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Viduité

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Messages posté(e)s par Viduité

  1. En fait, la justice peut-être intéressante pour cibler très concrètement les préjudices causées par les thérapies.

    Le juge n'est pas en mesure de remettre en cause un dogme selon une méthode frontale.

    Dès lors qu'on se risque sur ce terrain c'est "Outreau" : tout le monde est aveuglé ... on jette en prison des gens qui n'ont rien à y faire mais qui ont la malchance d'être les acteurs d'un problème de société ... le fiasco assuré !

    Il faut concrétiser ...

  2. C'était le risque de porter une affaire particulière avec des paramètres personnels et objectifs en argumentant avec un éclairage "débat de société" qui porte autant d'intérêts généraux et économiques.

    Il y a eu débat, c'est déjà un acquis.

    Je ne vois pas très bien comment la médecine orthodoxe pourrait perdre sur le terrain : ce serait la chute de leur mur de Berlin.

  3. Bonjour Viduité,

    tu peux penser ce que tu veux à propos du Vilac Plus et à propos de la Thailande: c'est ton droit, ton choix. Mais je parle de ce que j'ai vu avec scanners et bilans sanguins à l'appui! Et quand je parle de GUERISONS, je les ai vues de mes propres yeux...! Et il ne faut pas parler ni critiquer de ce qu'on ne connait pas...sans avoir vu!! Bonne chance dans ta recherche.

    Je ne critique rien du tout, je constate ... si ça marche objectivement, c'est tant mieux !

    Ayant vécu 4 ans en Thaïlande, pays que j'ai beaucoup apprécié par ailleurs, ... cela étant, il ne me semble pas être celui de la "vertu" ... ni en économie, ni dans beaucoup d'autres domaines ... remarque, c'est cela qui m'y a plu ... !

    Allez ... à un de ces jours sur Sukhomvit !

  4. Bonjour,

    allez sur le site ethorga.com puis commandez du Vilac Plus, boisson eubiotique et dans qques mois vous aurez retrouvé la santé! L'étude faite par un grand hopital en Thailande et qui a porté sur 4 ans d'observations sur nombre de patients vient de s'achever et les résultats sont époustouflants! Aucun effet secondaire constaté à ce jour (normal, c'est un produit naturel et vivant, hautement assimilable par l'organisme)

    Ces produits sont chers me semble-t-il ... la santé n'a pas de prix mais bon ... " Normal, c'est un produit naturel " ... ne nous emballons pas, l'AZT est aussi un produit "naturel" puisqu'il vient de la mer ...

    J'ai lu l'expérience thailandaise (que d'escrocs là-bas aussi) ... résultats époustouflants ? ... c'est-à-dire ? je n'ai pas bien compris. Si, j'ai compris que le flacon était à 200 euros ...

    Il ne faut pas se faire abuser par la médecine traditionnelle mais il ne faut pas non plus se faire avoir par d'autres centres de profit. C'est un peu comme ces blancs qui troquent leurs chapelets pour le sari safran ... la laïcité est tellement meilleure ... non ?

  5. Retomber sur un dogme qui soignera l'inflammation locale sans tenir compte des facteurs prédisposants innés et acquis... et sans compter la probable iatrogénie est remplacer un mal par un autre...

    C'est, très simplistement, l'histoire du type à migraines qui se bourrent de cachets pour résoudre son problème alors que son voisin fait hurler sa chaîne stéréo ... baisser le volume du bruit serait alors la seule mesure conservatoire à prendre ... en lieu et place de ces cachets.

    Cet article sur les 9/10 porteurs de l'hépatite B qui guérissent (dans l'hypothèse même où ils connaitraient un quelconque trouble) spontanément, me trouble ... J'imagine qu'on traite l'ensemble de la cohorte au cas où ... J'imagine aussi que les traitements dans ce cas ne sont pas anodins ... sans parler de la vaccination préventive bien entendu ... principe de précaution ...

    Est-ce mettre la tête dans le sac que d'affirmer : il n'est admis de traitement que quand on est objectivement en proie à des troubles ? C'est-à-dire vraiment malade ...

  6. Bonjour Aminata,

    Oui tu as raison : l'occident passe maître dans l'art de soigner le mal par le mal ... et d'obtenir des résultats finaux encore plus mauvais que les constats initiaux.

    Sans rapport (encore que ...) avec les pathologies médicales (parlons de pathologies sociales), je ne vois aucun contre exemple (dans mes périples et quand je suis observateur de ceci) aux magnifiques résultats (pour ne citer que cela) de l'envoi de forces d'interposition dans les conflits locaux (casques bleus ... sorte de multithérapies)

    Que reste-t-il lorsque ces forces plient bagages :

    - filles violées, voire massacrées ...

    - prostitution encouragée ...

    - MST explosantes ...

    - corruption institutionnalisée lorsque ce n'était pas encore le cas ... rarement certes ...

    - commerce des armes florissant ...

    et ... situation politique encore plus merdique qu'au départ ...

    J'écoutais hier le brave général frenchy "se réjouir" de l'accord trouvé à Abidjan ... un camouflet pour la France (cela dit au passage) ... Ses soldats se cherchent une place sur une ligne de partage en pointillée paraît-il désormais ... Pourquoi restent-ils ? ... Personne n'en veut !

    Victoire ivoirienne ? ... Bien sûr que non ! ... Défaite française ? ... bien sûr que oui !

  7. LONDRES 15/04 (BELGA) = Une équipe britannique de scientifiques a identifié une protéine située dans le cerveau comme étant une cause de l'hypertension, alors que le coeur est traditionnellement considéré comme responsable, selon une étude à paraître dans le journal Hypertension. Ces chercheurs de l'Université de Bristol ont isolé la protéine JAM-1 dans le cerveau et découvert qu'elle emprisonnait les globules blancs, provoquant des inflammations qui gènent la circulation sanguine et réduisent l'apport d'oxygène au cerveau. Selon eux, l'hypertension est une maladie vasculaire inflammatoire du cerveau, plus qu'une maladie due au coeur. Leurs recherches visent "la possibilité de traiter les patients qui ne répondent pas aux traitements conventionnels de l'hypertension, avec des médicaments qui réduisent l'inflammation des vaisseaux sanguins et qui augmentent le flux sanguin vers le cerveau", a expliqué le professeur Julian Paton, qui dirige le projet. "Le nouveau défi va être de comprendre le type d'inflammation des veines du cerveau, comme ça nous saurons quels médicaments utiliser et comment les diriger", a-t-il indiqué, soulignant que JAM-1 pourrait "fournir de nouvelles pistes pour traiter cette maladie".

    C'est une excellente nouvelle qui aura des effets positifs sur l'approche du VIH.

    En effet, il a été observé maintes fois la présence d'une telle protéine dans le cerveau des salariés et des rentiers du VIH et donc une inflammation de le circulation sanguine dans leurs têtes ce qui entraîne divers phénomènes :

    - hypertension à l'approche des journées consacrées aux collectes d'argent et aux publications des résultats trimestriels des laboratoires cotés en bourse ;

    - blocage systématique sur des concepts parfois ridicules ;

    ...

  8. Oh !!! c'est super !!! 1 % qui ne declarent pas le sida et il vont les etudier ??? Ca c'est chouette !!!

    Encore faudrait-il qu'ils les identifient, qu'ils leur mettent la main dessus et qu'ils trouvent un artifice juridique pour les contraindre à se soumettre ...

    En fait, il s'agit d'un scoop réchauffé ...

    Keiser, tu es bien méchant avec "Le parisien" ... J'ai lu la même chose, à la virgule, dans "Le Monde" ... de toutes les façons, ils se sourcent tous au même endroit : les agences de presse ... ils relayent fidèlement la pensée unique et standardisée ... mieux vaut encore prendre "20 minutes" avant de prendre le métro (c'est gratuit) ... et de le balancer trois stations plus loin ...

  9. Tout ceci entre bien sûr dans une stratégie de communication "touchy" et ne concerne en rien les séropos.

    Cette stratégie consiste, par touches successives et par périodiquement, à répandre (avec l'immense complaisance du monde médiatique) des machins considérés comme des "faits incontestables" constitutifs d'une vérité révélée incontestable.

    Dans l'exemple d'aujourd'hui que faut-il retenir du "message" (à destination du grand public non directement concerné) ... Eh bien c'est très simple, comme pour la vente des yaourts ou la "vente" du réchauffement climatique :

    " Point de salut au delà de 10 ans sans les bonnes potions ... " ... 1% est un chiffre qui interpelle !

    ... car avoir 99 % de chance d'y passer si on ne se conforme pas au dogme n'a pas de quoi enthousiasmer l'indécis ! ... et surtout (puisque le discours ne s'adresse pas à lui) à initier des doutes chez le grand public !

    Au fait ... comment trouvent-ils de pourcentage de 1 % ... surtout chez "les patients" qui ignorent leur mal ...

  10. Conclusion : L’hypothèse rétrovirale du sida constitue vraisemblablement la plus grande catastrophe scientifique et médicale de tous les temps !

    Sans doute car cette hypothèse implique beaucoup de monde et même l'intégralité de générations.

    Cependant (prenons l'exemple des maladies orphelines ... ce ne sont pas simplement des statistiques mais des gens faits de chair et de conscience), qu'en est-il pour les maladies "plus discrètes" mais au moins aussi chiantes ? ... Que se passent-ils dans et à côté des labos pour ces gosses (et ces adultes) touchés ainsi par le mauvais oeil ?

    N'y a-t-il pas encore davantage le syndrome du rat de laboratoire ? ... Qu'en est-il des gardes fou ? ... et des sorties de piste ...

    Qu'ont-ils, eux, pour se défendre ? Rien ou presque, ils sont fragiles et offerts en pâture aux docteurs Mabuse ...

    Respecte-t-on ces gens "orphelins" ? ...

  11. Le gentil et si efficace institut passe à la caisse

    "Le Monde" d'hier ...

    C'est la seconde fois que la responsabilité de l'Institut est reconnue par la justice dans le décès d'une personne lié à l'hormone de croissance. En janvier, la Cour de cassation avait définitivement confirmé la responsabilité de l'Institut après le décès, en juin 2001, d'une Montpelliéraine de 30 ans, soignée aux hormones de croissance en 1985 en raison de sa petite taille.

    RÉPARATIONS

    Icham Baouh, demeurant à Alès, avait lui aussi été traité à l'hormone de croissance en 1985 et était décédé le 27 avril 2003. Sa famille recevra solidairement 180 000 euros de l'Institut Pasteur et de l'Oniam (Organisme national d'indemnisation des accidents médicaux). En réparation du préjudice moral, le tribunal d'Alès a également ordonné le paiement de 50 000 euros à la mère de la victime, Malika Kerdali, et de 30 000 euros à chacune de ses quatre surs. Le tribunal a également ordonné le paiement de 17 539 euros à Mme Kerdali, qui avait eu recours à l'aide d'une tierce personne pour soigner la victime, et de 3 840 euros pour les frais funéraires ainsi que de 5 846 euros pour trois de ses surs.

    L'Institut Pasteur et l'Oniam devront également payer 24 625 euros à la Caisse primaire d'assurance-maladie (CPAM) du Gard. "C'est une très bonne décision, qui est tout à fait acceptable", a commenté l'avocat de la famille, Me Nicolas Jonquet.

  12. Chercher à faire des assimilations par comparaison des effets est-il vraiment productif ?

    Une jambe cassée peut avoir plusieurs causes : un accident de bagnolle, une glissade à ski, ... et il n'y a pas vraiment de similitude entre ces deux causes ... en revanche, les résultats sont identiques.

  13. Voici un lien qui t'interessera surement ici

    Oui c'est un article intéressant Lamane : merci !

    En fait, on est en droit de s'interroger : la décrépitude décrite est-elle du à un virus ou un état "oxydé" pour des raisons x ou y ?

    et en allant plus loin : les tests détectent-ils la présence d'un virus ou, justement, cet état "oxydé" ?

  14. Dernièrement des recehrches ont montré que dès la primo-infection le VIH tue énormément de cellules CD4 dans les intestins.

    Existent-ils d'autres pathologies où on s'intéresse d'aussi près au décompte des CD4 ?

    J'imagine que ce décompte ne doit pas être fameux non plus en présence de ces autres pathologies abdominales ... y compris lorsqu'on a une banale tourista ... non ?

  15. ttention, les glutathions peroxydases sont des enzymes séléniées, et on n'y mesure que le tauix de sélénium.

    ce qu'il faut connaître c'est le taux de thiols libres, et il s'agit bien du glutathion réduit.

    Cheminot,

    Je repose donc ma question ... est-ce que le médoc d'olivier est susceptible de booster le gluthation réduit ?

  16. Alors une question s'impose :

    L'apport dont parle Olivier (par exemple le Mucomyst), est-il susceptible d'améliorer les éventuelles carences sur le glutathion intracellulaire ?

    Une autre question annexe :

    Wally, tu dis que ton nutritionniste évoque une recherche sur ces questions : connaît-il le cadre de ces recherches ? ... liée directement au VIH ou pas ? ... ou liée à quoi exactement ?

  17. Au lieu de cela , l'esclave jalouse son congénére et va le dénoncer au maitre à la premiére incartade...et il se réjouit de sa punition .

    Pas grand chose à voir avec la vie et la mort mais il faut reconnaître que ton item est exact.

    La vie sociale, sous une forme ou sous une autre, se satisfait de la situation de maître et d'esclave ... le pire est que tant l'un que l'autre estiment cet état de fait comme le plus souvent légitime.

    Le pouvoir des uns et son acceptation par les autres sont de "terribles" noeuds sociaux, si terribles que parfois incompréhensibles.

    La petitesse humaine en quelque sorte ...

  18. Plus efficace encore que Roche and co : Jean Paul II post mortem :

    EXCLUSIF LE FIGARO. La religieuse française de 45 ans, qui pourrait avoir été guérie par lintercession de Jean-Paul II, appartient à la Congrégation des petites surs des maternités catholiques. Après avoir exercé près dAix, elle travaille à la clinique Saint-Félicité, à Paris.

    «JÉTAIS atteinte dune maladie de Parkinson, diagnostiquée en juin 2001, celle-ci était latéralisée à gauche ce qui mhandicapait beaucoup, étant gauchère.» Ainsi commence lémouvant témoignage manuscrit envoyé par sur Marie-Simon-Pierre au Vatican dix mois après sa guérison inexpliquée dune maladie de Parkinson.

    Cette religieuse de 45 ans, membre de la congrégation des Petites surs des maternités catholiques -fondée dans les années 1930- a, ces dernières années, exercé son apostolat à la maternité de lÉtoile, tenue par sa communauté, à Puyricard, près dAix-en-Provence. Elle uvre désormais à Paris, à la maternité Saint-Félicité, tenue par sa congrégation.

    «Ã€ partir du 2 avril 2005, la maladie me ravageait de semaine en semaine, je me voyais diminuer de jour en jour, je ne pouvais plus écrire (...) ou si je le faisais, jétais difficilement lisible», raconte la religieuse dans sa lettre. À la mort de Jean-Paul II, «tout a basculé» : «Je venais de perdre un ami, celui qui me comprenait et me donnait la force davancer.» Quelques années auparavant, à lannonce du diagnostic, la sur avait «beaucoup de difficulté à regarder Jean-Paul II à la télévision», le pape polonais étant atteint du même mal. Mais elle admirait «sa force et son courage» qui la stimulaient «pour (se) battre et aimer».

    Le 14 mai 2005, au lendemain de la dispense accordée par Benoît XVI pour louverture du procès de béatification de Jean-Paul II, toutes les surs de la congrégation se mettent à prier le pape défunt pour sa guérison. Le 26 mai, sur Marie-Simon-Pierre est «complètement épuisée par la maladie» mais affirme rester confiante en Dieu.

    Une sage-femme qui exerce à la maternité de lÉtoile, à Puyricard, témoigne que la religieuse "avait lair très malade et nexerçait plus comme infirmière". «Elle était confinée à des tâches administratives», ajoute-t-elle en précisant que son écriture ressemblait à «celle dun élève de CP qui sapplique et qui écrit très mal».

    «Un appel intérieur »

    Le 2 juin, sur Marie-Simon-Pierre va trouver sa supérieure pour lui demander de cesser son activité professionnelle. Celle-ci lui demande de tenir encore un peu, jusquau retour dune visite prévue à Lourdes en août, et à la fin de lentretien, lui demande décrire «Jean-Paul II» sur une feuille de papier. Lécriture est illisible.

    Après le dernier office du soir, la sur rentre dans sa chambre. «Il était entre 21h30 et 21h45. Jai ressenti alors le désir de prendre un stylo pour écrire. Un peu comme si quelquun me disait : Prends ton stylo et écris.» Et à son grand étonnement, «lécriture était très lisible». Au milieu de la nuit, elle se réveille « stupéfaite davoir dormi». «Mon corps, dit-elle, nétait plus endolori». «Un appel intérieur» la pousse alors vers le Saint-Sacrement, dans la chapelle, où «une grande paix» et une «sensation de bien-être» lenveloppent. Le matin, la sur rejoint sa communauté pour la messe. «Ã€ la sortie, dit-elle, jétais convaincue que jétais guérie... ». Sur Marie-Simon-Pierre arrête ses traitements. Le 7 juin, elle rend visite au neurologue qui la suit depuis quatre ans. Celui-ci constate «avec surprise la disparition de tous les signes» de la maladie de Parkinson.

    Sur Marie-Simon-Pierre reprend aussitôt son activité dinfirmière et retrouve «sa joie de vivre et son bon sourire», raconte un habitant de Puyricard, qui la connaît bien. À la fin de 2006, la religieuse est envoyée à Paris.

    Le nom de la «miraculée de Jean-Paul II» sera officialisé ce week-end par le diocèse dAix-en-Provence. En prévision de la bourrasque médiatique, les surs de Sainte-Félicité, à Paris, se calfeutraient hier derrière les murs de la maternité.

  19. Je pense qu'il convient d'abord de saisir l'organisme sur le fondement des dispositions relatives à la communication des documents administratifs (je ne suis pas spécialiste en stratif et mes souvenirs sur ce plan sont "vieux"). Le faire en recommandé avec accusé de réception est indispensable. Une non réponse ou un refus explicite de la part de cet organisme constitue l'élément déclencheur pour initier un recours par la voie de l'excès de pouvoir dans le délai de droit commun auprès tribunal administratif de ton lieu de résidence. La procédure est gratuite et sans ministère d'avocat. De plus, il n'y a aucun formalisme particulier requis. Les gens négligent trop souvent cette procédure qui est pourtant très démocratique. Si tu souhaites un raccourcissement des délais, il convient d'introduire parallèlement une action en référé où le juge n'est pas contraint d'apprécier au fond ... mais ça peut-être suffisant.

    Je ne pense pas, mais c'est à vérifier, que les actes SS de ce type soient nécessairement à porter devant le juge de l'exception en ce domaine ...

    Les tribunaux d'exception sont une "vieille tradition française" qui nous singularise des pays anglosaxons où le juge de droit commun est la règle unique.

    Mais tu as parfaitement raison de soulever la question : le dossier individuel SS est parmi les plus "dangereux sommiers" qui existent.

    Ici, nous avons déjà évoqué cette histoire de carte vitale à puce (qui ne cesse de se perfectionner) ... est-il raisonnable pour soigner un cor au pied chez un médecin de ville que ce dernier ait en un clin d'oeil tout ton pédigrée sur son écran ? ... Moi, je ne le pense pas du tout. On lui demande de soigner le cor au pied ... et point barre. Idem chez le dentiste d'ailleurs !

    Je te conseille de regarder les jurisprudences concrètes sur la question (C.E. et C.A.A.) ... sur le site legifrance, tu trouveras certainement.

  20. tout ca me revolte....et je le suis encore plus parce que mon parrain est atteint d'un cancer de la prostate qu'il est actuellement en soins a marseille dans un centre specialisé du cancer et qu'on est traite comme des sacs a viandes

    Etre révolté, c'est bien. Agir est encore mieux ...

    Sans chercher à diaboliser quiconque car jeter le bébé avec l'eau du bain n'est pas opportun, il est absolument indispensable d'être très vigilant (pour soi-même ou pour un proche qui ne peut le faire lui-même ou qui n'a pas la tête assez froide pour agir).

    Pour ma part, j'estime incontournable (quoique un peu fastidieux certes) un recours plus soutenu à la justice : je ne vois pas autre chose de mieux et de plus susceptible que de faire ainsi rester dans le "droit chemin" le corps médical et les officines parallèles.

    A cette fin et j'insiste lourdement depuis toujours là-dessus (pour le VIH mais aussi pour tout le reste) sur la nécessité de conserver précieusement toutes les pièces de son dossier (ou du dossier du proche), voire même de faire acter certains épisodes : Verba volent, scripta manent.

    Les conneries et les indélicatesses ne doivent pas rester impunies !

    Il existe des associations (pas les caritatives institutionnelles) qui peuvent constituer des points d'entrée intéressants et qui regroupent des gens partageant les mêmes turpitudes ... structurés avec des juristes spécialisés.

    A ce sujet, la France (et les français surtout) gagnerait beaucoup à s'inspirer des procédures civiles et pénales en vigueur chez les anglo-saxons et notamment :

    - de la possibilité d'introduire systématiquement des actions collectives ;

    - et aussi et surtout, de réformer le mode de rétribution des conseils en passant des honoraires à l'intéressement contractuel aux résultats ...

    Je sais que ce dernier point fait parfois "ricaner" ... mais je peux vous dire que les résultats sont bien meilleurs (et surtout l'investissement durant la procédure bien moindre) lorsque le cabinet de conseil agit dans ce cadre, le risque étant alors partagé.

  21. Parmi les pathologies communément attribuées au syndrome figurent quelques unes qui peuvent faire positiver un test ELISA.

    La question se pose alors de savoir si cette positivation est une cause ou une conséquence de la pathologie précitée.

    Ainsi, le développement du bacille de Koch ne semble pas, ipso facto, conduire à cette positivation alors que le virus de l'Herpes, lui, est de nature à le faire ... l'explication est peut-être à rechercher dans le fait que la tuberculose est d'origine bactérienne tandis que l'herpes est d'origine virale.

    Relier alors le développement du BK au syndrome revient à le relier à l'affaiblissement général des défenses immunitaires ... en ces conditions, le spectre des maladies associées ne devrait pas s'en tenir à une liste incomplète de pathologies : il devrait ratisser beaucoup plus large en incorporant toutes les maladies virales et bactériennes.

  22. La dialectique, selon Socrate, est rendu nécessaire par l’objet même de l'observation, l’homme. Il s’agit d’une part d'observer sur quels sujets les hommes sont en accord et certains ; et d’autre part d’instruire les autres sur ce dont on a la certitude ou la connaissance par l'observation. Chaque interlocuteur possède en outre en lui-même le critère qui permet à un dialogue de se dérouler fructueusement, puisque chacun porte en soi la nature humaine que l’on cherche à observer.

    Pourtant, un des premiers résultats de la recherche socratique est que les hommes ignorent ou n'observent pas souvent ce qu’ils sont ni ce qu’ils font.

    ...

    1. Un chapeau à 1 euro est rare,

    2. Tout ce qui est rare est cher,

    3. Un chapeau à 1 euro est cher.

    ... allez à vous de jouer en inventant un sophisme de ce genre dans la matière de ce topic ...

    Nous ne sommes pas loin du sophisme lorsqu'on approche des "faits statistiques" ...

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