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wallypat

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Messages posté(e)s par wallypat

  1. J'ajoute encore cet autre lien prouvant s'il en était encore besoin que les anticorps à la malaria peuvent faire réagir positivement le test étonnamment appelé "VIH". A la lecture des références, on constate qu'il n'est pas rare de constater que cela peut se produire entre 25 à 40% des cas, ce qui n'est pas rien !

    Et pendant ce temps, l'orthodoxie du sida continue à marteler que l'Afrique se meurt du "sida" ! LOL albator7k.gif

  2. J'ai fait un petit scan résumé de ce que pensait Kousmine sur les huiles ,on y retrouve certaine chose... (pis j'aime bien kousmine qualifié de sectaire a son epoque... comme le bio... )

    http://s140426039.onlinehome.fr/fichvrac/kousmine2.pdf

    Je te remercie pour le lien. J'ai entre-temps trouvé un peu de temps pour examiner les passages relatifs au sujet des acides gras (mais uniquement ceux-là).

    Que faut-il en penser ?

    Le fonctionnement

    du systeme immunitaire .

    Dans son~ dernier ouvrage, Sauvez votre corps, le

    Dr Catherine Kousmine explique tres bien les raisons

    de ce dereglement du systeme immunitaire. Lorsqu'il

    ya agression, lacmembrane de nos cellules envoie un

    meSS.fge d'alerte au moyeri'd'une prostaglandine, la

    PGE2. C'est elle qui mobilise les defenses de la

    cellule et fait appel aux forces d'intervention du sang

    (phagocytes, .lymphocytes T, lymphocytes B)*.'"'Cette

    PGE2, surnommee' pour la cause «prostaglandine de

    ~rre», derive de l' acide arachidonique que notre

    ::rganisme fabrique en abondance a partir de l' acide

    :;OOleique. Mais, lorsque les mecanismes d' alerte ont

    :se mis en route, il est indispensable de pouvoir les

    .::>ntr6ler et les arreter. Cettetache revient a la PGEl,

    :!ppelee «prostaglandine de paix». Elle est obtenue

    ::icon_eek.gifr transformation de l' acide linoleique en acide

    ~a linolenique puis di-homo-gamma linoIe-

    ::que*. Ceci ne peut se faire que grace a une enzyme,

    .a delta-6-desaturase, associee a de la vitamine B6, du

    :3agllesium et du zinc.

    On comprend tout de suite que s'il existe une

    :::arence en acides gras essentiels, la production de

    ?GEl va etre inexistante. Son action~ frein~trice ne

    :'eut plus s' exercer, laissant alors libre cours a 1a

    ?GE2 que notre organisme ne sait plus reguler. On se

    ::-ouve donc en presence d'un exces de PGE2 par defi-

    ;:it de PGEl et le systeme s'emballe. Cette situation

    ::eut se comparer a celle d'une voiture qui n'aurait

    =fus de freins. A la moindre erreur de conduite, c' est

    . accident!

    A la lecture de ce passage, on comprend tout de suite que Kousmine ne tire pas toutes les conséquences de ces constatations mais uniquement celles qui l'arrangent.

    Tout d'abord, Kousmine souligne la dangerosité de l'une des nombreuses prostaglandines (il existe en réalité de très nombreux et dangereux métabolites de l'acide arachidonique) de l'acide arachidonique, à savoir la PGE2, que nous avons d'ailleurs déjà cité ci-dessus dans le cadre des recherches à effectuer pour exemple sur pubmed. Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que la solution à ce problème consiste à avoir le moins d'acide arachidonique dans l'organisme, soit en évitant le plus possible les oméga 6 et 3. Mais en raison du dogme tiré du prétendu caractère essentiel des oméga 6 (et 3), Kousmine insiste sur la rôle de la PGE1, une prostaglandine effectivement "bénéfique" (et il y en a d'autres qui sont effectivement "bénéfiques"), produite à partir de l'acide linoléique, qui fera - dans une certaine mesure - contrepoids à la PGE2. Mais comme déjà signalé, le problème est avant tout l'acide arachidonique et le mieux à faire est d'en avoir le moins possible : ainsi, l'organisme ne sera pas confronté aux systèmes, tout à fait imparfaits, de prostaglandines "bénéfiques" tentant, vaille que vaille, de contrebalancer les prostaglandines nocives, telles que la PGE2 (mais il y en a bien bien d'autres).

    Enfin, la fin du passage reproduit constitue tout simplement de la malhonnêteté intellectuelle. En effet, il précise qu'en cas de carence en acide linoléique (soit ce qu'il qualifie d'acides gras "essentiels"), l'organisme ne produira plus de PGE1 et ne pourra donc plus se défendre (quoique c'était déjà un système de défense tout à fait imparfait) contre la "méchante" PGE2 produit par l'acide arachidonique. Or il oublie un "détail" : le précurseur de l'acide arachidonique est lui-même ... l'acide linoléique ! En d'autres termes, en cas de carence en acide linoléique, certes, il n'y aura plus de PGE1 mais il n'y aura non plus de PGE2 faute d'acide arachidonique !

    En conclusion, rien de ce que j'ai lu ne m'a prouvé que les acides gras polyinsaturés seraient "essentiels" à l'organisme. Au contraire, certains passages insistent, sans le savoir, sur le caractère dangereux de ceux-ci.

    En revanche, je suis d'accord sur la dernière page du document référencé concernant les dangers de la cuisson (mais là, cela ne concerne plus vraiment la question du caractère essentiel des acides gras polyinsaturés), et tout particulièrement des viandes et poissons grillés ou fumés (modes de cuisson que je ne recommande certainement pas). Quant aux autres modes de cuisson, quelques petites remarques :

    - Ce sont justement des acides gras polyinsaturés (à savoir de nombreuses huiles végétales) qui sont utilisés pour la cuisson de la viande et du poisson. Or ces acides gras polyinsaturés, en raison de leur instabilité et de leur facilté à s'oxider, décuplent voire même centuplent les substances nocives (comme les nitrosamines) produites par la cuisson, sans compter le risque d'augmenter le cholestérol oxydé dans la viande. En revanche, l'huile de noix de coco, en raison de sa stabilité de cuisson résultant de sa richesse en acides gras saturés, ne produit pas de telles conséquences lors de la cuisson ou, en tout cas, en de bien moindres proportions.

    - En cuisant à feu doux et pas trop cuit, le nombre de substances toxiques produites par la cuisson (avec huile de noix de coco) sera fortement diminué. Au surplus, la vitamine C et d'autres antioxidants (mais les aliments en sont justement de moins en moins pourvus au fur et à mesure des décennies, augmentant ainsi les risques de cancer résultant des modes de cuisson) constitueront une protection contre les substances toxiques malgré tout produites (en moins grande quantité, comme expliqué ci-avant), protection d'autant plus élevée si on "souffre" d'une prétendue "carence" en acides gras dits "essentiels" !

  3. Edit: Par contre je lis que sur la coco,il ya une procedure de chauffage,pas glop...

    Pour autant qu’il s’agisse d’huile de noix de coco extra vierge (il faut rejeter les huiles hydrogénées), celle-ci reste stable et ne rancit pas lorsqu’elle est chauffée. Elle peut par exemple rester un an à l’air libre, elle restera toujours bonne, stable et ne rancira pas. D’ailleurs, cette huile ne devient liquide qu’entre 20 et 30 degrés. Ces propriétés sont expliquées par le fait que l’huile de noix de coco n’est quasi exclusivement composée que d’acides gras saturés (92%) et ne comprend qu’un 1% d’acides gras polyinsaturés (qui restent malgré tout stables car protégés par les 92% d’acides gras saturés).

    Il ne faut évidemment par faire ce genre d’expérience avec les acides gras polyinsaturés qui rancissent et s’oxydent très vite une fois exposées à l’air libre ou au soleil, et cela est valable non seulement pour les oméga 3 (huiles de poisson, huile de colza, ...) mais aussi pour les oméga 6 (presque toutes les huiles végétales, excepté huile de noix de coco, d'olive et de palme en gros). Et comme déjà expliqué plus haut dans ce topic, même non rancis, les acides gras polyinsaturés sont par leur consistance même dangereuses et toxiques pour l'organisme. Et leur soi-disant caractère essentiel pour l'organisme n'a jamais été prouvé, comme expliqué ci-avant. En revanche, leur dangerosité, entre autres en tant que source des phénomènes inflammatoires, n'est plus à prouver.

    On comprendra dès lors que si les cellules d’un organisme humain sont constituées principalement d’acides gras polyinsaturés, celles-ci vont rapidement devenir instables et s’oxyder, particulièrement en présence d’agents stressants tels que les agents oxydants. Raison pour laquelle les acides gras polyinsaturés favorisent la séropositivité et ensuite le “sida” tandis que les acides gras saturés produisent l’effet contraire, c’est-à-dire restent beaucoup plus et plus longtemps stables dans l’organisme et retardent le phénomène d’oxidation (et peuvent - parfois - renverser le phénomène).

  4. Alors voila que le militaire au moment de la decouverte de sa seropositivité etait atteint du paludisme,alors je suis pas specialiste,mais est ce que ca ne serait pas source de faux-positif ca?

    Oui, effectivement (étant entendu que les tests dits "VIH" sont tous, sans exception aucune, de "faux positifs", en ce sens qu'un aucun test "VIH" positif au monde n'a jamais prouvé que la personne testée avait été "contaminée" par un rétrovirus exogène "VIH"), les anticorps du paludisme (ou malaria) sont parfois de nature à rendre positif le test bizarrement appelé "VIH".

    Le Perth Group l'a encore rappelé l'année passée, citant des "experts" ès "VIH" eux-mêmes :

    In a book Retroviral Testing and Quality Assurance, Essentials for Laboratory Diagnosis written in 2005 by three of the “HIV” experts in “HIV” testing, Niel Constantine (Professor of Pathology, Department of Pathology, University of Maryland School of Medicine & Director Clinical Immunology Laboratory, University of Maryland Medical Center & Laboratory of Viral Diagnostics, Institute of Human Virology, Baltimore, Maryland, USA), Rebecca Saville (Food and Drug Administration, FDA/CDER/OND/ODEIV/DSPIDP, Rockville, Maryland, USA), Elizabeth Dax (Director, National Serology Reference Laboratory, Australia. A World Health Organization Collaborating Centre on HIV/AIDS, Fitzroy, Victoria, Australia), on page 94 one reads “Among the medical conditions that are suspected or occasionally known to produce false-positive screening test results are as follows:

    Malaria

    Syphilis

    Pregnancy

    Hypergammaglobulinemia, renal failure, liver disease

    Some parasitic diseases and viral diseases (e.g., influenza)

    Autoantibodies (autoimmune diseases)

    HIV vaccination (becoming a major cause)

    Transfusions (usually multiple)”

    Il est piquant de rappeler que l'Afrique, prétendument ravagé par le "sida", est en revanche réellement ravagé par la malaria. On aura donc compris qu'en Afrique, il n'y a évidemment aucune épidémie de "sida" mais au mieux ... une épidémie de tests improprement appelés "VIH" !

  5. Je ne peux encore une fois qu'approuver Jibrail. icon_biggrin.gif

    Je tenais toutefois à ajouter que sur des sites (tous en anglais) que j'ai mentionnés dans mon premier post, plusieurs articles ont été publiés qui ont très clairement démontré que les séropositifs, encore bien plus que la population en général, avaient besoin de privilégier les acides gras saturés au détriment des acides gras polyinsaturés (soit les oméga 3 et 6).

    Dès lors que l'on a compris que l'hypothèse la plus plausible pour expliquer le "sida" est l'exposition aux agents oxydants, on comprendra tout de suite pourquoi les acides gras saturés doivent être encore plus privilégiés que les acides gras polyinsaturés chez les séropositifs (ces derniers devant en fait être énergiquement évités). En effet, les acides gras polyinsaturés favorisent et décuplent le phénomène d'oxidation tandis que les acides gras saturés constituent une protection contre l'oxidation.

    Ceci étant, même si de rares nutritionnistes (ils ne sont pas bien nombreux) commencent à comprendre que les séropositifs, encore plus que la population en général, devraient privilégier les acides gras saturés (bien entendu, ils doivent continuer à consommer des protéines et des glucides, mais je ne m'intéresse ici qu'aux acides gras car ils s'avèrent tout simplement fondamentaux pour la santé en général : si l'on privilégie les acides gras polyinsaturés au lieu de les éviter le plus possible, c'est tout simplement multiplier par 10, voire même par 100 les chances d'être malade un jour, de quelle cause que ce soit, peu importe l'attitude adoptée en matière de protéines et de glucides), ils continuent pourtant à dire que les séropositifs (et la population en général) devrait privilégier les acides gras polyinsaturés, et ce parce qu'il aurait été prouvé qu'ils seraient essentiels pour l'organisme et qu'on ne saurait vivre sans eux.

    Tout comme en matière de "VIH", l'analyse de la littérature scientifique permet d'arriver à la conclusion qu'il n'a jamais été prouvé que les oméga 3 et 6 (soit les acides gras polyinsaturés) seraient "essentiels" à l'organisme humain. L'analyse des rares preuves scientifiques (datant de la fin des années 20 d'ailleurs) fournies pour prouver le caractère dit "essentiel" des oméga 3 et 6 permet d'arriver à la conclusion que les rats malades dans les expériences invoquées ne l'étaient pas en raison d'une carence en acides gras polyinsaturés ... mais bien en raison d'une carence en vitamines B6 (et sans doute en d'autres vitamines) ! Mais il se fait qu'à l'époque, les scientifiques ne soupçonnaient même pas l'existence de cette vitamine en sorte qu'ils ont incriminé - à tort - la (prétendue) carence en acides gras polyinsaturés.

    Ci-dessous, un passage (en anglais) relatif au caracère prétendument essentiel des acides gras polyinsaturés et tiré de cet article :

    Over the last thirty years I have asked several prominent oil researchers what the evidence is that there is such a thing as an “essential fatty acid.” One professor cited a single publication about a solitary sick person who recovered from some sickness after being given some unsaturated fat. (If he had known of any better evidence, wouldn’t he have mentioned it?) The others (if they answered at all) cited “Burr and Burr, 1929.” The surprising thing about that answer is that these people can consider any nutritional research from 1929 to be definitive. It’s very much like quoting a 1929 opinion of a physicist regarding the procedure for making a hydrogen bomb. What was known about nutrition in 1929? Most of the B vitamins weren’t even suspected, and it had been only two or three years since “vitamin B” had been subdivided into two factors, the “antineuritic factor,” B1, and the “growth factor,” B2. Burr had no way of really understanding what deficiencies or toxicities were present in his experimental diet.

    A few years after the first experiments, Burr put one of his “essential fatty acid deficient” rats under a bell jar to measure its metabolic rate, and found that the deficient animals were metabolizing 50% faster than rats that were given linoleic and linolenic acids as part of their diet. That was an important observation, but Burr didn’t understand its implications. Later, many experiments showed that the polyunsaturated fats slowed metabolism by profoundly interfering with the function of the thyroid hormone and the cellular respiratory apparatus. Without the toxic fats, respiratory energy metabolism was very intense, and a diet that was nutritionally sufficient for a sluggish animal wouldn’t necessarily be adequate for the vigorous animals.

    Several publications between 1936 and 1944 made it very clear that Burr’s basic animal diet was deficient in various nutrients, especially vitamin B6. The disease that appeared in Burr’s animals could be cured by fat free B-vitamin preparations, or by purified vitamin B6 when it became available. A zinc deficiency produces similar symptoms, and at the time Burr did his experiments, there was no information on the effects of fats on mineral absorption. If a diet is barely adequate in the essential minerals, increasing the metabolic rate, or decreasing intestinal absorption of minerals, will produce mineral deficiencies and metabolic problems.

    Although “Burr’s disease” clearly turned out to be a B-vitamin deficiency, probably combined with a mineral deficiency, it continues to be cited as the basis justifying the multibillion dollar industry that has grown up around the “essential” oils.

  6. "Des études internationales ont montré ........ que leur résistance ne tenait pas, enfin, à leur mode de vie."

    Et bien, et bien, encore du n'importe quoi de la part de ces journalistes.

    Ci-dessous, je donne deux pages web (en anglais) qui démontrent, multiples références à l'appui, exactement le contraire, à savoir que la plupart de ces "survivants dits à long terme" ont en commun d'avoir justement changé leur mode de vie :

    Premier lien (cliquez sur "Surviving et Thriving" et ensuite sur "Long Term Survivors")

    Deuxième lien

    Maintenant, cela ne signifie pas pour autant que tous ceux qui auront cessé de s'exposer aux agents oxydants deviendront des "survivants à long terme". Mais les chances de faire partie de ce (pseudo) groupe de "survivants à long terme" se réduiront comme peau de chagrin à défaut de changer de mode de vie.

    Par ailleurs, on a déjà eu l'occasion de constater antérieurement sur le forum qu'on avait toutes les raisons de penser que les "survivants à long terme" étaient bien plus nombreux que ce qui est officiellement affirmé. Qu'il suffise de penser que sont généralement considérés comme "survivants à long terme" uniquement les séropositifs ayant une charge dite "virale" indétectable et un nombre dit "normal" de T4 depuis plus de dix ans après l'annonce de la séropositivité (supposée durer à vie). Il va de soi que ces deux critères cumulatifs auront pour effet d'exclure de nombreux séropositifs du groupe des "survivants à long terme" alors qu'ils ne sont pas malades pour autant !

    En outre (mais cela on ne le vérifie plus jamais ensuite pour cause de dogme à respecter), il aurait été très intéressant de vérifier si les "survivants à long terme" ou, en tout cas, certains de ceux-ci ne seraient pas entre-temps redevenus ... séronégatifs !

  7. -graisse animale cuite...

    Là aussi, il faut se méfier des études :

    - Quelle viande a été utilisée ? La graisse de porc, qui contient beaucoup d'acides gras polyinsaturés (contrairement au boeuf par exemple : +/- 3% maximum d'acides gras polyinsaturés) ? Etc..

    - Quelle huile a été utilisée ? Les huiles traditionnelles (contrairement à l'huile de noix de coco), qui justement multiplient par dizaine la production de substances cancérigènes lors de la cuisson de la viande, ...

    Et ce ne sont là que quelques exemples.

    En réalité, pour séparer le bon grain de l'ivraie, il faut examiner les phénomènes moléculaires, c'est-à-dire la production de métabolites dangereux pour l'organisme (et le phénomène inflammatoire) à partir des acides gras oméga 6 et 3, et tout particulièrement à partir de l'acide arachidonique (un oméga 6).

    Dès lors que l'on a compris cela, on ne doit plus s'étonner que l'épidémie de "sida" soit apparue chez de jeunes homosexuels au début des années 80. En effet, on est alors arrivé à la première génération complète de personnes souffrant d'un excès d'acide arachidonique, ce qui n'a pu que décupler les phénomènes inflammatoires causés entre autres par le poppers et autres drogues récréatives consommés par les jeunes gays de l'époque (et c'est d'ailleurs toujours le cas à l'heure actuelle vu la propagande sur les prétendus dangers du cholestérol [on rappellera entre autres que le cholestérol ... est un bon antioxidant !]).

  8. Mais le coter interessant pour faire suite a ce qui est dit plus haut c'est que:

    1) J'ai tres fortement diminuer ma conssomation de viande.

    2) j'ai tres fortement augmenter ma conssomation de poisson.(acide gra polyinssature!!)

    3)Je me suis mis a conssomer de l'huile de colza(je n'en conssomais pas avant)

    4)j'ai supprimé tous produit laitier de mon alimentation. (graisse sature)

    5)j'ai pris ds suplement d'om3.

    Il me paraît certain que ces cinq changements nutritionnels, privilégiant les graisses polyinsaturées (oméga 6 et 3) et diminuant au maximum les graisses saturées (c'est le credo de l'ensemble de nutritionnistes, mais erroné puisque fondé sur une supposition qui n'a jamais été prouvée, à savoir que le cholestérol en général cause les maladies cardiovasculaires [alors que seul le cholestérol oxydé est dangereux, ce qui pourrait entre autres expliquer pourquoi de fortes doses quotidiennes, à vie, de vitamines C permettraient de prévenir dans une grande mesure les maladies cardiovasculaires]) n'ont pu que favoriser davantage (mais je ne dirais pas "causer") le phénomène d'oxidation dans l'organisme et, partant, l'annonce ultérieure de la séropositivité au "VIH".

    Pour ma part, j'ai supprimé toutes les huiles végétales (excepté l'huile de noix de coco bien sûr, et de temps en temps l'huile d'olive), ainsi que les aliments comportant plus qu'un petit montant d'acides gras polyinsaturés, et je privilégie les graisses saturées à chaînes courtes et moyenne (huile de noix de coco, beurre au lait cru, fromages au lait cru, ...). L'avenir me dira si j'ai fait le bon choix. Mais pour le moment, je n'ai aucune raison de le regretter (hormis l'apparition de deux légères taches rouges sur le visage, mais c'est très certainement une conséquence de la libération de l'acide arachidonique dans mon organisme, et cela devrait donc être provisoire [cela pourrait quand même durer deux ou trois ans, mais bon, je ne suis pas devenu laid pour autant ! LOL]), que du contraire même.

  9. Comme le lecteur l'aura remarqué, j'ai par prudence écrit "prévenir" le "sida", et non "guérir" le "sida". Mais je n'exclus cependant pas que cette méthode puisse parfois guérir des cas de "sida" ou, à tout le moins, aboutir à des cas de rémission de très longue durée.

    Dans ce récent post, je m'inquiétais de ce que les agents oxydants pouvaient causer des dommages irréversibles et finir par causer des maladies qualifiées de "sida" même si le séropositif avait cessé de s'exposer aux agents oxydants, avait repris une vie "saine et équilibrée", etc..., et qu'il fallait donc tenter de trouver une solution autre que les traitements "antirétroviraux" pour ces cas malheureux (dont je ferai peut-être partie).

    Et bien la solution pourrait à mon sens consister dans une alimentation privilégiant les bons acides gras, à savoir et aussi choquant que cela puisse paraître de prime abord, LES ACIDES GRAS SATURES.

    En réalité, j'avais déjà abordé ce sujet il y a trois mois sur un autre forum mais il a vite pris fin car il rapidement débordé sur le sujet du "sida", ce qui n'était certainement pas un topic adéquat pour le forum en question.

    Comme je n'aime pas trop me répéter, j'ai reproduit ci-dessous dans l'ordre chronologique les posts que j'avais écrits sur le sujet. Le lecteur y trouvera, je crois, de nombreuses informations.

    Mais en résumé, mon conseil est le suivant, et cela est valable non seulement en matière de "sida" mais également à peu près pour toutes les maladies du monde :

    POUR TRES FORTEMENT AUGMENTER SES CHANCES DE NE (PRESQUE) JAMAIS TOMBER MALADE, IL FAUT A TOUT LE MOINS ADOPTER UNE ALIMENTATION EN ACIDES GRAS QUI PRIVILEGIE UNIQUEMENT LES ACIDES GRAS SATURES ET QUI REJETTE TOUT ALIMENT COMPORTANT PLUS QU'UN MINUSCULE NIVEAU D'ACIDES GRAS POLYINSATURES (A SAVOIR LES OMEGA 3 ET 6).

    Et parmi les acides gras saturés, il convient idéalement de privilégier les acides gras à chaînes courtes et moyennes, tels que ceux que l'on trouve dans l'huile extra vierge de noix de coco et le beurre. Le présent topic permettra par ailleurs de comprendre les véritables raisons pour lesquelles l'huile de noix de coco est extrêmement bénéfique pour les séropositifs (sujet qui fut abordé en son temps dans ce topic-ci mais sans qu'on comprenne alors que cela était dû avant tout au fait que l'huile extra vierge de noix de coco est composée de 92% d'acides gras saturés).

    Pour ma part, après avoir analysé ce sujet pendant plusieurs mois et être arrivé à la conclusion qu'il s'agissait tout simplement du meilleur conseil en matière de santé que je n'ai jamais lu (encore bien mieux que les antioxydants) jusqu'à ce jour, je me suis résolument lancé dans cette voie-là depuis juillet dernier, et pour le moment, je ne vois que des avantages. Si dans deux ou trois ans (et pour autant que je continue à éviter les agents oxydants) je ne suis pas redevenu séronégatif ou, à tout le moins, ne constate pas "déjà" une diminution de mes IgG, alors vraiment, c'est que je suis dans les cas des séropositifs "irréversibles" (mais j'ai bon espoir que cela ne sera pas le cas, n'ayant jamais atteint jusqu'à ce jour le stade "sida" après bientôt huit ans). Ceci étant, en suivant ce régime, l'organisme libérera pendant deux à trois ans l'acide arachidonique qu'il a emmagasiné dans ses cellules sa vie durant. Ce phénomène n'étant pas anodin, il est vivement recommandé de continuer à prendre des antioxydants durant cette période intermédiaire de deux à trois ans, et ce afin de se protéger contre les effets de cette libération d'acide arachidonique.

    Bon, je reproduis maintenant ci-dessous les posts que j'avais écrits à l'époque. A chacun maintenant d'approfondir ses recherches, d'en tirer ses propres conclusions ... et pourquoi pas, de franchir le pas comme je l'ai moi-même fait ! Et de toute façon, ce régime nutritionnel est non seulement bénéfique en matière de "sida" mais également pour n'importe quelle autre maladie, maladies cardiaques et cancers compris !

    Tes considérations n’apportent toujours aucune réponse aux trois premiers points que j’ai soulevés, à commencer par la preuve que les antigènes utilisés ont pour origine un rétrovirus, qu’il soit doté ou non de la capacité de muter (puisque tu parais insister là-dessus). Ces antigènes peuvent avoir de nombreuses autres origines (« Dupont ») que rétrovirales  (« VIH »), et le fait que des anticorps monoclonaux ou polyclonaux, dont au surplus aucun n’est spécifique aux seuls antigènes utilisés dans les tests « VIH » et dont au contraire tous sont polyspécifiques et réagissent avec de nombreux autres antigènes, également présents chez les sidéens, réagit avec ces antigènes à l’origine inconnue ne donne pas la moindre indication quant au fait que ces antigènes auraient une origine rétrovirale, et encore moins qu’ils auraient pour origine un nouveau rétrovirus « VIH ».

    On n’isole pas un nouveau rétrovirus simplement par une réaction antigène/anticorps dont on ignore l’origine des deux composantes.

    Par ailleurs, on ne prouve pas la spécificité d’une méthode qui n’a pourtant jamais prouvé qu’elle pouvait détecter, ne fût-ce que dans un seul cas, une infection par le « VIH » … en la recoupant avec d’autres méthodes qui n’ont elles-mêmes jamais été en mesure d’apporter cette preuve.

    Tout ce que ces méthodes et autres recoupements prouveront, c’est que les tests « VIH » sont extrêmement fiables … quant au fait que les personnes testées séropositives vont développer ultérieurement des maladies spécifiques qualifiées de « sida ».

    Mais quand bien même ce recoupement de méthodes permet de rendre le test « VIH »  plus fiable quant à sa capacité à déceler les personnes prédisposées à développer ces maladies spécifiques (et à faire la distinction entre les vrais et faux positifs ou négatifs), cette extrême fiabilité, rendue possible justement par le recoupement de méthodes dont tu parles, ne prouve toujours pas que cette prédisposition soit le résultat d’une infection par le « VIH ».

    Concernant l’acide arachidonique, tu ne dois à nouveau pas déformer mes propos.

    Je n’ai jamais dit que le « sida » était causé par l’acide arachidonique. Quant à ce dernier et suite à tes posts qui jusqu’à ces derniers me paraissaient intéressants, je dis qu’il ressort à tout le moins de plus en plus d’études scientifiques que l’acide arachidonique et ses métabolites sont impliqués dans toujours plus de phénomènes inflammatoires (d’un nombre toujours plus croissant d’affections de la santé) et qu’il est étonnant que les recommandations nutritionnelles actuelles favorisent ce phénomène de surcharge en acide arachidonique. Libre ensuite à chacun d’en tirer ses propres conclusions et s’il le souhaite, de continuer à privilégier une nutrition qui favorise grandement ce phénomène inflammatoire. Franchement, je n’en ai que cure.

    Enfin, vu ton ton paraissant de plus en plus excédé, je ne vois plus l’intérêt d’intervenir encore davantage dans ce topic-ci, tes considérations relatives à l’hypothèse rétrovirale du « sida » n’ayant rien de nouveau à mes yeux et faisant décuple emploi (pour ne pas dire plus) avec celles qui ont déjà pu être formulées par tes prédécesseurs sur le forum dont je t’ai parlé, et tes considérations relatives à l’acide arachidonique et aux acides gras polyinsaturés commençant de plus en plus à friser le dénigrement et ne me paraissant plus apporter grand chose au débat des acides gras.

    Les lecteurs jugeront par eux-mêmes en consultant les documents appropriés et en se rendant sur les sites adéquats.

  10. pouvez-vous m'expliquer pourquoi une personne qui n'a que 500 t4 n'est pas sero alors que un pote qui se porte vraiment bien sero + hépatite C et il me dit que en général il a 700 t4 et que des fois il a même jusqu'à 1100, et que ça change souvent.

    La séropositivité s'analyse au regard d'anticorps et non au regard des lymphocytes T4. Ce sont deux notions complètement différentes et il n'y a guère de corrélation entre celles-ci (et si corrélation il y avait, elle ne serait de toute façon guère pertinente). Par ailleurs, on sait maintenant depuis longtemps qu'il n'y aucune espèce de causalité entre le nombre de T4 et la survenance de maladies. Au mieux, la survenance d'une maladie peut-elle favoriser la chute des T4, mais non l'inverse.

  11. Personnellement, je n'aime pas trop donner de directives précises en la matière. Je suis intervenu car après plusieurs mois de lecture sur le sujet, je suis devenu extrêmement négatif sur les oméga 3 et je conseille vivement de les éviter. Sinon, pour le reste, je n'ai pas trop de commentaires à formuler, si ce n'est de suggérer de prendre de toute façon de la N-acétylcystéine (avec une dose au moins double de vitamines C), du moins si tu n'en prenais pas.

    J'ai RDV fin janvier avec le medecin orthomoleculaire

    Personnellement, je commence de plus en plus à me méfier des "normes" sur lesquels se fondent les médecins orthomoléculaires. Ceci étant dit, je me concentrerais avant tout sur la mesure du glutathion et ensuite seulement des T4 (et en particulier du pourcentage de ceux-ci par rapport à l'ensemble des lymphocytes, ce pourcentage étant une mesure un peu plus fiable que le nombre absolu des T4 [le glutathion restant toutefois de prime abord le meilleur marqueur de l'évolution vers le "sida"]).

    Dans quelques semaines, je tâcherai de donner mon opinion argumentée au sujet des acides gras et de ce qu'il faudrait faire à ce sujet, à mon humble avis.

  12. mon premier garçon(qui a malheureusement eu la mort inexpliquée du nourrisson)

    N'aurait-il pas subi une vaccination dans les deux semaines qui ont précédé ? Il est maintenant clair que pas mal de cas de mort "inexpliquée" de nourrissons sont dus à des vaccinations effectuées peu de temps auparavant !

    Mais parait-il que maintenant c'est comme aux States, qu'on peut les détecter seros dès la naissance.

    L'orthodoxie du sida se base sur la découverte éventuelle de matériel génétique prétendument attribué au "VIH" que l'on découvrirait chez des bébés nés de mères séropositives. C'est évidemment faire fi qu'il n'a jamais été prouvé que ce matériel génétique serait le constituant d'un rétrovirus exogène "VIH" (et accessoirement du fait que l'on peut également retrouver ce matériel génétique particulier chez des personnes séronégatives). Bref, encore une fois du n'importe quoi de la part de l'orthodoxie du sida. Mais on n'en est plus étonné, bien sûr.

  13. Comme l'ont toujours signalé les repenseurs, le "VIH" ne touche que quelques groupes de personnes bien particulières, et c'est toujours le cas à ce jour.

    Par exemple, en France, ainsi qu'il ressort de cette dépêche publiée hier sur le nombre de nouveaux séropositifs détectés en 2006 :

    "Si la situation est globalement à la baisse, elle reste préoccupante chez la population homosexuelle chez laquelle le taux de séropositivité est 70 à 80 fois supérieur à celui de la population hétérosexuelle", a souligné lundi Gilles Brücker, le directeur général de l'Institut de veille sanitaire (InVS) lors d'un conférence de presse pour la présentation d'une partie de ces résultats.
  14. Je ne suis pas sous arv, juste des Ao:multi vitamines + mineraux, Zinc, Se, NAC +different carrotenoide et Acide R lipoique, omega3.

    Je t'invite vivement, Fred83, à arrêter immédiatement et définitivement les oméga 3.

    Je n'ai pas le temps de retrouver les références scientifiques mais si à court terme, les oméga 3 peuvent faire du bien à l'organisme (elle peuvent diminuer le phénomène inflammatoire), sur le moyen et le long terme, les oméga 3 favorisent l'oxidation (!) et provoquent au contraire - en fonction des individus - un affaiblissement immunitaire plus ou moins prononcé. Il est fort probable que chez toi (comme ce fut le cas chez moi) les oméga 3 jouent un rôle négatif sur les T4 (et sans doute le glutathion).

    Je sais que les oméga 3 sont la réponse à tout ou presque selon les médecins nutritionnistes.

    Pour ma part, à ta place, je continuerais avec les mêmes suppléments mais j'arrêterais sans hésitation et définitivement la consommation des oméga 3. Leurs bienfaits sont tout relatifs et (éventuellement) bénéfiques qu'à court terme.

    J'en sais quelque chose car j'en prenais également. Au début, j'ai pu constater une augmentation des T4 (mais déjà une baisse du glutathion) et quelques mois plus tard, une baisse des T4 et une baisse encore plus prononcée du glutathion. Ensuite, après avoir lu des articles sur l'affaiblissement immunitaire pouvant être provoqué par les oméga 3 (qui sont des acides gras qui s'oxydent encore plus facilement que les oméga 6), j'ai continué avec mes mêmes compléments alimentaires mais j'ai jeté mes oméga 3. Quatre mois plus tard, mes T4 avaient augmenté et surtout, pour la première fois, mon glutathion avait augmenté en flèche.

    Enfin, ce n'est qu'un conseil tiré de mes lectures et de mon expérience personnelle.

    Et autre conseil : essaie de ne pas trop consommer d'oméga 6. C'est surtout en raison de l'excès des oméga 6, que les oméga 3 peuvent - à court terme - diminuer le phénomène inflammatoire, entre autres causé par l'abondance des oméga 6. Si tu tiens à avoir un peu d'oméga 3, mange plutôt de temps en temps du poisson (mais n'exagère certainement pas), ce sera bien meilleur et surtout moins nocif.

  15. sinon, auriez vous des videos à me conseiller ?

    Tout à la fin de la synthèse collective (Chapitre VIII ---> F) Vidéos traitant de la dissidence), il y a des renvois à plusieurs vidéos mais elles sont toutes en anglais. Mais je te recommanderais plutôt de la lire la synthèse car la plupart de ces vidéos défendent la thèse que le "VIH" existerait effectivement en tant que rétrovirus exogène (mais serait inoffensif), ce qui me paraît extrêmement critiquable (pour ne pas en dire plus, mais je reste poli).

  16. Je me permets de renvoyer dans ce topic phare à ce post fondamental de Cheminot et tout particulièrement à ce très récent article scientifique cité par Cheminot soulignant le rôle causal capital des agents oxydants, et tout particulièrement des peroxynitrites, dans la survenance des marqueurs interprétés par l'orthodoxie du "sida" comme étant la "preuve" de la "contamination" par le "VIH" et, ultérieurement du "sida".

    Tout cela ne fait que confirmer encore davantage, et s'il en était encore besoin, les dires des repenseurs défendant la thèse des agents oxydants, en particulier azotés, dans la survenance du "sida".

  17. La mesure des T4 et encore moins celle de la charge dite “virale” ne constitue pas un marqueur fiable de l’évolution éventuelle vers le "sida". Trop de facteurs influencent ces deux soi-disant marqueurs de l’évolution vers le “sida” sans que cette évolution se traduise nécessairement vers une détérioration ou même une amélioration de la santé.

    Seule la mesure du glutathion permet de prédire de façon fiable l’évolution vers le stade “sida”.

    Tu trouveras toutes les informations adéquates à ce sujet en lisant la synthèse collective.

    ---> Chapitre IV ---> D) Conséquences ---> 2bis) Version alternative (= la bonne en fait) : Le stress oxydatif provoque l’apoptose progressive des lymphocytes T4.

    Tu devrais également lire l’imposant topic consacré au glutathion.

  18. En résumé également (en français) :

    Sida: 2,5 millions d'infections en 2007, les chiffres 2006 revus à la baisse

    GENÈVE (AFP) - Le virus du sida a encore infecté 2,5 millions de personnes dans le monde cette année, selon le rapport annuel du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (Onusida), qui a revu en forte baisse les chiffres fournis l'an dernier.

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    Environ 33,2 millions de personnes vivent actuellement avec le virus, a précisé l'Onusida dans son rapport à paraître mercredi.

    Mais, à la suite d'une révision statistique, l'organisme onusien a réduit de près de sept millions le nombre de séropositifs qu'il avait fourni pour l'an dernier: il estime désormais que 32,7 millions de personnes vivaient l'année dernière avec le virus. Le précédent rapport annuel avançait le chiffre de 39,5 millions de personnes.

    L'Onusida a expliqué ce changement par une révision des chiffres fournis par l'Inde ainsi que par cinq pays d'Afrique subsaharienne.

    "Une réponse efficace au VIH/sida dépend de statistiques de santé publique fiables", a observé le directeur du département sida à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), cité dans le rapport. "Il faut continuer à investir davantage dans tous les pays et dans tous les aspects de l'information stratégique liée à la santé", a-t-il souligné.

    Quelque 2,1 millions de patients sont morts de la maladie en 2007, selon l'Onusida. La progression du nombre de personnes vivant avec le virus a marqué légèrement le pas et le pourcentage de la population mondiale touchée par la maladie est même en légère baisse.

    L'Afrique subsaharienne concentre les deux-tiers des nouveaux infectés, même si leur nombre a diminué à 1,7 million cette année et que la baisse est importante par rapport à 2001, comme le souligne l'Onusida.

    Le continent africain paie le plus lourd tribut à la maladie avec les trois-quarts des décès dus au sida enregistrés dans le monde. Environ 22,5 millions de personnes vivent en Afrique avec le virus du sida, soit 68% de la population mondiale contaminée.

    Huit pays africains concentrent à eux seuls le tiers des nouvelles infections et des décès enregistrés chaque année dans le monde.

    En Asie, ils sont aujourd'hui 4,9 millions de séropositifs, dont 440.000 nouveaux infectés en un an.

    En termes relatifs, les Caraïbes sont la deuxième région du monde la plus touchée par la maladie, avec environ 1% des adultes porteurs du virus (230.000 séropositifs, 11.000 décès et 17.000 nouvelles infections en 2007).

    On rappellera à toutes fins utiles aux distraits que même sur les 32,7 millions de séropositifs, aucun séropositif n'a jamais été contaminé par le "VIH" ... et que jusqu'à ce jour et après 26 ans de pseudo "épidémie" de "sida", l'hypothèse rétrovirale du "sida" a guéri 0,000000000 séropositif !

  19. (kakanerveux @ Mercredi 21 Novembre 2007 10h09)

    le compagnon qui m'a transmis le VIH est quand à lui O+

    Merci pour toutes ces précisions.

    Juste un petit détail d'ordre terminologique : le terme "a transmis" (et également "VIH") est inexact. En consultant ce site et entre autres la synthèse collective, tu constateras qu'il n'a jamais été prouvé que la séropositivité soit sexuellement transmissible, et ton compagnon de l'époque n'y est donc pour rien. D'ailleurs, d'après un autre de tes posts, tu étais enceinte à l'époque. Or le fait d'être enceinte peut parfois provoquer la positivité du test bizarrement appelé "VIH". Tu le constateras en parcourant ce forum.

    Sinon, bienvenue et bonne lecture !

  20. (Jerman @ Dimanche 11 Novembre 2007 02h52)

    Désolé Wallypat, je ne puis utiliser ton sondage puisque je vote pour ma compagne Charlie qui est A+ (pour info je suis séroneg et O+)

    Si ta compagne est séropositive au "VIH", tu peux voter dans le sondage en son nom, le sondage étant anonyme (on ne sait pas qui a voté, si ce n'est que c'est forcément un membre de ce forum, sans autre précision).

  21. Pour ma part, si je suis d'avis que l'existence du virus de l'hépatite C n'a pas été prouvée et que donc l'hépatite C n'est pas causée par cet hypothétique virus, si je suis également d'avis que les traitements "antirétroviraux" peuvent faire apparaître ultérieurment des marqueurs (matériel génétique, anticorps, ...) qui seront interprétés - à tort - comme étant la conséquence d'une hypothétique infection par le chimérique virus de l'hépatite C, je pense toutefois qu'il ne faut pas généraliser. Ainsi, je connais personnellement au moins trois séropositifs qui ne sont pas sous traitements "antirétroviraux" (et ne le sont pas jusqu'à ce jour d'ailleurs) ou de manière générale sous traitement antibiotique quelconque (sauf peut-être à titre exceptionnel lors d'une infection) et qui ultérieurement à l'annonce de leur séropositivité au "VIH" ont appris qu'ils avaient été prétendument "contaminés" par l'hypothétique virus de l'hépatite C. Au moins dans ces trois cas-là, les traitements "antirétroviraux" n'y sont pour rien.

    Sans compter l'écrasante majorité des porteurs du prétendu virus de l'hépatite C (soit plus de 95% des cas d'hépatite C) qui ne sont tout simplement pas séropositifs et qui ne sont donc pas sous traitements "antirétroviraux" (excepté sans doute quelques rares porteurs du virus de l'hépatite B active chez eux).

    Par conséquent, à mon avis, les traitements antirétroviraux ne constituent seulement que l'une des explications possibles, même chez les séropositifs au "VIH".

  22. Une dépêche intéressante :

    VIH-tuberculose, une co-infection « oubliée » qui menace le monde

    ...

    Un tiers des 40 millions de malades porteurs du virus du SIDA sont également infectés par le bacille tuberculeux. Une réalité d'autant plus préoccupante que c'est en Afrique sub-saharienne, déjà durement frappée par le VIH-SIDA, que les co-infections se multiplient…

    Dans un nouveau rapport publié le 2 novembre, le Forum for Collaborative HIV Research (qui regroupe des chercheurs, des associations de patients, des représentants de gouvernements et de l'industrie pharmaceutique) sonne l'alarme. « A l'instar de la menace de pandémie grippale, celle de la co-épidémie VIH-tuberculose est une réalité. Mais la coordination indispensable pour y faire face est totalement insuffisante »…

    La raison d'un tel pessimisme est simple. La pandémie de SIDA aurait augmenté d'environ 15% le nombre de cas de tuberculose dans le monde. Déprimant les défenses immunitaires, le VIH multiplie par trente le risque de tuberculose après un contact avec le bacille. Résultat, la moitié des nouveaux cas de tuberculose déclarés chaque année en Afrique sub-saharienne concerne des patients déjà infectés par le virus du SIDA.

    Il s'agit d'un sérieux défi pour la communauté internationale. « La seule lutte efficace passe (en effet) par un diagnostic précoce, l'observance et le bon équilibre entre la toxicité des différents traitements » précisent les auteurs. « Or pour cela nous avons besoin d'unités de soins primaires intégrés VIH-Tuberculose ». Des structures qui aujourd'hui, n'existent toujours pas en Afrique.

    Source : HIV-TB Co-infection : Meeting the Challenge, 1 novembre 2007

    Lorsque l'on sait que les anticorps du bacille de la tuberculose peuvent faire réagir positivement le test dit "VIH" et que ces malades du "sida" meurent en fait la plupart du temps des symptômes bien connus de la tuberculose (et de façon plus générale, que la plupart des symptômes du "sida africain" ne se distinguent pas des symptômes des maladies endémiques dans le continent africain), je me pose une question "toute bête" : Où est donc la fameuse épidémie africaine de "sida" ?

    Surtout lorsque l'on sait que les autres "sidéens africains" souffrent d'autres maladies ayant toujours existé dans ce continent, telles que la malaria, ou de maladies causées par exemple par l'usage d'antibiotioques à base d'oxydants azotés (d'ailleurs tellement nocifs qu'ils sont interdits dans les pays occidentaux).

    Quant à l'augmentation des cas de tuberculose qui serait due ou facilitée par le "VIH", elle peut tout simplement être expliquée par le fait que la pauvreté et la manque d'hygiènene ne font que s'aggraver d'année en année sur le continent africain, sans qu'il soit besoin d'invoquer quelque "VIH" que ce soit pour l'expliquer.

    Et de façon encore plus générale, à défaut de l'étalon-or qu'est le "VIH" lui-même (soit, à défaut d'avoir pu l'isoler), comment l'orthodoxie du sida fait-elle la différence entre les anticorps du "VIH" et de ceux du bacille de la tuberculose alors que les seconds peuvent être les premiers également ? Comment sur base des tests d'anticorps, font-ils la différence entre une personne qui fait le sida et celui qui fait une tuberculose alors que les symptômes sont identiques ?

    Franchement, l'hypothèse rétrovirale du "sida", c'est vraiment du n'importe quoi.

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