Cheminot
-
Compteur de contenus
1 484 -
Inscription
-
Dernière visite
Messages posté(e)s par Cheminot
-
-
Cela, il faut le demander aux médecins.
Cependant, on peut remarquer que pratiquement toutes ces maladies sont des "moisissures" (mycobactéries, cryptococcidies, etc...) (voir le travail de ^pierre^ sur un topic voisin)
-
En tous cas, quel courage, Jimmy!!
Quelque chose qui confirme l'inquiétude de tous ici relativement aux industries du médicament.
Jusqu'à présent, j'ai trouvé beaucoup de grain à moudre sur le site www.rxlist.com qui founissait la structure, les propriétés pharmacologiques, les effets secondaires détaillées de la plupart des médicaments.
Ils ont complètement revu leur site, en le réduisant au strict minimum. Plus aucune information sensible n'est disponible. En fait, c'est devenu un site de pub. Certaines substances, telles la lamivudine, ne peuvent plus être trouvées sur ce site.
Heureusement, les sources d'information universitaires sont toujours disponibles. Mais jusques à quand ?
-
-
p'têt bien, Terry
Mais, comme vous l'avez dit, tout médicament chimique peut avoir des conséquences nocives, d'une part selon la dose, d'autre part à cause des liaisons chimiques non naturelles qu'ils présentent.
Si on trouve par exemple dans la nature des liaisons N=O, certains médicaments vont en surrajouter, et perturber leur concentration naturelle.
Par contre les liaisons N=N (AZT) ne se trouvent pas dans la nature, et leurs propriétés chimiques entraînent à mon avis encore bien plus de nocivité
Bonnes fêtes de fin d'année à tous!
-
Pour vérifier l'importance du caractère antioxydant de la lamivudine et de son dérivé fluoré dans la tri..., voici un autre document :
http://www.pubmedcentral.nih.gov/picrender...76&blobtype=pdf
qui montre, p 2726, que 11% de cet "ARV" est transformé chez le singe en sulfoxyde, forme oxydée du précédent. Ils indiquent aussi qu'ils ne connaissent pas l'enzyme responsable de cette oxydation, sans se poser, comme toujours, la question de l'importance de ce phénomène dans l'impact positif de la lamivudine en cas de sida.
-
Qu'amour et vérité se rencontrent
Que justice et paix s'embrassent
Psaume 85
-
Bonsoir,
j'étais absent et viens de lire toutes vos participations.
Je voudrais simplement ce soir répondre à Candide au sujet de l'effet de la tri qui prouverait que, puisqu'elle est dirigée contre le virus, prouve bien son existence.
En fait, on a montré
1. que les inhibituers de protéase avaient des effets microbicides
2. que les antirétroviraux indispensables au bon fonctionnement de a tri étaient les composés soufrés ( plus préciséments les oxathiolanes, qui se comportent comme des antioxydants.
Alors, la belle preuve que voilà !
3. Et enfin, que l'AZT était une belle cochonnerie, oxydante à souhait (pour ceux qui connaisseent la chimie, c'est plus décapant que l'eau de javel), la diminution de la mortalité des malades étant apparue lorsqu'on a fortement diminué les doses d'AZT prescrites (divisées par 2 ou par 3), puis remplacé ces doses par de l'épivir par exemple (composé soufré).
Il est d'ailleurs possible qu'à plus ou moins longue échéance, le procès du sang contaminé devienne en fait le procès de l'AZT
-
Bienvenue Pikpikandré,
C'est formidable que tu nous rejoignes. Pour ma part je suis chimiste organicien et vois les choses de ce point de vue (en particulier je m'intéresse beaucoup au pouvoir oxydant et réducteur de diverses substances).
Tu pourras nous donner ton avis de biologiste et nous corriger quand nous sommes à côté dans un domaine où tout ne nous est pas connu.
-
-
Ces chiffres parlent d'eux-mêmes. Merci Elko.
Maintenant, si un notable hétérosexuel caucasien (européen) qui n'a jamais trompé sa femme (mais qui a été soumis à une substance qui crée ce stress oxydatif, par exemple la nitrofurantoïne) fait un test qui lui donne, disons, une absorbance de 1,2 ou 1,3 fois l'index, il y a de fortes chances qu'on parle de faux positif.
Par contre, si un habitant de l'Afrique sub saharienne fait le test dans les mêmes conditions, avec un résultat semblable, comme il fait partie d'un groupe à risque, il sera compté comme séropositif.
Je m'aperçois d'ailleurs que le fait d'être noire et enceinte multiplie le risque d'être considérée comme séropositive. D'une part parce qu'on appartient à un groupe considéré à risque, d'autre part, parce que la grossesse, surtout multiple, conduit très souvent à la fausse séropositivité (sans "vih") (voir le site du Paul Ehrlich Institut de Munich)
Et pour terminer, voilà à quoi mène le fait d'être noire et enceinte :
http://breakingnews.nypost.com/dynamic/sto...EMPLATE=DEFAULT
Sur le site du New York Post.
Aux EU, cette affaire fait la une de nombreux journaux :
265 occurences sur google avec "Joyce Ann Hafford nevirapine Associated Press" (sans guillemets)
-
Peux tu nous donner les références?
Oui mais elles sont un peu contradictoires
Et ce n'est que pour la France dans le premier cas, l'Europe des 25 dans le second.
J'ai lu cette affirmation sur le site gouvernemental
dans:
le rapport 2004
Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH.
Dans Epidémiologie Points forts
"La réduction de transmisssion chez les usagers de drogues intraveineux est confirmée"
Cette affirmation revient plusieurs fois dans ce rapport.
J'ai mis du temps à le trouver mais il y a un tableau page 33
(trés difficile à lire car vertical et sur 2pages)
qui indique une baisse en % qui descend jusqu'à11,4 % en 2003.
Mais c'est un peu confus.
c'est un peu confus car les chiffres 2001 2002 2003 sont annotés provisoires non redressés
2003 ne portent que sur 3 trimestres.
La baisse est indiquée ainsi
2001 253 cas 15,4%
2002 185 cas 12,2%
2003 66 cas 11,4%
En 1996 il y avait eu 965 cas 24% et en 97 429 cas 18,8 %
Par contre le communiqué de presse EUROSTAT du 26 Novembre dernier qui ne donne évidemment les chiffres que jusqu'à 2003 ne fait que confirmer la stabilisation vers les 30%
sur les 3 derniéres années.(pour l'union européenne des 25)
(voir le tableau du bas).
D'aprés ces chiffres:
Depuis 1990 ce serait passé de 41 à 31 % mais sur les 3 derniérs années c'est stable.
Il ne s'agit que de drogues par voie intraveineuse en effet.Peut-être la maniére de les prendre a t'elle changé et leur nature également.
L'autre chose qui ressort c'est que depuis 1990 le nombre de transmission a baissé par contacts homosexuels ( de 37 à 19%)et qu'il a augmenté par contacts hétérosexuels (de 11 à 41%)
Mais quel crédit accorder à de tels chiffres?
Ces chiffres dans l'hypothése du Virus pourraient être interprétés en y voyant un effet de l'information prévention (seringue etc) qui ferait que ça se passe moins mal en France que dans le reste de l'Europe.
Mais dans le cas du seul stress oxydatif , cette explication ne tient plus vraiment
alors je repose ma question malgré tout, comment l'interpréter?
si on lit les données britanniques, on constate que les séropositifs hétérosexuels sont essentiellement des immigrés de l'Afrique subsaharienne...
Peut-être en est-il de même en France. Mais ici, aucune indication de ce genre.
-
Bravo Aixur, de reprendre ce travail très lourd.
Cependant, ne faudrait-il pas que tu indiques aussi que Mark nous a quitté dans des circonstances qui n'ont rien à voir avec le sida, et que d'autres personnes reprennent le flambeau ?
amitiés
-
Cela bouge beuacoup aux EU.
Voici un entrefilet de MSNBC :
Officials warned of concerns about AIDS drugBut U.S. sent medication to Africa anyway, documents show
http://www.msnbc.msn.com/id/6707600/
soit :
Les officiels mettent en garde au sujet de "drogues" contre le Sida (c'est volontaire de ma part de traduire ainsi).
Mais les EU envoient malgré tout ces médications en Afrique, ainsi que le montre ces documents.
Arès que Foxnews ait repris le scandale des enfants cobayes de Liam Scheff :
http://www.foxnews.com/story/0,2933,140829,00.html
et que le gouvernement Bush ait lancé la chasse aux "drogues" dont la mise sur la marché a été frauduleuse.
-
bizarre tout de même que son nom de code soit "SH", c'est-à-dire thiol, si on y rajoute un groupement carboné !!
-
Need Help...
dans Divers "VIH"
Pour ma part, et je répète ce que j'ai déjà dit, il ne faut pas prendr à la légère la séropositivité quand on a pris des antirétroviraux (et surtout l'AZT) pendant un certain temps.
Les personnes dites "non progresseur à long terme" sont des personnes qui ont refusé très rapidement ces médocs.
C'est pour cela que j'avais proposé à Jimmy de voir un toubib allemand, qui prend garde à tout cela et est bien au courant des diverses thérapeutiques alternatives qui peuvent également intervenir.
J'ai vraiment l'impression qu'en France il n'existe aucun toubib de ce genre.
-
Bonjour Elisa,
Peux tu nous donner les références?
En tous cas, comme le disent Papadopoulos & autres, les drogues absorbées par voie nasale par exemple ne sont pas prises en compte dans ces chiffres.
Il faudrait plus de détails, sur les chiffres absolus, et non sur des pourcentages.
-
Bon,
voilà donc une de ces publications :
http://crystal.harvard.edu/lib-sch/HuangH-...ci-282-1669.pdf
On y lit p 1673 :
Second, the sites of mutations conferring resistance to the dideoxyclass of inhibitors(including 3TC) nearly all impinge on the dNTP from the front (Fig.6A), whereas sites for resistance to AZT (with a 3 substituent larger than a hydroxyl group) impinge on the 3 pocket from therear(Fig.6B).Ici il indique que cette résistance provient du fait que le phényl va empêcher l'azoture de se positionner, car il est plus gros que le groupement OH. Dans ses rêves, c'est vrai, simplement il contredit purement et simplement son idée précédente, où l'hydroxyle, entouré d'eau, est plus gros que l'azoture.
Et comme si cela ne suffisait pas, il prétend que les liaisons entre l'hydroxyle et le phényl seront plus attractives qu'entre le phényl et l'azoture, ce qui contredit les résultats élémentaires de la physicochimie des liaisons entre les molécules.
Il y a d'ailleurs d'autres aberrations dans d'autres publications du même tabac.
Tout est fait pour faire coller avec l'hypothèse de la mutation du vih, donc avec l'hypothèse du vih.
D'ailleurs on trouve souvent dans le texte :
"nous supposons que"
"cela doit être ainsi"
etc...
Par ailleurs, il faut savoir que les modélisations moléculaires, sur lesquelles reposent toute la "science" des protéines, ne sont en tout état de cause qu'approximatives, et le resteront, même si on utilise des ordinateurs 1000000 de fois plus puissants que ceux dont on dispose aujourd'hui, car les bases mathématiques de ces calculs reposent sur des approximations de fonctions d'onde : on ne sait pas faire ces calculs analytiquement.
Pourquoi est-ce que je ne publie pas?
Parce que je n'en ai pas le temps. Je préfère m'occuper de mes 9 enfants, ce qui n'est pas de la tarte, croyez-moi.
Je laisse cela à d'autres, qui le font aussi bien que moi :
Duesberg, Rasnick, Papadopoulos & al., etc...
-
C'est un peu mon expérience avec mes 9 enfants. En fait, on met sous le nom de maladie diverses choses qui me semblent complètement différentes :
Les maladies de l'enfance justement, qui représentent à mon humble avis un moyen pour le corps de mettre son immunité au top, avec parfois une aide nécessaire, mais qui ne peut être ni les antibios, ni les antiinflammatoires (ce qui bloque encore plus la réponse immunitaire).
Les traumatismes et les maladies congénitales, contre lesquelles il faut la chirurgie, avec éventuellement antibiothérapie et antalgiques, mais aussi d'autres méthodes.
Et les maladies dégénératives qui apparaissent parce qu'on n'a pas laissé le système immunitaire se former (maladies autoimmunes, cancer, sida), les unes et les autres provenant de causes différentes mais tout aussi traumatisantes pour le système immunitaire.
Car les produits chimiques n'ont pas, et de loin, tous le même effet toxique. Il y a des oxydants (sida), des réducteurs (cancer, c'est d'ailleurs pour cela que les antioxydants peuvent être dangereux comme le dit Terry), des acides, des bases.
Le problème vient du fait que la recherche médicamenteuse s'est complètement obnubilée sur le principe de reconnaissance de formes, qui présente une certaine fécondité, mais qui n'est pas tout dans la thérapeutique.
-
Encore une erreur. Le sperme, pour oxydant qu'il soit à la sortie du canal déférent, ne provoque aucune immunodéficience lorsqu'il est au contact de la muqueuse vaginale ou utérine. Il faut ce caractère oxydant (donc immunosuppresseur) pour que la nidation ait lieu.
Dans les autres cas, il diminue le taux moyen de thiols réducteurs, ce qui conduit selon les données que j'ai cité à un suicide (apoptose) partiel des lymphocytes porteurs des protéines CD4+.
-
merci de me résumer, mais tu fais une petite erreur.
Il y a des ADN qui se transmettent, qu'on peut appeler des virus, et qui agrègent autour d'eux les protéines qui sont encodées en eux. Cependant, ces ADN ne s'expriment que dans des conditions particulières.
J'ai bien vu ce qui s'est passé lorsque un de mes fils, qui avait 16 ans à l'époque, a attrappé la rougeole.
Il venait de faire un effort important (100 km à vélo d'une seule traite pour la première fois de sa vie). Il ne faisait pas particulièrement bon.
Au lycée où il travaillait, quelqu'un avait la rougeole à ce moment-là.
Il a donc eu les symptomes d'invasion (rhume), puis la phase d'état avec l'éruption et la fièvre. Pour lui, cela n'a duré que 36 heures, car j'avais déterminé son remède très facilement. Une sérologie faite 48 heures après la fin des symptomes montrait encore une rougeole en activité. Mais lui-même était bien. Lui-même, ou le remède qu'il a pris, ont su réguler la défense immunitaire.
Je pense personnellement qu'il traîne des ADN qui créent des maladies de ce genre, et je pense que ces rencontres sont normalement bénéfiques à celui qui les fait, puisque les anciens médecins savent d'expérience qu'après une bonne rougeole sans complications les enfants ou les adolescents se portent très bien pendant de nombreuses années.
Si la mortalité due à la rougeole a pratiquement disparu avant l'invention de la vaccination antirougeoleuse (voir les courbes éditées par aixur), c'est parce que les conditions d'une bonne réponse à ces ADN ont été de plu en plus souvent réunies dans notre société hygiéniste et d'abondance, ce qui n'est pas le cas partout dans le monde.
En ce qui concerne la polio, les choses sont moins claires - et je te renvoie à l'article de Janine Roberts cité sur un autre topic - mais on a réussi à photographier au microscope électronique l'ADN entouré de ses protéines - cad le virus - après purification.
Le virus du sida, par contre, n'a pas été purifié, donc on n'a pas de photos du virus purifié, ou du moins les photos qu'on a pu faire du matériel purifié ne contiennent pas de structures rétrovirales.
L'épidémiologie est complètement bancale...
L'action de la thérapeutique peut s'expliquer autrement que par une action antirétrovirale...
Le découvreur du "vih" n'en finit pas de douter...
alors !
-
Si tu as une copie de cet interview, il serait intéressant de le mettre à la portée de tout le monde (adresse-toi à Aixur).
Cela confirme bien ce qui est raconté par de très nombreux africains, et en particulier par le Dr. Sam Mhlongo
-
merci pour ton témoignage, Rock-en-rock,
je pense qu'il doit y avoir plus d'une personne qui a fait la même chose que toi : ne plus prendre ses médocs.
Il se pose tout de même un problème, qui est que les médecins vont continuer à croire que les médocs fonctionnent, ils vont utiliser votre état de santé florissant pour déclarer qu'ils sont dans le vrai, en leur âme et conscience, je le précise.
On voit donc le quiproquo qui en résulte.
Il serait bon que tous ceux qui ont arrêté les médocs et qui ne l'ont pas dit à laur thérapeute puissent un jour, ensemble et le même jour, dire la vérité.
-
Je te ferais remarquer, Igor, que tu ne réponds que pour polémiquer. J'attends quant à moi une réplique constructive, semblable à celles que j'essaie de faire passer ici.
J'ai étudié des quantités de publications, je sais manipuler en chimie (c'est mon métier), et pourtant, je me rends compte que les chercheurs que tu défends, et c'est ton droit, ont en fait tordu la réalité de la chimie pour démontrer parfois l'indémontrable.
Je ne te donnerai pas de détails car il s'agit de publications en anglais et surtout, c'est de la chimie de haut niveau.
Donc, si les bases même des propositions faites par les biologistes (en particulier en ce qui concerne la mutation du vih) sont faussées, que reste-t-il de la démonstration qu'on nous rabâche tous les jours.
N'oublie pas que, malheureusement, les biologistes n'y connaissent pas grand chose en chimie fondamentale, il font confiance aux chimistes, qui eux, se basent sur les a priori des biologistes.
Ils recherchent donc dans le sens proposé par les biologistes, à moins qu'ils ne se posent des questions.
Il est tout de même remarquable que beaucoup de scientifiques repenseurs sont des chimistes de haut niveau qui ont un tant soit peu réfléchi (Duesberg, Rasnick, Mullis, Thomas,...)
-
Un avis "simpliste" . Mais la simplicité n'est-elle pas le piédestal de la vérité :
la trithérapie comporte au moins un antioxydant, la lamivudine, et des inhibiteurs de protéases qui vont inhiber la croissance des champignons (il y a plusieurs références là-dessus).
Lorsqu'on l'arrête, le stress oxydatif de fond qui n'a pas été supprimé, mais simplement réduit au silence momentanément par ce réducteur, réapparaît, et les chaînes de nucléotides abimées réapparaissent aussi (charge virale),...
intérrogation
dans Sida et séropositivité : causes, facteurs, « transmission », agents oxydants et stress oxydatif…
Posté(e)
cette perte de soufre (sous forme de sulfate) est le signe manifeste de l'oxydation de la cystéine par les divers agents oxydants dont on parle sur le topic principal de ce forum sur le sida. En fait, le stress oxydatif (et non le vih) est à l'origine de cette perte de soufre, ce qui empêchera les cellules immunitaires de survivre (apoptose par excès d'oxydants nitrés), formant un terrain favorable aux mycoses et à toutes les espèces vivantes qui se développent sur des cellules mortes.