Aller au contenu
forum sidasante

Cheminot

Modérateurs
  • Compteur de contenus

    1 484
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par Cheminot

  1. Candide,

    Je réitère ici le post que j'ai envoyé sur un autre topic, où des officiels des l'Onusida, sous couvert d'anonymat malheureusement, remettent fortement en cause les mêmes chiffres que tu mets en avant. Cependant, ce document vient d'un journal de la grande presse américaine, le Boston Globe.

    http://www.boston.com/news/world/articles/...alled_too_high/

    ADVERTISEMENT

    Already, earlier this year, US officials told Rwandan AIDS administrators that if HIV prevalence estimates were to drop to 5 percent, the country's AIDS funding may be cut, according to both US and Rwandan officials, speaking on condition of anonymity.

    Je te laisse traduire, c'est véritablement scandaleux !

    Par ailleurs, de nombreux propos filtrent actuellement des milieux médicaux, qui tendent à penser que la vaccination contre l'hépatite B fait apparaître les anticorps P24 (ceux qui sont censés être spécifiques du "vih" et qui sont mesurés par le test Elisa) pendant un laps de temps plus ou moins long.

    On sait par exemple qu'une vague de vaccination antihepB a été faite en Afrique Noire il y a quelques années, et qu'actuellement, c'est l'asie du Sud-Est qui est visée par cette campagne. N'y a-t-il pas là matière à réflexion?

    Tu me diras : mais on n'a jamais vu que les anticorps P24 apparaître en dehors d'une infection à vih? Eh bien si justement, et je n'en veux pour preuve que l'article suivant publié dans Science, et très perturbant :

    Anti-HIV and Anti-Anti-MHC antibodies in Alloimmune and Autoimmune Mice

    Tracy A. Kion & Geoffrey W. Hoffmann, Science Vol 253 p 1138, Sept 1991

    Je traduis l'abstract rapidement :

    Des souris exposées à des cellules provenant d'une autre lignée de souris (alloimmunes) ont montré la production des anticorps gp120 et p24, censés créés lors d'une infection à vih. Ces résultats sont considérés comme surprenants par les auteurs car ces souris n'ont pas été exposées au vih.

    Il faut donc se méfier de l'injection de protéines étrangères ou modifiées, ou encore de l'ADN modifié censé les synthétiser. C'est pourtant ce qui se fait avec des vaccins comme l'hépatite B. Là encore, on a péché par manque de connaissance, en utilisant un modèle insuffisamment vérifié, celui de la vaccination par une protéine modifiée.

  2. malheureusement, si l'on connaît bien maintenant les structures des substances synthétisées il y a plus de 5 ans, pour l'instant, Merck ne fournit pas de détails. On ne se base que sur des essais in vitro montrant l'arrêt de la rétrotranscription dans les cultures. Souvent même, on teste empiriquement les unes après les autres les substances qui répondent aux critères de reconnaissance de forme recherchés, sans vraiment se poser la question de la réactivité réelle de la molécule.

    Par ailleurs, cette "intégrase" existe aussi dans les cellules humaines non malades.

    Alors...

  3. Il faut d'abord savoir, ADDTC, qu'au départ, on a trouvé quelques personnes qui présentaient les mêmes symptômes dans la communauté homosexuelle de San Francisco (ou Los Angeles, il faut vérifier). Comme ces personnes participaient aux mêmes activités, fréquentaient les mêmes lieux, sans d'ailleurs s'être nécessairement rencontrés, on a conclu à la transmission d'une maladie infectieuse. Pourquoi?

    Je vais essayer de te l'expliquer en te relatant ce que nous expérimentons avec un éleveur de vaches laitières. Celui-ci, pendant trois ou quatre ans, perdait environ 20% de son troupeau par an, et les vétérinaires (Maisons-Alfort compris) cherchaient désespérément une cause infectieuse. En effet, tout le troupeau était plus ou moins touché.

    J'émis alors, après étude du dossier, l'hypothèse d'une intoxication chimique (je n'entre pas dans les détails) par les lessives de lavage des installations de traite.

    Ils suffisait de vérifier, et c'est ce qui fut fait, avec un résultat dépassant toutes les espérances : 2% de morts par an, doublement du chiffre d'affaires.

    Cet état d'esprit des vétérinaires se retrouve chez les médecins et les biologistes (depuis Pasteur), et ils sont prêt à ne chercher que des causes infectieuses, là où on pourrait aussi avancer une cause liée à l'utilisation de produits chimiques (rappelle-toi que le virus ne fait que de la chimie...)

    Il est des maladies manifestement infectieuses (encore qu'Aixur ne soit pas tout-à-fait d'accord là-dessus), telles la rougeole. Cependant, j'ai remarqué que la rougeole ne se déclare que dans certaines conditions qui n'ont rien à voir avec le contage, en particulier des circonstances où il y a dépression du système immunitaire. Les épidémies de rougeole sont normalement des épisodes de nettoyage génomique (cela, c'est mon hypothèse).

    Revenons au sida. Pour prouver qu'il est transmissible sexuellement, il faut donc observer (à leur insu pratiquement), des personnes séropositives ayant des relations sexuelles avec des personnes séronégatives.

    Deux études importantes montrent que la probabilité de transmission est inférieure à 1 pour mille, études dont les résultats ont inspiré le ministère de la santé, qui donne une ppa (probabilité de transmission par acte) de 1 pour 2000 dans les relations vaginales.

    http://www.sante.gouv.fr/pdf/dossiers/sidahop/ch16.pdf

    L'une de ces études a été réalisée en Californie :

    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...st_uids=9270414

    Heterosexual transmission of human immunodeficiency virus (HIV) in northern California: results from a ten -year study.

    Padian NS, Shiboski SC, Glass SO, Vittinghoff E.

    Am J Epidemiol 1997 Aug 15;146(4):350- 7

    et l'autre en Uganda :

    Probability of HIV-1 transmission per coital act in monogamous, heterosexual, HIV-1-discordant couples in Rakai, Uganda

    Ronald H Gray, Maria J Wawer, Ron Brookmeyer, Nelson K Sewankambo, David Serwadda, Fred Wabwire-Mangen, Tom Lutalo, Xianbin Li, Thomas vanCott, Thomas C Quinn, and the Rakai Project Team*

    The Lancet Volume 357 Issue 9263 Page 1149

    On voit donc que la probabilté de transmission est si faible que l'on peut attribuer la séroconversion (qui est, elle, une réalité, mais mal interprétée) à un facteur non infectieux.

    Par exemple, il est de notoriété publique que les premières personnes diagnostiquées avec le Sida, tous homosexuels, avaient tous utilisé des poppers (nitrites d'alkyle). Quelques uns ont pensé à une maladie liée à ces substances, mais devant l'apparition de cas non liés à l'utilisation de poppers, on a cherché une maladie infectieuse, sans voir qu'en réalité, il fallait rechercher la manière dont les poppers agissaient : par oxydation de certains composants cellulaires. Et en étudiant ce phénomène, on aurait vu que les cocaïne et héroïne sont des oxydants cellulaires, que certains médicaments antiMST tels le bactrim ou la nitrofurantoïne sont des oxydants cellulaires, certains antibiotiques et antihelminthiques utilisés en Afrique exclusivement sont des oxydants cellulaires (chloramphénicol, métronidazole), et enfin, que les facteurs de coagulation sont des oxydants cellulaires (la coagulation se fait par polymérisation de certaines protéines par création de ponts disulfure, qui ne peuvent se faire que par oxydation de thiols).

    Enfin, l'AZT est aussi un oxydant cellulaire.

    Alors me diras-tu, pourquoi ne pas rechercher dans cette direction?

    Eh bien, je pense que globalement, une telle recherche met en cause beaucoup trop de pratiques, et que, même inconsciemment, personne ne veut remettre en cause des pans entiers de la médecine.

    Tu parles d'apparition spontanée du Sida, ou plutôt de la séropositivité. Tu remarqueras d'abord que lorsque quelqu'un est séropositif, on va chercher le plus loin possible ce qui a pu le "contaminer" (je préférerais dire "ce qui a provoqué sa séroconversion"). En Europe, on trouve pratiquement à tous les coups une raison, et si on n'en trouve pas, eh bien on dira à la personne que comme elle fait partie d'un groupe à risuqe, elle ment. C'est ce qui est arrivé au Dr Mulugheta et à sa femme :

    http://www.sumeria.net/aids/mulugheta.html

    Par ailleurs, au labo, on a montré l'apparition des protéines P24 et GP120, propres aux tests Elisa et Western Blot du "vih", chez des souris auxquelles on avait injecté certaines protéines d'une autre souris :

    Science, Vol 253 , p 1138 :

    Anti-HIV and Anti-anti-MHC Antibodies in autoimmune and alloimmune mice,

    Kion T A & Hoffmann G W

    Or le test Elisa, le seul à être utilisé en Afrique, détecte la P24...

    Quant aux images du virus, il s'agit en fait d'images faites à partir de sérum non purifié par double centrifugation, et Montagnier et al. ont supposé qu'il s'agissait d'un virus. Mais cela pourrait tout autant être des microvésicules cellulaires, qui oint été caractérisées dans d'autres cas.

    On pourra parler des résultats thérapeutiques plus tard.

    cordialement

  4. Je crois, ADDTC, que tu es tout-à-fait dans ton rôle en t'étonnant des positions qui sont débattues ici et qui vont à l'encontre de ce qui est communément admis.

    Je vais donc essayer de te résumer mon propre point de vue, qui est influencé par ma formation de chimiste organicien.

    Tout d'abord, rappelle-toi Galilée qui a eu raison contre tous. Il en est de même pour Niels Bohr dans le domaine de la mécanique ondulatoire, même si son modèle n'était pas vraiment très puissant.

    Car le problème est là. Je crois qu'il faut d'abord se rendre compte que pour expliquer une maladie telle que le Sida, on propose un modèle qui doit être efficace, c'est-à-dire permettre en particulier de soigner les gens.

    Nous avons actuellement deux modèles en lice

    - le modèle rétroviral, proposé par les officiels de la santé

    - et le modèle du stress oxydatif (en gros le sida est provoqué par un déséquilibre en oxydants/réducteurs provoqué par des excès ou des carences en diverses substances oxydantes ou régulatrices. Ce modèle est proposé par de nombreux médecins, biologistes, chimistes,..., et bizarrement, c'est aussi le cheval de bataille actuel du Pr Montagnier.

    Il faut que ces modèles permettent d'expliquer et de prévoir l'évolution de la maladie.

    Note bien tout d'abord que les fameux "tests du sida" sont opérationnels dans les deux modèles, et qu'ils indiquent bien une perturbation de l'équilibre immunitaire.

    Avec toutes les données épidémiologiques, biochimiques, ainsi qu'avec les images qu'on prétend être celles du vih, je penche raisonnablement vers le second modèle. Tu peux me poser des questions plus détaillées. Mais je n'ai pas le coeur de faire ici un développement qui demanderait de plus de 10 pages.

    Par contre, voici la réflexion faite par Hans Gelderblom, spécialiste du microscope électronique, à Nick Bennett, clinicien à Syracuse, NewYork, réflexion tirée du débat sur l'origine du Sida qui anime le British Medical Journal

    http://bmj.bmjjournals.com/cgi/eletters/326/7387/495

    I was fortunate enough to recieve this morning a personal email from Hanz Gelderblom himself, who explained a little about his own efforts to characterise HIV directly from plasma samples. He admits that he was unable to do so during his career, but clearly lays down the reasons why:

    Despite being successful at getting EMs of HIV from cultures, in parallel experiments using plasma samples he could not get enough virus. This was because they only recieved two samples of less than 0.5ml of blood from late-stage patients, when ideally it should have been far more from the seroconversion stage when virus titre is higher. He also attempted to get virus from Africa but couldn't get samples. Collaborations with groups from Sweden and Italy also failed because no samples of sufficient titres could be obtained. From experience, he thinks he could have been successful with particle concentrations of 10^10 per ml, about 10,000 times higher than what we here thought would suffice. Having tried for some time on this path, he gave up attempting to isolate HIV from blood about 10 years ago.

    There are several logistical problems associated with EM of HIV from blood samples as well. The best way to ensure particle stability "in the field" is to fix the sample in higher then 0.5% Glutaraldehyde (GA), to prevent shedding of gp120 knobs. However, this level of GA prevents immunolabelling which he wanted to do to characterise virally-incorporated cellular MHC molecules, but could also be used to label virion proteins. As such there is almost a mutually exclusive situation where you can either keep the virus intact, or analyse it using immunoEM. He did attempt to look at virus from pelleted samples (rather than the 2-drop method mentioned in the previously quoted article) which would have massively concentrated the sample, but even this failed due to low titres of virus (see my earlier postings for calculations of virus needed to fill a 1mm cube).

    He also is of the opinion (and a highly experienced opinion it must be) that any attempts to purify or enrich HIV from plasma will induce artifacts, such as changes in virion fine structure, shedding of gp120, osmotic damage etc. Obtaining particles with HIV morphology might therefore be a practical impossibility (much like trying to observe the position and speed of a subatomic particle simultaneously).

    He does however admit that maybe plasma-derived HIV is more stable than that of cell-culture derived HIV, and gives the example of Avian Leukosis Virus as a comparison. We simply do not know, because no-one has been able to do it. He feels that direct isolation of HIV from blood samples might well be possible to do, and should be done since it would give a more realistic research material to study (not, notice, in order to prove its existence!).

    Selon ces personnes elles-mêmes, qui sont de fervents défenseurs de la cause rétrovirale, il est impossible de photographier le rétrovirus, parce que les concentrations de celui-ci sont beaucoup trop faibles. La conclusion est que pour prétendre qu'un rétrovirus est cause du sida, on ne dispose que de marqueurs de substitutions que sont les taux de CD4 (qui peuvent aussi diminuer sous l'influence d'un stress oxydatif), les anticorps "antivih", qui peuvet aussi apparaître en l'absence d'infection, simplement par l'action de protéines étrangères, la "charge virale", dont on sait que le primer provient simplement d'une zone de gradient de concentration obtenue par double centrifugation à partir du sérum d'une personne malade, zone que l'on a désignée ex cathedra comme ne contenant que du matériel rétroviral, ce qui s'est avéré erroné par la suite.

    Conclusion : il ne reste plus que l'épidémiologie, et s'il n'y avait pas les estimations africaines, celle-ci ne permettrait pas non plus d'affirmer que la maladie est infectieuse.

    Donc il est capital pour la politique en recherche scientifique que le sida soit bien une maladie infectieuse, car nos politiques ne pourraient tout-à-coup plus justifier les sommes énormes englouties dans cette recherche. Ils sont donc pieds et poings liés.

  5. En dehors de toute ironie, il faut rechercher les informations. Celle-ci, relayée par le Boston Globe, semble poser la question des estimations indiquées par l'ONUSIDA :

    http://www.boston.co...alled_too_high/

    Estimates on HIV called too high

    New data cut rates for many nations

    By John Donnelly, Globe Staff | June 20, 2004

    PRETORIA -- Estimates of the number of people with the AIDS virus have been dramatically overstated in many countries because of errors in statistical models and a possible undetected decline in the pandemic, according to new data and specialists on the disease.

    ADVERTISEMENT

    In many nations, analysts are cutting the estimates of HIV prevalence by half or more.

    Rwanda, for instance, a new United Nations estimate due out next month will put HIV prevalence at about 5 percent, according to Rwandan officials, down from more than 11 percent four years ago. In Haiti, a recent unpublished study by the Centers for Disease Control and Prevention has found HIV prevalence was less than 3 percent, compared with the UN's most recent estimate of 6 percent. And the numbers in India are coming under increasing scrutiny because surveys in AIDS hot spots are indicating a prevalence rate that is much lower than the national average.

    Even with lower estimates, health specialists agree that AIDS remains the most dangerous pandemic in the developing world. In particular, it threatens to ravage societies in southern Africa, and throughout the continent the disease has killed millions in the prime of their lives.

    Several AIDS specialists said they think the current estimate of 40 million people living with the AIDS virus worldwide is inflated by 25 percent to 50 percent, based on a wide spectrum of household surveys in nearly a dozen countries. That would go against the grain of years of assertions by UNAIDS that the disease is relentlessly on the rise.

    A significant downward revision in AIDS and HIV numbers calls into question many of the lessons on fighting AIDS that are based on prior estimates. It also is likely to affect future budgets and cause many countries to consider revising strategies on how to prevent and treat the disease.

    "It is fundamental that we have accurate information of what we're up against," said Robert R. Redfield, cofounder of the University of Maryland's Institute of Human Virology and a leading AIDS specialist. "If you are overestimating the epidemic, you may attribute positive impacts to things that have nothing to do with it."

    UN epidemiologists and statisticians responsible for the current estimates acknowledged in interviews that some country figures will be sharply cut in a forthcoming report, but they played down any possibility now of a sizable reduction in the overall number of infected people. They declined to disclose their most recent estimates for 2003, set to be released next month before the 15th International AIDS Conference in Bangkok.

    The major error in the estimation of HIV and AIDS numbers has occurred primarily because epidemiologists relied too heavily on HIV rates in urban areas and failed to factor in much lower prevalence in rural areas, where surveys are rare, AIDS specialists said.

    Suggestions that prevalence may be overstated may not be embraced by some who work to fight HIV or in countries hard hit by the epidemic. Billions of dollars in aid is at stake in the coming years. If HIV seems less menacing, more dollars may go to fighting other diseases or may be redirected away from global health initiatives entirely.

    ADVERTISEMENT

    Already, earlier this year, US officials told Rwandan AIDS administrators that if HIV prevalence estimates were to drop to 5 percent, the country's AIDS funding may be cut, according to both US and Rwandan officials, speaking on condition of anonymity.

    Another reason behind the plunging rates, some AIDS specialists say, is that the pandemic may be slowing.

    The upcoming UNAIDS report is expected to show that HIV prevalence is declining in eastern Africa and leveling off or slightly slowing in West Africa, but still maintaining a high rate in southern Africa.

    Statisticians traditionally have had a difficult time estimating the size of the pandemic. In 1986, Jim Chin, then a state epidemiologist in California who later developed models for the World Health Organization to calculate HIV prevalence, and several other US officials met in a West Virginia hotel room to figure out how many Americans had HIV.

    Chin recollected that the group arrived at a range of 1 million to 1.5 million people; 18 years later, the number is at about 1 million Americans. "A lot of it was guesswork, based on limited studies," Chin said. "It was the best we could do."

    The tools today are much more refined but still based on a long list of assumptions.

    More than a decade ago, AIDS researchers in sub-Saharan Africa found that HIV tests on blood samples from pregnant women at prenatal clinics provided a good indicator of HIV prevalence among adults aged 15 to 49 in countries with high rates; early household surveys confirmed the finding.

    But the surveys were limited at first to a few sites in countries. "We were talking about four or five urban sites and one or two rural sites, and extrapolating that to the whole country. You can see what potential inaccuracies there can be with this crude methodology," said Chin, who now is an independent AIDS analyst and criticizes UN estimates as overstated.

    Other unknowns contribute to potential errors. One is estimating a country's population; the estimates for Nigeria, for instance, range from 120 million to 160 million people, but a census of the country has not been completed in more than half a century. Another is that most countries do not collect data on deaths.

    Once officials from UNAIDS and the WHO arrive at an HIV prevalence estimate for a country, they use that estimate to help determine AIDS deaths, AIDS orphans, numbers of people needing antiretroviral treatment, and the average life expectancy for people in countries. As HIV prevalence numbers are adjusted downward, the numbers for the other AIDS-related categories also will be readjusted similarly.

    To estimate the number of people dying from AIDS, for instance, epidemiologists assume that on average a person will live for eight or nine years after infection; they then plot the progression of a country's epidemic, determining how many people were infected in each year. If HIV prevalence estimates are significantly wrong in any year, estimates for AIDS deaths will be correspondingly wrong eight or nine years later.

    ADVERTISEMENT

    Some specialists raised questions about the estimates in mid-January, after a report on a household survey in Kenya that estimated a 6.7 percent national HIV prevalence rate, compared with the UN's 15 percent estimate in 2002.

    Two weeks later in Addis Ababa, Ethiopia, at a conference on estimating HIV and AIDS prevalence, epidemiologist Peter D. Ghys raised the question of potentially inflated AIDS rates before several dozen epidemiologists. Ghys estimates HIV and AIDS figures for UNAIDS. On the last slide of his presentation, Ghys wrote, "Should UNAIDS/ WHO estimates be lowered by 25 percent?"

    Asked recently about his question, Ghys said he raised it in light of the new Kenyan data: "We already had lowered estimates quite a bit in the previous year, but since then, we've had additional information that came in somewhat lower than our estimates. Maybe it will change again, but it's difficult for us to say, yes, it should be 25 percent or something."

    In 2003, the UN revised HIV prevalence in sub-Saharan Africa to 26.6 million people, from 29.4 million the year before.

    Ties Boerma, who is in charge of the WHO's estimates on the HIV virus, said the UN was preparing to reduce prevalence estimates again this year, although not by 25 percent. Yet Chin and several other specialists say new data from several countries and from high-risk groups in countries suggest that the UN should do so.

    Chin said he thinks the global rate is inflated by 25 percent to 40 percent, while two US health officials working on AIDS said they think the global numbers may be 50 percent inflated. The two spoke on condition of anonymity.

    Among their reasons:

    In a slum of the Chennai district in India, a high-risk area for transmission of HIV because of prostitutes and drug users, a recent household survey found 0.2 percent HIV prevalence. The nationwide rate is 0.8 percent, or 4 million people. Ghys acknowledged: "It's difficult to say what is going on in India. In India, there's always a great deal of uncertainty in those estimates. Are we sure it's 0.8 percent? The honest answer is no, we are not sure."

    A recent household survey in Burkina Faso put the national estimate at 1.9 percent; the UN's most recent estimate puts the rate at 7 percent. In Africa, other recent surveys showing significantly lower rates have been in Zambia, South Africa, Mali, and Ghana. Rates also were lowered by a third in Zimbabwe because of significant numbers of faulty HIV tests.

    Several years ago, UNAIDS estimated that up to 60 percent of the Angolan military was HIV positive. Dr. Richard Shaffer, head of the US Department of Defense's HIV/AIDS Prevention Program, said in an interview the estimate was "nowhere near close to that. It's 6 to 7 percent. They based the earlier number on a small sample, which included people outside the military, and extrapolated that to the military as a whole."

    In the late 1980s and early 1990s, HIV prevalence in adults aged 15 to 49 in Uganda was estimated as high as 30 percent; now HIV prevalence is estimated at 5 percent. But now many no longer believe the 30 percent figure, raising questions about the true impact of Uganda's much-touted prevention program. Said Ghys: "If we recast our estimates, it wasn't 30 percent, it was maybe 22 or something."

    Earlier this year, the US government announced its first substantial grants in President Bush's multibillion-dollar plan to fight AIDS. The news release cited a 15 percent HIV prevalence rate in Kenya and a 6 percent rate in Haiti, even though US-funded surveys in both countries had recently concluded that the rate was at least half those figures.

    J'en tirerai un paragraphe :

    Once officials from UNAIDS and the WHO arrive at an HIV prevalence estimate for a country, they use that estimate to help determine AIDS deaths, AIDS orphans, numbers of people needing antiretroviral treatment, and the average life expectancy for people in countries. As HIV prevalence numbers are adjusted downward, the numbers for the other AIDS-related categories also will be readjusted similarly.

    soit :

    Une fois que les officiles de l'ONUSIDA et de l'OMS obtiennent une estimation de la prévalence du "vih" pour une région, ils usent cette estimation pour déterminer les morts du SIDA, les orphelins du SIDA, le nombre de personnes nécessitant un traitement antirétroviral, ainsi que l'espérance de vie pour cette région. Si la prévalence du "vih" est revue à la baisse, ce sont tous les chiffres des catégories liées au Sida qui sont réajustés d'une manière similaire

    Cela signifie en clair que tous les chiffres que nous donnent les médias sur la mortalité, le nombre d'orphelins, l'espérance de vie, ne sont en fait que des estimations obtenues à partir d'estimations de prévalence du "vih", estimations effectuées en particulier à partir de tests effectués sur les femmes enceintes.

    Et là, nom d'une pipe, il faut tout de même être bien naïf pour croire que cette méthode est correcte, puisque, et je le répète ici depuis 2 ans, même le principal institut officiel de lutte contre le Sida, le Paul Ehrlich Institut de Munich, indique que la multiparité provoque de faux positifs au test Elisa, qui est pour l'instant le seul employé en Afrique.

    Et les relations mathématiques donnant la mortalité, le nombre d'orphelins, etc... sont calculées à partir d'un probabilité de transmission par acte sexuel proche de "un", alors que toutes les études expérimentales (donc les seules valables) conduisent à une ppa de l'ordre de 1/1000 1/10000 (je parle ici de l'acte sexuel vaginal).

    Donc, que la cause soit un virus (vih), ou bien un désordre provoqué par le stress oxydatif, les chiffres donnés en Afrique sont à prendre vraiment avec des pincettes.

    Lire aussi dans l'article du Boston Globe :

    ADVERTISEMENT

    Already, earlier this year, US officials told Rwandan AIDS administrators that if HIV prevalence estimates were to drop to 5 percent, the country's AIDS funding may be cut, according to both US and Rwandan officials, speaking on condition of anonymity.

    Je vous laisse traduire, c'est véritablement scandaleux !

  6. alors une petite expérience personnelle, c'est tout, car je pars en voyage pour quelques jours...

    La belle-mère d'une de mes filles est Rwando-française, et sa belle-soeur du pays est séropositive depuis plus de 15 ans (test élisa uniquement), sans jamais avoir été en aucune façon malade...et bien sûr, sans avoir jamais touché à un antirétroviral. Et le nombre de personnes dans son cas est bien entendu très élevé au Rwanda.

  7. @Simon T et Aixur.

    Mettez leur le nez dans ces deux publications, donnant le résultat d'expériences qui seront vraies encore dans 1000 ans :

    Anti-HIV and Anti-Anti-MHC antibodies in Alloimmune and Autoimmune Mice

    Tracy A. Kion & Geoffrey W. Hoffmann, Science Vol 253 p 1138, Sept 1991

    Je traduis l'abstract rapidement :

    Des souris exposées à des cellules provenant d'une autre lignée de souris (alloimmunes) ont montré la production des anticorps gp120 et p24, censés créés lors d'une infection à vih. Ces résultats sont considérés comme surprenants par les auteurs car ces souris n'ont pas été exposées au vih.

    et

    Handlon, A. L., and Oppenheimer, N. J. (1988) Pharm. Res. (N.Y.) 5, 297-299))

    et

    Reardon JE, Crouch RC, St John-Williams L. dans "J Biol Chem. 1994 Jun 10;269(23):15999 - 6008. " :

    Reduction of 3'-azido -3'-deoxythymidine (AZT) and AZT nucleotides by thiols. Kinetics and product identification.

    Ces études tendraient à faire penser que l'AZT est pratiquement totalement réduit par le glutathion, au lieu de servir à inhiber la transcription de l'ARN viral en ADN.

  8. Voici en tout cas un article qui montre tous les dégâts causés par l'AZT :

    http://www.blackwell-synergy.com/servlet/u...mitochondria%29

    (c'est long, et je m'en excuse)

    par exemple :

    Mitochondrial DNA deletion was detectable by PCR 12-15 days after AZT-treatment, or 20-25 days after H2O2 treatment when ATP and GSH deficiency had progressed.

    la suppression de l'ADN mitochondrial était détecté par PCR 12 à 15 jours après traitement à l'AZT, ou 20 à 25 jours après traitement de la cellule par l'eau oxygénée (H2O2), ce qui arrive lorsque la déficience en ATP et en glutathion s'est accentuée.

    Les anxiolytiques sont pour la plupart des amines secondaires ou tertiaires, qui donnent des intermédiaires oxydés très puissants (hydroxylamines et N-oxydes), et ont donc le même effet que l'eau oxygénée ou l'AZT.

    Je rajoute que la cocaïne est une amine tertiaire, la MDMA une amine secondaire, etc...

  9. En effet, tout naturellement la dissidence vous amène à vous intéresser à d'autres problèmes et horreurs du même genre....

    Vaccination, traitement du cancer, manipulation médicale etc....

    Pour ma part, j'ai toujours vécu à la marge de la médecine (mes enfants ne sont que très rarement malades, grâce à l'homéopathie), et c'est à partir de ces connaissances que je suis entré dans les concepts des repenseurs du sida.

    Il y a la place aussi pour ceux qui n'ont pas fait de tests (ou qui n'ont jamais été séropositifs) parmi tous ceux qui remettent le système en question.

  10. En lisant de près tous vos posts et celui de hufa, il me semble que vous ne vous êtes pas rendu compte que celui-ci est prisonnier du système, ainsi que le sont des millions et des mllions de gens. Et ces gens ne sont ni c..s ni idiots, ils ont été désinformés (les désinformateurs, eux aussi, sont inconsients du problème).

    Alors, quand ils tombent sur un forum comme celui-ci, ils se raccrochent à ce qu'ils connaissent par peur d'être complètement déstabilisés. Il ne faut donc pas, à mon avis, les repousser, mais prendre le temps de la pédagogie.

    D'ailleurs, son profil n'est pas le même que celui de lavienrose, qui pensait, lui (ou elle), nous convertir à sa vérité, qu'il ne concevait pas qu'elle puisse être erronée.

    Ce que dit Terry sur la persistence des dégâts dus à l'AZT (et d'autres substances oxydantes comme le bactrim) dans l'organisme me semble fondamental. Cela signifie qu'on a fabriqué de toutes pièces des malades du sida, à partir par exemple d'une suspicion de transmission. La personne a donc pris le fameux traitement prophylactique, qui, en fait, l'a rendue séropositive, et l'a entraînée dans un cercle vicieux dont les médecins, sans doute par peur de la loi de déontologie, n'ont pas conscience.

    Et ce que j'appelle une maladie irréversible, c'est aussi l'imprégnation iatrogène par l'AZT, que l'on trouve toujours dans la trithérapie.

    Par ailleurs, Terry, comprenez que le fait de penser que des composés oxydants sont pour une part à l'origine de la maladie en question n'entraîne nullement que les antioxydants sont la panacée. Quand je parle du chloramphénicol, là encore, je prends un exemple, car les substances oxydantes que prennent les africains et que nous évitons sont légion (métronidazole, etc...). J'ai d'aileurs parlé plus haut du caractère multifactoriel de la maladie.

    Et, certes, la grosse erreur est donc de se laisser prescrire une trithérapie (et toute antibiothérapie au long cours) au départ, car on peut alors être entraîné dans une spirale infernale. Et dans le domaine de la consommation de ces substances, il y a certainement une limite au delà de laquelle leur ingestion donne des troubles irréversibles qu'on attribuera bien entendu au "vih"

  11. cher Terry,

    Je ne vois pas trop où est le problème.

    J'indique simplement que les maladies liées à un déficit de l'immunité existent bel et bien, et que à partir d'un certain stade de dégradation, ce processus devient pratiquement irréversible, et que les cause de cet état peuvent être (et pour moi le sont sans doute) l'utilisation de substances oxydantes. Ces maladies existaient d'ailleurs bien avant qu'on ne les appelle Sida, ce n'est que depuis que l'on a mis au point un test mesurant le taux sanguin des marqueurs CD4 des lymphocytes T que l'on a regroupé tout cela sous le nom sida.

    Une dégradation irréversible de la santé n'est pas provoquée uniquement par des "microbes", mais peut aussi, (et sans doute beaucoup plus fréquemment qu'on le croit), être due à des composés oxydants.

    Il a par exemple été prouvé que le chloramphénicol, un médicament interdit en Europe et prôné en Afrique, pouvait créer une dégradation irreversible (sans rapport avec la dose ingérée) du système immunitaire.

  12. le seul problème - en ce qui concerne la thérapeutique - créé par l'hypothèse du sida dû au stress oxydatif, est que la première prévention est d'éviter l'abus de substances oxydantes (ou initiant des réactions d'oxydation) :

    nitrites d'alkyle, cocaïne, mdma, paracétamol, corticoïdes, bactrim, antibiotiques nitrés (chloramphénicol) , azotures (AZT), oximes, composés isoxazoliques, facteurs de coagulation, etc...

  13. tout d'abord, bonjour tout le monde, j'ai pris 4 jours sans internet, ça fait aussi du bien.

    Ensuite, Dana, peux-tu nous indiquer le jour et l'heure où tu as entendu Claire Chazal dire cela?

    C'est sans doute à la suite des nombreuses études qui montrent scientifiquement que le préservatif ne protège pas correctement que les journalistes commencent à poser des questions(voir l'étude du Lancet, grand journal médical anglais, qui a publié en février 2003 une étude portant sur l'impact du préservatif en Uganda, faite par le docteur Anatoli Kamalai. Cette étude a fortement désapointé ses instigateurs : alors que les MST classiques régressaient nettement, la transmission de la séropositivité ne diminuait pas.

    Lancet. 2003 Feb 22;361(9358):645-52)

    Par ailleurs, Hufa, l'immunodéficience acquise est bien une déficience de l'immunité qui devient irréversible à partir d'un certain stade, avec des maladies opportunistes (de type mycose la plupart du temps) qui vont faire mourir, avec des taux de certaines protéines (les fameux anticorps) qui deviennent élevés, avec des morceaux d'ARN qui se transcrivent en ADN (qui sont souvent très proches de certaines suites d'ADN humain)... mais tout ceci peut être dû soit à un virus, soit à diverses substances dont la propriété commune est d'être oxydantes.

    On peut d'ailleurs expliquer l'apparition du sida chez les diverses personnes à risque par l'utilisation de substances oxydantes propres à chaque groupe, mais dont l'effet le plus net se traduit toujours en une déplétion en protéines soufrées et en sélénium, donc une déficience en réducteur.

    Qu'est ce qui va plaider dans le sens du virus ou de la maladie purement chimique? C'est normpalement l'épidémiologie. Mais celle-ci est pratiquement toujours biaisée et peut permettre de nombreuses confusions. L'exemple typique est celui du "SMON", maladie caractérisée par une diarrhée mortelle apparue au Japon, et que de très nombreux épidémiologistes ont cru de bonne foi attribuer à un virus, et ce pendant 20 ans. Puis il a été montré par A+B que cette maladie était due à l'absorption d'un médicament , le Clioquinol.

    Les données épidémiologiques du sida en Europe sont encore plus floues (préservatif? -> Claire Chazal), drogues intraveineuses ? Rôle de l'AZT, qui est capable, comme cela a été montré il y 10 ans, de faire apparaître les symptômes du sida chez certains animaux...

    Beaucoup de questions, qu'il faut se poser, en laissant ouvertes toutes les possibilités, mais en ne se bouchant pas les yeux.

  14. tout d'abord, il serait bon de savoir ce qui a pu positiver le test. Avez-vous eu un traitement quelconque à cemoment-là, une grippe, une vaccination?

    Par ailleurs, ce n'est pas le moment de faire un nouveau test, car les grossesses nombreuses le positivent. (selon le Paul Ehrlich Institut, spécialiste du Sida en allemagne)

    Comment faire pour ne pas tomber dans les mains de médecins qui tremblent de peur (ils n'osent pas se poser la question de repenser le Sida)? Refuser déjà tout test, par écrit, lors des premières visites, car il n'est pas obligatoire?

    Excusez-moi de ne pas avoir pour l'instant d'idées correctes.

  15. Voilà la plus récente des joutes oratoires qui opposent les tenants de l'orthodoxie (vih -> sida)(Christopher Noble, Brain Foley) aux repenseurs (Eleni Papadopoulos,..., Sam Mhlongo,...)

    http://bmj.bmjjournals.com/cgi/eletters/326/7387/495#61628

    C. N. écrit : Il n'existe pas un unique ensemble de règles à appliquer pour l'isolation des virus. Comme dans tous les autres champs de la science, les chercheurs créent plusieurs types différents d'évidence pour justifier leur propos

    E. P. : Nous sommes d'accord. C. N. pourrait-il nous indiquer

    Q1 : Quelle méthode a utilisé Montagnier, le "découvreur" du "vih" ?

    Q2 : Quelle est l'évidence qui convaint C.N. de l'existence du "vih" dans l'expérimentation de Montagnier en 1983

    (si quelqu'un peut traduire cela d'une manière plus correcte, il est le bienvenu)

    On peut donc penser que ce n'est pas l'isolation du "vih" qui a convaincu les biologistes de son existence. Cela serait, à mon avis, une interprétation hâtive des données épidémiologiques, dans le sens d'une maladie infectieuse (toujours recherchée en premier quand il y problème).

    Une fois la machine lancée, malgré des données épidémiologiques de plus en plus abondantes, mais surtout de plus en plus contradictoires, on ne peut plus s'arrêter sous peine de révolte des peuples. Mais sans doute cette révolte est-elle devenue nécessaire (voir les OGM)?

    Qu'est devenue notre démocratie?

×
×
  • Créer...