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Cheminot

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Messages posté(e)s par Cheminot

  1. Vous pouvez lire le témoignage de deux "experts", interrogés et par l'accusation et par la défense sur le site de David Crowe :

    Dax

    French

    J'ai bien aimé en particulier le fait que Dax ne puisse répondre à la définition circulaire des tests et du VIH

    Normalement, si Gallo veut témoigner, il doit être "cross-examined", sinon son témoignage n'a aucune valeur juridique.

    Et puis, le fait que Dax accepte les déclarations des fabricants de test : "il n'y a pas de standard..." devrait permettre à la cour de déclarer un non lieu pour faute de preuve. J'espère ne pas me tromper.

  2. Bonjour,

    quelques nouvelles du "front".

    Le R James Chin, ancien chef du programme de l'OMS contre le sida, remet en cause la transmission hétérosexuelle :

    Expert doubts widespread HIV risk

    Le procès de Chad Parenzee fait des remous en Australie : il a utilisé le Groupe de Perth comme témoin de la défense. C'est le branle-bas de combat chez les officiels, qui semblent pris au dépourvu. Ils répètent comme un mantra "le VIH est la cause du sida, le VIH est la cause du Sida,..."

    Les journaux australiens commencent à se poser de questions :

    AIDS: World waits on SA verdict

    Pendant ce temps, John Moore déclare la guerre aux dissidents (bien maladroitement, d'autant qu'il fait partie de l'équipe qui a étudié le microbicide carraguard qui ne marche pas! LOL!)

  3. Nico,

    J'ai sur les genoux la seconde édition du bouquin de biochimie de "de Voet & de Voet" de 2002.

    Voilà ce que je lis dans le chapitre concernant le tassement des bases dans l'ADN à double hélice.

    On y lit d'abord que les interactions conduisant à ces tassements sont assez spécifiques. Il y a déjà ici apparition d'une certaine spécificité des sites sensibles des bases en fonction de l'environnement. Vous ne pouvez niez, vous les biologistes, l'existence d'une certaine régiosélectivité.

    Par ailleurs, ces forces sont de type Van der Waals, mais il est indiqué plus loin dans le bouquin que ces forces sont actuellement très mal comprises. Incompréhension dont ils parlent tout au long du paragraphe.

    Comment peux-tu alors affirmer avec conviction que l'attaque de l'ADN par un composé comme les peroxynitrites ne peut être qu'aléatoire, si, à la dimension de l'angström on ne connaît rien sur les forces d'interaction intramoléculaires.

    Car il est évident que ces interactions vont modifier la densité électronique de chacun des cycles aromatiques formant ces bases. Cela étant, comme les peroxynitrites agissent en tant qu'agents nitrants, il s'agit donc d'une réaction de substitution électrophile aromatique, dont on sait qu'elle est véritablement régiosélective en fonction de la densité électronique de chaque carbone.

    Les purines sont globalement plus riches en électrons que les pyrimidines, il est donc normal de trouver surtout de la nitroguanososine. Mais, comme les couples de bases se superposent en couches parallèles, une guanosine entourée de deux adénines ou de deux thymines ne réagira pas de la même manière.

    Ce qui me semble en cause ici, c'est le dogme du hasard, qu'on vous a enseigné depuis les classes du lycée, et qui ne colle pas avec la réalité de la matière qui est décrite par la physicochimie. Je me demande s'il ne faudra pas renverser la biologie telle qu'elle est conçue actuellement.

  4. copié-collé du blog de Bruno Berthelet :

    Essai de Rebecca Culshaw traduit par Bruno :

    Encore une autre particularité de lévangile du VIH/SIDA est que beaucoup de ce que nous entendons et encore beaucoup plus de ce que les docteurs et des chercheurs croient pour être vrai, est tellement éloigné de ce qui est documenté dans la littérature scientifique que lorsquon apprend ce qui y figure vraiment dans, la réaction immédiate est lincrédulité.

    Je doute que beaucoup de citoyens ordinaires, voire de praticiens médicaux soient conscients que dans des kits dessai danticorps au VIH il existe des phrases davertissement telles que : "Le test EIA [Elisa] ne peut pas être utilisé pour diagnostiquer le SIDA." Je doute que beaucoup de personnes qui se soumettent à ce test aient une connaissance quelconque que leur avenir, leur capacité à obtenir lassurance, à porter des enfants naturellement, à voyager, ou à vivre sans crainte, dépend des résultats dun essai qui na pas même été approuvé pour diagnostiquer linfection du VIH, sans pouvoir être "confirmé" par les nombreux tests semblables, qui fonctionnent tous de la même manière et qui contiennent tous des avertissements semblables.

    Mais je doute même plus que la majorité de praticiens médicaux soit consciente du changement subtil mais significatif dans la langue utilisée dans les kits de tests VIH depuis le début de lère du SIDA. Par exemple, de 1984 jusquau passé très récent, les inserts de kit de test contenaient cette déclaration sans équivoque : "le SIDA est causé par le VIH". En 2002, lOraSure modifie cette déclaration pour dire : "le SIDA, les complexes liés au SIDA et le pré-SIDA sont supposés être causé par le VIH."

    Mais juste cette année, dans un remarquable - et potentiellement significatif - changement dans la pensée, la tendance semble être de faire une déclaration encore moins péremptoire. Par exemple, linsert du test ELISA dAbbott Diagnostic contient la sentence suivante : "Les données épisémiologiques suggèrent que le Syndrome immuno-déficitaire acquis (le SIDA) est causé par au moins deux types de virus dimmunodéficience humaine, connus collectivement comme le HIV."

    Vironostika semble être même moins désireux de soutenir un vrai rôle causal, comme le dit linsert de leur kit de test de 2006 : "les données publiées indiquent une corrélation forte entre le syndrome dimmuno-déficiece acquise (le SIDA) et un retrovirus reconnu comme le virus dImmunodéficience Humain (le HIV)."

    Tout cela nous indique que vingt-deux ans plus tard, nous navons pas avancé. Comme lindique la publication récente de Rodriguez et al., la quantité de virus (mesurée de manière douteuse par les tests de charge virale) na pratiquement aucune influence sur la baisse des cellules CD 4+ et on a si longtemps cru que ces cellules mouraient sur lordre du VIH

    Ainsi que Zvi Grossman la exposé dans une publication récente, "les processus pathogènes et physiologiques menant au SIDA restent une énigme." Autrement dit, nous navons toujours aucun indice sur ce que fait le HIV en réalité .Que deviennent les cellules-T ? Personne ne le sait. De même, quest-ce que la charge virale ? Personne ne le sait.

    Après vingt-deux ans, nous sommes revenus à la corrélation - revenus à lépidémiologie. Nous sommes toujours scotchés dans la même habitude de promouvoir ces tests, qui peuvent mesurer quelque chose, mais personne vraiment ne comprend ce que cest. Pire encore, nous utilisons les résultats de ces tests pour littéralement ruiner des vies des gens.

    La tendance la plus inquiétante de derniers est "la recommandation forte" que toutes les femmes enceintes soient testées pour le HIV. Et si elle nest pas testée pour le HIV pendant sa grossesse, nous recommanderons fortement quelle soit testée tandis quelle est en travail. Est-ce que je suis la seule personne que cela inquiète ?Tterroriser et intimider des femmes quand ils sont le plus vulnérables - quand elles sont enceintes et quand elles donnent naissance - est un signe dune société qui souffre dune maladie plus mauvaise que celle quelle terrorise.

    Cest dautant plus horrible que la grossesse est documentée dans la littérature médicale comme une source de faux positifs pour les tests danticorps VIH. Ce qui pourrait sembler a priori une décision se souciant de lenfant à naître se trouve être en réalité une décision non informée, parce que la plupart des mères parturientes ne sont pas conscientes que leurs chances dêtre enregistrée comme (faussement) positives augmenteront (et laugmentation apparaît particulièrement saisissante parmi des femmes noires).

    La plupart ne saura pas quun résultat positif empêchera son enfant de recevoir la nutrition optimale via lallaitement. La plupart ne sera pas conscient quelle sera contrainte de prendre des médicaments dont on ne connaît même pas les effets à long terme sur elle ou sur son enfant.

    Le plus mauvais aspect de ce type de terrorisme médical aboutit aux situations comme le cas tragique de Joyce Ann Hafford (qui a conduit à un tel effet dévstateur suite à la chronique de Celia Farber dans son récent article dans le magazine dHarper), qui est mort suite à la toxicité de la nevirapine. Le fait que Hafford puisse finalement avoir été fausse positive en fait la perte dautant plus horrible. Et nous ne pouvons pas oublier le fait que nous navons aucune idée ce qui arrivera à long terme aux enfants qui reçoivent ces médicaments) in utero. Nous navons aucune idée, de même que nous navons aucune idée sils tomberaient même malades sils nont pas reçu les drogues(médicaments).

    Tout ceci dit, la seule preuve que nous ayons dun quelconque rôle joué par le VIH dans le SIDA est une corrélation epidémiologique. Pire, cest une corrélation entre les manifestations dun syndrome clinique particulier et les résultats dun test danticorps qui na pas été standardisé, na jamais été vérifié sis-à-vis du véritable isolement viral et qui nest pas même approuvé pour le diagnostic dune infection au VIH.

    A cause de ces tests, nous avons créé toutes les types de lois discriminatoires, mais nous ne savons même pas ce que ces tests signifient. Et si nous ne savons pas ce quils signifient, nimporte quelles données de corrélation qui pourraient être obtenues deux doivent être regardées avec prudence, si non rejetées entièrement. Quand tout est ainsi mis à nu, nous commençons lentement à comprendre comment incertaines sont les fondations de lindustrie du VIH/SIDA toute entière, et tout ce qui va avec nest rien ( ??).

    (*) : Rebecca V. Culshaw worked on mathematical models of HIV infection for almost ten years. She received her Ph.D. in mathematics (with a specialization in mathematical biology) from Dalhousie University in Canada in 2002 and is currently an assistant professor of mathematics at the University of Texas at Tyler.

  5. Je reprends le fil des nouvelles publications.

    Celle-ci particulièrement :

    Le sélénium en supplémentation agit favorablement sur la charge virale et le taux de lymphocytes.

    Intéressante aussi cette remarque :

    Réfutation d'un orthodoxe du SIDA Imaginaire.

    phrase, qui, je le concède, peut porter à confusion. J'avais personnellement compris qu'il s'agissait de la reflexion faite par un orthodoxe du sida imaginaire, (et non orthodoxe du sida imaginaire).

  6. c'est simplement parce que je ne pense pas que l'apoptose soit un phénomène non spécifique. Si ce sont des peroxynitrites qui en sont les responsables, leurs propriétés thermodynamiques et cinétiques sont très différentes de ce qu'elles sont dans le cas d'une oxydation classique.

    Par ailleurs l'ADN (ou l'ARN) présentent des bases qui ont presque toutes un environnement différent, et donc l'oxydation par un peroxynitrite ne peut être aléatoire. ça c'est la chimie qui nous l'apprend, et c'est tout de même elle qui est la maîtresse de la biologie. Et là, je pense très fortement que nos manuels de biologie sont dans l'erreur.

    Et puis, il y a des chose bizarres. la protéine env par exemple est codée par un ARN comportant plusieurs orf, dont l'un d'eux comporte, sur 20 codons d'acides aminés, à peu près la moitié d'arginines, parfois accolées. C'est tout de même bizarre, non, surtout si l'on sait que l'arginine est le précurseur du monoxyde d'azote.

    Je pense que les fameux ARN existent chez tout le monde, à bas bruit, ainbsi que les anticorps, à bas bruit également, car des apoptoses normales, il y en a toujours, et heureusement, et que, comme par hasard, elles sont provoquées par la même substance chimique qui apparaît en excès lors de ces stress oxydatifs azotés. Il est donc normal que ce processus soit codifié par la nature, et qu'il fasse apparaître tout ce que l'on a découvert. Le processus normal était invisible, parce qu'on ne le soupçonnait pas, et il a fallu que la vie moderne l'exacerbe pour qu'on soit obligé de s'y intéresser, car dans ce cas, la mort pouvait être au bout de cette exacerbation.

    remarque aussi que tous les leucocytes sont déficients, dans le cas de sida, mais plus particulièrement les lymphocytes T. Pourquoi? Je pense que c'est justement parce que ce sont eux qui savent utiliser l'arginine pour en faire du monoxyde d'azote et donc des peroxynitrites dans la défense non spécifique. Il y a peut-être une "affinité" liée à leur fonction. Mais c'est bien sûr à creuser.

  7. Tu as raison, Psyence, et même, on sait que ces études épidémiologiques ont été pratiquement interdites à Peter Duesberg.

    Le scientifique a malgré tout le droit et le devoir d'inférer une nouvelle hypothèse à partir d'éléments disparates, mais cohérents. Tu ne peux limiter la science à des protocoles qui seraient seuls censés permettre d'approcher la vérité.

    Quant aux propriétés antioxydantes des substances dites antirétrovirales, je les déduis non pas d'une corrélation épidémiologique, mais d'un modèle très bien ficelé, qui est celui apporté par l'électrochimie et par la thermodynamique, deux domaines où la consolidation des connaissances est avérée.

  8. tecno, réfléchis un peu.

    Pourquoi ces gens-là sont-ils morts de ces diverses maladies qu'on aregroupées sous le nom de sida? Ces gens ont bien eu diverses maladies à champignons, un syndrome de kaposi, tout ceci lié à quelque chose pour lequel on venait de découvrir des tests, la chute des lymphocytes T.

    Et avec quoi soignait-on ces gens-là? Si on regarde les protocoles utilisés à cette époque (et malheureusement encore utilisés), cela se soignait avec des antibiotiques bien particuliers, le bactrim, le flagyl,... et ça marchait dans les années 70. Puis cela n'a plus marché. On a bien parlé de résistance, puis, comme la résistance s'accompagnait d'une chute des cd4, on a cherché autre chose... un virus, puisque c'est dans l'air du temps.

    Mais on ne pouvait savoir à l'époque que les composés utilisés étaient eux-mêmes capables de faire mourir massivement les lymphocytes, et c'est ainsi qu'on a malencontreusement surajouté un "stress oxydatif azoté" au stress oxydatif déjà provoqiué par les poppers et autres cocaïne...

    alors on s'est dit... si c'est un virus, on va empêcher sa réplication en utilisant des nucléotides qui présentent un groupement qui ne pourra pas se lier à un autre nucléotide. Avec l'AZT, il y avait augmentation des lymphocytes sur le temps qu'a duré l'expérimentation (3 fois plus faible que le temps normal). On attribué cela au mécanisme décrit ci-dessus. On ne connaissait pas à l'époque l'importance des peroxynitrites dans le phénomène de la mort cellulaire. Et puis, on a pratiquement admis en 1992 que les doses utilisées tuaient au bout de trois ans.

    Ces deux phénomènes peuvent être expliqués sans difficulté par les propriétés chimiques de l'AZT.

    En Afrique, les gens ne sont soignés qu'avec des composés provoquant ce "stress oxydant azoté", pour n'importe quel mal : chloramphénicol (typhoïde), pneumonie, maladies urinaires (bactrim), helminthiases (métronidazole), et surtout tuberculose avec l'isoniazide. Il n'est pas étonnant que Gisselquist et al. aient trouvés que la propagation du sida en afrique vienne beaucoup plus des hôpitaux qu'on le croyait (et qu'on le croit encore).

    on a continué à aller à la pêche à la ligne des analogues nucléosidiques qui pourraient augmenter le taux de lymphocytes T. Un léger mieux avec le ddI, et surtout, en 96, avec le 3TC. Chimiquement, c'est un antioxydant capable d'être conduit jusqu'à l'intérieur de cellules, ce que ne font pas tous les antioxydants.

  9. La dissidence américaine pense que le vih existe, mais qu'il est inoffensif. Par ailleurs, ils continuent à parler comme si le taux de mortalité n'avait pas chuté vers 1996, lors de l'introduction de la trithérapie.

    A mon avis, c'est justement parce qu'ils continuent à penser comme les orthodoxes , àPour ma part savoir que les analogues nucléosidiques sont tous du même acabit que l'AZT, ce à quoi je m'oppose formellement.

    Le groupe de Perth pense que le vih n'existe pas, entrevoit la cause de la maladie dans le stress oxydatif, mais ne précise pas vraiment ce que c'est, contrairement à Heinrich Kremer, dont les écrits m'ont permis de creuser un peu le sujet.

    Je précise un peu ce que j'ai schématisé.

    Quant à moi, je pense que ce qu'on appelle VIH est une production naturelle des cellules qui se suicident (1) , production habituellement inapparente, qui engendre des anticorps (le "bruit de fond" des tests), avec des morceaux d'ARN caractéristiques (ce qui donne la charge virale, qui n'est nulle chez personne). Cette production de microvésicules entraîne de proche en proche un suicide mesuré des cellules immunitaires, grâce sans doute à des substances chimiques provoquant ce suicide, tels que des précurseurs de peroxynitrites.

    C'est ce qui se passe certainement avec les cellules qui doivent être éliminées.

    Mais il se trouve que nous sommes dans un siècle où l'on a, par manque de connaissances à l'époque, utilisé à des fins récréatives et thérapeutiques d'autres précurseurs des peroxynitrites, ce qui a provoqué deux choses :

    - une mort massive des lymphocytes

    - et au cours de cette mort, une émission de microvésicules (appelées malencontreusement vih), pour lesquelle on a montré qu'elles ne pesaient que 5% (2) dans la responsabilité de la mort cellulaire. Ces microvésicules en elle-même sont donc incapables d'induire le sida, mais elles peuvent faire augmenter la charge virale (qui finalement serait bien proprotionnelle au stress oxydatif primordial), et peut-être même les anticorps, quoique leur présence massive s'expliquerait surtout pas l'intervention des oxydants azotés présents dans le corps chez les personnes dites séropositives.

    (1) pubmed

    (2) http://www.clevelandactu.org/CFAR/assets/B...eleasefinal.doc

  10. encore faut-il savoir ce que représente la guérison d'une candidose. S'il s'agit d'un traitement suppresseur (antifongique, qu'il soit artificiel ou naturel), il n'y a pas grand'chose à attendre. Le terrain sous-jacent reste propice et la séropositivité demeure. Il faut faire revenir le terrain dans le droit chemin, ce qui est très difficile et parfois impossible. Une vie saine menée pendant plusieurs années peut peut-être permettre au corps de remonter la pente. C'est pour cela qu'on parle d'impossibilié de guérir le sida, car les oxydants azotés qui sont à l'origine de tout cela laissent des lésions métaboliques souvent irréversibles.

  11. Rozen,

    Il faut d'abord que je précise mon raisonnement, que je l'étaie convenablement.

    Mais je suis coincé actuellement. car les ténors de la dissidence américaine n'accepterons pas, je le crains, de voir le problème sous cet angle-là, tant les invectives et les inimitiés se sont déchaînées outre atlantique. Et puis l'orthodoxie n'est vraiment pas prête de reconnaître ses manques.

    Mais c'est vrai, il faudrait publier, ne serait-ce que dans "medical hypotheses". Je pense qu'il serait intéressant de proposer tout cela au groupe de Perth, dont je me sens le plus proche.

  12. Bonjour,

    grâce aux dernières publications dont j'ai parlé plus haut , il est m'est venu à l'esprit que les mécanismes proposés par les officiels et par les dissidents représentent en fait les deux faces du problème, celle des repenseurs révèlant la cause profonde du la maladie, celle des officiels montrant l'évolution ultérieure de la maladie.

    Voici une ébauche concernant cette hypothèse.

    A mon avis, on a pris pour la cause essentielle du sida ces petites vésicules (qu'on a pris pour un virus et qui effectivement provoquent une activité de rétrotranscription qui peut être répliquée dans d'autres lymphocytes).

    Mais, tout le monde l'admet, la quantité de vésicules (virus) ne suffit pas pour expliquer la mort des lymphocytes, qui, selon mon hypothèse, est en fait provoqué par l'excès de peroxynitrite qui apparaît lorsque le taux de glutathion devient proche de zéro, et que simultanément le taux de sélénium (Gpx) chute.

    Tout cela, je pense pouvoir le déduire de publications récentes et de la chimie classique.

    Tout cela me conduit à penser qu'il n'y a pas de conspiration chez les médecins, mais simplement une méconnaissance de la chimie du Sida, ce qui était normal avant 1990-95, puisque l'on ne connaissait pas le rôle biologique des peroxynitrites et encore moins celui de son précurseur, le monoxyde d'azote.

    faites-moi toutes les remarques qui vous semblent utiles.

  13. tout d'abord un article étonnant et détonant publié par le très orthodoxe New York Times, où l'on parle d'une épidémie de "diagnostics" résultant en une épidémie de traitements.

    Ensuite, pour confirmer la démonstration de Wallypat, cette publication faite dans "Apoptosis" en décembre 2006 indique que les microvésicules qui se forment au détriment des cellules du système immunitaire apparaissent lors de leur apoptose ou de leur activation. Ces microvésicules, lorsqu'elles sont phagocytées par d'autres macrophages, entraînent l'apoptose de ces derniers, d'une manière dose-dépendante. Il y a de très grandes chances que ce phénomène s'applique à toutes les cellules du système immunitaire.

    La cause de l'apparition de ces microvésicules (celles qu'on voit sur les photos que l'on dit représenter la sortie du VIH de ces cellules) est donc le stress oxydatif, et ces microvésicules seraient des formations endogènes mais toxiques, capables de provoquer l'apoptose d'autres cellules, tout ceci sans virus.

  14. les injections qui sont utilisées contre l'anémie sont composées soit de vitamine B12, soit de gentamycine (+ amoxicilline).

    Ce dernier est un antibiotique formé de sucre aminés, comportant en particulier des amines secondaires.

    Vous connaissez la méfiance que j'ai des amines secondaires (amphétamines) ou tertiaires (cocaïne), car j'estime que ces amines sont très facilement oxydées par le métabolisme normal, donnant des précurseurs de monoxyde d'azote, et donc de peroxynitrites responsables de la chute des lymphocytes T.

    La structure de la cyano cobalamine (vitamine B12) est la suivante :

    --Resize_Images_Alt_Text--

    Ce qui est très intéressant, c'est que le cobalt s'y trouve à un degré d'oxydation extrêmement élevé (+ III), et peu donc être source de stress oxydatif. Quoique bien complexé et assez bien stabilisé, il n'en reste pas moins qu'il est capable d'oxyder l'eau oxygénée en oxygène.

    Il serait intéressant de pouvoir arrêter momentanément ce traitement. Et la poursuite de ce traitement jusqu'à aujourd'hui pourrait expliquer la chute des lymphocytes TH

  15. Bien DDL,

    Mais tu remarqueras que tu évoques tout ceci en utilisant le conditionnel, condionnel que l'on retrouve dans toutes le publications qui en parlent :"on peut expliquer cela par ceci", "il se pourrait cien que".

    mais en réalité, il ne s'agit que d'hypothèses qui permettent à leurs auteurs de demeurer cohérents avec l'hypothèse rétrovirale.

    En toute logique, une hypothèse fondée sur une cause toxique du sida a tout autant de valeur.

    Ce qui manque alors à ces hypothèses, c'est leur validation expérimentale. Et là, l'hypothèse toxique tient bien mieux la route !!!

    A savoir que cette hypothèse n'est invalidée par aucune expérience sur cette maladie.

  16. Merci Wallypat pour avoir déjà répondu aux questions de Petitpiment.

    De plus, il serait intéressant de savoir si ton épouse, Petitpiment, suivait un traitement avant d'avoir été reconnue séopositive, pour quelle raison. En a-t-elle suivi après avoir reçu ce dignostic?

    A-t-elle subi des vaccinations? Etait-elle enceinte à ce moment-là?

    Lui a-t-on fait tous les tests, ou bien simplement deux Elisa? T'a t-on donné l'index (le rapport de la DO (densité optique) obtenue pour son sérum sur la valeur de la DO du cut'off)

    Par ailleurs, étudie les probabilités de "transmission" données par les organismes officiels et tu seras édifié :

    90% pour une transfusion avec un sang dont le taux d'anticorps aux protéines est très élevé (séropositivité certaine), et 0,01% pour une relation hétérosexuelle dans le sens homme -> femme, 0,002 % dans l'autre sens avec un taux d'anticorps aussi élevé pour le partenaire séropositif.

  17. Bien évidemment!

    Mais là encore, les résultats sont contradictoires avec d'autres études épidémiologiques, car on n'a pas éliminé les biais liés à la nature de la drogue... on considérait à l'époque (et encore aujourd'hui) que ce n'était pas cela l'important... alors qu'en étudiant à fond l'influence de la nature de la drogue, on trouvera certainement une relation parfaite entre les drogues permettant la formation excessive de monoxyde d'azote et le sida.

  18. juste un petit mot pour répondre à Rozen et à viduité

    je ne pense pas pour ma part que les maladies regroupées sous le vocable sida présentent les mêmes symptomes que les maladies plus anciennes. Il ne s'agit que d'une apparence.

    Car nos biologistes, rencontrant ce syndrome, ont cherché "le virus", alors qu'il fallait cher "le métabolite toxique"

    Ce métabolite toxique est le monoxyde d'azote, rendu non toxique en présence de glutathion. Mais si celui-ci vient à manquer, le NO en excès devient source de sida.

    Eh bien, de très nombreuses maldies ont été traitées par des "médicaments" sources de NO :

    - la tuberculose par l'isoniazide

    - la typhoïde par le chloramphénicol

    - la malaria par la primaquine

    - les vers par le métronidazole

    - les infections urinaires par la nitrofurantoïne,

    - les pneumonies par le bactrim etc...

    A cela s'ajoutent les drogues récréatives qui agissent de même :

    - poppers

    - méthamphétamine

    - cocaïne.

    certaines protéines augmentent de façon modérée le stress oxydatif azoté, comme les hémagglutinines des vaccins antigrippaux

    ou les facteurs de coagulation...

    En fait on génoptype les structures dégradées provenant de l'action de ces substances sur l'ADN et l'ARN.

    Et finalement, il s'agirait bien essentiellement de causes chimiques, liées à l'utilisation de ces nouvelles substances.

  19. En réalité, Viduité, ce que propose Wallypat s'adresse essentiellement aux personnes qui présentent un sida évolué - c'est-à-dire qui présentent des infections à champigon incurables selon les principes de la médecine officielle - Cess gens ont déjà subi l'agression d'antibiotiques, voire d'AZT, et la fameuse trithérapie (et en réalité les substances qui la composent) va pour un temps amenuiser les effets pratiquement irréversibles causés par les drogues précédentes (ou les drogues récréartives). En particulier, les trithérapies proposées aujourd'hui ne proposent plus que des substances réductrices, mais qui demeurent tout de même très toxiques (à part le 3TC ou le FTC, qui sont relativement peu toxiques).

    Alors, il y a effectivement eu amélioration dans les années 96-98, grâce à l'introduction du 3TC et à la diminution du dosage de l'AZT, mais depuis, on reste pratiquement au même niveau de mortalité, et il y aurait même une augmentation de la mortalité par d'autres causes que le sida proprement dit. Je cible particulièrement ici le ténofovir dont je pense le plus grand mal, même s'il est réducteur, car c'est un organoposphoré. C'est du moins ce que montre cette étude récente.

  20. Oui, Carson, je pense également de plus en plus que ce n'est pas vraiment la malnutrition qui est la cause de la séropositivité et du Sida africain. Cela, ce sont les dissidents américains qui le disent, parce qu'ils limitent la cause aux drogues récréationnelles.

    Mais si je pars du principe posé par Heinrich Kremer, à savoir que le pivot de la maladie est l'excès cellulaire de monoxyde d'azote, en étudiant soigneusement les publications récentes, on se rend compte que ce sont les traitements des maladies fortement implantées en afrique, qui pourraient être en réalité la cause du sida, et en particulier l'isoniazide très utilisé contre la tuberculose parce que très peu cher. (mais aussi le chloramphénicol, le flagyl, le bactrim,...)

    D'après toi, est-ce que cela est effectivement le cas en Afrique, ou bien me trompé-je?

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