de justice pour le moins ahurissante (scientifiquement parlant), d'ailleurs fondée sur des opinions de prétendus "experts" ès "VIH", mais non sur des preuves scientifiques. Reste que tout cela va coûter très cher pour le séropositif en question, en terme financier je veux dire.
  17. wallypat

    Guérir le Sida!

    Un protocole nutritionnel intéressant, qui reste toujours d'actualité et bien sûr sans tri"thérapie": SOURCE
  18. Personne ne contracte de sida car l'existence d'un rétrovirus "VIH" n'a jamais été prouvée. Or s'il n'y a pas de "VIH", il n'y a pas de sida ... vu qu'il n'y a pas de sida sans "VIH". En revanche, via cette aiguille contaminée, la personne en question pourrait par exemple contracter le virus de l'hépatite B (parmi de nombreux autres exemples). Or il est bien connu que les anticorps contre le virus de l'hépatite B peuvent faire réagir positivement le test appelé par erreur "VIH". Et c'est ainsi que l'on dira qu'une personne aura été contaminée par le sida ! LOL Pour le reste, la synthèse me paraît déjà très bien expliquer tout cela.
  19. Blague à part, à mon avis, il ne fait aucun doute que le moustique peut transmettre le "sida". Non pas parce que le moustique pourrait transmettre un mystérieux et invisible rétrovirus "VIH" mais bien parce que les anticorps du paludisme (ou malaria) font partie des bien nombreux et variés anticorps pouvant faire réagir positivement le test appelé par erreur "VIH" (voir références dans la partie de la synthèse consacrée aux tests "VIH"). Etant donné que le moustique est le vecteur (ou à tout le moins son vecteur le plus important, semble-t-il) du paludisme et étant donné que plusieurs millions de cas improprement qualifiés de "sida" ne sont rien d'autre que des millions de cas de paludisme (tout particulièrement en Afrique, prétendument ravagé par le sida), en suivant la "logique" même de l'orthodoxie du sida quant à sa définition du mot "sida", il y a donc lieu de conclure que le moustique est effectivement à l'origine de millions de cas de "sida" par an dans le monde. Mais on aura compris (si ce n'est pas encore le cas, lisez la synthèse collective) que cela n'a strictement rien à voir avec quelque "VIH" que ce soit mais bien à la définition artificielle du mot "sida" (être positif un moment donné [même si ce n'est plus le cas ensuite] au test non spécifique appelé par erreur "VIH" et subir l'une des trentaines de maladies/symptômes artificiellement qualifiés de sida si le test "VIH" a été ne fût-ce qu'une seule fois positif auparavant : dont entre autres diarrhées, amigrissement, ...). PS : Je me suis toujours interrogé sur la prétendue explication avancée par l'establishment du sida pour expliquer que le moustique ne puisse pas transmettre le prétendu rétrovirus "VIH", à savoir qu'il n'y aurait pas assez de sang pour prétendument contaminer une personne. Car si cette quantité n'est pas suffisante pour un moustique, cette quantité est en revanche plus que suffisante pour contaminer une personne qui s'est piquée avec une aiguille prétendument contaminée ?! Comprenne qui pourra !
  20. Juste pour signaler qu'en un an, la synthèse collective a maintenant été lue (pas forcément dans sa totalité) plus de 30.000 fois. Je crois que c'est pas mal du tout, quand bien même cela pourrait encore être mieux.
  21. Merci pour ton témoignage et tes encouragements, Yacre. Ceux-ci sont toujours les bienvenus. J'espère que tout ce que tu liras dans ce forum te permettra d'aller bien mieux.
  22. wallypat

    Guérir le Sida!

    Comme expliqué dans cette petite dépêche du 2 mai dernier (en anglais), l'establishment du sida vient de faire une nouvelle découverte "fondamentale" et "incroyable" : le thé vert (pas les "médicaments" dits "antirétroviraux", comme précisé expressément dans cette dépêche même) aurait la capacité de protéger les gens prétendument contaminés par le "VIH" contre la démence "causée" (prétendument) par le "VIH". On remarquera, et ce n'est évidemment pas un hasard, que le thé vert est justement un antioxydant (relativement bien puissant, semble-t-il). Voilà qui ne fait que confirmer (hélas avec 20 ans de retard) les affirmations du Perth Group selon lesquelles les séropositifs doivent en premier lieu être traités avec des antioxydants, et non avec des médicaments prétendument "antirétroviraux".
  23. Quant à moi, j'ai malheureusement de nombreux problèmes personnels à résoudre et cela prendra beaucoup ... beaucoup de temps. Raison pour laquelle j'interviens beaucoup moins souvent. D'autant plus que personne n'arrive à prouver sur ce forum que le "VIH" serait la cause du sida. Quelque part, je suis d'avis que le sujet est clos sur les points principaux. Ceux-ci ont été abordés à de multiples reprises au travers des différents sujets de ce forum, et la synthèse peut sans doute être considérée comme une sorte de fil conducteur. Il va de soi que ce forum doit continuer à exister, entre autres pour tous ceux qui découvrent la dissidence du sida, mais je ne pense pas qu'il soit à cet effet nécessaire que des messages soient postés tous les jours. Ma foi, répéter une énième fois des choses qui ont déjà été dites et prouvées par le passé des centaines de fois ne fera pas avancer les choses. Je ne peux m'empêcher de penser que si le forum "sida" est relativement calme, c'est tout simplement parce que les dissidents du sida ont raison et que leurs opposants n'essaient même plus de tenter de les contredire, comme cela a souvent été le cas auparavant sur ce forum. Pour le reste, je pense que le maître mot restera la patience, le temps de survivre à cette folie rétrovirale ambiante et d'éviter d'être contaminé par celle-ci. Il me semble clair que la pensée dissidente du sida progresse lentement et sûrement, entre autres via internet. Tôt ou tard, l'abracadabrantesque édifice rétroviral du sida craquera au grand jour, comme cela est déjà le cas sur internet. Sinon, merci à Nagon pour ses encouragements.
  24. On apprend ce jour que le juge australien a finalement décidé de ne pas autoriser Parenzee à faire appel du jugement qui lavait condamné. En dautres termes, le juge considère que lexistence du « VIH » chez les séropositifs et les sidéens aurait été prouvée. En ce moment, jignore encore quels sont les arguments invoqués par le juge qui sous-tendent cette décision de justice pour le moins extrêmement critiquable. Gageons que le prétendu consensus scientifique sera largument principalement retenu par le juge à cet effet. Lorthodoxie du sida a sans doute remporté une victoire morale, à défaut de navoir jamais pu remporter la bataille scientifique. Car, ne loublions pas, le procès qui a eu lieu était davantage un débat politique et moral quun débat scientifique. Ce dernier a déjà eu lieu de février 2003 à avril 2005 et lorthodoxie du sida la déjà perdu. Il suffit à cet égard de se rendre à cette adresse-ci.
  25. Etant donné que je me les suis toujours procurés sur ce même site et que j'en ai toujours été satisfait, je n'ai jusqu'à maintenant jamais éprouvé le besoin de vérifier si on pouvait s'en procurer sur d'autres sites. Je ne suis donc malheureusement pas d'une grande aide en la matière. Peut-être que d'autres personnes pourront t'aider, à moins que tu fasses toi-même la recherche en question.
×
×
  • Créer...