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Cheminot

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Messages posté(e)s par Cheminot

  1. Merci Jibrail d'avoir relevé cette étude. Un grand merci de me suivre dans cette voie, où je me trouve encore à défricher le chemin.

    C'est un peu pour cela que je n'interviens plus trop ici, car cette vérité-là est souvent mal acceptée non seulement par les "orthodoxes",mais aussi par la tendance de Peter Duesberg, rejetant tous les ARV en bloc.

    Et le groupe de Perth n'approfondit pas encore suffisamment,à mon goût, le phénomène d'oxydation associé à la séropositivité et au sida.

    En ce qui concerne l'atanazavir, méfiance tout de même, car sa structure chimique, si elle présente des cycles aromatiques permettant de neutraliser les oxydants, présente également un groupement chimique proche de celui de l'isoniazide, dont on sait qu'il libère du monoxyde d'azote, et donc des peroxynitrites.ces deux groupements se contrecarrent sans doute mutuellement, et l'atzanavir n'a sans doute que l'efficacité qu'on veut bien lui donner.

    A mon avis,une monthérapie avec du 3TC suffirait... mais c'est la chute de Wall Street qui suivrait son application.

  2. Tout-à-fait Jibrail,

    C'est d'ailleurs en discutant avec Wilfried Bales que je me suis démarqué de la position de Rethinkingaids et de Peter Duesberg.

    Les traitements ARV ne sont pas à rejeter (sauf l'AZT et dans une moindre mesure le ténofovir). Mais cela ne signifie pas que la théorie virale soit exacte.

    D'ailleurs, depuis quand l'efficacité d'un traitement signe-t-il la véracité de la théorie qui a conduit à l'utiliser? Le mode de fonctionnement de ces ARV n'a jamais été décortiqué. Seuls les résultats sont connus...

  3. Merci pour les références, Jibrail.

    Quant au pantoprazole, il n'a déjà rien à voir avec un réducteur soufré comme le glutathion, puisque justement l'atome de soufre y est déjà oxydé.

    Il existe effectivement sous la forme de deux énantiomères, mais quelle importance ici?

    Par contre, il serait intéressant de savoir comment il fonctionne vis à vis de la pompe à proton. A étudier. C'est à ce moment seulement que je pourrai peut-être donner un avis.

  4. Cheminot,

    si on expose quelqu'un à un fort stress oxydatif, si on le bourre de toutes ces molécules super oxydantes,on constatera un niveau élevé de peroxynitrites (radicaux libres), mais, le type ne sera pas séropositif pour autant, n'est ce pas ?

    pour moi, le sida c'est la suite d'une modification génétique qui fait que les éléments chargé de combattre le stress oxydatif n'assument pas leur fonction : soit ils sont inactifs ex non matures, soit inexistants.

    je pense que les quelques publications et les recherches sur la moelle osseuse orientent sur la génétique (inhibition de la maturation cellulaire, par réarrangement de chromatine, ajout ou retrait de groupes methyl (méthylation ?)).

    Eh bien je pense que si !

  5. en gros, c'est oui pour ta première question. En Afrique, il y a beaucoup de drogues oxydantes, libérant du monoxyde d'azote et des peroxynitrites : flagyl, chloramphénicol, isoniazide,.... Le manque de sélénium des terres africaines ne facilite pas non plus l'élimination correcte de ces oxydants.

    Les substances chimiques dangereuses sont celles qui amènent à la formation finale de peroxynitrites : drogues (amines tertiaires : cocaïne, secondaires : amphét), médocs (AZT, bactrim, isoniazide, nitrofurantoïne, tous les composés nitrés, etc...), et les sources naturelles telles le sperme.

  6. Leur traitement est très certainement un réducteur chimique. Alors oui, cela peut être nocif.

    Pour comprendre, il faudrait que tu reprennes le fil depuis le tout début (2000-2002).

    Simplement pour moi, le sida existe, il est dû à l'impact de substances chimiques oxydantes qui font apparaître des structures rétrovirales.

    Les traitements actuels sont efficaces car ce sont des réducteurs chimiques. Mais ils sont également toxiques...

  7. Il s'agit de personnes sans traitement.

    Voici l'abstract :

    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed?term=Heterosexual%20transmission%20of%20human%20immunodeficiency%20virus%20%28HIV%29%20in%20northern%20California%3A%20results%20from%20a%20ten-year%20study.

    Voici leur conclusion (le document complet n'est pas officiellement en ligne) :

    In general, we estimate that infectivity for male-to-female transmission is low, approximately 0.0009 per
    contact, and that infectivity for female-to-male transmission is even lower. While data from this study suggests
    that the probability of male-to-female transmission appears to vary across couples, our estimate may still be useful
    as an index of “average” transmission risk for the purpose of comparisons among studies, or in epidemic model
    construction. Furthermore, our estimation procedure does not require knowledge of the infection time of the index
    case, which is usually unknown in partner studies; estimation procedures that fail to take this uncertainty into account
    are potentially subject to serious biases (12). While our estimation procedure does not require that infection
    time be observed, it does depend on the assumptions of constant contact rates and parametric forms for the infectivity.
    (We assumed that the infectivity was either constant, linearly increasing, or linearly decreasing with time following
    index case infection.) Direct nonparametric estimation of this quantity is problematic in the absence of information
    on when the index case became infected (9).
    Currently identified risk factors remain imprecise predictors of transmission. Two infected men whose
    female partners had all of the risk factors that we found to be significant in this study did not transmit the disease.
    Fewer than 50 percent of such couples with three of the risk factors had transmission events. In contrast, five
    women with no identified risk factors acquired HIV from their male partners. While some of these results might be
    attributed to errors in self- report, other factors which affect infectiousness and/or susceptibility may remain to be
    identified. As with studies of long-term survivors of HIV infection (28), an obvious area for future investigations is
    to focus on immunologic, genetic, and virologic factors among those individuals with multiple risk factors for
    whom transmission did not occur, compared with couples where transmission occurred in the absence of known
    risk factors.
    While lack of transmission in our prospective study may in part be due to such unidentified protective factors,
    we also observed significant behavior change over time. In previous reports (8, 14, 29), the proportion of
    couples who used condoms at their last follow-up prior to analysis was 100 percent; the 75 percent reported here is
    the lowest proportion that we have observed. The proportion of couples who would use condoms if the study were
    continued beyond 10 years remains unknown. Nevertheless absence of seroincident infection over the course of the
    study cannot be entirely attributed to significant behavior change. No transmission occurred among the 25 percent
    of couples who did not use condoms consistently at their last follow-up nor among the 47 couples who intermittently
    practiced unsafe sex during the entire duration of follow-up. This evidence also arguged for low infectivity in
    the absence of either needle sharing and/or cofactors such as concurrent STDs.
    Because couples were recruited on a volunteer basis, results presented here are not necessarily reflective of
    trends in the population. Nevertheless, the increase over time in the recruitment of number of couples where the
    index case was an injection drug user or was infected from a previous heterosexual partner, as well as the increase
    in recruitment of minority couples may reflect the changing nature of the epidemic in Northern California as infection
    spreads outside homosexual and bisexual communities. The results from our study, including both the characteristics
    of participants and observed risk factors for transmission, confirm the significant contribution of both injection
    drug use and infection with other sexually transmitted diseases.

  8. Il est intéressant de rechercher la séquence de la "tat" : {Gly}{Arg}{Lys}{Lys}{Arg}{Arg}{Gln}{Arg}{Arg}{Arg}{Pro}{Gln}

    que l'on trouve ici.

    Car l'arginine, qui est l'AA prépondérant dans cette séquence, est le précurseur du... monoxyde d'azote et donc du ... peroxynitrite.

  9. Il n'y a pas de peroxynitrite spécifique à telle ou telle maladie, puisque sa formule est extrêmement simple et immuable. Simplement, les processus inflammatoires et la mort cellulaire sont savamment initiés par le métabolisme en libérant la dose convenable de peroxynitrite. Parfois, la réaction s'emballe, ou bien les apports extérieurs augmente sa concentration.

    La charge virale n'est pas due à un "virus" spécifique, mais à la présence d'un ARN qu'on retrouve à diverses occasions et qu'on "dit" être de l'ARN viral. En tous cas, de la même manière que la P24 est liée au peroxynitrite (voir la doc d'Aquaro), il y a de fortes chances que la "charge virale" soit dépendante des peroxynitrites. La destruction de ces peroxynitrites par un composé qui est en fait un alcool doit en toute logique diminuer la charge virale.

  10. Euh!! Bactrim et AZT sont des oxydants. Est-ce que le 3TC suffira à en compenser les effets? Toujours est-il que leur traitement est d'une insignifiance. Ils n'ont rien appris sur le bactrim

    On voit ici que le bactrim détruit le glutathion.

    Et Montagnier qui dit bien que le glutathion protège contre le sida.

    Est-ce qu'ils ont initié le bactrim au tout début, avant les tests?

    Par ailleurs, si votre séropositivité est liée à la prise de drogues, celles-ci influencent négativement, même à long terme, les futurs enfants.

    Principale conclusion : éviter l'hôpital et apprendre soi-même l'homéopathie

  11. Pour avoir travaillé et validé deux certificats de Mécanique Quantique, je peux te dire que la modélisation a été induite par la découverte de la quantification de l'énergie émise par un atome d'hydrogène excité. Il s'agit-là d'une donnée expérimentale surprenante qui a mobilisé les intelligences et les mobilise encore.

    Plusieurs modèles se sont succédé (Bohr, Sommerfeld, Schrödinger) et des méthodes de calcul ont été proposées (Dirac,...).

    Toujours est-il que le dernier modèle en vigueur (Schrödinger-Dirac) n'est capable de calculer exactement que les niveaux d'énergie des atomes monoélectroniques (et encore ne tient-on pas compte de la nature du noyau de l'atome).

    Pour le reste, on s'approche de la réalité par des calculs numériques facilités par l'ordinateur, mais on ne sait décrire toutes les conséquences de cette quantification de l'énergie pour les atomes polyélectroniques et les molécules. On est obligé d'approximer. De trouver d'autres modèles plus globaux. Mais encore et toujours des modèles validés par tous les chimistes. Il est vrai que la représentation du benzène a longtemps fait problème. Mais il a été résolu sans passion, car les différentes représentations ne sont pas à l'origine de conflits d'intérêt.

    En médecine, comme en toxicologie, la faible connaissance que l'on a des véritables mécanismes au sens de la chimie permet de gruger beaucoup plus facilement le citoyen moyen et surtout d'imposer ses vues à l'état, du moment que l'argent est derrière.

  12. Je parle de cette notion de censure pour dire qu'elle n'a pas de raison d'être dans ce domaine.

    En économie, certains propos non orthodoxes, ceux de Maurice Allais par exemple, sont facilement remis en question et parfois censurés.

    En virologie, l'incertitude est telle que le pouvoir lié au marchés est capable d'ostraciser toute recherche qui remet en question leurs intérêts.

    A noter que le pays qui est à la pointe de l'hétérodoxie en matière de Sida est l'Italie,avec des publications acceptées en Italie mais refusées à Londres...

    Où se trouve bizarrement la City...

  13. En fait, il n'y a pas de différences si fondamentales que cela entre les authentiques sciences humaines et les sciences "dures" en termes de principe de vérité, de statut de la preuve et de méthodologie : on pose des hypothèses, on explore l'objet avec les hypothèses posées faisant office de fil conducteur, et on affine/amende les hypothèses au fur et à mesure que l'objet est mieux cerné et délimité par des opérations de vérification, quitte à abandonner en cours de route les hyppothèses de départ, éventuellement un peu sur le modèle de la traduction successive en différentes langues d'un même texte.

    La démarche des sciences dures est cependant différente. Le premier stade en est l'observation. Les faits sont têtus et font déjà partie de l'expérimentation.

    A partir de ces faits, on propose des modèles, mathématiques ou non (certains modèles en chimie ne sont pas mathématisés, car extrêmement difficiles à mathématiser).

    La vérification expérimentale sert ensuite à valider le modèle en question.

    Ce qui est fondamental, c'est qu'une fois validées, les règles qui régissent ces modèles sont immuables. Ainsi, un cycle aromatique activé (par une fonction phénol ou une fonction amine par exemple) réagira toujours et partout de la même façon avec des agents nitrants. C'est d'ailleurs la grande différence entre l'enseignement des sciences dures et celui des sciences sociales, c'est cette immuabilité, que d'aucuns considèrent comme une faiblesse, mais qui est en réalité une force. Un enseignant en sciences devra accumuler les connaissances, tandis que les conceptions doivent très souvent évoluer dans l'enseignement des sciences humaines, et c'est également le cas en médecine.

    C'est pourquoi il n'y a pas d"écoles" en chimie et physique. Tous les chimistes organiciens travaillent dans le même sens et sont sur la même longueur d'onde. Ils raconteront tous la même chose. D'ailleurs je n'ai jamais été censuré sur mon site, tout au plus m'a-t-on fait modifier quelques erreurs de frappe.

    http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/physique/CHIM/Jumber/Default.htm

    A partir du moment que l'on utilise des concepts qui s'éloignent de la précision descriptive et de la prédictivité des sciences dures, on peut s'attendre à des déconvenues. Le concept clé-serrure me semble être un de ceux-là, et c'est pour cela que la recherche pharmaceutique est bloquée aujourd'hui.

  14. Je comprends bien ta réaction, Brume, et il ne faut jamais se voiler la face.

    Voilà le contenu de deux mails que j'ai envoyé à cette personne que tu as rencontré au marché:

    mail 1

    Ma position sur le sujet est assez proche de celle d'Etienne de Harven, de Heinrich Kremer et du Groupe de Perth.

    Heinrich Kremer en particulier m'a permis d'affiner l'hypothèse du stress oxydatif d'Heleni Papadopoulos.

    Il s'est basé sur une consonance identique du nom de l'azathioprine avec celui de l'Azidothymidine (AZT) pour déduire une identité d'action entre les deux.

    En réalité cette identité d'action repose sur des fondements chimiques bien plus solides, à savoir que l'azathioprine est un dérivé nitré, libérant du monoxyde d'azote et des peroxynitrites, comme le font tous les dérivés nitrés, en particulier le chloramphénicol et le métronidazole très utilisés en Afrique et en dentisterie pour le dernier. D'autres substances libèrent au niveau cellulaire les mêmes composés : les poppers, qui sont des nitrites d'alkyle, le bactrim (qui est un isoxazole), les amines secondaires (amphétamines) et tertiaires (morphinoïques) qui sont oxydées par le métabolisme, les hydrazides (isoniazide utilisé dans la tuberculose), et bien sur les azotures dont fait partie l'AZT.

    Pour empêcher la formation trop importante de ces peroxynitrites, les cellules disposent de composés antagonistes, en particulier le glutathion. Cela rejoint les travaux du Groupe de Perth et de Montagnier. Mais d'autres composés sont capables de jouer le même rôle, en faisant disparaître les peroxynitrites, qui sont, comme je le montre dans la présentation, les responsables en dernière instance du sida.

    Ces composés sont souvent des composés découverts par hasard, et l'exemple le plus démonstratif est celui du 3TC (lamivudine), que l'on retrouve systématiquement dans la trithérapie depuis 96. Ce composé n'agit pas en tant qu'antirétroviral, mais en tant que destructeur de peroxynitrites. Il en est de même pour le ténofovir. Celui-ci est cependant bien plus toxique que le 3TC, car il comporte des liaisons inconnues du métabolisme cellulaire de base, les liaisons carbone-phosphore.

    En fait, les pharmaciens sont tombés par hasard sur cette molécule, qu'ils avaient synthétisée pour en faire un hypothétique analogue nucléosidique, et qui a fonctionné immédiatement (il suffit d'entendre le témoignage de Barbara), ce qui a permis à l'orthodoxie de gloser sur sa réussite. En fait, ce n'est que le fruit du hasard, car à l'époque personne en dehors du groupe de Perth n'avait parlé du stress oxydatif.

    Je reproche donc à la plupart des dissidents de placer l'AZT (qui crée lui un stress oxydatif) et certains autres composés utilisés dans la trithérapie dans le même panier.

    Par contre, je pense que la très faible infectiosité du VIH n'explique pas la maladie (cela a d'ailleurs été démontré au laboratoire), et que Montagnier et Gallo se sont laissés abuser par un mécanisme naturel exacerbé par l'augmentation de la concentration en peroxynitrites. Mon slogan est : le "VIH" est l'arbre qui cache la forêt des peroxynitrites.

    Recevez, chère Madame, mes salutations distinguées.

    mail 2

    Vous me demandez si les repenseurs ont lu ma présentation. Son principal défaut est d'être en français, et de reprendre plutôt les thèses du Groupe de Perth, alors qu'actuellement existe un contentieux important entre Rethinkingaids et ce même groupe. Je ne me sens pas capable de le traduire correctement. Un de mes collègues en retraite, agrégé d'anglais, et proche des idées dissidentes, pourrait peut-être le faire. Mais en retraite, on a souvent d'autres chats à fouetter. Mes amis de Sidasanté me soutiennent, en particulier Brume qui était présente à Vers, David Crowe a publié deux de mes analyses, mais globalement, Rethinkingaids ne s'y intéresse pas vraiment, car il cherche à défendre les homosexuels américains en soutenant que VIH et Sida n'ont rien à voir. PG est un peu plus intéressé, je n'en veux pour preuve que leur dernière profession de foi. Voir http://theperthgroup...G_Statement.pdf page 3. Mais là encore, ils n'ont pas vraiment saisi ma pensée par manque de connaissances en chimie.

    Ma démarche consiste à dire : ni les orthodoxes ni les repenseurs ne peuvent être complètement dans l'erreur. Il doit bien exister une seule et unique vérité. C'est du moins mon esprit formé aux sciences dures qui s'exprime ainsi. Malheureusement, d'autres intérêts (financiers, philosophiques,...) interfèrent avec la science pure, et les avancées dans la recherche de la vérité seront très lentes.

    Merci de vous intéresser à mes idées, qui effectivement peuvent s'appliquer à bien d'autres domaines de la santé. A mon avis, les dogmes médicaux proviennent d'un manque de solidité des preuves, qui ont alors été à la merci des interprétations de chacun, et donc des intérêts dont je parle plus haut. Cela ne veut pas dire que les orthodoxes sont des s..., mais qu'en fait ils ne font pas suffisamment appel aux sciences dures pour asseoir leurs hypothèses.

  15. En tous cas, merci Brume pour tout ce que tu as fait là-bas, pour moi en particulier. J'avoue que j'aurais bien aimé y assister, ne serait-ce que pour défendre ma thèse.

    En effet, il n'y a pas vraiment d'évolution chez les divers protagonistes et chacun demeure campé sur ses positions. Que ce soient Etienne de Harven ou Martin Barnès. Le groupe de Perth aurait été là qu'il en aurait fait de même. J'ai donné mon sentiment sur cette affaire sur Agoravox :

    http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/reportage-sur-la-conference-119142#forum3390534

    Il suffit d'entendre le témoignage de Barbara dans le documentaire de Vincent Verschoore pour se rendre compte qu'on ne peut pas rejeter les données expérimentales fournies par l'orthodoxie d'un revers de la main.

    Par contre, j'aimerais bien obtenir le détail de la conférence de Nancy Banks, d'autant que j'ai fait deux certificats de mécanique quantique. Je me méfie toujours de l'utilisation de ce terme.

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