Cheminot
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Le délire continue, comme dirait Rouge 100 sur un autre topic :
Où il est montré que l'utilisation de l'AZT dans la prévention du "vih" (mesuré par la charge virale), accélère l'apparition des symptômes du Sida :
http://perso.wanadoo.fr/jean.umber/AIDS/hi...enfant_2001.pdf
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Ici un lien sur une page publiée par des chercheurs français qui montre que l'AZT dminue nettement le taux de CD4
http://perso.wanadoo.fr/jean.umber/AIDS/hi...optose_2001.pdf
(à télécharger)
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Tu as bien entendu raison. La médecine moderne va dans le mur. Cela fait maintenant 25 ans que je n'ai plus touché à aucun médicament classique, que ce soit de l'aspirine, du paracétamol,... Mes enfants non plus, du moins ceux dont j'ai encore la responsabilité.
La médecine holistique que j'utilise est l'homéopathie, et c'est d'ailleurs après une réflexion approfondie à partir des connaissances que j'ai dans cette méthode que j'ai trouvé que la vision dissidente du $ida était la plus logique.
La biologie moléculaire, malgré le défaut d'interprétation qu'elle donne (en particulier la théorie virale), présente tout de même une réalité: elle permet de déterminer le taux des différentes protéines contenus dans le sérum sanguin. Que certaines protéines soient présentes lors de certaines maladies, certainement. Mais quand on en déduit systématiquement la présence d'un virus infectieux, il me semble vraiment que c'est là que le bât blesse. Après tout, tout cela n'est que de la chimie, et l'action de substances chimiques étrangères à la vie peut très certainement suffire à expliquer pas mal de maladies.
Il ne faut pas vous sentir aggressés quand je dis que les tests montrent quelque chose d'anormal. Le pb, comme tu le dis, Mark, est qu'on peut très bien vivre avec ces taux élevés de protéines, alors que l'utilisation de substances comme l'AZT, qui va encore augmenter ce taux protéique, car il est oxydant, conduit à la tombe.
Je suis quant à moi convaincu par l'explication de Rasnick et Duesberg qui montrent une nette augmentation de la mortalité des personnes séropositives dans la période où l'AZT était prescrit à raison de 1500 mg/jour (c'est la dose recommandée par les biologistes qui ont montré in vitro qu'au dessous de ce taux, l'activité de la rétrotranscriptase n'était pas inhibée). Et une nette diminution de la mortalité après 93, date où les dosages d'AZT ont été fortement diminués (jusqu'à 500 mg/jour), diminution que l'on a attribué (volontairement ou non) à l'utilisation de la trithérapie qui a commencé, je vous le rappelle, 2 ou 3 ans plus tard. A remarquer que la dose d'AZT utilisée actuellement est nettement inférieure à la dose théoriquement efficace !!! Quelle chienlit !
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J'ai l'impression qu'on régresse dans ce débat...
Cheminot, peux tu dire clairement si tu crois ou non à l'existence du vih ?
Car, comment peut on affirmer que les anticorps dont tu parle, sont spécifique au vih, sachant que ce dernier n'a jamais été isolé et reconnu ?
Cher Jimmy, si tu lis bien mon dernier post, tu constateras que jamais je n'ai indiqué que ces anticorps étaient spécifiques au vih.
Cependant, il est sûr que ces protéines particulières, que Gallo a comparé à des anticorps, existent en quantité importante chez les personnes malades du Sida. Par ailleurs, elles existent aussi, mais à des taux inférieurs, chez les personnes en bonne santé.
Cela signifie donc que, loin d'être créées pour s'opposer à un virus, elles font partie d'un processus de défense normal de la cellule, par exemple contre les oxydants, et leur production s'exacerbe lorsque la quantité d'oxydants cellulaire s'accroît (je pense essentiellemnt aux composés qui comportent des azotes oxydés). Ceci semble logique quand on sait que ces tests sont des tests à limite et non des tests noir/blanc.
Chose curieuse, et qui vient encore étayer cette thèse, la maladie Sida se développe surtout chez les personnes dont les cellules sont privées de glutathion peroxydase, donc de sélénium. Or cette protéine est justement un des maillons de protection contre le stress oxydatif.
Parmi les bouts d'ARN trouvés dans la zone d'ultracentrifugation par gradient de sucrose, on a justement trouvé le code de cette glutathion peroxydase, ce qui pourrait laisser aussi supposer que le stress oxydatif a pu détruire justement l'ARN messager cellulaire qui permet de créer cette enzyme, avec recombinaison aléatoire des brins d'ARN.
Donc, pour résumer le pb des tests :
oui, ils mesurent un taux de protéine anormalement élevé.
non, ces protéines ne sont pas spécifiques du vih, qui, du moins je le pense à la lecture de multiples articles, n'est qu'un mauvais ramassis de lambeaux d'ARN.
Et par ailleurs, le caractère vivieux de ces tests, c'est d'utiliser la PPV, qui va automatiquement créer des séropositifs chez les personnes faisant partie des "groupes à risque".
C'est ainsi que les noirs d'Afrique, faisant partie d'un groupe à risque, ont un taux de séropositivité bien plus élevé que les "caucasiens", lorsqu'ils font un test en Europe.
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Mark a écrit :
Alors explique-nous k'eszé des "densités optiques" et eszé normal pour un patient "normal" d'être informé ?Il y a plusieurs méthodes permettant de vérifier lé présence de telle ou tel anticorps dans le sang. Ces méthodes mettent en oeuvre la réaction de l'anticorps avec un antigène (synthétique !!). Soit il y a apparition d'un précipité très fin, qui modifie le trouble de la solution (on appelle cela la turbidité). On utilise un turbidimètre pour mesurer l'intensité de la précipitation.
On peut également utiliser un anticorps monoclonal comportant un marqueur coloré ou fluorescent. Le taux d'anticorps est alors proportionnel à l'intensité de la coloration de la solution, cette grandeur étant mesurée par la "densité optique" (grâce à un spectromètre).
Donc on doit pouvoir obtenir le taux réel d'anticorps, et non pas un simple +++, sans aucune référence. On sait en effet que tout ces tests sont des tests à limite, et que le taux d'anticorps doit être donné au patient versus letaux d'anticorps limite au delà duquel on considère que la personne est séropositive.
Par contre, il me semble que si on multiplie ce taux d'anticorps par la PPV, il est impossible au labo de parler de cet artifice, sans montrer qu'il y a problème. Il faut donc demander les taux réels d'anticorps, ainsi que la limite utilisée pour séparer séropositifs de séronégatifs.
En fait, il faudrait même faire refaire la manip en présence d'un huissier.
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Ce qui est incroyable, Mark, c'est que ton labo ne donne pas les densités optiques obtenues, ni la limite utilisée. Demande ces résultats-là. !
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Voici un document en Anglais, provenant des services de santé britanniques :
http://uhavax.hartford.edu/bugl/treat.htm
dont je retire le tableau suivant :
HIV prevalence rate 0.1% 0.3% 0.5% 1.0% 2.0% 5.0% 10.0%
PPV 20% 43% 56% 72% 84% 93% 97%
* PPV = "positive predictive value", facteur par lequel on multiplie le taux brut d'anticorps.
Ce qui montre bien que le taux de protéines décelé par les diverses méthodes (immunoprécipitation par exemple, qui détermine la turbidité d'une solution où l'on a mis en présence un antigène synthétique et les anticorps du sérum) est ensuite multiplié par un facteur qui peut être 5 fois plus élevé dans une zone dite de forte prévalence, ou chez une personne faisant partie d'un groupe à forte prévalence.
Quelles sont les valeurs qui te sont données, Mark? Que donne le test lui-même? Dans quelle catégorie de prévalence t'a-t-on placé?
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Mark,
en attendant, tu pourrait peut-être contacter Rodney Richards, qui a travaillé chez Abott.
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Je vais essayer d'obtenir ces notices de mon côté.
Bon week-end
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Ainsi que je l'ai déjà souligné ici, je crois que c'est toute la vaccinologie (et la virolgie bien sûr) qui en ont pris un coup depuis que l'on cherche à élucider le mécanisme du Sida.
En effet, à la lecture des publications, qui toutes indiquent que le vih est responsable du sida, on peut constater qu'entre les lignes ces chercheurs montrent que la présence d'anticorps correspond à un mauvais fonctionnement du système immunitaire non spécifique, ce que la médecine classique a toujours nié, malgré Béchamp, voire Pasteur (le microbe n'est rien, le terrain est tout), ce que les médecines alternatives ont toujours affirmé (au vu de leur propre expérience).
Et maintenant, avec la découverte des TH1 et TH2, de l'importance du monoxyde d'azote cellulaire, on admet à mots de moins en moins couverts que la formation d'anticorps est liée à un débordement de la défense des TH1 (qui permettent la libération de NO cytotoxique).
Cela voudrait dire que la théorie de la nocivité des anticorps du sida est correcte (anticorps qui ne sont pas synthétisés par un ARN viral, mais par un ARN endogène apparaissant sous l'effet d'un stress oxydatif bien supérieur à celui créé par des bactéries par exemple (on a d'ailleurs montré que le BK libérait du NO qui provoquait et la prolifération de globules blancs, et la formation d'anticorps, ainsi que la destruction cellulaire qui accompagne la tuberculose).
Ce stress oxydatif peut être soit chimique, soit protéique, soit lié à un déficit en réducteurs (malnutrition).
Par contre, la recherche de la formation d'anticorps par l'administration de vaccins me semble de plus en plus suspecte, car cela signifie, si ces nouveaux modèles se confirment, qu'en vaccinant on outrepasse la défense immunitaire non spécifique et normale, et on empêche de fonctionner correctement la cellule. D'où ces nombreuses "nouvelles maladies" qui apparaissent, sans qu'on sache pourquoi !
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A signaler que Robert Gallo lui-même a critiqué cette expérimentation, car elle utilise deux vaccins qui isolés, n'ont aucune efficacité
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Merci Mark et EcliptuX,
Il y a des liens et des références dans vos textes, ce qui est déjà suffisant pour faire une recherche en bibliothèque universitaire.
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Quelqu'un le veut? Je l'ai le rapport en texte.
Oui, pour compléter mes archives,
merci encore.
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Après avoir lu et relu pas mal de publications, et réfléchi sur ce que pourrait être cette maladie, je pense qu'il serait néfaste de se faire injecter le sang d'un séropositif, car celui-ci contient ces fameuse protéines qui ont provoqué cette maladie que je pense être autoimmune.
Ce qui ne veut pas dire que c'est un virus qui synthétise ces protéines. Elles peuvent très bien être créées par ce fameux stress oxydatif, qui augmente le taux de monoxyde d'azote et diminue le taux de glutathion. Il faut savoir que les anticorps comportent un grand nombre de liaisons R-S-S-R, et donc sont des protéines oxydées.
Quant à la transmission par voie hétérosexuelle, il suffit de relire les données du ministère de la santé pour comprendre qu'il s'agit-là d'une illusion :
probabilité de transmission par acte vaginal dans les deux sens, entre séropositif(ve) et séronégatif(ve) = 5 pour dix-mille.
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Les choses commencent à bouger en Europe. Pour preuve, ce message d'un journaliste suisse séropositif à Alive&Well, San Francisco :
A few thought provoking messages from among the many sent to Alive & Well:Swiss Journalist Becomes AIDS Rethinker
Dear Alive & Well,
I tested HIV positive about14 years ago. In 1996, I started treatment, not because I had the slightest disease or any symptoms, but because my so-called viral load was at 135,000. I don't quite remember the combination now, but it included AZT and two other drugs.
In March of 2001, I stopped the treatment and spent two years without medicines. Then in spring of 2003, I had d iarrhea that wouldn't stop and my viral load results were close to a million. My doctor recommended that I take up the chemotherapy again.
I started with Kaletra and Combivir and a few months later switched to Stocrin and Combivir. For the first time since testing HIV positive, and apart from the bout with diarrhea, I started feeling really bad and really sick. The last few months I was on the drugs, things got worse and worse, and the side effects became serious and obvious.
I decided for myself to quit the treatment again, and funnily enough, a friend came to see me a few days later that happened to be reading ³What If Everything You Thought You Knew About AIDS Was Wrong?² He left it behind for me to read.
I would have quit the chemicals anyway, but in addition to my instinct and feeling ill from the drugs, I now have matter-of-fact-reasons to know that my decision is right.
As a journalist, I strongly believe that it is one of my duties to help make this alternative approach to the subject of AIDS and HIV visible to the public, by means of editorial coverage and investigation. I am the head of Switzerland's most important private news radio station, and a member of the executive committees of both the Swiss and the European Association of Commercial Radio which represents 4.500 stations across the continent.
Have you ever thought about having the ³What IfŠ² book translated into German? I would gladly offer my active support--I used to work as an interpreter and translator before becoming a journalist.
Thank you,
Frederik S
[A few weeks after Frederick wrote, we got a message from another person interested in producing a German translation of the book. He and Frederik are now collaborating on the project. In further translation news, a Polish version of the books is currently in the works thanks to another journalist in that country.]
Apparemment, aucun des ouvrages des repenseurs (Duesberg, Maggiore, Rasnick, Mullis) n'ont encore été traduits en français. Une traduction allemande et polonaise serait donc en préparation.
Pour ma part, j'essaie de sensibiliser au problème mes collègues de travail, surtout les physicochimistes et biologistes, avec une ouverture d'esprit manifestement plus importante chez les chimistes. Il y a des anomalies, c'est certain, qui ne collent pas avec l'hypothèse du vih. Il y a donc matière à se poser des questions.
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Le problème est d'ailleurs le même avec le NIH américain, qui se contente d'affirmer que les preuves de la responsabilité du vih sont innombrables, sans les citer, alors que Matt Irwin, dans sa réfutation de ce document, donne une bibliographie de plus de cent études "peer-reviewed".
Le seul ennui, avec le Sida, c'est qu'une fois déclaré, il se produit une dégradation apparemment irréversible de la santé, et on estime que cette évolution ne peut-être due qu'à un microbe vivant extérieur à la cellule humaine. C'est dans cette conception de la maladie que réside la dichotomie entre les tenants de la médecine officielle et les "repenseurs".
Or, les preuves commencent à sortir, de la nature autoimmune du Sida, avec l'intervention dans cette pathologie des fameuses protéines qui sont détectées par les antigènes synthétiques contenus dans les tests. Et qui dit maladie autoimmune, dit maladie dégénérative.
Mais d'où viennent ces protéines? Elles peuvent être introduites dans le corps par injection, et on comprend alors l'apparition du sida chez les hémophiles, le sang provenant de personnes chez lesquelles ces protéines éxistaient en grande quantité. Tout un chacun en posséderait un petit peu, puisque les tests de ces protéines sont des tests à limite, la limite de positivité évoluant d'ailleurs chaque année en fonction des connaissances épidémiologiques contradictoires (par exemple, apparition répétée de séropositivité chez des personnes sans aucun risque de transmission connu, ce qui impose de relever la limite de la séropositivité)
Mais surtout, ces protéines seraient synthétisées en présence de stress oxydatif, et selon mes hypothèses, en présence d'azotes oxydés : nitrites, dérivés nitrés, isoxazoles, oximes, chloramines, azotures,..., et apparaissent également lorsque les antioxydants naturels font défaut.
Mais je te renvoie, Zeh, au débat en anglais qui dure depuis plus d'un an sur le site du British Medical Journal :
http://bmj.bmjjournals.com/cgi/eletters/326/7387/495
Quant aux africains, a-t-on étudié la relation entre leur séropositivité et les problèmes nutritionnels qu'ils rencontrent, les traitements qu'ils reçoivent "pour leur bien" (antibiotiques oxydants, éventuellement vaccins, mais là je ne prononcerait pas sur leur caractère oxydant, quoique, vu qu'ils font apparaître des anticorps, ils doivent certainement l'être.
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Une étude intéressante, faite par des japonais :
http://www.grouppekurosawa.com/virus12.htm
Ils ont inoculé, non pas le soit-disant virus, mais deux protéines retrouvées dans la fameuse bande des rétrovirus lors de l'ultracentrifugation, la GP 120 et la GP 160, à des souris. Les signes d'immunodéficience semblables au Sida sont apparus peu après. Ils explique cela comme une réaction autoimmune qui va provoquer la mort cellulaire.
Quand on sait que ces protéines présentent beaucoup de ponts disulfures oxydants (ce sont des oligomères de la GP 41, semble-t-il), et que l'on constate qu'il n'y a pas de nécessité d'un "rétrovirus" en l'occurence, on se dit assez rapidement que l'hypothèse du stress oxydatif émis par Eleni Papadopoulos, et repris par Montagnier (sur le bout des lèvres), prend de plus en plus de vigueur.
L'apparente contagiosité du Sida peut alors s'expliquer par l'inoculation sanguine de ces protéines, qui, par cascade, vont entraîner une exacerbation de l'activité du système immunitaire. La piste autoimmune semble la plus vraisemblable.
Mais la cause essentielle de la présence de ces protéines est toujours, à mon avis, l'utilisation de substances oxydantes, qu'elles soient médicamenteuses, ou à visée plus récréative.
Certes, tout ceci remet fondamentalement en cause la thérapeutique antirétrovirale.
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Il faut tout de même être lucide. Le simple fait que le ministère de la santé donne des probabilités de transmission du vih entre séropositif(ve) et séronégatif(ve) extrêmement ténus, proche du bruit de fond, incite tout de même à se poser des questions, non?
http://www.sante.gouv.fr/pdf/dossiers/sidahop/ch16.pdf page 202
probabilité de transmission par acte vaginal de 5 pour 10000 dans les deux sens.
probabilité de transmission pour sodomie réceptive 300 pour dix mille
probabilité de transmission pour sodomie insertive 5 pour dix mille
(ce sont des moyennes).
Ce qui donne une probabilité de transmission de 1 sur 1 million lors de relations vaginales entre deux français qui ne se connaissaient pas auparavant, compte-tenu du fait qu'il y a environ 150000 séropositifs en France.
Mais si on part d'une autre hypothèse, l'hypothèse chimique (avec tous les cofacteurs que cela implique), ces résultats deviennent beaucoup plus logiques.
Ockham, au 13ème siècle, disait pourtant qu'entre deux hypothèses scientifiques, il faut préférer celle qui explique de manière simple les faits. Or l'hypothèse vih est tellement tarabiscotée...
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Bonsoir Terry,
Je suis entièrement d'accord avec toi, et c'est sur un forum en allemand que j'ai appris à faire la part des choses :
http://f23.parsimony.net/forum51884/
Sur ce forum intervient un "Heilpraktiker" (un "soignant" non médecin, mais officiellement reconnu en Allemagne), nommé Wilfried Bales.
Manifestement, il partage tes opinions (et les nôtres, du moins celles d'Aixur, de Mark, de Jimmy, de Diamant Bleue, les miennes) sur la réalité du vih, ou sur sa dangerosité.
Par contre, il est très critique vis-à-vis de ceux qui traitent le Sida à la légère, indiquant que le traitement par les antioxydants ne suffit pas. Il recherche à redonner à la cellule sa fonction normale, et pour cela, il utilise en première instance, du moins j'en ai l'impression, la méthode homéopathique, ainsi que de la phytothérapie, avec des résultats satisfaisants.
Ce qui est également certain, c'est que si on laisse un malade du Sida (maladies opportunistes) sans traitement, il ira en s'aggravant. (A ce sujet, une étude concernant l'espérance de vie sans traitement après la déclaration symptomatique du Sida, faite en Uganda, donne une espérance voisine de celle des américains ou européens traités par la trithérapie, soit environ 10 ans. Je donnerait les références si nécessaire).
J'ai une hypothèse personnelle pour expliquer cette lente dégradation semblable à celle d'une maladie virale, et elle se base sur le fait que un certain médicament très utilisé en Afrique, le chloramphénicol, est capable de promouvoir une déficience des cellules immunitaires conduisant à la mort, longtemps après la prise du médicament, et ne dépendant pas nécessairement de la dose utilisée.
Or, le chloramphénicol présente une fonction chimique qui a des propriétés voisines de celles des "poppers", le l'AZT, le sulfaméthoxazole (bactrim), etc... : ils présentent tous des azotes oxydés, plus précisément liés à des atomes plus électronégatifs que le carbone.
Mon hypothèse est donc que toutes ces substances, médicamenteuses ou non, ont pernicieusement diminué les capacités du système immunitaire, en particulier en perturbant le rôle d'un des agents essentiels de la régulation cellulaire, le monoxyde d'azote, ainsi que celui de son transporteur (et aussi réducteur), le glutathion. Et cette dégradation est pratiquement irréversible. (Apparemment, un enzyme essentiel de cette régulation des oxydants dans la cellule, la glutathion peroxydase, est supprimé dans ces cas là, car le sélénium qu'elle contient est oxydé lui-aussi : on constate d'ailleurs que les zones africaines à forte prévalence du Sida (et non du vih), sont des zones dont le sol est très pauvre en sélénium)
En Afrique se greffent donc cette déficience en sélénium, ainsi que la carence alimentaire en acides aminés essentiels dans cette régulation, et aussi l'utilisation de mécications interdites en Europe.
Il est vrai que, selon les chiffres officiels du gouvernement français, la probabilité de transmission par acte est 60 fois plus élevée chez celui ou celle qui subit la sodomie, que dans tous les autres cas de figures. Je pense quant à moi, qu'il s'agit là du fait que ces personnes ont beaucoup plus de chance de subir une infection anorectale, vu la fragilité de la muqueuse, et que les thérapeutiques qui vont être alors utilisées (bactrim, antibiotiques oxydants comme la cloxacilline, la nifurazide, etc...) de plus en plus fréquemment, sont elles la cause de la maladie.
Mais ceci est tellemnt politiquement incorrect que les études pouvant le montrer ne seront lancées que dans plusieurs dizaines d'années.
cordialement
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Voilà des statistiques rafraîchissantes :
Document édité en 1999 par l'ONUSIDA à propos de l'Uganda :
http://www.health.go.ug/docs/HIVinUganda.pdf
où on lit les projections de croissance annuelle pour la population :
- sans sida : 3,4%
- avec sida : 2,5%
le recensement de 2002 donne ( http://www.ubos.org/ ):
population en 1991 : 16 671 705 = B2
population en 2002 : 24 748 977 = B1
d'où le taux de croissance annuel :
x = 100(10^(1/11*LOG(B2/B1))-1) = 3,65%
cqfd
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Pour les anglicistes, voici la suite de l'affaire, don les proportions vont grandissantes. Ce qui joue en défaveur des "expérimentateurs", c'est leur silence persistant.
Drug Tests on Foster Kids Spark Scandal in NYCWednesday, March 10, 2004
By Wendy McElroy
Were HIV-positive infants and children in the Manhattan foster care system used as guinea pigs in medical experiments? That question is at the heart of a potential scandal that could propel child welfare systems in North America toward greater transparency and accountability.
On Feb. 29, The New York Post exposed the problem in three articles by Douglas Montero The first, "AIDS Tots Used as 'Guinea Pigs,'" claimed that about 50 children had been used in 13 medical experiments, some involving high doses of AIDS medications, at Manhattans Incarnation Children's Center . The Post later revised the number to 100 in the light of data released on March 1 by New York Citys Administration for Children's Services, following a review of their files.
The second article, "I Took Girls Out of Hell and City Stole Them Back,"was the story of Jacqueline Hoerger, a pediatric nurse and foster mother to two girls from ICC, where she had worked from 1989 to 1993. Social workers took the girls from Hoerger because she refused to administer AIDS medications that she learned were "highly toxic and mostly untested in children."
At ICC, Hoerger says she witnessed experimental treatment "on HIV-infected children, some as young as three months."
In the third piece, an op-ed entitled "Defenseless Kids Guardian Agency Wont Come Clean," Montero posed his questions for the ACS: For example, "how many children were involved?" And, to whom could the children "call for relief if researchers prodded too hard, hurt them, made them cry or made them sick?"
In other words, what authority supervised the treatment of children who had no parent or foster parent to render consent?
The ACS assigned the children to the studies, but the agency lacks the medical expertise to evaluate whether the application of an experimental treatment is appropriate or abusive. Moreover, according to Anat Jacobson, a spokeswoman for the Public Advocate's Office that serves as a watchdog to the ACS, her agency had no knowledge of the experimental treatments.
Jacobson expressed concern that the ACS might have "just unilaterally signed up these kids."
The ACS could answer Montero's questions, but instead, it seems to be invoking privacy concerns in order to remain silent. When questions involve aggregate numbers and protocol, however, there is no privacy issue. And there are well-established methods for discussing medical studies that preserve the anonymity of subjects.
In the presence of official silence, the facts alleged gain credibility. What are they? A good place to begin is with the ICC which is run by the Archdiocese of New Yorks Catholic Charities and was opened in 1989 to provide residential and outpatient medical care for HIV-infected children. The ICC has conducted dozens of experimental medical studies, most of which were funded by federal grants or — more controversially — by pharmaceutical companies.
One of the ICCs experimental studies, sponsored by the National Institutes of Health, was entitled "HIV Wasting Syndrome." Its purpose was "to see how beginning or changing anti-HIV medications affects the body composition... of HIV-infected children."
No one could fault researchers for administering appropriate drugs to sick children and monitoring the results, especially when the children might not otherwise receive treatment. But questions immediately arise concerning studies that purportedly tested the "safety," "tolerance" and "toxicity" of AIDS drugs. Or one that tested the reaction of HIV-positive children, ages six to seven months, to the injection of two doses of measles vaccine. The ICC used to offer descriptions of such experiments on its web site <http://www.icc-pedsaids.org/>, which became abruptly inoperative in the wake of the Posts investigation. Without data, how can the validity be judged?
News of the experiments is already fueling outrage. "They are torturing these kids, and it is nothing short of murder," Michael Ellner of Health Education AIDS Liaison declared of the experiments that ended in 2002.
Biochemist Dr. David Rasnick, an expert in AIDS medication, reviewed the AIDS drugs administered to the children and concluded that alone, or in combination as they often were administered, the drugs had "acute toxicity which could be fatal."
ACS must be forthcoming. Silence or bureaucratic answers arent going to work this time. Driven by criticism by officials such as New York City Councilman Bill DiBlasio, the New York Health Department is beginning to investigate.
Moreover, the "scandal" has hit the international press. A headline in last weeks Japan Today announced, "HIV-infected kids in New York used as 'guinea pigs.'" Newspapers in France <http://www.survivreausida.net/article5922.html> and the U.K. <http://news.scotsman.com/latest.cfm?id=2595031> echoed the accusation. Too many eyes are watching.
It is usually parents who look out for children — comfort their tears, shield them from abuse, and make wrenching decisions about their welfare. Who comforted and protected the parent-less, HIV-positive infants and children at ICC? I hope there were hospital staff who held each sick child in their arms and wanted nothing more than to heal the pain.
But data has disappeared. Archdiocese spokesman Joseph Zwilling reportedly told journalists that he did not know why the experiments stopped in 2002 or whether any of the children had died. Nicholas Scoppetta, who headed ACS during the experiments and has since left the agency to become New York City's current fire commissioner, will not comment.
Hopes are not enough. For once, a child welfare system must have the courage and decency to open itself to public scrutiny.
Wendy McElroy is the editor of ifeminists.com and a research fellow for The Independent Institute in Oakland, Calif. She is the author and editor of many books and articles, including the new book, "Liberty for Women: Freedom and Feminism in the 21st Century" (Ivan R. Dee/Independent Institute, 2002). She lives with her husband in Canada.
Respond to the Writer <mailto:mac@ifeminists.net?cc=views@foxnews.com>
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Je vais sans doute me répéter, mais tant pis!
Le combivir est un mélange de lamivudine et d'azt. La dose journalière recommandée est de 600 mg (sur www.biam2.org).
Il a été démontré in vitro que l'AZT détruisait le glutathion per voie chimique et dans des conditions biologiques (cultures cellulaires). Il a été aussi montré que le taux de glutathion baissait avec l'aggravation du Sida. Il a été aussi montré que l'apport de glutathion (ou plutôt d'un promoteur du glutathion) augmentait considérablement l'espérance de vie.
Je vous laisse conclure. C'est si évident!
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Merci beaucoup Mark. Le compte-rendu de l'OSI sur la fraude de Robert Gallo a également été reporté dans un ouvrage en langue française :
Enquête sur le Sida, de Renaud Russeil , 1996, aux éditions Vivez Soleil CH-1225 Chêne-Bourg/Genève, ISBN : 2-88058-176-1.
De manière plus générale, je crois que l'enjeu du 21ème siècle réside dans l'utilisation saine de la chimie, de la biochimie et de la biologie. C'est d'autant plus inquiétant que la plupart de nos concitoyens sont complètement dépassés par ces connaissances, et font une confiance aveugle dans les "spécialistes". La malheur est que la survie économique de ces spécialistes dépend le plus souvent des entreprises, qui, elles, n'ont aucun scrupule.
Il faut que nous fassions prendre conscience à nos voisins de palier qu'ils sont menés en bateau dans ce domaine. Apparemment, c'est ce qui se passe en agriculture actuellement avec le Gaucho, mais il est essentiel que des hommes politiques de tout bord s'en mêlent, ainsi que l'a fait Philippe de Villiers.
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Ce qui est inquiétant, c'est que le chercheur qui a une idée derrière la tête, par exemple la toxicité de l'AZT, va faire son étude, qui va donc montrer ce danger sans qu'auncun doute ne subsiste, va enrober son étude dans un salamalec où il se lave les mains en ce qui concerne les conclusions : ce qu'on a montré in vitro sur des cellules ne se produit peut-être pas dans le corps humain, ou du moins on ne l'a pas vérifié.
Il y a donc deux poids, deux mesures dans la recherche :
pour montrer qu'une substance est toxique, il faut vérifier par A + B jusqu'au moindre détail de la cellule humaine vivante, si tant est que les fonds nécessaires ont été débloqués, par contre, l'industrie pharmaceutique se contentera d'études fortement biaisées, pouisque c'est elle qui les finance (voir l'étude princeps sur l'AZT). Et le principe de précaution ne s'appliquera que dans le sens : "on ne va tout de même pas arrêter l'utilisation de ce produit toxique, puisqu'il réussit à augmenter l'espérance de vie de 1%" (ce qui est même contredit par l'étude Concorde pour l'AZT).
Il suffit de voir la manière honteuse dont les industries chimiques parlent du Gaucho.
**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 1/3
dans Sujets clés
Posté(e)
Je n'ai pas vraiment le temps de répondre à l'instant.
Juste trois remarques
En 1986, Duesberg a émis un doute quant à la rigueur des investigations menées par ses pairs. Au lieu d'écouter ses doléances, il a été brutalement démis de ses fonds de recherche par le gouvernement américain. Croyez-vous que la majorité des chercheurs ont envie de se retrouver sur la paille du jour au lendemain, par décision purement politique?
Alors, les études qui sont faites mentionnent toujours la relation vih -> sida, même si l'on peut lire, dans leur publication, que l'orientation de leur quête se fait dans un autre sens. Il suffit de lire toutes les publications du groupe de Stanford, dirigé par Herzenberg, pour constater que, de facto, ils privilégient la piste chimique, cad la piste du stress oxydatif. D'ailleurs Montagnier, dans ses derniers écrits, tout en jurant ses grands dieux que le hiv est bien la cause, oriente se thérapeutique dans le droit fil du stress oxydatif.
Parlons maintenant du traitement préventif de la transmission mère-enfant par la Névirapine, proposée par l'expérimentation HIVNet012 (soit dit en passant, les américains ont arrêté son utilisation, pour défaut de clarté dans cette expérimentation).
L'expérimentation n'a pas vérifié l'utilité de la Nevirapine par rapport au placébo, mais par rapport à l'AZT, sous des prétextes éthiques. Et bien entendu, on a trouvé que la Névirapine avait un profil thérapeutique nettement plus intéressant.
Cependant,
Ruengpung Sutthent, Kulkanya Chokephaibulkit, Daorung Piyasujabul, Nirun Vanprapa , Anuwat Roogpisuthipong , Pongsakdi Chaisilwatana
dans The Journal of Clinical Virology 25 (2002) 47-56
ont comparé l'action de l'AZT par rapport au placébo chez la femme parturiante. Voici ce qu'ils écrivent :
Alors, ne parlez pas trop vite. Utilisez votre intelligence pour vous poser des questions sans a priori. Posez-en aux responsables des labos d'analyse sur la nature des tests, comme je l'ai fait, et vous les verrez parfois pâlir.