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wallypat

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Tout ce qui a été posté par wallypat

  1. Juste un petit mot avant de partir en vacances (je pars dans quelques heures) au sujet du contenu de cet article. Un lecteur non familiarisé avec le sujet pourrait en effet croire qu'en faisant usage de cette nouvelle molécule, il aurait été constaté que le rétrovirus "VIH" ne se répliquerait plus, aurait muté, etc... Evidemment, il n'en est rien. Pour expliquer les résultats figurant dans cet articles, il y a au moins deux hypothèses envisageables (à défaut d'autres précisions dans cet article). 1) Cette étude a été faite in vitro avec ce qui est appelé des "clones infectieux du "VIH"". (lol) Si c'est le cas, cette étude ne prouve en aucune façon qu'un rétrovirus exogène "VIH" aurait subi tel ou tel changement. En effet, comme on l'a déjà vu à plusieurs reprises, ces "clones infectieux du "VIH"" ne sont au mieux que des rétrovirus endogènes qui ont été créés - avec grande difficulté et après de nombreux essais infructueux - en laboratoire, dont il n'a jamais été prouvé qu'ils provoquent l'apoptose des lymphocytes T4 et encore moins qu'ils sont infectieux. Dans ces conditions, il est sans intérêt de savoir que telle ou telle molécule ferait telle ou telle chose à ces "clones" vu que ceux-ci ne constituent pas des "VIH". Ceci explique pourquoi in vivo (soit chez les sidéens) certaines molécules qui s'avéraient prometteuses in vitro sont en effet chez les malades (exactement comme les vaccins anti-"VIH" qui s'avèrent très prometteurs in vitro, sur ces soi-disant clones du "VIH", mais qui se révèlent finalement être désastreux ... une fois essayés sur des patients !). Et si parfois, elles auraient un effet positif, cette amélioration se mesure en diminution de la charge dite "virale". Or on sait maintenant qu'il n'y a aucune espèce de causalité entre une diminution de la charge "virale" et une éventuelle amélioration de la santé clinique du patient. Et encore plus important, jusqu'à ce jour, il n'a jamais été prouvé que "charge virale" = ARN de "VIH" chez un patient prétendument contaminé. En outre, toujours quand elles ont un effet (relativement) positif, celui-ci peut être expliqué autrement, en commençant par la structure chimique de la molécule. 2) Cette étude a été faite in vivo chez des séropositifs. Encore une fois, tout ce qui est constaté sur le plan biochimique (sur le plan clinique, on ne sait même pas si le malade se sent cliniquement mieux), c'est la modification de matériel génétique, de protéines, ... prétendument attribués au "VIH". Et ainsi, les auteurs de l'étude martèlent-ils que c'est le "VIH" qui aurait fait (ou n'aurait pas fait) telle ou telle chose. Evidemment, il n'en est rien faute de n'avoir jamais prouvé que ces protéines, matériel génétique, ... seraient les constituants d'un rétrovirus exogène "VIH" ayant contaminé les malades. A défaut d'avoir apporté cette preuve, une hypothèse plus vraisemblable est de dire que cette molécule modifierait certaines protéines, du matériel génétique, ... produits par l'exposition des malades aux agents oxydants, et peut-être réduirait les conséquences cliniques de cette exposition aux agents oxydants. On ne peut effectivement pas exlure que cette molécule puisse dans le futur améliorer la santé du malade mais le lecteur l'aura compris, cette amélioration n'aura strictement rien à voir avec un quelconque effet sur un rétrovirus exogène "VIH" qui aurait contaminé les séropositifs. Sinon, bravo pour la pugnacité des dissidents faisant valoir leur opinion sur cet autre site ! PS : Il est peu probable que j'aurai souvent l'occasion d'intervenir au cours des deux prochaines semaines, étant en vacances à l'étranger et probablement loin d'une connection régulière à internet. PS : Je me réjouis que ton épouse aille mieux, Keiser.
  2. wallypat

    Guérir le Sida!

    Voici une excellente étude scientifique (anglaise), qui vient juste de sortir, et d'où il ressort très clairement qu'en moyenne, les personnes prenant sur le long terme des complexes de multivitamines sont en bien meilleure santé que ceux qui ne prennent aucun complément vitaminique ou que ceux qui se contentent de ne consommer que quelques compléments vitaminiques ou des multivitamines bon marché. Notons entre autres, et c'est important en matière de sida, que les marqueurs de l'inflammation (tels qu'un niveau d'homocystéine élevé ou un niveau élevé de la protéine C-réactive) sont notablement moins élevés chez les personnes consommant un complexe de multivitamines digne de ce nom. Je reproduis ci-dessous le résumé de cette étude :
  3. Excellente analyse, à mon sens ! Entre-temps, j'ai trouvé quelques infos sur le cas d'Haïti. Ici :
  4. J’ai déplacé ton post dans ce topic-ci car il a déjà été répondu quelques dizaine de fois à tes questions. Je t’invite vivement à lire préalablement cette synthèse, laquelle permettra de répondre à bon nombre de tes questions. Si tu lis la synthèse, tu comprendras qu’il n’a jamais été nié que les sidéens font réellement des maladies (qui n’ont cependant rien de nouveau, quoique certaines d’entre elles étaient rares auparavant mais pas nouvelles pour autant), artificiellement qualifiées de « sida ». En revanche, il n’a jamais été prouvé que la survenance de ces maladies serait le résultat d’une hypothétique infection par un rétrovirus exogène « VIH ». Ces maladies peuvent être expliquées avant tout par l’exposition des maladies aux agents oxydants, en particulier azotés, et sans qu’il soit besoin de faire intervenir du « VIH » pour l’expliquer (ce qui n’a rien d’étonnant dès lors que l’on constate que l’existence, soit l’isolement-purification, du « VIH » n’a en réalité jamais été prouvée chez ne fût-ce qu’un seul sidéen). Je t'invite à lire ce topic.
  5. C’est bien par le biais d’articles de ce genre que l’on fait croire aux gens que le “VIH” aurait été isolé et que les scientifiques le connaîtraient très bien. Tout d’abord, jusqu’à ce jour, on n’a jamais réussi à isoler un rétrovirus « VIH », même chez un séropositif ayant une charge « virale » astronomique. Par isolation, il faut bien sûr entendre par là une particule d’apparence rétrovirale douée de la capacité de se répliquer. Ensuite, la prétendue « isolation » dont il est question dans cet article et utilisée pour relier les cas de « sida » des USA à ceux d’Haïti découle uniquement de l’analyse du matériel génétique. Contrairement à ce que le lecteur lambda serait en droit de croire, cette isolation ne découle pas du fait qu’on aurait détecté le génome du « VIH » dans chacun des cas étudiés (jusqu’à ce jour, on n'a JAMAIS pu détecter le génome entier prétendument attribué au « VIH », même chez ne fût-ce qu’un sidéen ayant une charge « virale » astronomique) mais bien des bribes de matériel génétique prétendument attribuées au « VIH ». Ensuite, en fonction des points de correspondance entre ces différents matériels génétiques, les « experts » ès « VIH » en ont déduit que le « VIH » ayant contaminé les premiers sidéens des USA viendrait à l’origine d’un « VIH » ayant contaminé des Haïtiens. Ce raisonnement de l’orthodoxie du sida est de prime abord séduisant et convaincant, mais en réalité, il n’en est strictement rien. En effet, comme je l’ai déjà signalé à multiples reprises, les techniques génétiques ne peuvent être utilisées pour isoler le « VIH » chez un patient (et, le cas échéant, comme dans cet article, établir des corrélations éventuelles entre les différents « VIH » des patients testés) que si et seulement si il a déjà été démontré une première fois que le matériel génétique utilisé est bien originaire d’une entité moléculaire infectieuse dénommé « VIH » ayant infecté les sidéens, c’est-à-dire une particule ayant les caractéristiques morphologiques, chimiques et réplicatives des rétrovirus ( = une isolation), et au surplus, que l’on ne trouverait que dans le « VIH ». En l’occurrence, jusqu’à ce jour, il n’a jamais été prouvé (mais bien uniquement hypothétisé sur base de marqueurs pourtant non spécifiques des rétrovirus, et encore moins d’un nouveau rétrovirus « VIH ») que ce matériel génétique a bien pour origine un rétrovirus « VIH » qui aurait contaminé les séropositifs et les sidéens. Par conséquent, il a encore moins été prouvé que ce matériel génétique (utilisé comme dans l’article pour prétendument relier des variantes de « VIH ») serait spécifique du seul rétrovirus « VIH », par ailleurs inexistant. En d’autres termes, les techniques génétiques utilisées par l’orthodoxie du sida revient (du moins en matière de « VIH ») en définitive à faire en quelque sorte une recherche de paternité en s’appuyant sur du matériel génétique dont on ne sait même pas s’il est humain ou ne proviendrait par exemple pas d’un singe, et en cas de correspondance, à prétendre que telle personne (humaine) serait bien le père de tel bébé ! Il va de soi qu’un tel scénario est – en principe - impossible pour l’homme car la preuve a été faite que le matériel génétique utilisé a bien pour origine l’homme, lui est extrêmement caractéristique et ne se retrouverait pas dans d’autres « choses »; en revanche, cette preuve n’a jamais été apportée jusqu’à ce jour en matière de « VIH ». Il s’ensuit que l’article reproduit ci-dessus ne constitue qu’un bourrage de crâne de plus, complètement stupide et scientifiquement non étayé.
  6. Pour moi, des changements sur ces points ne me posent pas de problème particulier car de toute façon, ce sera déjà bien plus clair qu'auparavant. Ceci étant dit, je me demande s'il est opportun de forcément créer un sous-forum rien que pour les témoignages, et ce au moins pour les deux raisons suivantes : - De nombreux témoignages sont en même temps des présentations des intervenants. - Avons-nous réellement intérêt à insister autant sur les témoignages à un point tel qu'un sous-forum serait consacré à ceux-ci exclusivement alors que pour visiblement près de la moitié d'entre eux (si pas plus), ceux-ci soit ne sont visiblement plus de ce monde soit sont à nouveau sous traitements "antirétroviraux" ? En revanche, cela me semble finalement une bonne idée de fusionner les deux "Divers" en un seul sous-forum intitulé "Inclassables", d'autant plus que les "Divers Hors VIH", il n 'y en a pas beaucoup de prime abord (par exemple : un topic sur les [vraies] MST, un autre topic sur les condylomes, ...). Sinon, j'ai une suggestion supplémentaire : quand le classement aura été terminé, je propose que le sous-forum qui s'appelle maintenant "La dissidence du SIDA (en cours de classement)" soit ensuite appelé "Les sujets importants" ou "Les sujets phares" (ou appelé autrement, selon les suggestions à venir) et reprennent les trois sujets qui s'y trouvent déjà (soit "Le VIH ne causerait pas le sida", "Synthèse des sujets sur le sida" et "Mark Griffiths") mais qu'on y ajoute au moins les autres topics intitulés "Guérir le sida !", "Le glutathion" et "Oxyde nitrique") car sauf erreur de ma part, non seulement ces trois topics constituent ceux ayant le plus de références scientifiques (hormis bien sûr le topic "Le VIH ne causerait pas le sida") mais revêtent en outre un intérêt pratique immédiat (on rentre directement dans les causes du "sida" et dans les meilleurs façon de le prévenir, voire guérir). Cet éventuel futur nouveau sous-forum comporterait donc au moins six topics (que je classerais dans l'ordre suivant : "Le VIH ne causerait pas le sida", "Synthèse des sujets sur le sida", "Guérir le sida !", "Le glutathion", "Oxyde nitrique et enfin "Mark Griffiths" (en dernier lieu, uniquement parce que ce topic ne comporte quasiment pas de références scientifiques), et bien sûr, comme c'est déjà le cas maintenant, on ne pourrait pas y créer de nouveaux sujets comme on peut le faire dans les autres sous-forums.
  7. Pour ma part, je suis d'accord avec l'ensemble des remarques aussi. Concernant "isolation", je me suis laissé piéger par la traduction anglaise et il me semble qu'en effet, "isolement" est le terme adéquat. Et je pense que l'on peut en effet compléter le titre comme proposé initialement. Donc, si Ecliptux n'a pas d'objection, il est donc suggéré : - qu' Isolation du "VIH" soit remplacé par Isolement du "VIH" : test "VIH", tests génétiques, ... - et que le passage "Contrairement aux autres virus, le VIH n'a jamais été isolé..." soit donc supprimé (faisant trop référence au seul sujet de "l'isolement pur").
  8. Oui, effectivement. Je crois que l'on peut raccourcir par simplement "Réactions de l’orthodoxie et de la dissidence du sida". Dans ce sous-forum, j'y voyais entre autres - les différents topics où l'on constate que les forums orthodoxes du sida censurent et excommunient les dissidents du sida, - les topics (parfois très courts) où certains dissidents font part de leurs états d'âme sur le sujet, voire leur désespoir de constater que les choses ne changent pas assez vite, - ou encore par exemple le topic créé récemment par Ecliptux où l'on constate que Le Monde tente de récupérer les brebis égarés. Donc, les sous-forums seraient intitulés (sauf autres suggestions) : - Isolation du "VIH" - Sida et séropositivité : causes, facteurs, « transmission », agents oxydants et stress oxydatif, … - Traitements - Présentations, témoignages et questions des nouveaux venus - Statistiques et épidémiologie - Actualités et presse - Réactions de l’orthodoxie et de la dissidence du sida - Divers "VIH" - Divers hors "VIH" On ne peut toutefois exclure que dans quelques cas, certains topics soient bons pour deux (ou même plusieurs) sous-forums, auquel cas il faudrait essayer de choisir le sous-forum le plus approprié. En tout cas, je pense que ce sera de toute façon un peu plus clair que la présentation actuelle. Mais cela ne devrait pas pour autant constituer une excuse pour créer à nouveau de nombreux autres topics à l'avenir.
  9. A vrai dire, je n’ai jamais pensé à réorganiser de si nombreux topics (rejoignant ainsi la préoccupation d'Aixur). J’ai rédigé ce post au départ pour qu’on ne pense pas que certains posts auraient été supprimés dans le cadre de la rembinaison et réorganisation de certains topcics (par exemple, j’ai trouvé avant-hier 6 topics différents sur les sidactions de ces dernières années, je les ai combinés pour former un seul topic). Mais il me paraît difficile de combiner de nombreux topics. En revanche, je crois qu’il serait utile de placer certains topics phares et très utiles pour les séropositifs quant aux causes du sida et aux traitements au même niveau que les topics « Le VIH ne serait pas la cause du sida » , etc… et en dessous de ceux-ci. Je pense tout particulièrement aux trois topics suivants (qui en outre sont certainement ceux qui comportent le plus de références scientifiques) que je proposerais de placer dorénavant dans cette section-là du forum, à savoir : - "le Glutathion" - "Guérir le sida !" - "Oxyde nitrique" Concernant l’idée d’Ecliptux de créer des sous-forums, cela me semble être une très bonne idée car ce faisant, il n’est plus aussi nécessaire d’absolument regrouper certains topics. Reste à trouver l’intitulé de ces différentes sous-forums. Pour ma part, je propose déjà ce qui suit : - Isolation du « VIH » : test « VIH », tests génétiques, … - Traitements - Sida et séropositivité : causes, facteurs, « transmission », agents oxydants et stress oxydatif, … - Actualités - Présentations et témoignages - Réactions de l’orthodoxie et de la dissidence du sida lorsqu’elles sont confrontées", et autres « coups de gueule » - Statistiques et épidémiologie - Divers (soit le sous-forum où on laisserait les topics consacrés au « VIH » qui ne pourraient pas être classés dans les autres). - Topics hors « VIH » ou presque (devant rester exceptionnels) Lorsque des sous-forum seront créés, je veux bien essayer de reclasser ensuite les topics dans ceux-ci (du moins quand j’ai le temps et pour autant que j’en ai la possibilité technique).
  10. Bonjour à tous. Juste pour signaler que quand j'ai un peu de temps libre, je tâcherai de recombiner progressivement certains topics du forum, et ce afin de soulager et de diminuer dans une (faible) mesure le nombre extrêmement élevé des sujets abordés, au besoin en adaptant/complétant le nom du sujet. Les intervenants ne doivent donc pas craindre que leurs messages soient effacés (sauf exceptions rarissimes, tels que les orthodoxes du sida qui se comporteraient sur ce forum comme un éléphant dans un magasin de porcelaine); ils seront juste déplacés. Ainsi, y avait-il deux sujets consacrés à la lipodystrophie : il m'a semblé cohérent de regrouper ceux-ci. De même, les questions des nouveaux venus, qui constituent le plus souvent des redites de sujets déjà abordées de façon approfondie, seront regroupées dans le même topic, pour le moment appelé : "Nouveau venu ... Déjà perdu". Et ceci dans l'intérêt même du lecteur et d'une meilleure compréhension des sujets.
  11. Oui, cela peut être un cas intéressant. Mais je pense que les orthodoxes du sida diront que s'il y a peu de séropositifs à l'heure actuelle dans le milieu "porno", c'est parce que les acteurs font régulièrement des contrôles "VIH" et le plus souvent utilisent des préservatifs (très certainement dans le milieu "gay porno").
  12. Tu as certainement dû lire cela dans l’ouvrage de De Harven (Les dix plus gros mensonges sur le sida) où il ne paraît pas faire dans la nuance au sujet des traitements « antirétroviraux ». Contrairement à ce qu’il dit dans son ouvrage, ces traitements sont parfois bienfaisants. Mais à sa décharge, il faut reconnaître que son ouvrage est extrêment petit, ne peut constituer qu’un résumé et il ne peut donc pas nuancer certains de ces propos, comme celui-là (les traitements « antirétroviraux » seraient toujours malfaisants). Concernant la question des traitements, tu trouveras déjà pas mal d’infos dans le « Chapitre VII : Traiter la séropositivité et le sida » de la synthèse collective. En (très fort) résumé, le premier « traitement » donné aux séropositifs fut l’AZT en mono"thérapie", de 1987 à 1996. Il ne fait maintenant plus guère de doute que l’AZT en monothérapie n’était rien d’autre que du « sida » sur ordonnance. Si dans un premier temps, l’AZT pouvait très provisoirement améliorer la situation (entre autres, en raison de son extrême toxicité qui faisait artificiellement réagir le corps en faisant augmenter son nombre de T4), à moyen et long terme, il a surtout eu pour effet d’accélérer l’évolution vers le « sida ». D’ailleurs, on retrouve l’extrême majorité des survivants à long terme (sans symptômes et sans traitement) chez ceux qui n’ont jamais embarqué dans le train de l’AZT. En revanche, à partir de 1996 et l’apparition des cocktails dits thérapeutiques, on ne peut plus affirmer que ces traitements provoqueraient systématiquement le « sida ». Au contraire, on peut raisonnablement admettre que dans les cas graves, les traitements dits « antirétroviraux » permettent d’améliorer la situation. Ceci étant, vu leur toxicité (pas plus tard qu’hier, j’ai encore lu par exemple une petite étude scientifique où il ressortait clairement que les séropositifs sous traitements « antirétroviraux » ont 8 fois plus de « chance « d’avoir un cancer du poumon et 22 fois plus de « chance » d’avoir un cancer de l’anus ou des testicules) et leurs dommages parfois irréversibles, j’estime pour ma part que ces traitements doivent être réservés aux cas critiques. Et ce d’autant plus qu’il n’a jamais été prouvé que la (relative) efficacité de ces traitements serait expliquée par leurs propriétés « antirétrovirales », mais est au contraire expliqué pour diverses raisons, telles que les propriétés antioxidantes de certains traitements (lamivudine par exemple) que dans un bon nombre de cas (mais pas tous), on pourrait atteindre en utilisant, non des traitements antirétroviraux, mais bien des antioxidants, tels que le sélénium, N-acétyl-cystéine, Vitamine C, … Et ce en attendant de redevenir éventuellement séronégatif. Bref, les traitements « antirétroviraux » me paraissent être justifiés que dans les cas graves où même après cessation de l’exposition aux agents oxydants (étant donc ce qui cause le « sida ») et prise de certains compléments alimentaires, la santé du séropositif continue à s’aggraver inexorablement, ce qui malheureusement peut arriver (sans qu’il faille d’ailleurs expliquer cela par je ne sais quel rétrovirus « VIH »). Je t’invite à prendre le temps nécessaire pour lire la synthèse collective et les différentes interventions qui ont déjà eu lieu sur ce forum car tu trouveras en principe la réponse à la plupart de tes questions.
  13. Tiens, voilà un nouvel adorateur du "VIH" qui, bien entendu, ne se donne même pas la peine de lire sérieusement ce qui est écrit sur ce forum. Ne serait-ce pas le "dongiovanni" de ce même forum ? Pour ma part, je ne m'abaisserai pas au niveau de ce post ni perdrai de temps avec les "arguments" y "développés", j'ai vraiment mieux à faire. Ou plutôt si : ce post mérite très largement un PNI !
  14. Je suis bien entendu d'accord avec tes propos, Mékissety. Mais en réalité, je tiens à éviter que certains personnes arrêtent ses traitements "antirétroviraux" en pensant que tout va aller bien dans le meilleur des mondes. Je n'ai pas tellement envie de lire de nouveaux témoignages de personnes ayant arrêté les traitements "antirétroviraux" et qui un ou deux ans plus tard annoncent qu'ils vont au plus mal, sont presque mourants, décrivent des symptômes fortement apparents à des maladies particulières (genre toxoplasmose par exemple) appelées "sida", et puis plus de nouvelles. Et il y en a quelques-uns sur le forum dont on n'a plus eu de nouvelles depuis plusieurs années. Il faut bien se rendre à l'évidence et admettre ce qu'il leur est arrivé. Maintenant, il est vrai qu'on est réellement dans la "m..de" pour savoir par qui se faire suivre. Je n'ai malheureusement pas de recettes à ce sujet. Personnellement, je vais chez un médecin nutritionniste, mais de temps en temps (pas plus d'une fois par an). Je reconnais que je n'ai pas de solutions miracles, malheureusement. Et il est vrai que moi-même, je n'ai plus aucune confiance dans la médecine, hormis la médecine d'urgence (et encore). Et je souhaite que tout le monde puisse arrêter - définitivement - ses traitements "antirétroviraux". Et certains y arriveront. Mais d'autres pas. C'est surtout à ceux-là que je pensais. Il n'y a pas de honte à prendre des traitements "antirétroviraux" si vraiment, il n'y a apparemment pas d'autres solutions. Il est parfaitement possible d'être un dissident du sida et de devoir prendre de tels traitements. Ce n'est pas antinomique. En revanche, si un dissident du sida prend de tels traitements en prétendant qu'il va mieux parce que ses traitements combattraient un rétrovirus "VIH" qui l'aurait contaminé, alors là, évidemment, il n'est plus un dissident du tout.
  15. Bonjour Colombe et bienvenue. Concernant la lipodystrophie, il semble que ce soit au cas par cas (tout comme la toxicité des traitements dits « antirétroviraux » varie en fonction des individus). Certains ne voient pas le problème se résorber, même plusieurs années après l’arrêt des traitements, tandis que d’autres constatent déjà une amélioration quelques mois plus tard. Bref, la lipodystrophie peut parfois être irréversible. Je souhaite vivement que tu puisses t’en sortir sans traitement « antirétroviral ». Attention toutefois si tu arrêtes. Il est absolument nécessaire que tu sois suivie. En effet, la plupart du temps, ceux qui arrêtent se portent bien dans les mois qui suivent et ressentent une très nette amélioration. De nombreux dissidents vont ensuite se focaliser sur les témoignages de ceux qui ont arrêté depuis plusieurs années et se portent toujours aussi bien. En revanche, ces mêmes dissidents font mine d’ignorer ceux qui ont arrêté les traitements dits « antirétroviraux », se sentent hyper bien durant les deux ou trois années qui suivent … et plus tard sont bien obligés de devoir les reprendre ou même meurent pour avoir refusé par principe de les reprendre. Donc, la plus grande prudence à ce sujet. Les traitements « antirétroviraux » sont très toxiques et nuisibles pour la santé mais parfois constituent un mal nécessaire. Et sur ce point, je me distancie des propos tenus par De Harven dans l’ouvrage (qui constitue bien entendu une très bonne introduction sur le sujet) que tu as cité. Ces considérations n'empêchent pas que je reste un opposant farouche aux traitements dits "antirétroviraux", lesquels ne devraient être utilisés à mon sens qu'à défaut d'autre possibilité moins toxique pour la santé.
  16. En tout cas, ce qui me semble certain, c'est que le "VIH" ne peut certainement pas être la cause de ton anémie, son existence n'ayant jamais été prouvée. En revanche, les traitements dits "antirétroviraux" comportent une liste effrayante d'effets secondaires, dont l'anémie. En cliquant sur cette liste (en anglais), on peut trouver une liste - non exhaustive d'ailleurs - des effets secondaires des traitements dits "antirétroviraux". L'anémie est citée à de nombreuses reprises. Et de façon générale, ces traitements sont parfaitement en mesure de causer des dommages irréversibles. A commencer déjà simplement par le "simple" bactrim qui, au bout de 15 jours d'utilisation, cause déjà des dégâts génétiques irréversibles, chose déjà connue à la fin des années 70, pour ce qui concerne le Bactrim du moins. C'était tellement bien connu que l'usage du Bactrim était rarissime et très fortement limité dans le temps. Mais avec l'avènement du "sida", une dérogation fut introduite dans ces cas-là pour un usage allant bien au-delà de 15 jours. Et comme précisé dans le passage en anglais cité ci-dessous, les traitements dits "antirétroviraux" sont toxiques pour les mitochondries, même avec la lamivudine (3TC), semble-t-il. Et comme précisé dans ce passage, les dégâts causés par cette toxicité mitochondriale peuvent être temporaires mais aussi définitifs, malheureusement : Bref, je pense pour ma part que l'une des causes probables de tes problèmes de santé est certainement l'usage antérieur de traitements dits "antirétroviraux", quand bien même je concéderais bien volontiers que par le passé, tu n'as pas pu avoir d'autres choix que de devoir les utiliser. On comprend toutefois mieux la gêne et les bafouillages de ton médecin.
  17. wallypat

    nouvelle

    J'ai effectivement vécu aussi à quelques reprises la mésaventure de nakamal. Depuis lors, et en particulier pour les longs posts, je procède de la façon expliquée par Aixur.
  18. En tout cas, si de telles personnalités existent, elles sont pour le moins très discrètes ! Et cela ne m'étonne pas car il faudrait déjà que des gens "connus" : 1) S'intéressent à la question du sida (ce qui constitue déjà un dossier casse-gueule); 2) Soient informés de l'existence d'une dissidence du sida; 3) Soient assez suicidaires pour prendre fait et cause pour la dissidence du sida et, corrélativement, prêts à saborder leur carrière. En d'autres termes, faire la promotion de la dissidence du sida n'est pas rémunérateur (exactement tout le contraire de l'hypothèse rétrovirale), et dans le meilleur des cas, revient à devenir la risée de tous. Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de stars prêts à jouer dans un tel scénario. Et donc je ne pense pas que l'on verra de sitôt des gens connus (hormis bien sûr les scientifiques) prêts à s'interroger publiquement sur les causes réelles du "sida". En revanche, lorsque la dissidence du sida triomphera, soyons sûrs que les stars se bousculeront au portillon pour défendre le nouveau paradigme scientifique !
  19. Bonjour Vanilly. Je ne pense vraiment pas qu'il y ait quoi que ce soit à comprendre à tous ces examens. Commencer à tenter d'y comprendre quelque chose, c'est déjà commencer à croire que ces tests auraient la capacité de pouvoir détecter, ne fût-ce que dans un cas, la pseudo contamination par le "VIH". Tout ce qui paraît certain, c'est que tu as fait une infection contre le cytomégalovirus, peut-être à l'occasion de ces rapports sexuels. On peut imaginer que tu aies si mal réagi en produisant en grand nombre une multitude d'anticorps que le test dit "VIH" soit devenu positif. Mais bon, des tas de facteurs (à l'exception bien sûr de l'inexistant "VIH") peuvent rendre ces tests "VIH" positifs. Et il ne sert à rien de savoir si ton partenaire est séropositif ou non car même s'il est séropositif, cela n'est pas le résultat d'une infection par le "VIH" qui serait en outre sexuellement transmissible. Je te conseillerais de lire posément la synthèse et ce qui s'est dit dans le forum, et déjà te dire que même si tu es déclaré séropositif, cela n'est certainement pas la conséquence d'une infection par le "VIH". Ensuite, tu devrais te demander si jusqu'à maintenant, tu as mené un vie de style de vie immunodépressif te prédisposant ou non au "sida". Bref, reste calme ... au lieu de céder aux sirènes du "VIH". Et si tu menais jusqu'à maintenant un style de vie immunodépressif, il est alors grand temps de le changer. Ce qui est certain, c'est qu'aucun de ces examens n'est en mesure de détecter une infection quelconque par l'hypothétique "VIH". En revanche, ils ont très probablement constaté que tu as fait une réaction inflammatoire à un ou des agents stressants quelconques, peut-être le cytomégalovirus. L'important dans un premier temps est de se débarrasser de l'idée d'une infection par je ne sais quel rétrovirus "VIH" omnipotent et de croire que tu serais en outre devenu contagieux.
  20. Et voici ce qui se passe lorsqu'on essaie depuis 23 ans de mettre au point un vaccin ... contre un rétrovirus qui n'existe pas ! Dépêche datant d'hier.
  21. Juste pour dire qu'il n'est maintenant plus nécessaire d'écrire un post pour communiquer son groupe sanguin. En effet, en haut de ce topic, j'ai établi un petit sondage. Si vous êtes séropositif avec le groupe sanguin A, B ou AB, vous cliquez simplement sur la première réponse. Si vous êtes séropositif avec le groupe sanguin O, vous cliquez simplement sur la deuxième réponse. Et l'on ne peut bien entendu que voter une seule fois. Voilà. Ce n'est pas plus compliqué. C'est simple (il suffit de cliquer sur la bonne réponse), rapide (inutile de faire un post, à moins que vous en éprouviez le besoin) et en plus l'anonymat du votant est respecté ! Et autre avantage, il n'est plus nécessaire de calculer le pourcentage avec le risque d'erreur que cela implique si on oublie un ou plusieurs votants, le sondage le calcule lui-même instantanément ! Je remercierais donc vivement Jeff-Lyon, sidarta et yacre s'ils pouvaient cliquer sur la réponse appropriée du sondage. Ce qui compte en effet, c'est que l'on vote dans le sondage ci-dessus, que l'on écrive ou non un post. Sauf erreur de ma part (mais cela se verra justement bien mieux en cliquant sur la réponse ad hoc du sondage), on devrait à ce stade-ci être à 80% pour le groupe A, B et AB, et seulement 20% pour le groupe O (alors que le groupe O représente en moyenne 50% de la population mondiale). Merci encore !
  22. Le fait que tu te retiennes permet très raisonnablement d'expliquer pourquoi ton partenaire n'est pas séropositif. Non pas parce que le sperme contiendrait l'hypothétique « VIH » qui aurait pu contaminer ton partenaire mais bien parce que de plus en plus d'études révèlent que le sperme (qu'il soit « séronégatif » ou « séropositif ») contient de plus en plus de prostaglandines (genre PGE2), qui sont des molécules inflammatoires. Si tu ne te retenais pas, ces prostaglandines inflammatoires à tout le moins contenues dans le sperme (pour le liquide séminal, je ne sais pas, mais en tout cas, il y en a énormément dans le sperme) sont potentiellement capables de créer une inflammation (les prostaglandines contenues dans le sperme étant justement des molécules inflammatoires) chez la personne les recevant de façon anale, ceux-ci étant très probablement mieux absorbés par le « receveur » par cette voie-là. Pour peu que le « receveur » passe le test « VIH » au mauvais moment, cette inflammation causée par les prostaglandines contenues dans le sperme peut éventuellement rendre le test « VIH » positif, ce qui sera considéré par l'orthodoxie du sida comme étant une « preuve » de la soi-disant transmission sexuelle du bien hypothétique « VIH ». Ci-dessous, je reproduis quelques extraits d'études scientifiques (en anglais) ayant démontré que le sperme contient des prostaglandines de type PGE2, lesquels constituent des molécules inflammatoires pour l'organisme, particulièrement bien absorbées par la voie anale et donc plus susceptibles de provoquer une inflammation chez le "receveur". Tout cela ne signifie cependant pas et pour autant que la réception anale du sperme (qu'il soit dit "séronégatif" ou "séropositif") pourrait causer le sida mais on peut raisonnablement penser qu'il s'agit à tout le moins d'un facteur important facilitant le passage à la séropositivité (bien sûr, sans rapport quelconque avec le "VIH" !).
  23. De mémoire, je me rappelle très bien avoir évoqué la question dans le topic consacré au glutathion, je crois que c'est quelque part dans ce post (assez gigantesque, il est vrai). Alors, de façon générale (mais ce n'est certainement pas l'explication forcément systématiquement valable dans tous les cas), les lymphocytes T8 augmentent concomitamment avec la baisse des lymphocytes T4. Pourquoi ? Le plus souvent en raison de l'exposition de l'organisme à des agents oxydants. On sait en effet depuis le milieu des années 70 ( !!!) que face à des agents oxydants ou des agents stressants, un changement phénotypique se produit, non sur les T4 et les T8, mais bien sur les anticorps s'attachant à ceux-ci. En effet, diverses expériences ont montré qu'en présence de tels agents, les anticorps normalement appelés à repérer les T4 changent de récepteurs à leurs surfaces et se mettent à repérer les T8. En d'autres termes, les agents oxydants ont pour effet de provoquer la baisse (apparente) des T4 et la hausse (apparente) concomitante des T8, la somme des deux restant en moyenne et approximativement constante. Très grossièrement mais sans trop de valeur prédictive, on constate que les séropositifs évoluant vers le « sida » voient leur nombre de T4 diminuer tandis que leur nombre de T8 augmente corrélativement. Le lecteur attentif aura remarqué qu'il existe donc depuis le milieu des années 70 une explication simple et scientifiquement démontrée (à savoir l'exposition aux agents oxydants) pour expliquer la baisse des T4 chez les sidéens. On ne peut dès lors que s'étonner qu'en plus de 25 ans de « sida », l'orthodoxie de sida ait publié des centaines voire mêmes des milliers d'articles prétendument scientifiques pour tenter de prouver l'improuvable, à savoir que le « VIH » serait un tueur de lymphocytes T4 ! Le lecteur toujours attentif aura également observé que ces baisse et hausse concomitantes des T4 et T8 ne peuvent qu'être purement apparentes (ce facteur parmi d'autres permettant d'expliquer pourquoi la mesure des T4 telle qu'elle faite depuis le début des années 80 est si peu fiable quant à prédire l'évolution vers le stade « sida ») puisque ce que l'on mesure, ce ne sont pas les T4 et T8 proprement dits mais bien les anticorps à ceux-ci. Or, à cause justement de l'exposition aux agents oxydants/stressants, les anticorps normalement destinés à repérer les T4 se mettent à repérer les T8, ce qui ne signifie pas pour autant que le nombre de T4 a effectivement diminué ou que le nombre de T8 a effectivement augmenté dans le corps de la personne testée ! D'où tout l'intérêt de la mesure du taux de glutathion et des bilans nutritionnels/ stress oxidatif. Pour le surplus, je me permets de renvoyer au très long post cité ci-dessus.
  24. J'ai créé un sondage en bonne et due forme, tout en haut de ce topic. Ce sera plus simple et plus clair.
  25. Je souhaite profiter de ce forum pour faire une sorte de sondage sur un sujet qui ne semble ne pas fort avoir été abordé (et peut-être même jamais abordé jusqu'à maintenant), lequel sondage ne pourra toutefois qu'avoir une valeur purement indicative et en aucune façon scientifique. Comme chacun sait maintenant, de nombreux facteurs (autres bien entendu que le chimérique "VIH") influencent le passage vers la séropositivité. L'un de ses facteurs pourrait être le groupe sanguin du séropositif. Lisons par exemple et entre autres ce que nous enseigne le docteur Heinrich Kremer : Comme déjà expliqué sur ce forum, la séropositivité et encore plus le passage au stade "sida" sont justement caractérisés par une bascule en faveur des TH2 productrices d'anticorps (dont le nombre augmente tellement qu'au bout d'un certain temps ilsdépassent le seuil fatidique au-delà duquel le test "VIH" vous déclare autoritairement "contaminé" par le "VIH" (LOL)) au détriment des TH1 productrices d'oxyde nitrique, cette baisse de production d'oxyde nitrique étant de nature à empêcher ainsi progressivement l'organisme de se défendre contre les maladies caractéristiques du "sida" normalement inhibées par l'oxyde nitrique produit par ces mêmes TH1. Selon cet auteur, les personnes ayant les groupes sanguins A, B ou AB seraient plus prédisposés que ceux du groupe O à une bascule en faveur des TH2 et donc plus prédisposés au passage vers la séropositivité. Malheureusement, bien peu de recherche a été faite sur ce sujet. Environ 50% des personnes ont un groupe sanguin O, tandis que les 50 autres % ont un groupe sanguin A, B ou AB. Par conséquent mais à un titre très indicatif, s'il ressort de ce sondage très informel que bien plus de la moitié des séropositifs aurait un groupe sanguin du type A, B ou AB, cela pourrait indiquer que le groupe sanguin serait un critère (relativement) pertinent. Encore faut-il qu'un grand nombre de séropositifs dissidents répondent à ce sondage informel. Me concernant, je suis effectivement du groupe sanguin A (ce qui à ce stade-ci de ce sondage produit donc un score (LOL) de 1 à 0 (ou 100%) en faveur de l'apparente pertinence du critère "groupe sanguin". Mais qu'en est-il donc des autres dissidents séropositifs ? Qu'ils n'hésitent pas à répondre, quitte à s'informer préalablement de leur groupe sanguin.
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