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Cheminot

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  1. Cheminot

    Le glutathion

    attention, les glutathions peroxydases sont des enzymes séléniées, et on n'y mesure que le tauix de sélénium. ce qu'il faut connaître c'est le taux de thiols libres, et il s'agit bien du glutathion réduit.
  2. Cheminot

    Le glutathion

    Je trouve ce texte fascinant, d'autant que j'ai pu vérifier qu'il est sourcé par des références avalisées par pubmed. En effet, on montre là que la fameuse GP120 se fixe au CD4 par des pont disulfure. Tout ceci montre bien, et aucun chimiste au monde ne me contredira, que même cette description de l'infectivité du "vih" est liée à un processus d'oxydation cellulaire. La première étude sur le sujet date de 1988. On sait donc tout cela depuis près de 20 ans, et personne n'a jamais fait (ou voulu faire) le rapprochement. C'est de la paranoïa absolue.
  3. C'est bien cela, Wallypat. Et d'ailleurs, avec le document que j'ai proposé à David Crowe et qu'il a publié sur son site, je lui indiquait que je ne savais pas vraiment "où" situer les fameux anticorps. Sont-ils dirigés vers les microvésicules, ou vers une autre molécule (par exemple les peroxynitrites qu'ils seraient chargés de réprimer : ce n'est qu'une hypothèse)?
  4. Delwere, ton assertion est incorrecte, car l'activité de rétrotranscription a également été obtenue en cocultivant le surnageant d'une première culture de lymphocytes sur des cellules immortelles (avec toujours la fameuse PHA), avec des lymphocytes "frais" , toujours sur des cellules immortelles et avec de la PHA. Donc, les lymphocytes libèrent bien ces vésicules. L'ennui, je crois, est que jusqu'à 2006, on ne pouvait imaginer qu'un particule ayant des propriétés "infectieuses" pouvait être de source endogène (ici, elles induisent la mort cellulaire, c'est ce qu'on a toujours mis sur le dos des virus). Mais avec ce document de Huber, on a la preuve que cela existe. Donc, il s'agit maintenant de choisir : - les particules en question - que nous nommeront "vih" pour être précis - sont-elles la source unique de l'apoptose - ou bien sont-elles d'abord le fruit de l'apoptose provoquée par un agent non viral externe. Malgré toutes les dénégations qui ont suivi la publication de Rodriguez et al., il semble bien que la seconde solution soit plus en accord avec leurs découvertes.
  5. C'est là où la bât blesse Nico. Gallo était sûr que les personnes étaient malades du sida, oui. Mais comment pouvait-il savoir qu'elles étaient infectées, et que les particules aperçues étaient la cause de la maladie et non le produit de cette maladie. je rappelle simplement cette référence de 2006, où il est montré que des cellules du système immunitaire en apoptose émettent des microvésicules capables de produire cette apoptose chez d'autres cellules du système immunitaire... une infection en somme, mais grâce à des particules endogènes. En fait, il y a eu un consensus clinique sur la cause infectieuse exogène du sida, mais ce consensus n'a jamais été etayé que par lui-même.
  6. en fait, je ne pense pas qu'il y ait dilution, même des antigènes qui portent la peroxydase. Par contre, celle-ci va être responsable d'une réaction colorée dont la vitesse de formation dépend de sa concentration, donc de celle des fameux anticorps. Il suffit qu'il s'agisse d'une réaction faiblement colorée. L'important, pour le fabricant du kit, c'est que l'expérience de Giraldo ne puisse être réitérée. Et ainsi, il y parvient. Mais le problème reste le même, tant qu'il y aura un cut'off.
  7. En réalité, la coloration dépend de la concentration d'antigènes dits "vih" purifiés, qui portent un enzyme particulier, la peroxydase. Cette concentration dépend de la concentration d'anticorps au "vih". Il suffit ensuite d'utiliser la peroxydase dans une réaction biochimique qui donne des produits colorés à absorbance faible pour qu'on ait plus besoin de diluer. Ce qui demeure toujours, sans explication de la part du constructeur, c'est le "cut'off". C'est-à-dire qu'on est séronégatif au dessous du cut'off, et séropositif au dessus. C'est toujours aussi dingue.
  8. Cheminot

    Guérir le Sida!

    oui, mais la thérapie génique, ça me semble bie trop flou et bien trop limité pour ce genre de problèmes. Je n'y crois pas trop.
  9. Cheminot

    Guérir le Sida!

    Non, il y a des atteintes irréversibles, aux mitochondries et au génome en particulier. Le document indiqué par Wallypat le montre bien. Au bout d'un certain nombre d'agressions, le processus de réparation lui-même est dégradé, et la guérison ,n'est plus possible. C'est à ce moment-là qu'il faut savoir pallier, et que la thérapeutique classique a toute sa valeur. C'est essentiellement une thérapeutique palliative. La difficulté est de bien saisir ce point de non-retour. Dans l'hypothèse chimique du sida, la séropositivité ne signifie pas maladie irréversible. c'est lorsque le sida (mycose, toxo,...) est là qu'il y a sans doute irréversibilité. Mais cette hypothèse permet de bien mieux expliquer la séroréversion de Viduité, ou celle du fameux écossais, cela permet aussi d'expliquer le nombre croissant de séropositifs qui ne tombent jamais malades, car tout simplement ils ont cessé d'être soumis à ces composés dangereux. Le seul ennui, c'est qu'on ne veut plus les retester, au nom du sacrosaint dogme...
  10. Cheminot

    Guérir le Sida!

    en fait, le mot "stress" me semble mal choisi. Il s'agit en effet ici de l'action chimique classique de composés oxydants particuliers, se formant dans les cellules en présence de composés chimiques exogènes (qui sont ceux que cotoyent précisément de manière plus répétitive les personnes séropositives). Ces composés sont assez spécifiques et peuvent être formé à partir d'un grand nombre de molécules très différentes, n'ayant rien à voir entre elles en apparence. S'y mêlent l'action d'entités biologiques capables de faire apparaître les mêmes composés oxydants particuliers (par exemple la présence de gonoccoque s'accompagne de ces fameux "peroxynitrites" dans le sperme). Ces composés sont aussi en cause dans le vieillissement, c'est pourquoi les CDC américains interdisent-ils de tester les personnes âgées, sachant qu'elles ont beaucoup plus de chances que les autres d'être positives. Et ce sont les mêmes oxydants qui sot en cause, je le répète. Comme vous le savez, le veillissement est irréversible, eh bien, il arrive qu'un excès de ces oxydants, vers 30 ans, puisse conduire à une irréversibilité de certains processus biochimiques, ce qui pourra conduire à la mort, ou tout du moins à l'infirmité.
  11. Il n'y a aucun complot, leo, et je suis persuadé que pratiquement tout le monde est de bonne foi. Il y a simplement des erreurs communautaires commises à cause d'a priori que je considère comme dogmatiques : - tout d'abord, le principe du hasard dans l'évolution. La chimie nous apprend que les contraines stériques et électroniques imposent la régiosélectivité des réactions. Et les réactions chimiques du vivant n'échappent pas à cette règle. En particulier, ce ne sera pas n'importe quelle base de l'ADN qui sera par exemple oxydée par les peroxynitrites (résultant de la présence en excès de NO), mais bien spécifiquement la guanosine. De plus, à cause du tassement des bases dans l'ADN-B, il y a proximité des divers plans formés par ces bases, et dans un enchaînement AAGACT, la guanosine aura une réactivité différente que dans un enchaînement CTGGAC (à voir si ces enchaînements sont possibles, je n'ai pas le code sous les yeux et je ne le connaît pas par coeur). En tous cas, la chimie ne connaît pas le hasard, et donc cette notion de mutation rapide ne pouvant exister que dans un organisme dit vivant est à mes yeux théoriquement et expérimentalement inadmissible. - ensuite, et cela découle de la remarque précédente, la vision strictement exogène de la plupart des maladies, ce qui arrange à vrai dire tout le monde, étant entendu que personne ne veut vraiment se remettre en cause. On a donc, en toute bonne foi, imposé l'idée que le sida était dû à un virus, et les chercheurs se sont évertués à en chercher un coûte que coûte. Si tu lis en détail les transcriptions de témoignages du Dr Gallo et d'autres médecins australiens, tu comprendras qu'en réalité, c'est à partir de cet a priori inconscient qu'ils ont tout bâti. Alors, évidemment, l'argent s'en est mêlé, mais bien plus tard, car il se mêle de tout, celui-là. Mais à partir de ce moment-là, la problématique a été scellée, à cause des implications politiques et économiques que sa remise en cause provoquerait. L'adresse qui permet de lire ces témoignages, donnés au cours du procès de Chad Parenzee, à Adélaïde, est ici pour Robert Gallo D'autres experts : Elizabeth Dax et tous les autres ici
  12. Drôle de chimie, Cléo. On voit que tu es encore bien jeune. Comment expliquer l'impact réel de l'AZT au début du traitement, alors que le ddI n'agit pratiquement pas. Pourquoi l'ADRT, possédant un azoture en 4' cette fois-ci (et non en 3'), et surtout, un OH en 3', ce qui devrait permettre la construction de la chaîne, a-t-il un impact virologique presque semblable à celui de l'AZT? Creuse, approfondis la chimie, et tu comprendras mieux.
  13. étonnant, non... que ces ponts disulfures omniprésents en cas de sida soient justement un des résultat de l'oxydation des thiols (ex. le glutathion)
  14. non, Delwere, ces gens ne se moquent pas de nous, ils sont simplement incapables de voir que le sida est dû à autre chose qu'un virus.
  15. Oui Viduité, et surtout, ce que me semble essentiel, c'est que là où il y a information la plus exhaustive possible, là apparaît le doute. Par exemple, le procureur qui représente l'accusation dans le procès Parenzee commence à avoir des doutes. Il écrit par exemple à Kary Mullis :
  16. le transcript de Gallo est téléchargeable sur le site aras : http://aras.ab.ca/articles/legal/Gallo-Transcript.pdf et en haute résolution : http://aras.ab.ca/articles/legal/Gallo-Transcript-High.pdf
  17. Intéressant, cette analyse rapide du transcript de Gallo : p 1306 Il est clair ici qu'il y a fraude. Il n'a pas pu prouver qu'il s'agissait d'un virus exogène.
  18. En fait, Gallo ment. Car ce dont il parle, c'est de la séropositivité, qu'il confond volontairement (et comme tous les officiels), avec le vih. En réalité, il faut lire le document en question, que Janine Roberts a donné à notre lecture. Il s'agit du scan de l'article de Nature, p 499 (page 6/15 du scan). Et là, il indique bien qu'il s'agit d'une mise en évidence du "vih", par coculture, activité de rétrotranscription, expression d'une protéine "virale" et "electron microscopic examinations", donc de ce qui se rapproche le plus de l'isolation dans la littérature orthodoxe. Et dans le tableau voisin, il indique bien que cela n'a donné des réultats positifs que dans environ 40% des cas de sida. Il n'y a donc pas de bourde de la part de M. Boricke. Et comme dit Psyence, dans aucun de ces articles ne figure la démonstration que le vih soit responsable du sida. Pour ma part, je pense qu'il s'est agit d'un consensus médical, pour qui la maladie ne pouvait être due qu'à un virus, et ceci en grande partie à cause de l'état d'esprit qui règne dans la formation des médecins (cause des maladies indépendante de l'action de l'homme). Pour le reste, à suivre effectivement...
  19. Il se passe en ce moment quelque chose d'extraordinaire et d'incroyable. Le procureur qui mène l'accusation contre André Chad Parenzee à Adelaïde pour avoir eu des relations sexuelles en étant séropositif vient de demander le témoignage de Kary Mullis, Prix Nobel de Chimie pour la découverte de la PCR. Le plus intéressant est que Mc Donald (le procureur) avait également envoyé son mot à John Moore. Celui-ci a dû frôler la crise cardiaque!! Kary Mullis en a informé David Crowe et Christine Maggiore! Voici ce que répond le procureur à Kary Mullis : Si cela continue, garez vos actions... ça va dégringoler!
  20. Cheminot

    homéopathie et sida

    Pour continuer dans la même veine, je reprends simplement une phrase du Dr Max Benjamin : et je rajouterai : méconnus à cause de la paresse du plus grand nombre.
  21. Une chose incroyable arrive en ce moment : les "repenseurs du vih" peuvent poster sur des journaux "mainstream" australiens sans être effacés : http://www.news.com.au/adelaidenow/story/0...5006301,00.html
  22. merci Viduité pour cet exercice de bon sens. Je vous invite tous à lire (en anglais, mais paut-on mieux faire), les dépositions des témoins du procès de Parenzee en Australie, qui sont détaillées sur le site de David Crowe, et en particulier les 'recall' de French et de Dax. J'en tire pour ma part la consclusion que pour les grands pontes du sida australiens : - les tests dont l'index est compris entre 1 et 5 (mettons), sont interprétés à la tête du client, en fonction qu'il appartient ou pas à un groupe à risque. - les tests faits avant 95 étaient très imprécis, et donc qu'il y aurait eu beaucoup de personnes taxées de séopositives alors qu'elles ne l'étaient pas. - les expériences qui montrent la présence d'anticorps vih alors qu'il ne peut y avoir d'infection existent parce que la protéine en question (ne) diffère (que) de 10% dans sa composition. J'attends-là que l'avocat de la défense leur mette le nez dans les publications où il est montré que la structure d'une protéine vih peut varier jusqu'à 40% de ses acides aminés.
  23. Ne t'inquiètes pas, Delwere, nous avons très bien saisi ce que tu veux montrer, et cela rend encore une fois bien plus sinistre toute cette mascarade.
  24. Cheminot

    Le glutathion

    Je ne sais si tu fais de l'humour dans ton dernier post, Viduité, je tenais simplement à indiquer que le sélénium est un élément simple, de la même famille que le soufre et l'oxygène, et que l'on ingère généralement du sélénite de sodium, qui est un corps pur. Il agit en permettant au métabolisme de former la sélénocystéine (très proche de la cystéine), qui fait fonctionner l'enzyme qui détruit les oxydants azotés. C'est tout simple, comme vous le voyez, et très en accord avec les modèles du sida dont nous débattons ici.
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