Aller au contenu
forum sidasante

Cheminot

Modérateurs
  • Compteur de contenus

    1 484
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Cheminot

  1. Mais enfin ADDTC, ces publications ne te posent-elles pas de problème? A moi, qui suis scientifique agrégé de l'université, cela m'en pose beaucoup !
  2. Candide, Je réitère ici le post que j'ai envoyé sur un autre topic, où des officiels des l'Onusida, sous couvert d'anonymat malheureusement, remettent fortement en cause les mêmes chiffres que tu mets en avant. Cependant, ce document vient d'un journal de la grande presse américaine, le Boston Globe. http://www.boston.com/news/world/articles/...alled_too_high/ Je te laisse traduire, c'est véritablement scandaleux ! Par ailleurs, de nombreux propos filtrent actuellement des milieux médicaux, qui tendent à penser que la vaccination contre l'hépatite B fait apparaître les anticorps P24 (ceux qui sont censés être spécifiques du "vih" et qui sont mesurés par le test Elisa) pendant un laps de temps plus ou moins long. On sait par exemple qu'une vague de vaccination antihepB a été faite en Afrique Noire il y a quelques années, et qu'actuellement, c'est l'asie du Sud-Est qui est visée par cette campagne. N'y a-t-il pas là matière à réflexion? Tu me diras : mais on n'a jamais vu que les anticorps P24 apparaître en dehors d'une infection à vih? Eh bien si justement, et je n'en veux pour preuve que l'article suivant publié dans Science, et très perturbant : Anti-HIV and Anti-Anti-MHC antibodies in Alloimmune and Autoimmune Mice Tracy A. Kion & Geoffrey W. Hoffmann, Science Vol 253 p 1138, Sept 1991 Je traduis l'abstract rapidement : Des souris exposées à des cellules provenant d'une autre lignée de souris (alloimmunes) ont montré la production des anticorps gp120 et p24, censés créés lors d'une infection à vih. Ces résultats sont considérés comme surprenants par les auteurs car ces souris n'ont pas été exposées au vih. Il faut donc se méfier de l'injection de protéines étrangères ou modifiées, ou encore de l'ADN modifié censé les synthétiser. C'est pourtant ce qui se fait avec des vaccins comme l'hépatite B. Là encore, on a péché par manque de connaissance, en utilisant un modèle insuffisamment vérifié, celui de la vaccination par une protéine modifiée.
  3. malheureusement, si l'on connaît bien maintenant les structures des substances synthétisées il y a plus de 5 ans, pour l'instant, Merck ne fournit pas de détails. On ne se base que sur des essais in vitro montrant l'arrêt de la rétrotranscription dans les cultures. Souvent même, on teste empiriquement les unes après les autres les substances qui répondent aux critères de reconnaissance de forme recherchés, sans vraiment se poser la question de la réactivité réelle de la molécule. Par ailleurs, cette "intégrase" existe aussi dans les cellules humaines non malades. Alors...
  4. Quelle est la structure de cette substance?
  5. sauf que le loto a été conçu de cette manière-là par l'homme, alors que, jusqu'à preuve du contraire, l'homme n'a pas volontairement créé le sida. Par contre, sache que je suis toujours dans l'expectative et que mes hypothèses laissent toujours la place au doute. A plus.
  6. Il faut d'abord savoir, ADDTC, qu'au départ, on a trouvé quelques personnes qui présentaient les mêmes symptômes dans la communauté homosexuelle de San Francisco (ou Los Angeles, il faut vérifier). Comme ces personnes participaient aux mêmes activités, fréquentaient les mêmes lieux, sans d'ailleurs s'être nécessairement rencontrés, on a conclu à la transmission d'une maladie infectieuse. Pourquoi? Je vais essayer de te l'expliquer en te relatant ce que nous expérimentons avec un éleveur de vaches laitières. Celui-ci, pendant trois ou quatre ans, perdait environ 20% de son troupeau par an, et les vétérinaires (Maisons-Alfort compris) cherchaient désespérément une cause infectieuse. En effet, tout le troupeau était plus ou moins touché. J'émis alors, après étude du dossier, l'hypothèse d'une intoxication chimique (je n'entre pas dans les détails) par les lessives de lavage des installations de traite. Ils suffisait de vérifier, et c'est ce qui fut fait, avec un résultat dépassant toutes les espérances : 2% de morts par an, doublement du chiffre d'affaires. Cet état d'esprit des vétérinaires se retrouve chez les médecins et les biologistes (depuis Pasteur), et ils sont prêt à ne chercher que des causes infectieuses, là où on pourrait aussi avancer une cause liée à l'utilisation de produits chimiques (rappelle-toi que le virus ne fait que de la chimie...) Il est des maladies manifestement infectieuses (encore qu'Aixur ne soit pas tout-à-fait d'accord là-dessus), telles la rougeole. Cependant, j'ai remarqué que la rougeole ne se déclare que dans certaines conditions qui n'ont rien à voir avec le contage, en particulier des circonstances où il y a dépression du système immunitaire. Les épidémies de rougeole sont normalement des épisodes de nettoyage génomique (cela, c'est mon hypothèse). Revenons au sida. Pour prouver qu'il est transmissible sexuellement, il faut donc observer (à leur insu pratiquement), des personnes séropositives ayant des relations sexuelles avec des personnes séronégatives. Deux études importantes montrent que la probabilité de transmission est inférieure à 1 pour mille, études dont les résultats ont inspiré le ministère de la santé, qui donne une ppa (probabilité de transmission par acte) de 1 pour 2000 dans les relations vaginales. http://www.sante.gouv.fr/pdf/dossiers/sidahop/ch16.pdf L'une de ces études a été réalisée en Californie : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...st_uids=9270414 Heterosexual transmission of human immunodeficiency virus (HIV) in northern California: results from a ten -year study. Padian NS, Shiboski SC, Glass SO, Vittinghoff E. Am J Epidemiol 1997 Aug 15;146(4):350- 7 et l'autre en Uganda : Probability of HIV-1 transmission per coital act in monogamous, heterosexual, HIV-1-discordant couples in Rakai, Uganda Ronald H Gray, Maria J Wawer, Ron Brookmeyer, Nelson K Sewankambo, David Serwadda, Fred Wabwire-Mangen, Tom Lutalo, Xianbin Li, Thomas vanCott, Thomas C Quinn, and the Rakai Project Team* The Lancet Volume 357 Issue 9263 Page 1149 On voit donc que la probabilté de transmission est si faible que l'on peut attribuer la séroconversion (qui est, elle, une réalité, mais mal interprétée) à un facteur non infectieux. Par exemple, il est de notoriété publique que les premières personnes diagnostiquées avec le Sida, tous homosexuels, avaient tous utilisé des poppers (nitrites d'alkyle). Quelques uns ont pensé à une maladie liée à ces substances, mais devant l'apparition de cas non liés à l'utilisation de poppers, on a cherché une maladie infectieuse, sans voir qu'en réalité, il fallait rechercher la manière dont les poppers agissaient : par oxydation de certains composants cellulaires. Et en étudiant ce phénomène, on aurait vu que les cocaïne et héroïne sont des oxydants cellulaires, que certains médicaments antiMST tels le bactrim ou la nitrofurantoïne sont des oxydants cellulaires, certains antibiotiques et antihelminthiques utilisés en Afrique exclusivement sont des oxydants cellulaires (chloramphénicol, métronidazole), et enfin, que les facteurs de coagulation sont des oxydants cellulaires (la coagulation se fait par polymérisation de certaines protéines par création de ponts disulfure, qui ne peuvent se faire que par oxydation de thiols). Enfin, l'AZT est aussi un oxydant cellulaire. Alors me diras-tu, pourquoi ne pas rechercher dans cette direction? Eh bien, je pense que globalement, une telle recherche met en cause beaucoup trop de pratiques, et que, même inconsciemment, personne ne veut remettre en cause des pans entiers de la médecine. Tu parles d'apparition spontanée du Sida, ou plutôt de la séropositivité. Tu remarqueras d'abord que lorsque quelqu'un est séropositif, on va chercher le plus loin possible ce qui a pu le "contaminer" (je préférerais dire "ce qui a provoqué sa séroconversion"). En Europe, on trouve pratiquement à tous les coups une raison, et si on n'en trouve pas, eh bien on dira à la personne que comme elle fait partie d'un groupe à risuqe, elle ment. C'est ce qui est arrivé au Dr Mulugheta et à sa femme : http://www.sumeria.net/aids/mulugheta.html Par ailleurs, au labo, on a montré l'apparition des protéines P24 et GP120, propres aux tests Elisa et Western Blot du "vih", chez des souris auxquelles on avait injecté certaines protéines d'une autre souris : Science, Vol 253 , p 1138 : Anti-HIV and Anti-anti-MHC Antibodies in autoimmune and alloimmune mice, Kion T A & Hoffmann G W Or le test Elisa, le seul à être utilisé en Afrique, détecte la P24... Quant aux images du virus, il s'agit en fait d'images faites à partir de sérum non purifié par double centrifugation, et Montagnier et al. ont supposé qu'il s'agissait d'un virus. Mais cela pourrait tout autant être des microvésicules cellulaires, qui oint été caractérisées dans d'autres cas. On pourra parler des résultats thérapeutiques plus tard. cordialement
  7. Je crois, ADDTC, que tu es tout-à-fait dans ton rôle en t'étonnant des positions qui sont débattues ici et qui vont à l'encontre de ce qui est communément admis. Je vais donc essayer de te résumer mon propre point de vue, qui est influencé par ma formation de chimiste organicien. Tout d'abord, rappelle-toi Galilée qui a eu raison contre tous. Il en est de même pour Niels Bohr dans le domaine de la mécanique ondulatoire, même si son modèle n'était pas vraiment très puissant. Car le problème est là. Je crois qu'il faut d'abord se rendre compte que pour expliquer une maladie telle que le Sida, on propose un modèle qui doit être efficace, c'est-à-dire permettre en particulier de soigner les gens. Nous avons actuellement deux modèles en lice - le modèle rétroviral, proposé par les officiels de la santé - et le modèle du stress oxydatif (en gros le sida est provoqué par un déséquilibre en oxydants/réducteurs provoqué par des excès ou des carences en diverses substances oxydantes ou régulatrices. Ce modèle est proposé par de nombreux médecins, biologistes, chimistes,..., et bizarrement, c'est aussi le cheval de bataille actuel du Pr Montagnier. Il faut que ces modèles permettent d'expliquer et de prévoir l'évolution de la maladie. Note bien tout d'abord que les fameux "tests du sida" sont opérationnels dans les deux modèles, et qu'ils indiquent bien une perturbation de l'équilibre immunitaire. Avec toutes les données épidémiologiques, biochimiques, ainsi qu'avec les images qu'on prétend être celles du vih, je penche raisonnablement vers le second modèle. Tu peux me poser des questions plus détaillées. Mais je n'ai pas le coeur de faire ici un développement qui demanderait de plus de 10 pages. Par contre, voici la réflexion faite par Hans Gelderblom, spécialiste du microscope électronique, à Nick Bennett, clinicien à Syracuse, NewYork, réflexion tirée du débat sur l'origine du Sida qui anime le British Medical Journal http://bmj.bmjjournals.com/cgi/eletters/326/7387/495 Selon ces personnes elles-mêmes, qui sont de fervents défenseurs de la cause rétrovirale, il est impossible de photographier le rétrovirus, parce que les concentrations de celui-ci sont beaucoup trop faibles. La conclusion est que pour prétendre qu'un rétrovirus est cause du sida, on ne dispose que de marqueurs de substitutions que sont les taux de CD4 (qui peuvent aussi diminuer sous l'influence d'un stress oxydatif), les anticorps "antivih", qui peuvet aussi apparaître en l'absence d'infection, simplement par l'action de protéines étrangères, la "charge virale", dont on sait que le primer provient simplement d'une zone de gradient de concentration obtenue par double centrifugation à partir du sérum d'une personne malade, zone que l'on a désignée ex cathedra comme ne contenant que du matériel rétroviral, ce qui s'est avéré erroné par la suite. Conclusion : il ne reste plus que l'épidémiologie, et s'il n'y avait pas les estimations africaines, celle-ci ne permettrait pas non plus d'affirmer que la maladie est infectieuse. Donc il est capital pour la politique en recherche scientifique que le sida soit bien une maladie infectieuse, car nos politiques ne pourraient tout-à-coup plus justifier les sommes énormes englouties dans cette recherche. Ils sont donc pieds et poings liés.
  8. ADDTC, au lieu de répondre sur la forme des propos, pourrais-tu commenter l'information du Boston Globe, qui parle du fond? Merci
  9. En dehors de toute ironie, il faut rechercher les informations. Celle-ci, relayée par le Boston Globe, semble poser la question des estimations indiquées par l'ONUSIDA : http://www.boston.co...alled_too_high/ J'en tirerai un paragraphe : soit : Cela signifie en clair que tous les chiffres que nous donnent les médias sur la mortalité, le nombre d'orphelins, l'espérance de vie, ne sont en fait que des estimations obtenues à partir d'estimations de prévalence du "vih", estimations effectuées en particulier à partir de tests effectués sur les femmes enceintes. Et là, nom d'une pipe, il faut tout de même être bien naïf pour croire que cette méthode est correcte, puisque, et je le répète ici depuis 2 ans, même le principal institut officiel de lutte contre le Sida, le Paul Ehrlich Institut de Munich, indique que la multiparité provoque de faux positifs au test Elisa, qui est pour l'instant le seul employé en Afrique. Et les relations mathématiques donnant la mortalité, le nombre d'orphelins, etc... sont calculées à partir d'un probabilité de transmission par acte sexuel proche de "un", alors que toutes les études expérimentales (donc les seules valables) conduisent à une ppa de l'ordre de 1/1000 1/10000 (je parle ici de l'acte sexuel vaginal). Donc, que la cause soit un virus (vih), ou bien un désordre provoqué par le stress oxydatif, les chiffres donnés en Afrique sont à prendre vraiment avec des pincettes. Lire aussi dans l'article du Boston Globe : Je vous laisse traduire, c'est véritablement scandaleux !
  10. Encore un mot, SimonT. En ce qui concerne les tests, voici quelques liens à lire : http://www.sidasante.com/science/scitests.htm http://www.sidasante.com/science/scifalse.htm et aussi, en anglais : http://www.theperthgroup.com/
  11. alors une petite expérience personnelle, c'est tout, car je pars en voyage pour quelques jours... La belle-mère d'une de mes filles est Rwando-française, et sa belle-soeur du pays est séropositive depuis plus de 15 ans (test élisa uniquement), sans jamais avoir été en aucune façon malade...et bien sûr, sans avoir jamais touché à un antirétroviral. Et le nombre de personnes dans son cas est bien entendu très élevé au Rwanda.
  12. @Simon T et Aixur. Mettez leur le nez dans ces deux publications, donnant le résultat d'expériences qui seront vraies encore dans 1000 ans : Anti-HIV and Anti-Anti-MHC antibodies in Alloimmune and Autoimmune Mice Tracy A. Kion & Geoffrey W. Hoffmann, Science Vol 253 p 1138, Sept 1991 Je traduis l'abstract rapidement : et Handlon, A. L., and Oppenheimer, N. J. (1988) Pharm. Res. (N.Y.) 5, 297-299)) et Reardon JE, Crouch RC, St John-Williams L. dans "J Biol Chem. 1994 Jun 10;269(23):15999 - 6008. " : Reduction of 3'-azido -3'-deoxythymidine (AZT) and AZT nucleotides by thiols. Kinetics and product identification. Ces études tendraient à faire penser que l'AZT est pratiquement totalement réduit par le glutathion, au lieu de servir à inhiber la transcription de l'ARN viral en ADN.
  13. @ Bamboue simplement une info : Gallo et de nombreux officiels du Sida américain ont décrié ce protocole, en indiquant qu'il ne repose sur rien de sérieux.
  14. Voici en tout cas un article qui montre tous les dégâts causés par l'AZT : http://www.blackwell-synergy.com/servlet/u...mitochondria%29 (c'est long, et je m'en excuse) par exemple : la suppression de l'ADN mitochondrial était détecté par PCR 12 à 15 jours après traitement à l'AZT, ou 20 à 25 jours après traitement de la cellule par l'eau oxygénée (H2O2), ce qui arrive lorsque la déficience en ATP et en glutathion s'est accentuée. Les anxiolytiques sont pour la plupart des amines secondaires ou tertiaires, qui donnent des intermédiaires oxydés très puissants (hydroxylamines et N-oxydes), et ont donc le même effet que l'eau oxygénée ou l'AZT. Je rajoute que la cocaïne est une amine tertiaire, la MDMA une amine secondaire, etc...
  15. Bamboue bonsoir, peux-tu nous dire de quels antiviraux il s'agit? Merci.
  16. Pour ma part, j'ai toujours vécu à la marge de la médecine (mes enfants ne sont que très rarement malades, grâce à l'homéopathie), et c'est à partir de ces connaissances que je suis entré dans les concepts des repenseurs du sida. Il y a la place aussi pour ceux qui n'ont pas fait de tests (ou qui n'ont jamais été séropositifs) parmi tous ceux qui remettent le système en question.
  17. Les officiels du sida indiquent (encore anonymement), que la prévalence du vih en Afrique pourrait être 2 fois plus faible que celle indiquée officiellement : http://www.boston.com/news/world/articles/...alled_too_high/ La vérité va-t-elle enfin sortir de ces ténèbres.
  18. En lisant de près tous vos posts et celui de hufa, il me semble que vous ne vous êtes pas rendu compte que celui-ci est prisonnier du système, ainsi que le sont des millions et des mllions de gens. Et ces gens ne sont ni c..s ni idiots, ils ont été désinformés (les désinformateurs, eux aussi, sont inconsients du problème). Alors, quand ils tombent sur un forum comme celui-ci, ils se raccrochent à ce qu'ils connaissent par peur d'être complètement déstabilisés. Il ne faut donc pas, à mon avis, les repousser, mais prendre le temps de la pédagogie. D'ailleurs, son profil n'est pas le même que celui de lavienrose, qui pensait, lui (ou elle), nous convertir à sa vérité, qu'il ne concevait pas qu'elle puisse être erronée. Ce que dit Terry sur la persistence des dégâts dus à l'AZT (et d'autres substances oxydantes comme le bactrim) dans l'organisme me semble fondamental. Cela signifie qu'on a fabriqué de toutes pièces des malades du sida, à partir par exemple d'une suspicion de transmission. La personne a donc pris le fameux traitement prophylactique, qui, en fait, l'a rendue séropositive, et l'a entraînée dans un cercle vicieux dont les médecins, sans doute par peur de la loi de déontologie, n'ont pas conscience. Et ce que j'appelle une maladie irréversible, c'est aussi l'imprégnation iatrogène par l'AZT, que l'on trouve toujours dans la trithérapie. Par ailleurs, Terry, comprenez que le fait de penser que des composés oxydants sont pour une part à l'origine de la maladie en question n'entraîne nullement que les antioxydants sont la panacée. Quand je parle du chloramphénicol, là encore, je prends un exemple, car les substances oxydantes que prennent les africains et que nous évitons sont légion (métronidazole, etc...). J'ai d'aileurs parlé plus haut du caractère multifactoriel de la maladie. Et, certes, la grosse erreur est donc de se laisser prescrire une trithérapie (et toute antibiothérapie au long cours) au départ, car on peut alors être entraîné dans une spirale infernale. Et dans le domaine de la consommation de ces substances, il y a certainement une limite au delà de laquelle leur ingestion donne des troubles irréversibles qu'on attribuera bien entendu au "vih"
  19. cher Terry, Je ne vois pas trop où est le problème. J'indique simplement que les maladies liées à un déficit de l'immunité existent bel et bien, et que à partir d'un certain stade de dégradation, ce processus devient pratiquement irréversible, et que les cause de cet état peuvent être (et pour moi le sont sans doute) l'utilisation de substances oxydantes. Ces maladies existaient d'ailleurs bien avant qu'on ne les appelle Sida, ce n'est que depuis que l'on a mis au point un test mesurant le taux sanguin des marqueurs CD4 des lymphocytes T que l'on a regroupé tout cela sous le nom sida. Une dégradation irréversible de la santé n'est pas provoquée uniquement par des "microbes", mais peut aussi, (et sans doute beaucoup plus fréquemment qu'on le croit), être due à des composés oxydants. Il a par exemple été prouvé que le chloramphénicol, un médicament interdit en Europe et prôné en Afrique, pouvait créer une dégradation irreversible (sans rapport avec la dose ingérée) du système immunitaire.
  20. vous pouvez tout d'abord essayer de vous procurer l'article du Lancet cité plus haut. Puis, si vous lisez l'allemand, voyez le bas de la page suivante : http://www.fu-berlin.de/cgi-bin/htdig/show...0Nr.%20226%2F99 (article d'Anand Pant)
  21. le seul problème - en ce qui concerne la thérapeutique - créé par l'hypothèse du sida dû au stress oxydatif, est que la première prévention est d'éviter l'abus de substances oxydantes (ou initiant des réactions d'oxydation) : nitrites d'alkyle, cocaïne, mdma, paracétamol, corticoïdes, bactrim, antibiotiques nitrés (chloramphénicol) , azotures (AZT), oximes, composés isoxazoliques, facteurs de coagulation, etc...
  22. tout d'abord, bonjour tout le monde, j'ai pris 4 jours sans internet, ça fait aussi du bien. Ensuite, Dana, peux-tu nous indiquer le jour et l'heure où tu as entendu Claire Chazal dire cela? C'est sans doute à la suite des nombreuses études qui montrent scientifiquement que le préservatif ne protège pas correctement que les journalistes commencent à poser des questions(voir l'étude du Lancet, grand journal médical anglais, qui a publié en février 2003 une étude portant sur l'impact du préservatif en Uganda, faite par le docteur Anatoli Kamalai. Cette étude a fortement désapointé ses instigateurs : alors que les MST classiques régressaient nettement, la transmission de la séropositivité ne diminuait pas. Lancet. 2003 Feb 22;361(9358):645-52) Par ailleurs, Hufa, l'immunodéficience acquise est bien une déficience de l'immunité qui devient irréversible à partir d'un certain stade, avec des maladies opportunistes (de type mycose la plupart du temps) qui vont faire mourir, avec des taux de certaines protéines (les fameux anticorps) qui deviennent élevés, avec des morceaux d'ARN qui se transcrivent en ADN (qui sont souvent très proches de certaines suites d'ADN humain)... mais tout ceci peut être dû soit à un virus, soit à diverses substances dont la propriété commune est d'être oxydantes. On peut d'ailleurs expliquer l'apparition du sida chez les diverses personnes à risque par l'utilisation de substances oxydantes propres à chaque groupe, mais dont l'effet le plus net se traduit toujours en une déplétion en protéines soufrées et en sélénium, donc une déficience en réducteur. Qu'est ce qui va plaider dans le sens du virus ou de la maladie purement chimique? C'est normpalement l'épidémiologie. Mais celle-ci est pratiquement toujours biaisée et peut permettre de nombreuses confusions. L'exemple typique est celui du "SMON", maladie caractérisée par une diarrhée mortelle apparue au Japon, et que de très nombreux épidémiologistes ont cru de bonne foi attribuer à un virus, et ce pendant 20 ans. Puis il a été montré par A+B que cette maladie était due à l'absorption d'un médicament , le Clioquinol. Les données épidémiologiques du sida en Europe sont encore plus floues (préservatif? -> Claire Chazal), drogues intraveineuses ? Rôle de l'AZT, qui est capable, comme cela a été montré il y 10 ans, de faire apparaître les symptômes du sida chez certains animaux... Beaucoup de questions, qu'il faut se poser, en laissant ouvertes toutes les possibilités, mais en ne se bouchant pas les yeux.
  23. Cheminot

    enceinte

    tout d'abord, il serait bon de savoir ce qui a pu positiver le test. Avez-vous eu un traitement quelconque à cemoment-là, une grippe, une vaccination? Par ailleurs, ce n'est pas le moment de faire un nouveau test, car les grossesses nombreuses le positivent. (selon le Paul Ehrlich Institut, spécialiste du Sida en allemagne) Comment faire pour ne pas tomber dans les mains de médecins qui tremblent de peur (ils n'osent pas se poser la question de repenser le Sida)? Refuser déjà tout test, par écrit, lors des premières visites, car il n'est pas obligatoire? Excusez-moi de ne pas avoir pour l'instant d'idées correctes.
  24. Encore un mot. Dans les sciences de la matière, aucune mise en évidence ne peut se concevoir indépendamment d'une autre. Ainsi, les méthodes spectroscopiques affinent, complètent, mais ne sont en aucune façon contradictoires par rapport aux méthodes analytiques qualitatives ou quantitatives.
  25. Voilà la plus récente des joutes oratoires qui opposent les tenants de l'orthodoxie (vih -> sida)(Christopher Noble, Brain Foley) aux repenseurs (Eleni Papadopoulos,..., Sam Mhlongo,...) http://bmj.bmjjournals.com/cgi/eletters/326/7387/495#61628 (si quelqu'un peut traduire cela d'une manière plus correcte, il est le bienvenu) On peut donc penser que ce n'est pas l'isolation du "vih" qui a convaincu les biologistes de son existence. Cela serait, à mon avis, une interprétation hâtive des données épidémiologiques, dans le sens d'une maladie infectieuse (toujours recherchée en premier quand il y problème). Une fois la machine lancée, malgré des données épidémiologiques de plus en plus abondantes, mais surtout de plus en plus contradictoires, on ne peut plus s'arrêter sous peine de révolte des peuples. Mais sans doute cette révolte est-elle devenue nécessaire (voir les OGM)? Qu'est devenue notre démocratie?
×
×
  • Créer...