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Messages posté(e)s par aixur
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Moi, ça ne me pose aucun problème qu'Alain Soral et que le site Egalité et réconciliation en parlent. La dissidence du sida n'appartient à personne.
Je suis au contraire très content qu'ils en parlent. Si le PC, le PS, l'UMP ou le FN le faisaient, j'en serais très content aussi.
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Mouai ; il se donne du mal, mais ça ne casse pas trois pattes à un canard. Il y a un peu trop d'amalgames et d'à peu près pour que cette critique soit au niveau.
Exemple, laisser entendre que les postulats de Koch ne devraient pas s'appliquer aux virus, mais seulement aux bactéries pour justifier qu'ils n'aient pas été respectés dans le cas du vih, ça fait amateur.
Essayer de ternir l'image de Mark Griffiths est ridicule en plus d'être minable. Mark s'est occupé pendant 15 ans de la dissidence sans gagner un sou. Il va avoir du mal à le faire passer pour un salaud. Même si l'objectif était de salir volontairement Mark (et pas par esprit obtus), c'est maladroit.
On notera que dans un même souffle le site récapitulatif évoqué plus haut postule à la fois l'inexistence d'un virus (le Sida serait uniquement le produit de divers stress dont le stress oxydatif) tandis que ces stress créeraient de toutes pièces le virus qui est nié par ailleurs...???? Je ne sais pas d'où il sort ça. Il a du comprendre de travers.
Donc bon...
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Oui, il y a ça aussi.
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Oui, c'est clair que la médecine actuelle est très bonne pour la chirurgie, et la médecine d'urgence. Bref, des domaines où il y a beaucoup moins la possibilité de truander. Mais dès qu'il y a possibilité de déconner et de truander (maladies contagieuse, virologie, médicaments, maladies chroniques, diagnostic d'une façon générale), là, ça part complètement en vrille.
Sinon, pour les médecins, je pense effectivement que la plupart sont tout simplement formatés et ne sont pas capable de penser en dehors des clous. Ils ne font qu'appliquer plus ou moins bêtement ce qu'on leur a appris.
Mais bon, cela dit, il faut voir aussi le cas des médecins qui sont au courant des différentes dissidences de la médecine. Généralement, ils ne changent pas d'avis. Donc, il y a un petit coté enfoirés quand même. Genre, je fais semblant de ne pas comprendre parce que sinon, ça nuirait à mes intérêts financiers.
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Mais ce que je me demande, c'est pourquoi vit on de plus en plus vieux, si ce n'est pas grace a la médecine ? Car je n'ai pas l impression que c'est grace a l alimentation. C'est grace a une "vie moins dure" qu avant ? Une evolution genetique "rapide" ?
En fait, la question est "pourquoi mourrait-on si jeune avant" ?
La tendance est de se dire que c'était naturel. Mais c'est faux.
Déjà, il devait y avoir des infanticides cachés qui expliquent une partie de la mortalité infantile.
Mais surtout, la médecine tuait énormément, avec la sainte trinité "saignée/purgatifs/opiacés". Comme on pensait qu'il y avait dans les 20 litres de sang (alors qu'il n'y en a que 5 ou 6), on en prélevait jusqu'à 3 litres en une fois lors des saignées. Là-dessus, on déshydratait encore plus le patient avec les purgatifs. Et si ça n'était pas suffisant, on entrainait une hypotension encore plus importante avec les opiacés.
Comme on pratiquait la saignée à tous les âges de la vie, et souvent de façon préventive, forcément, c'était l'apocalypse. Les gens mourraient en masse à cause de ça.
La question est "est-ce que la médecine était accessible à tous" ? Eh bien oui. L'église fournissait des dispensaires un peu partout, où on prodiguait ce genre de soins.
Donc, la réalité, c'est que l'espérance de vie faible qu'il y avait dans le temps n'était pas naturelle du tout. Les gens auraient du vivre beaucoup plus longtemps. La médecine était la principale raison de la faible l'espérance de vie. Mon estimation est qu'elle la raccourcissait de 35 ans. De nos jours, la médecine raccourcit encore l'espérance de vie des gens, mais de moins longtemps (estimation perso : 15 ans).
Donc, il y a eu amélioration de l'espérance de vie non pas parce qu'on a guérit les maladies qui tuaient avant, mais en grande partie parce que la médecine tue moins qu'avant et qu'on fait moins d'infanticides. Bien sûr, l'amélioration des conditions de vie a du jouer, mais mon estimation est que ça n'a permis de ne gagner que 20 ans sur les 50 qui ont été obtenus (passage d'une espérance de vie de 30 ans à 80 ans).
J'en parle ici :
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Au passage, sur le forum, je ne me souviens pas qu'on ait eu d'histoire de contamination d'un membre d'un couple (hétérosexuel stable) à l'autre. A tout casser, peut-être qu'il y en a une ou deux dont je ne me souviendrais pas, mais c'est en tout cas, c'est très rare.
C'est certainement à cause de ça que l'orthodoxie médicale a été obligée de dire que le taux de contamination hétérosexuel non anal est très faible.
Le problème de cette contorsion théorique de la médecine officielle, c'est que du coup, comment expliquer le taux énorme de contamination hétérosexuel en Afrique dont on parlait dans les années 90 (on donnait des chiffres de 30 % de contamination pour certains pays) ?
Du coup, en catimini, ils ont modifié les chiffres et dit que ces pays n'étaient finalement pas aussi contaminés que ça. Les gros malins.
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Calo38,
Le test vih a été fait pendant que tu prenais des antibiotiques, ou juste après (quelques semaines) ?
Edit. J'ai retrouvé ton message de 2009, ou tu en parlais :
http://www.sidasante.com/forum/index.php?/topic/17182-peut-on-obliger-un-bebe-a-prendre-une-tri/
Pour préciser les choses, au moment du diagnostic, je toussais depuis 3 mois, sois disant bronchite récidiviste, on m'a shootée aux antibios pendant plus d'un mois, ce qui m'a déclenché une mycose gynéco (candidas albicans). J'ai eu des ganglions de partout (j'en ai encore mais beaucoup plus petits), et aux prises de sangs faites à l'hôpital, on s'est apercus que j'avais les anticorps de la toxoplasmose qui n'y étaient pas un an auparavant. J'étais dans une très mauvaise passe psycologique (depressive), et je pense qu'en plus de la toxoplasmose j'ai fait une récidive de mononucléose à cause de ma depression... Du coup grosse fatigue, ganglions, vomissements, amaigrissement.. et tests positifs !
Donc, oui, c'est clairement les antibiotiques qui sont à l'origine de ton test positif.
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Est ce que l un de vous pourrait me conseiller quelque chose de naturel à prendre qui pourrait favoriser mes prochains résultats ? Le mois dernier j ai fait une petite cure d immuno + pendant 1 mois puis echinacée pure matin et soir. on verra aux résultats si ça a fait quelque chose... y aurait il de bons produits que je pourrais prendre au quotidien ? Merci de votre aide
Ca n'est pas un produit naturel, mais prendre la pilule contraceptive permet d'améliorer les résultats.
Un bon café 2 heures avant l'examen doit permettre d'améliorer le résultat (mais bon, comme l'effet doit disparaitre au bout de 4 ou 5 heures, il faut bien doser le timing. Surtout que l'effet est peut-être inverse durant la première heure. Donc, c'est un peu délicat).
Boire moins que d'habitude (hausse de la concentration sanguine, donc hausse des cd4).
Manger salé (idem).
Je n'ai plus trop en tête les produits dit naturels qui peuvent augmenter le taux de cd4, mais la spiruline le permet.
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Même réponse que Jibrail. Ils ne peuvent rien contre toi.
Donc, si tu dis que tu ne désires pas suivre de traitement, ils n'ont rien à dire.
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Merci de nous donner de tes nouvelles steph1960.
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Leibowitch, c'est l'inventeur du Sida, selon ses propres dires (ensuite, est-ce qu'il a embelli la réalité ou pas ? Mystère), avant même Gallo ou Montagnier. Donc, il ne m'est pas très sympathique.
Mais bon, voyons ce que son expérience donnera.
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Mon avis, c'est qu'il est bien possible que certaines des vitamines en question, ou/et le sélénium provoquent un effet de type cortisone. Ce qui expliquerait le maintien des cd4.
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Je suis désolé, mais je consacre tout mon temps de réflexion à ce blog
http://www.repenser-la-medecine.com/quotidien/
Donc, je ne pourrais pas être président d'une éventuelle association.
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@ Jardinier et Aixur
Je vais encore devoir me répéter et repasser encore pour un espèce de fan inconditionnel et bigot du Perth Group que je ne suis pas, mais si on veut débattre il faut des références et ne pas refaire l'histoire à sa guise. Il n'y a jamais eu de "capitulation" du Perth Group dans le sens où ils ont dès le départ, dès leur premier papier publié en 1988, "IS A POSITIVE WESTERN BLOT PROOF OF HIV INFECTION?" pointé le rôle potentiellement immunosupressif de l'exposition anale au sperme. Ils sont toujours restés fidèles à leur conviction initiale, pas d'évolution, pas de capitulation. Et si quelqu'un a déclaré la guerre, c'est plutôt Duesberg, en réclamant le "Continuum Award" en 1996, et en refusant alors le débat. Je vous renvoie à l'article de l'époque du journaliste anglais Neville Hodgkinson.
Si, il y a évolution et capitulation. Parce que l'histoire de l'effet immunosuppressif de l'exposition anale au sperme n'a rien à voir avec le problème que j'ai soulevé. Le problème de l'exposition anale au sperme, il suffit d'arrêter de s'y exposer, et c'est bon. Donc avant, même si on n'était pas d'accord avec cette théorie, ça ne changeait rien au fait qu'on était d'accord sur le fait qu'une fois supprimées les sources d'immunosuppression, il n'y avait pas de raison de développer un sida.
Avec l'évolution du Perth Group qui a eu lieu dans les années récentes, ça n'a plus rien à voir. D'un seul coup, ils introduisent l'idée que même si on n'a aucune source d'immunosuppression, le test indique qu'un jour ou l'autre, la personne développera un sida. Ceci parce que la personne développerait un mystérieux stress oxydatif fatal sur le long terme. Stress oxydatif détecté par le test.
Et non seulement ça, mais ils disent en plus que la trithérapie est éventuellement utile pour lutter contre ce type de sida.
Ça change absolument tout. D'un seul coup, on se retrouve comme je l'ai dit dans mon message précédent, avec la théorie officielle, mais sans le vih. C'est clairement une capitulation en rase campagne face à l'orthodoxie.
Et désolé Aixur si les choses ne sont pas toujours aussi simple qu'on le souhaiterait ! Parce que des mecs homos non fêtards non consommateurs de drogue "dure" qui sont devenus séropositifs, j'en ai connu un paquet. Et des lesbiennes fêtardes qui sont devenues séropositives, je veux bien qu'on m'en présente. Moi ça m'interroge, et je ne vais pas m'excuser parce que je me pose des questions dans la vie à partir ce que je vois aussi. Sinon sur beaucoup d'aspect la théorie du Perth Group est très, très différente de l'orthodoxie. Par exemple, l'orthodoxie ne va jamais te dire qu'il faut éviter les poppers ou les méthamphétamines, comme l'a fait dès le départ le Perth Group, bien au contraire, parce que c'est contraire avec l'idée que le VIH ne se transmet que par le sperme ou le sang ! L'orthodoxie ne va jamais te dire que tu peux avoir des rapports vaginaux avec une personne séropositive (homme ou femme), alors que le Perth Group ne déconseille que les rapports anaux passifs non protégés !Sauf qu'une fois la crédibilité donnée à la maladie, c'était beaucoup plus facile d'y inclure des personnes "saines" (pas des hard fêtards qui se bourrent de drogue). On sait que de nombreuses maladies lambda, les antibiotiques et d'autres traitements peuvent positiver les tests. Donc, ça n'avait rien de difficile de trouver ensuite des personnes globalement saines, mais déclarées séropositives lors d'un épisode "infectieux" (ou "saines", mais souffrant d'une maladie chronique pour laquelle elles prennent des traitements qui peuvent positiver le test). Surtout qu'on sait maintenant que la note de gueule compte fortement en cas de test incertain. Et puis, comme on considère que les gays sont très touchés par cette maladie, il y a évidemment beaucoup plus de gens qui se font tester dans cette communauté. Donc forcément, plus on fait de tests, plus on trouve de personnes menant une vie à peu près "saine".
Et bien sûr qu'il n'y a pas de lesbiennes fêtardes devenues séropositives. Comme l'orthodoxie dit qu'elles n'ont quasiment aucun risque de devenir séropositives, elles ne se font tout simplement jamais tester. Et pour les très rares qui le font, comme pour le médecin qui lit le test, il est quasiment impossible qu'une lesbienne soit positive, tout test un peu incertain sera considéré comme négatif.
On sait que 50 % des chiens sont positifs au test vih. Ça veut dire qu'eux aussi vont mourir précocement de stress oxydatif ?
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Je suis désolé, mais ça ne me semble pas confirmer les théories de Cheminot. Ça n'est pas plus efficace, ça entraine seulement moins d'effets secondaires.
Et à mon avis, il n'y a rien de surprenant là-dedans. Ce sont simplement les mêmes types de molécules que pour les autres thérapies, sauf qu'en bithérapies, elles sont moins fortement dosées. D'où les effets secondaires plus limités. Si tu prescris 1000 mg d'aspirine à quelqu'un et 500 mg à un autre, le deuxième aura moins d'effets secondaires, à cause du dosage plus faible, tout simplement. Si on augmentait les doses de la bithérapie décrite ici, on augmenterait aussitot le nombre et l'intensité des effets secondaires.
Si le 3TC était une molécule miracle pour les séropositifs, il n'y aurait quasiment pas d'effets secondaires, et même pas du tout. Mais là, il y en a.
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Je reste sur ma position, à savoir que l'effort du Perth Group pour défendre la théorie du stress oxydatif l'a emmené à beaucoup trop s'avancer sur la signification des tests de séropositivité qui selon eux, en dépit de leur non spécificité qu'ils ont beaucoup contribué à montrer, signaleraient quand même de toute façon un problème pathologique à prendre en compte chez les patients. Quant au rôle du sperme au niveau de la muqueuse anale en tant que susceptible de provoquer les mêmes effets que ceux du vih dans la théorie officielle, vih pour eux inexistant, cela me semble une théorie tout sauf sérieuse. C'est pourquoi - la signification de la séropositivité et les propriétés oxydatives du sperme - je considère que l'obstination du Perth Group à démontrer à tout prix la validité absolue de leur théorie Redox les a conduits à se fourvoyer, à plus ou moins se contredire, et à accentuer tout à fait inutilement le dissensus entre eux et Duesberg, et au sein de la dissidence en général.
Tout à fait d'accord. C'est à partir de là que ça a commencé à déconner. Jusque-là, les choses étaient claires, pas de vih, pas de sida ; les drogues récréatives et les médicaments sont la cause des symptômes. Ensuite, ça s'est mis à devenir illogique. Il y avait donc quand même une nouvelle maladie qui était le sida apparue chez les hard-fêtards gays au début des années 80, mais sans virus ? Et les tests permettraient comme par hasard de déterminer la possibilité de passer au bout de 20 ans au stade sida ? Ceci avec apparemment une très grande efficacité ? Et d'un seul coup, toutes les théories comme quoi c'était les traitements qui tuaient, pouf, passées à la trappe ? Ça devenait complètement n'importe quoi.
On peut y ajouter le fait qu'ils se sont mis à défendre l'éventualité d'utiliser les trithérapies.
Pour moi, c'était carrément une capitulation en rase-campagne. La théorie du Perth Group devenait la théorie orthodoxe, mais sans le vih. A part ça, pratiquement tout était pareil. Evolution super décevante.
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arnaque ou pas, Aixur, il faut tout de même les prendre, ces arv! c'est la seule issue sinon on tombe malade et tu vois ce qui se passerait sans traitement : la mort! et ils diront : refus de soins = suicide etc.....
le système (l'empire comme dit Nancy Banks) est si bien ficellé qu'une seule issue reste, en partie : les arv!
sinon, que proposes tu ? hygiène de vie, no stress etc.. on connait, ça peut améliorer mais la maladie (asthénie, infections réptées) est là.
le sida, on ne sait pas ce que c'est réellement, mais on sait très bien ce que ce n'est pas!
Mais non, il ne faut pas les prendre. Ce sont des médicaments qui tuent beaucoup moins vite que l'AZT à haute dose, mais qui tuent quand même à petit feu.
On ne tombe pas malade si on arrête de prendre les arv. Il y plein de gens qui sont intervenus sur ce forum qui en sont la preuve vivante. Depuis que j'ai montré qu'il fallait les arrêter progressivement (comme une corticothérapie), pratiquement plus personne n'a de problème important lors de l’arrêt.
Cela dit, vu que n'importe qui tombe malade de façon un peu forte au moins une fois tous les 10 ans, forcément, à un moment à un autre, un séropositif qui ne prend pas ses médicaments va tomber malade d'un truc bénin, mais un peu impressionnant. A ce moment-là, il ne faut pas se laisser avoir par le diagnostic du médecin, qui est complètement influencé par ses préjugés sur la séropositivité.
Bien sûr, je parle de gens qui ont une vie à peu près saine, pas du gars qui se drogue régulièrement, qui fume, qui boit, ou qui prend des médicaments pour d'autres maladies. Là, les pépins de santé vont être plus nombreux, et plus graves selon la puissance des substances qu'absorbe la personne.
Sinon, le sida, avec l'expérience qu'on en a maintenant, on peut en tenter la définition suivante :
Le sida, une fois que quelqu'un est diagnostiqué positif, c'est potentiellement n'importe quelle maladie ; parce que celle-ci va être interprétée par le médecin comme une maladie du sida. Il n'y a donc pas besoin d'être particulièrement en mauvaise santé. Tôt ou tard, un pépin de santé sera considéré comme la manifestation du sida.
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C'est une accusation qui me semble tout à fait fondée au contraire. Concernant son état, Jonathan Barnett, l'administrateur du forum questioningaids était en communication avec la femme de Gos. Elle lui a dit que le problème était une fibrose des poumons liée à la maladie de Crohn. Les médecins ont pensé à une infection, mais ils n'ont pas trouvé laquelle apparemment. Donc, de de coté là, les choses semblent assez claires. Sauf nouvel élément, il n'y a pas de diagnostic caché.
Et tel que les choses sont présentées par sa femme, il ne semblait pas du tout à l'article de la mort (voir mon premier message). Quand on a un problème pulmonaire et qu'on est proche de mourir, ça se voit assez clairement. Et si ça avait été le cas, les termes utilisés par sa femme auraient été très différents. Elle aurait dit dès le départ que c'était probablement la fin. Alors que là, elle semblait étonnée de l'évolution du diagnostic. Elle ne pensait pas à un truc très grave, et tout d'un coup, le diagnostic des médecins a été plus grave que ce qu'elle croyait. Mais même-là, elle ne pensait pas qu'il allait mourir si vite.
Et puis, il y a cette photo de Gos dans son lit avec son inhalateur d'oxygène :
Est-ce que c'est la photo d'un homme qui devrait mourir dans deux jours d'une maladie pulmonaire ? Clairement non.
Et de toute façon, il n'est pas mort tout seul. Il a été mis dans un coma artificiel : un coma potentiellement mortel si on retire l'appareil respiratoire. Et c'est ce qu'on a fait. On a supprimé l'oxygénation, et forcément, ça l'a tué. Donc, les choses sont claires. Il a été euthanasié suite à un diagnostic de phase terminale. Ce sont les actions des médecins qui ont conduit à cette mort si rapide. Ils l'ont fait parce qu'ils pensaient qu'il allait mourir à brève échéance (totalement à tort vu son état quand il est arrivé à l’hôpital. Ce sont leurs préjugés vis à vis du sida qui ont abouti à ce diagnostic erroné), et ils l'ont fait aussi vite parce qu'il était sous medicaid, donc, un patient pas rentable. Sinon, ils l'auraient probablement maintenu en coma artificiel pendant un ou deux mois.
Et le cas de Gos n'est absolument pas isolé. C'est d'ailleurs le but de ce topic : prévenir ceux qui sont encore en vie qu'une telle chose pourrait bien leur arriver. Cette façon de tuer le patient en le mettant d'abord dans un coma artificiel, puis en supprimant l'oxygénation est une des quelques méthodes d'euthanasie utilisées par les médecins de par le monde de façon courante. Et ça peut arriver non seulement aux séropositifs, mais également à n'importe quelle personne lambda, pour peu qu'on lui ait fait un diagnostic de stade terminal pour raison pulmonaire (ce qui fait un sacré paquet de monde).
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Effectivement, le fait qu'on ne soit pas d'accord sur de nombreux éléments pose problème, notamment sur la signification des tests et la nécessité des trithérapies. Pour répondre aux questions.
Tout le reste fait débat, et notamment :
- Les preuve de l'isolation d'un rétrovirus exogène dénommé VIH, qu'il soit infectieux ou non (a-t-on démontré son existence ou non)
- La signification des tests de séropositivité (indiquent-ils parfois quelque chose sur l'état de santé général ou non)
- Le rôle des pratiques sexuelles, et notamment la toxicité du sperme déposé dans le rectum (est-ce une pratique potentiellement dangereuse ou non)
- Le mode d'action de l'AZT (s'agit-il d'un terminateur d'ADN ou non) et par extension des autres ARV du même type (les inhibiteurs de transcriptase inverse)
- La balance bénéfice/risque de la prise de certains ARV pour les séropositifs (est-ce utile d'en prendre dans certains cas ou non)
- Au final, l'existence du sida comme définissant un ensemble de maladies traditionnellement rares et étant apparues de façon plus fréquente, notamment chez les groupes à risque, depuis la fin des années 70, et ce indépendamment des traitements antiobiotiques et ARV utilisés ensuite contre ces maladies.
- Non
- Oui, mais non (parce que le mauvais état de santé en question est généralement temporaire. Et quand ça ne l'est pas, on n'a pas besoin du test pour se rendre compte qu'il y a un problème). Je pense que la question devrait plutôt être : "ont-ils un pouvoir de prédiction d'une futur dégradation fatale de la santé ?"
- Non (les déjections qu'il y a dans l'anus devraient également nous rendre malade)
- Non (L'AZT est selon moi un simple analogue d'antibiotiques, ou pour être plus parlant, d'anticoagulants. Et pour les ARV, de simples analogues d'anti-inflammatoires, c'est à dire, aux doses où ils sont utilisés, des équivalents de cortisone)
- Non (de simples analogues de cortisone pour l'essentiel, donc, une arnaque totale)
- Non (les diagnostics sont influencés par les croyances qu'ont les médecins. Une grippe peut être diagnostiquée comme étant une pneumonie, un mal de tête récurent comme de la toxoplasmose, etc... Quant aux groupes à risques du début, il s'agissait essentiellement de gens ultra drogués à l'époque (gays fêtards hardcore multi-drogués, hétéros drogués à l'héroïne...). De toute façon, c'est clairement le supposé virus qui donne une réalité au sida. Sans le virus, on ne voit pas pourquoi le sida en aurait la moindre. Sans le vih, il n'y a plus rien qui unit ces maladies, à part le diagnostic initial de séropositivité et le fait qu'il influence ensuite les diagnostics suivants)
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Un dissident séropositif dénommé Gos Blank (que je ne connaissais pas jusque-là) est décédé il y a deux jours.
Son cas est exemplaire de la façon dont la médecine peut tuer, non seulement les séropositifs, mais aussi les gens "ordinaires". D'où l'intérêt d'en parler ici pour que d'autres personnes ne tombent pas dans ce genre de piège.
Voici comment ça s'est passé. Il est allé à l’hôpital pour un problème de maladie de Crohn ainsi que des problèmes pulmonaires non identifiés (le couple ne savait pas s'il s'agissait d'une grippe ou d'une pneumonie). Apparemment, les problèmes pulmonaires n'étaient pas les plus graves, puisque c'était la maladie de Crohn qui était mise en avant comme la cause primaire de la consultation. Et même pour la maladie de Crohn, il ne semblait pas vraiment s'affoler. Il est dit qu'il "a fini par aller à l’hôpital" (dixit sa femme "We're at Cy-Fair ER right now. Gos finally decided it was time to get treatment for the Chron's and whatever else is going on (flu, pneumonia, who knows)"). Ce qui laisse clairement entendre qu'il y allait en trainant un peu du pied, pas pour une urgence vitale.
A l’hôpital, connaissant son statut de séropositif, les médecins ont posé un diagnostic de fibrose pulmonaire.
Au début, ils l'ont mis sous oxygène. Il semblait alors aller encore bien ("After so much doom & gloom, Gos texted me that he is feeling better & thinks he is finally improving")
Puis, ils l'ont intubé pour le mettre sous respiration artificielle. Seulement, comme l'intubation n'est pas agréable, ils l'ont endormi, autrement dit mis sous coma artificiel (avec de la morphine ou un analogue du genre opiacé). C'est une chose que les médecins font souvent dans ces cas-là, à cause des problèmes d'agitation du patient. Sauf qu'au départ, ils ne lui avaient pas précisé qu'ils l'endormiraient.
Seulement, une fois endormi, ils se sont tout d'un coup mis à considérer qu'il était dans un état terminal et que ça ne servait donc plus à rien de maintenir la respiration artificielle.
Comme sa compagne n'est apparemment pas une dissidente du sida (et donc encore moins pour le reste de la médecine bien sûr), elle a cru ce que les médecins disaient. Elle ne s'est donc pas opposé à leur proposition d'arrêter l'assistance respiratoire. Pour elle, si les médecins disaient que tout était fini, c'est que c'était vrai.
Seulement, le problème, c'est que les doses de morphine administrées lors d'une assistance respiratoire sont des doses mortelles sans l'assistance en question. Donc, arrêter l'assistance respiratoire sans arrêter la morphine, c'est clairement condamner à mort la personne.
Autre possibilité. Il est dit que peut-être qu'il a été désintubé et réveillé pour que sa femme puisse lui dire au revoir (les médecins ont posé la question à sa femme en tout cas, mais on ne sait pas ce qu'elle a répondu). Ceci pour le remettre ensuite à nouveau sous sédatif afin qu'il puisse partir sans douleur. Donc, dans ce cas, on lui aurait mis une dose mortelle de sédatif une fois endormi.
Ca a l'air monstrueux dit comme ça, mais dans l'esprit des médecins, ça ne l'est pas, puisqu'ils pensent (à tort) que le patient ne va de toute façon pas survivre. Donc, pour eux, c'est au contraire un acte humaniste de laisser partir la personne de cette façon, même s'il s'agit clairement d'une euthanasie.
Bref, le pauvre Gos est donc arrivé à l’hôpital avec quelques problèmes de santé apparemment absolument pas vitaux, et il en est ressorti mort, tué par les médecins.
C'est comme ça que non seulement des séropositifs, mais également plein de personne lambda se font tuer par les médecins à l'hopital.
Détail important, il est était sous médicaid, une aide financière de l'état Américain je crois. Les remboursements sont très lents et beaucoup de médecins n'acceptent pas de patients couverts par ce système. Du coup, il est probable que ça ait fortement accéléré la décision des médecins de le débrancher. Médecins humanistes, mais réalistes quand même...
Leçon de l'histoire. Il ne faut surtout pas se laisser intuber quand on a ne serait-ce que le début d'une ombre de suspicion que les médecins vont vous coller un diagnostic de phase terminale sur le dos. Là, c'est leur donner un permis de tuer. Et c'est encore plus vrai si votre compagne ou compagnon respecte la médecine aveuglément.
Cela dit, dans le système américain, même si le ou la conjoint(e) veut faire ranimer la personne, je crois que les médecins gardent de toute façon la main et peuvent tuer la personne de leur propre chef. Le conjoint peut éventuellement imposer son point de vue, mais au prix d'un gros rapport de force. -
Concernant les statines, j'ai la forte impression qu'en réalité, ce sont des analogues d'anticoagulants (ou d'antibiotiques, c'est la même chose).
Ce site donne la liste d'effets secondaires suivants :
"La liste des effets secondaires des médicaments de la classe des statines ne se limite d’ailleurs pas aux muscles. Elle est bien longue. On y trouve des troubles hépatiques et digestifs, des maux de tête, des insomnies, des allergies cutanées, des œdèmes… Autres problèmes possibles : douleurs articulaires, fourmillements (paresthésies), vertiges, problèmes de mémoire, impuissance, alopécie. Sans parler des interactions médicamenteuses, fréquentes avec les anticoagulants et encore certains antibiotiques ou antihypertenseurs."
Ce sont tout à fait les effets que peuvent entrainer les anticoagulants ou les antibiotiques.
Et d'ailleurs ici, on trouve :
"Un article paru dans Archives of Neurology montre que chez les malades ayant eu un accident vasculaire cérébral hémorragique et n'ayant pas par ailleurs de facteurs de risque cardiaque type infarctus du myocarde, le traitement par statines comparativement au placebo réduisait l'espérance de vie en augmentant le risque de récidives hémorragiques."
Donc, ça augmente le risque hémorragique, comme le ferait un anticoagulant. Bref, les statines, c'est encore un analogue d'anticoagulant ou d'antibiotiques que la médecine tente de faire passer pour un médicament particulier. De la même façon que les médicaments de la trithérapie sont en réalité pour la plupart de simples analogues d'anti-inflammatoires que la médecine essaye de faire passer pour des médicaments complètement différents.
Si tu prenais des anticoagulants par ailleurs, forcément, ça n'était pas bon du tout.
En plus, sur le long terme, les anticoagulants augmentent probablement le risque de pertes de mémoire. En effet, ils doivent provoquer régulièrement des micro-hémorragies dans le cerveau. Du coup, à terme, il y a de plus en plus de zones du cerveau endommagées. D'où les pertes de mémoire (les analogues d'opiacés ne sont pas bons non plus à ce niveau-là, mais pour une autre raison). Ca esquinte aussi toutes les autres zones du corps, mais, le cerveau se répare beaucoup moins bien que les muscles ou le foie par exemple.
C'est vrai que quand quelqu'un prend des anticoagulants, on contrôle régulièrement (normalement) la capacité de coagulation du sang. Mais le problème, c'est que le contrôle n'est fait que tous les mois. Or, il a été mesuré que 40 % du temps, l'effet des anticoagulants est hors zone d'efficacité, c'est à dire que soit le sang ne coagule pas assez (risque d'hémorragies) soit il coagule trop (risque de caillots). Donc, malgré les contrôles, le risque d'hémorragie persiste (et le risque de caillots aussi).
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... auquel rien ne se substituera jamais à part une chimie aux effets ressemblants. Selon que l'angoisse de la vie soi plus ou moins forte chez les individus, ce style de drogues deviennent des pièges qui transforment la vie en enfer. En voulant nous soulager de nos angoisses qui n'avaient rien à voir avec la drogue avant que nous en prenions, nous ajoutons à nos maux celui de l'addiction et de ses contre-coups.
L'histoire est connue.
Le sevrage de la tri à des effets sur l'attention et je me sens troublé au plus profond de mon être, presque comme si je devais résister à une perte de concentration.
Les pensées vaporeuses et volages qui vont et viennent en me faisant m'activer de façon plus désordonnée qu'à l'accoutumé m'ont perturbé durant les 4 premiers mois.
Un jour d'innatention alors que je ne gobais plus qu'un quart d'issentress selon mon programme de sevrage, en discutant, j'ai machinalement gobé le comprimé entier.
Aprés avoir vainement tenté de le rendre, j'ai passé plutôt speed . Les jours suivants, j'ai eu l'impression d'avoir provoqué une regression et de nouveau d'être troublé par des confusions. Il y a déjà 1 mois et demi de cela et j'en sors à peine. Peut-être rien à voir, il peut s'agir de toute autre chose que de se surdosage et en tirer références serait pour le moins hasardeux.
Cependant, dans ces moments, mieux vaut ne pas avoir de grandes responsabilités, un entourage à l'écoute et respectueux pour augmenter ses chances de succès, et un site sur lequel échanger comme ici.
A+.
En fait, la plupart des médicaments de la tri sont des excitants, comme le café. Donc, comme tu prends aussi des analogues d'opiacés (qui sont des calmants), tu prends en même temps des excitants et des calmants. Tu prends des produits dont les effets s'opposent.
Donc, en diminuant les doses de trithérapies, l'effet des analogues d'opiacés devient plus présent. Or, les analogues d'opiacés provoquent des pertes de concentration. C'est pour ça que tu as des problèmes de concentration depuis que tu as commencé à te sevrer.
Les analogues d'opiacés provoquent aussi des pertes de mémoire immédiate. C'est pour ça qu'un jour, tu as oublié que tu avais pris un comprimé l'instant d'avant (*).
D'ailleurs, il doit y avoir plein de cas de soi-disant suicides qui sont liés en réalité à des problèmes de mémoire immédiate causés par la prise de médicament de type opiacés. Une personne qui prend par exemple des somnifères, ou des anti-douleurs de type opiacés, ou des calmants, etc..., va avoir des problèmes de mémoire. Et du coup, elle peut oublier qu'elle a pris son médicament il y a 5 minutes. Donc, il peut arriver qu'un jour, elle en prenne un, puis un autre 5 minutes après, puis encore un autre, etc..., et qu'elle fasse une overdose involontaire.
C'est pour ça qu'il faut faire très très attention quand on prend ce genre de produits analogues d'opiacés. Il faut vraiment faire en sorte de ne surtout pas dépasser les doses journalières (avec un semainier ou des astuces comme ça). Heureusement, comme l'effet des analogues d'opiacés diminue rapidement au cours du temps (à dose égale bien sûr), si l'état de la personne est stabilisé (je veux dire par là que l'opiacé ne provoque plus de somnolence, de constipation, de baisse de tension, etc...), il y a moins de danger. Mais quand l'effet augmente à nouveau (parce qu'on remplace le produit par un autre plus puissant, ou qu'on prend un produit supplémentaire ayant les mêmes effets, ou qu'on augmente les doses, ou qu'on se met à boire ou à fumer plus que précédemment, ou comme ici parce qu'on diminue les doses de produits excitants), là, il y a danger.
PS (*) : Et c'est pour ça que tu as passé une journée speed le jour ou tu as pris machinalement de l'isentress. C'est parce que c'est un excitant. Donc, en prenant 4 fois la dose habituelle, c'est comme si tu avais pris disons 7 cafés d'affilé.
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Ah oui. La prise de ces médicaments change bien des choses, aussi bien pour l'histoire de ta séropositivité au VIH, que pour les diverses hépatites, et enfin que pour le sevrage de la trithérapie.
Si ta séropositivité est postérieure à 1984, il est clair que ce sont les traitements anticoagulants qui sont à l'origine de celle-ci, en conjonction avec l'usage d'opiacés (si tu en consommais déjà à ce moment-là bien sûr).
Les tests d'anticorps réagissent en fait à la densité de particules (pas seulement à celles du soi-disant vih, mais à toutes les particules) dans le sang ; c'est à dire qu'ils mesurent le taux de concentration du sang. Or, les anticoagulants provoquent une désagrégation des particules en plusieurs autres (donc une multiplication des particules dans le sang, et du coup une augmentation de la densité de particules). Donc, il est certain que ce sont eux qui ont provoqué la séropositivité. Et comme l'usage d'opiacés ou d'analogues d'opiacés entraine un ralentissement de l'élimination des particules en suspension dans le sang, ça a participé à l'augmentation de la concentration du sang et donc à rendre le test vih positif.
Ça a été le cas aussi pour la réaction positive aux différents tests d'hépatite. Les tests d'hépatites sont tout aussi bidons que les tests vih et réagissent eux aussi uniquement à la concentration du sang. C'est pour ça que tu as réagi positif à toutes les hépatites. Avec la prise d'anticoagulants et d'opiacés (ou analogues), ça faisait un cocktail explosif qui entrainait un risque bien plus élevé de réagir positif à toutes les tests d'hépatite plutôt qu'à un ou deux.
Cela dit, en dehors du fait que tu as réagi positif à tous les tests d'hépatite, ton cas n'a rien d'exceptionnel, il y a plein de gens qui ont réagi positif au vih ou à un test d'hépatite à cause de la prise d'antibiotiques (qui sont en réalité des médicaments identiques aux anticoagulants).
Du coup, pour le sevrage de la trithérapie, c'est différent. En fait, comme les anticoagulants sont des médicaments du même type (mais plus puissants) que ceux de la trithérapie, on peut dire que même si tu arrêtes totalement la tri, tu ne seras pas vraiment sevré. Tu ne le seras qu'à moitié. Parce que tu continueras à prendre des médicaments équivalents.
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En tous cas, pas de fièvre ni infections opportunistes (hormis une grippe qui, l’hiver dernier, a frappé la famille
sans distinction et s’est soignée d’elle même) mais: des troubles de la concentration; confusion; idées noires;
manque d’appétit, articulations douloureuses; crampes sont les désordres rencontrés.
Bonjour Steph1950
Bienvenu sur le forum.
Les symptômes en question sont tout à fait typiques du sevrage de la trithérapie. En fait, la trithérapie, c'est la même chose que la prise de cortisone. Quand on arrête la cortisone, on a aussi ces effets-là ; tout simplement parce qu'en réalité, ces médicaments sont identiques. C'est pour ça qu'il faut arrêter la trithérapie progressivement, exactement comme on le fait pour la cortisone.
J'en parle ici : http://www.sidasante.com/azt/tritherapie_egale_corticoides.html
Normalement, après quelques mois d'arrêt définitif, les symptômes devraient s'estomper.
Cela dit, il faut voir aussi si tu ne prends pas d'autres médicaments. Souvent, les médecins administrent d'autres médicaments pour contrer les effets secondaires de la trithérapie. Et bien sûr, ces médicaments sont également très mauvais.
Quelques Questions
dans Sida et séropositivité : causes, facteurs, « transmission », agents oxydants et stress oxydatif…
Posté(e)
Ben ça, c'est un problème entre Etienne de Harven et E&R. Cela dit, dans la vidéo, je n'ai vu nulle part qu'Etienne de Harven était présenté comme faisant partie ou étant sympathisant de la mouvance E&R. Donc, qu'il ait été "piégé" dans le sens où on l'a fait participer à quelque chose auquel il ne voulait pas participer, ok ; mais pas dans le sens où il aurait été présenté comme sympathisant ou participant d'E&R. Or, c'est ce dernier point le plus important.
Et puis, bon, c'était aussi à Etienne de Harven de faire attention et de se renseigner sur là où il mettait les pieds. Si une organisation qui fait des reportages vient d'être montée et n'est connue de personne, on essaye de laisser passer un peu de temps avant de voir s'il y a quelque chose d'autre derrière. A plus de 70 ans, se faire avoir comme ça, ça craint. Ça fait vraiment erreur de débutant.
Par ailleurs, apparemment, Marc Georges a été viré ensuite de E&R. Donc, c'était peut-être les méthodes de Marc Georges lui-même qui posaient problème et pas celles de E&R en général.
Sinon, pour l'autre thèse sur le sida présentée par E&R, ils ont là-encore le droit de faire ce qu'ils veulent. E&R, ça n'est pas sidasante, et inversement. Donc, ils n'ont aucun compte à rendre à la dissidence. Evidemment, je trouve dommage qu'ils donnent dans la théorie du virus introduit délibérément. Mais bon, je le répète, ils font ce qu'ils veulent. Cela-dit, le lien qui est chez eux en permanence, c'est quand même celui de sidasante. Donc, la thèse qui est la plus mise en avant via ce lien, c'est bien celle du virus inexistant ou non pathogène.