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aixur

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Messages posté(e)s par aixur

  1. Cette technique qui consiste à énumérer simplement ce que disent les dissidents et à balancer juste après, "vous vous rendez compte. Ils pensent ça, alors que c'est évident que c'est ridicule !" est vraiment nulle et d'une paresse intellectuelle totale.

    C'est la technique typique du journaleux qui ne connait visiblement rien au sujet qu'il traite, qui doit le traiter en 1 heure, et auquel on a confié la mission de débiner tel ou tel courant de pensée.

    Bref, comme le dit Dak, il n'y a rien dans ce truc.

  2. Aaaaah. Ben voilà, Duesberg vient enfin à l'idée que le virus n'a jamais été isolé. Excellente nouvelle. Effectivement, c'est historique. La cohérence règne à présent dans la dissidence. On ne pourra plus nous attaquer sur ce point.

    C'est vrai que Scohy va loin dans ses théories. Ils sort des trucs chocs, mais intéressants. Cela dit, effectivement, on se demande des fois s'il n'est pas un peu cavalier dans ses affirmations. Et dans la mesure ou il n'y a pas beaucoup de détail sur son site (il faut s'abonner je crois), difficile de savoir sur quoi il se base pour affirmer telle ou telle chose. Par exemple, sur le sel, dont il préconise d'en manger beaucoup, qu'en penser ? Mystère...

    Pour maggiore, effectivement, j'avais cité son cas dans "le sida un canulard, le retour".

    Donc, on a d'un coté, 6 morts, dont trois qui continuaient à prendre des drogues, un qui a du avoir une maladie pos opération (donc, très probablement due à l'opération, et pas microbienne, mais due au stress oxydatif), une qui est morte de maladie naturelle classique (ie. un cancer. Quoique moi, je crois qu'ici aussi, les drogues tuent tout autant que pour le SIDA) et un pour lequel on ne sait pas.

    De l'autre, on a des milliers de dissidents ayant laissé tomber leur médicaments et étant en bonne santé. Dont, parmi les gens connus, Mark Griffith ici présent, Christine Maggiore, les responsables de plein de sites ou forum dissidents, comme Rob Knoll. Y a pas photo...

  3. Ah ok. Pour James Scutero, il semble aussi qu'il parlait du chemin mais ne prenait pas le chemin. Apparemment il continuait à prendre du combivir (apparememnt de l'AZT et du 3TC) du viracept (à ce qu'il parait c'est du nelfinavir) depuis des années.

    Voilà un de ses messages : " While my combination of combivir (AZT/3TC) and viracept (nelfinavir) seems to be working for me, I recognize that not everyone is doing so well."

    Il ne reste donc plus que le cas de David Pasquarelli.

  4. J'étais quasiment sur que Sylvie Cousseau était morte d'un cancer (ou plutot, des suites d'un cancer). Le diagnostic de cancer, c'est bien une des seules rares choses qui peut amener un dissident convaincu (pas ceux du genre Michael Callen) et vivant une vie à peu près saine (ce qui semblait le cas de Sylvie) à reprendre des médicaments.

    Le diagnostic de cancer, pour un dissident, c'est vraiment le danger de replonger dans le monde des drogues mortelles de la médecine. Parce que là, il y a vraiment quelque chose de réelle (une excroissance de chaire). Pour pas mal d'autres maladies, ils auront recours aux médecines alternatives. Mais, en général pas pour le cancer.

    A mon avis, il serait intéressant de savoir de quelle maladie sont morts Jack Levine et James Scutero.

    ---------

    Bon, j'ai fait la recherche pour Jack Levine (mort à 47 ans). Une de ses soeurs ou un de ses frères raconte ce qui s'est passé. C'est un peu différent. En fait, il s'est fait opérer d'une douleur à l'aine. Juste avant ou juste après l'opération, des tests ont été faits et le docteur à trouvé que Jack avait un lymphome (un cancer des ganglions). Il l'a annoncé à Jack peu après l'opération. Il devait commencer une chimio ou l'avait déjà commencé quand s'est développé une pneumonie. Il était assez délirant et avait l'air très malade. Rapidement (quelque jours, je suppose) il a été mis en unité de soins intensifs. On lui donnait apparement de grosses doses de morphines. Il est tombé dans le comas. Puis, il a développé une insuffisance rénale. Vers la fin, il était bouffi (le frère ou la soeur dit que c'est à cause du lymphome, je pense plutot à la morphine ou un autre médicament). Le docteur a finalement ramené le taux d'oxygène de la machine qui le maintenait en vie à un taux normal. Ce qui l'a fait mourir de façon naturelle quelques heures plus tard.

    Concernant son style de vie, apparement, il fréquentait un bar gay depuis longtemps et n'avait jamais eu de relation stable. Est-ce qu'avec cette vie nocturne il prenait des drogues ou buvait beaucoup ? Ce qui aurait causé sa douleur à l'aine et l'aurait fragilisé pour l'opération. Mystère...

    A mon avis, ce qui s'est passé, c'est une opération qui a engendré un fort stress oxydatif sur un terrain peut-être déjà fragilisé dont les suites se sont mal passées et qui a déclenché une pneumonie. Et comme il était catalogué séropositif, rapidement, on l'a bourré de drogues diverses (peut-être aussi pour le lymphome) qui ont fini de l'achever.

    Il ne reste donc plus que James Scutero et David Pasquarelli sur lesquels on ne sait pas. Je vais essayer de trouver des infos.

  5. Concernant l'abus de sexe, ça ne semble pas si absurde que ça. Les dissidents qui défendent ce point de vue parlent bien de sexe avec réception anale. Or, les parois de l'anus sont des muqueuses. Et avoir 10 relations anales par jours, ça entraine forcément un grand risque de fragiliser la muqueuse. Ensuite, c'est une muqueuse qui n'est pas faite pour recevoir du sperme à l'origine. Donc, si en plus, elle est irritée, il y a risque que les protéines étrangères à l'organisme qui consituent une partie du sperme passent dans le corps et provoquent un stress oxydatif. Les préservatifs lubrifiés ne sont apparemment pas une solution parce que certains dissidents soulignent qu'ils contiennent du bunzène.

    Ca ne suffit probablement pas à tuer ou rendre gravement malade un individu. Mais, il faut voir que ce genre de comportement sexuel est généralement associé un style de vie globalement mauvais pour la santé. Le gars qui va presque tous les soirs en boite pour partouzer avec 10 mecs différents, n'a en général pas une hygiène de vie très saine. Ces comportements sont associés avec une faible quantité de sommeil, un environnement souvent enfumé (dans les boites), la consommation d'alcool, éventuellement de drogues, et très souvent, d'antibiotiques à répétition (un témoignage datant des années 70/80 signale que les antibiotiques étaient distribués à l'entrée des boites homo pour lutter contre la syphilis et les autres MST. Et que, même sans ça, les homo en prenaient presque quotidiennement pour lutter contre ou prévenir les MST). Donc, ce n'est probablement pas une cause principale, mais une cause parmi d'autres dans un ensemble de comportements et d'habitudes mauvaises pour la santé.

    La comparaison avec les prostituées ne tient donc pas tellement, à mon avis, puisqu'en général, ça se passe par le vagin, qui est fait pour ça à la base et donc, capable de supporter cet afflux de protéines étrangères sans trop de dommage. On me dira que les protéines étrangères, dans l'anus, ça ne manque pas, et c'est vrai, mais en général, on ne fragilise pas les muqueuses avec 10 relations par jour. Et puis peut-être que l'anus peut contenir de la merde sans dommage, mais pas du sperme. Concernant les acteurs de films pornos, ils ne font pas ça non stop. Mais, pour les acteurs de films pornos avec réception anale, ça peut être mauvais, effectivement. Surtout si c'est associé à un style de vie plutot négatif pour la santé. Mais, un film porno, c'est tourné en 3 jours et les acteurs n'en tournent pas 300 dans l'année.

  6. Bonjour Crepator4,

    Dans la théorie du docteur Clark, je retiens surtout l'éventuelle influence du benzène. Dans la mesure ou il souligne que la douve vie la plupart du temps en harmonie avec l'organisme, on peut penser que ce n'est qu'un des multiples nettoyeurs du corps, au même titre que les bactéries. Et donc, que le vrai problème pourrait se situer uniquement au niveau du benzène.

    Cela dit, quand on voit le nombre de choses qu'il recommande de ne plus utiliser, c'est pas évident. Autant, pour les aliments, ça se rapproche tout à fait d'une alimentation saine, autant, la suppression des champoings, des savons, et des boissons telles que les eaux minérales ou les jus de fruits, pas évident de s'en passer (parce que l'eau du robinet est à mon avis bien plus polluée que les eaux minérales).

    Et puis, ne retenir que le benzène comme facteur principal (ou ici, cofacteur principal) du SIDA, ça me parait assez n'importe quoi. C'est oublier très vite l'influence des drogues, et des médicaments comme l'AZT, qui sont clairement des facteurs bien plus importants. Ce qui ne veut bien sur pas dire que le benzène n'ait aucune influence et ne puisse pas, chez certaines personnes être responsable de maladies proches du SIDA. Mais en faire l'explication ultime, c'est osé pour le moins.

    Par ailleurs, il retient l'hypothèse que le VIH existe (même s'il met le VIH presque à la poubelle tellement, dans sa théorie, il a peu d'importance). Et là, il retarde pas mal. Voir sidasante

  7. Bonjour Terry, bonjour Cheminot,

    Le problème, c'est qu'on ne sait pas trop de quoi sont morts exactement ces gens et, pour certains s'ils prenaient des médicaments par ailleurs, ou des drogues, etc...

    Apparemment, il y aurait 5 dissidents américains ou anglais qui seraient morts : Michael Callen, Huw Christie, Jack Levine, James Scutero et donc, David Pasquallari. Plus une en France, la femme de Mark Griffith : Sylvie Cousseau.

    Pour Michael Callen, on sait à peu près de quoi il retourne. Voici ce qu'en dit Rob Knoll, l'administrateur du forum AIDSMYTHEXPOSED :

    "Michael Callen n'était pas vraiment un dissident là où ça compte le plus : ses actions. Un jour, il a choqué une assemblée de dissidents à la conférence "Alternative SIDA" de 1992 à Amsterdan, quand il a levé un sac en plastique rempli de 56 pillules qu'il prenait quotidiennement. Aucune de ces pillules n'était des médicaments anti-VIH, mais la plupart étaient, d'une façon ou d'une autre, des produits pharmaceutiques. Callen, qui reconnaissait être un fou de sexe (pig bottom ?) avait également un passé, dont il parlait d'ailleurs avec une franchise désarmante, d'un niveau d'activité sexuelle que j'oserais dire à la limite de la frénésie (bordered promiscuity), associée avec l'usage de poppers (ce qui était à la mode à cette époque).

    A propos de Huw Christie, Rob Knoll ajoute : "il y a des rumeurs comme quoi Huw Christie était, au moins durant ses dernières années, pareil que Callen, un dissident qui "parlait seulement du chemin", mais qui "ne prenait pas le chemin".

    Ca fait déjà un cas assez clair (mort par abus de médicaments, même si ce n'était pas à proprement parler des médicaments anti-VIH) et un autre bien louche du point de vue de la dissidence et qui est probablement mort aussi par abus de médicaments.

    Ensuite, il faut voir de quoi sont mortes les personnes en question. Parce qu'une personne morte d'un cancer, ça rentre plus ou moins dans le cadre des maladies opportunistes du SIDA. Mais, on sait que les traitements du cancer tuent beaucoup plus surement que le cancer lui-même. Alors, si une ou deux de ces personnes ont été diagnostiquées cancéreuses et ont pris des médicaments anti-cancéreux, il ne faut pas trop se poser de question sur la raison de leur mort.

    Il faut voir également si ces personnes, si elles ont eu une maladie autre qu'un cancer, ont été traitées par la médecine classique et ont pris des médicaments particuliers. Cheminot a par exemple mis en avant le fait qu'une certain nombre d'antibiotiques ont un effet oxydant puissant.

    Cela dit, comme le dit Cheminot, il est bien probable que certaines personnes aient été affectées de façon définitive durant la prise de leur traitement. On constate par exemple que certaines personnes qui ont subis des rayons lors de traitements anti-cancéreux voient leur chair devenir fibreuse aux endroits touchés par les rayons (bref, elle a été carrément brulée et n'a pas pu être reconstruite correctement par le corps). Il est possible que les traitements comme l'AZT, en esquintant certaines zones très sensibles au stress oxydatif comme les poumons, rendent fibreuse la chaire et rendent la personne très sensible au moindre élément agressant cette zone. Exemple, un coup de froid qui se transforme en pneumonie pour une personne dont les poumons ont été esquintés.

    On constate aussi que certains dissidents continuent à souffrir plus ou moins de candidoses après l'arrêt des traitements. Or, il semble que certaines préconisent une alimentation contenant peu de fruits et plutot des protéines pour lutter contre ces candidoses. C'est exactement le contraire qu'il faut faire. Or, l'abus de protéines a plus que tendance à bousiller les reins et le foie.

    A mon avis, je crois que si on avait accès à l'historique de chacun de ces dissident mort, on aurait, la plupart du temps, assez facilement une explication.

  8. Très bien que les agissements de ces ordures soient exposées au grand jour dans la presse. Apparemment, ces misérables commencent à trembler. Tant mieux. J'espère que ça conduira le plus vite possible à la fermeture de cet abominable centre de torture.

    Je vais écrire un mot d'encouragement à Liam Scheff. Il faut encourager ce genre de bonne volonté.

  9. Bonsoir

    Le seul vaccin contre le $ida qui sera efficace sera un vaccin contre la connerie humaine. A essayer d'abord (en double aveugle et oiellères blindés bien sûr) sur les scientifiques qui le concoivent, et ensuite sur leur commanditaires politiciens. Si ça marche, il n'y aura plus de $ida .

    Bonne nuit

    icon_ange.gificon_bravo.gif

    Ahahaha, excellent.

    Sinon, à propos des chercheurs en cancérologie qui cherchaient un rétrovirus et qui se sont reconvertis dans la recherche contre le SIDA, je croyais au début de mes lectures dissidentes, que ça ne concernais que l'entourage de Gallo et quelques autres.

    Mais en fait, j'ai entendu plus tard dans l'interview de Etienne de Harven qui est sur ton site, qu'en fait, ce sont quasiment TOUS les labos de recherches qui essayaient de trouver un lien entre cancer et virus qui se sont reconvertis comme un seul homme, et du jour au lendemain, dans la recherche sur le SIDA. Un tel mouvement d'ensemble soudain, dans le genre corruption généralisée..., c'est fort.

  10. Très intéressant ce résumé.

    Surtout que jusque là, je n'avais pas encore lu toutes les révélations sur l'étude ayant servi à mettre l'AZT sur le marché. J'avais lu qu'effectivement, la procédure "doube aveugle" n'avait pas été respectée et que chacun savait qui prenait quoi, mais sans savoir quelles conséquences ça avait eu. Dans ce texte, tout s'éclaire.

    En fait, il y avait plein de personnes dans l'échantillon "placébo", de l'étude, qui prenaient également de l'AZT (via d'autres personnes de l'échantillon "AZT" qui leur en fournissait, ou via des médecins faisant partie de l'étude). Bien sur, tout ça en étant toujours considérés comme faisant partie du groupe "placebo". Forcément, ça change tout. Presque tous le monde prenait de l'AZT en réalité. Il n'y avait pas de groupe placébo. Pas étonnant que les résultats aient été à peu près les mêmes dans chaque échantillon. Et donc, certainement que la plupart des morts du groupe placebo sont dus à l'AZT.

    En plus, il y a eu des personnes sauvées de la mort dans le groupe AZT par des transfusion sanguines multiples. Sinon, le bilan aurait été plus négatif.

    Edit : en plus, certains effets secondaires très graves du groupe AZT n'étaient pas pris en compte : Pire encore, le formulaire de rapport des cas a été falsifié. Des patients prenant de l’AZT et qui sont presque morts d’anémie ont été définis comme "n’ayant présenté aucun effet secondaire".

    Dans le genre étude frauduleuse, c'est très fort. Et ça jette la suspicion sur les études en double aveugle en général.

    En tout cas, comme je crois que c'est la seule étude AZT contre placébo, ça veut dire qu'il n'y en fait jamais eu une seule étude (honnête) AZT contre placébo (à moins qu'il y en ait eu une au début des années 90, qui a conduit au retrait de l'AZT, je n'ai plus trop le truc en mémoire).

  11. Avec Cheminot, on avait aussi analysé les chiffres de mortalité, taux de natalité, espérance de vie, etc..., de l'Ouganda, qui étaient également en totale contradiction avec la thèse d'une explosion de SIDA dans ce pays.

    Décidemment, les statistiques africaines officielles du SIDA s'enfoncent chaque jour un peu plus dans le ridicule.

    Quand je pense que c'est la seule chose qui permet encore de maintenir le mythe. D'ailleurs, quand on informe les gens de l'existence de la dissidence, ceux qui refusent d'y croire sortent souvent avec un air de triomphe "Et le SIDA en Afrique ?", en pensant que c'est un argument définitif. Et quand on leur démontre par A+B que c'est bidon, alors là, souvent, hélas, c'est le moment où il refusent de nous croire. Parce que pour eux, c'est tellement évident que l'Afrique meure du SIDA qu'il leur est impossible de penser le contraire.

  12. Ah oui. C'est clair qu'il est TRES possible qu'il y ait une relation. En tout cas, ça fait partie des causes de faux positifs. Je crois que tu avais dis aussi que tu avais pris un extasi deux ou trois jours avant le test ? Tout ça mis ensemble...

    Il semble claire que les adjuvant des vaccins entrainent un stress oxydatif. A mon avis, ce que mesurent les tests de séropositivité, c'est la création de nouvelles cellules (je dis ça parce que les tests ont été conçus, si je me souviens bien, à partir de cordons ombilicals, et également, de cellules cancérisées et stressées). Or, ces nouvelles cellules, il en apparait lors de phase de croissance de l'individu (donc, dans un cordon ombilical, il doit y en avoir beaucoup), et lors de phase de réparation de l'organisme. Donc, après un stress oxydatif, le corps se répare, créant de nouvelles cellules. Et si on fait un test à ce moment-là, le résultat à des chances bien plus grandes d'être positif.

    Forcément, si le corps a reçu une agression, il y a des chances que la personne soit plus ou moins mal en point, ait de la fièvre, un rhume. Du coup, la personne est d'autant plus enclinte à croire qu'elle a été contaminée, et que le test est juste, puisqu'elle a des symptomes visibles.

    En tout ca, cette histoire de vaccins me rappelle ce que j'ai lu sur mon propre carnet de santé. Quand j'avais un peu moins d'un an : début mars, première injection de Detecoq-polio ; début avril 2ème injection, fin avril, rubéole (très forte). Bien sur, ça pourrait n'être qu'une coincidence. Mais, quand on lit les interventions sur le forum vaccins de Doctissimo, il y en a beaucoup des coincidences comme ça.

  13. Parfait l'idée du lien, je peux sans problème prendre un ébergement quelque part (ça ne coute plus très cher maintenant) et monter un forum vers lequel tu mettras un lien.

    En fait, j'ai déjà mis en place un forum. Mais c'est sur Lycos/Multimania, et c'est lent et avec de la pub.

    PS : Ca m'a fait halluciner cette histoire des infirmières. En 1986, ont savait déjà ! Et en plus, ce sont des infirmières. Des personnes faisant partie du système, et auxquelles on doit donc plutot cacher la vérité, aussi bien durant leurs études que durant leur carrière à l'hopital. Et ce n'est pas une infirmière, mais plusieurs.

    Si, elles, savaient en 86, alors, il doit y avoir beaucoup de médecins qui savent depuis longtemps. Le fait que personne ne parle, et même pas sur Internet, alors que l'anonymat et facilement garantis sur les sites amis, est accablant pour eux.

  14. MARK GRIFFITHS HIMSELF !

    Quel honneur... jap.gif

    ... Et quelle joie.

    La somme d'articles sur ton site est impressionnante. Magnifique travail. Je ne suis pas séropo (enfin, si, certainement comme tous le monde, si on n'utilisait pas les dilutions énormes dans les tests), mais, en m'étant ouvert grâce à toi aux médecines alternatives, j'ai pu améliorer tout un tas de petits problèmes de santé. Vraiment, merci !

    Comme on en parlait sur l'autre topic "et si le SIDA était un canular, le retour", je pense qu'il faudrait qu'on ait un forum français sur la dissidence et qu'il y ait un lien vers ce forum référencé sur ton site. Ca permettrait vraiment de regrouper les énergies. A mon avis, il doit y avoir de nombreuses personnes qui viennent sur ton site et qui seraient probablement prêtes à se joindre à nous qui restent isolées.

  15. Bonjour les amis,

    En ce qui concerne ce qu'il y aurait à faire, je pense qu'en plus de ce qui a été dit, il faudrait avoir un forum français sur la dissidence. Un forum permet de regrouper les bonnes volontés. Mais, pour qu'il marche, il faudrait qu'il soit adossé à un site connu, comme celui de sidasante. J'avais écris à Mark Griffith, mais, je n'ai pas reçu de réponse.

  16. C'est clair que deux forums qui bloquent les dissidents en même temps, ça ne doit pas être un hasard. Ca doit très probablement venir de plus haut que les simples modérateurs ou responsables de ces sites. Mais de qui ? C'est ça la question.

    C'est fort probable qu'on commence à faire peur à certains pontes corrompus du SIDA. Et, oui, l'enjeu est gigantesque pour la médecine officielle. Vu qu'énormément de monde a trempé là-dedans de près ou de loin, ce serait un véritable cataclysme pour eux. Des sommes fantastiques, des carrières, des réputations, sont en jeux.

    Et pour ceux qui n'ont pas trempé directement dans cette entreprise criminelle, mais qui se sont fait les portes parole de la théorie officielle, c'est à dire absolument tout le monde dans l'univers médicale, ce serait une totale humiliation, une remise en cause de leur savoir, de leur autorité et de leur crédibilité pour très longtemps.

    Alors, même si nous ne sommes pour l'instant que quelques dizaines de personnes en France, avec le trouble que nous créons dans les esprits, et vu l'importance des enjeux, ils doivent déjà se soucier de nous.

    C'est vrai que quelques dizaines de personnes, ça fait misérable. Mais, dans le domaine des idées, une seule personne motivée a déjà un pouvoir d'influence énorme (il n'y a qu'à voir le cas de cet éleveur anglais qui a remis en cause les dogmes sur la vache folles en accusant le phosmet). Alors plusieurs dizaines de personnes...

  17. Bonsoir Jimmy,

    Je me disais bien qu'ils finiraient par nous fermer le forum. Je pensais bien que le fait qu'ils se soient procurés un forum modérable était du à une volonté de censurer les voix discordantes. Et, en tout premier lieu, nous, les dissidents.

    C'est assez marrant de cynisme la façon dont ça s'est passé. Nikkos le dingue agresse tout le monde, même quand les dissidents ne sont pas là. C'est le seul à foutre un bordel monstre. Donc, qui bannit-on ? Nikkos, comme on devrait le faire ? Non, les dissidents.

    Ben voyons. Enfin, on va voir comment ça évolue.

    Par contre, bonne nouvelle, le forum Aids Myth Exposed, qui était déjà le premier forum sur le SIDA sur les groupes MSN, a franchi la barre des 1000 inscrits. Je trouve que c'est une très bonne nouvelle. C'est aussi important, à mon avis, que le basculement d'act-up San-Fransisco vers la dissidence.

  18. Je sais qu'il y a déjà un sujet sur le SIDA. Mais, je me permets de poster ce message sur un sujet séparé, tellement cette information est choquante et monstrueuse :

    -------------------

    Ce qui suit représente une part importante d’un article plus détaillé : « La maison construite par le SIDA » du journaliste Liam Scheff.

    Cet article évoque la maltraitance pharmacologique exercée dans un home d’enfants de NIC. C’est une histoire très sujette à controverse, et pourtant elle se fonde uniquement sur des faits et sur un bon reportage. J’espère que vous la trouverez aussi intéressante et choquante que moi quand je l’ai découverte.

    Je cherche une revue imprimée pour publier l’article complet. Si vous dirigez ou travaillez dans un journal honnête et de bonne qualité, qui a un lectorat d’une importance raisonnable et un site web actif et de bonne qualité, merci de me contacter : liamscheff@yahoo.com (France : information@sidasante.com)

    La maison construite par le SIDA (extraits)

    Liam Scheff

    Introduction

    Sur les Washington Heights de New York, il y a un bâtiment de 4 étages appelé Incarnation Children’s Center (ICC). Cette bâtisse, qui était auparavant un couvent, est maintenant un centre d’accueil pour des enfants qui ont été enlevés à leurs familles par l’Agency for Child Services (agence d’aide à l’enfance). Ces enfants sont noirs, hispaniques, et pauvres. Dans la plupart des cas, leurs parents ont des antécédents de toxicomanie. Lorsqu’ils sont placés dans l’ICC, les enfants sont enrôlés dans une étude sur les médicaments financée par le NICHD (l’Institut National des Allergies et des Pathologies Infectieuses, une division du NIH), en collaboration avec les plus grandes laboratoires pharmaceutiques du monde, GlaxoSmithKline, Pfizer, Genetech, Chiron/Biocine, et d’autres.

    Les produits administrés aux enfants sont toxiques. On sait qu’ils provoquent des mutations génétiques, des insuffisances organiques, la destruction de la moelle osseuse, des déformations physiques, des lésions cérébrales et des pathologies cutanées mortelles. Si les enfants refusent de les prendre, on les maintient et on les leur donne de force. Si les enfants continuent à résister, on les envoie au Columbia Presbyterian Hospital, et un chirurgien pratique une gastrostomie (on leur place un tube qui traverse la paroi abdominale et va jusque dans leur estomac). Ensuite, les médicaments sont injectés directement dans leur tube digestif.

    En 2003, 2 enfants âgés de 6 et 12 ans ont eu de sévères convulsions liées à la toxicité des médicaments. L’enfant de 6 ans est devenu aveugle. Les 2 enfants sont décédés peu de temps après. Un autre enfant de 14 ans est décédé récemment. Un enfant de 8 ans a subi 2 chirurgies plastiques pour enlever 2 volumineuses tumeurs graisseuses situées dans son dos.

    Ce n’est pas de la science fiction. C’est de la recherche sur le SIDA. Les enfants admis à l’ICC sont nés de mères séropositives pour le VIH, ou sont eux-mêmes séropositifs. Cependant, il n’a été expliqué ni aux parents, ni aux enfants, que les tests de dépistage du VIH sont totalement inadaptés (1, 2). Le test du VIH réagit de façon croisée dans près de 70 circonstances dont certaines sont fréquentes, ce qui donne un résultat faussement positif. Ces circonstances incluent les rhumes, l’herpès, l’hépatite, la tuberculose, la toxicomanie, les vaccination, et, ce qui est encore plus inquiétant, une grossesse récemment terminée ou en cours (3, 4, 5). Cette inadéquation des tests est double, parce que les facteurs qui font qu’un test est faussement positif chez une femme enceinte pourront être transmis à l’enfant, qui sera lui aussi diagnostiqué à tort comme positif.

    La plupart d’entre nous n’ont jamais entendu dire cela auparavant. C’est indiscutablement l’un des plus grands secrets de la médecine. Toutefois, la très mauvaise fiabilité des tests de dépistage du VIH est un fait bien connu des chercheurs, mais les chercheurs ne le disent pas aux médecins, et ils ne le disent certainement pas aux enfants admis à l’ICC, qui servent de cobayes pour la prochaine génération de médicaments contre le SIDA. L’ICC est gérée par le Prebyterian Hospital de l’Université de Columbia, en relation avec Catholic Home Charities, par le biais de l’Archidiocèse de New York.

    Sean et Dana Newberg sont 2 des enfants admis à l’ICC. Leur mère était toxicomane, et elle était incapable de s’occuper correctement d’eux ; ils ont donc été placés, jusqu’à ce que leur grand-tante Mona les adopte. Mona Newberg est enseignante à New York, et elle a un doctorat en matière d’éducation. Elle a adopté les enfants alors que Sean avait 3 ans et Mona 6 ans. Elle avait déjà pris en charge leur frère aîné, qui n’a jamais été testé pour le VIH, n’a jamais reçu de médicaments contre le SIDA. Il est maintenant adulte, en bonne santé, et il travaille dans la Marine.

    Leur mère consommait de l’héroïne et du crack depuis son adolescence. Elle a subi un test de dépistage du VIH dans les années 80, et a été décrétée séropositive. « Elle avait eu 3 enfants avant Sean et Dana », dit Mona. « Personne ne nous a dit que le test pouvait être faussement positif en cas de toxicomanie, sans parler de la grossesse. Ce n’est pas un test fiable. »

    Suite aux résultats du test, les médecins du Columbia Presbyterian ont placé Sean sous monothérapie par AZT alors qu’il était âgé de 5 mois. La prescription d’une monothérapie par AZT est actuellement considérée comme une faute médicale, car ce produit peut provoquer des maladies potentiellement mortelles, comme par exemple une anémie mortelle.

    Sean a été en réanimation à 2 reprises suite à la prise d’un médicament contre le SIDA, la névirapine. Dana a été mise sous traitement contre le SIDA en 2002, alors qu’elle n’était pas malade. Depuis qu’elle a commencé à prendre ces médicaments, Dana a développé un cancer.

    Les 2 enfants ont été placés à l’ICC et y ont été gardés contre leur gré et contre la volonté de Mona pour une seule raison : Mona avait remis en question l’innocuité des médicament contre le SIDA, AZT, Névirapine et Kaletra, et avait arrêté de les donner aux enfants quant elle avait constaté que cela les rendait malades. Pendant l’été et l’automne 2003, j’ai été voir Mona, Sean, Dana, et l’ICC. J’ai parlé à Mona de son expérience et de sa décision.

    Liam Scheff : Qu’est-ce qui vous a amené à vous poser des questions sur l’innocuité du traitement ?

    Mona Newberg : Lorsque Sean est arrivé chez moi à l’âge de 3 ans, il était un légume. Il n’avait jamais mangé d’aliments solides. Il avait une sonde nasogastrique (un tuyau qui allait jusque dans son estomac en passant par son nez). Les médicaments contre le SIDA modifient la perception du goût. L’AZT, particulièrement, le fait d’une telle façon que les enfants ne perçoivent plus le goût des aliments et ne mangent plus. Les infirmières donnaient à Sean de l’AZT, du Bactrim, et 6 boites de Pédiasure par jour avec cette sonde, qu’il a gardé dans son estomac pendant plus de 2 ans. Personne ne s’est jamais préoccupé de la lui changer.

    Quand Sean est arrivé chez moi, j’ai continué à lui donner les médicaments pendant encore environ 5 mois. Mais à chaque prise il devenait plus faible. Alors je me suis dit, c’est quand même curieux, tous ces produits sont supposés lui permettre d’être en meilleure santé, alors pourquoi va-t-il de plus en plus mal ?

    [Mona a alors décidé d’arrêter de donner à Sean ces médicaments, et a constaté que sa santé s’améliorait lentement mais constamment. L’agence de protection de l’enfance n’a pas approuvé sa décision de refuser de donner de l’AZT à Sean, même si ce produit le rendait malade, et l’a inscrite à la consultation d’un médecin de Beth Israel.]

    Mona : Une personne de l’agence de protection de l’enfance est venue chez moi, et m’a dit qu’elle devait inscrire l’enfant chez un médecin spécialisé dans les maladies infectieuses, le Dr Howard, au Beth Israel. J’emmenais Sean et Dana chez un médecin spécialisé en médecine naturelle, et ils étaient alors tous les deux forts et en bonne santé. J’ai donc répondu qu’ils avaient un médecin. On m’a répondu : « Il n’est pas bien du tout, vous devez aller voir le Dr Howard maintenant. »

    Howard a été un désastre pour les enfants. Il a ignoré la seule chose préoccupante chez Sean à ce moment, ses problèmes pulmonaires, et a insisté pour qu’il reçoive un nouveau médicament contre le VIH. Il a dit : « C’est un nouveau médicament miracle. Il vient juste d’être commercialisé. Je vous garantis que si vous le donnez à Sean, vous aller constater un miracle. »

    LS : Quel était ce médicament miraculeux ?

    Mona : La névirapine. Howard a prescrit de la névirapine à Sean. La santé de Sean s’est immédiatement détériorée. Il est devenu plus malade, ses poumons se sont congestionnés, il a perdu du poids, ses joues ont fondu, il a commencé à avoir des problèmes hépatiques et spléniques (au niveau du foie et de la rate). 6 mois après le début du traitement par névirapine, il a fait une insuffisance organique totale. Il est resté en réanimation pendant 2 semaines à l’Hôpital Beth Israel. Alors, j’ai fait quelques recherches sur la névirapine, et j’ai trouvé qu’elle induisait des insuffisances organiques et le décès. Quand Sean est enfin sorti de réanimation, Howard l’a fait placer dans un autre service ( ? je ne connais pas très bien le système de soin aux USA ; est-ce qu’il était dans un service hospitalier, ou est-ce qu’il avait une hospitalisation au domicile ?). 6 mois plus tôt, il était en bonne santé. Et maintenant, ils me disaient de me préparer à sa mort.

    [Mona a réussi à faire sortir Sean de l’hôpital, et à le ramener chez elle. Elle a arrêté de lui donner de la névirapine, et la santé de Sean s’est progressivement améliorée. Elle a ensuite été contactée par une personne de l’agence pour la protection de l’enfance, afin de placer Sean à l’ICC.]

    La personne de l’agence pour la protection de l’enfance m’a dit qu’elle pouvait faire admettre Sean à l’ICC jusqu’à ce qu’il soit en meilleure santé. Elle m’a dit que l’ICC était un endroit merveilleux. Elle m’a dit que dans 4 mois il serait en assez bonne santé pour revenir à la maison. L’ICC a arrêté de donner de la névirapine à Sean, et l’a mis sous Viracept, Epivir, Zerit et Bactrim. Sean allait mieux après l’arrêt de la névirapine, mais les nouveaux médicaments l’ont à nouveau rendu malade, juste un peu moins. Il avait du mal à marcher, et ses bras et ses jambes sont devenus encore plus maigres.

    J’ai été voir Sean à l’ICC pendant 5 mois. Après, j’ai voulu le ramener à la maison. Ils m’ont dit : « Nous ne recommandons pas le départ de Sean. Vous avez la réputation de ne pas donner les médicaments. »

    LS : L’ICC a refusé de laisser sortir Sean ?

    Mona : Oui. Ils l’ont gardé pendant un an et demi. J’ai dû faire appel à un avocat pour arriver à le faire sortir.

    LS : A quoi ça ressemblait pour Sean, à l’ICC ?

    Mona : Il y avait des enfants dans des fauteuils roulants, avec des béquilles, avec des déformations. Il y avait des bébés AZT. Leur tête avait une forme anormale, avec les yeux très espacés et enfoncés. Les médicaments provoquent d’importants problèmes de développement. De nombreux enfants avaient des malformations, des membres grêles, des ventres distendus. Beaucoup avaient des troubles d’apprentissage de la lecture. Les enfants admis à l’ICC sont traités en permanence avec toutes sortes de médicaments. Lorsque les enfants refusent de les prendre, les infirmières les maintiennent et les leur donnent de force. Sean voulait de toutes ses forces partir de cet endroit.

    Pendant mes visites, j’ai constaté que de nombreux enfants de l’ICC avaient un tuyau qui pendait sous leur maillot de corps, et je me demandais ce que c’était. Alors un jour, j’ai vu une infirmière arriver avec tout un chariot de médicaments et de seringues, et je l’ai regardé injecter les médicaments dans le tuyau qui sortait de l’estomac des enfants. Je n’arrivais pas à le croire. J’ai pensé, mon Dieu, qu’est-ce qui se passe ici ?

    Tous les enfants qui avaient un tuyau placé dans leur estomac recevaient les médicaments par ce tube, depuis les enfants de 3 ans jusqu’aux adolescents. Cela m’a horrifié. Je ne pouvais pas comprendre pourquoi. Quand je l’ai compris, j’ai pensé que sûrement cela devait être illégal. Cela ne pourrait certainement pas être fait légalement.

    J’ai parlé des questions que je me posais à la personne de la protection de l’enfance qui suivait Sean. Je lui ai dit : « Est-ce que vous savez ce qu’ils font à ces enfants là dedans ? Ca me rappelle les nazis en Allemagne. » Il m’a répondu : « Ils font des choses merveilleuses pour ces enfants. » J’ai appelé à Albany, la capitale de l’état, et j’ai parlé à [nom de la personne supprimé] de l’Institut du SIDA du Département d’Etat de la Santé. Il m’a répondu : « Que voulez-vous qu’on fasse si ces jeunes enfants refusent de prendre les médicaments ? Comment pouvons-nous sauver leur sauver la vie si nous ne leur faisons pas cette opération ? »

    LS : Qui effectue cette opération ?

    Mona : Les enfants sont envoyés au Columbia Presbyterian pour l’opération. Elle est faite par leurs chirurgiens.

    [Mona décrit les enfants qui sont décédés à l’ICC. Deux enfants âgés de 6 et 12 ans, ont eu de sévères convulsions iatrogènes. L’un est devenu aveugle, et tous les deux sont décédés peu après. Amir, 9 ans, a eu plusieurs opérations pour enlever des tumeurs graisseuses apparues sur son dos et ses épaules. Ce type de tumeurs (lipodystrophie) est un des effets secondaires de certains médicaments contre le SIDA, les inhibiteurs des protéases. « Les enfants de l’ICC qui n’avaient pas de gastrostomie étaient nettement en meilleure santé et vivaient nettement plus longtemps que les enfants qui en avaient une », dit Mona].

    LS : L’ICC participe à un programme national d’études sur le SIDA. Avez-vous jamais signé un formulaire autorisant l’entrée de l’enfant dans une étude pharmacologique ?

    Mona : Non, jamais. Mais la personne de la protection de l’enfance a signé à ma place, quand je n’ai pas voulu donner les médicaments à Sean. Quand j’ai dit « Non », cette personne a pris le formulaire et a dit « Je vais le signer, ce n’est pas nécessaire que vous le fassiez. » Ils changent constamment le traitement, et ne me demandant jamais si je suis d’accord.

    Actuellement, la plupart des enfants sont sous Kaletra. Ce produit a été approuvé en un temps record. Il a commencé à être utilisé avant même la fin des tests. Mais ils savaient une chose au sujet du Kaletra. Il provoque des cancers. C’est marqué sur la notice, ce produit induisait des cancers en expérimentation animale.

    Je me suis battue pendant un an pour ramener Sean à la maison. L’ICC voulait le mettre dans un centre d’accueil où une personne serait payée pour lui donner les médicaments tous les jours. J’ai trouvé un avocat, et nous avons finalement réussi à sortir Sean de là. Mon avocat a réussi à mettre la main sur le dossier médical de Sean à l’ICC. Il m’a dit : « Sean a été torturé dans cet endroit. Il a été torturé. »

    Médicaments utilisés dans les études conduites à l’ICC, au Columbia Prebyterian, et dans des centaines de services de pédiatrie spécialisés dans le SIDA partout dans le pays :

    Médicament

    Laboratoire pharmaceutique

    Toxicité connue (notice d’utilisation du laboratoire)

    Effet thérapeutique reconnu (notice du laboratoire)

    Rétrovir (AZT)

    GlaxoSmithKline

    Le Rétrovir a été associé à une toxicité hématologique (toxique pour le sang) : neutropénie *, anémie sévère.

    La prise prolongée de Rétrovir peut induire une myopathie (destruction musculaire).

    Ont été rapportés la survenue d’une acidose lactique et d’une hépatomégalie sévère (maladie du foie), des stéatoses (dégénérescence graisseuse), mortelles dans certains cas, suite à l’utilisation des analogues de nucléosides (Rétrovir, Epivir, Zerit) seuls ou en combinaison...

    Le Rétrovir ne permet pas la guérison de l’infection par le VIH.

    Les effets à long terme du Rétrovir sont inconnus à l’heure actuelle.

    Les effets à long terme de l’exposition in utero de l’enfant au Rétrovir son inconnus ; il y a un risque de cancer.

    Epivir (ETC, Lamivudine)

    GlaxoSmithKline

    (voir ci-dessus)

    Les parents ou les personnes qui s’occupent de l’enfant doivent savoir que ce dernier doit être suivi pour recherche de l’apparition d’une pancréatite.

    L’Epivir ne permet pas de guérir l’infection par le VIH.

    Les patients doivent être avertis du fait que les effets secondaires à long terme de l’Epivir sont inconnus à l’heure actuelle.

    Zerit (Stavudine)

    Bristol-Meyers-Squibb

    (voir ci-dessus)

    Des cas d’acidose lactique mortelle ont été rapportés chez des femmes enceintes qui prenaient de la didanosine et de la stavudine en même temps que d’autres antirétroviraux

    Le Zerit ne permet pas de guérir l’infection par le VIH.

    Il existe peu de données sur l’utilisation au long cours du Zerit.

    Viramine (Névirapine)

    Boeringer-Ingelheim

    Les patients doivent être informés de la possibilité de survenue de troubles hépatiques ou cutanés sévères liés à la prise de Viramine, qui sont potentiellement mortels.

    Des cas graves, potentiellement mortel, qui se sont avérés mortels dans certains cas, d’hépatotoxicité (toxicité pour le foie), avec nécrose hépatique (destruction du foie) et insuffisance hépatique, ont été rapportés chez des patients traités par Viramine.

    Ont aussi été rapportés des troubles cutanés graves, potentiellement mortels, ayant induit des décès, tels qu’un syndrome de Stevens-Jonhson, ou un syndrome de Lyell (destruction de la peau)

    Le Viramine ne permet pas de guérir l’infection par le VIH

    Ritonavir (Norvir)

    Laboratoires Abbott

    Redistribution / accumulation de graisse, incluant une obésité centrale, une surcharge graisseuse dorsocervicale (bosse de bison), un amaigrissement des membres, une augmentation de volume des seins, troubles lipidiques, augmentation importante du taux de cholestérol et des triglycérides totaux.

    Norvir ne permet pas de guérir l’infection par le VIH

    Kaletra

    Laboratoires Abbott

    Voir ci-dessus

    Les études du pouvoir carcinogène chez les animaux n’ont pas été terminées.

    Chez les souris mâles... il existe une augmentation dose-dépendante de l’incidence à la fois des adénomes et des carcinomes (cancers) hépatiques.

    Le Kaletra ne permet pas de guérir l’infection par le VIH.

    Les effets secondaires à long terme du Kaletra sont inconnus à l’heure actuelle.

    * (NB : la neutropénie est la baisse du taux des polynucléaires neutrophiles, pas une anémie)

    Photo d’un enfant souffrant de syndrome de Stevens-Jonhson, une éruption cutanée papuleuse ou bulleuse potentiellement mortelle. C’est l’un des effets secondaires connus de la névirapine, un antirétroviral. La névirapine est l’un des principaux médicaments utilisé en Afrique.

    Huit des 200 études actuellement conduites au sein de l’ICC et du Columbia Presbyterian (des 800 études nationales) :

    -The Effect of Anti-HIV Treatment on Body Characteristics of HIV-Infected Children

    Conditions: HIV Infections; HIV Wasting Syndrome; Lipodystrophy

    Sponsors: NIAID and NICHD

    Impact du traitement contre le VIH sur les caractéristiques physiques des enfants contaminés par le VIH. Conditions : infection par le VIH ; syndrome de dépérissement lié au VIH ; lipodystrophie.

    Financement : NIAID et NICHD

    -The Effects of Anti-HIV Therapy on the Immune System of HIV-Positive Children

    Sponsors: NIAID and NICHD

    Impact du traitement contre le VIH sur le système immunitaire des enfants séropositifs pour le VIH

    Financement : NIAID et NICHD

    -Comparison of Stavudine Used Alone or in Combination with Didanosine in HIV-Infected Children

    Sponsor: NIAID

    Comparaison entre un traitement par Stavudine seule ou en combinaison avec la Didanosine chez des enfants contaminés par le VIH

    Financement : NIAID

    -HIV Levels in Cerebrospinal Fluid and Brain Function in Patients Receiving Anti-HIV Drugs

    Sponsors: NIAID, NINDS (Nat. Inst. Neurological Disorders and Strokes), NARC (Neurologic AIDS Reseach Consortium)

    Taux de VIH dans le liquide cérébrospinal et fonction cérébrale chez des patients recevant des médicaments contre le VIH

    Financement : NIAID, NINDS, NARC

    -A Study of Lopinavir/Ritonavir in Infants with HIV

    Sponsors: NIAD, NICHD

    Etude sur l’utilisation de Lopinavir / Ritonavir chez des enfants contaminés par le VIH

    Financement : NIAID, NICHD

    -A Study to Compare Different Drugs Used to Prevent Serious Bacterial Infections in HIV-Positive Children

    Sponsors: NIAID, Pfizer, Glaxo

    Etude comparative de différents traitements pour la prévention des infections bactériennes sévères chez des enfants séropositifs pour le VIH

    Financement : NIAID, Pfizer, Glaxo

    -The Safety and Effectiveness of Valacyclovir HCI in the Treatment of Herpes Simplex or Varicella/Zoster Infections in HIV-1 Infected Children

    Sponsors: NIAID, Glaxo

    Innocuité et efficacité du chlorhydrate de valacyclovir pour le traitement de l’Herpès simplex ou des infections à virus varicelle / zona chez des enfants contaminés par le VIH-1

    Financement : NIAID, Glaxo

    -The Safety and Effectiveness of Treating Advanced AIDS Patients between the Ages 4 and 22 with Seven Drugs, Some at Higher than Usual Doses

    Sponsor: NIAID, NICHD

    Innocuité et efficacité du traitement des patients de 4 à 22 ans présentant un SIDA avancé avec 7 produits, certains donnés à une posologie plus élevé que la normale

    Financement : NIAID et NICHD

    Les médecins de l’ICC

    Pour confirmer les dires de Mona, j’ai parlé avec le Dr [nom dissimulé jusqu’à publication], directeur médical de l’ICC. Je lui ai posé des questions sur les médicaments contre le SIDA, les études cliniques, et les gastrostomies chez les enfants qui ne pouvaient pas ou ne voulaient pas prendre les médicaments. Le Dr [ ] m’a dit que la plus grande difficulté qu’ils rencontraient chez les enfants admis à l’ICC n’était pas la maladie, mais le respect du traitement médical. Elle m’a aussi confirmé qu’il y avait « des tas et des tas d’études effectuées sur les enfants ».

    LS : Que fait l’ICC ?

    ICC’s Medical Director : L’ICC s’occupe d’enfants dont le cas est médicalement complexe mais qui ne présentent pas de maladie aiguë, et dont le suivi médical pose davantage de problème que la moyenne. Nous avons de plus en plus d’enfants qui nous sont adressés ces dernières années à cause de difficultés à respecter leur traitement médical. Nous avons une bonne quantité d’enfants dont l’infection par le VIH pourrait être bien contrôlée, mais dont les familles ont des difficultés à respecter le traitement médical de l’enfant.

    Ce que nous demandons aux familles et aux patients en terme de respect du traitement, c’est quelque chose comme 100% : tous les médicaments, tout le temps, qu’ils aient ou non les médicaments sous la main, que les médicaments les rendent malades ou pas, et même s’ils présentent une autre maladie en même temps.

    L’ICC est affiliée au Columbia Presbyterian. Nous collaborons avec environ 6 hôpitaux new-yorkais (le Columbia Presbyterian, l’hôpital Harlem, l’hôpital de New-York, le St Luke/Roosevelt, le King’s Coutry Brooklyn et le SUNY). Des enfants nous sont adressés par des consultations externes de la ville, des cinq comtés, et de Westchester le long de l’île. La plupart de ces consultations sont situées dans des centres médicaux.

    LS : Est-ce que l’ICC participe a des études cliniques sur des médicaments ?

    ICC MD : La plupart des consultations qui nous adressent leurs patients participent à des études cliniques sur des médicaments. Les enfants qui participent à une étude sur des médicaments bénéficient d’un suivi, de tests, et reçoivent gratuitement le médicament expérimental pendant la durée de leur suivi par la consultation, et nous poursuivons ce traitement ici.

    LS : Quand j’ai fait une recherche dans la base de données gouvernementale sur les études cliniques, j’ai trouvé des tas et des tas d’études effectuées sur des enfants.

    ICC MD : Il y a des tas et des tas d’études effectuées sur des enfants.

    LS : Je sais que les médicaments sont difficiles à prendre et ont des effets secondaires. Comment arrivez-vous à les faire prendre à un enfant ?

    ICC MD : Un des problèmes rencontrés avec les enfants est qu’ils ne peuvent pas avaler de gros comprimés. De nombreux produits se présentent sous la formes de comprimés assez gros pour un cheval, et il faut prendre beaucoup de comprimés. Les présentations liquides ou en poudres n’ont pas un goût très agréable. Elles laissent pendant longtemps dans la bouche un goût amer. Nous les mélangeons avec un sirop au chocolat. Certains enfants arrivent à les prendre de cette façon, d’autres pas. Dans certains cas, c’est mieux d’administrer les médicaments par gastrostomie.

    LS : C’est un tuyau qui passe par le nez ou qu’on met directement dans l’estomac ?

    ICC MG : On le met directement dans l’estomac. Ce qu’on passe par le nez, c’est une sonde de gavage naso-gastrique. C’est correct pour des traitements de courte durée. Il faut la changer de narine toutes les semaines pour abaisser le risque d’infection des sinus. Chaque fois qu’on donne un médicament ou des suppléments par cette sonde, il faut faire attention que cela va bien dans l’estomac et pas dans les poumons, parce que la sonde peut s’être déplacée.

    LS : Qu’est-ce qu’une gastrostromie ?

    ICC MD : C’est un tuyau qu’on rentre dans l’estomac par une petite ouverture à travers la paroi abdominale et celle de l’estomac.

    LS : Et comment placez-vous ce tuyau ?

    ICC MD : C’est un chirurgien qui le place. C’est fait en salle d’opération, sous anesthésie. Le chirurgien place un endoscope (une caméra de fibres optiques qu’on descend dans l’estomac par l’œsophage), qui lui permettra de bien voir l’intérieur de l’estomac. Ensuite, il pose le tuyau.

    LS : Il fait une ouverture dans l’abdomen ?

    ICC MD : Oui, c’est tout à fait ça. Il découpe la peau, ouvre la paroi abdominale, puis celle de l’estomac. Il fait un petit trou, de 6 à 7 millimètres. Il faudra plusieurs semaines pour que cela cicatrise correctement, alors ça fera un peu mal. Un petit tuyau est placé par cette ouverture. De l’extérieur, vous pouvez placer sur ce tube une seringue ou un tuyau d’alimentation. L’ouverture extérieure du tuyau peut être fermée quand elle n’est pas utilisée (avec un bouchon en plastique), cela dépasse de moins de 10 cm hors de l’estomac. Dans certains cas, on les appelle des boutons.

    A l’intérieur de l’estomac, il y a un appareil appelé ballon, qui permet au tuyau de rester en place ; il est rempli avec de l’eau de façon à avoir une taille qui empêche l’extrémité interne du tuyau de sortir par l’ouverture abdominale.

    LS : Quand estime-t-on que cette pratique chirurgicale est nécessaire ou utile ?

    ICC MD : Lorsque les autres interventions pour obtenir que l’enfant prenne les médicaments par la bouche ont échoué.

    Image : Tuyau de gastrostomie ou PEG (gastrostomie percutanée sous endoscopie). Chirurgie de gastrostomie.

    Dans sa brochure de présentation, l’ICC se qualifie de « sanctuaire de l’amour, une résidence où on est soigné comme à la maison... »

    Conclusion

    Le traitement des patients admis à l’ICC actuellement viole tous les standards pour les expérimentations médicales édictés par la législation internationale après la Seconde Guerre Mondiale.

    Les enfants admis à l’ICC sont utilisés pour des expérimentations sur des médicaments sans que cela soit porté à leur connaissance.

    Ces expérimentations sont menées sans le consentement des parents ou des tuteurs des enfants.

    Les expériences ne sont ni nécessaires, ni dépourvues de danger.

    On sait que les médicaments utilisés peuvent induire des handicaps et des décès.

    Les enfants qui refusent les médicaments se les voient donner de force, ou sont altérés chirurgicalement.

    Est-ce que ce comportement est acceptable ? Ou avons-nous besoin d’un autre Nuremberg pour nous remettre en mémoire les règles de la civilisation ?

    L’expérience de Mona et de Sean n’est pas isolée. De nombreux patients dans tous les USA et dans le monde entier vivent une situation similaire, et sont rendus malades par l’utilisation irrationnelle de médicaments dangereux dans le seul objectif de faire des profits financiers. Les mères informées qui essayent de protéger leurs enfants vis-à-vis de thérapies potentiellement mortelles sont décrétées renégates, et courent le risque de voir leurs enfants leur être enlevés par des agences d’état qui collaborent avec (et souvent sont financées par) les laboratoires qui fabriquent et vendent les médicaments.

    Si nous voulons que cela cesse, c’est à nous tous, citoyens, scientifiques, acteurs de santé, activistes, mères, pères et membres des familles, de porter ces faits à l’attention du grand public, afin de protéger les droits de ces enfants, et de rappeler à l’establishment médical le principe sacré : « Primum non nocere », D’abord, ne pas nuire.

    NB : L’article complet contient l’interview d’une infirmière qui a travaillé à l’ICC, et qui a constaté que les enfants n’arrivaient à aller mieux que lorsque le traitement médicamenteux était arrêté. Il y a davantage d’informations sur Sean et sur sa sœur Dana, qui a aussi été admise à l’ICC, ainsi qu’une analyse critique des tests de dépistage du VIH.

    Liam Scheff, 2003

  19. Oui, je me disais bien que leur nouveau forum servirait avant tout à virer certaines personnes qui déplaisent, et spécialement les dissidents. Peut-être que notre tour viendra, à Cheminot et à moi. Mais, dans la mesure ou on fait moins de vague, il semble que le modérateur nous tolère. Bien sur, il n'a pas viré Nikkos le dingue aux multiples pseudos, qui, lui, pourrissait à fond le forum.

    Cela dit, il faut quand même avouer qu'on n'a pas réussi à convertir grand monde sur ce forum. Les gens viennent en majorité parce qu'ils sont un peu inquiets, puis repartent dès qu'ils ont eu un avis sur les test ou sur le risque de contamination. Ce n'est pas comme sur les autres forums de doctissimo, comme le forum vaccin ou d'autres forum, ou les gens, soit sont ouverts d'esprits, soit sont motivés pour au moins essayer des solutions alternatives pour se soigner.

    Je pense qu'il faut qu'on ait notre forum à nous, adossé à un nouveau site (sinon, un forum seul n'attirera personne), puisque celui de Mark Grifith est un peu en stand by et surtout, ne contient pas de forum. Je lui avais communiqué l'adresse du forum que j'avais créé, mais, je n'ai pas reçu de réponse.

  20. Très intéressant ça : un colloque qui se tient carrément au parlement européen.

    A un moindre niveau, on constate que certains docteurs avouent ne pas savoir répondre à certaines contradictions logiques du VIH. Il y a un forum médical assez fréquenté

    http://www.atoute.org/cgi-bin/dcforum/dcboard.cgi

    Le docteur Dupagne, qui s'en occupe, ne trouve rien à répondre quand on lui demande comment il se fait qu'avec des probabilité très faibles de transmission, l'Afrique aurait pu connaitre un taux de prévalence aussi élevé en si peu de temps. Il avoue même être étonné. Bon, bien sur, c'est d'un autre niveau que le parlement européen, mais, vue la fréquentation du forum, c'est toujours intéressant.

    Le topic est ici : http://www.atoute.org/dcforum/DCForumID5/541.html#

    ">Avec des probabilités si faibles de transmission du VIH, en particulier

    >dans les rapports hétérosexuels, comment expliquez-vous les taux de prévalence

    >du VIH très élevés dans certains pays africains (par exemple,

    >au Bostwana, 35.8% des adultes sont aujourd'hui infectés par le

    >VIH) ?

    - Statistiques fausses ?

    - Contagiosité différente chez les noirs ?

    - Contamination non sexuelle ?

    Je n'ai pas la réponse. Ce qui m'étonne le plus c'est que la maladie est partie d'Afrique, aurait contaminé l'occident, puis a flambé en Afrique dix ans après. L'histoire du HIV est plein de mystères, ce qui explique les thérories fumeuses qui circulent actuellement sur l'existence ou non du sisa. Docteur Dominique Dupagne"

  21. Si, il y a eu au moins un article de presse. Le magazine "Science et Avenir" en a parlé en janvier 2002. Bien sur, c'était de façon détournée. Ils en ont traité via un sujet sur les dissidents de la science. Mais, c'était déjà un acte de courrage, certainement, pour eux, vu l'omerta qu'il y a sur le sujet. C'est grace à eu que j'ai eu vent de l'affaire et que je suis allé sur Internet pour en savoir plus.

    En ce qui concerne les photographies en 3D, ce sont effectivement des images réalisées sur ordinateurs. Cela dit, il y a bien des photos de protéines (ou amas de protéines) prises au microscope éléctronique et désignées comme virus VIH. Seulement, des protéines de toute sorte, il y en un nombre considérable dans le corps. Et comme le dit Cheminot, il y en a même qui se conduisent comme des virus mais qui n'en sont pas : ce sont les virus-like. Donc, entre la simple photograpie d'un amas de protéines et la démonstration que cet amas est un vrai virus, il y a tout un monde. Or, dans le cas du VIH, la démonstration n'a pas été faite que cet amas de protéines est un virus.

    Pour qu'une protéine soit un virus, il faut qu'elle se conduise comme un virus. C'est à dire, qu'elle pénètre dans une cellule du corps, et qu'ensuite, elle en ressorte. Si on considère qu'elle détruit les cellules qu'elle infecte, il faut constater que les cellules infectées sont bien détruites au passage du virus. Mais, ce n'est pas suffisant, il faut aussi réussir à cultiver le virus et à en obtenir une culture pure (99 % de virus. C'est à dire, 99 % de protéines de taille et de formes identiques, et 1 % d'autres protéines). Sur les photos montrés, cette isolation n'est pas faite, vu qu'il y a toujours beaucoup plus d'autres protéines que de soi-disant virus. Mais ça aussi, ça n'est pas suffisant. Il faut également montrer que quelqu'un qui est malade possède le virus. Il faut même montrer que tous les malades (évidemment, on estime ça sur un échantillon statistique), ont le virus. Et il faut montrer que le sang d'un malade contaminé transmet le virus à une personne saine. Et il faut que la personne saine tombe malade. Il faut également que les animaux auquels ont transmet le virus développent des anticorps contre le virus.

    C'est ce qu'on appelle les postulats de Koch. Or dans le cas du VIH, sur la plupart des points cités, on n'a pas démontré que les postulats étaient remplis, ou alors, on a utilisés des méthodes non valables pour satisfaire à un ou deux d'entre eux. Comme utiliser des cellules soumises à un stress oxydatif (utilisation de cortisone, si je me souviens bien).

    Donc, pas d'isolation du virus, pas de virus.

    Donc, dans tout ça, la photo en 3D n'est qu'un petit mensonge supplémentaire dans la cascade d'insuffisances dans l'isolation du VIH. Mais, c'est quand même important parce que ça permet de faire croire au grand public que les virologues, avec leur super microscopes de la mort, voient les virus extrêmement bien. Voit leur ADN, etc... Et que, déjà rien qu'en les voyant agir, il peuvent savoir facilement si une particule est un virus ou pas. Alors qu'en réalité, il ne voit que des rond, des batons, en noir et blanc, avec une pauvre résolution ; et qu'il faut passer bien des étapes pour prouver qu'une particule est un virus.

  22. Un message intéressant d'un dissident sur le forum AIDS MYTH EXPOSED.

    Celui-ci (Paul King). Fait remarquer que :

    1) Il n'y a quasiment aucun cas de SIDA au Japon. Le nombre total de cas en 20 ans est de seulement 7500, ou 375 cas par an.

    2) Les japonais sont les plus nombreux touristes sexuel en Thailande (source : TAT - Tourist Authority of Thailand)

    3) Les japonais sont les plus nombreux parmi les touristes visitant les bordels du Nevada, et il y a même des voyages en bus régulier pour eux (source : Penthouse Magazine).

    4) Les japonais voyagent plus qu'aucune autre nation

    5) Les japonais ont une culture qui accepte l'homosexualité depuis longtemps et ont une communauté gay plus importante que la moyenne.

    6) Le japon a un commerce du sexe qui explose (estimé à 13 milliards de dollars par an (source : 17.03.03 - San Fransisco Chronicle))

    7) De nombreuses observations démontrent que la plupart des hommes et des femmes ayant la vingtaine n'utilisent pas de préservatif (source : 17.03.03 - San Fransisco Chronicle)

    8 ) Par comparaison, le Cambodge, dont la population est le dixième du Japon, avait 170.000 personnes vivant avec le VIH ou le SIDA à la fin de 2001, selon l'estimation des Nation Unis (source : Reuters 19 sept 2003)

    Donc, ça ne cadre pas bien du tout avec une maladie sexuelle. Encore des données en faveur de la thèse des dissidents.

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