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Cheminot

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  1. C'est encore un réducteur organophosphoré toxique.
  2. Oui, Econoclaste, ce que tu dis me semble assez limpide. Cependant le ténofovir est clairement un poison beaucoup plus dangereux que l'emtricitabine, car c'est un véritable organophosphoré, semblable à un herbicide bien connu : le roundup (ou du moins son principe actif, le glyphosate). Les deux d'ailleurs inhibent la réplication de l'ADN.
  3. Bonjour à tous, je serais bien descendu en Avignon, mais j'ai d'autres obligations. Je vais essayer néanmoins de proposer une contribution que j'enverrai à Martin Barnes et à toi-même, Bellini.
  4. La Renaissance, oui, a "libéralisé" l'usure. Les Médicis sont les banquiers de papes comme Alexandre VI, ou Jules II. Le philosophe Maurice Clavel parle de cette époque comme celle du refus de la Révélation. Ce ne sont donc pas les théologiens du XII (Thomas d'Aquin) qui sont en cause, mais bien la Renaissance, avec à sa suite la Réforme (Calvin et Zwingli en particulier)
  5. Jardinier, donne des preuves dans les écrits de l'époque! Sinon, tu ne peux rien avancer de tel!
  6. Quand je parle d'un phénomène naturel - et je crois que le mot n'est pas bien adapté - j'y entends un phénomène qui se produit systématiquement lorsqu'une cellule quelconque meurt. Cela n'exclut pas qu'il puisse s'agir de rétrovirus endogènes - et là, je rejoins bien de Harven. Par contre, en l'état de santé, ce phénomène aurait lieu à bas bruit, et serait amplifié dans le "syndrome d'immunodéficience". De quelle manière? Eh bien, lorsqu'une substance proapoptotique (libérant des peroxynitrites) parvient dans une cellule immunitaire, elle provoquerait la mort de celle-ci, ce qui libèrerait quelques "rétrovirus" légèrement infectieux. Ce que Montagnier aurait observé, cela serait ces "quelques rétrovirus", qui en fait ne seraient que la conséquence du phénomène majeur de l'immunodéficience : la destruction cellulaire par des substances chimiques permettant la formation en masse de peroxynitrites. C'est pourquoi je dis souvent que le phénomène "VIH" est l'arbre qui cache la forêt. Dans l'expérience décrite par Margolis et al., la réapparition de l'ARN du "VIH" est, à mon avis, simplement due à l'utilisation d'un donneur de peroxynitrite, ce vorinostat. Il faudrait que ces chercheurs changent leur cerveau... pour se rendre compte des bêtises qu'ils font subir à ces patients. En ce qui concerne Julian Sacher, j'en déduis simplement que le phénomène dit "de charge virale", comme le phénomène "P24", sont des phénomènes existant chez tout un chacun, mais amplifiés jusqu'à faire apparaître à bruit fort ce "phénomène d'immunodéficience". La disparition de la charge virale sous l'effet du traitement indique simplement qu'on a trop donné de réducteurs (3TC, lopinavir), c'est d'ailleurs pour cela que des cancers du foie apparaissent chez les personnes traitées.
  7. Vorinostat (c'est un acide hydroxamique avec une liaison N-O...LOL) : encore une substance qui ne peut que libérer en grande quantité de monoxyde d'azote et donc des peroxynitrites : ceux-ci conduisent à l'apoptose les cellules cancéreuses,..., et favorisent la formation de ce qu'on appelle VIH, qui n'est, selon moi et vous le savez bien, qu'un marqueur des peroxynitrites, capable de les transmettre à d'autres cellules ( http://aras.ab.ca/articles/scientific/Umber-apoptosis.html ). En effet, je pense que ces structures découvertes pas Huber et al. et émises par des celulles en voie d'apoptose sont ce fameux VIH, (qui serait donc naturel), apportant quelque chose aux cellules environnantes qui les ferait mourir (en faible quantité) transportent ce "quelque chose" qui pourrait être les peroxynitrites. L'histoire des "réservoirs" me semble être vraiment une indication qu'ils sont totalement dans le brouillard.
  8. Oui, c'est pas mal fait, mais cela reprend simplement tous les écrits américains, saupoudrés de poudre de perlinpinpin Perthgroup. Dans le chapitre concernant les causes, ils reprennent la thématique Duesbergienne, et du coup laissent complètement tomber celle du PG et de Montagnier dans HON. Je vais leur écrire pour mettre en exergue cette lacune très importante.
  9. Document très intéressant à présenter à vos gynécos, qui vont vous imposer un test HIV : Figure 2 provenant de cette publi. On y voit que le rapport vrai positif sur faux positif est bien plus faible chez les femmes enceintes (0,06/0,13 ~0,5) que chez les personnes testéesnon enceintes (1,34/0,21~6,5), ce qui rend très suspect cette procédure de dépistage "obligatoire" chez les femmes enceintes.
  10. Et personne ne s'est étonné que tout cela se soit si bien passé avec le Kaletra, calo38 ? En tous cas, le Kaletra fait selon moi partie des substances bénéfiques vis-à-vis de la charge "virale", de la même manière que le 3TC, car c'est un piège à peroxynitrites par son composant nommé lopinavir (si vous voulez des explications plus techniques, je le ferai, mais... c'est bien compliqué pour qui n'a pas fait de chimie). En tous cas, aucune comparaison avec l'action de l'AZT (voir la publi de Ruengpung Sutthend). Qu'est-ce qu'est cette unidose donnée au bébé? As-tu la composition exacte?
  11. Je suis allé un peu vite en besogne... Par contre, le débat qui s'était ouvert a malheureusement été vite censuré, Nature ne pouvant se permettre de laisser les dissidents s'exprimer. Et surtout Clark Baker qui les a titillés sur leur incapacité à témoigner correctement aux divers procès que OMSJ a défendu. Voici le lien : http://hivskeptic.files.wordpress.com/2011...-since-1984.pdf
  12. Une publication des travaux de Peter Duesberg et Henry Bauer concernant la réfutation de Chigdwedere et Essex s'est ouvert dan sles colonnes du journal officiel "Nature" : http://www.nature.com/news/paper-denying-h...lication-1.9737
  13. Un exemple : le document de Kion et al. montrant l'apparition de P24 chez des souris indépendamment du VIH.
  14. Étrange qu'on ne trouve jamais de "bras" avec 3TC ou FTC seuls !! On aimerait aussi savoir quelles sont les conditions de vie de ces femmes qui ont "séroconverti". De toutes manières, il devrait y avoir une levée de bouclier - qui ne vient jamais, parbleu - chez les soi disant défenseurs de l'éthique...
  15. Tu as raison, Jerman, la dénomination de ces substances est erronée. Je dois d'ailleurs rectifier quelque chose que j'ai indiqué il n'y a pas longtemps. Je suspecte tout de même les marchands d'éviter l'utilisation de réducteurs bon marché tels la NAC, et de préférer ceux qui leur rapportent plus... sous le logo ARV. Il est également certain que PG devrait les nommer autrement.
  16. Je suis confus de faire encore des fautes de grammaire. Mais tant pis! Par contre, je pense effectivement que l'orthodoxie est tombée par hasard sur des substances efficaces, en voulant synthétiser des antirétroviraux. Si on analyse les résultats obtenus avant 1996, lorsque l'AZT, la didanosine, le D4T étaient utilisés, force est de constater qu'ils n'étaient pas bons du tout. A tel point qu'il est clair que des gens ont été tués par ces traitements. Pourquoi en 1996 y aurait-il eu cette forte baisse de la mortalité, si on avait continué d'utiliser d'autres molécules censées avoir le même mode d'action? En fait, la seule réponse logique qui s'impose, c'est que le mode d'action des nouvelles molécules (3TC en particulier) est différent. Cela implique que l'effet antirétroviral n'existe pas, et qu'il faut envisager un autre mécanisme d'action. Je sais bien qu'envisager le stress oxydatif comme cause du sida n'est pas politiquement correct, car elle remet en question l'usage des drogues récréatives, de certains médicaments (bactrim), etc... Mais c'est la seule logique, de A jusqu'à Z. (je ne vais pas récrire mes 2000 interventions ici)
  17. Tout d'abord, la cortisone est la forme oxydée du cortisol, donc son effet serait plutôt néfaste. Ensuite, ce n'est pas parce que un réducteur modifie favorablement les constantes biologiques et la sensation de santé chez une personne immunodéprimée qu'il n'est pas mauvais par ailleurs. L'exemple le plus intéressant est celui du ténofovir, qui est une belle saleté car c'est un véritable organophosphoré. D'ailleurs, de plus en plus d'études montrent que les réducteurs favorisent les cancers. Autre réducteur très dangereux, la névirapine... on pourrait continuer longtemps ainsi. Le gros souci, c'est que l'équilibre humoral n'est conservé ni chez les personnes "suroxydées", ni chez les personnes "surréduites", avec des modifications cellulaires et métaboliques parfois irréversibles. C'est cette irréversibilité qui pose problème, car, si l'impact des oxydants (azotés selon moi) conduit à des dégâts irréversibles, on pourra utiliser tous les réducteurs du monde, cela ne fera que pallier, sans qu'il y ait de guérison possible. D'où la nécessité de parfois continuer ces substances, dont personne ne nie la toxicité. Et puis, la trithérapie n'augmente pas les réserves en glutathion, elle pallie à son absence, mais sans le remplacer. Et si le processus de synthèse du glutathion est devenu inopérant de manière irréversible, sous l'effet du stress oxydant, il n'y a pas le choix, il faut pallier ou mourir. Le gros reproche que je fait à l'orthodoxie, c'est qu'elle ne suit aucun fil conducteur logique dans sa prescription de trithérapie. Elle ne se base que sur des expérimentations pas toujours très bien faites, d'où les échecs. La personnalisation des traitements, ils ne connaissent pas.
  18. D'un point de vue chimique, le cortisol est un réducteur. Pas étonnant qu'il soit bas s'il y a augmentation des oxydants. D'où une complémentarité évidente des deux hypothèses.
  19. Déjà, sur ce premier point, il y a un problème logique. Si le sida est causé par le stress oxydatif, comme le suppose le groupe de Perth, ça ne pouvait pas être un phénomène nouveau en 1980. Si c'était un problème de stress oxydatif, ça aurait du être un phénomène connu de longue date. Cet argumentation est précisément celle de l'orthodoxie, à savoir qu'avant 1980, le sida n'existait pas. Aixur, à force de combattre cette idée du stress oxydant, tu tombes dans leurs ornières. Or, c'est justement un des arguments des dissidents que de mettre en avant l'existence des maladies - attribuées au VIH par l'orthodoxie - bien antérieurement à 1980. Cet argument des dissidents va bien dans le sens d'un phénomène non viral, mais plutôt métabolique, qui est monté en puissance dans les années 1980 à cause de l'utilisation de plus en plus importante de la chimie ( voir le topo de Peter Duesberg). Avec le PG, j'ajouterai (correction de j'ajouiterai) "de la chimie oxydante". Alors, effectivement, avant 1990, on ne connaissait pas le lien métabolique entre ces substances oxydantes et le défaut d'immunité. Mais depuis la découverte à partir de ces années-là de l'importance du NO et des peroxynitrites, le lien devient évident.
  20. http://forums.questioningaids.com/showthre...58107#post58107
  21. Nous ne sommes vraiment pas sur la même longueur d'onde. Il ne faut pas me faire dire ce que je n'ai pas écrit. Je n'ai pas écrit " tout le monde peut être atteint", mais "tout le monde possède faiblement, à l'état de santé, ces fameuses immunoglobulines". Et chacun a un taux maximal différent d'un autre à l'état de santé. Justement, il s'agit-là de demander plus de circonspection dans l’interprétation de ces tests, interprétation qui est évidemment très sujette à caution. La notion de groupe à risque est issue de l'application de la statistique à cette maladie, à défaut justement d'avoir ce que PG appellent "un Gold Standard". J'ai toujours dit que c'était du f.. de g.. (corrige-moi, Aixur, si j'exagère)
  22. Je crois que la source de tout ce flou réside dans la mise au point des tests dits de séropositivité. Ils ont été créés dans la hâte, par Gallo, qui voulait absolument laisser son nom dans l'histoire. Ce gars-là est à la source de tous les ennuis. Au lieu de rechercher toutes les corrélations existant entre cette baisse des T4 et les pratiques ou les fréquentations des uns et des autres (je parle ici essentiellement de l'utilisation de substances dangereuses), il s'est focalisé sur une cause virale, ce qui reste d'ailleurs le dada des "maîtres du monde". Tout le reste s'est enchaîné, grâce aux médias toujours à la recherche de sensation, et grâce à la peur qui prend aux tripes dès qu'on parle de maladie incurable. Actuellement, les choses changent, mais la pression sur les gens demeure très forte. Y a-t-il conspiration? Je crois plutôt qu'il y a un manque de professionnalisme chez pas mal de monde dans le domaine de la santé, le plus professionnel de tous me semblant être Luc Montagnier, le seul qui sache remettre en question ses convictions à la lecture des faits. Le Groupe de Perth est remonté contre les dissidents américains, car, dans l'affaire Parenzee, ce sont ces derniers qui ont fait modifier la plaidoirie de l'avocat, et, bien sûr, avec ces arguments-là, il était difficile de gagner. Il faudrait renommer le sida, pour effacer ce sigle, mais la déficience immunitaire existe bel et bien, et est corrélée avec l'augmentation de la P24, n'en déplaise à Peter Duesberg. Il faut tout de même, là encore, se rendre à l'évidence. Oui, les positions de PG, de Jibrail et la mienne sont proches de celle de l'orthodoxie, mais sans le VIH. Mais attention, cela signifie que la maladie n'atteint pas tout le monde au moindre contact sexuel (ce que 30 ans d'expérience nous montrent bel et bien). Cela veut dire aussi que tout le monde porte les prémisses de cette immunodéficience, bien contrôlée par les réducteurs cellulaires, et que les tests doivent être considérés comme ceux du cholestérol, à savoir une zone de normalité des taux, et une zone où la personne se trouve en danger, avec tout ce que ces tests ont de personnel, à savoir que la limite de dangerosité est différente selon les personnes, comme c'est le cas pour les tests du cholestérol. Cela veut dire aussi qu'il faut chercher dans plusieurs directions pour comprendre cette séropositivité, et que les procès intentés actuellement aux séropositifs sont iniques (essentiellement à cause de la bêtise). Ensuite, que le taux de P24 peut régresser... Enfin, les médocs ont une efficacité. La personne dont je parlais plus haut a demandé à son médecin les médocs qui me semblaient les meilleurs réducteurs, et ça a marché! Pourquoi d'autres réducteurs ne marchent-ils pas aussi bien? Eh bien parce que seuls les analogues des nucléosides, grâce à leur cycle purique ou pyrimidique, sont capables (avec les inhibiteurs de protéases), de rentrer dans la cellule. D'autres réducteurs sont moins facilement assimilables par cette cellule, et donc moins efficaces, même si leur capacité réductrice est la même.
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